Yahoo! lance en France la recherche suggérée Yahoo! lance en
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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI N° 07/3 07/37 10 Septembre 2007 La pensée de la semaine «La raison du meilleur est toujours la plus forte.» Victor Hugo Yahoo! lance en France la recherche suggérée http://actu.abondance.com/2007/08/yahoo-lance-en-france-la-recherche.html http://www.yahoo.fr/ http://search.yahoo.fr/ Yahoo! lance aujourd'hui en France sa fonctionnalité de "recherche suggérée" sur son moteur de recherche. La France est le premier pays en Europe à inaugurer cette nouvelle fonctionnalité sur Yahoo! Search avant un déploiement plus généralisé alors que la fonctionnalité était en ligne aux Etats-Unis depuis le mois dernier. Désormais, le moteur propose donc des suggestions au fur et à mesure de votre saisie dans la barre de recherche. Pour l'utilisateur, les bénéfices sont doubles : - Réduction du nombre de caractères et de mots qu'il doit saisir ; - Suggestion de combinaisons de mots auxquelles il n'aurait pas nécessairement pensé. A noter que la fonction semble fonctionner sur la page d'accueil du portail (www.yahoo.fr) mais pas sur la page d'accueil du moteur (search.yahoo.fr), assez bizarrement... Les dictionnaires français s'ouvrent au vocabulaire du web 2.0 http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39372532,00.htm?xtor=EPR-101 Podcast, blogueur, pop-up... Les éditions 2008 du Larousse et du Petit Robert intègrent une série de mots utilisés dans les thématiques technologiques. Revue de détails. Rendez-vous traditionnel de la rentrée, les nouvelles éditions des dictionnaires de la langue française sortent en cette fin août. Pour cette cuvée 2008, le thème des technologies et notamment du web 2.0 ont eu une certaine influence sur les comités de rédaction. Ainsi Le Larousse met-il l'accent sur les pratiques des NTIC avec les nouveaux mots « blogueur », « podcast », « podcasting ». Ces deux derniers termes, pour rappel, avaient fait leur rentrée dès 2005 dans les dictionnaires américains. Pour Le Larousse, un podcast se définit comme une « émission de radio ou de télévision qu'un internaute peut télécharger et transférer sur un baladeur numérique ; fichier correspondant ». Ce choix n'est pas un hasard, puisque le grand concurrent, Le Petit Robert, a lui aussi intégré « podcaster ». Le Larousse s'est par ailleurs attelé à donner un sens nouveau à des mots plus anciens, tels que « dalle » (celle des écrans plats) et « dématérialiser ». Ce dernier s'inscrit dans les pratiques actuelles de l'informatique à distance et virtualisée, puisqu'il s'agit d'« effectuer des opérations de traitement, d'échange et de stockage d'informations sans recours au support papier, ces opérations conservant toute leur valeur juridique », selon le dictionnaire. Enfin, il prolonge cette mise à jour nécessaire par quelques expressions dérivées du vocabulaire de gestion, très inspirées des AngloSaxons comme : « performeur » ou encore « pitch », « casting ». Le Robert, lui, a d'abord choisi une voie différente cette année : sur son site web, les nouvelles technologies ne sont pas mises en avant, mais plutôt le vocable « technique » et métier, dans le domaine médical notamment, avec des mots comme « ostéodensitométrie » ou « myélogramme ». L'éditeur, dans un second temps, y a ajouté les nouveaux mots relatifs à informatique : « antipiratage », « infobulle », « monoposte », « multiposte », « pop-up ». Ainsi que ceux ayant trait aux loisirs numériques, avec « joystick » et « vidéoprojecteur ». Assez peu usités dans le langage courant, « hyperappel » et « XML » sont aussi retenus dans l'édition 2008. CRM, EDI et autres ERP seront-ils sur liste des nouveautés 2009 ? Mobile Users and Their Risky Behavior http://www.instantmessagingplanet.com/enterprise/article.php/3697151 IT departments go through all kinds of headaches to lock down their computers, only to have their employees undermine everything with foolish behavior out of the office. That's the conclusion of a new report by antivirus vendor Trend Micro. The more mobile an end user is, the more likely he is to send confidential information via instant messaging or Web mail, the report found. These are points of weakness that even the most locked down of laptops can't block. They also engage in risky online behavior such as visiting social networks or downloading movies. In the U.S., 58 % of respondents with access to the Internet outside the company network admitted to sending confidential information by webmail, such as Google's Gmail or Yahoo Mail. The risky business approach isn't limited to the U.S., either. Trend Micro found similar behavior in Europe and Japan, as well. Respondents from Germany, the U.K. and the U.S. all admitted to downloading files and movies and visiting social networks while on the company network. In Japan, desktop workers were worse; 60 % admitted to downloading executable files, compared with only 49 % of mobile end users. Trend Micro found that mobile users are often more technically savvy and better educated regarding security threats. For example, 61 % of mobile end users in the U.S. are aware of Web threats like phishing, compared to 49 % of desktop computer users. The study "indicates just how important those mediums [IM and webmail] have become for business communication and that simply blocking access to those communication channels is no longer a feasible option for many corporations," said Dmitri Alperovitch, principal research scientist for Secure Computing, in a statement to Internetnews.com. He was a little bothered by the fact that even though mobile users are more aware of Web threats than desktop users, they are still more likely to download executable files while on a company network. "This shows that security education is still lacking in many countries and for as long as that is the case, security technologies will remain the first and last line of defense," he said. Natalie Lambert, senior analyst for client security at Forrester Research, wasn't surprised at the results. "I sat next to a guy on an airplane today who was complaining that his IT department prevents him from going to 'smut' sites. He was upset about it!" On a more serious note, she added: "Unfortunately, we are not seeing enough companies increasing the security protections on their mobile users. There are still many companies that only deploy AV to all machines. I spend much of my time talking to organizations about the multi-layered protections they need on their laptops, not just their network." Second Life introduit un système de vérification d'identité http://www.vnunet.fr/fr/vnunet/news/2007/08/30/second-life-introduit-un-syst Optionnelle, l'authentification des identités s'appuie sur les données de documents officiels d'identification avec l'aide d'un prestataire. Linden Lab, l'éditeur du célèbre univers virtuel 3D Second Life, vient d'annoncer un renforcement de son système de vérification des identités à destinations des utilisateurs (les Résidents dans le jargon de l'éditeur). Cette nouvelle version de gestion des identités vise à augmenter un climat de confiance à des fins commerciales et sociales entre Résidents et propriétaires de domaines virtuels, les entreprises notamment. Pour déployer son système de vérification d'identité (IDV pour Identity Verification), Linden Lab s'est appuyé sur la solution Integrity Services de l'éditeur américain Aristotle. Celui-ci vérifie les identités en recoupant les informations communiquées par l'utilisateur à partir de documents officiels (cartes d'identité, passeport, permis de conduire, numéro de sécurité sociale...) avec les données des fichiers gouvernementaux. Aristotle déclare couvrir les données de 3,2 milliards de citoyens à travers 152 pays. Gigantesque! La validation des identités des résidents reste optionnelle. Elle n'est imposée que pour les zones classées "Restricted" du monde virtuel. Des zones interdites aux mineurs. Une restriction visant à protéger les plus jeunes résidents de Second Life qui devrait ravir Familles de France. En juin 2007, l'association, "qui défend les valeurs familiales", avait poursuivi Linden Lab, en vain, à cause de la facilité d'accès pour les enfants aux environnements à caractères pornographiques. Rappelons que, par défaut, Second Life est réservé aux plus de 18 ans (une version pour les adolescents existe à travers Teen Second Life). Un filtre apparemment peu respecté des mineurs. La vérification des identités est donc l'un des problèmes les plus diffic iles à gérer pour une communauté en ligne à l'échelle de la planète. Mais indispensable selon Robin Linden, alias Robin Harper, le vice-président et directeur marketing de Linden Lab. "Quand la communauté s'agrandit et que l'économie se développe, il est clair que nous avons besoin d'un nouveau système d'identification", écrit le responsable sur le blog de l'éditeur. "Il est bien plus facile de faire confiance à quelqu'un qui met un nom derrière ses mots et ses actions." Au risque de perdre les utilisateurs qui préfèrent rester anonymes, y compris dans les zones "Restricted". En d'autres termes, Second Life cherche à se faire une seconde virginité pour accélérer ses développements. L'univers 3D gère actuellement plus de 9 millions de Résidents. Le mobile, déclaré ‘ennemi public’ dans un village canadien http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/08/30/mobile-d-clar-ennemi-public-un Pour les habitants de New Denver, en Colombie-Britannique, le message est clair : le portable ne passera pas Le téléphone portable, outil moderne par excellence ne serait pas apprécié de tous. La moitié des habitants d’un village de ColombieBritannique, au Canada, font barrage à l’arrivée du 'maudit cellulaire' dans leur contrée. En fait, une partie des habitants s’oppose à l’installation d’une antenne GSM, annonciatrice du lancement d’un service de téléphonie mobile. Les opposants y voient une menace à leur mode de vie qui semble s'être figé au siècle dernier.... "Les gens viennent à New Denver parce qu'on s'y sent comme si on vivait il y a 50 ans, et nous perdrions cela avec les téléphones cellulaires. Nos adolescents commenceraient à les utiliser", s'inquiète Julia Greenlaw, présidente du groupe opposé aux portables. Pour certains, en plus de la relative atteinte à leur mode de vie, le téléphone mobile est susceptible de causer des troubles de santé. Une thèse que réfute la porte-parole de l'opérateur Telus, Shawn Hall. Selon elle, le niveau de radiations issu d’une antenne ne présente aucun danger pour l’organisme. Elle s’appuie sur des recommandations émises par "certains des plus grands experts mondiaux". "Ils ont déterminé un niveau [de radiation] qu’ils jugent sécuritaire (…) qui représente le signal maximum que nous pouvons émettre". Malgré les arguments avancés par l’opérateur, les habitants refusent de s’en laisser conter. Ils ont transmis leurs pétitions aux politiciens locaux et provinciaux. A Pékin, deux cyberpoliciers vont patrouiller sur la Toile http://www.01net.com/editorial/357409/a-pekin-deux-cyberpoliciers-vont-patrouiller-sur-la-toile/ La police chinoise va utiliser deux petits personnages animés qui apparaîtront sur les écrans des internautes pour leur rappeler que leurs activités sur Internet sont surveillées. En Chine, Internet est placé sous surveillance par les autorités, qui ne s'en cachent d'ailleurs pas. A Pékin, la capitale, la police vient de détailler une nouvelle initiative : un couple de cyberpoliciers, dessinés façon mangas japonais, apparaîtra à partir du 1er septembre toutes les demi-heures sur les écrans des internautes pour leur rappeler qu'il vaut mieux rester dans la légalité. Selon le journal China Daily, ils séviront d'abord sur les 13 portails Internet basés dans la capitale chinoise, avant d'étendre leur surveillance sur tous les sites et forums de Pékin. Leur mission sera de rappeler régulièrement que certains sites (pornographie, jeux d'argent, piratage, etc.) sont considérés comme « source de dommages publics et de perturbation de l'ordre social ». Et que le surf des internautes est contrôlé. En cliquant sur ces policiers virtuels, les internautes chinois pourront également arriver sur un formulaire, dans lesquels ils signaleront justement des activités en ligne jugées douteuses. La police de Pékin a indiqué qu'elle répondrait aux alertes en 30 minutes. Les blogs dans le viseur des autorités Cette annonce intervient alors que Yahoo!, MSN et 18 autres plates-formes de blogs ont signé, le 21 août dernier, un pacte d'autodiscipline, concocté par la Société Internet de Chine, visant à protéger les intérêts des autorités chinoises. « Le pacte signé à Pékin prévoit notamment que les fournisseurs de blogs devront surveiller les commentaires (...) et supprimer rapidement les informations illégales et mauvaises », détaille Reporter sans Frontières (RSF). L'association a immédiatement réagi, craignant « une nouvelle vague de censure et de répression, particulièrement avant le Congrès du Parti communiste chinois ». Les entreprises sont également encouragées à identifier les blogueurs : nom, adresse et numéro de téléphone. Sur ce dernier point, Yahoo! et MSN ont publié un communiqué affirmant qu'ils n'avaient pas l'intention de demander la véritable identité de leurs utilisateurs. Google héberge les informations de quatre agences de presse http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/medias/20070901.OBS2881/google_heberge_les_informationsde_quatre_agences_de_pre.html Google, premier groupe mondial de recherche sur Internet, a commencé, vendredi 31 août, à héberger directement sur son propre site des informations (textes et photographies) produites par quatre agences de presse, dont l'Associated Press et l'AFP. Google renvoyait auparavant les internautes aux sites de ces agences de presse par l'intermédiaire de liens Internet. Cette nouvelle façon de procéder concerne plusieurs centaines d'articles et de photos diffusés tous les jours par l'agence américaine AP, l'Agence France-Presse, l'agence nationale britannique Press Association et l'agence canadienne Canadian Press. Elle est susceptible de diminuer le trafic Internet sur les sites de journaux et de chaînes de télévision, où ces contenus sont également publiés, et de réduire leur chiffre d'affaires en conséquence. Fin du conflit entre Google et les agences de presse Google a négocié des accords de publication sous licence de ces contenus au cours des deux dernières années, notamment pour mettre fin à des accusations de violation de la propriété intellectuelle. Ces accords autorisaient déjà le plus célèbre moteur de recherche à diffuser les contenus de ces quatre agences de presse, mais Google n'a effectivement commencé à le faire que ce vendredi. Même si un grand nombre d'utilisateurs de Google pourraient ne même pas remarquer la différence, la décision du moteur de recherche américain de diffuser directement ces contenus d'agences sera suivie de près par les organes de presse, notamment américains, qui craignent une baisse de trafic Internet vers leurs propres sites et donc une baisse de leurs revenus issus du web. A la traîne sur l'actualité Toutefois, si Google domine sans partage le domaine de la recherche sur Internet dans le monde, sa section "actualités" est à la traîne derrière les leaders du secteur que sont Yahoo News (33,8 millions de visiteurs en juillet), MSNBC (24,5 millions), AOL News (23,9 millions) et CNN (22,5 millions), contre seulement 9,6 millions de visiteurs durant la même période sur Google News, selon les chiffres établis par comScore Media Metrix. (AP) Pour IBM, IBM, l'atome a de la mémoire http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-pour-ibm-l-atome-a-de-la-memoire-23821.html Serait-il un jour possible de stocker 30 000 films dans un lecteur pas plus grand qu'un iPod ? A en croire les chercheurs d'IBM oui, si l'on arrive à stocker un bit d'information par atome. Même avec les méthodes les plus fines de stockage, actuellement le moindre bit d'information mobilise près d'un million d'atomes pour son stockage. Grâce à deux découvertes simultanées, les chercheurs d'IBM pensent pouvoir arriver à l'équation idéale : « un atome = un bit d'information ». « L'une des propriétés les plus basiques d'un atome est qu'il se comporte comme un petit aimant », explique Cyrus Hirjbehedin, chercheur au Almaden Research Center d'IBM. « Si vous arrivez à conserver l'orientation magnétique stable dans le temps, vous pouvez l'utiliser pour stocker de l'information. C'est ainsi que fonctionnent les disques durs. Nous essayons de voir comment cette propriété fondamentale fonctionne pour un atome. » Et effectivement, son équipe a pu changer l'orientation magnétique d'un atome de fer, sans toutefois que ce changement reste permanent. Elle travaille actuellement sur d'autres types d'atomes. « Nous avons quelques idées, mais nous ne savons pas lesquelles vont fonctionner, affirme-t-il. Sur le très long terme, nous visons le stockage de données à une échelle vraiment minuscule. » Et c'est ici qu'intervient la deuxième découverte d'IBM, provenant du centre de R&D de Zurich. Les équipes y ont découvert un interrupteur organique basé sur des atomes d'hydrogène et une molécule de naphtalocyanine. Au cœur des processeurs, les interrupteurs canalisent le flot d'électrons en les laissant passer ou en les bloquant. En remplaçant les interrupteurs conçus avec des matériaux semiconducteurs par d'autres beaucoup plus petits, à base de molécules, les ingénieurs de Zurich espèrent développer des processeurs plus petits, sans s'embarrasser des limitations du silicium ou des fils de cuivre. Utilisées conjointement, ces deux découvertes pourraient jeter les bases d'une nouvelle informatique, même si IBM ne sait pas encore quelle forme elle prendra. Open XML rejeté à l'ISO http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-openxml-rejete-a-l-iso-23845.html L'ISO a rejeté la demande de normalisation rapide d'OpenXML. La procédure n'est cependant pas terminée. Sur 69 pays votant, dont 32 votes exprimés, la normalisation ISO d'Office OpenXML n'a recueilli que 17 votes positifs (soit 53,12% des votes exprimés, loin du minimum requis de 66%) mais a reçu 18 votes hostiles (soit 26,08% des votants, soit plus des 25% maximum acceptés). L'ISO a donc rejeté la demande de normalisation rapide d'Office Open XML. La prochaine étape est constituée d'une réunion en février 2008. D'ici là, l'Ecma peut décider d'amender son standard Office Open XML afin de le rendre conforme aux attentes des pays ayant, comme la France, apporté de nombreux commentaires. Interdire les réseaux sociaux en entreprise est une mauvaise idée http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-interdire-les-reseaux-sociaux-en-entreprise-est-une-mauvaise-idee-23825.html Impossible d'y échapper, les réseaux sociaux sont partout, même en entreprise. Les ressources humaines et les directions voient souvent cette prolifération d'un mauvais oeil. Une étude publiée par TUC déculpabilise pourtant les salariés qui s'octroient une petite escapade sur MySpace, Bebo et autres Facebook D'après le Trades Union Congress (TUC), les entreprises qui bannissent totalement les connexions aux réseaux sociaux devraient revoir leur copie. La fédération des syndicats britanniques juge en effet « excessive » l'interdiction complète de ces sites sur le lieu de travail. Vu le battage médiatique grandissant autour de l'utilisation de ces sites, le TUC a donc décidé de publier quelques conseils, destinés à la fois aux employeurs et aux salariés. John Wood, porte-parole du TUC, explique en effet : « dans le passé, les employeurs ont toujours toléré une certaine utilisation du web par leurs salariés, et il n'y a aucune raison que cela change ». L'étude met en exergue la recrudescence du nombre d'entreprises faisant appel à des outils logiciels sophistiqués pour empêcher l'accès aux réseaux sociaux. Un sondage réalisé par Sophos PLC (spécialisé dans la sécurité) auprès de 600 personnes révèle par exemple que 43% d'entre elles observent un blocage complet vers Facebook, alors que 7% constatent que seules les demandes d'accès liées à l'activité de l'entreprise sont acceptées. Parmi les 50% restant, 8% des personnes interrogées estiment que si leur entreprise n'a pas encore procédé à ce type de restriction, c'est par crainte des réactions des salariés. La principale peur des entreprises concerne une baisse de productivité des employés, mais aussi la hantise de voir apparaître des informations confidentielles sur Internet. Mettre en place une politique de « bonne conduite » plutôt que punir « La simple répression d'une pratique qui est de toute manière destinée à s'amplifier n'est pas la bonne solution », indique Brendan Barber, secrétaire général du TUC. « Il est certes inadmissible que les salariés passent des heures sur ce genre de sites, mais quelques minutes passées à surfer peuvent toutefois s'avérer positives pour l'entreprise elle-même », précise encore TUC. A la place de la répression pure et dure, la fédération encourage les entreprises à mettre en place une politique de bonne conduite « clairement définie, mais ouverte » concernant l'utilisation de tels sites. «Cette étape est cruciale, souligne l'étude, car l'appartenance à un réseau social est en passe de devenir la norme ». Le TUC est une fédération regroupant 59 syndicats britanniques, qui représentent six millions et demi de salariés. Apple et Volkswagen discutent d'un projet iCar http://www.vnunet.fr/fr/vnunet/news/2007/08/31/apple-vw-main-main-un-projet Le co-fondateur et PDG d’Apple Steve Jobs a rencontré Martin Winterkorn, le PDG du constructeur automobile allemand Volkswagen AG, pour aborder l’éventualité d’une collaboration. Selon Associated Press, les deux dirigeants ont programmé de nouvelles réunions pour esquisser l’idée d’une voiture intégrant la technologie d’Apple. Les deux firmes ont déjà eu l’occasion d’intégrer des ordinateurs et des lecteurs multimédias dans des voitures. Outre le partenariat avec Apple autour de l’iPod, Volkswagen a manifesté clairement son intention d’intégrer des ordinateurs ultraportables à bord de ses véhicules. Le constructeur a également collaboré avec Google pour créer un système de navigation embarqué basé sur l’application Google Maps. Depuis 2004, Apple a conclu des partenariats avec la plupart des grands constructeurs automobiles afin d’intégrer des connecteurs iPod en option dans des modèles de véhicules de marque BMW, Audi, Ford, Mazda et Ferrari. Bien que les systèmes embarqués constituent un nouveau marché pour Apple, la firme de Steve Jobs a manifestement décidé de s’aventurer en territoire inconnu. Musique : Amazon ouvre sa plateplate-forme sans DRM à la mimi-septembre http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39372605,00.htm?xtor=EPR-100 Annoncé depuis le printemps, le lancement d'une nouvelle plate-forme de musique en ligne par Amazon, sans DRM et avec des grilles de prix variables, interviendra à la mi-septembre. Selon le New York Post, l'e-commerçant a choisi de la lancer d'abord à titre d'essai. Amazon, qui a perdu sa place de troisième plus grand disquaire aux États-Unis au profit d'iTunes Music Store, arrive tardivement sur ce marché avec un parti pris anti-DRM. Il devrait chercher à faire la différence sur les grilles de prix et sur les synergies à établir entre la vente de CD par correspondance et le téléchargement. Le détaillant en ligne bénéficie également d'une très bonne expérience dans les systèmes de recommandation et la vente croisée. La nouvelle boutique en ligne d'Amazon participera dans les prochains mois à l'expérimentation que mènera Universal Music aux ÉtatsUnis, de vente de musique en téléchargement sans protection contre la copie. Le pair à pair, un Internet de substitution ? http://www.atelier.fr/medias-loisirs/10/04092007/NetAlter,developpe,solution,reseau,alternatif,Internet-35115-.html L'éditeur indien NetAlter pousse une alternative à Internet basée sur le P2P, les technologies de calcul partagé et les moteurs de recherche mettant en oeuvre de l'intelligence artificielle. Mettre en place un réseau qui pourrait se substituer à Internet, c'est l'ambitieux objectif du projet que défend NetAlter Software, éditeur basé en Inde. Nommé NetAlter Browser, cette solution en cours de développement aura pour principale caractéristique de se passer de l'incontournable nom de domaine. La simple installation de l'application autorisera en effet les utilisateurs à publier du contenu sans devoir créer d'adresse web, ni même détenir un serveur hôte. L'originalité de ce système "alternatif" devrait par ailleurs résider dans son mode de fonctionnement, inspiré des réseaux de partage P2P. Créer son propre réseau Partage de contenus, connectivité réseau et outils de communication seront en effet au programme de NetAlter Browser. L'interface proposée offrira des fonctions de messagerie, de partage d'informations et de fichiers et permettra également la création de son propre réseau personnel ou professionnel sécurisé. La sécurisation est d'ailleurs l'un des chevaux de bataille de NetAlter. L'éditeur n'hésite pas à annoncer que son application réunira toutes les conditions d'un réseau parfaitement préservé, dénué de virus et autres spams. Et au-delà du simple partage d'information, ce sont les ressources informatiques de tous les acteurs du réseau qui pourront être partagées. Le NetAlter Browser devrait en effet exploiter le principe des grilles informatiques, ces infrastructures virtuelles capables de cumuler les puissances de calcul de systèmes dispersés. Une innovation primée en Asie Ouverte aux développeurs, l'application proposera également une plate-forme collaborative. Le NetAlter Browser sera en outre doté d'une solution dédiée de recherche sémantique. Avec cette dernière, les utilisateurs pourront non seulement accéder à des informations spécifiques au sein du réseau, mais aussi les stocker sur leur ordinateur pour une consultation offline. Destiné aux particuliers comme aux professionnels, le NetAlter Browser sera gratuitement accessible lors de son lancement dont la date n'a pas encore été précisée. Présenté le 29 août lors de l'événement qui réunissait de nombreuses entreprises du continent asiatique, le système de réseau de NetAlter a remporté l'un des prix "Red Herring Asia 100" qui consacre les cent meilleures innovations. Des chercheurs s'impliquent pour simplifier l'électronique automobile http://www.atelier.fr/industrie/10/04092007/Chercheurs,Fraunhofer,remodeler,structure,logiciels,embarqué-35120-.html Véritable casse-tête, les logiciels embarqués qui président au contrôle des fonctions d'une voiture sont légions. Des chercheurs allemands souhaitent remodeler cette partie logicielle pour mieux fiabiliser l'électronique automobile. Structurer toute la partie logicielle d'une automobile, centre névralgique de nos véhicules modernes, est un défi auquel souhaite s'essayer les chercheurs de l'institut Fraunhofer pour les logiciels et l'ingénierie des systèmes (ISST). A l'heure actuelle, on compte la présence d'un logiciel distinct pour chaque fonction contrôlée électroniquement dans une voiture. Au final, un véritable fouillis de composants et d'applications assure le bon fonctionnement des systèmes ABS, d'injection, d'airbags etc. En remodelant cette partie logicielle, les chercheurs allemands souhaitent rendre la voiture de demain plus fiable et plus sûre. Standardiser l'électronique embarquée Partis du constat que, selon leurs estimations, le nombre d'applications logicielles contenues dans nos véhicules allait tripler, ils ont ainsi pris l'initiative de se joindre au projet AUTOSAR (Automotive Open System Architecture). L'objectif affiché est de réduire le plus possible les logiciels embarqués et par la même occasion, d'en faciliter la gestion. "A terme, AUTOSAR devrait apporter aux intégrateurs de logiciels de l'industrie automobile des méthodes dont les développeurs d'autres secteurs bénéficient depuis déjà plusieurs décennies à l'image des librairies de développement standardisées", a indiqué Markus Hardt, ISST. Tester avant application Pour pouvoir être réellement appliqué au développement des voitures à venir, le futur système logiciel conjointement mis au point par les chercheurs et leurs partenaires devra être testé. Dans ce cadre, Markus Hardt et ses collègues développent actuellement une plate-forme virtuelle permettant de simuler le mode opérationnel de l'AUTOSAR, le aXBench. Celle-ci devrait permettre d'évaluer le fonctionnement des unités de contrôle, la transmission des données et éventuellement des éléments au plus près de la réalité tels que les temps de réponse des parties logicielles et hardware. Cette initiative intervient alors que l'Institute for industrial engineering IAO, également membre du réseau Fraunhofer, planche sur ce même type de simulations. Les lames d'IBM marient Opteron, Xeon et Cell http://www.01net.com/editorial/358000/les-lames-d-ibm-marient-opteron-xeon-et-cell/ Le constructeur américain met à jour sa gamme de serveurs ultrafins utilisant le principal processeur de la Playstation 3. A l'arrivée, plus de mémoire et un meilleur taux de transfert. Sur le marché des serveurs lames, IBM se distingue de la concurrence, qui propose essentiellement des modèles standards à base de processeurs pour PC (x86), par des produits fondés sur des processeurs PowerPC et d'autres sur des processeurs Cell (une puce mise au point par IBM, Sony et Toshiba, qui équipe aussi la Playstation 3). Bien décidé à cultiver cette différence, il annonce aujourd'hui une mise à jour importante de ses serveurs à base de puces Cell. Baptisée BladeCenter QS21, sa nouvelle gamme propose des modèles deux fois plus compacts. Malgré cette réduction de taille, chaque lame dispose de plus de mémoire et d'un meilleur taux de transfert des données. Équipés de deux processeurs Cell cadencés à 3,2 GHz et de deux ports Ethernet Gigabit, les QS21 peuvent délivrer jusqu'à 6,4 téraflops dans un châssis BladeCenter H d'IBM (format 9U) et 25,8 téraflops dans un grand châssis standard (format 42U). Assigner les calculs au serveur lame le plus adapté Outre l'augmentation de puissance, la principale innovation vient, selon Big Blue, de la possibilité de faire cohabiter dans un même environnement des serveurs lames à base de puces Cell avec des serveurs lames à base de puces PowerPC ou x86 (Opteron d'AMD ou Xeon d'Intel). Jusqu'à présent, IBM proposait ce mariage uniquement sur ses supercalculateurs. Les entreprises pourront désormais combiner ces différents serveurs lames dans leurs environnements et assigner les calculs au serveur lame le plus adapté en fonction des applications concernées. Les serveurs Cell sont à même de traiter le calcul intensif, le multimédia (vidéo notamment) et la 3D, tandis que les applications standards du type PGI ou GRC se satisferont de serveurs lames x86. La nouvelle gamme QS21, dont le prix n'a pas été communiqué, sera disponible fin octobre partout dans le monde. Le CNRS centralise le calcul distribué http://www.atelier.fr/recherche/10/05092007/Institut,grilles,consolide,travaux,sur,grid-35123-.html L'institut des Grilles fédère sous une bannière commune tous les chercheurs du CNRS impliqués dans les grilles de calcul. Cela concerne aussi bien la recherche expérimentale que les travaux opérationnels. 15 laboratoires, 2 instituts nationaux, 150 chercheurs et ingénieurs spécialistes du calcul distribué. Tous ces moyens techniques et humains seront dorénavant coordonnés depuis une structure, joliment baptisé Institut des Grilles. Pour mémoire, les grilles de calcul ou "grid" sont des systèmes informatiques très efficaces pour des calculs intensifs, constitués d'une multitude de calculateurs en réseaux. L'emblématique Seti@home Ces calculateurs peuvent aussi bien être des ordinateurs personnels effectuant des petits bouts de tâche que des supercalculateurs en mode collaboratif. Le tout est orchestré par un outil d'ordonnancement de tâches, qui lance les calculs et récupère les résultats en passant par un logiciel d'intermédiation (middleware). Les exemples grand public les plus connus sont le Seti (Search for Extraterrestrial Intelligence) et le Decrypthon (réalisé techniquement avec le CNRS). 80% des efforts hexagonaux C'est donc un ordonnanceur d'équipes de recherche dont se dote le CNRS. L'Institut des Grilles n'est pas anecdotique. Selon le Centre National, il regroupera 80% des efforts dans la grille de production (dont EGEE, Enabling Grids for EsciencE) et fédérera également de nombreux travaux dans les grilles de recherche (Grid5000). Outre ce rôle de coordinateur, l'Institut deviendra l'évangéliste de la grille auprès des partenaires européens, et auprès du grand public. Web 2.0 en entreprise : le flop ? http://www.indexel.net/1_20_4908___/Web_2.0_en_entreprise___le_flop__.htm?origin=900 Une majorité d'entreprises européennes retarde ses investissements en technologies Web 2.0. Raison principale de cette frilosité : le manque de perception des avantages métier par les dirigeants. Blogs, wikis, réseaux sociaux, sites internet "communautaires"... les technologies du web 2.0 sont censées favoriser la communication et les échanges d'informations entre les internautes. Mais les premiers succès rencontrés auprès du grand public par l'intermédiaire de sites tels que Cityvox.fr, Seloger.com ou Peuplades.fr peinent à s'étendre au sein des entreprises. Pour preuve, les résultats de l'étude européenne menée en juin dernier par BEA Systems. Plus de 57 % des dirigeants interrogés souhaitent "obtenir des informations plus précises sur les potentialités de création de valeur du web 2.0". En d'autres termes, ils sont loin d'être convaincus ! Leurs réticences sont essentiellement liées à la régulation des contenus (23 % des entreprises interrogées) et à la sécurité (20 %). Point plus positif, l'étude révèle également que les entreprises qui adoptent les technologies du web 2.0 le font dans l'objectif d'améliorer la qualité des échanges avec leurs clients (41 %), de favoriser la collaboration interne (31%) et de créer des interfaces plus ergonomiques pour leurs partenaires ou fournisseurs. Sur un plan plus technique, 38 % des personnes interrogées estiment que les services web constituent le premier vecteur d'adoption du web 2.0 pour relier les systèmes, automatiser les processus métier et réduire les coûts et la complexité des technologies traditionnelles. Ils seraient ainsi un catalyseur du déploiement d'architectures SOA. Enfin, l'enquête perçoit l'émergence d'une tendance nouvelle dans la demande croissante de "portails composites associant de multiples sources dans une interface intégrée". On évitera donc de parler de web 3.0, il y déjà assez de flou comme ça... Microsoft prêt à lancer un “Zune phone” ? http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/09/05/microsoft-pr-t-lancer-un-zune Pour le géant de Redmond, l’idée est loin d’être dénuée de sens Une idée pas forcément "déraisonnable". C’est en ces termes que Redmond par la voix de Mindy Mount, chief financial officer de la division divertissement aurait abordé la question d’un téléphone mobile estampillé Microsoft et développé sur la base du Zune, le baladeur de la firme, selon Reuters. Redmond est loin d’être absent de l’univers des mobiles. Pourtant, il faut croire que la présence de plus en plus massive de sa solution Windows Mobile sur les terminaux ne lui suffit plus. D’où cette réflexion qui émergerait peu à peu : créer son propre terminal orienté professionnel avec son logiciel embarqué. Le succès de l'Phone d'Apple n'est sûrement pas étranger à cette nouvelle réflexion... Autre évènement récent qui va dans le même sens. La rumeur du rachat du canadien RIM, créateur du populaire Blackberry. Les très bons résultats boursiers du Canadien ne le poussent pas du tout à envisager un rachat, même pas par le mastodonte américain. Mais le géant pourrait bien, mettre le paquet pour parvenir à ses fins. Il n’empêche, l’arrivée d’un Zune Phone (ou peut être mPhone ?) aurait du sens. Le contexte s’y prête tout à fait. L'iPhone est un succès. Et du côté de Moutain View, la machine s’est mise en route : Google pourrait bien lancer un Gphone à 100$ en 2008. Des prototypes seraient déjà développés par le taiwanais HTC. Avec toute cette émulation, un autre géant, comme Yahoo! pourrait bien se lancer dans l’aventure des mobiles… Apple lance de nouveaux iPod et un iPhone sans fonctions téléphoniques http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39372694,00.htm?xtor=EPR-101 Le P-DG d’Apple a présenté la mise à jour de sa gamme de baladeurs : un nouveau Nano intégrant la vidéo, des iPod de 160 Go et un iPod Touch, qui est un iPhone démuni de fonctions téléphoniques. L’iPhone va également disposer d’un service de sonneries et d’une baisse de prix de $200. Steve Jobs a dévoilé à San Francisco un nouvel iPod Nano et un service de sonneries pour l'iPhone. Comme nous l'évoquions ce jour, la gamme iPod avait en effet besoin d'un coup de jeune. Le dernier nouveau modèle, l'iPod Shuffle de deuxième génération, a déjà un an. Et Apple doit donner un second souffle à son baladeur dont la croissance de ses ventes s'essouffle. La première solution de Steve Jobs tient dans un nouvel iPod Nano qui intégre la vidéo. Une évolution déjà pratiquée sur l'iPod en octobre 2005. L'arrivée de cette fonction est étonnante compte tenu de la taille réduite de l'écran de l'iPod Nano : 2 pouces avec une résolution de l'image est de 320x240 pixels. Plusieurs jeux seront vendus avec le nouveau baladeur dont un Sudoku. Ce nouveau Nano dispose d'une autonomie renforcée, soit 24 heures en lecture audio et 5 heures en vidéo. L'iPod Nano nouvelle génération sera commercialisé en deux versions : 4 Go ($149) et 8 Go ($199). Ils seront disponibles ce week-end aux États-Unis. L'iPod subit également un lifting. De nouveaux modèles, plus fins et avec une coque en aluminium, vont arriver sur le marché. Ils disposeront d'une autonomie renforcée, de 30 à 40 heures en lecture audio et 5 heures en vidéo. Enfin, la capacité de stockage débutera à 80 Go et grimpera jusqu'à 160 Go. La version 80 Go sera commercialisée à $249 et celle à 160 Go à $349. Apple va également proposer de nouvelles couleurs pour son iPod Shuffle. Steve Jobs a par ailleurs dévoilé une nouvelle version d'iTunes qui intègrera la gestion des sonneries de téléphone. Une fonction qui se destine bien entendu à l'iPhone. La quasi totalité des chansons vendues sur le magasin en ligne, soit près de 4 millions de titres, pourront donc être transformées en sonnerie pour l'iPhone. Il en coûtera 99 cents pour disposer du morceau en format de sonnerie. Un prix qui s'ajoute à celui de la version en format classique AAC. Quant aux titres musicaux déjà achetés sur iTunes Store ils pourront être transformés en sonnerie dans iTunes via un « ringtone builder». La nouvelle version d'iTunes sera disponible cette nuit. La fonction « ringtone builder » sera implémentée la semaine prochaine. Apple va également commercialiser une nouvelle version de son iPhone, plus fin et avec le même écran, mais dépourvu de fonctions téléphoniques. Il ne s'agira donc plus d'un téléphone / baladeur mais uniquement d'un baladeur. D'ailleurs son nom est : iPod Touch. Ce nouvel appareil reprend la même interface graphique de l'iPhone via l'écran tactile. S'il ne permet pas de téléphoner, il est capable de se connecter à un réseau Wi-Fi pour surfer sur le net ou regarder des vidéos sur le service YouTube pour iPhone. Plus précisément il est compatible avec les normes 802.11b et g. Quant à l'autonomie, Apple promet 22 heures en lecture audio et 5 heures en vidéo L'iPod Touch sera disponible en deux version : 8 Go ($299) et 16 Go ($399). Ils seront disponibles outre-Atlantique dès septembre. Steve Jobs a d'ailleurs présenté une version Wi-Fi de son iTunes Store en partenariat avec la chaîne de cafés Starbuck. Les clients pourront télécharger des morceaux directement via le réseau sans fil sans payer l'accès au hot spot. Enfin, Steve Jobs a indiqué que l'iPhone sera « plus abordable ». Apple baisse donc le prix de son téléphone qui passe à $399 dans sa version 8 Go, soit $200 de moins. Nouveau départ pour le CPL à 200 Mbit/s http://www.01net.com/editorial/358025/nouveau-depart-pour-le-cpl-a-200-mbit/s/ Une deuxième génération de puces pour le courant porteur en ligne à haut débit est disponible depuis juillet. Les constructeurs français LEA et CMM préparent de nouveaux équipements. Hier, 14 Mbit/s et 85 Mbit/s. Aujourd'hui, 200 Mbit/s. Les débits du CPL (courant porteur en ligne, pour le transfert de données informatiques par le réseau électrique) ne cessent de croître. La première génération d'adaptateurs pour les applications domestiques a vu le jour, en 2001, avec le standard HomePlug 1.0 à 14 Mbit/s, s'appuyant exclusivement sur le jeu de composants de l'américain Intellon, qui détenait alors la quasi-totalité du marché. Aujourd'hui, ce dernier détient encore le monopole sur la technologie CPL standardisée par le consortium HomePlug. Or Intellon a annoncé, le 10 juillet dernier, l'introduction d'une nouvelle puce, référencée INT6300, pour la mise en oeuvre de la technologie à 200 Mbit/s, dite HomePlug AV1.1. Un premier jeu de circuits permettant un tel débit, l'INT6000, avait été introduit en 2006 et certains constructeurs - comme Devolo, précurseur en la matière -, l'avaient utilisé dans leurs équipements. « La première génération de circuit à 200 Mbit/s chauffait un peu. Nous n'avions pas beaucoup de produits en stock utilisant cette technologie. Avec cette deuxième génération, les ventes devraient s'accélérer », prédit Frédéric Guiot, responsable produit CPL de LEA. Mais qu'on se le dise, le débit affiché de 200 Mbit/s reste théorique, car en pratique on ne doit pas s'attendre à plus de 80 Mbits/s, et encore dans certains cas seulement. Fort de la disponibilité d'une nouvelle puce, les deux constructeurs français que sont Courant MultiMedia et LEA ont développé de nouveaux équipements architecturés autour de l'INT6300 à 200 Mbits/s. Le premier vient en effet d'introduire son nouveau point d'accès CPL, Celektron AV, intégrant la technologie HomePlug AV (audio-vidéo), à 200 Mbit/s. Conformément au standard, 64 dispositifs de ce type peuvent être placés sur le même réseau électrique sur lequel les communications seront chiffrées en AES 128. La paire d'adaptateurs est facturée €99 HT. « Nous n'allons pas nous arrêter là, puisque nous allons bientôt lancer des équipements dédiés aux applications domotiques, de vidéosurveillance et de mesure de consommation d'énergie. Un débit de 200 Mbits/s permet de passer tous les flux sur le même réseau », développe Julien Chaigneau, PDG et fondateur de CMM. De son côté, LEA s'apprête à lancer une toute nouvelle gamme d'équipements dans sa famille NetPlug reposant sur le chipset INT6300. Le NetPlug200+ devrait ainsi succéder au NetPlug2000. Le Netplug200 Socket est un adaptateur CPL qui laisse l'accès libre à la prise électrique pour brancher un autre appareil. Le NetStrip200 n'est autre qu'un adaptateur couplé à une multiprise (cinq prises).