Sint-Helenamedaille
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Sint-Helenamedaille
Sint-Helenamedaille De Sint-Helenamedaille (Frans: Médaille de Sainte-Hélène) was een in een decreet van 12 augustus 1857 door Napoleon III ingesteldemedaille die aan alle nog levende veteranen die tijdens de Napoleontische oorlogen tussen 1792 en 1815 in Franse dienst hadden gevochten werd toegekend. Deze neef van Napoleon, zoon van diens broer Lodewijk, koning van Holland, en Napoleons stiefdochter Hortense de Beauharnais, deed daarmee een belofte die in het op 15 april 1821 op Sint-Helena opgestelde testament werd gedaan[1] gestand. De keizer was door grootscheepse corruptie en zelfverrijking de rijkste man van Frankrijk geworden en de geallieerden hadden zijn vermogen niet in beslag genomen[2]. Een deel van zijn 200 000 000 frank omvattende nalatenschap werd in het testament voor de medaille bestemd. De onderscheiding dankt aan de kleur van het brons de bijnaam "chocolademedaille". De bronzen medaille is ook opvallend dik. De medaille die met de Franse keizerlijke kroon is verhoogd draagt binnen een lauwerkrans het portret van Napoleon I. De veteranen werden in de Napoleontische legende aangeduid als "grognards", oftewel oude mopperaars. De soldaten mochten min of meer vrij op hun keizer mopperen zolang zij hem volgden. De band tussen Napoleon I en zijn soldaten was zeer sterk. De beeldhouwer Désiré-Albert Barre kreeg de opdracht om de medaille te ontwerpen. De afbeelding op de voorzijde zou een portret van Napoleon I zijn terwijl op de keerzijde de woorden "Campagnes de 1792 à 1815. À ses compagnons de gloire, sa dernière pensée, 5 mai 1821" moesten staan. Op de doos waarin de medaille werd gepresenteerd stond in reliëf een Napoleontische adelaar met daaronder de woorden "Aux compagnons de gloire de Napoléon 1er- Décret du 12 août 1857.».". Er werd ook een genummerd en op naam gesteld diploma uitgereikt. De kanselier van het Legioen van Eer wees op advies van een commissie de 5000 meest verdienstelijke dragers aan. Zij kregen een pensioen van 400 franc per jaar. Van de 405.000 medailles zijn 185.160 medailles aan met name bekende veteranen uitgereikt. De goed bijgehouden archieven met de namen en gegevens van tienduizenden Fransen, Nederlanders, Belgen, Ieren, Duitsers, Polen en Italianen zijn verloren gegaan. In 1870 staken de communards het Hôtel de Salm, paleis van het Legioen van Eer in brand zodat we alleen nog over regionale lijsten beschikken. De jongste bekende drager van de Sint-Helenamedaille was de op 1 maart 1807 in Maastricht geboren Auguste-Joseph Dereume, die op 6 december 1813 door het 20e regiment dragonders werd geadopteerd en als "Fils du régiment" in uniform met deze Franse troepen meetrok. De op 28 mei 1784 in Beek Limburg geboren Henricus Lemmens, maréchal de logis (wachtmeester bij de cavalerie) bij het 20e Regiment Dragonders,heeft op 16 januari 1858 in Maastricht de St-Helena Medaille ontvangen. Ondanks zijn 75-jarige leeftijd heeft hij de medaille in 1858 te paard afgehaald. Andere bekende dragers waren eerste luitenant artillerie Hendrik Willem Nicolaas Schutt, kapitein der rijdende Reintjes van Veerssen en de latere generaals Carel August Gunkel, Petrus Rutgardus Falter en Hendrik Gerard Seelig. Ook vrouwen werden onderscheiden zoals de marketenster Philippine Charlotiaux, veuve Bailly uit Namen die in 1812 met de 22e batterij van de artillerie in Russische gevangenschap geraakte. Ook Marie Somers uit Kruibeke die in de oorlog in Spanje met het 9e regiment huzaren meetrok, Sophie Timmermans en Anne-Thérèse Burniaux werden onderscheiden. In totaal kregen 14.162 Belgen toestemming van Leopold I om deze medaille aan te nemen en te dragen. De laatste overlevende veteraan van de "Grande Armee" was waarschijnlijk FrançoisAnge-Joseph Thiery, geboren in Turnhout op 25 september 1797; officier van gezondheid tijdens de Russische veldtocht en gevangene van de Russen. Hij stierf op 29 maart 1891 in Haelen in België. In Nederland werd de medaille niet gedragen. Men zag de Franse tijd als een periode van bezetting en tirannie. In 1914 waren de laatste dragers al sinds lange tijd dood. Zo kon het lint opnieuw worden gebruikt. Het lint van het Franse Croix de Guerre van 1914 herinnert aan de Sint-Helena Medaille. Het lint van dit Oorlogskruis was het geesteskind van Maurice Barrès. Hij was de kleinzoon van een officier die met Napoleon naar Moskou was getrokken en de kleuren van het lint, groen met vijf smalle rode strepen, herinneren aan de Sint-Helenamedaille van zijn grootvader. Médaille de Sainte-Hélène La médaille de Sainte-Hélène a été créée sous le Second Empire, le 12 août 1857. Elle est considérée comme la première « médaille commémorative » française. Le 15 avril 1821, lors de son exil à Sainte-Hélène, Napoléon dicte un testament comportant trois parties. La troisième est un acte de reconnaissance à l'égard de ceux qui, de 1792 à 1815, avaient combattu « pour la gloire et l'indépendance de la France ». Dans ce but, il lègue la moitié de son patrimoine privé, qu'il estime alors à 200 millions de francs. Louis-Napoléon Bonaparte « voulant honorer par une disposition spéciale les militaires qui ont combattu sous les drapeaux de la France dans les grandes guerres 2 de 1792 à 1815 » , une médaille commémorative fut accordée à tous les survivants. Il appela cette nouvelle décoration « Médaille de Sainte-Hélène »3. La médaille fut créée par décret le 12 août 1857 ; c'est le sculpteur Désiré-Albert Barre qui la dessina et la réalisa. À l'avers se trouve le profil de l'Empereur Napoléon Ier, et au revers ce texte : « Campagnes de 1792 à 1815. À ses compagnons de gloire, sa dernière pensée, Ste Hélène 5 mai 1821 ». Elle était présentée dans une boîte de carton au couvercle recouvert d'un papier blanc glacé portant en relief l'Aigle impérial et l'inscription « Aux compagnons de gloire de Napoléon 1er - Décret du 12 août 1857 ». Cette médaille de bronze est portée à la boutonnière, suspendue à un ruban vert et rouge à raies très étroites. En raison de la patine du bronze, elle est surnommée « la médaille en chocolat4 ». On estime qu’environ 405 000 soldats5 de la Grande Armée de Napoléon (Français, Belges, Polonais, Danois, Irlandais, etc.) en bénéficièrent. Les chiffres sont approximatifs du fait de la disparition des archives dans l'incendie du palais de la Légion d'honneur durant la Commune. Seuls les documents contenus dans chaque dépôt d'archives départementales françaises sont conservés, quand ceux-ci n'ont pas été eux-mêmes détruits, généralement dans les séries M, concernant les distinctions honorifiques, ou R concernant les archives militaires. Des bénévoles transcrivent les informations qui sont mises en ligne dans la base de données. Les données recueillies sont très variables d'un département et d'un individu à un autre : elles peuvent porter sur les campagnes militaires, les blessures, la situation familiale, etc.. Les données sur les médaillés originaires de Belgique, du Luxembourg et du Danemark sont également recueillies. Ce projet bénévole, débuté en 1999, est toujours en cours. Ainsi en août 2013, le dépouillement est terminé dans environ la moitié des départements français, il est terminé pour la Belgique, le Luxembourg ; il est en cours pour le Danemark et une trentaine de départements français. La base de données comporte 207 385 médaillés6. La médaille n'a pas été décernée à titre posthume et son attribution reposait sur des critères stricts, tout en concernant de nombreuses personnes. On devait avoir servi aux armées de terre ou de mer françaises entre 1792 et 1815, sans aucune durée de service requise, ni aucune participation à une campagne. Il fallait obligatoirement pouvoir justifier de son service durant cette période à l’aide de tout document émanant des autorités militaires. Si l’ancien militaire possédait encore son livret militaire, son congé définitif ou de réforme, son mémoire de proposition à la retraite, il y avait droit. Ceux qui avaient perdu tous ces documents ne pouvaient pas y prétendre. La première distribution eut lieu le 15 août 1857. Ce jour-là, à treize heures, l'Empereur Napoléon III remit lui-même la Médaille à Jérôme Bonaparte alors âgé de 75 ans. Les maréchauxVaillant (Ministre de la Guerre), Magnan, Pelissier, Baraguey d'Hilliers, l'amiral Hamelin (Ministre de la Marine) sont parmi les tout premiers médaillés. Ornano, Gouverneur des Invalides, ainsi que bon nombre de généraux de division et de brigade, d'amiraux, de vice-amiraux et de contre-amiraux la reçurent aussi. Le capitaine Jean Plumancy fut également l'un d'entre eux. Les quatre Grands Chanceliers de la Légion d'honneur en exercice pendant la période d'attribution de la médaille de Sainte-Hélène furent : • 24 mars 1853 : Général Anne Charles Lebrun, duc de Plaisance • 20 juillet 1859 : Maréchal Aimable Pelissier, duc de Malakoff • 21 novembre 1860 : Amiral Ferdinand Hamelin • 27 janvier 1864 : Général Charles de Flahaut La Commission chargée de la répartition des legs décida de choisir parmi eux 5 000 des plus méritants, qui recevraient chacun 400 francs en plus de la médaille. Parmi ceux-ci, cent quarante-quatre Belges purent se dire héritiers de l'Empereur. Les autres ne reçurent que la médaille et le diplôme l’accompagnant. La médaille de Sainte-Hélène et la Belgique 175 000 Belges servirent dans les armées de la République et de l'Empire. Saint Helena Medal The Saint Helena Medal (French: Médaille de Sainte-Hélène) was the first French campaign medal. It was established in 1857 by a decree of emperor Napoleon III to recognize participation in the campaigns led by emperor Napoleon I. Emperor Napoleon I, creator of the Legion of honour and various other orders, never instituted commemorative campaign medals for his brave soldiers. In time, many veterans of these campaigns, sometimes called the "débris de la Grande Armée" (English: "remnants of the Great Army"), began meeting within various new veterans' associations, keeping alive their war memories and the myth of Napoleon in popular culture, they issued many unofficial commemorative and associative medals. The need to adequately and officially recognize the service of these combat veterans was real, but it would be forty two years after the last battles and exile of the emperor to the island of Saint Helena before an imperial decree of emperor Napoleon III would create, on 12 August 1857, the Saint Helena Medal. The Saint Helena Medal was awarded to all French and foreign soldiers, from the land armies or naval fleets, who served the Republic or the Empire between the years 1792 and 1815. The medal was awarded with no condition of minimum time of service or participation in a particular military campaign, it was however necessary to prove ones right to the medal with a record of service or leave record. A later decree of 16 April 1864 added the Saint Helena Medal to the list of awards that could be revoked following a condemnation to a fixed prison term of one year or more for a crime committed by the recipient. It was accompanied by an award certificate from the Grand Chancery of the Legion of honour and came in a white cardboard box with intricate ornamentation on the cover in the form of an embossed imperial eagle over the inscription on seven lines "AUX COMPAGNONS DE GLOIRE DE NAPOLÉON I DÉCRET IMPÉRIAL DU 12 AOÛT 1857" (English: "TO NAPOLEON I COMPANIONS IN GLORY IMPERIAL DECREE OF 12 AUGUST 1857"). The Saint Helena Medal was of irregular shape and struck from bronze. It was a 2 cm in diameter circular medallion surrounded by a 50mm wide laurel wreath tied with a bow at the bottom. Atop the medal, a 2 cm wide Imperial Crown. The obverse of the medallion bore the relief image of the right profile of Emperor Napoleon I surrounded by the relief inscription "NAPOLEON I EMPEREUR" (English: "NAPOLEON I EMPEROR"). A ring or small orbs separated the central medallion from the wreath. Just below the image of the emperor, a small anchor, the privy mark of the award's designer, Désiré-Albert Barre. The reverse is identical except for the medallion which bore the relief circular inscription within a narrow 20mm band "CAMPAGNES DE 1792 A 1815" (English: "CAMPAIGNS OF 1792 TO 1815"). In the center, the relief inscription on nine lines "A" "SES" "COMPAGNONS" "DE GLOIRE" "SA DERNIÈRE" "PENSÉE" "STE HÉLÈNE" "5 MAI" "1821" (English: "TO HIS COMPANIONS IN GLORY HIS LAST THOUGHT ST HELENA 5 MAY 1821"). The medal hung from a 38mm wide green silk moiré ribbon bearing five 1,8mm wide red vertical stripes spaced 4,5mm apart and 1mm red edge stripes.[3] The ribbon passed through a suspension ring itself passing through a lateral hole in the imperial crown's orb atop the medal. nom: GHEKIERE prenom: Modeste pays: Belgique divers: Moniteur 31/12/1858 nom: GHEKIERE prenom: Pierre pays: Belgique divers: Moniteur : 27/04/1858 nom: DELMOTTE prenom: Pierre François Xavier annee_de_naissance: 21 juin 1789 lieu_de_naissance: Comines commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France profession: Journalier grade: Grenadier regiment: 21e Régiment de Ligne periode: 1812 à 1813 campagnes: 1813 divers: source perso : ymoerman / Fils de Dominique et de DELAHOUTRE Rosalie Josèphe. Le 21 octobre 1828 à Comines il épousait GHESQUIèRE Marie Angélique, lingère, née le 5 mai 1793 à Comines et y décèdée le 3 avril 1846. Il reçoit sa médaille de Sainte-Hélène à Comines . nom: GHESQUIERE prenom: Jean Baptiste Joseph annee_de_naissance: 1791 lieu_de_naissance: Bas Warnêtre commune_de_residence: Comines arrondissement: Lille departement: Nord code: F59 pays: France profession: ouvrier divers: décédé à Comines le 20 novembre 1862, fils de Jean Baptiste Joseph Ghesquière et de Catherine Sophie Dillye, veuf de Louison Joseph Pottier nom: GHESQUIèRE prenom: Jean-Baptiste Joseph annee_de_naissance: 29 août 1791 lieu_de_naissance: Warneton-Bas commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France grade: Fusilier regiment: 14e Régiment de Ligne periode: Du 23 août 1811 au 17 juillet 1814. campagnes: Campagne de 1813 divers: source perso : ymoerman / Fils de Jean-Bap^tiste Joseph et de DILLYE Catherine Sophie. Le 14 février 1820 il épouse à Comines POTTIER Louison Josèphe, née le 26 octobre 1798 à Comines et y décèdée le 24 novembre 1857. ll a reçu la médaille de Sainte-Hélène à Lille. Décédé à Comines le 20 novembre 1862. nom: GHESQUIèRE prenom: Pierre Joseph annee_de_naissance: 20 avril 1789 lieu_de_naissance: Comines commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France profession: Cultivateur grade: Soldat regiment: 21e Régiment de Ligne periode: Mars 1813 au 5 juillet 1815 campagnes: 1813, 1814 et 1815 divers: source perso : ymoerman / Fils de Pierre Joseph et de CATTEAU Célestine Josèphe. Il est rentr dans ses foyers le 30 novembre 1815 et par décret du 3 juillet 1815, il touchait une retraite militaire de 100 francs par an. Le 7 février 1821 à Comines, il épousait CATRICE Eugénie Josèphe, cultrivatrice, née le 7 juillet 1798 à Comines ezt y décédée le 5 février 1883. Il a reçu la médaille de Sainte-Hélène à Lille. Il décède le 20 juin 1860 à Comines. nom: MARCOTTE prenom: Edouard Auguste Benjamin annee_de_naissance: 6 août 1795 lieu_de_naissance: Comines commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France profession: Sécrétaire de Marie, secrétaire de l'hospice civil grade: Garde regiment: Garde d'honneur, 1er régiment periode: Du 6 mai 1813 à mai 1814 campagnes: Campagne de Saxe en 1813 et France 1814 divers: source perso : ymoerman / Fils de Louis Joseph et d'HOVYN Marie Thérèse Joseph. Le 0 novembre 1818 à Comines il épouse GHESQUIèRE Lucie Josèphe, fabricante, née le 13 août 1781 à Comines et y décédée le 24 novembre 1837 .Il a reçu la médaille de Sainte-Hélène à Lille. Décèdé le 17 novembre 1862 à Comines. nom: GHESQUIERE prenom: Martin Vital pays: Belgique divers: Moniteur : 18/03/1858 nom: DELMOTTE prenom: Pierre François Xavier annee_de_naissance: 21 juin 1789 lieu_de_naissance: Comines commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France profession: Journalier grade: Grenadier regiment: 21e Régiment de Ligne periode: 1812 à 1813 campagnes: 1813 divers: source perso : ymoerman / Fils de Dominique et de DELAHOUTRE Rosalie Josèphe. Le 21 octobre 1828 à Comines il épousait GHESQUIèRE Marie Angélique, lingère, née le 5 mai 1793 à Comines et y décèdée le 3 avril 1846. Il reçoit sa médaille de Sainte-Hélène à Comines. nom: GHESQUIERE prenom: Jean Baptiste Joseph annee_de_naissance: 1791 lieu_de_naissance: Bas Warnêtre commune_de_residence: Comines arrondissement: Lille departement: Nord code: F59 pays: France profession: ouvrier divers: décédé à Comines le 20 novembre 1862, fils de Jean Baptiste Joseph Ghesquière et de Catherine Sophie Dillye, veuf de Louison Joseph Pottier nom: GHESQUIèRE prenom: Jean-Baptiste Joseph annee_de_naissance: 29 août 1791 lieu_de_naissance: Warneton-Bas commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France grade: Fusilier regiment: 14e Régiment de Ligne periode: Du 23 août 1811 au 17 juillet 1814. campagnes: Campagne de 1813 divers: source perso : ymoerman / Fils de Jean-Bap^tiste Joseph et de DILLYE Catherine Sophie. Le 14 février 1820 il épouse à Comines POTTIER Louison Josèphe, née le 26 octobre 1798 à Comines et y décèdée le 24 novembre 1857. ll a reçu la médaille de Sainte-Hélène à Lille. Décédé à Comines le 20 novembre 1862. nom: GHESQUIèRE prenom: Pierre Joseph annee_de_naissance: 20 avril 1789 lieu_de_naissance: Comines commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France profession: Cultivateur grade: Soldat regiment: 21e Régiment de Ligne periode: Mars 1813 au 5 juillet 1815 campagnes: 1813, 1814 et 1815 divers: source perso : ymoerman / Fils de Pierre Joseph et de CATTEAU Célestine Josèphe. Il est rentr dans ses foyers le 30 novembre 1815 et par décret du 3 juillet 1815, il touchait une retraite militaire de 100 francs par an. Le 7 février 1821 à Comines, il épousait CATRICE Eugénie Josèphe, cultrivatrice, née le 7 juillet 1798 à Comines ezt y décédée le 5 février 1883. Il a reçu la médaille de Sainte-Hélène à Lille. Il décède le 20 juin 1860 à Comines. nom: MARCOTTE prenom: Edouard Auguste Benjamin annee_de_naissance: 6 août 1795 lieu_de_naissance: Comines commune_de_residence: Comines departement: Nord code: F59 pays: France profession: Sécrétaire de Marie, secrétaire de l'hospice civil grade: Garde regiment: Garde d'honneur, 1er régiment periode: Du 6 mai 1813 à mai 1814 campagnes: Campagne de Saxe en 1813 et France 1814 divers: source perso : ymoerman / Fils de Louis Joseph et d'HOVYN Marie Thérèse Joseph. Le 0 novembre 1818 à Comines il épouse GHESQUIèRE Lucie Josèphe, fabricante, née le 13 août 1781 à Comines et y décédée le 24 novembre 1837 .Il a reçu la médaille de Sainte-Hélène à Lille. Décèdé le 17 novembre 1862 à Comines. nom: GHESQUIERE prenom: Martin Vital pays: Belgique divers: Moniteur : 18/03/1858 nom: GESQUIERE prenom: Jean Baptiste pays: Belgique divers: Moniteur 31/12/1858 nom: GESQUIERE prenom: Pierre Charles pays: Belgique divers: Moniteur : 27/04/1858 (bronnen: verscheidene sites op het internet)