Sur la vieille route, - Pays Sologne Val Sud
Transcription
Sur la vieille route, - Pays Sologne Val Sud
Bordering on the regions of Val de Loire, Sologne and Berry, Lion-en-Sullias was also the border between the territories of the Carnute and Biturige tribes. The ’Lion’ in the name probably stems from Lugdunum, or ’fortress of the god Lug’. Formerly called Lion-sur-Ronce, Sullias evokes the historic connection between the village and the suzerainty of the Dukes of Sully. The mysteries of the hillock and ’toad’ rock On the side of the road leading from Sully to Gien, the artificial hillock 11 m high and 32 m in diameter has been scientifically dated to the Gallo-Roman era. However, its purpose is less clear and archaeologists hesitate between the theory that it was a place of cult worship or a furnace for heating iron, coal and glass. A caquetoire ’chattering gallery’ that could tell more than a few tales As for the ’toad’ rock (Crapaud in French) that seems to be As well as being one of the region’s most beautiful churches with its serrated watching over the Loire, we can say for sure that it is not the Roman entrance, the gallery of the Saint-Etienne church has witnessed work of man. It is a Neolithic megalith shaped rather like a centuries of joy and sadness after the church services and heard the toad which attracted druids in the past and stands on the whisperings and declarations of the local villagers while serving in its role as ’Domaine de la Ronce’ estate where Voltaire once stayed. the heart of village life. Take the old road of Gallo-Roman history Les mystères de la butte et du crapaud Au bord de la route de Sully à Gien, la butte artificielle de 11 m de haut et 32 m de diamètre est scientifiquement datée de l’époque gallo-romaine. En revanche, son utilité n’est pas déterminée ; les archéologues hésitent entre un lieu de culte et un four de cuisson pour le fer, le charbon et le verre. Quant à la pierre « Crapaud » qui semble surveiller la Loire, elle n’est pas l’œuvre de la main de l’homme. C’est un mégalithe néolithique à la silhouette de batracien qui attira les druides et qui orne le domaine de la Ronce où séjourna Voltaire. Un caquetoire qui pourrait en dire long Il compte parmi les plus beaux de la région, protégeant ici un portail roman au décor en dents-de-scie. À l’abri de cette galerie de l’église Saint-Etienne, se partagent depuis des siècles les moments de joie et de tristesse au sortir de l’office, les chuchotements et les avis publics, faisant du caquetoire un lieu de vie au cœur du village. Aux confins du Val de Loire, de la Sologne et du Berry, Lion-en-Sullias fut aussi la frontière entre les territoires des tribus Carnute et Biturige. Le “Lion” est probablement issu de Lugdunum, “forteresse du dieu Lug”. Autrefois appelé Lion-sur-Ronce, “Sullias” évoque les relations historiques de la commune avec la suzeraineté des ducs de Sully. une histoire gallo-romaine Sur la vieille route, iki éc h e r N. M Lion-en-Sullias