Lufthansa lance son réseau social interne Lufthansa lance son

Transcription

Lufthansa lance son réseau social interne Lufthansa lance son
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 09
0 9 /3 5
31 Août 2009
La pensée de la semaine
«Le quotient intellectuel d'une foule est égal à celui du plus imbécile de ses membres.»
Jean Dion
Lufthansa lance son réseau social interne
http://www.atelier.fr/reseaux/10/21082009/lufthansa-aviation-reseau-social-professionnel-eteaming-jive-software-38603-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20090821
Le géant allemand de l'aviation lance eTeaming, une communauté en ligne étendue à l'ensemble du groupe. Son objectif
sera de permettre un échange détaché des contraintes géographiques et hiérarchiques.
La compagnie aérienne francfortoise a décidé de mettre en place une plate-forme de réseau social professionnel accessible à l’ensemble
de l’entreprise. Elle a choisi le logiciel proposé par la société Jive Software. « Nous avions déjà un réseau interne utilisant la solution
Novell et un Intranet (eBase) basé sur un portail SA », explique à l’Atelier un port- parole de l’entreprise. « Nous avions besoin d’une
plate-forme de dialogue et de coopération afin de partager avec tous les employés l’énorme quantité de connaissances qui se trouve au
sein du groupe ». L’intranet est une plate-forme d’information pratique pour des questions touchant au travail quotidien ou aux processus
administratifs mais c’est un outil relativement statiques. Les dialogues y sont indirects, par exemple via des retours par e-mail.
Oublier les contraintes géographiques et hiérarchiques La nouvelle communauté créée a été baptisée eTeaming. Son objectif
sera de participer à l’effort d’amélioration de la productivité. Autre velléité : encourager l’innovation en facilitant la communication au sein
des groupes de projet internes à la compagnie, au sein des équipes et des communautés existantes. « Lufthansa évolue dans de
nombreux pays. eTeaming permettra à des collègues de travailler ensemble sur des projets touchant tous les départements du groupe et
créera de nombreuses synergies. » Il autorise ainsi ses utilisateurs à lancer des conservations ouvertes ou privées, à créer des groupes
de travail fermés et à rester connectés avec les activités d’autres employés sans tenir compte des contraintes hiérarchiques ou
géographiques au sein de l’organisation.
Un choix mûrement pesé et réfléchi
Lufthansa a effectué de nombreux tests et vérifications préalables à toute sélection.
L’entreprise a comparé différentes sociétés proposant des logiciels suivant ses critères. Il fallait que le produit final puisse s’intégrer
facilement aux infrastructures et à l’architecture existantes. De plus, la compagnie aérienne a mené un programme pilote d’une durée de
4 mois au cours de laquelle divers essais ont été menés. Ce n'est qu'au terme de ce programme, que les participants ont choisi le logiciel.
Les capacités d'intégration de la plate-forme à l'existant informatique ont également constitué un critère important.
ODF ou OOXML, il est urgent de choisir !
http://pro.01net.com/editorial/505383/odf-ou-ooxml-il-est-urgent-de-choisir/
Les deux formats de fichiers bureautiques bénéficient d’une norme ISO. Mais choisir entre les deux n'est pas anodin.
Attention aux problèmes d’interopérabilité à venir, comme le montre une étude indépendante.
Le prestigieux institut Fraunhofer de Berlin s'est livré à une étude très poussée de l'interopérabilité des deux formats concurrents de la
bureautique. Open Document Format (ODF) 1.0, le format implémenté dans OpenOffice.org, StarOffice, NeoOffice ou encore KOffice, a
été créé par Sun au début des années 2000, adopté par l'Oasis en 2005 pour devenir une norme ISO en 2006. Norme qui n'a pas été
retenue par Microsoft comme format XML d'Office 2007, l'éditeur ayant choisi de créer son propre format XML, Office Open XML
(OOXML). Le géant du logiciel s'est empressé de faire reconnaître OOXML comme standard auprès de l'Ecma avant de le présenter à
l'ISO. Le débat qui s'est ensuivi a été épique, mais aujourd'hui l'un comme l'autre ont été adoptés par l'ISO en tant que standards.
Les entreprises peuvent retenir l'un ou l'autre de ces formats pour produire et stocker leurs documents. Toutefois, le syndrome du
« vendor lock-in » les guette à terme. Car si les deux formats sont tous deux XML, le passage de l'un à l'autre va se révéler
problématique, comme le démontre l'institut Fraunhofer dans une copieuse étude de 90 pages consacrée à l'interopérabilité des deux
formats, que ce soit pour les documents texte, les feuilles de calcul ou les présentations.
Des formats intrinsèquement incompatibles… Et les résultats sont éloquents. Pour le traitement de texte – à priori l'application la
plus utilisée d'une suite bureautique mais aussi la plus simple en termes de format –, c'est déjà compliqué. Pas de problème pour la
sélection des polices de caractères, mais un petit souci déjà pour les italiques. Avec ODF, on distingue italique et texte oblique… une
différence inconnue d'OOXML. Avec ce dernier, on peut définir un thème de document, ce qui n'est pas possible avec ODF : une
conversion va engendrer des problèmes de police.
Pour la mise en pages, on ne pourra éviter les bizarreries lors d'une conversion : impossible de justifier un seul mot sur la ligne avec
OOXML. Ce dernier permet d'empêcher la simple coupe d'un paragraphe sur deux pages, ce qui est plus compliqué avec ODF. Vous
voulez mettre une bordure à votre paragraphe ? Facile avec OOXML, impossible avec ODF. Idem pour lui donner un effet de cadre et
changer la couleur de cette bordure. Même chose pour placer des annotations sur une portion de texte. C'est possible avec OOXML,
impossible avec ODF. Conclusion : impossible pour un convertisseur de garantir un rendu 100 % fidèle dans une traduction de document.
Côté tableur, c'est pire. Ce sont bien évidemment les formules de calcul qui posent problème. Par exemple, OOXML implémente le
concept de formule partagée : celle-ci peut être employée sur plusieurs cellules de la feuille. Un concept inconnu dans ODF.
… surtout pour les documents de présentation Le terrain le plus conflictuel entre les deux formats reste néanmoins celui des
documents de présentation. L'insertion de texte et d'images ne devrait pas poser de problème de conversion. En revanche, dès que l'on
voudra aller plus avant dans le multimédia, les incompatibilités vont se multiplier. ODF n'implémente ni le son ni la vidéo. Il faut biaiser
avec les objets OLE pour insérer ces éléments. Les difficultés vont encore se multiplier si l'on veut placer des animations dans la
présentation. Dans les deux cas, c'est possible, mais des différences existent, et le diable est dans les détails. OOXML semble mieux armé
pour prendre en charge des animations complexes : on peut créer une timeline pour synchroniser les animations, définir des trajectoires
complexes, autant de fonctions totalement inconnues d'ODF… et qui ne pourront donc être reportées d'un format à l'autre.
Bref, si vous choisissez d'archiver vos documents au format ODF en espérant un jour vous défaire de la suite Office au profit d'une
alternative compatible avec l'OOXML, vous allez au-devant de problèmes d'incompatibilité certains, et même les meilleurs convertisseurs
n'y pourront rien. L'inverse est tout aussi vrai, alors attention à votre choix, il vous engage pour longtemps, très longtemps.
Avec XtreemFS, l'Europe a son système de fichiers en ligne
http://pro.01net.com/editorial/505038/avec-xtreemfs-leurope-a-son-systeme-de-fichiers-en-ligne/
Première concrétisation de l'investissement européen dans le développement de grilles informatiques, XtreemFS 1.0 est
une solution open source de stockage en ligne répartie sur plusieurs sites.
Il existe désormais une solution open source européenne utilisable par les entreprises pour partager des données en ligne. Venant tout
juste de franchir le cap symbolique de la version 1.0, XtreemFS est un logiciel qui permet à plusieurs utilisateurs de collaborer sur un
disque virtuel, lequel est physiquement réparti sur différents serveurs reliés à Internet. L'avantage de XtreemFS est qu'il fonctionne
comme un dispositif Raid 0, mais en ligne.
D'une part, les mêmes données sont dupliquées entre plusieurs serveurs pour rester accessibles si l'un d'eux se montre défaillant. D'autre
part, les utilisateurs récupèrent des bouts de fichiers depuis plusieurs serveurs à la fois, afin de réduire au minimum les temps de lecture.
Le cumul des capacités est aussi possible. Mais, bien que l'opération soit théoriquement illimitée, XtreemFS ne sait pas encore indexer
plus de quelques dizaines de millions de fichiers par volume virtuel. La solution est typiquement destinée à des filiales, des partenaires
commerciaux, voire de simples citoyens qui ont besoin de travailler sur des documents communs sans contrainte géographique.
Un fruit de la recherche européenne XtreemFS procède d'une volonté de l'Europe de doter ses entreprises d'une infrastructure en grille,
une architecture informatique dans laquelle plusieurs unités de calcul ou de stockage reliées par Internet se comportent comme une
seule, afin de répartir les risques et les coûts sur différents sites. Depuis 2006, la Commission européenne a ainsi investi 78 millions
d'euros dans ce type de projets. Développé sous licence GPLv2 par plusieurs centres de recherche européens, dont ceux de la Caisse des
dépôts et consignations, de l'Inria, d'EDF ou encore d'EADS en France, XtreemFS est un projet sous-jacent de XtreemOS, un Linux en
grille encore en cours de développement.
Les universités scientifiques américaines planchent de leur côté sur un système de fichiers similaire, Parallel Virtual File System (PVFS),
financé notamment par la Nasa et le département de l'énergie. Egalement open source, il est néanmoins incompatible avec XtreemFS. Le
système de fichiers le plus mature en la matière est la plate-forme open source Lustre, de Sun Microsystems. Couramment utilisé dans le
domaine des supercalculateurs, Lustre n'est cependant pas adapté à un réseau lent, comme Internet.
Une solution encore très technique En l'état, XtreemFS est plutôt une couche technique opérationnelle qu'une solution finalisée. Il n'y a
aucune interface graphique pour le déployer. Il s'installe sur des serveurs Linux en téléchargeant le paquet compatible avec la distribution
cible. Puis il convient d'éditer à la main des fichiers de configuration, selon que le serveur servira de point d'entrée vers le volume
partagé, d'unité de stockage ou d'index des ressources. Les droits d'accès sont, sobrement, ceux autorisés sous Linux. Du côté du client,
un exécutable est disponible pour Windows et, bientôt, Mac OS X. Il se contente d'authentifier l'utilisateur et de faire apparaître l'icône du
volume virtuel sur son bureau. Les transferts de fichiers peuvent être chiffrés en SSL moyennant la mise en place d'un certificat X.509
traditionnel. XtreemFS est appelé à évoluer rapidement. Au début de l'année prochaine, il saura automatiquement diriger un utilisateur
vers les serveurs de stockage les plus proches et effectuer des duplications incrémentales pour réduire la latence des transferts.
Les développeurs de XTreemFS ont publié sur YouTube une vidéo qui démontre les capacités de haute disponibilité de leur solution.
Wikipedia operator gets $500,000
$500,000 foundation grant
http://www.technologyreview.com/wire/23300/?nlid=2294&a=f
The nonprofit organization that operates the popular online encyclopedia Wikipedia has received a $500,000 grant from The William and
Flora Hewlett Foundation to expand its work bringing free educational content to people around the globe.
The Hewlett Foundation says Wikipedia plays an important role in making information freely accessible. The foundation has made more
than $100 M in grants since 2001 to promote the availability of high quality educational materials that anyone can use and edit for free.
San Francisco-based Wikimedia says the grant will help it make its software more user friendly, develop training materials to engage new
potential volunteer editors and set up key metrics to track the organization's impact.
Last year, the Internet encyclopedia built by volunteers received its largest donation ever -- $3 M from the Alfred P. Sloan Foundation.
Les pages publiques de Facebook gazouillent dans Twitter
http://www.01net.com/editorial/505381/les-pages-publiques-de-facebook-gazouillent-dans-twitter/
Facebook ne veut pas se laisser déborder par Twitter. Le réseau social annonce que les administrateurs d'une page Facebook publique
(les marques, organismes, artistes…) pourront désormais en convertir automatiquement les mises à jour en tweets dans leur fil Twitter.
Mais cette fonction ne vaut pas pour un profil individuel (la prochaine étape ?) L'utilisateur pourra choisir de partager les mises à jour de
ses statuts, photos, liens, articles, événements, en les cochant tous ou seulement certains.
L'administrateur peut aussi lier différentes pages à différents comptes Twitter. Pour ne pas excéder les 140 signes fatidiques, le tweet
généré intègre le cas échéant une URL modifiée du type « Bit.ly », que les « followers » devront cliquer pour voir le reste du message.
Intel se renforce dans la parallélisation
parallélisation des applications en rachetant RapidMind
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/24/intel_se_renforce_dans_la_parallelisation_des_applications_en_rachetant_rapidmind
Les outils d'optimisation d'application pour les architectures multicoeurs de RapidMind seront intégrés au projet Ct d'Intel.
Intel a racheté, pour un montant non dévoilé, la société RapidMind. Créé en 2004 en prolongement du projet universitaire Sh,
RapidMind fournit une plate-forme de développement permettant aux développeurs de tirer parti des traitements parallèles des
instructions dans les processeurs x86 (Intel et AMD) mais aussi les processeurs graphiques (GPU avec OpenGL) et les puces Cell d'IBM,
Sony et Toshiba.
Si les processeurs de nouvelle génération (multi-cœurs) et les GPU sont taillés pour supporter les traitements parallèles, les
applications telles qu'elles sont développées ne sont pas toujours en mesure de tirer parti de ces nouvelles architectures pour cause de
complexité de programmation (et de génération vieillissantes des soft). L'ensemble des outils que propose RapidMind (un ensemble de
bibliothèques C++) permet d'optimiser le code des applications pour les puces multicoeurs et de répartir la charge intelligemment sur
l'ensemble des cœurs. RapidMind propose également d'optimiser les données et des outils de diagnostiques.
Intel propose déjà des compilateurs permettant de tirer parti des architectures multicoeurs. L'arrivée des cerveaux de RapidMind va
renforcer son expertise dans le domaine. Notamment le modèle de programmation parallèle Ct d'Intel qui vise à « paralléliser » les
applications sans avoir quasiment à réécrire le code. La première bêta de Ct est annoncée pour la fin de l'année. L'intégration avec les
technologies de RapidMind interviendra logiquement par la suite. « Plus tard dans l'année, nous fournirons plus de détails concernant
l'intégration de la plate-forme RapidMind et les produits et technologies logiciels d'Intel, y compris la technologie Ct », écrit James
Reinders sur le blog Intel Software Network.
Ce n'est pas la première fois qu'Intel cherche à accélérer les développements de ses technologies permettant d'optimiser les applications
pour les architectures parallèles de ses processeurs. En juin, Santa Clara avait investi $884 M dans Wind River, une entreprise qui
développe un hyperviseur pour les systèmes embarqués s'appuyant directement sur le matériel (Type 1) et non de manière logicielle
(Type 2) moins performant.
Quant à RapidMind, l'entreprise basé à Waterloo en Ontario (Canada) devrait poursuivre la commercialisation de ses produits et le
support des clients. Elle devrait également conserver l'ensemble de ses employés, selon le porte-parole d'Intel Bill Kircos.
Nokia s'introduit sur le marché du PC avec le Booklet 3G
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/24/nokia_s_introduit_sur_le_marche_du_pc_avec_le_booklet_3g
Nokia va lancer le Booklet 3G, un netbook sous Windows et doté de la 3G. Un virement stratégique pour le constructeur
qui se transforme en entreprise de solutions mobiles.
Du smartphone au PC, il n'y a qu'un pas... que Nokia a décidé de franchir. Après 25 ans de développement dans l'industrie de la
téléphonie mobile, le constructeur finlandais se lance sur le marché des ordinateurs personnels. Mais pas n'importe lequel, celui des
netbooks, les ultras portables, économiques, et dotés de fonctionnalités communicantes. Autrement dit, un environnement proche de
celui des téléphones mobiles (la fonction de téléphonie de base en moins).
Nokia annonce donc le Booklet 3G. Les caractéristiques du produit ne pas
encore dévoilées dans les détails. Nokia révèle cependant qu'il s'agira d'un
netbook ultra fin (moins de 2 cm d'épaisseur), motorisé par l'incontournable
processeur Atom d'Intel, avec un écran 10 pouces supportant la HD et avec
webcam intégrée, le tout pour 1,25 kg. L'appareil sera par ailleurs doté d'une
prise HDMI (qui permettra de visionner les vidéos HD sur un écran de télévision
haute définition) et, surtout, qu'il affichera une autonomie de 12 heures.
Sans surprise, le Booklet 3G supportera un ensemble de normes de
communication dont le Wi-Fi, la 3G/HSDPA, le Bluetooth ainsi que le A-GPS
qui, couplé à l'application Ovi Maps apportera des services d'itinéraires et de
géolocalisation (selon toute vraissemblance, Nokia n'évoquant qu'une
« expérience de cartographie vraiment personnelle »). L'accès à la plate-forme
Ovi Service permettra d'enrichir les fonctionnalités du futur netbook.
Booklet 3G sera opéré sous système Windows. Là encore, Nokia ne précise pas s'il s'agit de Windows XP (voire Windows 7 qui arrive
dans moins de deux mois) ou de Windows Mobile. Un choix étonnant de la part d'un acteur qui anime désormais les développements de
la plate-forme Symbian mais beaucoup moins surprenant depuis que Microsoft et Nokia ont signé un accord de partenariat pour intégrer
la suite Office aux smartphone de Serie E. Et surtout, face à l'outrageante domination de Windows XP sur ce marché des netbooks
Ce mouvement vers les netbooks confirme la stratégie de Nokia de se transformer en « entreprise de solutions mobiles ». Le Finlandais
décide de surfer sur un marché porteur. Les netbooks occupent désormais le quart des ventes d'ordinateurs portables travaillant ainsi à
ralentir le déclin des ventes de PC. En entrant sur le marché des PC, Nokia espère également diversifier ses revenus et palier la baisse de
ses parts de marché du mobile, lui aussi en déclin. Nokia annoncera les tarifs et la disponibilité du Booklet 3G le 2 septembre prochain
à l'occasion du Nokia World 2009.
Nokia abandonne la tablette Internet au profit d'un smartphone surpuissant
http://www.01net.com/fiche-produit/avis-redac-6565/smartphones-nokia-n900/
Doté d'un écran tactile, 3,5G et tournant sous Maemo, le Linux maison de Nokia, le N900 va plus loin qu'un smartphone.
Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer au premier abord, le N900 -qui sera présenté
le 2 septembre au salon Nokia World de Stuttgart- n'est pas véritablement, malgré sa
dénomination, le successeur des tablettes Internet N800 ou N810. Certes, il embarque le
système d'exploitation dérivé de Linux made in Nokia, Maemo, qui, s'appuyant sur un
processeur à 600 MHz, lui confère la puissance d'un véritable petit ordinateur. Pas beaucoup
plus volumineux que le N97, ce nouveau terminal joue toutefois plutôt dans la cour des
smartphones. Compatible 3,5G, contrairement aux N800 et N810, il permet de passer des
appels, de rester connecté à Internet et à sa messagerie dès lors que l'on se trouve sous
couverture réseau.
Doté d'un large écran tactile, le N900 bénéficie de la dernière version de l'OS développé par
Nokia, Maemo 5, qui offre un champ d'action plus large. En premier lieu, l'appareil s'avère
multitâche: tout en faisant simultanément appel à la 3G, à l'écran tactile et au véritable
clavier azerty coulissant, l'utilisateur peut désormais gérer plusieurs applications. Pour ce
faire, jusqu'à 1 Go de mémoire leur est alloué (256 Mo de RAM et 768 Mo de mémoire virtuelle), tandis que le processeur ARM Cortex-A8
est épaulé par un processeur graphique OpenGL ES 2.0. Pour une expérience de navigation Web améliorée, le navigateur Internet intégré
à Maemo s'appuie, quant à lui, sur la technologie Mozilla et prend en charge Flash 9.4. Quelques nouveautés viennent faciliter la
navigation, comme la possibilité de zoomer en traçant un simple cercle sur l'écran
L'équipement du N900 est, par ailleurs, digne des modèles haut de gamme du constructeur. Compatible Wi-Fi à la norme 802.11 b/g, le
mobile comprend un appareil photo 5 mégapixels, avec capture vidéo en 800x480 pixels à raison de 25 images par seconde, ainsi qu'un
transmetteur FM. La capacité de stockage interne du smartphone atteint 32 Go et peut être étendue de 16 Go grâce à une carte MicroSD.
L'appareil prend en charge de nombreux formats audio et vidéo dont le Xvid. Il intègre également une puce GPS avec A/GPS. Son
autonomie atteindrait, selon le constructeur, 5 heures en communication voix en 3G et 9 heures sous réseau GSM.
Le N900 de Nokia devrait être commercialisé en France dans le courant du mois d'octobre 2009 au prix de 649 euros.
Aprolis opte pour une messagerie collaborative sur Linux pour 600 utilisateurs
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-aprolis-opte-pour-une-messagerie-collaborative-sur-linux-pour-600-utilisateurs-20711.html
Le loueur de matériel de manutention Aprolis a remplacé sa messagerie et les outils de partage d'information de Lotus
Notes par ceux de Zimbra sur Linux.
Le loueur de matériel de manutention Aprolis disposait d'une version obsolète de Lotus Notes qu'il souhaitait remplacer autant pour ses
fonctions de messagerie que de partage d'informations.
L'entreprise a mis en concurrence la nouvelle version de Lotus Notes sur serveur Domino avec Microsoft Exchange, OpenXchange sur
Linux et enfin Zimbra sur Linux.
Après avoir testé les différentes solutions, l'entreprise a écarté les solutions les plus chères et choisi pour des raisons d'ergonomie Zimbra
sur Linux, intégré par StarXpert. La suite collaborative de Zimbra a été ajoutée au portail d'entreprise réalisé sous LifeRay sur Linux.
La migration a concerné les 350 anciens utilisateurs auxquels se sont ajoutés 250 utilisateurs nomades. Chaque utilisateur a subi une
indisponibilité de la messagerie de quatre heures en moyenne. 99% des données ont été récupérées.
Sony prépare l’arrivée de son eBook Daily
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/27/sony_prepare_l_arrivee_de_son_ebook_daily
La firme japonaise s’apprête à sortir son nouveau livre électronique sans fil. Celui-ci sera doté de la 3G.
Après avoir mis en vente son Pocket Touch, Sony vient d’annoncer la prochaine sortie de son Reader Daily
edition. Ce nouveau modèle d'eBook viendra compléter la liste des produits concurrents des Kindle d'Amazon,
en particulier le DX. Le nouveau Sony est équipé d’un écran tactile de 7 pouces en 16 niveaux de gris.
Mais la nouveauté réside en l'intégration d'une puce 3G qui permettra au Reader Daily de se connecter sur
les réseaux des opérateurs mobiles. Certains d’entre eux, ont déjà proposé leur réseaux haut-débit aux futurs
utilisateurs du e books. C’est le cas de l’américain AT&T qui commercialisera le produit au prix de $399.
Tout comme le Kindle d’Amazon, le livre électronique de Sony permet de consulter des contenus en ligne et
de télécharger des livres (notamment depuis son port USB). Mais contrairement à son concurrent, Sony n’a
pas fait le choix du format propriétaire, qui implique de posséder le Kindle ou un logiciel spécifique, lorsque
l’on achète un livre à partir de son catalogue. Le petit dernier de Sony devrait par ailleurs séduire le marché
européen, où le réseau 3G est plus développé qu’outre Atlantique. Les opérateurs mobiles y voient une
ouverture, en parlant déjà d’étendre le système aux smartphones.
« Nous croyons fermement que les lecteurs devraient avoir le choix dans chaque aspect de leurs lectures digitales », a déclaré Steve
Haber, président de Sony’s digital business edition à Rethink Wireless. La firme s’est ainsi ralliée au format ouvert EPUB, ce qui permettra
de rendre son catalogue riche d’un million de livres, accessible depuis divers appareils. Enfin, le Reader Daily sera commercialisé en
décembre aux Etats-Unis mais aucune date n’est encore annoncée pour l’Europe. Contre un Kindle DX à 489 dollars, qui plus est non
tactile, Sony met toutes les chance de son côté pour s'imposer sur le marché du livre électronique
K3 : un chargeur écolo qui
qui combine énergie solaire et éolienne
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/08/24/k3___un_chargeur_ecolo
La société américaine Kinesis industries vient de sortir un chargeur 100% écologique.
Composée d’une mini éolienne et de panneaux solaires, il recharge via un port USB.
Quand le high-tech se met à l’écologie, cela donne parfois de belles surprises. Le K3 est un chargeur
qui utilise à la fois l’énergie du vent et du soleil. Etanche et de la taille d’une lampe torche (23, 7
centimètres de long et 7,6 centimètres de large), il n’a pas besoin de beaucoup d’énergie pour
recharger les appareils en intérieur comme à l’extérieur.
Moyennant, une heure seulement de lumière et de vent, il peut recharger un téléphone portable
pour une demi-heure de conversation. Avec une batterie de 4000 mAh, la charge complète de cet
étonnant arsenal d’énergie propre, peut recharger 5 fois un mobile et jusqu’à 10 fois un lecteur MP3.
Grâce à un port USB, il est compatible avec de multiples appareils électroniques comme les
appareils photos, lecteurs multimédias, où encore consoles de jeux portables. Un dispositif très utile
pour les voyageurs, qui ne disposent pas toujours de chargeurs adéquats en fonction du pays.
La nouvelle tendance écologique dans le High Tech risque encore de faire naître beaucoup de
nouveaux appareils, dont l’utilité de certains sera à relativiser, tant la multiplication des gadgets
inondent les pages web commerçantes. La fabricant américain basé en Arizona, commercialise son K3
sur un internet au prix de $99,95 dollars.
Microsoft Taps Cloud for Feature Phone Upgrade
http://www.internetnews.com/dev-news/article.php/3836026/Microsoft+Taps+Cloud+for+Feature+Phone+Upgrade.htm
OneApp lets so-called 'feature' or non-smartphones, run upscale applications.
Microsoft is releasing a phone application platform for emerging markets -- South Africa is first -- that will let owners of so-called "feature
phones" (non-smartphones) run some smartphone apps by hosting them in the cloud.
Called OneApp, the platform has both client and server components. The client code that runs on the feature phone is tiny, only 150 KB.
The server components run as "cloud services that help offload processing and storage from the phone to the Internet, improving overall
performance," according to Microsoft (NASDAQ: MSFT) statements.
Feature phones make up the majority of the most popular mobile phones used in emerging markets. However, while they may have
some smartphone-type features, such as a built-in camera, FM radio, and browser, they generally lack the memory and processor power,
as well as an operating system, capable of running more demanding smartphone applications.
OneApp aims to change that. In South Africa, OneApp will be available through Blue Label Telecoms as part of the upcoming release
of the operator's mibli consumer mobile service. On the list of apps that feature-phone users can run are Facebook, Twitter, Windows
Live Messenger and Mobile Wallet. However, what applications will actually run on which operator's feature phones "will vary by partner,"
Microsoft's said. For instance, South Africa's mibli service will include a mobile wallet, Windows Live Messenger, popular games, and
multiple feed readers for sports and news as well as finance. OneApp runs on most feature phones that support Java. On the list of
feature phones that work with OneApp initially, are numerous models by Nokia (including the 3555, 5320, E50, N70 and others) and Sony
Ericsson (including the C510, C902, G705, K610i and others) as well as the Samsung U900.
Broader release and developer kit coming next year. While OneApp will see the light of day first in South Africa, Microsoft has
plans to deploy it in other emerging nations in the next year. Microsoft also plans to have a developer’s kit out for OneApp by the end of
2009. OneApp, which will be free, is a project of Microsoft's Unlimited Potential Group.
The Unlimited Potential Group "is tasked with creating new business models and technology solutions tailored specifically for the needs of
customers in underserved communities" around the world, UPG said in a Microsoft statement.
SCO renaît de ses cendres et peut de nouveau menacer Linux
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39705155,00.htm?xtor=EPR-101
Une cour d'appel américaine vient de remettre en selle l'éditeur en cassant un jugement de 2007 octroyant à Novell la propriété d'Unix.
On pensait pourtant SCO et ses prétendions à l'égard d'Unix définitivement enterrées.
Cette nouvelle décision de justice autorise ainsi SCO à demander de nouveaux procès dans le différend qui l'oppose à Novell et IBM. Au
premier, SCO peut une nouvelle fois tenter de ravir les droits sur Unix et les licences associées.
A IBM, SCO reproche d'avoir intégré du code Unix dans Linux et lui réclame 1 milliard de dollars (puis 5 milliards ensuite). Le système
d'exploitation Open Source violerait donc sa propriété intellectuelle. Le jugement de 2007 rendu par le juge Dale Kimball avait retiré à la
société toute possibilité d'obtenir gain de cause et ainsi de menacer les entreprises exploitant Linux. SCO les a, par le passé, déjà
menacées, leur réclamant le paiement d'une coûteuse licence.
SCO échappe de peu à la liquidation en juin La décision en appel du 24 août, dans une affaire débutée en 1993, risque par
conséquent de susciter encore une fois l'incertitude. Dommage, puisqu'en juin, SCO échappait de peu à la liquidation judiciaire grâce à un
fond d'investissement, Gulf Capital Partners LLC, dirigé par Stephen Norris.
Ce même Stephen Norris avait déjà apporté 100 millions de dollars à SCO en 2008 sous la condition que la direction s'engage à
maintenir, agressivement, ses poursuites à l'encontre d'IBM et de Novell. C'est sans doute désormais la seule manière pour l'investisseur
de rentabiliser les fonds placés dans SCO.
Affaire Word : Dell et HP apportent leur soutien à Microsoft
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39705336,00.htm?xtor=EPR-101#
A quelques semaines du procès en appel, les deux constructeurs américains ont écrit au juge pou lui explquer les
conséquences qu'impliquerait une modification du code du logiciel Word.
Deux des plus gros clients de Microsoft, Dell et HP lui ont apporté leur soutien dans l'affaire de la violation de brevet de Word en
expliquant au juge texan que l'interdiction de vente du logiciel aura un « impact bien au-delà de Microsoft ».
La justice a en effet donné à Redmond jusqu'au 10 octobre pour modifier son logiciel phare, faute de quoi sa commercialisation sur le
territoire américain sera interdite. Microsoft a obtenu une procédure en appel accélérée qui sera examinée le 23 septembre.
Dell et HP expliquent dans un texte commun que le fait de devoir implanter une version modifiée de Word dans les compilations
logicielles vendues avec leurs machines leur prendra du temps et de l'argent. Ils estiment en outre qu'interdire la vente de Word ira à
l'encontre de l'intérêt du public.
Dans le cas où l'appel serait rejeté, les deux fabricants réclament que soit au moins accordé un délai de 120 jours pour pouvoir
appliquer cette décision.
Google invite les internautes français à choisir des sites pour Street View
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39705346,00.htm?xtor=EPR-102
Google et l'Agence de Développement Touristique de la France proposent aux internautes de soumettre des noms de sites qu'ils
aimeraient voir apparaître dans le service Street View.
Les internautes ont jusqu'au 2 septembre seulement pour soumettre des suggestions en remplissant un formulaire en ligne. Des critères
de sélection devraient a priori empêcher la ville (ou l'arrêt de bus) de Montcuq (qui avait tant embarrassé le Monopoly) de figurer dans
les suggestions. Le choix d'un site doit en effet se faire selon cinq catégories : châteaux, édifices d'architecture contemporaine, lieux
naturels remarquables, bâtiments et monuments historiques et complexes sportifs.
La phase des suggestions bouclée, les internautes seront du 10 au 16 septembre sollicités de nouveau, cette fois pour voter
pour leurs sites favoris. Les lieux sélectionnés seront ensuite photographiés grâce au tricycle de Google, et les images intégrées à
Street View. « Cette fonctionnalité peut susciter l'envie de découvrir physiquement les sites présentés à l'écran. C'est un outil
supplémentaire à disposition des visiteurs de notre pays et nous sommes ravis que les internautes français aient la possibilité d'élire leurs
sites favoris », déclare Christian Mantei, directeur général d'ATOUT France dans un communiqué.
Building a Better Mouse
http://www.technologyreview.com/computing/23205/?a=f
Optical mouses freed us from mouse pads and the chore of
cleaning gunk from our mouse's innards every few weeks. But they
don't work well on transparent or highly polished surfaces. With its
Performance Mouse MX, Logitech solves this problem by borrowing
a trick from microscopic imaging: dark-field microscopy, often
employed by biologists examining low-contrast specimens such as
live amoebas. Unlike other optical mouses, which track their
position by looking at the direct reflection of a laser that
illuminates the surface beneath the mouse, Logitech's mouse
ignores the reflection completely. Instead, it looks at the light
scattered off minute imperfections and particles on the surface.
This mouse works even on a glass desktop.
CyCab : une voiture sans pilote
http://www.atelier.fr/mobilite/10/27082009/cycab-citymobile-inria-voiture-vehicule-hybride-automatique--finlande-paris-38623-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20090827
Pour des villes moins bruyantes et polluées, INRIA propose des transports en commun innovants. Basés sur le principe
du vélib', ils fourniront une alternative aux taxis et aux voitures personnelles.
Un véhicule écolo, autonome et capable de se déplacer sans conducteur à son bord. C'est ce que développe actuellement l'Institut
National de Recherche en Informatique et Automatique (INRIA). Financé par la Communauté Européenne, l’objectif de ce projet est
d’aborder autrement la problématique du transport en commun et des transports publics. Baptisée CyCab, la voiture fonctionne
exclusivement à l’électricité et embarque avec elle tout un bouquet de nouvelles technologies.
Un système de navigation sophistiqué Parmi elles, un ordinateur de bord. Il analyse les informations fournies par des caméras et
des lasers et prend des décisions : freiner, tourner, accélérer... Du coup, la voiture s'adapte à la route et évite les obstacles.Autre chose :
grâce à un routeur mobile connecté à Internet et à un système GPS, l'utilisateur peut se renseigner en temps réel sur l’état du trafic et
savoir comment éviter les embouteillages. A terme, il sera également possible de commander une voiture à distance. L’information sera
transmise au véhicule le plus proche qui se déplacera jusqu’au domicile de l’utilisateur.
Une solution alternative "Entièrement automatique, la voiture donnera plus de liberté notamment aux personnes à mobilité réduite, à
ceux qui sont trop vieux ou trop jeunes pour conduire, explique à L'Atelier Michel Parent, responsable du projet. Mais aussi aux citadins
sans permis ou tout simplement à ceux qui ne sont pas en état de prendre le volant". Le CyCab constituera une solution alternative au
transports en commun et aux vélib' ou pour remplacer la voiture privée. Réservées aux espaces urbains, les voitures seront disponibles
en libre-service et sans réservation. Le CyCab apparaîtra dans les villes en 2011.
Wikipedia instaure un système de validation des informations sur les personnages publics
http://www.itespresso.fr/wikipedia-instaure-un-systeme-de-validation-des-informations-sur-les-personnages-publics-31005.html
La version anglophone de l'encyclopédie Wikipedia va se doter d'un système de modération, destiné à contrôler et
valider les modifications apportées aux articles concernant des personnes publiques.
Pour asseoir sa crédibilité en tant qu’encyclopédie en ligne collaborative, Wikipedia va désormais contrôler, dans sa version anglophone,
les modifications des articles concernant des personnes en vie. Cette décision fait suite aux quelques dérapages rencontrés il y a
quelques mois sur le service en ligne : suite à la contribution de quelques internautes, Wikipedia avait annoncé sur la fiche consacrée à
Ted Kennedy que ce sénateur américain était décédé, alors, qu’à l’époque, il était toujours bien vivant.
Selon le quotidien The New York Times, la Fondation Wikimedia a décidé de mettre en place ce système de modération a priori après que
cette méthode a été testée sur la version allemande de Wikipedia, où 7 500 éditeurs sont désormais aptes à valider les contenus qui
leur sont soumis. Ainsi, un rédacteur bénévole aura pour mission de valider les modifications apportées aux articles concernant des
personnages publics et ainsi veiller à ce qu’elles ne contreviennent pas aux conditions d’utilisations décidées par l’encyclopédie en ligne.
Mais la Fondation Wikimedia n’a pas précisé le délai de mise en ligne de l’information réactualisée et validée.
Wikipedia espère ainsi éliminer de la version anglophone les erreurs involontaires rédigées par les internautes, mais aussi les
modifications volontairement inexactes. Cette nouveauté risque de modifier l’esprit communautaire qui anime le site, en scindant les
rédacteurs en deux groupes : les simples quidams, et les rédacteurs aguerris, auréolés d’un statut de modérateur.