marie-christine laurel
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marie-christine laurel
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII PRESENTATION MARIE-CHRISTINE LAUREL Vit et travaille à Paris [email protected] « Mes propositions reposent sur l’échange. C’est à la fois la matière première et la matière pensante de mes projets. Mon terrain d’exploration se situe dans les interstices de la rencontre. Les contours de ces rencontres dessinent une intimité sans borne. C’est là un espace malléable, permettant de faire sens, de nourrir et de stimuler la pensée. Je propose des expériences artistiques. Le terme anglais to experience n’a pas d’équivalent en français. Mais, l’idée que je défends n’est non pas d’expérimenter l’art mais de « l’expériencer », de le vivre comme une expérience » Marie-Christine Laurel Présidente de l’association Laurel &S., espaces/ projets artistiques Membre du White Club (www.whiteclub.at) Formation 2006 Master professionnel Médiation et Ingénierie Culturelle, Nice 2004 Maîtrise Droit international et droit anglais, Cergy Expositions 2009 «Be my guide», en collaboration avec Erik Hable, Paris 2008 «Madame, Monsieur», dans le cadre de Je risque – vous prenez la correspondance?, Galerie Cortex Athlético, Bordeaux «Princesse Aliénée», White Club Space #3, Sazlbourg, Autriche «Le dernier repas», performance dans le cadre d’Aut our de la table, Laurel &S., Paris 2007 «Points de suspension», Bellevilloise, Paris «Champs de pommes carrés», installation éphémère dans le cadre de l’exposition Gossip Deluxe, White Club Space #1, Salzbourg, Autriche 2004 Ex position collective, Ecole nationale d’art de Cergy La culture, Université de Cergy-Pontoise Résidences 2008 Résidence au pôle La Générale en théorie, Sèvres Résidence-workshop, vidéo, Flight into fiction, Vilnius, Lituanie Commissariats 2008 Autour de la table, dîners-performances, Paris : - «La barbe à papa», Erik Hable. Intervenants : Isabelle Hersant, Valérie Severac - «Histoires d’un soir», Claire de Colombel. Intervenants: Camille Soler, Jérôme Houadec - «Le dîner sera-t-il fumeur?», Aude Louzé et Aurélie Stéfani. Intervenants : Diane Pigeau, Jérémie Strauch 2007 Tumbleweed, N202 / White Club, Museaav, Nice, Coopération N202 / White Club / Laurel&S, White Club Space #2, Salzbourg, Autriche ECHO, Gerhard Senz et Brandt X, ASAHG, Salzbourg 2005 Art Sweet Art Home Gallery, expositions en appartement, Salzbourg, Autriche : - Home coming queen, Bärbel Miklautz - Coming home, Marianne Lang et Johannes Kubin - Sounds of silence, Elisabeth Schmirl - Tools and devices, Erik Hable Textes 2007 «Le White Club a dit…», texte du catalogue, White Club Space #1, Salzbourg 2006 «Sample», Erik Hable, texte d’exposition, Musée des Beaux -Arts, Nice «Les marionnettes», Birgit Pleschberger, texte pour Artaward, Strabag, Vienne, Autriche IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII /// en attendant, Marie-Christine LAUREL, une proposition du LIVING ROOM pour Possible(s) organisé par le collectif EXIT/// IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII PRESENTATION 2009 Be my guide Rendez-vous, Paris En collaboration avec Erik Hable BE MY GUIDE propose pendant l’année trois rendez-vous axés autour de rencontres. Notre proposition artistique se situe sur le terrain de l’échange, il s’agit d’explorer le quotidien dans les interstices de la relation à autrui. [...] BE MY GUIDE #1 - 28.06.2009 Une ballade virtuelle Un parc, un pique-nique et une carte de Paris. « Chaque convive est invité à raconter son histoire. D’anecdotes en anecdotes, nous sommes invités à voyager dans Paris, à circuler parmi les histoires personnelles. A l’instar d’internet , où les informations sont accessibles à tous, où il n’est plus besoin de se déplacer, nous vous proposons une ballade à travers les époques et les lieux dans le contexte intime d’une transmission orale. La nappe du pique nique représente la carte de Paris. A chaque histoire racontée par un invité, nous prenions des notes sur la carte. » MarieChristine Laurel 2008 Madame, Monsieur Installation du projet Je risMusée des rencontres dans le cadre , Galerie Cortex nce? nda espo que, vous prenez la corr 8 Athlético, Bordeaux, 200 « [...] Tous les jours, un courrier identique, non anonyme, on sait que c’est le restaurant japonais du coin, l’agence immobilière du quartier, … mais adressé à des anonymes généralisés, plus précisément à des consommateurs potentiels. Ces courriers, je les prends comme une correspondance qui m’est personnellement adressée. Alors, je me déplace et je suis leurs instructions: essayer le menu à 15€, et si je veux je peux prendre pour emporter et j’ai -10% ; non, je ne connais pas d’appartement à vendre dans mon immeuble, mais je souhaitais vous le dire…Chaque jour, un courrier vous sera adressé [...] Je récolte les courriers dans ma boîte aux lettres. J’exécute les instructions. Je confectionne des cartes postales avec au verso mon avis, mes idées, mes sensations que je renvoie à la structure d’accueil, une galerie, un lieu d’art contemporain… je les adresse à «Madame et Monsieur Public», une personne clairement identifié sous ce générique. C’est accorder une valeur au public qui n’est pas nominative et révéler sa place dans la sphère artistique » Marie-Christine Laurel IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII /// en attendant, Marie-Christine LAUREL, une proposition du LIVING ROOM pour Possible(s) organisé par le collectif EXIT/// IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII PRESENTATION 2008 Aliénée Performance riche, 2008 White Club Space #3, Sazlbourg, Aut «Un appel à contribution a été lancé pour récolter des cheveux de 5cm minimum pour la réalisation de l’oeuvre. Une tresse d’une longueur d’environ 60 mètres a été réalisée. La performance a lieu dans une salle inaccessible au public. Je suis enroulée de cette longue tresse. De l’autre côté de la pièce, le public. Un mur nous sépare. Sur ce mur, il y a un petit trou d’un diamètre de 10 cm par lequel passe la tresse, notre seul lien physique. Le public est invité à tirer sur la tresse jusqu’à ce que je puisse me dérouler complètement. Les différentes personnes qui ont tiré sur cette tresse, ont spontanément emporté la tresse dans les différentes salles d’exposition. A la fin, le public coupe la tresse. Je me délivre de la performance, et j’ouvre la salle. Avec les quelques mètres de tresse qu’il me reste, je confectionne des noeuds que je mets autour du poignet ou accroche à la veste de mes interlocuteurs» Marie-Christine Laurel 2008 Le dernier repas Performance s, 2008 dans le cadre d’Autour de la table, Pari « [...] Autour de la table allie performance, débat et dîner. Il interroge nos pratiques culturelles, la place de la performance et du public. Il s’agit d’interroger les formes rituelles du repas, la charge symbolique et ou religieuse qu’il a. Le dîner est une activité quotidienne avec ses codes et ses habitudes. Malgré cette forme protocolaire, c’est un temps qui peut être convivial. Le dernier repas, propose une performance, où les convives font parties intégrantes du dispositif. [...] Dans le salon, [...] un miroir à taille humaine. Les invités rentrent un à un et s’installent par terre autour de ce miroir. [...] une gêne s’installe, car ils ne se connaissent pas, les comportements de bienséance semblent être de rigueur. [...] je demande à ma soeur de commencer à apporter le visage. Peu à peu, le dîner est posé sur ce miroir. Apparaît une sculpture en riz. Il s’agit en effet [...] de mon corps tout entier qui semble flotter dans le miroir. Je vais dans la cuisine pour préparer la sauce que j’avais mise dans des seringues. (J’apprends plus tard qu’un des convives à ce moment là, avait suggérer aux autres de partir) Je reviens [...], les invités ont commencé à se servir à la main, et finalement, tous inconnus au départ, ce dispositif a développé un sentiment d’appartenance, d’expérience collective. [...] Un climat tout autre se dessine. [...] Chacun parle de son rapport au corps. Pendant la soirée, quelqu’un aura dit «la performance, c’est nous ». Marie-Christine Laurel IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII /// en attendant, Marie-Christine LAUREL, une proposition du LIVING ROOM pour Possible(s) organisé par le collectif EXIT/// IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII