DONNONS AU 110 OU SUR SIDACTION.ORG
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DONNONS AU 110 OU SUR SIDACTION.ORG Contre le sida le combat continue le 110 est un numéro gratuit ouvert jusqu’au 18 avril ÉDITO unit dans la même qui chaque année nous N, TIO AC SID le t ien uvenir de Quand rev émotion : celle du so e nd ofo pr e un s ton que nous ferveur, nous ressen sme d’alors, de l’espoir sia ou th en tre no de s, nos amis disparu les militants… médecins, les soignants, les s, ur he erc ch les ec partagions av e en Europe et l’ennu un événement uniqu ve de t es N TIO AC SID nouvelles Depuis le de plus en plus fort. De e né an ue aq ch t es s gagement des média si 20 médias D17 et 6ter. Ce sont ain , D8 : nt ne oig rej us no chaînes de la TNT sensibilisation relayer les messages de nt vo es ur he 72 de s plu qui pendant ition un succès. Mais re de cette nouvelle éd fai ur po ds fon de cte trouvent et de colle s confondus qui se re dia mé s tou s ur ate im surtout, ce sont 72 an ntre le sida… n 2013 ; tous unis co tio ac Sid le r ce lan ensemble, pour s ! Un moment des chaînes n’existe pa re er gu la ité ar lid so En matière de médias. sont bien rare dans l’histoire des que certes les avancées r ele pp ra de ion as cc Ces 3 jours seront l’o e auxquelles (les multithérapies grâc es lad ma les ur po es réelles et concrèt , la réduction durablement avec le VIH re viv de e ibl ss po ais il est désorm ). Mais que rien ne nous de la mère à son bébé us vir du ion ss mi ns de la tra oche. sida dans un avenir pr du fin la ire éd pr à ise nnes vivant autor ec 34 millions de perso av e isé itr ma tre d’ê n L’épidémie est loi nés avec le VIH, nore, 330 000 enfants l’ig itié mo la nt do avec le VIH s aux traitements. Plus i n’ont pas encore accè qu es nn rso pe de ns cheurs les 7 millio s pour offrir aux cher isé bil mo r ste re ns vo que jamais, nous de à vaincre le VIH. et de parvenir, un jour, moyens de progresser , en France et dans e au côté des malades êtr ns vo de us no , ais x Plus que jam aider à avoir accès au r l’épidémie, pour les pa és ch tou s plu les les pays xclusion. caces et à sortir de l’e effi s plu les nts me ite tra tion, alors que er les efforts de préven sifi en int ns vo de us no , Plus que jamais élevées… tions sont toujours très les nouvelles contamina , comme pour les pour vous, pour nous ion as cc l’o t es 13 20 urs qui Sidaction artistes et les animate les , les vo né bé les rs, poursuivre malades, les chercheu notre détermination à er ntr mo de , tés cô s se mobilisent à no sida. n avons pas fini avec le le combat. Car, nous n’e 2 e l e r T n O C e T T u la l n u ’ u Q s u l P n e I sIDa : b l e u n n a s u O V Z e D ren er le public. nformer et sensibilis d’i t es s dia mé e qu t Notre rôle, en tan t vingt ans au côté tamment depuis bientô no s on ur ss l’a us no Cette mission ne faiblit pas mais seulement l’épidémie n no i ’hu rd jou Au n. de Sidactio li. be peu à peu dans l’oub la lutte contre le sida tom ntinuant de rester vigilant en co ir vo de le s on av us Face à ce constat, no ité de faire en avons la responsabil us No . on ati rm nfo notre mission d’i ité. Parce que le redevienne une prior a sid le re nt co te lut sorte que la ier victoire trop vite, rce qu’il ne faut pas cr pa s, tou ne er nc co us donne sida no el du Sidaction qui nous pp l’a à n tio na mi ter dé nous répondons avec 7 avril. rendez-vous les 5, 6 et nos animateurs nes, nos journalistes, ten an s no rs, jou is tro Pendant ces chercheurs, des assovivant avec le VIH, des es nn rso pe s de t on acteurs accueiller nnerons la parole aux do us No n. tio ac Sid r ciations soutenues pa au quotidien s ceux qui se battent tou à o ch l’é de er nn de terrain pour do us lancerons des chaîne de solidarité. No e un r me for ur po , contre le VIH e visibilité nécessaire blic afin d’assurer un pu du é sit ro né gé la e. Car c’est appels à lades et de la recherch ma s de t ofi pr au ds pour collecter des fon gagnerons ce combat. t nos énergies que nous an iss un en le, mb se en Groupe TF1 nt-directeur général du Nonce Paolini préside lévisions r général de France Té teu ec dir ntide és pr lin L+ Rémy Pflim ident du Groupe CANA Bertrand Meheut prés idente d’ARTE Véronique Cayla prés du Groupe M6 président du directoire Nicolas de Tavernost ident-gérant de MTV Thierry Cammas prés urope 1 nt-directeur général d’E Denis Olivennes préside Radio France nt-directeur général de Jean-Luc Hees préside RTL ésident du directoire de Christopher Baldelli pr 3 s r u e t a m i n a les mobilisés 01. 01. Raphal - MTV, Ô, Samira Ibrahim - France Thomas Sotto - M6, . Harry Roselmack - TF1 05. 03. 02. 03. Karima Charni - W9, nce 5, Sandrine Herman - Fra TE, AR in Elisabeth Qu NAL+. Ariane Massenet - CA 02. , Sandrine Quétier - TF1 d - NT1, Christophe Beaugran China - MTV. 06. 07. 04. 04. Fred Musa - France Ô, L+, Hervé Mathoux - CANA nce 3, Laurent Romejko - Fra Grégory Ascher - NT1. 08. 05. 06. 07. 08. MaÏtena Biraben - CANAL+, Caroline Roux - Europe 1, Anthony Bellanger - ARTE. Thierry Ardisson - CANAL+, Marie José Alie - France Ô, Sandrine Corman - M6, Denis Brogniart - TF1. Bruce Toussaint - Europe 1, Mac Lesggy - 6ter. Marine Vignes - France 3, Élodie Gossuin - France 4, Bénédicte le Chatelier - LCI, Zita Lotis Faure - 6ter. 4 09. 10. 11. 12. 09. 10. 11. 12. Yasmine Oughlis - NT1, Laurence Ferrari - D8, Aida Touihri - France 2, Audrey Chauveau - France Ô, Tiga - France Ô. Anicet Mbida - 6ter, Franck Sémonin - France 3, Eric Jean Jean - RTL, Sandra Lou - TMC, Julien Arnaud - LCI. Sébastien Folin - France 3, Amaelle Guiton - Le Mouv’, Marc Voinchet - Fr Culture, Anne Roumanoff - Europe 1, Alessandra Sublet - France 5. Anne Claire Coudray - TF1, Julian Bugier - France 2, Bruno Guillon - France 4, Caroline Roux - France 5. 13. 13. Sidonie Bonnec - W9, Inter, Rebecca Manzoni - Fr Fr Info, Bernard Thomasson 1. NT er zoy Ma Émilie 17. 15. 14. 15. Karine Ferri - TMC, Pascal Bataille - TMC. 14. nce 2, Laurent Ruquier - Fra 1, Franck Ferrand - Europe 5. nce Fra s gue Hu s Thoma 18. 19. 16. 16. Guy Lagache - D8, Émilie Aubry - ARTE, , Rebecca Fitoussi - LCI - LCI. au rte Ma iste apt Jean-B 20. 17. 18. 19. 20. Cyril Hanouna - D8, Romain Hussenot - LCI, Thierry Beccaro - France 2, Florian Gazan - France 4. Virginie Guilhaume - France 2, Marc Olivier Fogiel - RTL, Wendy Bouchard - M6. Marie-Ange Casalta - W9, Helena Morna - Europe 1, Nikos Aliagas - TF1, Marina Carrère d’Encausse France 5, Michel Cymes - France 5, Justine Fraioli - France 4. 5 NE CRIONS PAS e vit P O R T RE I O T C VI i avec l’épidémie, nous n’en avons pas fin r ca e, vit p tro re toi vic Ne crions pas le temps des malades. la recherche n’est pas de ps tem Le e. air ntr herche, bien au co bles en matière de rec ra idé ns co es cé an av s en dizaines Si nous avons connu de perspectives s’évaluent les , ès cc su ds an gr couronnées par de lades. L’exemple rement long pour les ma liè cu rti pa te res lai dé d’années. Ce prometteuses sont vaccin, où des avancées le r su e rch he rec la t ponibilité majeur es ois envisager une dis tef tou s ion iss pu us no obtenues, sans que nées. avant de très longues an grands progrès, nous avons obtenu de si r ca e vit p tro re toi Ne crions pas vic liorer le quotidien tiques, permettant d’amé eu rap thé et fs nti ve pré en termes mission, voire, dans le s, de diminuer la trans ive sit po ro sé es nn rso raître avec des pe nfant, de la faire dispa l’e à re mè la de ion cas de la transmiss : la moitié des parlent d’eux-mêmes es iffr ch les , ple sim s un protocole trè ne connaît pas leur ositives dans le monde rop sé es nn rso pe de ne 34 millions être sous traitement rsonnes qui devraient pe de ns llio mi 7 qu et statut pour blo er sont fondamentaux : nts me élé s ce t tan le sont pas. Pour itement. Mais tout le monde sous tra e ttr me oir uv po t fau l’épidémie, il nnes séropositives, tes à l’égard des perso for nt ste re ns tio ina les discrim i constitue un obstacle lations exclues, ce qu pu po les nt me re liè s régions, particu contraire, dans certaine Au ie. ém pid l’é de ôle majeur à un contr t, elle explose. tale ou l’Asie du Sud-Es comme l’Europe orien jectifs politiques, ainsi que certains ob e ch er ch re la de es e Les avancé , ont laissé penser qu ir l’initiative et l’espoir en int ma de n afi s es né détermi encore pour de longu ntraire, nous en avons co Au i. fin s ion av en nous e afin de ne dra pas baisser la gard fau ne il s lle ue sq de s années au cour s diminuer l’effort. de prévention, de ne pa ts en tem or mp co les pas infléchir la lutte contre le sida pas perdre ses acquis, ne ur Po . né mi ter s pa a besoin Ce n’est ressources humaines, de in so be a s, nt me a besoin de finance us avons encore crions pas victoire, no Ne t. en em ag ng d’e d’initiatives et us. et toujours besoin de vo ur François Dupré Directe 6 général de Sidaction COMMENT ? N O D UN RE I A F la ligne du don ateurs Par téléphone au 110, partir de tous les opér à nt me ite atu gr e ibl Ce numéro est access 110 est ouvert promesses de don, le les ir vo ce re à né sti téléphoniques. De 2013. du 11 mars au 18 avril action.org e. En ligne sur www.sid pide et plus économiqu t sécurisé) est plus ra en iem (pa ne lig en n Le do Par SMS au 33 000 omesse validée uel d’envoi d’un SMS, pr bit ha ût (co ” ON “D t mo En envoyant le er ril au 12 avril 2013. en deux SMS) du 1 av Par courrier tin, 75010 Paris. du Faubourg Saint-Mar e ru 8, 22 : n tio ac Sid À anisées partout en imations régionales org an 0 30 s de ne l’u à t En participan ous sur sidaction.org s de chez vous, rendez-v prè e un er uv tro en ur France. Po e en ligne. aire sur notre boutiqu lid so t ha ac un nt sa En fai ammes e son soutien aux progr ivr su ur po de n tio ac Sid à Votre don va permettre vention. ide aux malades et de pré d’a , ins so de e, rch he de rec micile Quelques exemples : néficier des visites à do bé de e lad ma un à ez 30 € : vous permett mois. infirmière pendant un hebdomadaires d’une lait maternisé ropositive en Afrique du sé re mè e un à z re off 40 € : vous us à son bébé. r de transmettre le vir ite év lui ur po is mo 2 x risques durant 0 jeunes ou adultes au 10 er lis ibi ns se de ez 50 € : vous permett a. de transmission du sid moyens de faire ercheur doctorant les ch ne jeu un à z re off 80 € : vous rnée. oir durant toute une jou sp d’e te pis e un er ss progre Un avantage fiscal - Pour les particuliers : 66 % du montant du don versé en 2012 est déductible des impôts, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Pour un don de 50 €, la dépense réelle est de 17 €. - Pour les entreprises : les dons effectués par les entreprises ouvrent droit à une réduction de leur impôt sur les sociétés ou de leur impôt sur les revenus, égale à 60 % du don dans la limite de 0,5 % du chiffre d’affaires. 7 UE Q E C T ES ’ U Q SIDACTION ? nisation action a fondé son orga Sid ion iat oc ss l’a , 94 Dès sa création en 19 sociatif. Ainsi, cherche et le milieu as re la ir un ré : el nti se sur un principe es de Pierre Bergé ociation réunit, autour ss l’a de on ati str ini le conseil d’adm s chercheurs, des , sa vice-présidente, de ud na Re e Lin de et nt son préside ns. entants des associatio médecins et des représ e à l’évolution maines pour faire fac do les s tou ns da nt Sidaction intervie e aux nouvelles s efficacement possibl plu le re nd po ré et e de l’épidémie indépendance politiqu ent des malades. Son em gn pa om cc l’a nt de va urgences d’orientations. Conser une liberté de ton et re nfè co lui re ciè ga an ssi gné, et fin de fonds, Sidaction a au cte lle co de r teu ra pé son rôle majeur d’o r et de mettre en lui permet d’identifie i qu se rti pe ex e un sur le terrain, e le sida. bliées de la lutte contr ou es qu ati lém ob pr s llectés lumière de 50 % des fonds nets co re ac ns co e ell s, tut sta la vie des Conformément à ses ration de la qualité de lio mé d’a et e ch er ch aux travaux de re s d’information, da ; et 50 % aux activité /si VIH le r pa s ée ch personnes tou le VIH, en France et x personnes vivant avec au e aid ntr d’e et n tio ntre le de préven association de lutte co ule se la , ce an Fr en t, es à l’étranger. Sidaction erche. sida à financer la rech u stion rigoureuse. transUne association à la ge privés. Pour garantir sa ds fon s de r pa % 95 à nt claires Sidaction est financée règles de fonctionneme de tée do st s’e ion parence, l’associat nne utilisation uses garantes de la bo re ou rig es ur éd oc pr et efficaces, de des fonds. u . Les chiffres clés 2012 18 % Frais de collecte lions d’euros Budget 2012 : 20,3 mil millions d’euros Missions sociales : 15 millions d’euros ues et médicaux : 4,6 Programmes scientifiq d’euros s France : 4,7 millions Programmes associatif s aux : 5,6 millions d’euro Programmes internation millions d’euros Frais de collecte : 3,7 Frais de gestion : 1,7 million d’euros 8 9 % Frais de gestion Répartition du budget 2012 73 % Missions sociales TÉMOIGNAGES en 1993, je vis avec déclarée en stade sida , 87 19 is pu de VIH le mois. Vivant avec mourir en quelques ais ns pe Je i. ’hu rd jou un handicap visuel au des progrès che médicale a réalisé er ch re la ie, ém pid l’é Depuis le début de s veines, mais ents coulent dans me am dic mé les et vie La considérables. ns des séropositifs. rception qu’ont les ge pe la ns da gé an ch sexualité rien n’a notre intime, de notre de rle pa us no i qu ur Le sida est un marque tour de jugereste un tabou bâti au ie lad ma tte Ce s. ce et de nos différen ofessionnelles. inations sociales et pr im cr dis de x, ieu lig re , ments moraux questions ; quand ? se des sempiternelles las t en ém ér sp se dé pathoJe reste estions pour une autre qu s ce s ou z-v se Po ? Avec qui ? Comment Je dis quoi à selon mes réponses ? e tim vic ou le ab up co logie ? Serais-je ficience visuelle maladie est due ma dé e ell qu e “d t en nd ma s ceux qui me de le qui ne m’a même pa face au médecin de vil ir ag ré je isdo t r, en ?” Comm ceux qui, jour après jou ation ! Je pense à tous ult ns co ma de s lor é rs élèves, touch yeurs, leurs clients, leu plo em rs leu s, ille fam le cache à leurs trouvez-vous pas es quasi-normales, ne dit s vie s de ur Po . leurs patients témoigne ? Patricia paradoxal que si peu en J’étais un cadre de banque de haut niveau, le VIH ne m’empêchait pas de poursuivre une brillante carrière, grâce aux traitements que j’enchaînais. J’en ai changé souvent, car quand un traitement ne faisait plus d’effet, il fallait passer à un autre, si tant est qu’il y en avait un autre… Ainsi je suis passé de l’AZT aux trithérapies, puis j’ai pris encore d’autres médicaments, pour lutter contre les effets secondaires, douloureux, fatigants, abrutissants… Mon échec thérapeutique le plus grave s’est produit plus de 16 ans après la prise de mon premier médicament contre le VIH. Puis les équipes médicales m’ont présenté un traitement très contraignant comme “celui de la dernière chance”, parce qu’il n’y en avait plus d’autre, le Fuzéon®. Je n’espérais plus grand-chose. Mais cela m’a sauvé et depuis mes résultats ne cessent de s’améliorer ! Aujourd’hui, je vais très bien. Mieux même que jamais depuis 1985. Mais je ne perds pas de vue d’avoir changé de traitement à peu près tous les 3 ans pendant une longue période et maintenant, qu’il il y a des médicaments qu’on ne peut plus me donner. Qu’il faut trouver autre chose. C’est pourquoi je suis persuadé que la recherche doit toujours progresser, encore et encore. Car le risque d’échec thérapeutique existe toujours. Manuel 9 3 1 0 2 n ctio a Sid miologiques données épidé u (2) Dans le monde e 34 millions ec le VIH, de personnes vivent av nt dont 17 millions ignore e. leur statut sérologiqu 1,7 million de morts par an. lions 2,5 mil infections. de nouvelles 330 000 ensitfifas nautVsIH. sont nés séropo 14 milnéliceossnitents de personnes un traitement, nt. 8 millions en bénéficie (1) Sources : Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l’InVS du 20 novembre 2012. (2) Sources : ONUSIDA 20 novembre 2012. 10 u (1) En France e nnes s perso 30 % dleeVIH sont également 150on0n0es0 touchées par sieurs hépatites atteintes par une ou plu te C, parfois (le plus souvent l’hépati l’hépatite B). persuses du VIH en France. sont porte 5 à 6 % opositpeifutisque des sétiorn d’é chec théra 6 100 de séropositivité. découvertes sont en situa ison (plus aucune combina nctionne). de médicaments ne fo es ersonn 50 000usp ir es du virus sans le savo seraient porte ou sans suivi médical. Les rapports uels hétéro60s%edex s découvertes 800 représentent de séropositivité. nouveaux cas de sida 18 % 12 % es concernent des homm s de 50 ans. et des femmes de plu tes des nouvelles découver ertes des nouvelles découv de 25 ans. concernent les moins 4 régions sont uchées : les plusupto e, Ile-de-France Guyane, Guadelo te d’Azur. et Provence-Alpes-Cô 11 PROGRAMMES SCIENTIFIQUES u che ? en matière de recher Quels sont les enjeux l’épidémie ssé depuis le début de gre pro nt me ble ra idé ns Si la recherche a co nts, de vivre i ont accès aux traiteme qu ux ce ur po is, rm pe et a notamment constat demeure : maladie chronique, un e un ec av e mm co avec le VIH érison n’est possible, du VIH/sida, aucune gu rs jou tou t ur me on , en 2013 rapeutique. ccin, ni préventif, ni thé va de s pa te xis n’e il et ficile, erche sur le VIH est dif ch re la r ca e, vit p tro Ne crions pas victoire nnaissances es, et nécessite des co lex mp co s me nis ca mé confrontée à des tamment surgi des années à venir a no rs jeu ma x jeu en les i pointues. Parm débuts de l’épidémie, ion de chercheurs des rat né gé la de ge ita ér à relever celui de l’h n de chercheurs aptes tio ra né gé e ell uv no e qui vieillit. Former un ensable. e pose le VIH est indisp les nombreux défis qu aujourd’hui ipaux axes mobilisent inc pr ux de e, qu tifi ien D’un point de vue sc et obtenir un nouvelles infections, les r ite év : rs eu ch er l’énergie des ch itements chez les intes de prises de tra ra nt co ns sa , us vir contrôle du anisme. adiquer le virus de l’org ér ire vo s, tée ec inf es personn ts sexuels dans les s sur les comportemen de étu s de s, ca ier em mDans le pr tre menées afin de co nécessitent encore d’ê es né er nc co s ion va lat éser tif, popu jours insuffisante du pr tou n tio sa tili l’u à r, die prendre, et de remé avec les hommes. des relations sexuelles nt aya es mm ho les ez notamment ch ention font l’objet de és comme outil de prév lis uti V) (AR ux ira ov étr it leur Les antir es infectées quelque so nn rso pe les nt ita tra nombreuses études. En nte couverture étendu et une importa e tag pis dé un ec av r niveau de CD4, ca ude HPTN052) de e réduction de 95 % (ét un et rm pe de tho mé en ARV, cette tage étendue et une ssite une offre de dépis ce né e ell is Ma . ion ss la transmi ie cachée. estimation de l’épidém nsmission de 40 à 75 % é une réduction de la tra ntr mo i ss au t on s de . D’autres Les étu n infectées et exposées no es nn rso pe x au V en donnant des AR à venir. études sont en cours et préventif. laboration d’un vaccin l’é ur po it su ur po se e Enfin, la recherch 12 plique notamment us, voire l’éradiquer, im vir le r ôle ntr co s, ca nd Dans le seco et régler des problèfavoriser l’observance ur po , nts me ite tra les uvrir tous d’alléger que également de déco pli im la Ce . me ter g mes de tolérance à lon us, de parfaire fier le réservoir du vir nti de d’i , jeu en res lai les facteurs cellu er pour contrôler nitaire puis de l’éduqu mu im me stè sy du e nc la connaissa r les patients en “élite enteuse et transforme am dic mé ise pr ns sa n peutique. l’infectio point d’un vaccin théra au se mi la à e âc gr nt controller”, notamme u Que fait Sidaction ? t total de 4,6 erche pour un montan ch re la u en ut so a n En 2012, Sidactio sont en recherche ts. 73 % de ces projets oje pr 0 15 it so , os ur millions d’e ts pour plus de 800 000 uipes regroupe 65 proje éq x au ide L’a le. nta pour un fondame ficier de financements né bé à 85 nt so rs eu ch euros, les jeunes cher r thèse grâce ctorants ont soutenu leu do 12 et , os ur d’e ns total de 2,4 millio n. au soutien de Sidactio primordiale pour rs est une mission eu ch er ch s ne jeu x Le soutien au cheurs ne doit pas, ière génération de cher em pr la de rt pa dé Le nsverSidaction. sa caractéristique, la tra er difi mo en ni e ch er avancées. en effet, ralentir la rech permis de nombreuses a i qu rs, teu ac et es salité entre disciplin nes chercheurs. être transmise aux jeu it do x jeu en s de le La vision globa e “l’université des n organise chaque anné tio ac Sid , nts me ce an rder tous Outre les fin tion permettant d’abo ma for de ine ma se e campagne jeunes chercheurs”, un l’épidémie à VIH. Une de x au dic mé et es qu les aspects scientifi nt la possibilité nes chercheurs et offra jeu s ue elq qu t tan en és sur Internet, pr action. ment lancée lors du Sid ale ég ra se x, eu ec av d’interagir le cadre de l’appel t ses financements dans ien int ma n tio ac Sid t, Parallèlemen 12, 28 projets ont été alité des soins”. En 20 qu , vie de é lit ua “q à projets euros. nt de plus de 400 000 soutenus pour un monta Nadine Laguette. Pourquoi ne faut-il pas crier victoire trop vite ? Nadine Laguette explique que les chercheurs ressentent “de la frustration pendant de longues périodes où les résultats peinent à être au rendez-vous.” A l’origine d’un travail de recherche fondamentale dont les résultats se révèlent importants pour la compréhension du fonctionnement du VIH, elle explique que la médiatisation est “une bonne chose car permet au grand public de mieux comprendre l’intérêt de la recherche, mais que cela ne doit pas affecter ses travaux actuels et futurs.” Comment Sidaction aide Nadine Laguette au quotidien ? Grâce à un financement de Sidaction, Nadine Laguette a pu effectuer son post-doctorat dans le laboratoire de Monsef Benkirane (Institut de génétique humaine, Montpellier), dans la continuité de sa thèse et jusqu’à l’obtention de son poste de chargée de recherche Inserm. Sans le soutien de Sidaction, de nombreux jeunes chercheurs n’auraient ainsi pas les moyens de poursuivre leur parcours universitaire. Elle s’est également vu décerner le prix jeune chercheur Sidaction 2012. 13 S F I T A I C O ASS PROGRAMMES EN FRANCE u Les enjeux. t leur séropositivité. personnes ont découver 00 6 1 on vir en , 11 20 en En France, par million d’habitants ts taux de découverte for s plu les ec av ns gio pole, 40 % Les ré de-France. En métro el’Il et e up elo ad Gu sont la Guyane, la es ayant des ostiqués chez des homm gn dia nt so té ivi sit po des cas de séro ns les DOM. Ce es (HSH), contre 16 % da mm ho s de ec av es ell xu édentes. relations se pport aux années préc ra r pa ble sta ste re nombre de découvertes t des jeunes, cense essentiellemen re on , es oc éc pr s tic Parmi les diagnos gnostics tarort homosexuel. Les dia pp ra un r pa s né mi nta co nés en France, ées, nées en Afrique des personnes plus âg ez ch s sé ali ré t en uv difs sont so hétérosexuel. Ils sont inées par un rapport am nt co et ne ien ar subsah s de sida ont M. Huit cents diagnostic DO les ns da x reu mb également plus no ection à VIH. es qui ignoraient leur inf nn rso pe s de ez ch 11 été posés en 20 s doivent être ces diagnostics tardif r ca e vit p tro re toi Ne crions pas vic Parallèlement, la illeure prise en charge. me e un r ise or fav de n combattus afi t avec le VIH se révèle ent des personnes vivan em ss illi vie du e arg ch tenus ont prise en s nombreux succès ob Le . es né an s ine ha oc pr s questions un enjeu majeur des alement fait émerger de ég t on is ma , vie la er permis de prolong ravant. Les quinquai n’existaient pas aupa qu e, arg ch en ise pr de santé, de poly morbidités liées sont confrontés à des s itif os rop sé s, plu et auxquelles génaires, ement dit “accentué”, ss illi vie un à et e iqu à leur statut sérolog illesse. s à l’isolement de la vie lié es iqu ss cla es lèm s’ajoutent les prob mation pour des salles de consom on ati tis ré nc co la r, Autre enjeu majeu s à sensibiliser reuses années passée mb no s Le s. ue og dr les usagers de aujourd’hui sur des e création débouchent air ss ce né r leu r su s les autorité nc être maintenus. s : les efforts doivent do nte ea ag ur co en es tiv perspec 14 u Que fait Sidaction ? , dont 17 basées associations en France 6 11 de ts oje pr 7 16 t Sidaction soutien és à ces structures, d’euros ont été transfér ns llio mi 4 , 12 20 En M. rcérale, dans les DO % dédiés à la mission ca 7 , es ffr d’o el pp l’a de e DFA (Dépardont 65 % dans le cadr tion gay et 7 % pour les en év pr la à % 8 i, plo 7 % à la mission em rique). tement français d’Amé ciations qui ffres, soutient 29 asso d’o el pp l’a de e dr ca Sidaction dans le es, et contribue d’environ 6 400 personn le ba glo e arg ch en ise assurent la pr qui favorisent le lien médiateurs de santé, de ine gta vin ne d’u au salaire . nnes vivant avec le VIH entre soignants et perso e priorité de Sidaction. nces reste également un éte mp co s de nt me rce profesLe renfo de pratiques entre les es ng ha éc les ise or fav La mission emploi ment les postes. tion soutient financière ac Sid nt do , on rti se sionnels de l’in missions : en 2012, ns le cadre des autres da nt me ale ég e rim xp uhaitant Ce soutien s’e es des associations so nc éte mp co s de nt me ce t mobilisé des sessions de renfor ont ainsi simultanémen ne ya Gu en l ra rcé ca intervenir en milieu nt à Sidaction tion permet égaleme ac Sid n. iso pr et A les missions DF de financement face dans leurs demandes ns tio cia so as les er gn d’accompa baisse. entions sont plutôt en bv su les nt do s ur ille à des ba action poursuit égaleson rôle de “vigile”, Sid de nt cie ns co rs jou s priorités. Depuis tou de mise en lumière de et e nc cie ns co de te pistage pour ment sa mission d’aler st” de promotion du dé Te h las “F ine ma se e Ainsi, en 2012, un r par exemple la e-France pour prouve -d Ile en ée nis ga or les HSH a été communautaires pour ssionnels de soins et ofe pr s de ir un ré de e st sert de pertinenc d succès, ce Flash Te an Gr e. tag pis dé du ce qui sera faciliter la promotion du Dépistage en Fran ine ma Se la de on ati modèle à l’élabor ministère de la Santé. lancée en 2013 par le de discussion ée dans les instances qu pli im rs jou tou t es Enfin, Sidaction e le VIH. publiques de lutte contr es qu liti po s de n tio et d’orienta Katherine Danel, directrice de l’association ADIS, membre du comité associatif France. “Ne crions pas victoire trop vite car il faut toujours se méfier du relâchement qui s’opère dans la prise de risque, notamment en matière d’utilisation du préservatif, et les ARV en prévention sont encore loin. Aujourd’hui, il faut délivrer un message d’espoir mais pas de victoire.” “Au quotidien, Sidaction permet à ADIS de poursuivre certaines de nos activités comme le groupe de parole, de recruter un formateur pour notre mission emploi, de mener des actions de prévention des risques chez les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes. En fait, face à la baisse d’investissement des bailleurs, sans Sidaction, on arrêterait tout.” 15 PROGRAMMES X NAU O I T ERNA T N I u onal. Les enjeux à l’internati le marquer ie mondiale de VIH semb ém pid l’é de ce an iss Si la courbe de cro ne poursuite des quents et attestent d’u élo nt ste re es iffr ch le pas, les veloppement (PED). nt dans les pays en dé me tam no , ns tio ec inf 2011, nouvelles nouvelles infections en de ns llio mi 2,5 et s cè Avec 1,7 million de dé te. En Europe émie reste bien présen pid l’é ts, fan en les ez dont 330 000 ch sont remis en ; en Afrique, les acquis ôle ntr co de rs ho t es e orientale, ell la communauté internt d’une incapacité de me tam no n iso ra en n questio lutte contre aires. Les défis de la ss ce né es mm so les nationale à investir ceux auxquels iblement identiques à ns se nt ste re et ux re le sida sont nomb nées. tés depuis plusieurs an nous sommes confron is deux ans est ts, et leur baisse depu an fis uf ins nt so s nt Les financeme , dont on ne guérit . Car cette pathologie se eu er ng da nt me re inueront particuliè cumulatifs. Ils ne dim ge ar ch en ise pr de pas, implique des coûts itement sera de personnes sous tra re mb no le où nt me qu’à partir du mo fait de l’action nouvelles infections, du les ire du ré ur po vé éle suffisamment ise en charge reste ailleurs, le coût de la pr r Pa . nts me ite tra s de préventive nts de première ligne tions pour les traiteme da an mm co re les : rtout dans élevé isons peu chères, et pa ina mb co les er lis uti s prévoient de ne plu combinaisons de u à peu passer à des pe nt ive do nts tie pa le monde, les ligne très coûteuses. deuxième et troisième étentes en santé sources humaines comp res les D, PE les ns da Par ailleurs, es sont confrontées à ment insuffisantes, ell ue riq mé Nu s. ble fai p nationales restent tro r rapport aux instances pa t en lem iso un it so des entraves, que ce ssion à remplir ques de soin ou une mi liti po et les co oto pr s décisionnaires de de médicaments. faillants ou des ruptures dé es iqu hn tec ux tea avec des pla celle des responsables s, et en premier lieu tou de n tio isa bil mo le temps. Enfin, la sement s’est étiolé avec eu ur lhe ma i qu ble ala politiques, est un pré 16 Jeanne Gapiya, présidente de l’Association Nationale de Soutien aux Séropositifs et malades du Sida (Burundi), administratrice de Sidaction. Pourquoi ne faut-il pas crier victoire trop vite ? Certes il y a la crise, mais il y a surtout un manque d’intérêt de la part des donateurs pour qui le sida n’est plus une priorité. En quoi Sidaction vous aide au quotidien ? Sans Sidaction, l’ANSS ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. Sidaction a permis à l’ANSS de mettre en action ses objectifs en appuyant financièrement et techniquement ses projets, ce qui a permis par la suite de forger sa crédibilité et de trouver d’autres financements. Sidaction est plus qu’un bailleur, c’est un partenaire qui nous accompagne et nous aide à bien utiliser les financements. u Que fait Sidaction ? par 77 structures 7 projets, mis en place 14 nu ute so a n tio ac En 2012, Sid ns d’euros et a égant total de 4,12 millio nta mo un ur po , ys pa structures dans 29 n d’accompagner les afi tils ou s ur sie plu lement mis en place de leurs capacités. dans le renforcement ments et outils (1) Sidaction apporte finance , R DI AN GR e Avec le programm de santé pour les et aux professionnels s ale loc ns tio cia so as pratiques aux ec le VIH, estimés à ge les enfants vivant av ar ch en e dr en pr x eu Grâce à aider à mi rique subsaharienne. Af en % 90 nt do e, nd nt suivis 3,4 millions dans le mo ans et leurs familles so 18 de ins mo de ts fan ce soutien, 5 000 en Sud du Sahara. rtenaires de 10 pays au dans 17 associations pa utient chaque les PED”, Sidaction so ns da n tio ma or “F ts Avec l’appel à proje teurs de parfaire , qui permettent aux ac ns tio ma for de ine gta année une vin arge de qualité. clé pour une prise en ch nt me élé un , es nc éte leurs comp plus exposées au près des populations les au nt me ale ég e ag ng Sidaction s’e détenues, usagères de comme les personnes s, ée lis ina rg ma t en uv de genre. VIH, so minorités sexuelles et les re co en ou xe se du drogue, travailleuses s touchées par s sont de loin les plu ion lat pu po s ce e, tal En Europe orien rus de l’hépatite C). es du VIH et du VHC (vi us rte po t, en uv so et, l’épidémie, à la nouvelle stratégie ns a donc été intégrée tio ec ïnf co les re nt co sont très La lutte sexuelles et de genre és rit no mi les , ue riq de Sidaction. En Af ment de projets création et le développe la nc do t en uti so n tio exposées, Sidac tte population. spécifiquement pour ce en charge médien technique à la prise uti so n so it su ur po n Enfin, Sidactio activité de plaidoyer ffirme sans relâche son réa et e iqu log bio ivi su 170 autres cale et au mpagne en lien avec ca e Un ts. en am dic pour l’accès aux mé et africaines françaises, indiennes res liè ita sp ho et es tiv structures associa 2013. s tout au long de l’année lité tua ac en he ric ra se a été créée et (1) Grandir reçoit le soutien de l’Agence Française de Développement. 17 PARTENAIRES u s. De fidèles partenaire rvices et de leurs mpétences, de leurs se co rs leu de ion sit po n La mise à dis permettent à Sidactio vole de leurs équipes né bé n tio ca pli l’im s, matériel ancier considérable : un gain de temps et fin équipe, Girod CLagence et toute son at, ge ra ur Fo ge ha fic Abri Services, Af es, Media Transport, ine Ricard, Media Affich rra Lo , ux ca De JC t, er Medias, Ins e en Ville. Publimat, Regicom, Vu Musée du Quai Branly, u ses. partis sur Les centres de promes 12 centres d’appel ré 0, 11 du if sit po dis le ux téléphoÉléments clés dans Sidaction leurs platea de ion sit po dis à nt tte toute la France me ses de don : pour saisir les promes el nn rso pe r leu e qu niques ainsi Finance, Free, Oracle, it Agricole Consumer éd Cr , ur Cœ t ou At a AMEX, Ax SFR, Sitel et Webhelp. : les personnes vivant bilisent dans l’ombre mo se i qu ux ce s tou et l’équipe Merci à la lutte contre le sida de rs teu ac les , les vo avec le VIH, les béné t événement l’année pour faire de ce de g lon au t tou vre œu de Sidaction qui un succès. s côtés depuis , qui se mobilisent à no tés ali nn rso pe x au , tes Merci aux artis . nt toujours pour certains es qui nous soutienne personnes ou structur les tes tou à s se cu ex Mille oublier. et que nous aurions pu ment la pté d’afficher gracieuse ce ac t on i qu s irie ma Merci enfin à toutes les campagne Sidaction. 18 COmmenT FaIre un DOn ? Par téléphone au 110, la ligne du don Ce numéro est accessible gratuitement à partir de tous les opérateurs téléphoniques. Destiné à recevoir les promesses de don, le 110 est ouvert du 11 mars au 18 avril 2013. En ligne sur www.sidaction.org Le don en ligne (paiement sécurisé) est plus rapide et plus économique pour Sidaction car pour le donateur ce n’est pas plus économique. Par SMS au 33 000 En envoyant le mot “DON” (coût habituel d’envoi d’un SMS, promesse validée en deux SMS) du 1er avril au 12 avril 2013. Par courrier À Sidaction : 228, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris. En participant à l’une des 300 animations régionales organisées partout en France. Pour en trouver une près de chez vous, rendez-vous sur sidaction.org En faisant un achat solidaire sur notre boutique en ligne. COnTaCTs Presse Francis Gionti # 01 53 26 45 64 # [email protected] Fanny Mantaux # 01 53 26 49 89 # [email protected] 228, rue du Faubourg Saint-Martin # 75010 Paris # 01 53 26 45 55 Création graphique : Virginie Hélaine www.sidaction.org