Dossier presse - Tilly Mandelbrot
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Dossier presse - Tilly Mandelbrot
MERCI, LES ENFANTS VONT BIEN ! Une production D.E.M.D pour M6 Série de comédies familiales format 90 mn Contrairement à la moyenne nationale française, Isabelle et Jean-Pierre Blanchet n’ont pas 1, 2 ou 3 enfants mais 7 et bientôt 8 ! Ils échappent aux statistique et aux modes de vie actuels des familles... mono parentales, recomposées, décomposées, atomisées... À l’heure où certains cherchent le grand frisson dans des trekkings himalayens, les Blanchet considèrent eux que la grande aventure de leur vie, ce sont leurs enfants. Et effectivement, chez eux, chaque jour est un poème, un sketch, un drame ou une comédie ! Pas un instant sans une catastrophe, un fou rire, un bobo, un chagrin, un rêve ou une engueulade... Un train-train quotidien qui roule à la vitesse d’un TGV ! Avec une belle dose d’insouciance, de générosité, d’humour et d’appétit pour vivre les aléas classiques d’une vie de famille... mais multipliés par dix. Alors, comme le chantent Les Négresses Vertes : “Famille nombreuse, famille heureuse” ? Réponse au cours des premiers épisodes de “Merci ! Les enfants vont bien !»... ÉPISODE 1 “Ça déménage !” Grâce à un héritage, Isabelle et Jean-Pierre Blanchet réalisent enfin leur rêve de toujours : quitter la banlieue parisienne pour vivre dans une maison en province. Ils débarquent près de Marseille où ils s'installent avec leurs... sept enfants. Tout serait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles si... ge !” a n é m é d “Ça À force d'imprévus, le budget de la famille n'explos ait pas en même temps que la chaudière... Si Jean-Pierre, débordé par son nouveau job, n'avait pas encore moins de temps à consacrer à sa famille qu'un pdg célibataire... Si le s enfants, que le déménagement déstabilise, ne faisaient pas bloc pour faire la grève des corvées... Et sur tout si Is abelle n’attendait pas un huitième enfant ! Un enfant dont personne ne veut : ni Jean-Pierre, ni la fratrie ! ÉPISODE 2 “Restons Zen !” Quelques mois après la naissance de Noé (le 8ème enfant de la famille), rien ne va plus... Tout commence par une séance photo. La famille joue les mannequins pour promouvoir la nouvelle gamme de cosmétiques élaborée par Jean-Pierre. Mais une fois la publicité placardée aux quatre coins de la ville, Isabelle a disparu de l’affiche, remplacée par une bimbo. (Agréable !) En plus,Jean-Pierre n'a guère le temps de se "prendre la tête" avec les états d'âme de sa femme. Il est submergé de boulot… ses crèmes de beauté font un carton grâce à la pub ! (Le comble!) Voilà Isabelle totalement parano: son mari ne la voit plus, ne la désire plus, à croire qu’il ne l’aime plus. Jean-Pierre décide de prendre un congé parental de trois mois pour "retrouver sa femme". Il a juste oublié de la consulter. Isabelle, elle, a accepté une chronique quotidienne à la radio… "pour prendre l'air"… Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils ne sont plus jamais synchrones ! “Restons Z en !” En plus, Christophe, l'animateur radio est charmant et charmeur... Le couple Blanchet prend d’abord sur lui pour protéger la famille de leur zizanie, quitte à improviser... des mensonges dont personne n'est dupe. Et quand le mot “divorce” est prononcé, il est inconcevable. Les enfants vont rivaliser d’imagination pour les aider à se réconcilier. Mais c'est bien connu, l’enfer est pavé de bonnes intentions ! Les enfants Blanchet ont tous un air de famille. Normal, ils pratiquent le système D et l'humour depuis le berceau. Ils s'aiment comme ils respirent. ial a l i m a er frdin denl ! n u e j é d s le ja maiso dannouvelle Pause démé nagement Dans la famille “on s'aime”, il y a : Emma, la N °1 M çCoaêrmesetleolian, psynchsoeillolgèirqeuconjugnaluemetber One. e... bou sou lot ! Etre l’aînée tien , c'est du Isis, la N°2 . l o o C a b a B s Mtitser le doux cocon Quimilial... mais bien faurquoi, elle est povec eux !?! a Erwan, le N °3 CLaomplexé ou po question qu puceau celsaen. 1t8:aCneci exeplsieqsuseœpuers se ? pas si simples, l'âge où o ut-être n drague ! ! Rose, la n°4 ? e r i o p e n n o bsacrifice, pour la u o e t a m o l p i u D ère tendancelae bonheur... des Lérganquillité et t utres. a Héloïse , la n°5 Mal éle N vée ? , j u C’esot n s t Une reuinne Blanech insolen propr e de et, d te es besoinl'adaptaonc elle . s. tion... às’adapte ses ! ! irpeo.u..r se n r u o o s ç r a ieinàde çait, après v g a s n e OUun fbé,beéusqi uili paaevrsa.s.i.tMbeeasopisaqsuêitsrae là ! coamirme aldoaptfailli n f out, i t °6” N a l e t t e l “Vio “Pénélop e la n°7” . bêetsises . s . e ” d e a r i r a é f l r te et le choimagination psoéuparables cer. t s e p Le.u..rsans limiteo. nInpère ce héréodsie”nne. ! i a o l u “ q r s u o e p t din se demandenbsiesnaugrenues ,esetst du genrqeu“émet... très com Ou des réflexio un peu Lolitagarçon man o ais Violette,lope, elle est muant à Péné Q ° n e l , Noé 8 Interview de Pascale Arbillot Isabelle Blanchet Qu'est-ce qui vous a plu dans “Merci, Les enfants vont bien !” ? J’ai dans un premier temps apprécié le ton décalé. Le scénario est une base de départ et j’accorde beaucoup d’importance aux possibilités qu’offre le texte et à la façon dont il va être adapté. Par ailleurs, les orientations que Stéphane Clavier, le réalisateur, a données durant ce tournage, correspondaient parfaitement à l’image que je m’étais faite à la lecture du scénario, d’une comédie familiale drôle et pas caricaturale. Quel genre de mère est Isabelle ? Isabelle est autant une mère de famille qu’une femme aimante. Elle n’a pas sacrifié sa féminité, son désir pour son mari parce qu’elle a des enfants et qu’elle doit consacrer beaucoup de son temps et de son énergie à l’éducation de ces derniers. Isabelle est une femme amoureuse qui aime ses enfants mais qui ne vit pas que pour eux. Elle est vivante. On dit qu’il est souvent difficile de tourner avec des enfants... comment avez-vous géré le fait de jouer avec 8 enfants ? Il y a des tournages compliqués et d’autres qui se passent parfaitement bien. Celui-ci s’est déroulé comme dans un rêve du premier au dernier jour. Dans cette fiction, la plupart des enfants sont relativement âgés et les autres, notamment les deux petites, étaient incroyables de drôlerie. Le résultat doit beaucoup à l’ambiance qui a régné tout au long du tournage ; l’état d’e sprit de chacun de s comédien s corre spondait au ton enjoué, drôle, sympathique et vivant de la famille Blanchet. Depuis la fin du tournage, vous considérez qu’être mère de 8 enfants va rester un rôle de composition ou peut-il devenir un objectif à atteindre ? J’ai envie d’avoir des enfants parce que c’est la vie mais 8, c’est un peu trop pour moi. J’aime faire dans mes films ce que je ne ferais pas dans la vraie vie ! J’étais enceinte durant le tournage et jouer le rôle d’une mère entourée d’autant d’enfants m’a rassurée et m’a étonnamment permis d’apprivoiser ma propre grossesse et de m’éviter des angoisses futures. t o l l i b r A e l a c Pas Interview de Bernard Yerles Jean-Pierre Blanchet Pouvez-vous nous parler de la famille Blanchet ? Les Blanchet sont dans la tradition des grandes familles du sud. Ils vivent en tribu, en autarcie. Leur moteur de vie est le bonheur de la famille. Il y a tous les caractères dans cette famille. Il y a Erwan l’adolescent en crise, les deux petites chipies qui passent leur temps à fomenter des coups bas, la grande fille qui a hérité du côté lunaire de son père... tout cela donne beaucoup d’amour, de complicité et de situations de comédie. Parlez-nous de votre personnage ? Bernard Yerles Jean-Pierre est un grand impulsif, un idéaliste ; il est très amoureux de la vie et de sa femme. Il a très longtemps mis l’accent sur sa vie de famille jusqu’au moment où il peut enfin se consacrer à son autre passion qu’est son métier. Qu'est-ce qui vous a plu dans “Merci, Les enfants vont bien !” ? Le ton de la comédie à l’italienne avec cet univers familial que je connais bien.La production m’a envoyé les scénarios alors que je passais des vacances avec 6 ou 7 enfants autour de moi ! Je me suis dit... que ce rôle n’était pas fait pour moi !!! Heureusement, on me l’a reproposé plus tard alors que j’avais repris le travail, j'ai relu les textes et je les ai trouvés très réjouissants. J’aime beaucoup toutes les situations de comédies entre Jean-Pierre et Isabelle et j’avais très envie de travailler avec Stéphane Clavier. On dit qu’il est souvent difficile de tourner avec des enfants... comment avez-vous géré le fait de jouer avec 8 enfants ? Cela s’est passé de manière très harmonieuse. La comédie est difficile puisqu’il faut à la fois mêler le côté très vivant des scènes de groupe et, dans le même temps, respecter les découpages et la précision technique de chaque scène. La plupart des jeunes comédiens de “Merci, les enfants vont bien !» ont déjà plusieurs expériences à leur actif et sont très professionnels. Chacun a trouvé sa place, et il y a eu de jolies histoires qui se sont créées sur et en dehors du plateau. Dès le 2ème jour, on avait l’impression d’être une troupe qui se connaissait depuis longtemps, une famille presque. Quelle image de la famille nombreuse avez-vous maintenant ? J’ai toujours eu une image très positive de la famille nombreuse ; je suis issu d’une famille de 4 enfants, j’ai moi-même 3 enfants. C’est plus facile à vivre dans la fiction que dans la vie réelle mais il suffit d’avoir l’énergie et d’aimer cette vie en tribu.J’adore voir les enfants grandir et cela me donne à chaque fois envie d’en faire d’autres. Interview de Mélanie Thierry Isis Blanchet Qui est Isis ? Isis est une jeune fille qui se cherche, qui ne demande qu’à devenir une jeune femme et être considérée comme tel. Elle est un peu marginale, elle recherche une certaine liberté mais elle aime beaucoup ses proches et se plaît dans son cocon familial. Un peu artiste, Isis est passionnée par la photographie : elle veut surtout être reconnue, aimée... Comment s’est passé le tournage ? “Merci les enfants vont bien !” est une comédie chaleureuse, conviviale et nous retrouvions cette ambiance en dehors du plateau. Il y avait beaucoup de plaisir, de bonheur et de complicité dans chaque scène que nous tournions. C’était la première fois que je jouais avec Pascale Arbillot et Bernard Yerles et j’ai adoré cette collaboration parce que ces deux comédiens rendent les choses simples. Nous avons tous passé des chouettes journées ! Vous verriez-vous cohabiter avec 7 frères et sœurs ? Les Blanchet sont unis, pleins d’amour et de tendresse mais ce n’est pas une situation familiale qui m’attire. J’aime le désordre et la bonne humeur mais je m’imagine plutôt dans une famille plus réduite. Vous aviez déjà travaillé avec Stéphane Clavier ? Oui, j’avais fait ma première publicité avec Stéphane Clavier lorsque j’avais 14 ans et j’ai trouvé très émouvant de le retrouver sur ce projet 10 ans après. On se sent en confiance avec Stéphane Clavier parce qu’il nous regarde jouer avec beaucoup de tendre sse et il s’amuse sur un tournage. Il y a du bonheur à travailler avec lui. Quels sont vos projets ? J’ai commencé le tournage de “Résilience” le premier film de Maïwenn avec Pascal Grégory, Hélène de Fougerolles et MarieFrance Pisier, et puis je pars à Bucarest tourner un film américain produit par S. Soderberg et G. Clooney où je joue le rôle d’une prostituée russe. r r e i h T e i n a l Mé y Interview de Frédérique Gore Productrice “Merci les enfants vont bien !” est Vous pouvez nous raconter comédiens parlent d'une un projet de série un peu atypique. comment s'est passée l'écriture ? Les aventure formidable, d'un Vous y avez cru tout de suite ? Ludovic et Anna ont inventé des personnages et des tournage très joyeux. C'était si On doute toujours mais là, je ne peux m'en prendre qu'à situations. Puis, Catherine Touzet et Samantha Mazeras idyllique que ça ? moi-même ! Plus les familles sont nombreuses, moins elles sont nombreuses... C'est la phrase absurde qui m'a traversé l'esprit pendant une discussion avec les chargés de programme sur leur envie qu'on initie des comédies familiales. On parlait d'originalité, de modernité et je pensais “famille nombreuse”... A priori pas très tendance ! Mais j'ai des amis un peu à l'image de ce qu'est devenue la famille Blanchet. Ni ringards ni cathos, juste un peu bohèmes et excentriques.J'ai donc réfléchi à un personnage de mère et de femme épanouie mais qui puisse en remontrer aux minettes qui se shootent au lait de soja et à l'Evian ! Je me suis dit qu'on pouvait peut-être tordre le cou à certaines idées préconçues sur la pseudo ringardise de la vie en famille élargie. Pourquoi le s naiss ance s succe ssive s empêcheraient toute vie amoureuse passionnée ! Pourquoi vivre à dix sous le même toit serait un exploit mortellement rébarbatif ! J'en ai parlé à Ludovic PionDumas et Anna Fregonese qui m'ont suivie le temps qu'on organise la matière. Et surtout qu'ils l'écrivent sous une forme séduisante... En tous cas, elle a immédiatement séduit M6 ! ont chacune co-écrit un scénario avec Ludovic. Ensuite Alexandra Deman a mis une touche finale. C’est difficile parfois de trouver le bon équilibre de la dramaturgie à dix. Comment faire bien exister les personnages à la fois dans les scènes individuelles et collectives. En même temps qu'on définit un ton, un rythme, des psychologies destinées à évoluer... Toutes les énergies créatives se sont mises en strates. Le projet doit donc un peu à tout le monde et beaucoup au trio des scénaristes... Le réalisateur faisait-il partie du projet dès le départ ? J'ai approché Stéphane Clavier dès qu'on a eu des scénarios aboutis. Cela faisait longtemps que j'avais envie de travailler avec lui. C'était peut-être le bon projet, le bon timing ! On avait besoin sur un projet justement aussi atypique de quelqu'un qui nous rassure, d'un réalisateur qui soit à la fois un très bon technicien et un vrai directeur d'acteurs, qui dynamise et donne confiance sans perdre le fil ni de l'histoire, ni des impératifs techniques. Stéphane a toutes ces qualités et bien d'autre s encore. Il a l'énergie solaire qui embarque... Essentiel pour une comédie tendre ! Pascale Arbillot et Bernard Yerlès nous ont énormément appor té. Ils se sont approprié le s texte s, leurs personnages avec invention et sincérité. On pensait à eux dès le départ. Après il y a eu, comme toujours, une réflexion sur le casting. On avait le temps, vous me direz, ça a été long de trouver tous leurs enfants ! Pas tant d'identifier quels étaient le s jeune s comédien s intéressants et disponibles. Non, de sentir quels étaient ceux qui allaient nous faire croire -ensemble- à l’existence de cette famille. En plus dans le registre de la comédie ! Maintenant, plus personne n'imagine ce que cette série aurait été sans eux. Avoir l'impression qu'on a trouvé le casting juste, c'est déjà un vrai bonheur. Et oui, ça a été un tournage très facile parce que ces comédiens sont simples et généreux... comme le sont leurs personnages. Vous travaillez sur la suite ? On est comme les Blanchet maintenant. Après les angoisses des premiers, on espère qu'il y aura d'autres bébés... Tous différents... et avec un petit air de famille ! Ce ne sont pas les idées qui manquent... Pascale Arbillot (Isabelle) Bernard Yerles (Jean-Pierre) Virginie Lanoue (Emma) Mélanie Thierry (Isis) Anthony Martin (Erwan) Valérie Leroy (Rose) Amélie Lerma (Héloïse) Rebecca Faura (Violette) Tilly Mandelbrot (Pénélope) Michèle Moretti (Madeleine) Annie Gregorio (Babette) Réalisateur Auteurs Stéphane Clavier Ludovic Pion-Dumas (1) (2) Catherine Touzet (1), Samantha Mazeras (2), et Alexandra Deman,Anna Fregonese Chef-Opérateur Musique Production Antoine Héberlé François Castello D.E.M.D Frédérique Gore et Eddy Cherki Directeur productiondedelafictions Directrice de la fiction Séries et collections Conseiller de programmes fiction française Nicolas Coppermann Roselyne Brandford Griffith Yann Chassard Direction de la Communication Pôle divertissements, musique, fictions, cinéma, jeunesse ! vont bien s t n a f n se Merci, le Jérémy Guyot T/014192 66 71- 06 86 08 83 72 [email protected] assisté de Camille Moulène T/014192 66 75 [email protected] Rédaction Service de presse M6 - Conception artistique Direction artistique M6 - Photos © M6 / Stéphane Masson / DEMD / A. 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