Messes - Paroisse Saint Laurent
Transcription
Messes - Paroisse Saint Laurent
Calendrier : « Là où il n’y a pas d’ amour, mettez de l’amour et vous recueillerez de l’amour. » St Jean de la Croix Dimanche 11 Décembre 3ème dimanche de l’Avent Gaudete (Soyez dans la joie !) 10h00 Messe Pour le peuple de la paroisse Joseph GONOD + Suzanne, Marie-Louise et Paul PERRIER + Elisabeth, François et Louis DREMIEUX + 11h00 Baptême de Noah TALBOT-COLZIN Lundi 12 décembre Mardi 13 décembre Mercredi 14 décembre Férie de l’Avent 9h00 Messe 10h30 Funérailles de Madeleine BARDET Sainte Lucie 8h30 Messe Blandine Saint Jean de la Croix 8h30 Messe Matthieu CHRETIEN 16h30 Enfants adorateurs 20h15 Réunion de l’Equipe d’Animation Paroissiale Jeudi 15 décembre Vendredi 16 décembre Samedi 17 décembre Dimanche 18 décembre Férie de l’Avent 8h30 Messe Madeleine DELESCO et famille + Simone LACROIX + 20h00 Réunion des équipes liturgiques : Préparation de Noël Férie de l’Avent 18h30 Messe Férie de l’Avent 9h00 Messe 9h30 à 10h30 Permanence pour les confessions à l’Eglise 20h00 Groupe foyers sur la doctrine sociale ème 4 dimanche de l’Avent 10h00 Messe Pour le peuple de la Paroisse Famille GIRAUD- CLEMENT-DUPARC + Lundi 19 décembre Mardi 20 décembre Mercredi 21 décembre Jeudi 22 décembre Vendredi 23 décembre Samedi 24 décembre Solennité de Noël Dimanche 25 décembre Pas de Messe Férie de l’Avent 18h30 Messe Férie de l’Avent 8h30 Messe Antoine et Joseph ANDREU + 18h00 Rencontre des Missionnaires du Rosaire vivant Férie de l’Avent 8h30 Messe 14h00 Rencontre des enfants de choeur Férie de l’Avent Sacrement du pardon 9h00 Messe Jeudi 22 décembre 18h00 Célébration pénitentielle 15h à 16h 9h00 Messe du samedi Férie de l’Avent Samedi 24 décembre Nuit 9h30 à 10h30 19h00 Messe (plus dirigée vers les enfants) et 15h à 16h 21h00 Messe Pierre MONNIER + Jour de Noël 10h00 Messe Pour le peuple de la Paroisse Père PHILIPPE J-Noël + Evangile de Jésus Christ selon saint Luc : L’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille, une vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L’ange entra chez elle et dit : »Je te salue, Comblée- de- grâce, le Seigneur est avec toi.» A cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils, tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand il sera appelé Fils du Très-Haut, le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. Marie dit à l’ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je suis vierge ? » L’ange lui répondit : « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre, c’est pourquoi celui qui va naître sera saint et il sera appelé Fils de Dieu. Et voici qu’Elisabeth, ta cousine, a conçu, elle aussi, un fils dans sa vieillesse et elle en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait « femme stérile ». Car rien n’est impossible à Dieu. » Marie dit alors « Voici la servante du Seigneur, que tout se passe pour moi selon ta parole. » Alors l’ange la quitta. PAROISSE SAINT LAURENT SATHONAY – CAMP LES MARRONNIERS MONTGAY 5, Avenue P. Delorme 69580 Sathonay-Camp tél. 04.78.23.72.28 www.sathonayparoisse.fr DIMANCHE 11 DECEMBRE 2011 3EME DIMANCHE DE L’AVENT DIMANCHE 18 DECEMBRE 4EME « Le sage sait se taire jusqu’au bon moment, mais le bavard et l’insensé manque l’occasion. » Face à la provocation, le sens critique, par Mgr de Moulins-Beaufort P.N.-D. - Pourquoi tant d’agitation autour de spectacles parlant du Christ ? N’y a-t-il pas d’autres supports qui abordent le sujet de façon critique (bandes dessinées, musique) ? Mgr Éric de Moulins-Beaufort - À la fin de l’été, l’information circulait sur Internet que deux spectacles programmés cet automne à Paris offensaient gravement le Christ. L’information était rédigée pour provoquer. Elle a réussi. Première leçon : réfléchissons à notre manière de recevoir une information par Internet. Qui l’émet ? Pourquoi me l’envoie-t-il ? Son information est-elle vraie ? Abordons le fond : un spectacle n’est pas un livre qu’on lit chez soi ; il a une certaine face publique. Il cherche à créer une réaction collective. Quels différents niveaux peut-on distinguer dans la façon de traiter d’un tel sujet ? Par quel filtre doit-on s’efforcer de décrypter ces expressions artistiques ? Des spectacles ou des mises en scène utilisent la symbolique religieuse. C’est légitime : la religion est une composante essentielle de la vie. Quand cette utilisation est provocante, tourne en dérision ce en quoi des personnes croient, la question doit être posée : pourquoi un auteur ou un metteur en scène utilise-t-il la provocation ou se permet-il la dérision ? Il n’est pas exclu que ce soit pour appâter des spectateurs. Mais peut-être ce que cette manière brutale exprime mérite-t-il d’être entendu ? Un spectacle devrait être apprécié selon son texte, la mise en scène, le talent des acteurs. Il ne faudrait pas qu’à cause de la polémique, les spectateurs se prennent pour des héros de la lutte contre l’intolérance et n’exercent plus leur sens critique. La fascination de certains artistes pour le « sale », pour une sexualité banalisée ou même violente, mériterait une analyse. Mélanger tout cela à la religion n’est pas nouveau. Faire réfléchir à la misère humaine ou à la corruption de la société est toujours nécessaire. Pourtant, d’un strict point de vue artistique, est-il vraiment audacieux de « tout » montrer ? Faut-il réagir systématiquement face à de telles mises en scène ? Si oui, de quelle façon ? Sûrement pas systématiquement. Que la figure du Christ attire des regards critiques, c’est un risque que le Seigneur a voulu courir. Si, nous chrétiens, considérons qu’il est bafoué, ce sentiment doit nous conduire à nous rapprocher de lui. Dans le cas présent, puisque la croix du Christ est présentée comme n’ayant pas apporté de bien, voire comme ayant provoqué des maux, notre archevêque nous invite à vénérer les reliques de la Passion, le soir du 8 décembre. Nous confesserons les bienfaits de la croix. Quelle peut-être la juste réaction des chrétiens ? Ayant la chance de vivre dans un État de droit, nous bénéficions des garanties que la loi accorde à tous, nous n’avons pas à réclamer davantage ni à nous résigner à moins : une société a besoin que ses membres se respectent, y compris dans leurs différences de pensée. Comme chrétiens, le plus important est que nous fassions resplendir le visage du Christ par tout notre comportement, que ceux qui le refusent aujourd’hui puissent découvrir un jour son pardon et sa vérité. Cet article est extrait de l’hebdomadaire Paris Notre-Dame du 1er décembre 2011. Invités à la réconciliation Dans la dernière année du Triennum, année de l’esprit, nous sommes invités à redécouvrir le sacrement de la réconciliation. Comme tous les sacrements, il concerne notre esprit. Peut-être plus que les autres sacrements, il nous invite à prendre conscience ce de cette part de nous-même, si intérieure et si profonde que Dieu seul peut y descendre, la toucher, la transformer, la guérir. En effet, nous pouvons très bien sentir notre propre incapacité à aller si loin. Dieu, Lui, y va, à travers le sacrement de la réconciliation. Il nous recrée de l’intérieur. Ouvrons-Lui la porte de cette auberge intérieure dans laquelle Il veut demeurer : notre propre cœur, notre esprit.