Mission dans l`État de New York
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Mission dans l`État de New York
Mission dans l’État de New York En mars 2012, Bonduelle Amérique du Nord annonçait l’acquisition de quatre usines dans les États de New York et du Wisconsin. La Fédération a voulu mieux connaître le contexte dans lequel cet important partenaire s’implantait aux États-Unis. Objectifs Développer un réseau d’échange avec des experts américains des légumes de transformation (chercheurs, producteurs, semenciers, transformateurs, agents de transfert) Établir des liens avec des producteurs américains pour mieux connaître leur réalité et partager de l’information Mieux connaître le secteur des légumes de transformation de l’État de New York Résumé des visites Les visites d’entreprises ciblaient différents maillons impliqués dans l’industrie des légumes de transformation: Recherche : New York State Agricultural Experiment Station – Cornell University (Geneva, New York) : Processing Snap Bean and Sweet Corn Field Day Producteurs : visites de champs Transformateur : Usine de transformation de Bonduelle (Bergen, New York) Résultats Les participants à la mission ont pu constater que l’État de New York et le Québec sont très semblables du point de vue des conditions de culture (climat, sol, mauvaises herbes). Les producteurs américains contractent plus de superficies par entreprise qu’au Québec, mais sont cependant beaucoup moins nombreux à approvisionner les usines et ne bénéficient pas d’outils collectifs de mise en marché. Le Field Day de l’Université Cornell a été l’occasion de rencontrer plusieurs semenciers et transformateurs et de créer des liens avec l’équipe qui effectue les essais pour l’Université. Aussi, de nombreuses idées pour dynamiser les présentations d’essais de cultivars au Québec ont été recueillies. La mission a également permis de voir en action l’usine de Bonduelle à Bergen. Cette usine a environ la taille de celle de Sainte-Martine au Québec. On y transforme des pois, des haricots, du maïs sucré et des carottes. Le recrutement du personnel américain étant très difficile, quelque 150 travailleurs portoricains permettent à l’usine de fonctionner annuellement. Projet en collaboration avec : 40 Rapport annuel 2011-2012