Elfchen

Transcription

Elfchen
Gedichtprojekt beim Austausch der AbiBac Schüler mit Nizza 2013, Inspiration durch die Natur/den
Ausblicks von Eze Village
Les poèmes d’élèves écrits à Eze Village
Elfchen
Infinité
A l’horizon
Le soleil fait
Monter une odeur salée
La mer.
(A. S.)
Bleu
La mer
Tes yeux bleus
Brillent comme le ciel
L’infinité.
(A. K.)
Mer
A l’heure sonnante
La nature apprivoisée
Voitures sur la route
Silence.
(D. C.)
Mer
Les vagues
Bleu sans fin
Animaux différents au fond
Mystique.
(K. W.)
Mer
Belle, calme
Un espace dangereux
Elle m’attire comme
L’amour.
(R. G.)
Mer
L’espace éternel
L’immense surface bleue
S’étend infiniment vers l’horizon
Le ciel.
(S. F.)
Seule
La forteresse
Au-dessus de l’église
Dans le petit village pittoresque
Eze.
(A. K.)
Echange
Etranger attirant
Terre natale familière
Nouvelles expériences pour al vie
Evolution.
(J. K.)
Haiku
Am tiefen blauen
Meer erkennt man die wahre
Größe der Erde.
(J. K.)
D‘autres formes:
H
O
R
Das
I
Meer
In
den
Z
umarmt
Himmel
O
die
greifendes
N
T
Küste.
Gebirge,
Hier sitze Ich.
(Kommentar des Schülers: Ich habe die letzte Zeile absichtlich beibehalten, um die Nichtigkeit des
Ichs in der Natur nicht nur sprachlich sondern auch in der Form auszudrücken, D. C.)
H
O
La
R
mer
La
Je
(D. C.)
La montagne s’étend couvert
Par des forêts qui insèrent
Au long des rues
Courant vers la mer
Bleue comme le ciel
Où le soleil chasse
Les nuages.
(A.S.)
Z
embrasse
montagne
Les maisons se situant
I
s’empare
vous
la
du
admire.
ciel
O
côte.
N
Le soleil
La lumière dans l’obscurité
La chaleur quand il fait froid.
Il chauffe les cœurs ?
Le soleil
Le soutien pendant des temps difficiles
La guérison d’une maladie.
Il chauffe les cœurs.
Le soleil
Toujours là, même si on ne le voit pas.
Il m’entoure de tout son amour.
Le soleil, il réchauffe mon cœur !
(A. K.)
Poème plus image
Poème du ciel et de la mer
Un rocher à Eze.
C’est là où je suis assise,
Entourée de calme.
Le ciel est la mer.
On ne peut plus distinguer,
La mer et le ciel.
Comme si les couleurs
Du ciel se reflétaient dans
La mer grise et bleue.
Inopinément,
Le ciel ouvre son œil et
Nous fait un clin d’oeil.
Un rayon magique,
Me salue et me fait rire.
Il s’approche de moi,
Je l’invite de me joindre.
(A.H.)
Le clocher d’Eze
Je suis différent,
Tous mes compagnons sont rouges ou jaunes
Mais je suis bleu.
Je suis différent,
J’embrasse tout le village du regard
Mais personne ne me parle.
Je suis différent,
On m’écoute, mais on me regarde à peine
On me rend visite, mais sans rester.
Je suis différent,
Je vois vivre de génération
Mais je lui survis pour voir renaître une autre
Mais toujours sans la connaître.
Je suis différent,
Je fais courir les gens
Tout en vivant au pas lent.
(K.W.)
Changement de perspective:
„Ah non, pas encore une fois – l’eau ! Je ne veux plus…..
C’est bien, je suis resté…. J’aime cette plage. Je vois de grandes montagnes derrière moi, et devant
moi, c’est la mer, une mer d’un bleu incomparable, d’un bleu azur comme on le s’imagine.
En fait, je ne resterai pas longtemps, je suis trop petit pour pouvoir rester si la mer remonte encore
plus, alors dans quelques minutes, je me retrouverai de nouveau au fond de la mer.
Il y est beau aussi, avec tous ces poissons et les autres créatures, mais je préfère être sur la plage au
soleil….
Trop tard !....
(un caillou : K. W.)
Les nuages
Nous vous apportons la vie,
Mais vous nous détestez…
Nous sommes au-dessus de vous,
Mais nous ne contrôlons personne….
Vous volez à travers nous,
Mais nous vous laissons faire….
Nous nous dissipons et vous rigolez,
Nous nous accumulons et vous pleurez….
Nous ne vous comprenons pas,
Qu’est-ce que vous êtes curieux !
(R. G.)