Le Ministère est mis en minorité

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Le Ministère est mis en minorité
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AillIlSTRATION ET RÉDICTWI,
t t . rue du Perl, OCtHMOWT-Pd
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Compte entrant panel Si»
L A JO U R N É E
Le m inistère P ainlevé a été m is en
m inorité à propos de ta consolidation
bons i court term e .
« DUMONT
AU MAROC
Un télégramme
du générai Primo de Rivera
*
M adrid. 22 novembre.
Le général Frim o de Rivera a adressé
Le gouvernem ent va dem ander 1 m il­ au Directoire un télégram m e dans lequel
liard 1/2 de nouveaux b illets de banque il exprime sa satisfaction des résultats ob­
tenus dans les territoires m arocains qu’il
au P arlem ent.
vient d ’inspecter.
Lee in du striels allem ands viennent de
Tout cela, dit-il, me pousse à ne pas laisser
pe prononcer contre les accords de Lo­ perdre te Irait des efforts déjà faits à con­
tinuer les opérations contre Abd El Krim sur
' le territoire des Beni U rriaguels et de pour, suivre les aventuriers étrangers qui pénè­
L e m aréchal Joffre a été, 1 Liège, l’ob­ trent en territoire rebelle sans autorisation
du cornmondcrnent m ilitaire et cherchent gê­
jet de réceptions enthousiastes.
né mlpmcr.t telles ou telles allégations pour
..encourager les rebelles..
carno.
tes errements de Syrie
Le denteuire do Cardinal Lingerie
Lc m aréchal Jôjfr« à Liège
En Égypte
Ê3CÏ.03SJiiCoas IffarrMfennni
,Lm Publicité locale et régionale est reçue
aux bureaux de l'AQEWCB HAVAS,
C;£ V.',<h L»V **,*'? 1 *\
AVEYRON • CREUSE . CORRÈZÜ
LDIRE - LDZERE
<2, avenue dm Etats-Unis, Clormerrt.Fd
La Publicité extra-régtonale. à l'AOENCE
HAVA&, es, rue de Richelieu,
Parle.
Le Ministère est mis en minorité
à propos de la consolidation des bons à court te r m e
L a mesure proposée par iarticle 5 du projet gouvernemental
contraignait de nombreux commerçants et industriels à la faillite et provoquait
la débâcle des Bons de la Défense
d'un pouvoir libératoire à l'égard de
Paris, 22 novembre.
Lee fiâ œ d u eedtenaire du cardinal LaLe* opérations
^
Tous ceux gui fréquentent la .Chambre
a fL a n d e de auepres
vigerie se sont te r m in é « par une gran­
»avaient qoéH e ministère P kM eve
' 8
R
abat,
22
novembre.
diose cérém onie à la cathédrale do
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Dans
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Le m okaden tem poraire de Meknès a
T u n is.
ces dernières séances le chef du Gouveme- dissimule pas à la Cham bre la gravité d e
aaiaTéa procédé à un nettoyage du Djebel, a rrê ­
ment apparaissait comme uv personnage la disposition prévue à i’article o Maie si
ta n t quinze dissidents et en tu a n t six
D ans lo groupe de Taza, les partisan s disloqué, ignorant tout de son sujet essen­ la Chambre le repousse, c'est une in fla tio n
-7
B rancs rassem blés à Merdj El Rouini sous tiel, n'ayant ni politique financière ni po­ c e rta in e
le com m andem ent d’un officier français litique tout court, chaviré entre les radi­
M A stier — Je n’accepte pas que vous (li­
ont eu'ové !a position de H adjerat El Guan- caux-socialistes et les socialistes, toujours siez que mon amendement c’est ‘l'inflation
C’est le contraire Nous voulons éviter une
fotmd et ont rallié le village Anseur.
de l'avU du dernier qui avait parlé, dis- •inflation catastrophique
L’er.nerni
a
abandonné
neuf
cadavres
su
r
T ontes les concessions de M. Painlevé
i trait, confus et excédé.
Le m inistre du budget combat longuea ta doctrines et aux partis de révolution et le terrain.
Depuis deux jours, le m inistère ne pou­ bien» l'am endem ent Mais M Bckanowski,
A la suite de l’intervention de l’aviation
d ’aventure ne l'au ro n t pas sauvé. Ji tombe et de l'artillerie, le com bat s’est ralenti en­ vait plus tenir tète. C'était la déroute .4 A 6on tour, attaque l’article 5.
eu seuil m êm e du projet grâce auquel il tre les Gueznaias et les dissidents. Ceux-ci la séance du m atin l'on crut bien que sa
— La partis fiscale du projet, dit-il, n'aura
tentait 1 impossible gageure de réaliser un onVreÇ'J dee renforts riffains et des arm es dernière heure avait sonné. Ce n'est que qu’un
enet lcrit, tandis que la consolidation
o rd re financier par des procédés anarchi­ atfttimatiquoe.
par 277 voix contre 249 que l'article con­ ces bons sera comme un coup de massue. Le
P arto u t cependant les conditions clima- cernant le moratoire des Bons à court ter­ vote de cet article serait comme un homici­
ques.
Il s ’est trouvé à la C ham bre une m ajo­ **riquea perm ettent aux p artisan s et a des m e m fu t pas supprim é Si les com m unis­ de par Imprudence
M. Painlevé proteste, m ais M. Sibflle lui
rité p our ne point vouloir que l ’Etat faillit forces supplétives de harceler l’ennemi.
tes, au lieu de s’abstenir, avaient noté
' à sa parole. Le fait que les com m unistes
contre, la m inistère eut été avant m idi par reproche d’inquiéter les porteurs de bons
Le président du Conseil déclare alors qu'il
aient rallié cette m ajorité et rendu possi­
terre. Mais ce n'était que reculer pour n ’ést pas question de consolider les bons
ble la chute m inistérielle, ne dépouille
m ieux sauter.
M Sibitle — Je prends acte que vous n’en
point l'événem enl, çom m e on tentera de
A um üieu d'une agitation extrêm e qui de
dossez pas la parole imprudente de M Léon
le dire, de son sens exact. A la vérité, on
vait durer toute la journée, M Bokanows- Blum.
n ’a point vu que le cabinet fût anim é de UNE BANDE DE BRIGAND8
M. lio n Blum. — C’ost vous qui avez sou­
ki avait déjà attaqué dans la matinée, avec
MISE EN DEROUTE une puissance armée de bon sens et de"■ tenu la convention de 1926 qui a donné les
cette com bativité qui eût pu. dans une as­
»réseaux do chemins de fer aux compagnies
sem blée toujours sensible aux sophism es
Londres, 22 novembre. ( réalisme, l'article 5 décrétant la conïolig
im périeusem ent défendus;, le dispenser d ’a ­
On m ande de D am as à l'Agence Reutor, dations des Bons du Trésor. « L'article & LJ «M. -uLe Tronquer en revendique toute >ladit-il, c'est le coup brutal qui lue. C'est] ^ ^ a b û i t e et » * h a n g e a ce Sujet des
à la date du 20 novembre :
voir raison.
aJSxopoa vifs avec M. Blum.
_ ,
Mercredi dernier, dans les ja rd in s si­ l'homIicide par im prudence »..
M. Painlevé s ’écroule pour n ’avoir même
tempête apaisée, M- BakaiwwéM refB fio u ttm B & r la valeur pratique. cxgOe çlag tués Lrjw.dè W iechu. à fe sto ie Dam^s, un
'TürjjÂhéïe ponr re p ê c h e r - aô'-îPrtBtm esures inouïes q u ’il proposait. I> Cartel "ûéfdcfrement ïra n ç a is ‘d«" 38û ’Wmnrffite a du Trésor était. décidée, nous -pouvions?
,i du Conseil cfaiwtfr modifié à plusieurs
A perdu confiance en lui-m êm e. C c s t lû m is en déroute une bande de 70Ö brigands. être écrasés en quelques m ois p a r la
.reprises sesproposition». devant la corn
Les pertes ont été légères du côté fran­
désenchantem ent qui précède et prépare ic» çais. Celles des b rig a n d s ont été de tren te m ande de rem boursem ent de 55 m illiards ' mission des financée peur suivre les conseils des socialistes.
défaites définitives.
de Bons de la Défense nationale.
tués e t q u aran te blessés.
M, Ralnlevé tente de répliquer, m ais M.
Le départ de M. Painlevé ne rétout malMais l'ancien rapporteur général eut
Sidon ser atil bombardé ?
Bbkanowski fait vigoureusement le pro­
•heurensem ent pas les difficultés qui l ’ont
beau insister auprès du Gouvernement cès
du projet qui équivaudrait ù écrire à
Londres, 22 novembre.
uapaé. Déjà, les Cham bres vont être, dans
pour qu'il reconnût son erreur et retirât la porte des caissos de la trésorerie : « Je
‘j i heures, mises en dem eure de voter 1 rnilLe a Daily Mail » annonce que l’ancien cet article qui conduirait à un nouveau ne paierai que ceux qu’il me p latra ».
) Hard et dem i de billets neufs, en attendant port phénicien de Sidon est menacé d'être chem in des Dames. Rien n 'y fit.
M. Painlevé affirme que son seul but
m ieux. On fera jouer à nouveau le spectre bom bardé, les hab itan ts ay an t illum iné
Su r le coup de quatre heures et demie et de revaloriser le franc, m ais M. Boftud e la banqueroute qui depuis Mirabeau a pour célébrer la destruction de villages par du soir, après toute une séanae fiévreuse nowskl ne le lache pas :
beaucoup servi. Mais ici, hélas 1 e t ne sera les rebelles. Les F rançais ont averti les et une série d'incidents qui dénotaient que
M. Bokanowski. — Vous ne petivez pas af­
autorités religieuses que le m oindre trouble
p lu s un artifice oratoire.
d an s la ville sera réprim é. Un croiseur et le funeste projet faisait eau de toutes parts, firmer ici quo în consolidation dés bons û
On votera donc les 1.500 m illions. Et une canonnière sont a l'an cre dans le port. la Chambre par 278 voix contre 275, re­ court terme n'aura pas une répercussion gra­
sur les porteurs de bons de la défense na­
après * Y a-t-i! encore, dans les sphères
poussait, en dépit des efforts de M. Pain- ve
tionale.
gouvernem entales et parlem entaires, assez
levé-, aveugle et tenace, cet article 5 sufLes banques ne le cachent pas d’ailleurs^
de bon sens et de patriotism e pour q u ’un
vous savez bien que ces derniers temps l’afculairc.
fluence des titres sur le marché a été telle
état d ’esprit national y renaisse et y crée
L'on s’attendait tellem ent d cet événe­ que
les porteurs ont subi «n capital anc per­
,v
T O ----l ’o rdre et la vie ? Tout est là et rien que là.
m ent que, m algré le tum ulte et le brouhaha te de 20 pour 100 sur leurs titres. .
La France laborieuse et épargnante a boLA CLOTURE DES FETES
de la salle et des couloirs, l'on perçut que
L’o ra te u r signale égalem ent qu’on ris­
soin de savoir si la politique do désastre qui
Tunis. 22 novembre,
l'ém otion était nulle. Personne ne regret­
t'n e messe de clôture a eu lieu ce m atin, tait M, Painlevé. Et au contraire tout le que de voir la dette à long term e re n tre r
l ’a ruinée est descendue du pouvoir avec
s le rayon de la dette à court term e II
M. Painlevé. T ant q u ’il y aura doute sur 6 l’occasion des fêtes données pour célé­ monde poussait un soupir de soulagement. dan
ad jure M. Painlevé de ne pas m aintenir ce
ce point essentiel, rien ne sera rassuré ni brer le centenaire du cardinal Lavigerie
Seuls, des enragés cartellisles du groupe fâcheux article 5.
Parmi les personnalités très riomoreuses
restauré.
M. Vincent Auriol intervient pour soute­
« Que va
qui assistaient à cette solennité religieuse, Hcrriot se lam entaient disant
Il D’y * plus place désorm ais que pour on rem arquait le colonel Courtot. représen­ devenir le Cartel dans tout cela ? »
nir l’article. Puis après que M. Astier s'est
u ne Autorité libérée des politiques de divi­ tant le Résident généra! ; le maréchal FranQuant à nous et quant à la m asse des étonné de l’acuité d u n débat qui, selon lui,
sion et de gaspillage. Seule, la voix qui p ar­ chel d’Espérny ; le général commandant la hom tétes gens, chacun se dem ande . « Que ne porte que s u r une m odalité du projet,
intevéJndique d ’un gmt le prix qu'il
lera au nom de 1 intérêt national sera pa­ division d'occupation, représentant le mi va devenir le pays ? » Ce n'est plust l'fiçur»
e ar son a ra eie i’
triotiquem ent obéic par le pays q u 'elle aura nisjre de la Guerre ; l’am iral Grendelémepi, de la basse politique des clans t t des appé­
représentant le m inistre de la- M arine ,
Le Gouvernement, dit-il. demande instam­
réconcilié.
îk général Younes Hard b u , représentant tits. Seule, une grande politique nationale ment h la Chambre de voter l’article 5. SI
Maurice V AM.FT
le Dey ; les généraux Antoine Suberbie, d'union et de concorde, repoussant nette­ cet article n’était pas voté )o ne pourrais as­
Favreau : l’a n ira l Louis, adjoint eu préfet m en t le concours des révolutionnaires pour­ sumer davantage les charges du Gouverne­
(
m aritim e: MM. Cuterlin et ChaberL vice- ra rendre au pays la confiance et faire ment.
présidents de la municipalité : tontes les accepter de lui les sacrifices nécessaires 4
Cette déclaration cause une g ran d e sen­
autorités françaises et les consuls étrnngers. C'est surtout dé cette politique qu'il fu i. sation. La clôture do la discussion cat vo­
I.fr cardinal Gharnst n résum é éloquem­ question dans les coulootrs et de,
des hom m es tée.
ment «se que furent les vertus et L'activité
M. Ernest Lafont déclare que ces am is
Liège, 22 novembre.
-cardinal i^ivigerie et çè que doit être qui la représentent.
de l’union socialists com m uniste noteront
D ans la matinée, le m aréchal Jofïn- s’est du
P. CHANTUnGÜB.
l'hommage
que
l’on
doit
»
V
son
illustre
mé­
) 'reticle 5 non pas parce que le Gouver­
rendu au fuit de Loucin, «n trav ersan t le
nement a posé fa question de confiance,
q u artier de l’Ouest, il a déposé des fleurs moire. Après »voir salué les autorités pré­
r/tais parce que la classe ouvrière souffri­
au pied du mémorial érigé ô ta mémoire sentes. Mgr Charost e fait un vibrant appel
SÉANCE
DU
M
A
T
IN
rait terriblem ent d'une inflation et d’une
d e s habitants m orts pendant lu guerre. Lies b toutes les populations tunisiennes, les
exhortant à rester fidèles A la France «pu
Paris, 22 novembre.
dépréciation du franc.
fleurs ont été offertes au maréchal.
La séance est ouverte è 9 h 15 sou® la
Au milieu des acclam ations de !a foule, n ’a jam ais songé A m ettre le front des peo­
M l'abbé Lemire. — Entre un» parole don­
le cortège a repris ensuite sa route vers ples sous son pied, encore moins sous 9a présidence de M. Harriot devant une tren­ née par l’Etat et un danger à courir. J’aime
botte,
m
ais
qui
reste
pour
eux
une
mère
mieux courir le danger et respecter la parole
le fort de l-oncin on le m aréchal a déposé
taine de députés.
*
attentive, prête A assurer, grâce è sa puis­
l'Etat. Je voterai donc la suppression de
des fleurs au pied du m onum ent.
On continue la discussion du projet fi­ de
sance,
leur
bien-être
et
leur
bonheur
dans
l’article 5.
Le m aréchal a ensuite visité lu citadel!«
nancier.
l’union
fraternelle
que
résum
e
si
bien
sa
Cet après-midi, il est allé déposer des fleurs
M. Dellao retire son am andem ciit, étant
Les articles 3 ot 4 sont adoptés aprè 3 re­
su r la tombe ôps soldais uîîtés, au cime­ devise : Liberté. F.gslité, Fraternité.
bien entendu que le Gouvernement appor­
jets de divers am endem ents
tière de Robermont. Il a été l’objet d'une
tera les précisions nécessaires qu an t à
LA CONSOLIDATION
chaleureuse manifestation de sym pathie
l’im portance de l’inflation.
Les
industriels
allemands
DBS BONS A COURT TERME
l a ville est magnifiquement pavoisée a u s
M. Montfgny, député radical-socialiste dé
couleurs belges et françaises.
On est arrivé aux articles 5 et 6 qui sont la S arihe, dit que pour lui la question n'r.rit
Ce aoir, un d in er fort b rillan t a été of­ contre les accords de Locarno ainsi conçus :
paa une question politique.
polit:'
Il est persuadé
fe rt p a r la vflle de Liège
de
—le.céiw q u i voteront po
~*ur le main)
.
Art
5.—
En
ce
qui
concerne
les
valeurs
A
A» dessert, le bourgm estre a porté la
■" lé ro te n t en réalité contre les intérêts
Rcrlin, 22 novembre.
court terme du Trésor *1 du Crédit nationSl.
sa n té du Roi des Belges et d<i .Président
de LBtafc, c a r U s'a g it de te n ir la parole
L'Association des Industriels allem ands Tes dates de leur rem boursem ent seront amé­ de
d e la République française, et fait un cha­ ptibjle
l'É tat.
nagées conformém ent è un tableau annexe
un
m
anifeste
p
a
r
lequel
elle
ra
p
­
de vingtleureux eloge dn m aréchal et de la France. pelle au président ' d ”Empire q u ’elle ro- à la présente Toig -su- r fine -période
On entend une dernière fois M. Painlevé
■
cjnq
ans.
com
mençant
a
courir
du
prem
Le m aréchal a répondu avec émotion en
ain te n ir l'article 5 toujours sous Iç -pfépouege énergiquem ent le traité de Locarno Janvier 192«
ra p p e la n t l'héroïque défenee d a la villa en et
xie d'une nécessité inéluctable et on
pour des raisons économiques.
Art 6 — Les nortpurs» U
deÖ INJIIS
bons U
du
O Trésor
1 ine*yi l.jppfrn
1914.
à 3. 0 et lO itfis 1923.tire série) qui ont déposé
leurs titres en vue du remlmursement au 8 f n r B r à s ’ pt,ifitage, l’article 5 est m aintenu
décem bre 1925. recevront, soit un nouveau par T77 vbix contre 249.
titre dt» même type am ortissable dans les 7 Les géuches a p p lau d isse n t L eur joie se­
conditions prévues à l'article précédent, sèft r a brève.
hn titre <le même valeur nom inale qui sera
—-SiW —
Banton d’Avesnea-le-Comte (Pae-de-C&lals) accepté pour cette valeur, augm entée d'une ■ Après quoi la séance est levée et rppLe Caire, 22 novembre.
m ajoration dont le taux et les m odalités se­ vôyée à cet après-iûidi.
Inscrits, 3 357.; votants, 2.844.
fixés par décret, en paiem ent des im ­
TOO sén ateu rs et députés se sont réunis - O ut obtenu •’ MM Jessons, républicain ront
pôts à percevoir au titre de. l'exereice 1926
SEANCE DU SOIR
d an s up hôtel de la ville Ils ont élu Za- national, 1.627 voix, ELU ; docteur Caïuue, au profit «le l’Etat, a l’exception de la contrighlool P ach a comme président de la C ham ­ socialiste S.F.I.O ., 1.180 voix.
, button extraordinaire su r les bénéfices de
Séance reprise à 14 h. 25, sous la prési­
j guerre et dee Impôts et taxes directs prévus dence de M. Herriot,
bre et un Ubéral et un nationaliste extré­
Banton de Chfttel (Vosgee,
par voie de rôle an profil des •départem ents
m iste comme vice-présidents
MM. Jnhannet. union républicaine démo­ et des communes «n titre du même exercice.
ON REVIENT a L’ARTICLE S
t.r r tro is groupes «Je l'opposition ont dé­
cide que le» députe» s'ab stien d ro n t de 60 cratique. I 414 vo’x . Dciuange, radical
Le président donne lecture de (’am ende­
M. D o li« demande la aupfroesion de
rendre au Parlem ent afin d'éviter un con­ Aocialifite, 1.148 ; Jeaugcon, républicain ra ­ ces den* articles, ainsi que celle de l’a rti­ ment déposé par M. Astier su r P a rtie « 5,
flit avec la police et les troupes. Des sol­ dical, 973
Cet am endem ent tend h rem placer les
cle
qui prévoit 1.500 militons d ’infla­
11 y a ballottage
d ats et des agents ont établi or. cordon
tion, et leur rem placem ent p ar un article articles 5 et 6 p ar on article stip u lan t qtt’U
' au to u r du palais du purlem ent dès les pre­ —'
o
-■
- additionnel décidant que les porteurs de rera offert aux porteurs de titres de ia d attè
m ières heures de la m atinée. On pense que
BOURG — Le 2â* anniversaire de la mort ces tîtres recevront en paiem ent un nou­ é-,court terme, de bons du trésor et du Cré­
b*a étu d ian ts se m ettront en grève, ruais , du poète Gabriel Vicaire a été conunernoié veau titre à 12 mois p o rtan t intérêt à 3 60 dit n*Ü enal, un titre am ortissable s» tren ­
j p o u r ICO et gai jo u ira, A tous moments, te aass .• i, .•
y. ■ r
resteront chez eux.
i avec éclat, aujourd’bui, à Score.
LA CHUTE
*/ ,
P aris, 22 novembre.
En quittant la Chambre, M. Painlevé et
les m inistres se sont rendus d ans le cabi­
net qui leur est réservé an Palais-B our­
bon où ils ont rédigé leur lettre de dém is­
sion q u ’ils sont allés porter à 5 h. 15 au
Président de la République.
M. Painlevé tient
des propos mystérieux
M. Painlevé, qui a eu un entretien qui
s ’est prolongé pendant une demi heure
avec le P résident de la République, a
quitté i’Elyeée à 18 h. 20 accom pagné de
M. de Monzio.
A sa sortie, aux journalistes qui lui de­
m andaient de bien vouloir leur faire une
déclaration, M. Pallevé a répondu :
— «> La République continue et nous
, vajîicrqng ,f]jr ejlc 11 y a peut-être des
ggqs mp erpieni que toutes les occasions
sont bonnes. Ils feront bien d'y re g a rd e r
à deux fois »
En c a s de non acceptation, la Caisse d’amcr-tisseinent pourra placer à la Banque
de France
Titres qu’elle a u ra en sa pos&fc-K)'on «t ôé, ain-es aûtorfsàtiÔu législative
et dans lès llrSltès dès'excédents de bons de
i.i Défense nationale
M. Açtter; soutenant son amendement, de­
m ande au m inistre du budget de dire nette­
La crise était inévitable
ment si le Gouvernement s'engage A ne pas
La crise M inistérielle qui vient de e’oudem ander, d'ici la fin de l ’année, une nou­
velle émission de billeie pour faire face vrir n’a pas causé une g ran d e su rp rise.
L’hostilité que rencontrait le p ro jet n u a n ­
aux remboursements.
cier même dans las ran g s des députés fa ­
M. G. Bwiiret — Nous avons déjà répondu vorables au Gouvernement é ta it de n a tn ra
â la question et Je vais répondre une fois à laisser prévoir cet événem ent, et depuis
qe plus.
Nous sommes certains, »n l’état actuel des plusieurs jo u rs on é ta it d ’a«vis que cer­
choses, d ’avoir avec le milliard et demi que taines dispositions de ce p rojet éta ie n t
lions demandons de quoi couvrir toutes let vouées à un échec certain.
dépenses de la Trésorerie Jusqu’à la fin de
La criße n ’a u ra it été q u ’ajournée si M.
janvier.
Painlevé avait réussi <t triom pher cet
Vous me demandez de prendre un engage après-m idi su r la question de la consolida­
mont. Je défie un gouvernement quel qu’il tion des bons à court term e. Dans ce cas,
soit de prendre an engagement semblable
il ne serait pas parvenu à grouper une m a­
M. Act!er prend acte de ces déclarations jorité favorable à la taxation de la rente
et retire son am endem ent.
qui recontrait une hostilité, encore plus
M. Louis Dubois soutient un am endem ent grande.
ten d an t à introduire dans l’article 5 une
Les comités directeurs des groupes com­
disposition ay an t pour but de soustraire posant le cartel se sont réunis après la
les bons à court term e venant à échéance séance de la Cham bre pour délibérer su r la
le 8 décembre- aux am énagem ents prévus j situation.
dans ledit article.
Les consultations commencent
» M. Missoffe appuie cet amendement en j
faisant valoir qu'il n ’est pas un tribunal ! M. de Selves, m andé p a r le président de
qui d éclarerait en faillite un com m erçant la République est arrivé à 18 h. 05 à
«qui suspendrait ses paiem ents p a r euite des l ’Elysée.
"fâ t
de l’I
A 19Wheures, M. Doum ergue
V: •.... a reçu
» ■ M.
a u te u r de l’amen- Hcrriot,
dem ent de la question, vitale pour le com­
O ebs les couloirs de la Chambre
merce et l’Industrie, q a 'tl pose. M. P.-B.
Flandtn souligne que ce sont particulière­ , En raison du péril de la situation, nom­
m ent les petits com m erçante de province breux sont les députés qui croient néces­
qui n ’ont pas été renseignés à tem ps, qui saire et réalisable ta constitution d’un Go’ia u ro n t è p â tir de oea dispositions 11 crain t vernement de concorde nationale. Tel est
que le m anquem ent de FE tat ne provoqué notam ment l’avis exprimé p ar M. FmnkiiriBouiiTon qui 8 déclaré aux journalistes :
nom breuses faillites.
Il rappelle quo le Gouvernement a pris, >• Vous me demandez que doit être la for­
un arrêté p a r le- mule du Gouvernement de demain ? De
à la date du 10 novembre,
m
tel tous les porteurs de bons à écnéance Blum A Marin et s ’exclura qui veudrq
que
du 8 déembre avaient ia latitude d’échan­ Hors de cette formule, il n’y aura pas un
ger leurs titres contre des bons de la Dé­ 'seul Gouvernement qui puisse ôtre stable
fense nationale ù 3 mois et que cet a rrêté ou utile au payB »
MM. René Coty et Lafarge ont exprimé
n ’a été rapporté qne le 16 novembre.
M, PfanÀin. — 8enîs, les gens renseignés, des avis analogues.
P a r contre, un certain nom bre de parle­
et en î'occurencc ce sont les banquiers, ont
pu profiter des dispositions de cet arrêté et m entaires estiment que le vote qui a ren­
se faire rem bourser, ca r vous n ’ignorez pas versé le Gouvernement n’apporte au chef
que les bons de la Défense à 3 mois sont de l’E tat, aucune indication nette pour la
constitution du futur ministère. C’est ce
escomptables immédiatem ent.
• Ij aerqtt donc injuste que, seuls, les gens que pense M. Raoul Péret, député de la
vienne : o Ce qui rond complexe la situorenseignés, et pour employer le vocabulaire tion,
fait rem arquer l’ancien président de
'd é M. Renautjel, Je pourrais»direT es >• re­ la Chambre,
que le» comm unistes ont
quins », aient pu profiter de la situation contribué parc’est
lour vote à renverser le mi­
jjriur se faire rem bourser, alors que ceux nistère, en sorte qu’fl ne se dégage du scru­
qui ont besoin de leur argent n ’eô trouve­ tin de ce soir aueune m ajorité de Gouver­
raient pas le 8 décembre,
nement.
M. Gaohin prend prétexté d» ces déclara­
P ar ailleurs, selon plusieurs m em bre
tions pour p a rtir on g» er re- contre 1«* ban, l’Appositiwi, | | (scrutin su r l’article o.
ques, gt M« §»«jol«M Pl*ldé
«h peu sigmflëôÿir que la volonté absolue du P a r­
d ’énervèm ent pour affirm er qu'il n'y eut, lement de ne pas laisser l’Etat faillir à ses
iuvre.
en l’occasion, aucune maficeu’
1
engagement» ei de l’obliger toujours h . res­
Mnis 0 0 fait rem arquer que l'échéance pecter sa signature et son honneur.
du 8 décembre est réglée p ar l’article 6, et
M. Bokanowski résum ait son interven­
M. Rubais retire son am endem ent su r l'a r­ tion de la matinée en déclarant également .:
ticle. 5 .'
.
» . ■•
’ .... « Ce n’est pas un vote politique que nqus
Où aa dispose donc à m ettre aux voix le avons émis, m ais un vote technique. Noua
ne voulons pas que l’Etat renie sa parole. »
texte .d eT a rticle,
Le pvéafdent donne lecture à ce moment
Les bêtises continuent
d ’un p arag rap h e additionnel ainsi conçu :
groupe républicain socialiste, réuni
La responsabilité du Crédit National est
complètement dégagée à l’égard des porteurs après la séance, a adopté une motion si­
de Bons à court terme consolidés.
gnalant au pays «■ que le citoyen Painlevé
M. Raoul Péret dem ande des précisions est tombé sous les coups de la réaction »
et comptant <■ «pie le Gouvernement de de­
su r la pariée de ce texte.
M. Lameureux déclare qu'il n ’est saisi de main. s’inspirant des sentim ents exprimé»
ce texte que depuis hier et qu’U n ’a pu en par le pays le 11 mai 1924, sera un Gou­
vernem ent de défense et d’action républi­
saisir la Confmission, puisque la Chambre caines
».
siège le m atin, le aoir et la nntt.
Cea déclarations provoquent de vifs m u r­ Les groupes du Cartel délibèrent
m ures. On se x /Iiq u e un peu laborieuse­
Les différents groupes du Cartel, dan»
ment à la tribune; Après quoi, devant les
protestations d e la Chambre, le Gouverne­ la réunion q u ’ils ont tenue ap rès la séan­
m ent et la Commission retiren t je texte adt ce de la Chambre, se sont bornés A procé­
der A un échange, de vues su r la situation
dtt(qnnei m alencontreux.
i créé.» p ar (n demission du Cabinet,
I U : :.
■
LE TDTB
j Aucune décision n’a été prise. Il a été
La président met donc aux voix-t’artfcle. seulem ent convenu q u ’une délibération
-5 prttnftif. Le scrutin n lieu a u tnfliéü de commune des comités directeurs de tous
de gauche a u ra it lieu ce soir,
ta pîris g rande anim ation e t donné lieu A àles9 groupas
heureâ.
pointage.
",
I Jusqu'ici, l’accord n’a pu encore se
La 6éance est suspendue à 16 h. 30.
faire- C’est ainsi q u ’au groupa mdioalsocialiste, M. Franklin-Bouillon n préco­
LE MINISTERE EST EN MINORITÉ
nisé la constitution d’un m inistère de large
La séance est reprise A 16 h. 55. MM. concentration nationale, tan d is qne h l
DaJnievé, B- Bannet, Cfmirtrotpa, Daniel M&Ivv. s ’est pronacé pour ia continuation,
Vincent, Perrier, Barel Da lad 1er, Oahté- avec la fu tu r cabinet, d«' la politique sui­
«*u, jsdnt. au banc du Gouvernement. La vie p ar la m ajorité depuis le II m ai lft!4.
Cham bre est très nombreuse, lin stidncé , Cet nvis a. p a ra revuoinir fause* tin ten t da
profond s’élabtlt.
, la p lu p art des radicaux-sacialistes.
M .-Harriot proclam e les résultat^ du poin- ■ Au groupe socialiste, il a été r«connu
Fartlofe 5 est repoussé par 77« voli que toute décision serait prématuré» A
«ontre 276.
.l’haùre actuelle. Si la question «i* ia part
Sans rten dire, M. Painlevé, qui déjà tieipntion m inistérielle se trouvait officielav ait plié sa serviette, se retire suivi de lem ent posée devant le groupa, on fait-re­
toqs les m inistres, salu é des applaudisse­ m arquer q u ’il serait sans douta née
m ents des socialistes et des radicaux-socia­ de convoquer un Congrèa national.
listes.
Parie, Ä novembre.
Les dépôtôs d e gauche invectivent leurs
La réunion des délégués de» g ro u p ât dç
collogues dp la droite et du centre qui af­
s'Mt ttra û
Cartel commencée à 21i Jbeurre
w
fectent t’impaüstbtlitô.
. M. HerrlM propose à la Cham bre «le s ’a- née un peu ap rès 23 h. 30.
m aai
A l’issue do cette réunion I»
jo u rn er à m ardi. Il on est ainsi décidé dans
qué e n tra n t a été remre à ta
tumulte..
.
_ A
I peu la shQs,
...... .1Led' rej>fésè«tA»fiyih»igfo )p
Les députés quittent
peu
groupé *
comm«*«taat* avec passion fe
(e ggrave' éVé- , cialtSte, «lu groupe socfaHate et
ep comihi'Utaat
^répul^jcAla
socialiste, réunis aj
s l^ C .ruru,..,..—
ü o t Çal vieot. de. ...
se produire.
LUNDI ? |
LUNDI 23 NOVEMBRE 1223
ciero u x développe brièvem ent
l'o rd re ,
l ’en ten te sociale, la défense de ta p ro p riété
in dividuelle et l'a tta c h e m e n t a u sol n atio ­
n a l, à la F ra n c e d ont le ray o n n em en t est
in d isp en sab le a u m onde en tier.
M L arm ero u x -est v ig o u reu sem en t a p ­ AYANT A SE PLAINDRE DU PUBLIC ET
p la u d i
DU TRIBUNAL DE CLERMONT, ILS
SUPPRIMENT LE TRAFIC SUR LA
DISCOURS OE M. RAMARQNY
Une imposante protestation
Il fa u t à vos m a ris de bonnes et solide«
LIGNE DE CEYRAT.
M R a m a ro n y , avec un accen t et un e vi­
H ier, salle G a illa rd , la F éd éra tio n d u P e­
chem ises e t ceux qui tra v a ille n t ont besoin
contre les projets de loi visant
g u e u r u n peu m érid io n ale, m ais qu’ap p ré ­
tit et Moyen Com m erce ot de la P etite et
d ’une q u a lité de tissu q u ’ou ne peut p as
la propriété bâtie
U ne nouvelle inflation
cient beaucoup ses a u d ite u rs clerm o n to is
Le S y n d ic a t des E m p lo yés d e tra m w a y s tro u v er d a n s les article* de confection.
M oyenne In d u strie , a v a it o rg a n isé co n tre
— *—
u>
\p a s e en p rin cip e que les p ro p rié ta ire s de C lerm ont nous a rem is, tu e r soir, la
Com me chaq u e année, les F a b ric a n ts de
L a su ite de l'a jo u rn e m e n t à une d a te In­ la p o litique fin an cière et fiscale d u G ouver­
L 'A ssociation des p ro p rié ta ire » Qe C lé r- «d’im m eubles o n t d ro it, com m e tous les ci- note su iv a n te :
,
-, 1
T issu s R éunis, 6,' rue A ndrê-M oinier, à
d éterm in é e des réform e* d estin é es ù a s s u ­ n em ent u ne m a n ife sta tio n q u i g ro u p a 2.00#
,
m o n t-F erra r.d
r e r l'a ss a in isse m e n t fin an c ier, en ra iso n a u d ite u rs .
Les em ployés des tra m w a y s do C ler­ C lerm ont (en ba» le sq u a re P ascal), font
La ré u n io n tin t to u te s les prom esses de ganisé,
de la e r s e m in istérielle, il sem bie q u 'on ne
m o n t-F e rra n d a y a n t a rrê te to u t service cette se m ain e une vente réclam e de T issus
son titre . P e n d a n t d eux h eu res, les rep ré­
p u isse éc h ap p e r a u n e nouvelle in fla tio n
s u r la .li&Ae Ja u d e -B e a u m o n t-C e y ra t.i p a r ­ p o u r chem ises d ’hom m es p en d an t laquelle
a tro n a g e S ain t-J ean .
le u rs p lu s belles q u u lités de flanelle-croi­
,flà . , .
Les besoins du tré so r p eu v en t, en effet, se n ta n ts q u alifiés du p etit com m erce firen t
le u r n écessaire p o u r laisser un h éritag e à tir d e 'l V n . 20 (dernier d é p a rt de Ja a d e l
ê tre tels que le cab in et P ain le v é, q uoique en des d isc o u rs d iv e rs d e form e, m a is d 'u ­ B ian zau De très n o m breux a u d ite u rs le u rs e n fa n ts II n'est pas de m eilleu rs et 17 h eu res (d ern ier d é p a rt de Ceyraàj sée, fiànelle-reim oisc, oxford, etc..., so n t
d ;-rix ssio n n aire, soit obligé a v a n t la cons­ n e ég ale sév érité q u a n t au fond, le procè3 a v a ie n t rép o n d u à l ’appel de3 o rg an isa- F ra n ç a is q u ’eux ; ils se sont b attu s, com ­ doivent en d o n n e r la raiso n au n o m b reu x è vendues au prix uniform e de 4 fr. 50 lo
| m ètre, a lo rs que ces même* q u alités, g a­
titu tio n d u nouveau m in istè re de v en ir de­ d u g o u v ern em en t, de ses 1*1$ e» do ses p r o ­ te u re et, dès 2 h eu res, la sa lle é ta it bondée. m e le» a u tre s, p p p d ap t lo g u e rre et a p rè s public e m p ru n ta n t cette ligne.
Q uelques m in u tes p lu s ta rd p ren a ien t
m a n d e r au P a rle m e n t le vote d 'u n e loi jets.
Cette m esu re a été prise p a r ie s y n d ic a t j ra n tie s solides à l'e a u de Javel, so n t ven­
u
e
rre
o
n
t
rép
o
n
d
u
com
m
e
les
a
u
tre
s
à
M C h ap elet, l’u n d es v ice-p résid en ts d e p lace s u r !a scène les tro is o ra te u rs a n n o n -'
d ues p a rto u t a ille u rs 5.75 et 6 francs.
a u to ris a n t la B anque d e F ra n c e à_ a u g ­
E ta t qui le u r d em an d a it le u r aid e pécu­ en 6a réunioD d u ven d red i 20 c o u ra n t,
M ais à ce prix exceptionnel il n ’en se ra
p o u r p ro tester co n tre les m a u v a is ag isse­
m e n te r le m o n ta n t de sea vances à l'E ta l. fa F éd éra tio n , p ré sid a it. Il rem e rc ia les a s ­ ces : M. J e a n L arm ero u x , av o cat à - la C our niaire.
La com m ission des fin an ces a u r a it été s is ta n ts d 'ê tre venus au ssi no m b reu x ; les d ’ap p el de P a ris , p résid en t d e la Confédé­
m e n ts d ’u n c e rta in nom bre de v o y ag eu rs p as rem is plus de 11 m ètres à la m êm e
—
Ils
o
n
t
fa
it
p
lu
s
que
to
u
s
les
a
u
tre
s
d é jà officiellem ent avisée du p ro c h a in dé­ o ra te u rs in sc rits de leu r con co u rs ; la ra tio n in te rn a tio n a le de la P ro d u ctio n , de F ra n ç a is , a jo u te M R a m a ro n y , ils b u t (jeunes g en s en p a rtic u lie r) q u i non se u ­ personne, q u a n tité su ffisan te pour 3 che­
p ô t d 'u n n ro jet de cette n a tu re qu elle a u ­ p resse de i’h 0 6 p ita lité o u ’clle acco rd e au x l ’O rdre et de ta P aix et de lU ô io n in te rn a ­ do nné u n e p a rtie de le u r avoir, g ra tu ite ­ lem ent in ju r ie n t les a g e n ts, m a is les p aien t m ises ; de m êm e q u 'il n ’en ee ra m is c a
vente que 10 pièces seulem ent ; nous vous
r a i: à e x a m in e r d urgence et à r a p p o rte r co m m u n iq u és de la F é d é ra tio n , q u i, affir­ tio n a le de la P ro p rié té b âtie ; M C harles m ent et n ’o n t recueilli que de l ’in g ratitu d e. so u v en t... à coups de poing.
m a-t-il, n e p o u rsu it a u c u n b a t politique. Il R a m a ro n y , av o cat à la C our d ’appel d«
conseillons donc de ne p as tro p ta rd e r ai
d e v a n t la C ham bre dés m a rd i
N
ous
avoue
p
a
tie
n
te
ju
sq
u
’à
p
résen
t,
D ans ces con d itio n s. M. R a m a ro n y s ’in ­
On p réc isait d 'a b o rd que le ch iffre de p récisa q u e la réu n io n n 'a v a it p as d a u tre B ordeaux, p résid e n t de l'U n io n de la P r o digne co n tre les lois sp o liatric es en pré­ m ais n ’é ta n t so u te n u s p as personne (ex­ ceja vous intéresse.
in
te
n
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que
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F
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co
,
et
M
M
aurice
Bel­
»
<
—— »
l'a u g m e n ta tio n des a v a n c e s d em an d é es
p a ra tio n : la l o i s u r les p ro ro g a tio n s q ui cepté q u elques co n trô leu rs), nous som m es
s 'é lè v e ra it à 6 m illia rd s. Mais, en d ern iè­ c o m m erçan ts la ju stice à laq u elle ils o n t let. an cien d ép u té, av ocat-conseil de la j est un e nouvelle a tte in te au d ro it de pro­ décidés à renouveler ce geste, ch a q u e fo is
T h é â t r e
M
u n i c i p a l
m êm e o rg a n isa tio n
re heure, le p ro je t g o u v ern e m en ta l ne eom- d ro it et qu e p erso n n e ne le u r conteste.
q ue ce public n o u s y c o n tra in d ra .
Us étaie n t acco m p ag n és de M. le d o cteu r priété et l a loi s u r la p ro p rié té com m er­
M* F o tsset, avoué-conseil de la F é d é ra ­
tjo rta it plus que l’a u g m e n ta tio n de 1 m il­
On réclam e de la co u rto isie de la p a r t
ciale.
lia rd 500 m illions prév u s dam» le p ro g ra m ­ tio n . ra p p e la b rièv em en t la nécessité do D ubois, p résid e n t de l ’A ssociation des p ro ­
SI J'E T A IS ROI
L 'o ra te u r rond hom m age à la g ra n d e des em ployés ; à leu r to u r de d e m a n d e r
m e fin a n c ie r en d iscussion d ev a n t la C ham l'a ss o c ia tio n p ro fessio n n elle des com m er­ p rié ta ire s de C lerm ont et des m em b res d u m a jo rité dos lo c ata ires fra n ç a is Si l'E ta t un peu de politesse à leu r é g a rd
Jeudi prochain sera donné la délicieux opé.
conseil d ’ad m in istra tio n .
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E n o u tre, no u s faiso n s re m a rq u e r & ceux ra-comique d'Adam : Si j'Etais Roi, avec le
tèl'Pet le P a rle m e n t, dit-il, ne s'é ta le n t p as m ê­
concours de toute notre excellente troupe
M. P ain le v é se préoccupe, dit-on, de sa­ tiq u e et lé g isla tif le u rs lég itim es rev en d ica­
ALLECUTION DU DECTEUR 0 U B 0 I6
lés de ce q ui ne les re g a rd a it p as, l'en ten ­ q u i sem b len t l’ig n o rer que no u s ne som ­ d’Opéra-Comique ; M. Maurice Capitaine, do
tions.
v o ir s’il ne se ra it pas possible d ’a v a n c e r
m es n i p o u r recevoir les réc lam a tio n s , n i l’Opéra-Comique ; Mlle Suzanne Hedouin, ds
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M ' Domai p a r la avec sag esse et m o d é ra­
uo 24 h eu re s ta réu n io n que ia C ham bre et
p o u r é ta b lir les ta rifs, m a is p o u r les a p ­ l’Opéra de Monte-Carlo : Mlle Renée Ram 0 3 ,
ta ire s et lo cataires, c o m m e 'a v a n t-g u e rre
J i S en at doivent te n ir apne-dem ain m a rd i, tio n de la loi du 6 ju ille t 1925 s u r les b au x à d ’ê tre v en u s au ssi n o m breux L eu r p résen ­
Il s ’élève avec in d ig n a tio n co n tre le n o u ­ pliq u er, et co en fa is a n t n o tre d ev o ir de de la Gaieté-Lyrique ; MM. Jennekin, de ta
ce
p
rouve
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conscience
de
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long
term
e.
a f in de h â te r ie vote de son projet.
tra v a ille u rs.
Gaieté-Lyrique ; Cauchemont, de la GaiiU>
L avocat-conseil de la F é d é ra tio n s’est v ité de l’h eu re. On tr a ite las propriétadrejs veau d ro it qu e le lé g isla te u r v o u d ra it
Lyrique ; Lichardcs, Rolland, etc.
Paner le S y n d ic a l,
d éfen d u d e to u te ex citatio n d ém ag o g iq u e d ’im m eubles en p a ria s Ne sont-ils p a s co n sac re r et q u ’on ap p elle le. p as de porte
Le secrétaire : A. Rocx.
et-a éq u itab lem en t ré p a rti les resp o n sa b ili­ p o u r ta n t les m e ille u rs des co n trib u ab les ? et qui n 'e st rien a u tre q u 'u n vol com m is
L’o r a te u r rep ro ch e au x g o u v ern a n ts de a u p réju d ice du p ro p rié ta ire .
tés en tre lo cataire? et p ro p rié ta ire s d a n s
\ a v is e t eoiN vocA n o r* »
#*#
En te rm in a n t, il dem an d e à ses a u d i­
la s itu a tio n u n peu a n a rc h iq u e où se d é b a t n ’av o ir p a s su re v e n ir a u d ro it com m un ;
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le m onde des affaires a u su je t d u logem ent.
La Chambre eyndloale de la Cordonnerie Ca !’ar­
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péri!
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rin
cip
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êm
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de
la
p
r
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Il estim e n éa n m o in s que le silence de la loi
. w v ----cieuse d is a n t que le S y n d icat a fait cesser rondissement de Clermont Ferren-1 invite tocs s<>j
s u r le.s m a jo ra tio n s p erm ises risq u e de li­ p riété q u i n ’est p o u rta n t q u e la co n sécra­ su iv re ie jo u r ou fis leur d o n n ero n t le mot le tra fic s u r la ligne de C ey rat, p o u r p ro ­ membres, ayndimiés ou non. à assister .1 la réunicu
R io-de-Janeiro, 22 novem bre.
qui aura Uen lundi C2 novembre, à s beures <io
d
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E
t
ce
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o
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il
le
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res­
v re r lo co m m erçan t lo c a ta ire , q ui p resq u e tion m êm e du tra v a il. A u jo u rd 'h u i, à tr a ­
te ste ! co n tre le ju g em en t du trib u n a l de soir, sa-’te Jus Ice de Paix, â l’HOtci de l'illq
- T*ne explosion o é s t p ro d u ite à bord d ’un to u jo u rs est u n p etit co m m erçan t, à l*â- v ers la p ro p rié té , c’est le p a y s e; la civilisa­ se n tir en s ’é c ria n t :
Présence do tous indispensable.
— La m o d ératio n , la pair. o u i. m aie de­ C lerm ont, c o n d a m n a n t le m a ch in iste R a ta
lo m o rq u b u r 11 y a eu 17 m o rts a d éplorer. p reté de son p ro p rié ta ire . Et M* D em ai a tio n m êm es q u i so n t m enaces.
Oman m usicals Mentier A ndslee. — BépéU'toai
;i 3 m ois de p riso n s a n s su rsis, com m e res­ demain
m
a
in
,
s'il
le
fau
t,
la
révolte.
Le
d
o
cteu
r
D
ubois
invite
tous
ses
au
d
i­
mardi, â ié h a Le pr&.h!->nt ayant uuo
—
♦
—
- peu de confiance d a n s l’in fo rm atio n des t r i­
i eoruA
"**'*•••»! '■
_,
p o n sab le de la collision du 5 ju ille t d e r­ tcuaciunicaticn
urjente h soumettre, la présent«
b u n a u x et d es ex p erts p o u r a r b itr e r les co n ­ te u rs à fa ire d e l<â p ro p a g a n d e p o u r qu e lés , ,
DISCOURS DE M. BELLET
n ie r, q ui f it u n m o rt et p lu sie u rs blessésdr to-jc esi obligatoire7.000
p
ro
p
rié
ta
ire
s
de
C
lerm
ont
a
d
h
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re
n
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"à’
fin s ~'r
~
^ .m a .
J
M. M aurice Bellet p re n d en su ite la p a ­
M* Damait’ s o u h a ita dofie q û ê la loi so it l'A sso ciatio n . H fa u t a g ir a v a n t que les rui- role non sa n s que M. L arm eroux a it s a ­
ta• ta
rep rise et réform ée P a rm i les te x t « n o u ­ nés se soient accum ulées M D ubois pré­ lu é an lu i u n a rd e n t d éfenseur de la p ro ­
Avis a u trib u n a l et au public !
AVIS O’OBSEQUSS
L im oges. 22 novem bre.
v eaux su g g érés, celui de M. T assœ d ép u té se n te en su ite les o r a te u rs d ont il fait u n. priété- L’an c ie n dép u té de la H au te-G aro aLe p rem ier est p rié de se m o n tre r m oins
Mme la Supérieure d les Religieuses <ii
’A u v illage de Ç ram au d . com m une de Ro- des B ouches-du-R hône, lu i p a r a ît le m ieux d élica t éloge, p u is il eèdo lu p résidence â ne qui tin t un rôle de p rem ier p lan à la sévère, le second est invité à ne p lu s m on­
l’im m aculée Conception, et touie ia famllb
c h e ch u u a rt, Je an C holîet. re p ris de ju s ti­ étab li. Ce toxte lim ite è 100 % la m a jo ra ­ M- L arm ero u x .
C ham bre, d a n s la p récéd en te lé g islatu re, ter d a n s les tra m w a y s qui doivent d é ra il­ DECHAUMET. ont la douleur de vous faiii
ce a tiré des coups de revolver s u r les tio n m a x im a a u to risé e s u r le p rix des a n ­
B I9 0 0 U R S OB M. LARMEROUX
eèt un o ra te u r c la ir, p récis et q ui tra ite ler, s u r to u t à ne p lu s se faire é c ra se r
part du décès de
époux R ougier, sas baao -frère et bells- cien s baux.
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S in o n ... C lerm ont se p a s se ra de tram M. L arm ero u x qui est u n o ra te u r plein avec la p o n d éra tio n a ’u n A u v erg n at son
M* D em ai te rm in a p a r u n ap p e l à la J u s ­
Madame Féîicité D E C K A U M E T
D our.
s u je t Aussi a-t-il obtenu, h ie r, un très vif j waya.
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Ceu*-ci sont d a n s u n é ta t désespéré.
tice so c ials et à la S o lid arité n atio n ale. Ce re v ib rer ses a u d ite u rs a p ro n o n cé en su ite succès p a rm i nos co m p atrio tes.
ta ta
En religion Mère MARIE-THSRGSE
so n t des m ots co n c iliateu rs.
I l a etc envoyé au dépôt.
M. Bellet defend to u t d’ab o rd la loi ré­
Ancienne Supérieure
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Le ton d evient p lu s vif avec M. B ru n ,
cente de ju ille t d e rn ie r qui a au to risé la w a y s a y a n t rem is l'exp lo ita tio n du réseau
el Assistants de ia Communauté
P a ris , 22 novem bre.
té et le P ro g rè s h u m a in ».
p résid e n t de la C o n féd ératio n g é n é ra le d u
Décédée le 21 novembre, à l’âge de 63 ans.
A l’h eu re actu elle, dit-il en su b stan ce, rév isib ilité d es baux à long term e et que en tre les m a in s du S yn d ica t des E m p lo yés,
• Ce so ir, vers 18 h eu res, M. Ver done, âg é C om m erça de F ra n ce . Avec lui, com m ença
d é jà , des lé g isla te u rs so n g en t à faire ab ro ­
Prient les personnes des œuvres de vouloir
Tie 31 an s. d e m e u ra n t passag e S tinville, a la m ise on ac cu satio n d u C a rte l, qui fu t to u s les g ra n d s p rin c ip e s q ui so n t à la g e r E loquem m ent, M. Bellet défend la loi a in si que sem b len t l'in d iq u e r le s notes eirdesbien
assister à l’office et enter remer.!, q.d
fra p p é a coups de couperet sa fem m e, âgée to u t de su ite in cu lp é d ’av o ir ren ié scs p ro ­ b ase de la société sont m éconnus. La p ro ­ q ui ne fa it q u e ré p a re r u n e in ju stic e fla­ siis, nous voulons bien espérer que la Ville sera célébré
m ard i, 2J novem bre, a ciix t a u ­
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de 23 an?, el s ’est e n su ite tra n c h é la gorge. m esses électo rales.
res, dans la chapelle de l’immaculée Ccncep
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T ous deux ont été tran sp o rté e d a n s u n
tlon. rue Bansac, 5.
N ous ne faiso n s p a s de politique, d it en quoi cela ? Il fau t rem o n ter au x sources.
p lo ita tio n de ce réseau voiid ro n t bien fa ire
îfiat trè 3 g ra v e à l’h ôpital S aint-A ntoiue.
! su b stan ce M B ru n . Si n o u s p ren o n s post- Cette situ a tio n spéciale est d ue & la g u e r­ re,
au S y n d ic a t to u tes rep résen ta tio n s utiles
N evera, 22 novem bre,
i Mon co n tre le G o u v ern em en t d es g au ch es, re que la F ra n c e d ’û p as cherchée, q u ’elle ra ie n t p a s
pour l'o b liyer à exécu ter les co nditions d u Ÿ
A V IS D’O B S E Q U E S
r A S a in t-I.a ilre n t, à la su ite d ’une d is­ c ’est p o u r des raiso n s économ iques. E n a su b ie et q u 'elle a g ag n é e, m a is an p e r­
cahier des charges — da n s les lim ites com ­
M Antoine VERGNL, maréchal ferrant, es
1924
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c u ssio n d’in té rê t, le nom m é L ouis B runet,
d an t 1.500.000 dé ses m e illeu rs en fan ta, et
patibles
avec
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dignité.
ses enfante, Joseph, François, Marcel. Louis ;
q u a p rév o ir
â g é de 31 ans, a tiré des coups de revol­ p arc e que, ab so rb é p a r les q u e stio n s exté­ en su b is sa n t la d estru c tio n de m illie rs de
—
------------------------------------------------------Mme veuve COMB RE et ses enfants ; Mme
v er s u r son père, c u ltiv a te u r à S aint-L au- rie u re s, il a v a it n égligé lus problèm es in ­ m a iso n s et la d é v a sta tio n d 'im m en ses te r­ l ’av en ir, to u s les fin a n c ie rs du m onda
veuve VERC-NE et scs enfants , les familles
re n i, et s u r s a sesur, qui ont tous dsux été té rie u rs. A P a ris , nous avons voté et fait r a in s La ei'.u atio n est grave. Les p rin c i­ l’o nt m éconnu, to u s les g o u v e rn a n ts f ra n ­ r U A ^ F l U T C P ° U! a s su re r vo tre succès. VERGNE. COMBRE, riOUCHARD, BEENAv o te r co n tre lui. M. P ain lev é, p erso n n elle­ pes m êm es s u r lesquels repose l’E ta t o n t çais de m êm e P o u rq u o i, seuls, les p ro p rié UiiltOuLUnO exigez de votre a rm u rie r DOT. ROUX ei CHAMBON, ont la douiéur
Llcssés.
*
Le m e u rtrie r s’est e n su ite enfui en a u ­ m ent, a v a it p ris des, en g a g em en ts form els été sap és et à l'h e u re actu elle, c’est l’in o r­ ta ire s d ’im m eubles n ’a u ra ie n t-ils p a s le I vos carto u ch e s ch arg ées avec les élém ents da vous faire- part de ta perte cruelle qu’lb»
tom obile ; m a is la g e n d a rm e rie a pu le re ­ to u c h a n t la p ro p rié té com m erciale. R ien g a n isa tio n sociale et le m a n q u e de resp o n ­ d ro it de se tro m p er ? P o u rq u o i devraient- j fab riq u és p a r la £O O I£TC FRANÇAISE viennent d’éprouver on la personne de
d s to u t cela ne tu t ten u . « Le Bloc des g a u ­ sa b ilité à to u s le;; échelons. L a po litiq u e, ils, seuls, resp ecter les c o n tra ts a lo rs que des M U N ITIO N S, douilles, b o u rres et
jo in d re et l'a rrê te r.
ches a m an q u é â tous sas en g ag em en ts. au se n s n éfa ste du moi s’in filtre p a rto u t,, to u s les c o n tra ts o nt été violés d ep u is la plom b de ch asse, d o n t la q u a lité est de
C oat un v éritab le a b u s de co n fian ce ; u n e d a n s le com m erce, l’in d u s trie , la p ro p rié té ; g u e rre ?
ré p u to tio o m ondiale.
Nés COMBRE
M- B sllet in d iq u e o nsuite qu e la p ro ­
tr a h is o n d es in té rê ts de la d ém o cratie ru ra le .
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i ... -ai
Lour épous«, mère. fUlo, belle-fille, eœù£
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fra n ç a ise . »
11 existe des so lu tio n s p ratiq u es,
belle-sœur ei tante, décédée dans «a 47* année
P u is, M. B ru n e n tr a d a n s le d é ta il p o u r elles ne c o n v ie nment«
n e n t p as à ceux q u i ppréfe- , de 56 % su r le revenu im posable. D ans ce r­
Les obsèques auront lieu aujourd’hui lundi,
23 oourant, à dix heures du matin, en l’égiisc
c o n v a in c re des a u d ite u rs fo rt p e rsu a d é s re n t la m o rt de la F ra n c e à l’échec d é la u f ta in e s villes, ce p o u rce n tag e a tte in t 80 %.
U N IS DANS LA MORT
Sainl-G-enès-les-Caraies.
d ’a v a n c e de le u rs m a lh e u rs fiscaux. La loi n éfa ste doctrine.
- \ a D an s ces im p o sitio n s, la p a r t de l'E ta t
L o g e n t, 22 novem bre.
Réunion, maison mortuaire. 13, ruo d ’Enfcr,
L 'a b o n d a n ce des m a tières no u s oblige d
El M L arm eroux p rése n te à ses a u d i­ n ’est qu e de 12 %, et sa n s do u te le lég isla­
s u r la p ro p rié té com m erciale encore en
- ? î. R obin, c u ltiv a te u r, âgé de 76 ans, d iscu ssio n fut l’o b jet de critiq u es véhé­ te u rs u n ta b le a u peu r a s s u r a n t d e ce q ui te u r p arisien ignore-t-il com bien p lu s im­ re m e ttre à d em a in le com pte rendu de la à neuf heures quarante-cinq.
Il ne sera pas envoyé de lettre de fairep o rta n t est le prélèvem ent effectué p a r les belle fête q ui a eu lieu hier, d la G auloise
q u i co m p tait plus de 50 a n s de m a riag e, m entes. L’o ra te u r s ’éleva co n tre l a ta x a ­ les a tte n d .
part, le présent avis en tenant heu
v e n a it de succom ber e n to u ré de ses en­ tion de la ren te, ru in eu se p o u r les p e tits
—- Von s con n aissez, s ’écrie-t-il, 1 « pro­ co m m unes et le d é p a rtem e n t p o u r q u ’il d ’A ubière.
fa n ts, p etits-en fan ts et de sa fem m e âgée é p a rg n a n te ; co n tre l’im pôt s u t la ch iffre je ta fiscaux en p ré p a ra tio n ou en d iscu s­ puisse so n g er à p o rte r de 12 à 29 H la céde 71 a n s q u a n d celle-ci, très affectée p a r d ’a ffa ire s , fac teu r im p o rta n t de via ch ère ; sion. Vous ne p o u rrez d issim u le r votre dule de l’im pôt foncier. Le G ouvernem ent
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AVIS O’OBSEQUES
£
l a m ort de son époux, s'a ffa issa so u d a in co n tre la tax e de luxe q u i e n tra v e le com ­ fo rtu n e qui s ’étale a u soleil de F ran ce. songe au ssi, p a r la co n trib u tio n n atio n ale
M. et Mme ACHARD-LACROIX et leur f!U
a u pied d u lit m o rtu a ire . Elle v e n a it de m erce d ’ex p o rta tio n . Il ne m a n q u a p o in t Les » g ro s », eux, p o u rro n t é c h ap p e r à ces e x tra o rd in a ire p ro jetée, à faire p a v e r p en­
Marcel : M. et Mme ACHARD-DESA5 MARD
d écéd er è son tour.
R u fn ltllm amm anlm , R hm m oo, Orlpsso I
de ra p p e le r les p ro m esses des c a n d id a ts p ro jets, ils m e ttro n t ou o n t m is ;« u r fo r­ d a n t quinze a n s un nouvel im pôt de 15 %
et leurs enfants ; M. et Mme ACHARD-PALs u r le revenu de la p ro p rié té b âtie N’estO ourbm taro,
Les deux époux o n t ôté oonduita ensem ­ do 1924 s u r cas su je ts p o u r stig m a tise r tu n e à l’é tra n g e r.
LARSSK et lc-urs enfants ; les familles GREce
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ble à le u r d e rn iè re dem eure.
A ussi l’o ra te u r n ’accepte-t-il p o in t la so­
LICHE-LACROIX. LACROIX-HOS TIER, LAavec u n e ru d e én erg ie les d éfa illa n ce s d es
les F ra n ç a is à c o n stru ire . N 'en est-ce p as
>—• ♦ » “ <
CROIX-FOI JHF.T, M1CHY-FAUGERAS. GREL ES ACCIDENTS DE LA ROUTE
élus que M. B ru n a p p e la avec in sistan c e : lu tio n g o u v ern em en tale. La F ra n c e a des u n a u tre , non m oins sin g u lie r, de nom ­
LICHE-MY. CHALARON-GOBIN. DRY-ACHARD
<• Nos élu s ! » n o u s o b lig ean t a in s i â cro ire F a u te u r de ces d ettes ? L’A llem agne, res- m er com me h au t-c o m m issaire ch a rg é de
Belfort, 22 novem bre.
ont la douleur de vous faire part de ta porto
d ettes, elle doit les p ay e r, m a is quel est
• H ie r so ir, u n n ég o cian t d? V ellem infroy que le C artel a v a it eu d a n s le P e tit Com­ p en sab le de to u te s les d é v a sta tio n s q u ’il fa ire c o n s tru ire , M. L evasseur, qui s'est
crusllp qu'ils viennent d ’éprouver en ta p«r*
m
erce
fédéré
de
bons
et
loyaux
ap
p
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is.
p récisém en t posé en a d v e rsa ire des p ro ­
sonn? do
fH aute-S aône) qui tra v e rs a it S erm am ag n y
a fallu ré p a re r.
M
Brun
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fier
de
sa
classe
profession­
e n auto m o b ile a éc rasé u n e fem m e do Ô1
— L’A llem agne, p ré te n d e n t so cialistes p riétaires.
Monsieur Félix AC H A R D ■
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louable.
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Com me I « o ra te u rs p récéd en ts, M. Bal­
tins.
avec s in c é rité qu elle a v a it fo u rn i les p lu s e t collectivistes, ne d o it p a s p a y e r p arce let d éclare q u ’a v a n t de d em an d e r au x co n ­
Leur fils, frère, filleul, neveu et cousin,
L
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série
rouge
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II
est
écrit,
T R O IS EN FA N T S A SPH Y X IES
lo u rd s sacrifices de la g u e rre et de la paix. q u ’elle n e p eu t p as p ay e r.
décédé dans sa 19* année, m uai des SacreM. L arm ero u x n ’a p a s d e peine à m on­ trib u a b le s un p rélèv em en t su r le u r for­ s a n s doute, que les en fa n ta du Dézert doi­ mante de l'Eglise.
Il ré c la m a p o u r elle u n tra ite m e n t en r a p ­
V ersailles. 22 n o v em b re
tu
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e,
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dû
en
faire
eut la sien n e
vent tire r le couteau tous les d im an ch es
i Et vous prient de vouloir bien assister è
tr e r là m o n stru o sité de ce raiso n n e m e n t.
- Ce m atin, en l’absence des époux V acher, p o rt avec le ,rô le économ ique et so cial q ù il
H ier, un A lgériens, A hm ed Ben Maka- I are obsèques, qui auront lieu demain, 24 no­
H a jo u te q u 'a u su rp lu s, ce n ’est p as. le p ro p re et fo u rn it à ce su je t des ch iffres et
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d em eu ran t à V illecresnes. arro n d isse m en t
m en. 32 an s, a tenté de tu e r d 'u n .c o u p de vembre, * à neuf heures quarante-cinq, eu
cito y en fra n ç a is q ui s ’est en d e tté , m âts
Les p ro jets g o u v ern e m en ta u x , ajoute-t- co u teau un de ses co ré lig io n n a ires, le- nja- , i’église Saint-Pierro-iGS-Mialines.
d e Corbeil. d an s une m aisonnette en bois, g n it pa3 de fo rm u le r des m en aces précises: l ’E ta t fra n ç a is q ui 6e tro u v e p a rtie lle m e n t
«
Si
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ouvernem
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de
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donne
il, so n t néfastes- — M. Bellet ig n o ra it à ce
le t r s trois enfants, âgés de 4 an s, 2 an s
On se réunira maison m ortuaire, place de
p as satisfaction aux p etits co m m erçan ts, il to u t a u m oins, au x m a in s des socialistes. m om ent la ch u te du m inistère. — Com­ ro ca in M oham ed Ben L acem , 40 a n s
ut 1 an , ont été découverts asphyxiés.
La querelle éc la ta , vers tro is h eu res de Jeud?. n° 31.
A v an t de d e m a n d e r un e co n trib u tio n au x
se
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b
alayé
p
a
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la
colère
populaire
!
»
Et
Cette asphyxie est due à une cau se accim en t les em pêcher Ÿ
l’ap rès-m id i, au x b a ra q u e m e n ts de la Caencore : « L’h eu re est venue pour les petita p a rtic u lie rs que l’E ta t n e com m ence-t-il
denUIIe.
A la C ham nre, il y a en viron 150 d ép u tés ta ro u , d a n s u n débit p o u r A lgériens ten u
p a r fa ire u n p rélèv em en t s u r son p atrim o iï'Æ-niA. 4«. p a s se r d l’actio n et d’ob- £«!.
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A V I S D'OBSEQUES
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'/ I l MENAOB Â É PH Y X flr
p a r N ek ari R a n d a n n e
ir justice co n tre leu rs ex p lo ité « ?. »
Mme et M. DUVERGER-MOSN1ER et leur
o u v iit^ ;'8 v i t é r , ''« c f i è 'X u c u r t t f - B t e t t o n 'h 'e s t possible s u t eux. Les
A près a v o ii, p o u r un m otif futile, éc h a n ­
PA R L'OXYDE OE OARBONE
M. Brun fut fort applaudi. P eut-être lui g asp illa g es - q u 'U ro
fille Marcèlta ; Mme et M MOSNIEH-3ERSA-T
•
•
450 a u tre s s« d em an d e n t p o u r la f lu p a rt de
reprochere-t-on de n ’av o ir p as dit un mot ses biens d o m a n iau x et de ses m onopoles quoi côté est le n o m bre et ils m a rc h e n t avec gé Ijelà p à rijtw a lg ré ^ d ô u c e s , > s deux hom ­ et leur fille Faulettc ; les familles SERSAT
F a ria , 22 novem bre.
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Ben
des co n som m ateurs. Ceux-ci n ’au ralen t-ils
et DUVEHGER. ont la douleur de vous faire
" A u jo u rd 'h u i, vers 16 h eu res, G uiseppe ; v raim en t rien à d ire ?
E t v e n a n t au x p ro p rié ta ire s d ’im m eu­ le nom bre, môme si le nom bre les m ène à M akam en reçut un fo rm idable conp de pari de ta perte cruelle qu'ils viennent
l’ab
su
rd
e.
Il
fau
t
donc
ê
tre
le
nom
bre.
Et
P a c in i. 23 an s, et sa fem m e, 20 an s, ont
poing
en
pleine
fig
u
re
F
u
rie
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,
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so
rtit
bles,
au
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p
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u
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du
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’o
r
a
te
u
r
dé­
M. DnusseL m a ire du Brcuîl e t conseiller
d ’éprouver en la personne de
été trouvé? m o rts d a n s le u r c h a m b re d 'h ô ­ j g én éral, en Bon nom personnel et au nom cla re one si l ’on ne co n stru it p lus, sa u f que l’on ne dise po in t que cela est im possi­ un co u teau à c ra n d ’a r r ê t et en fra p p a son
ble.
II
existe
en
F
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c
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n
euf
m
illio
n
s
de
tel, p a ssa g e E ugénie, à St-O uen.
Madame veuve M O S N I E R
an ta g o n is te , q u i fut a tte in t a u côté g a u ­
de q u elques a m is », te n ta u n plaidoyer d a n s c e rta in e s rég io n s où la s itu a tio n est
Lee p rem ières c o n s ta ta tio n s la isse ra ie n t im prévu pour le C a rte l H fil en te rm es exceptionnelle, c’est p arce que l’E tat eat ‘p ro p rié ta ire s, p etits ou g ra n d s, m a is d o n t che du cou.
Leur mère et grand’mère pieuaemeni dé­
su p p o se r q u ’il v a eu asp h y x ie accid en telle d én o n rv u s de sim plicité la critique du Bloc d ëvènu p o u r les u n s et les a u tré s u n en- , les in té rê ts sont com m uns. Q u’ils se grouDes a g e n ts cyclistes, in fo rm és, acco u ­ cédé? dans sa 76» année.
p a r oxvde «Je carbone.
I pent. Le jo u r où p ro p rié ta ire s fonciers et r u re n t et A hmed Ben M okam en fu t arrêté .
Et vous prient d ’assister it see obsèques,
natio n al, ch arg é de tous les m aux, et parla nemi
Le p ro g rè s h u m a in est p o u rta n t d a n s le * co m m erçan ts, d ont a u fond les in té rêts Sa victim e fut tra n sp o rté e à l’HôteJ-Dieu qui auront Heu dsm ain m atin m ardi, à huit
de la « coeafne des em p ru n ts d ont les pi­
en l'église Saint-Gonès-les-Canne*
q û res se ra ien t m ortelles è n o tre p ay s » développem ent de la p ro d u ctio n , d a n s tç sont les inèmeo, se se ro n t unis,, iç jo u r où à F a id e de l ’am b u lan c e m u n icip ale, et a d ­ heures,
Réunion, maison m ortuaire, 9, rue Savarcn.
Il essay a de d ém o n trer que le g o u verne­ développem ent de la p ro p rié té in d iv id u el­ ils a u ro n t form é le fro n t u n iq u e des possé­ m ise salle N élato n Sa b lessu re n e p a ra ît
L?
présent
avis tiendra lieu de faire-px.- .
m en t des g au ch es était te m eilleur qui se le. C’est p o u r d éfen d re ta p ro d u ctio n et la d a n ts, ce Jo u r-là les fa u te u rs de d é to rd ra p a s m ettre ses jo u rs en d a n g e r
d
isp
a
ra
îtro
n
t.
pût tro u v er, et qu’u n e loi jpar cela m ôm e p ro p rié té q u ’a été créée l’U nion des forces
L’o ra te u r te rm in e en in v ita n t las p ro ­
qu'Plle p réten d ait rép o n d re ft un besoin gé­ n a tio n a le s de la P ro d u ctio n . Cette U nion
‘f*
O F FIC E DE TRENTAINE
M
p
e
U
t i l e
p rié ta ire s de to u s o rd re s à fo rm er d es as­
n éral, n e pouvait
lit satisfaire
satlsfalr tontes les coté
Mme N. LASIMONF. ; Mlle Lucienne LASI
so ciatio n s p u iss a n te s d ont le c ri de rallie­
g n ries sociales.
«
MONE et lour famille, prient leurs amis et
t l’Industrie seraient taxés san s ancûn abat­ m en t se ra : La F ra n c e d ’ab o rd , m a is la
T out n ’é ta it p as a b s u rd e d a n s ce tte ha- etement.
connaissances d? vouloir bien assister a I of­
AUJOURD'HUI
p
ro
p
rié
té
en
su
ite.
I ran g u e . M ais l’assem blée sa v a it & quoi s ’en
fice de trentaine de
Ces projets, profondém ent injuste*, auraient
M. L arm ero u x rem ercie ch a le u re u se m e n t
F êtes à so u h a ite r ; S a in t Jean de ia te n ir s u r les b ie n fa its du C artel, çt p a r des comme résultat la hausse du coût ds la vie.
Monsieur Noel L A S I M O N E
M.
B
ellet
et
ex
p
rim
e
le
vœu
q
u
’il
revienne
Jusqu’Ici. les com merçante et Industriels
m n n rn ire s d’ab o rd , p u is des p ro testatio n s,
Croix, suinte P irm in e , saint P ourçam .
ont été sacrifiés, puisque dans les impôt« b ien tô t à la C ham bre. M. le d o c te u r D ubois
Qui
sera célébré demain mardi, 24 noverr».
força
M.
D
ousset
à
se
rasseo
ir.
— Lever du soleil. 7 h. 13 ; coucher,
cédplalres existante fis n ’ont bénéficié df’an exhorte, va qu elq u es m ots, les a u d ite u rs à
bre, à dix heures précises, en l’ég r? de No­
A près quoi Vf B ru n d éc la ra ru d em e n t cnn
16 h. I. L ever de la lune, 13 h. 21 ; couabattem ent â la base, comme tou? le* fa ire do la p ro p ag a n d e p o u r les idées q u i
tre-Dame du Port.
q u ’il n e s in q u ié ta it p as de sa v o ir si 1p g o u ­ autres assujettis fprofessions libérales, oxploi.
ch cr 23 h. 54.
«
v ie n n en t de ta u r ê tre exposées.
v ern em en t é ta it de g a u c h e on de d ro ite ; unions agricoles, salariés, etc...)
— A trois heures du m a lm le th e rm o m è­ m ala q u ’n n e se a ls chose é ta it v ir e . rV st
Ep
, . ce qui concerne la loi su r la .propriété
D eux ordres d u jo u r so n t e n su ite votés,
OFFICE DE QUARANTAINE
tre m a rq u a it 4 detjrés au-dessus de séro. que M P ain lev é, son équipe et sa m a jo rité commercial®, les petit* et moyens corftmeru m a n q u e de place n o u s oblige à
a v a ie n t m en ti à to u te s le u rs prom esses élec- çante dem andent qu’efie soit votée à très b ref , r m v û y tT la p u b lica tio n d d em a in .
L'office d? quarantaine de
to rales.
Il» Insistent pour que les deux Asaemjfftéjta
1 5 ,; R U E
N T -H
REN Î
M onsieur l’abbé Anîonîi? B E R G E S
r n c R O u o n e
On a p p la u d it vieroureusem ent et on v o ta ne se renvoient pas de l’une à l’a n tre on pfqCuré de Saint-Vorro
l’o rd re du Jo u r s u iy a n t qui fu t im m éd iate­ jet tronqué, am puté, qui ne peut leur dnttqç*'
8N6ILURCS - PRIVAIS IS
» U a S O I
■ ta * * «
l s Co-ntô M elphlof d s P o flg n a t. — S a ­ m ent p o rté à I« p réfec tu re oh M. M aupoil satisfaction.
Sera célébré demain mardi, à dix heures
Il* dem andant la PTOBriê« ç o ^ a r c t a t e j n ,Ç q vente Pharm acie Bossot, I, pl. Delille
m edi d e rn ie r, est décédé su in tem en t à P a ­ le reçu t avec u n e p h ilo so p h ie co u rto ise.
en t’épüse de s a in t -y o h h e .
Un veau de 4.500 francs
tégrele. en excluant de Ce béfiêflÜF Tcft'Tffait '
ris, M. le com te M elchior de P o ltg n ac, des­
<---------------1---------L«*s petits et m oyens com m erçants. 1er pr sons 6 ßurctirsaflfts multiples, cé, conformé­ — - — i— -— c e n d a n t d une des plus illu stres fam illes dts et moyens industriels du départem ent du ment au proie! déposé ù la présidence flti.
OFFICE ANNIVERSAIRE
M . D U Q , Be PARIS, de p a s sa g e dans
d u . V eîay, a n c ie s m a ire de L avoûte-sur- Puy-de-Dôme, réunis le 22 novembre 102b, Conseil p ar le Congrès orjranisé. .d u ,27 au
A MOKTFERRAKD
A la d e rn iè re foire de P le a a x , M. T issalle GaiBard. au nom bre da 2.000. sous les 3J octobre dernier p ar la Confédération; Gé notre région, Invite ea nom breuses eilen, sa n d io r N icolas, de C h au ssen ac, a vendu
Loiro.
Mme veuve Jean FIXERONT ; Mlle* MarieD u ra h t to u te sa vie, m a is s u rto u t pen­ auspices de la Fédération du Petit et Moyen fiéfatp du Commerce de France, fis çomptc.rd tète â venir lui rendre vielte pour toute» 4.500 fra n c s un veau d 'u n an.
Louise et Jeanne TIXEHONT : M. Jean FIXE­
et ds la Petite e t Moyenne Indus- stir cet orpantsm e central pour faire ab o u tjr ventes de V I E U X D E N T I E R S - même
d a n t la g u e rre , et à la veille m ôme de sa Commerce
11 y a 15 a n s , p o u r la m êm e som m e, on RONT, et toute ta famille, prient leurs muta
trio :
ces revendications d ’ôrdre purem ent éotq5 brisée, m êm e sa n s or, qu’il p a i i jusqu’à
m oct où ,U devenait p resid e n t de la Croixet
connaissances do bi-io vouloir assister à
Après ivotr entendu les conférences du
' 3 0 tr. LA DENT. Achat do DEBRIS et a u r a it eu 15 veaux.
R onge si se p r é p a ra it à se c o n sac re r to u t M» Demai et M» Fotrsçi, avocat et avoué mercial.
l’ufficc anniversaire dt
Q uant à la loi du 6 juillet 1925. relative g VIEUX BIJOUX OR, ARGENTERIE et
.1
e n tie r à se s qouvrtle» fonctions. M te com ­ conseils de la Fértérnticn, et celle de M. Emile te révision des baux à Hoysr. Ils dem andent
te de P o lig n ac n 'a songé q u 'à la F ra n ce , Brun, président de la Confédération Générale instam m ent à ce qu’il soit établi un plafond BRILLANT# au plus HAUT COURS, Il reL es entant»
à sa g r a n d e u r, â sa force, à la p ré se rv a ­ du Commerce de France, prêts à accepter le? de m aioration de 100 %, su rto u t-e n ce-q u i eevra et ae tiendra A votre diepoeition à :
f
Boulanger
nourris avec le
nécessaires pour restaurer les finan­ concerne les baux consentis en 1019, avec,
tion de la ra c e fra n ç a ise et a u so u la g em en t sacrifices
Qui sera célébré le m ardi, 24 novombre, â
ces publiques, dem andent que le projet du s’il y a lieu, une m aioration supplém entaire RIOM, Mardi M Nov., Hôtel de la Poste.
d e to u te s le» m isères.
dix heures, en l’église de Noire-Dame à MONTEnuvernem ent soit am endé pour éviter aux
les
. baux très
M M antérieurs k cette data CLERMONT, les Mercredi 25 et Jeudi 26
L a nouvelle de sa «sert a c a u sé a u P ny com m erçants d'être frappés plus gravem ent pour
FFRFUND
Novembre, Hôtel de Lyon, pl. de Jaudo.
Les com m erçants et industriels 6e rappel,
u n e profo n d e ém otion.
ne les au tres citoyens, et notam m ent en les tant tes prom esses faites par te* candidat-«
sont »aine
■BBBMMRMMBBnMflBRnBNBEHBBB&Bea&SSm
Un
collaborateur
recevra
de
10
heures
à
lisant bénéficier d'un abattem ent à la base de 1934. devenus au jo u rd ’hui ( m législateurs ;
Les « eu ire s c a th o liq u es et les asso c ia ­
et vigoureux
R E lr .E R é tù ta E N T S
tions- d ’e n tr a id e n a tio n a le p e rd e n t en lui égal à celui des autres catégories de contri­ ils com ptent que leurs élus ne se déjugeront 4 h e u r « à t
Fadüt* U daotitMi «I sida t
M
Charles
PU1.BY-TIX1ER ; Mlle Margue­
buables.
pas.
L tmrnMÔm dm «s.
I8S 0IR B , Mercredi 25 Nov. H. de la Peete.
u n co n seiller s û r el u n généreux M entalrite PULBY : M. H. PI'LBY, et toute la f:.Us leur rappellent cet anim ent la promesse
Ces nouveaux Impôts, fixés A 39 % du béné­
Sot aRS mtmUs plut l cm
♦
mille, remercie», bien sincèrem ent toutes t?»
te ,,r -,
.
.
Im«abalt
fice moyen d « trois dernières années, s’tjs souvent faite de supprim er la taxe de luxe
personnes: qui ont bient voulu leur u o n cg n e r
D an s le fletîil cru el qui la fra p p e, nous étaient votés, frapperaient presque exclusive- et la taxe su r le chiffre d ’affaires, taxes (n
P B R I T I P A N 15
Achaotiltoa
era
tout
tant de sym pathie à l'occasion de la per;c
nrloiM Mme la com tesse de P o lig n ac de ment le polit et moyen commerce.
ju stes qui retom bent su r le consom m ateuzv
12, nm M la *~irr 4 l !)■■■
cruelle qu'ils viennent d ’éprouver en la per­
bien v o u lo ir a g ré e r I hom m age ém u de
En effet, les professions libércics. de môme et dem andent le u r, cemplaceiupnt p a r un*
PARIS
sonne d? Madame Charles PULBV
.... .....
.,
no s respectu eu x , se n tim e n ts do c o n d o ü u n - que les salariés bénéficieraient d ’une exoné­ tâXe uniquo à la production.
LEoA U Y ER G N e
r a t i o n de 50.«» francs, alors que !o commerce ,(.est basée s u r q u a tre p r la d c è s ou e ) i . Lar* j
r a tio n s d is f .n c t« de le u rs g ro u p es respec­
tifs et s u r la d élég atio n qu ils en ont reçue,
d éc la re n t q u 'il* ne p o u rro n t d o n n er leu r
confian ce q u 'à u n G ouvernem ent résolu à
p o u rsu iv re u n e politique conform e a u s dé­
cisio n s réitérée s du su ffrag e u n iv e rse l e t
a s s u ra n t ave. une énergie q u 'im p o se n t les
c irc o n sta n c e s la défense des in s titu tio n s
ré p u b lic a in e s et P assa m ta M m e at «la* fi­
n a n c e s n a tio n a le s.
2.000 Petits Cimmirçants ASSOCIATION
t a Prepriâtaires la Cltn&on-N
et Indistriele
ET D U PU Y -D E -D O M E
UN t Q E 8 T E
'
Réclame
de Tissus
pour Chemises
des Employés de tramways
manifestant untre la Cartel
La Llpe d'I
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Grave explosion
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^eiqneg réTélaüoiis se sost prodofies ao cours du matcüi
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te eu
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<4 essais : Corel 2, Pro ut 2, un drop
et un but p ar vesacly)
Le m atch qui opposait au terrain de la
routs du Mas, a l&scire. le Stade local, tenant
v .Æ
« ; |: v â |
du titre régional ©n .2* série,
au Sporting-Ciuo
. . . l . . . . « mA ., m . . f i l r e m i t ?
M ontluconnais, avait attiré
un très nombreux
i';
public qui peut être évalué à un miiliei de
personnes. On rem arquait parm i I assistance
la présence da M. Buisson, m aire d ’issoire,
de M. Mesnars, sous-prefet, d'une partie da
la municipalité, ainsi qua de nom breuses per-,
sonnalitéa.
. ,
Montiuçon se présente à quatorze sur «e
terrain,
éi
d
an
s
son
équipe
figureni
quelques
Ay.
<■
rem plaçants, les titulaires se trouvant india*
"
1 i pontbiôs pour des raisons diverses . maladie,;i oîi ’ ,,u Utiposstbilité d'obtenir une permission
pour Iss m ilitaires. Issoire compte également
quelques rem plaçants.
LA PARTIE
Le coup d'envol revient à Issoire et Sidou I
ne veut laisser à a u c u ir a u tr e 'fc»--eefcn do le
botter. Apres quelques mêlées disputées, Vest v - :v .' •
“ <> i . r * ^ t~$» .%’"« - •
^
r" # !
seiy réussit un superbe drop, tssoira. 4 ;
Montjuçon. 0 .
«
„
ÿ . ÿ T r i..- ;•". A.
Les visiteurs jouant la défensive, et Mathon, ■
àvteuîîssÊ»*!â»A«..■&*.
niôres, fréquemment hors jou, annihile toutes
les attaques Issoiriennes. Rien de saillant ne
se produit Jusqu'à mi-temps, qui arrive sans
ch an g em en t
•
'fLAPERT
DE BENNEVILLE
LOISEAU
La second« mi-temps
ROBIN
CHAUVE
OUSSARD
A la reprisa, Montiuçon réagit et les avantsSCHEUCH
LEROUX
de Montiuçon p a n a n t ou pied, am ènent ies
CHESNOY
DUBOST
LA
PEV
RE
S tadistcj dans lours 22 mètres. Mais lès mail:
BA RNOUILLET
ve et noir réagissent et partent à l'attagup'
C roqw i de Marcel Muijard en
passes courtes. La balle, après avoir passé
de m ains en m ains, arrive à Dorel qui, dans
semblent
faire
connaissance.
C'est
l'affaire
de
11 faudra aur. dévoués d irig ean ts dé **
ouelqtiés m inutes et bientôt ils sont en ac­ un beau style m arque en coin un essai splen­
L u'ue d'Auvergne encore bien des etiertt tion. Chauchat de Benneville et Leroux font dide, après une course de 40 mètres. Issoire, 7;
public
de
notre
n ir faire la coiiquète du
Montiuçon, 0.
r ' :on et l’am ener a s'intéresser au fout-bali impression ; le prem ier par sa puissance dans
Sur une sortie do mêlée favorable au Stade,
' iation comme il s'intéresse au rugby. le shoot, le second par son contrôle de la un centre monUuçôrmals ram asse la balle,
L'in ld-érence est un mal contre lequel il balle et son service aux avants.
Les rouges font preuve de plus do niorannt et de ses 2 2 métros, après une série de feintes,
\ ” i-. d'-i'ftci'e
.i .- .. de
... i..,,
r.... ne
nu -v>ut
lutter. et r...
qu Ton
”1©ut vainvainva m arquer près des poteaux. Le but n'est
c - o û 'à force de persévérance. Los organ!- dans i’attaijue, et bientôt leurs efforts sont pas réussi. Issoire, 7 ; Montiuçon, 3.
récompensés
p
ar
un
but
m
agistralem
ent
botté
f i- urs de la m anifestation d hier en ont
Les M ontluconnais, encouragés par cet es­
f
l'expérience, ils n'auraten t pu pourtant par Chauchat de Benneville qui place la ba.lo sai, forment de bonnes tnélécs et Herman, le
.
r‘:r un jour plus favorable, puisque uu- dans les filets m algré un plongeon impecca­ talonneur issoirion, n'a pas toujours la ta
î
• grande reunion ne concurrençait la ble de Benhacito.
cite facile. La balle so n à égalité aux visi­
I
Une abondante publicité avait été faite
Léquipe bleue réagit et a son tour menaça teurs et aux locaux, m ais les attaques du
, V c u r du match. Et malgré tout, c: est Uç- las buts des rouges et la partie, dont il serait Sporting, mal conduites, no gagnent pas du
\ t une assistance clairsem ée q u i! s est tas idieux do vouloir donner un compte-rendu * terrain.
•- d'-’-oule La rencontre entre les réserves du détaillé, sa poursuit, assec bien équilibrée.
Lè& lesolriens m aintenant se cantonnent.
S do crem tonrofs et TU. S. du Berry a cers
IA ...H M
1 :\ danê les 2 2 m ontluçoanais ; Veesely funce çt
u . . : 0 ! itr i m .t une plus grosse r ^ e tte
L ,e s j o u e u r s
£$rt Pœuf, qui m arque en moyenne position,
dais los dirigeanfa de notre fom-baJll euen
avant-centre
s’est
lmRenvoi aux 50 mètres suivi d'un nouveau
Chez les rouges, — ----------\ — uit ont la foi. Sans se décourager. Ils
- -iCauivent leur patiente croisade en faveur posé : Chacchat de Benneville. qui fut d ail- retour des locaux dans ies 22 de Montiuçon.
, An sport qu’ils nïment ftour w u t 'c e -q » t '.eurs fort bien seéonûé par son inter Cala- siuoti troue Bi passa a P ieu?; qui tuarque'Tm*;'
«•importe de finesse et de beauté. Us savent lavnd et servi à l'aile droite, d u ran t tout le cure en moyenne position. Issoire, 13 ; Mont­
'
contr-nter de résultats modestes, certains match, d’une façon impeccable, par Chabrcl. iuçon, 3.
Lt la partie s'achève en beauté. Les avants
A l'àile gauche. Robin fit de jolies choses,
« j ’üs ‘•ont que lours efforts finiront bien un
tssoirieus,
m
ailres
de
la
balle,
ouvrent
conti­
soutenu d’ailleurs par la révélation du jour
avoir leur récompense.
3< ;r tpar
.
. . .
,«•
reunion
d'hier,
si elle n'obtint pas an- comme demi-gauche : Leroux, joueur posé, nuellem ent. Sidou qui su u passe à JJorei, qui
du public de notre viSle le succès qu elle scientifique, excellent feinteur et dont le ser­ m arque entre les poteaux. Veesely transform e.
’.ait fut une réconfortante manifestatiori vice aux avtrnts doit, dans -'équipe de la Stade Issoirien, 18 ; Montiuçon, 3.
La fin est siffiée su r ce résultat par M.
:”n.' Elle m ontra l’excellent esprit qui Ligue, contribue pour une bonne p art à l’ob­
_ _ . et tention do résultats tangibles. Le pilier de
entre tous les clubs, de la -ep,
Ligue,
- n e leurs dirigeants, qui, pour reprendre Téqulpo, le demi-centre Chesnoy, fit égale­
fo
b r m expression un peu galvaudée, forment
ment grosse im pression, m ais il devra drib­
u“ 0
tam ille dont tous
ni^nibrcs bler moins longuement : ea tâche étant très
e - D i r e n t a u môme idéaî : faire mieux con
lourde, il dépense ainsi ses forces et empê­ bontto position pour le Championnat du Con­
c altro et a ilie r le beau sport du ballon rond
che ses Joueurs de «e dém arquer avec à- tre qui, à moins d 'un hasard, m sau rait lui
propos.
échapper.
LA MATIN£E
En lignes arrière, un nom : .Michel, Jcueur
A l'issue de la partie, M. Bourbté, le dévoué
T,a m at.née fut occupée pa- les réunions à eaimo,
pas brutal.
président du Stade Issoirien, a remercié les
t \ s M du Bureau de lu Ligue et de la ComDans l'équipé bleue, la ligne d'avarns fut mem bres du Sporting M ontluçonnais qui
t - 5 ion d e S é lec tio n qui constitua les équipes
longue à se souder. Toutefois, Marsallon, avaient eu la dé icate pensée d'm ler «lepot-er
o u i d e v a i e n t tir.* opposées l'après-rnidl sur
Tartois,
Scheuch, firent quelques bonnes uno gerbe do fleurs 6 itr la tombe de Rnymond
1." terrain de l'avenue de la République.
Tous les clubs, depuis le plus grand iuiv combinaisons. On reconnut en Tarlols le Dumoulin.
i- -i r 'u s -'et!t. avaient t^pu ô répondre a joueur scientifique. Oucique n’étant pas ô sa
t'M neJ de Is Ligue, et trente joueurs sur les (»lace préférée, il sut utiliser les moindres dé­
fauts de l’adversaire. Ses shootg et ses têtep
En troisième série
uim -t-ctn" s é le c tio n n é s , étaient présents.
o désignent comme titulaire à un poste de
LE BANQUET
A VICHY. - Club Nautique de Vichy bat
la ligne d ’avants. Grangcon, en a;;aoue com­
B i’it’ean ts ©: joueurs se réunirent à midi me en défense, m ontra de bonnes qualités, F.C. Ooeuois par 23 i6 essais, 1 but, 1 but eur
? iti’' ’- ’ de la gare où un excellent déjeune1 mais .1! n© fut pas suffisam m ent secondé pur coup franc) â 5 (I essai trauslorm»)).
Cosr.e domine m ais ne sait pas tirer partie
î ‘
u iit été prepare. M. Thévenin la syui- tes ailes.
i v iio u e président de la Ligue d ’Auvergne.
Dans les bols, Berbacite, joueur aux de sa supériorité. A Vichy, Chenal fut le lea­
abondam
der
de léquipe.
: . ,iit les honneurs d'une table
moyens puissants, ém ergea du lot. Marcheix
• em servie. A ses côtés avaient prris pilace n'eut pas beaucoup à s'employer.
m \i Barau. m anager de l'équipe de France.
Les quelques Joueurs essayé* au cours de
Matches amicaux
'""•ru é de la Commission centrale de séleo
la deuxfôrne mi-temps ne firent pas oublier
J- Leltèvre. présideni de !a Commission les prem iers titulaires. Dans les bois. Fayard
.élection de la Ligue d ’Auvergne ; Lapp
remp cça Benbacite, et , un arriéra. Lapeyre,
de ut honoraire do la Commission des prit 1s place de Dautry dans l’équipe bleuô.
•-.■•ô ; -les docteurs Cros et Huguet vice- Le», occasions qu'ils, eurent 0e s'em ployer ri«
ents de la Ligue d'Ativergno ; C.ayeux
'es tnonfrèrer.1 p ss rou-i un Jour p lu s 'favoraL'U.S. DU BERRY (1)
•’ ur « d'Auvergne Football • ; Dussard. hi< que leurs nrédéi-ieseurs.
esident ; nBotirdeix.
de —
la
BAT LE iH 'é u s ü L k é m u n i OIS (2)
*
etioeni
u u n ti* . président —
Beck, dans l'équipe rouge, prit la place de
( jm i‘ni 3 sion d'association de I A S-M-: Nény. 'ira s comme Inter-gauchi- Le ic u se m ainte­
p ar 14 à 8
d ■ Str.le Clermontois ; L aurent trésorier de nant plntut à l'ai e «iroita. ce joueur ne put
Les Réserves du Stade com ptaient bien
1 1 Li.’uc : Gontn. secretaire général : GIraud. «e m ettre en valour.
leur revanche de la deiaite qu'ils
I ;r. m. arb:tre 6 fédéraux etc.
En face de trente joueurs, la lâche des sé­ prendre subie
de la part des visitours, le mois
mme tous los banquets des «portifs, celui
lectionneurs était aride Mais leur intention avaiuht
et fut très cordial.
n'est pas ri? former «le suite l’équipe repré- dernier, à Bourges, tuais TU. S. du Berry,
", dossert, M. Thévenin sacrifiant h ta tr»
v-nffl'lve de la Ligue d’Auvergne, mais 'u n i­ venue au complu;, triom pha des locaux après
d ion qui veut que le présideni de la Ligue quem ent dé retenir des noms* L’équipe au­ u u t piaisaato partie. De chaque côté ce-futi In n é la parole an déjeuner de Sélection vergnate ne sera formée que lors d’nn m atch To'u.vüriuio, avec plus de no-teté etiez ioa
< noir et ver; », p.us de lougue, m ais moins
tlt .y Ligue prononça une cogri« allocution
contre, un chib regional : d ’autre? Joueurs poussés,
chez les « bleu et rouge »,
•orôs avoir remercié le», joueurs d ètre ve
n'avant pu figurer nu m atch de sélection sont
A l'U:S. du Berry, groupem ent homogène,
r--- ' aussi nombreux. Il souligna l'im portance à voir, tels en lignes arrières. Al'ain, du Sta­
ci” "m atch de sélaolion de cette année èiani de Clermontois. et Velllon. de l’A.S.M. En qui a du reste obtenu do lort beaux résultats
donné les rencontres que l’équipe au ra a d'antres lignes, fdnekabée et Fustier ont. pa­ dans sa région; De la vitesse en lignes arriè­
re, un centre, PailJoux, se fait particulière­
d' .uter contre l'équipe B de la Ligue de raît-il. leurs chances I
p-ifis à Montiuçon ei contre les équipes du
Voici les noms ries joueurs retenus par la ment rem arquer par sa décision ; un arrière
fort consciencieux et adroit, deux dem is qui
àùui. du r.enrre et du Nord-Est au cours d un commission -le sé-ictton :
É5 -n<3 tournoi qui aura lieu à Clermont.
TVinlvirue (ASM). Tartois (ASM), Chabrol com prennent fort biea leur rôle de »ransiaep
tours.
Pour term iner, un pack d'avants au
M Thévenin remit ensuite les diplôm es de (ASMi. I.aroux (ASM). Marsn) on (USM1 Ro­
c 'a m n ic n aux différents Uiulaires de la Li- bin (S.S. M ontiuçon). Mackabée (La Machi- talonnage eîîicace.
A Liermont, le quinze possède beaucoup
«•tie ci annonça que les Joueurs Qui auront nel. Fustier (ASM).
sêlcctionnéo trots fois auront droii au
Michel II (CAST;, Chauchat IS.C. Vtchv). d’el anl. Quelques éléments m anquent certai­
pr-t d'un insigne symbolique représentant Ch<*snf>y (F.C. Moulin«). Cnlatnvud IFCM). nement de science el surtout d'habitudo de
Fei’erd ( r's tT ) . Rouillneuft éS.C. Vichy), Jouer ensemble, m ais on seat chez tous on
un classique « bougnat ».
f o u r term iner, il leva son verre au football Velllon (ASM). Allaln (S. Clerinontois), Mi­ tel désir de bien faire q u ’on ne peut guère
faire gricl aux S adistos de 6 défauts qui pas­
c .ivcrgnat ci î la prospérité des clubs de. la che) I (ASM).
seront avec l'entraînem ent assidu tel qu'il est
QUELQUES IMPRESSIONS
pratiqué ucmeiiemeut
1 5 eonvtveg se dingéreni ensuite vers le
M. Barau
LA PARTIE
Stmie de TA. S M. >16 devait avoir lieu le
 r.iitc h de sélection.
», le match, chncun ém ettant son «vis.
Au coup d'envoi, les visiteurs tentent Tat11 lià tt évident q u ’un homme pouvait formu“
LA P A R T I E
'er;-«t*é ortinicn d? première 'im p o rtan ce :
La partie, disputée par un temps froid et «fêtait M. Rarrnu, délégué rie la Commis 5 inn
eam p
brumeux, n'avait attiré qu'un très petli nout- le n ’rnle de eélocri »n. entraîneur rie l'équipe
igne d'avan.a du Stade secoue furieusement,
b e de ^uectateurs, .»our la plupart acquis de- rie F ranre Pour hit. un hornrop ém prse du ses adversaires «t ne tarde pas 6 m arquer
r ' i . ; Kiemps à ia cans« de JafisuCJatn.n lot : Lerôtrs puis viennent Chesnoy et Cha­ après une belle série de passes courtes.
i* '. To-ré que tes exDlicatlons su r les -princt- brol. U formula que'oues critiques, nin-ableg.
Bp urges envahit â sort tqur le territoire
i \-s fautes, donn és par «Nény et Hussard j.qui sont r»our les dirigeants rie la Ligue ri'nti- tocah Deux belles sorties de -mêlée ferme?
0 ■ avaient em bout** chacun un immense !e? conrèf's à donner aux JOurtirs sélection­ tont aiix rapides trois-quarts Berrichons ri^
1 - »-voix furent à peu près perdues. Aussi nés. ■Ceux-ci. réunis après le m atch autour conclure, te deuxièm e casai aggravé d 'un but.!
ri u sistôrent-ils (»oint el sbandunnèrent leur d ’un vin chaud offert par l'A.S MnnfferraO- et c’est afrtEi qu’ü la ml*temp3 te tahlaam
rinine. ém u lèren t cas conseils autorisés avec indique :
- s*-j bien avanl la fin du match.
U.S.B... 8 j Stade. 3.
,-,-es ouo Breuly les eût consciencwuseinent beaucoup d'ntipntlon
Après la repos, le Stade égalise par un
t:. «.‘.«-Kraphié» '©s officiais s'instailérent dans
L'Arbitre
mouvement offensif do 6on pacK, qui domine
ws u . . naes où lu place ne faisait point déPhistenrs
touêurs
én>ergèrènt
riet’emênf
du
largem ent en touche et ouvre le pfus souvent
r : e- ies iaueuK» groupés en deux équipes ;
tels Benhacite, F ayard, Michel, Lapert. avec bonheur. Le but est réussi. Mais les visi­
, -Miire bleue et équipe rouge s'alignèrent Sur lot,
Chesnoy.
Bnbin,
Chauchat
et
surtout
Leroux
teurs, qui veulent gag**er ' « W '••» ’••■
ic terrain dans la form ation suivante :
et Chabrol.
•oup franc en face des batB leu r perm et de
EQUIPE BLEUE
Grengeon, pour un vétéran, se tira à «on prendre l'avantage-et »oc. ctt ,.»» ■ , u . . u .
avantage de sa lourde tâche.
Benbaclte
un dernier essai concrétise leur supériorité.
Lapert
Clair
Bon arbitrage de M. Faget.
Barnouillei
Grangeon
Chauve
En lever de rideau : Stade Olermontete 3
A ARDF.S. — Espérance du Collège OTasoIre
Lacroix. Scheuch. Turtoi» (cap.).
xat Rugby G'ub Thlerntria 1, par 15 à 3.
A. 8. d’Ardes, par 10 buts 6 0.
Mr rsa lion. Sibaud batP artie
l^ s éqttipiers de Muyard, privés dé leur
très amicale disputée devant un pu­
apitatne, n'en firent pas m oins, une très Jo­
A
EQUIPE ROUGE
blic nombreux.
—•»
lie
partie en face deç Thiernois. Ils m arquè­
Arries ^ e défendit très ardemrnêm, mais ne
^^««Dii- -t,i t.->. de Hes.nevilte; l.aiaiaynL L liatirol
put empêché? Té Collège, de totaliser des buts. rent cinq essais classiques par débordement,
Biitnlo.^uei
uhcsnoy cap.i
Leroux
lans un beau ntylo.
L’équipe d'Aides m anque certes d cntralne(
H auiry
Michel 11
Thieys
ment et de cohésion, m ais avec de la bonne
Marcheix
D’entrée, comme dans toin match de sélec­ volonté elle p o u rra bic-a fairs pendant la «ai- De
Mate
tion, la leu est un dcu confus. Les joueurs 409.
■%
AU stad7 mônicipal..
i . Ij’j f
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|TI.\E\ c.i *1‘^
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por-
1
Stade Issoirien
bat S. C. Montluconnais par 18 à 3
Quelques profils de joueurs et d'officiels
|fajn •
fa iii
rai ro­
Issoire est encore favori
sene
«ans
'
Nous rappelons que toutes les Succursales des
E T A B L I S S E M E N T S DU CASINO acceptent
10 coupon « BON POUR UN SAVON PAL­
MOLIVE G R A T U I T * paru dans ce journal
le 17 novembre. « U n Savon Palmolive est remis
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17 courant à tout acheteur de deux savons an
prix gormal de 2 fr. 25
AU STADE DE L'A. S. M.
TERRAIN D'HONNEUR. - A. S. M. 3 bat
G. A. S. Gerzatoi's, par
à Ô.
TERRAIN LEON CARRA — A. A. M 4 ÛEÎ
Sté.de Issoirien 2 , p ar 9 à 0.
9:s
L’AS. f i .
et le Racing ion mdcL inl
Établissements du
CASINO
plps. litfs T hlernols jouent fort correctement
et
r^c n mi nation, ce qui etjt îoft rare
chez <Jes débutants.
AU STADE DES ORMEAUX. — «ris t bal
Siads Clsrmontois 4, par 6 à 3.
DANS LA RECION
A MONTLUÇON. - F. C. Moullnols ! bal
U. 8. MontluçonnaiSè 2, par là à 0
A MOULINS. - A- 8 . ClermontoiM (mixte)
r, G. Moullnols (3), par 14 points (2 essais,
! tuJfè, 1 drop) à 0,
TrïMiiq jouée sous le brouiTt'ard.
Les Clermontois ont domine ta plupart du
temps. On a notamment rem arqué le jeu do
quelques avants et .du demi de-m êlée Chez les jeunes Moulinots, qui étaient en ­
cadrés par trois joueurs juniors, beaucoup de
bonne.-volonté, mais un manque évident,dç..
mdiier L’équipe possède quelques ôlétneftia
qui doivent bien faire lorsqu'ils auront ac­
quis l’expérience qui leiir m anque encore.
A RIOM. — S. C. Rlomoie bat Clermont G. C.
ÄetlCLJfliQÖrloritö des Riomqis qui, pat leur
.faèticm&nt
dê lêtirs j'e t m e ^ d V e ^ f r ç s r r i' to'
■
---------- —4-M-
-a
Àf'l 1 %•» ?
•èï -t." t
*if- -'-if ’• :
M j triompSa de Cosse
0!du M o, iLünops
Eu Championnat, U n bat
De belles eiibiüons de l’il A
est en vente dans toutes les Succursales des
j ; > s
in sera
M <*hc-
a
A nouveau le Racing attaqué, tant par ses.
nVnnts que par «es trois-quarts ; les MnntferrandaiS' sont riettethoni domines . la défen.-:e semble inexistant« : une contre-attaque
de Bony est dangereuse ; après avoir botiô
au-dessuS de Margeridon. Il est battu en vttesse d© très peu d'ailleure. Le Racing se dégags m a(«-:^ii 6 ehméL;i Bmbfw» .fftnceui avec
énergie, atore que Boucheron fail des mor*»
veilles. Des fc> métrés. G rop-part; «Tn«is”.«sf
bouclé ; Punsola reprend et fait une trouée
superb«, allant m arquer fessai entre les po­
teaux., Cet essai, malheureusement, est re­
fusé ; il ÿ a eu en avant, paraît-il.
■Uns belle envolée des trois-quarts monrfer-'
! randais est arrêtée • in extremis • ; te jeu sé
m aintient Jusqu’à la fin drvani les buts -pa­
risiens, sans que I« score change
!.v
;
‘ -Yt
L DEGAUVILLE.
Mais les Montferrandsis méritaient
la victoire
En face de Limoges
le Stade se retrouve
En Lorraine
A EPINAL — Le S. U. Lorrain bat I’ll. S.
d’Epiml!, par 40 à 0.
Bans le Lyonnais
A LYON. — A. S. E. Lyonnaise et Amical«
des Charpenncs font match nul.
1
£ i «t ïf 4 JU* e g tT a în e m e n t
i A PERPIGNAN. — U. S. Pe-pignana'-u: ©t
Aviron Bayonnals fopt match nul. 13 à 13.
A PAU. — La Section Paloise bat ie Stade
Régnerais, par SI à 3.
A BORDEAUX. — Le Stade Toulousain bat
le S. A. Bordelais, par 5 6 0.
-------------
A ssociation
LA COUPeT e FRASCE
LE STADE CLERMONTOIS E8T ELIMINE
(De notre envoyé spécial)
A ujourd'hui, a eu lieu, dans toute la Fran­
Malgré un froid très vif, accom pagné d'un
ce. le prem ier tour de classem ent de la Coup*»
brouillard obstiné et pénétrant, deux milliers
de France de football association, m ettant
de spectateurs assistèrent, dans le vaste Stade
aux prises 96 équipes. 40 m atches avaient
Olympique de Colombes, à la rencontre dos
heu en province et 8 dans la région pari(De notre eorrnpondaiü 'particulier)
cham pions parisiens et des cham pions du
i sienne.
Le Stade Cleruiuntois avait déplace à Li­
Le plus im portant était celui qui m ettait
Centre.
Le Racing présenta son équipe annoncée, mogea une équipe fort mixte à laquelle m an­ en presence le O’.ub Français et l'équipe alsa­
équipe qui esi d’ailleurs celle qui rem porta quaient Simon, Muyard. Martinet et uardiile cienne d’Hagueneau. U fut acharne et »©
récenunent de Si belles victoires, alors que Bar surcroît de malchance, les lueu et rouge, term ina par un résultat nul, m algré deux
le 3 M om ferrandais étaient privés des servi­ partis samedi de Clçnnont, m anquèrent la prolongations.
’Des autres équipes provinciales, seul I«
correspondance à G ànnat Ils allèrent cou­
ces de Bernon, Nougal, Jacob et Arnaudm.
Le match nul fait honneur aux Montfer- cher à Montiuçon el reparurent dim anche C A S Jean Rouin, d'Angers obtint la vic­
toire sur Cîichy.
randais, m ais il est juste de dire qu'ils mé­ matin.
Voici, du reste, les résultats complets des
Malgré tous ces avatars, ils firent une bon­
ritaient la victoire. Celle-ci eut d'aillours été
coroplèie et netta, si l'essai de Punsoîa eut ne exhibition en face de l'équipe de Limoges, 8 rencontres :
II.A du 16« bat U.S. Belfort par 4 buts â t.
été accordé. Certainem ent ce fut l'essai le ?[ui compte cette saison quelques jolies perF.C Dyonisien bat Potite Rosselle p ar
plus-,joli de la partie,, am ené dons le style onnances à son actif.
sf particulier de ce brillant joueur. il -.oS la
A l'approche de leur m atch contre TA. S. 6 buts à 2 .
Club Français et F.C. Hagueneau font m atch
ballon lui échappa des mains, pas longtemps M., les Stadlstes semblent se ressaisir. Cela
_ .
. iPiü«qM’.il le raiiru p a Jmai.édiatem.eiiL tpais ce nous promet une rencontre disputée pour di­ nu! par_UD. but à un.
F.EG. Levalloîs bat V.S Stêphanoise par
■f5 Ï .suffisant pour que le sifflet im partial de manche prochain. Voici les appréciations de
buts à 0 .
\L Lerou brisât un si bel effort.
. notre correspondant de Limoges sur la partie : 6 Gallia
Club bat Stade *C4ennontols par
iLe Racing, certes, na s’attendait pas a être
p a r 10 points (2 essais. 2 buts) à & (un essai
10
buts à 0.
m anœ uvré d'aussi rude façon, et pendant transform é), ta feectiur» Athlétique Universi­
C.4.S Jean Boum bal U.S.A. Cltchy p ar
toute la première mi-temps,- les hommes de taire de Limoges a battu le Stade Clermontois.
buts 6 1 .
Pueeh Tirent tout ce qu’ils voulurent. Les pre-, Cetté victoire de Limoges, très régulière est 6 A.S.
bat Gallia de Soissams par
miëres q uarante m inutes de la seconde mi- due surtout à une puissance athlétique beau­ 2 b u t s Française
ô 0 .
tem ps virent au coniraire les avants bleu ciel coup-plus grande citez ie> locaux
E.S.
Juvisybat
S. Caennaise par 1 but à C
»t h i.irr serrer les dents et tout bouscu.er
Il faut dire à la décharge du âtede que
------------- 4~M------------son équipe ôtait privée des deux trois-quarts
Simon et Muyard et que M artinet et G aidtlle
Les matches internationaux
étaient également absente. Les doublures, no­
tam m ent ies trois-quarts, aile droite, ne furent
Sur sa partie de ce jour, TA. S. M. prouve pas à la hauteur de ceux qu'ils remplaçaient.
one les msilletrrcs équipes devront com pter Malgré es gros handicap, les Sladistes four­ L’Olympique el I« Cantonal de Neufohkte)
font match nul
avec elle. Le pack d’avants, bien soude, suit nirent une p artit n és courageuse ci très joliÂ
inlassablem ent ; Çuech, Couriez, R achat. «la- La boau Jeu fut plus à l'honneur chez eux
Paris, 22 novembre.
bert. Rochon furent constam m ent su r la balie. que chez leurs adversaires et en prem iere
Un m atch de foctba l association a i t t
Marmayou, en winger, boucla souvent Du mi-temps notam m ent, los ligne* arrière exé disputé au stade Bergcyre, entre TOlympiquo
Manoir, qui ne fut pas transcendant, et Llau- ; cutèrent des mouvements offensifs de très el le • O n to n a) de Neufchâtel ». Les deux
eu qui a ca science du jeu allié une gronde ; belle facture. C’est sut un de cas mouvements équijves oui fait match nul. ayant chacune
vitesse, fut très rem arqué.
I que Habuisson déborda la défense de Limo- tilàrqtié deux buta.
t^ g trois-quarts firent une bonne partie, i ges et transm is correctemont à Lulzy devant
En première mi-temps, S-achlnetti m arqua
m ais Tarfièrc, tiu centra, ne fit pas oublier', perrière. Le brillant trois-quarts centre ou- doux fois pour le» Suisses, tandis que Btrei’Noir-r.) ; Gros semble arriv er tout doucement j vrit ainsi tè sdore par un essai transforthé. ler réussissait un but pour TOlympIque. Après
en 'fo rm e et
Pnnsola au rait
dû le lancer plus
p• » a_r la .suite,
au« . cours
de ces quarante pre- le repos, Baron égalisa pour ce dernier
4» , _______a . . - t . n M
e r iio r é r n S t n r v o il f f l i h l f l
. .
Les Suisses pra iquont un Jeu d'une fac­
souvent Rony f’j t bon, quoiqu’un peu faible ptlèrcs m inutes, Raboisson m anqua doux bel­
l'ouverture.
Chaumor.t,
fui
)o
les
occasions
de
m
arquer.
Il sembla que cet ture nettement supérieure à celui de leurs
en-, défense.
loueur modeste et plein do ressources que ailier n ’avait pas suffisam m ent de decision. adversaires, mais le u r Imprécision devant les
-- - connaît, ■alors
-•— que
— son
— compère
»'»•*»"*“ » B""ch,ebuts ne leuj perm it pas ne l'emporter.
Ton
Bouc
La s scande mi-temps
ron fit, à la mêlée, uno partie ansoljimont
L'Espagnol do Barcelone bat le Red Star
sutfèrbô aussi bien én -attaque qu en ue.ense.
La seconde mi-temps vit un avantage assez
par 6 buts à 1
C'est tout ce que l’on peut dire de ce joueur net de Limoges, grâce à ta supériorité' dp sa
aux qualités réelles et au courage jamais en
défautT
A Tarriérq. Sayy .f,ui. bPri.MP|ris noua I avons
w s f a J j i f t ^ ê -,JBfiüJegrfi« 11 fct v-, a î
qu’f) n'eut pas ' beaucoup u s'employer, et q u t vaisa forme des arriéré de Limoges, le Stade 'Barcelone », commandé par Favnra.
L’équipe espagnole, en superbe condition,
lo froid était vif.
. ____ au complut devait gagner.
Au Racing, les meilleurs furent Tarriere
La caractéristique de l'équipe de David ré­ fit une exhibition ren arquable. triom phant
M argetidnn qui rie commit pas une faute, les side dans la grande vitesse de toute* sua u- riâ Reri S tar par 6 buts à 1.
A a première mi-tentps. on assista a un
trois-quarts Révillon et Laurent, Ica avants gnes.' Les avants, un peti légers pèut-être,
codent Inlassablement à ta bâllê ot jouent véritable feu d ’artilict- de la port des Espa­
Loury et ÿ erru rler.
...
En résumé, Puech peut envisager ! avenir sec. En outre,-i'équipe es» très adroite suif là gnols. qui réussirent à m arquer quatre fols,
avec confiance ; sa m agnifique équipa esî _balle, et
__ recherche constam ment
— ........................
l'ouverture. alors que le Red Star ne réussissait qu'eo
ioj't capable de cueillir .encore, de nom preris , Npt» avons plus spécialement rem arqué le but m arqué par Chautrel. l^ s buts espagnols
furent m arqués par Olcriaga, Ornraas. Zalaürière
1ère (et rie's'im poser â Tattention du môpr l Jeu de Lévèque en avant, de D edarac à l’ouet Padron.
do./ugbystîque.
v erture et, du. centre Lutzy. Voillereau. quand boli
Durant cptte tri-tem ps, t’avan'-oontre du
V?i -7,- ' -*.r- * LA PARTIE
il joua arrière, fut impeccable.
Red
Star, qui avait été touché, fut remplacé
En résumé, le Stade semble très bien arm é par Campioni,
Le coup d ’envoi échoit aux M ontferraadals,
qui avait joué le match précèpou
r-Ieâ
dures
rencontres
de
cham
pionnat,
qmv"envaiitssent le cam p du Racing et tont
dent-, A 1» reprise, les Espagnols continuent à
m
algré
une
puissance
athlétique
moyenne.
dès attaques par trois-quarts qui ledf valem
garder a direction du jeu et fout descentes
des aiipiaudissetoem s. Un coup franc accordé V—M.
sur descentes. Cheyriguês se défend mieux
aux 22 mètres, perm et aux visiteurs de tenter
qu’en première ml-temps- e; arrêt* de nom­
le but qui est réussi par Pucch.
breux shoots. Malgré le courage de la défense
Une nette victoire des réserves
du Rcd-Star, les Espagnols ajoutent encore
A. S. M., 3 ; Racing, 0.
Le pack inontferrandais est m aître du bal­
2
la marque. La fin est siffiée alors
montferrandaises à Roanne quebutsles à Espagnols
lon à la mêlée ot menace les buts des P ari­
dom inent toujours.
siens. Un coup franc au Racing rartiene le
jeu au centre et u;te attaque des locaux tneA. 8. M. (RESERVES) BAT
Matches amicanx
Réviîlcn er. possession du ballon. Le RdctngO. N. DE ROANNE (MIXTE), par 0 4 «
A MONTLUÇON. — A.8. Chàîeaurotnt 1 a*
m an fait une longue passe à Laurent, qtfi vâ
utim îferrandaiscs, quoique ats- U.S. Mont uçonnelse 1 foni match nul. 1 i 1.
m arquer. Les équipes sont à égalité. l£S sezLes réserves
de leurs équipiers i A CHABRELOGHE. - Nous recevons de»
Moniforrendalâ
dotrtfoiT3ndais continuent à6 aattaq
tta quuer
e r.«à la
gpulstpie
& T contre
& quatre
i ï ï l e XRacing,
c i ^ Â t ' une !
‘
P
aris
nam . «e m ontrant supérieurs 4 leurs rivaux,
contre le
ie Racmg. firent
firent
reuseignementP contradictoires sur certalas
main,
un
Ln
ce»»
••
—
«.*
—
—
:—
—
;n coup franc accordé aux M ontferrandaij, . . . . . q,ù i est transforrnô
DÛîs
d eïx Jôupur« » incidents qui se sont produits à Chabreiocne,
,
...____
—
u r obstruction du Hacing
p ty minirferrandaif,, bléssés. quittent te terrain et I entre tes Joueurs rie l’équipe locale et c 'ttx du
mur
Racing est
cri manduC
m anqué jpar
Stade Saint-Rémois Dans l'Im possibilité de
at-4f»\*Qn. xjn coup franc au Kac-ii^ i
M. jauet* désorm ais A treize. Ma!« Connaître la vérité, nous nous abstiendrons
B lét^n tr'Suver là touclie eux 22 mètres mont*, TA.uÂ
ses
six
robustes
avanis
résistent
quand
mê­
rie
publier aucun résultat.
fecoitûlais. où une bataille e’e n g ^ e ,. niais me au pack de -Roanne et alim entent les JiSaWlÆégâàe. Puis Boucheron attaque supér- gritss a m è re , qui cond'tlsent quelques atta­
A LA ROITRROUT.E. ~ A. 8. M. 3 bat Club
bcÆt&ti? un- arvèt de volée de M argenriun qués m agistrales ovationnées par te public.
Sportif Bourboullon 1, par 6 buts 6 1.
Favorisé«"par un temps splendide, la partie
ram ène l e ' J ôu
nials les ava!lts ®ont”
.
i,. - ♦ ♦ + ------------ferra n d ais. m ènent les ..opérations avec un
s'esi déroulée devani un nombreux et sportll
arioT»eémarquabie.. Pun«ola attaque et lance
public.
COIFFEZ-VOUS A LA
Grè^ quL bouclé, botté légèrement t euivre s
Le Jeu fut assez plaisant, mal« la Jeune
Liavtst^.tjçjij'fi^l-.et jmafque. ; ÎUuriauypu transC H A PE L L E R IE R 0 N 0 E T équipe de La Bnurhmite ne put réussir à In­
quiéter les M ontferrandais.
A £S,T.5î.r S ;; Racing, 3.
_ (
.
L'arbitrage fut Im partial et digne d’êioge*.
M ontferrandais m ènent la
Il convient de signaler 1a cordiale réception
■
Les
Championnats
régionaux
i d aÖr ir etftujôür&-les
7 |:ir mêlée à dix mètres des buts du
du Club Bourboullen. — GOAL.______
Iftacihg, Boucheron s'échappe et va â ,f essai.
DANS LE LANOUEDOQ
i i un—— iBLina*
umbuitt
i - rm --------- --1 AT s ! M., I l ; Racing, 3.
7
■
Lee Quint «t Lézlgnan sent battus de Juetees*
S ur hora jou de U attsu, le Racing R ente
A FÈRPIGNAN. - R. C N arbonnais bat
Four le LOOATIOR D’AUTOMOBILE»
et rut© la but. Savy dégage, et te jeu revient Arlequins Perplgnanats, p ar 3 6 0.
irès des buts du Racing, qui parvient cepen­
4dressez-vous à h Ht* A L L A I T
A LEZIGNAN. — üéziere bat Lézlgnan, par
d an t à se donner do I air. Le3 avants pari­
siens jouent en force et les buts montfcrran- 5 4 0.
n v t iiY J *• Bd A t ,4> B r o m id e JTMeph
liJliAÖX J » p l a e e d t t a u d e ) 5 . 3 9
data sont menacés. P artan t des 22 mètres,
En cote d’Argent
une attaque des trois-quarts du Racing abou­
A BORDEAUX. — B- E. C bat Cadillac, par
tit à l'essai par Révillon.
6 à 3.
A. -8. M-, Il ; Racing, 6.
Satnte-Foy et Section Bnrdlgalienne font
C'est la mi-temps.
m atch nu) : 0 4 0.
B. U. C. bat ’J . A Cadillacaise, par 4 4 L
La seconde mi-temps
Dane IM Pyrénées
Dès la reprise, le jeu se cantonne dçvant
les buts du Racing, tpala lés trois-qùarts bteu
A TOULOUSE. - Le T O. B. C. bav Motset blanc attaquent ot par m aladresses succes­ eac, p ar 65 4 0,.
COtUtET
sives dates te défense m ontfefrandaise, lo Ra­
En Bourtegne >
cing tudrqne entre les pojieàux ün essai qui
»a w r s s » Â V # » ' s .
SPORTIFS l
T Ä W iv ifc -tt-
'
SgZXJffEZSUBKi
L*AV I NIP DQ PLATEAU CENTRAI
t,U * ï» 25 NOVEMBRE 1925
ABU
LES CONFÉRENCES
H.
ient représentée à l’étra n g er que p a r des
livres pornographiques et stupides.
P ierre Benoît propagandiste de la pensée
française dan s ce qu’elle a de passionnant
et de noble, c ’est bien là le destin digne do
ce bon serv iteu r de notre langue et de no­
tre raison nationales. Ici, comme dans toute
6on étude pén étran te et vraie, l’am itié de M.
José G erm ain ne l’égare pas, et se rencon­
tre avec la critique la plus exacte.
Un public nom breux et choisi a vivement
applaudi ce beau trav ail. L ’Auvergne
littéraire ne pouvait souhaiter préface
à la fois plus enseignante êt plus exquise
po u r Ses séances.
60
de r* Auvergne littéraire >
v w ---M. JOSÉ GERMAIN
PARLE O B 'P IE R R E BENOIT
Sam edi. an F am ilia, sons tes Auspices
e L 'T uvergne littéraire qui o u v rai ses
conférences M. José G erm ain a parie de
P ierre Benoît avec une sincérité aflectueuse et une inform ation très sûre.
_
Analyste délicat et profond, M. José o e r
‘ •
H’nhur d le succès de son auZ n
r h e o r ï o ù « f a l l a i t « n i r ^ : ainsi
défm it-il le co n teur de L A tla n tid e , et U
exDlique in g é n ieu sem e n t son opinion.
Pendant qmrtre uns toute la hrauee intel­
lectuelle et active fu t au front de g uerre ou
elle prit le g"dt f*u mouvement et du plein
a ir Revenus daim leurs foyers, les com bat­
tant* y retrouvaient une p a u v r e v .e o u p e r .
«o ne n 'a v a it rien comprie. « Il allait fa^teir nous défondre contre ceux que nous
S i o n s
défendus. » Cette réacttmn contr^
ce milieu désolant aboutit à deux ètate
dPàœe opposéo : l'u n fait de suractivité et
d ’artîteur com bottive' ; l’a u tre de pass.v té
et de détachem ent d un cad re quotidien uéeorniais désenchanté.
la
1 es deux conceptions du rom an et de la
litté ra tu re contem poraine sont néesdeceé-e
d o ïb to orientation des ^ r t t s l W l è s inc - m e ta prem ière, avec son rom an .àpre­
n a n t social, de nettoyage cruel et do re­
construction violente. P ierre Benoit sort la
seconde en offrant aux déçus do la vie
courante l'allégresse de la belle aventure.
M. José G erm ain définit alors I aventure
telle que la voit et l'illustre t ierre ^ n<?, “
El»e r'e st pas l'av en tu re anglaise à la Ste­
venson et à la Kipling, qui s en va vers
l’inconnu, les terres désertes, et garde■tojiiours quelque chose de sportif et d utili­
taire L’aventure de Pierre Benoit, a u ta n t
S r e l’aventure française, est toujours
em 11 reuse. « Il s’agit de conquérir une
terre quand on est Anglais et un cœ ur
ouand 011 est Français. »
F>i- où l’on voit que, d an s les rom ane de
P ierre Benoit, l'in trig u e to u fp e rp ,toqjo^rs
au to u r d'une femme, qui sera m ystér euee,
étrangère et faseinatnee. En face, un fas­
ciné qui sera toujours un F rançais : Morange et Saint-Avit devant A ntinea , Oli
vier de Préneste et AUegria ; G érard et
Antiope ; Vignerte et la grande-duchesse
»
♦
LITERS
ta, ru»
ménagères î
LE BILLET DE L’ECONOME
Le Tunbre-Pr.ffl3-EscQm pte
Puy-SèAuira»
Etrang
r i*
'•
doit être aénfe pour être saine. Vos ma*
telas, vos oretfter* contiennent de ta pous­
sière ; contact dangere* x pour voire santé.
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prouvera une démonstration gratuite à
domicile. Demandez-la.
iresse dd’infor­
La p lu p a rt du tempe, la presse
mîaations
iio n s fait connaître en bushefc
oushe]6 et en
dollars les prix du blé su r les m archés
am éricains.
,
Trop souvent, les négociants profitent de
ce que les coure ainsi exprim és ne. « di­
sent rien •> aux cultiv ateu rs pour les tn-'
te rp ré te r très tendancieusem ent.
Nous trouvons dan s la Defense agricole
de la Beauce et du Perche, sous la sig n a­
ture autorisée de M. Egaswe et d 'a p rès les
indications de M. A. Coussin, une note qui
perm ettra à nom bre d ’ag ric u lte u rs de faire
ies calculs nécessaires.
Un bushel pèse '£7 kg. 21. P our faire un
q uin tal il faut 3 busheis 675.
QuaBt au dollar, s a valeur varie, comma
change.
M. Coussin estim e à environ 65 cents,
c’est-à-dire 0 d o lla r 63 les frais de tra n s­
port p ar m er, frêt et assurance.
On a ainsi le prix caf, c’est-à-dire à l'a r ­
rivée du bateaü.
Il faut y ajo u ter la taxe d’im portation de
1 fr. 30 pour 100, les frais de décharge­
ment et divers, qui peuvent 6C m onter à
3 francs environ.
Il faut, enfin, a jo u te r lee droits de doua­
ne à raison de 14 francs p ar quintal.
Bien souvent, des cultivateurs qui so
laisseraient aller à croire que les prix du
blé étra n g e r *ont; en pleiqç.. débâcle. a u ­
ront in té rê t à firinç i'eà,^aïeuls que nous
venons tie
.
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637
636
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6
Minuit..........
5 i 6 h. m a tin ...
S l M id i..............
^ 6 h. so ir. . . . •
g M inuit
.
g 6 h. m a tin ...
Midi. •
6 h. s o i r ....
M inim a........
M axim a.. . . ■
S M inait.................
S S 6 h. m a tin
.
| i M idi
...........
2
6 h. so ir. . . . . . . .
Pluie ou neige
! (de midi à midi)
L
Vent à midi.........
TEMPS
-
100
lüO
95
100
■ n,
- -4 <
34
49
fi Ç
0 4
Sud a
nul
presq. nu!
n!v de la mer): 7o0 8
PROBABLE
A LA
3N 3ÎÈCLE NE I BCCtl
du dimanche 22 novembre
lui soient faœ il sre p ar quelque rôté. L a rt
du conteur y mêle ensuite assez de m ys­
Bas hune pour enfants, depuis 4 25
tère pour surexciter l’attention à un degré
Bas sport laine jaspée, pour filqui n'a sans doute jam ais été surpassé.
loties e! garçonnets ---- , . . 7 45
Et M. José Germ ain m ontre quelle vérité
Bas lame [tour dames, 12.50 et 11 25
intense se dégage des récits q u ’on croit les
plus inventés. L'A tlantide, c'est l’attirance
Chaussettes laine pour hom­
du Désert, que tant de voyageurs ont
mes
................................
7 50
éprouvée et un h asard cruel et tro u b lan t a
Chandails laine pour hommes,
voulu que le général l.aperrtne, p arti pour
37,75 et ....................
38 25
conquérir des voies sahariennes nouvelles,
Camisoles
laines
pour
dames
15 25
tom bât au point même du T anezrouît oû
Combinaisons-Jupons laine fine
m ourm Taoit-Zerga. Pour Don Cartos,
iiour dam es ............................. 27 50
met en scène, deux an s avant le coup
d 'E ta t espagnol, ce Prim o de Rivera que
Gants jersey fourré pr dam es 4 85
personne ne connaissait en France. La
Chdte’aine du Liban fait a p p a ra ître en
Kaites inscrire vos achats su r voir*
Syrie le jeu dés Intrigues anglaises, cette
agitatio n des race« o rientales et ju sq u ’à
CARNET DE BON!
ces influences fém inines reparaissant
• n ticket-prime pour 1 fr d ’aoha’
d an s la sinistre aventure qui nous hum ilie
(sucre, sel, pétrole ei e s s e n » en
si cruellem ent a u jo u rd ’hui là-bas. Ainsi,
don de 5 litres exeeptésl.
p ar la seule exactitude de sa docum enta­
tion et l'a rt dont il l'anim e, Pierre Benoit
prend des a irs de prophète ei, en dépit des
apparences, crée la réalité à force de res­
ter dans le vrai. Une page de la Chaussée
rirs Géants. Ine p ar M. losé G erm ain, illus- -■■■ .
c;
tre à merveille cette puissance d’évocar n ir té P
IT V
M l D A Il/’P
tion, ce sens du raccourci qui font de ces
L ( ||K f X p I
n n f lK L H r .S
rom ans merveilleux des docum ents d 'b is -| * V l l l f c w t *
iflV V Ity il b V
toire de prem ier ordre.
I
*1
:
Crandrteu (Lozère). — Marché du 18 no­
Un tel a rt a fait école, pour le pins
g ran d bienfait des lettrœ françaises. M. vembre. - Voici les mercuriales .
gras, 100 fr. les 50 kilos ; veaux,
José G erm ain indique notam m ent en quel­ 6 Porcs
fr. 50 I« kilo.
ques tra its vifs ce que le M aeO rlan de la
Beurre, 14 fr. le kilo ; œufs, 12 fr. la ving­
Cavalière Eisa et de la Venus internatio­ taine.
nale do t A P ierre Benoit pour le renouvel­
lement de sa verve littéraire. .
Marvel oie. w. Marché du samedi 21 no veinEt dans ce succès, MT'Josif GéRil&ln volt fane.. - -Foieltes.Stèrcqrialès.
avec raison une heureuse réaction contre _ Beurre^^ô f r .6 ^ ^ r ^ 2 5 'ta livre;;œ ufs. 8 f r.
50 la d ou zain e.
ce q u ’il appelle « l’Ecole des cheveux cou­ à P8o ufr.lets,
su iv a n t grosseu r, de £5 ô 30 fr
pé« en seize » et cette littératu re herm éti­ la paire , lièvres,
7 fr la liv r e ; la p in s de
que qui a détourné les étrangère de nos c h o u x , 3 fr. la l i v r e . g r iv e s, 5 fr. ta paire.
écrivaine les plue vivants q u'une propa­
Veaux, 6 fr a ft fr 25 le kilo sur pied.
gande mal faite laisse inconnus. Ainsi,
M José G erm ain explique, p ar le morne
L. LANIOL
ennui de nos au teu rs officiellem ent recom­
3, r. St-Hènan, Clermont
mandé«, le fait que nos rom ancière ne
Le Proton e s t un liquide agréable au goût. Il e st en
vente dans toutes les Pharmacies. Mdéfaut, te com­
mander à la Pharmacie Leprestre, 35 rue Blanche,
Paris, Dépositaire général, qui t'enverra contre man­
dat de 9 fr. 90.
Pour Remplacer le GAF&
trop excitant poor certaine»
DDrSOQDÔÉ|
II n’est pas <le æ U teur
produit que la
oLRHDDOUX
♦
t . tl
&
IIC 09 a BM ttOIN
I
A N T IN C R V 1 U X ,
I D I O I S T I F , F O R T IF IA N T
4414 au C A FÉ colonial, 11
détruit se» propriétés irri*»ntea
u n s altérer sou psrfun..
Eiltsgé au Latt il eat exquis.
la rente : £pi:sr!ca, dragutrie*
Bln» ft Hanum: SIinMSt-F«mlJ
E tude de Ms FERRAND, no­
taire à Saini-Atyre-d’Ar­
iane (Puy-de-Dôme).
APPORT EN SOCIÉTÉ
D’UN
FONDS DE COMMERCE
R. G Clannont-Fd N® 103 •
S uivant acte reçu p a r M*
F erran d , notaire à SaintAîyre d'A rlanc, Te trente oc­
tobre mil neuf cent, vingtcinq, enregistré à Ariane le
2 novembre 1925, folio 64.
case 351, p a r le Receveur
qui a perçu les droits, con­
ten an t les statu ts d’une So­
ciété en nom collectif formée
SITUATION DE 2.500 F rancs
entre M. FAYE Damienp. mois, g aran t., p. papier tim bré à M. act.
ON DEMANDE
Joan-Piarre,
propriétaire,
ay an t références. Àpp. 25.000 cpt. BOiTËL,
dom curant à Combris, com­
50, rue Centrale, à Lyon. (Maison fopdéq,
m une dé Doranges (Puy-do1883.)
Dômo) et M. CLADIERE
p eur l'après-m idi seulem ent
Jean , négociant, dem eurant
Albert PINOT, 37, rue Blatin, de 18 à 19 h. à P aris, 4, cours de Vincen­
LE CORRE SPO ND AN T
nes (XÎT* arrondissem ent),
avec siège social à SaJntS3 Novembre
Alyre d'Arlanc. la raison et
Le problèm e Ce la sécu rité, evee o u croquis
(* - • ) — Le .prélèvem ent s u r le c a p ita l (Charte*
la signature sociales étant
D upais, de l'A cadém ie des Sciences m orales et par
a FAYE et CLADIERE »,
Briques). - é a c e s de g n a rre , ùt, p olitique e t d 'a ­
MM. Faye et Ciadière ont
m o u r d u tem ps >1« Napoléon (M aurice Caudel) —
Le nodscattéu Botyvcifc (T, Bouyer-Karr) - Le
fait apport à ladite Société,
Li
mr'ltur»
4»
tout»
J■a r d l a des LettpssJAriU4TO..Fs'«tvf
lj
'inuam ijE r je il^ - -„ k------chacun p ar moitié,
nés en O rient. Egypte, S y rlo Pabéstfi». 1 NrPB»«
Its ci as il ai» l» Tfrut
L’ensémblè d ’une usine à
(Comte de Luppo;. - G abriel v icaire e t F ran ço is
Coppée. L et’res in édites (Jean Monval). — Le m ou­
usage de scierie ù vapeur,
vem ent économ ique (A ntoine -le T arlé). — Sons le
située à Saint-AIyre d'Ar­
i c a lv a ire de m on pays (P a u l H arel). - A tra v e rs la
lanc, lieu dit « La Champ »,
presse é tra n g è re . Revues d 'A u trich e, tra d u c tio n rte
P. L eclerc. — Los oeuvres e t les hom m es. C h ro n i­
connue 6ous te nom de
6LBRM0NT-F0
q u e des expositio n s, de la m u siq u e nt d u th é â tre
«Grande Scierie de la Gare»,
(M aurice B rillan t) - C hroriiquo politiq u e (B ern ard
N» Mto au R. C 1731
com prenant : diverses cons­
de Lacom be). — B u lletin b ib lio g rap h iq u e
Le n u m éro 4 fr P a rts. 31, ru e S t-G ulllam aev ï
tructions toutes en boi3, tel­
pour le lu n d i £i novem bre
LIVRÉES A L’ESSAI, MES
D A M 0 1 7 C
POUR ARROSAGE,
I s ’a ffa ib lit grad u ellem e;
p o u r s o u t ir a g e ,
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millimètres).
a levier, au volant, an m oteur, vous donTemps un peu froid, cjel brumeux, quel- neroni satisfaction. — BAUZAT-BERCOIN,
3, ru e Clemenceau, CLERMONT-Fd.
BONNE STENO-DACTYLO
OijOt: Phîe R03IÜ
les que m aison d'habitation,
scierip proprem ent dite et
hangars», te tout occupant
une superficie: d'environ un
hectare tren te a res, avec
tout le m atériel, a g rè s et ou­
tillages e t les m archandises
désignées au d it acte.
L’Etablissem ent industriel
et commerci al que lad ite So­
ciété exploite d ans cette usi­
ne et com prenant : l’ensei­
gne « G rande Scierie de la
Gare », la clientèle et l’a­
chalandage y attach és et le
droit aux baux.
L’entréo en Jouissance a
été fixée an 1" octobre 19?5.
Les oppositions devront
ê trs faites, â peine de forclu­
sion, dans Ica dix jours de
la présente insertion, et se­
ront reçues en l’étude de M*
F errand, notaire à SaintAlyre-d'Arlanc, où domicile
est élu à cet effet
Cette insertion est faite en
renouvellem ent de celle pâ­
m e d3ns le même journal
i’ « Avenir ». è la date du
12 novembre 1925.
P o u r deuxièm e insertion :
L. FERRAND.
Etudes de MM LA00M 8AS
et OGIER, notaires à Cierm ont-Ferrand.
S uivant acte reçu p a r M**
Lacom bas et Ogier, notaire»
à C lerm ont-Ferrand, le 4 no­
vem bre 1025, enregistré-'0îi
cette ville le 10 novembre
su iv an t, folio 142, case 968,
volume £121, M. Alexandre
GAYDJER, débitant épicier,
et M adame Antoinette P E Ä
RY, son épouse, d e m e u r a is
à Cham alières, rue du Bos­
quet, ont cédé à M. Antoina
VAZE1LLE, débitant restau­
rateu r, et M adame M argue­
rite DENIEL, «on épouse,
dem eurant à Clerm ont-Fer­
rand, rue du Cheval-Blanc,
n* 55 bis, le fonds de com­
merce d'Epioerie, Oomestifiles et Comptoir exploité à
C ham alières, rue du Bos­
quet
Les oppositions, s’il y a
lieu, devront ê tr- f a it» , à
peine de forclusion, dans las
dix jo u rs de la présente in­
sertion renouvelant celle pa­
rue dans le même journ al,
feuille du 13 novembre 1925,
et elles seront reçues en l’é­
tude de M* Lacombaa, notaire à C lerm ont-Ferrand, 31,
4 É É A M M A É A A A A » rue des Chaussetiers. domi­
cile élu.
IMPRIMERIE8
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P o u r deuxième insertion j
DE L’ « AVENIR •
F. LACOMBA8.
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Travaux en tous genres MPftIMCIIIS MODSRNS, k |
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rus du For». — L» G èrssii
N. 8AINRAFT.
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FEUILLETON DR L'A V E N IR
I. ru»
«9. ru»
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Pour calculer ei to c s le prix
du n i imérlcaiB rends ei fonce
A lT thème choisi, Pierre Benoit l’enca­
dre avec un a rt subtil et nourri de 1 e ru ­
dition la plus profonde. M. José G erm ain,
oui ne em it pas à l’inspiration désordon­
née pour aucune œuvre sérieuse, m ontre
le souci de docum entation du rom ancier
qui san s connaître personnellem ent la
plupart des pay qu’il décrit, donne une
im pression si intense du vu et du vécu.
Maie ce cadre, il ne le recule pas d ans
l’histoire lointaine. Il s’épargne ainsi les
critiques posthum es qui ont discrédité les
reconstitutions historiques d ’un Alexandre
r
rteux. Regardez-le bien. Voua ne rem ar­
quez aucun détail ?
— Non. dit Pierre, distraitem ent. Et Je
ne com prends pas votre étonnem ent. N’en
a>vez-vous pao déjà recueilli une trentaine
i du môme genre ° Pour ma part, je n'aperi çois aucune différence entre cette hacho
et toutes celles que j'ai déjà exam inées
P a r J e a n 4 ’E S M B
chez vous
L e-prêtre dit lentem ent :
— ♦♦♦—
— C'est que vous ne 6avez pas voir
XIV
U approcha le silex de la flamme Sur
les facettes régulières, la lueur accrocha
— Qu'y a-t-il 1 dem anda Lursac
,£■
p iè tre leva la tète Sa voix eut d'é- des reflets vifs.
— Tenez, ce* cassures encore fraîches
tm n g cs résonance*
— Tenez .Regardez ce que je viens de des éclats t Le voilà, le détail é tr a n g e , I
troutver nous cette m ines couche de feuil Ces» cela ^ni me déroute et me stupéfieSi je me fiais aux apparences. Je ju re ra is
lage
: que cette arm e, que toute ma science anIl tendait, p a r dessus son épaule, une i tnropom étrique m 'affirm e po u rtan t être
sorte de inortyau composé d une pierre ; .vieille d 'a u moins trente m ille année«, a
e m m a n c h é e a u bout d'une branche four­ été taillée il y a quelques mois à peine I
chue Le jeune homme jeta un rapide coup Je serais en Europe que je n 'hésiterais pas
d'œ il su r I arm e Elle lui sembla grossiè­ à crier très haut que I in strum ent est apo.
re, quelconque et san s intérêt ,
crvphe et provient d 'u n e de ces fabriques
L Un cusse-téte abandonné p a r quelque d'arm es préhistorique« comme I! efi a exis­
MoT ' dit-il
té aux environs des te rrain s de fouUle...
Le m issio n n aire g a rd a son a ir prpoccu.
Pierre eut un sourire' am usé: * '
pé.
— Eh t dit-il. on réussit donc parfois à
— Vous leu r ÿve* déjà vu de» in stru ­ rouler m essieurs les archéologue« !...
m ents rom m e celui-là ? dem anda-t-il -Je
L* m issionnaire se h âta dé pro tester.’ *
cou p ais la plu p a n des trib u s sauvages de
— P lu s m ain ten an t Mats, au début, cé
lu région d ie » sont toutes arm ées de 1* fut un commerce souvent fort lucratif...
lance; de l’arb alète, du sabre courbe, p a r­ Mais supposer ici, en plein pays Moï. une
fois de la p e tite hache en fer à double industrie de c» genre, ce sera it vraim ent
tra n c h a n t ; m ais, ja m a is encore, je n’ai trop bouffon !... Et p o u rtan t...
rencontré chez eux d ’outil analogue à ce­
if s ’arrêta- scruta de nouveau l’arm e
m inutieusem ent
lui-ci...
— P o u rta n t., quoi, je ne réve p a e ! Cet
Il é ta it revenu s ’asseo ir en face du foyer.
Il exam in ait le prim itif instru m en t, Je to u r­ aspect terne est trop caractéristique pour
qu'on paisse s’y trom per.' Ce sont bi*n là
nan t et le re to u rn a n t dans ses m ains.
— Non, dit-il, c’est bien une hache de des cassures toutes fraîches. L’état p arfa it
l’âge p réhistorique. Notez la forme ovalai- de conservation du caillou Itri-même ne sintfie pas g ra n d ’ebose, je Je sais t Mais
re du silex, a p la ti des deux côte» et taillé
absence de patine, de dentrites et de
s u r tout son p o u rto u r. M ais U y a d a n s c*
^ m pte caiQou quelque chose c e p i » «o* j to n te coloration s u r ce bübx» com m ent V‘ ~
(26)
Les Diem Bouses
F
m ent en, s u r ces plateaux, l'u n de ses pre- 1 quels se penchait un cercle d 'arb res épi*
f C’est vraim ent un des pro
es pie form idable et vieux de p:
es plus curieux que j ’ai rencontrés épuis d e s sana douta. Comment fut co.i*triiit raiers habitants. Ne me l’avez-vous pas dit ? neux, tordus et convulsés- Puis, la m ontace temple ? P ar qui ? Prem ière quistion. Les Mois ont dû retrouver certaines des gne, soulevant ses f la n » énormes, a v a u
que je m ’occupe da préhistoire...
— Bah ! fit Pierre. Un Moï a u ra trouvé Dans ce sanctuaire régnent des livinitia cavernes où ils se réfugiaient et, dans ces j dressé devant l’expédition des ram pes
l’arm e dans un creux de ravin, et il s'en m ystérieuses — le« Dieux Ronges —■ dont cavernes, tous ces vestiges q u 'ils ont“ dis­ a b r u p t» , et les difficultés, aussitôt, av alen t
sera lui-même servi : d'où cce cassures une image de m étal pourpre, de -u'vre pro­ persés autour d ’eux à travers la région. ' su rg i P arm i l’inextricable fouillis des fût»
fraîches qui vous paraissent si étranges. bablement, trône au centre de la g ra n te Ce qui m’inquiète beaucoup plus, c'est écroulés, des lianes, des palm iers-rotins,
Le Père Ravenr.es eut un geste d'incré­ salie. Mais ces Dieux eux-mêmes, quels l'a ttitu d s de nos hommes et de no s bêtes... des vaquais et des hui«sons enchevêtrée,
sont ils ? Seconde question ! On les appelLe m issionnaire ne répondit point. Il les linhs, la hache à la m ain, avaient d û
dulité.
ouvenez sem bla accepter l’explication de Pierre, fray er tilhe route atix bêtes. De la terra,
— Oui. dit-il, f y ai songé. L explication le parfois lee Dieux Vivants,
serait vraisem blable si ma trouvaille était vous du récit de Hmon. Alors, qu->* ? Des m ais ses yeux gardèrent leur expression à tendue d’une lourde couche de fenilles,
unique... Mai6, depuis deux jours que lam as, des « bouddhas vivants > an alo­ la fois anxieuse et m éditative. La pensée l’hum idité suintait san s cesse, et avec elle,
im ous sommes dans la forêt, voici la onziè­ gues à ceux qui régnent sur les hauts pla­ du jeune homme, d’ailleurs, l’e n tra în a it crevant en bulles noirâtre«, les p o u rritu .
res végétales m ontaient, s'exhalaient.
me découverte que je fais. Hier, quatre teaux thibétains ? La chose n 'a u ra it rien déjà vers d ’autrea préoccupations.
De l'a m a s de détritus couvrant la sent*,
i g ra tto irs et deux au tres haches ; aujour- d'im possible, ni d ’tnvraiseinhlab e Et la » • • » » • • • • • • « » » » • « • • • • • • « • • t » * * * * ! * * * * * * * * * * « *
les sangsues avides, les innom brables
hui, deux couteaux, deux raejoirs et eecte qui les adore ? A quelle 'royat.ee la
Depuis l’avant-weille. 11« avaient pénétré 6angsncs rouges de ta brousse mol, su r­
cette hache encore... Et tous ces Instru- i rattache» 1 Bouddhisme, thaoism ,\ hrahm ents, tous «ans exception, offrenijeaf^ptté-•» manisme, ou simple fétichisme ? Enfin, dans le, m assif m ontagneux. Le soudain gissaient bientôt à leur tour, g r o u i l l a ie n t
me aspect de neuf, ces mêmes brisure» pourquoi l’envelopper d'un secret si im- changem ent de direction opéré à l'aube du assaillaient les hommes, fis 1 » a rra c h a ie ^ P
récentes. Non. croyez-mbi, Lursac, "éfefcf’eét ■ pénét'rable et «i farouchem ent Je?indu ? quatrièm e jour avait provoqué chez les , tout qn m arch an t, m ais, dès ce prem ier
indigènes n'ignorent pas que leur re- hommes de l’escorte un étonnem ent in ­ soîr, un peu av an t l'étape, trois d ’en tre
un m ystère de plus qui s’ajoute— à 'JfaTWrer-'
te duquel
Iigion, quelle qu elle soit, n ’a rien à redou- quiet. une sorte de m alaise vague. N éan­ eux, les Jambes zébrées de longs filets de
au g ra n d secret vers la déçouvertç
J
Les pago- moins, la brusquerie avec laquelle Pjjerrc sang et c o u tu ré » de plaies, les m uscles
' iL
i.tôr de Jà dom ination, française.
frança
nous avançons..
"Annam . du Tonkin, avait imposé «a volonté sem blait les avoir gofmés e t roideos, 6’étaient écroyléa en gôU dem eura songeur. La flam m é d trfà ÿ„ é r_ ' des et les bronzés de l'Anna:
dansa dans ses prunelles
pruneues p^les,
paies, l^ e ç ^ p n ; M J ? lochinchine et du Cambodge sont là
’tM é V h é t ! Alors ?... Non ! Il y
étran g e regard.
.^
évidemment,
derrière tout cela — derriè­
m ' p év
id e n
— A moins, dit-il, qu’fl n’Y
qO*ün re et au delà — quelque chose ou quelqu’un: détails lentem ent, «surgissaient, se préçl leur» pieds crevés d'abcès auxquels, ob«*
seul mystère, et que ceci n'en
des élénients,, qu’un des aspect^ Jninrévua... une association occulte, un personnage saient. L es'linhs, derrière eux, se taisaient tin ées'et v o ra c » , s'aggrippaient san s a rrê t
m ystérieux dont ce temple est le repaire. et la caravane avançait ;an m ilieu d’un si­ de nouvelles sangsues II avait fallu le«
P ierre le dévisagea brusque M ent-x Que voulez-vous dire ? demanda-t-il La question religieuse n est q u ’une façade lence trouble que m artelait Jsourdem ent le p an ser ët les so u ten ir ju sq u 'au cam pem ent,
que les sorcières entretiennent soigneuse­ pas pesani des éléphants. L,« paysage peu et le (patin même, avant de continuer la
Vous semblez avoir une idée...
Le m issionnaire évita l’Inquisition de ces ment et qui sert à m asquer cette réalité i a peu «'était tran sfo rm é : à l'arid ité, à m arche, P ierre s’était vu co n train t de le u r
dont je 6oupçonne depuis longtem ps ' exiB- | l’éblouissante monotonie de la savane, faire' prendre le chemin du reto u r. D’a u ­
yeux posés su r lui.
— Rien, fit-il évasivement. Je tâtonne tenoe, sans avoir jam ais pu découvrir en j avaient succédé les prem
Pr ières lovées du tre part, harassés de fatigue, exténués
P arm i les ténèbres qui m ’environnent, 11 quoi elle consiste. Hmon ne i ons en a li­ m assif que; la forêt-clairière tapissait de d ‘avoir accroché leu r m asse aux déclivi­
■
de
* se« arbustes
• W grêles,
"
tés des m ornes et des ravins, les éléphants '
m e semble, p ar Instants, apercevoir Upe vré gue la partie la m oins intéressante... Et, 6on herbe-bambou,
de ses « Irui » dont les bourgeons pour­ secouant furieusem ent leurs vastes oreilles
lueur. Elle a p p a ra ît brusquem ent,.cligno­ je enerche...
pres et allongés pointaient vere le ciel leui
eur ensanglantées p ar la m orsure répétée d u
P le in haussa les épaulea.
te, fuit, disp araît. Une lueur... Je ener— A quoi sert de nous forger tous ces flamme immobile. De loin en loin, des croc, avaient donné, d u ra n t toute la jo u r­
ehe...
née. d » signes croissant de nervosité. ^
soucis ? Dans trois jours, nous serons là- « bayous » croupissaient ; leur« eaux fan
U songea u irin s ta n t, puis continua :
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. — Je me dis q u ’au cœ ur de Ce pay6 Moï, bas et nous saurons à quoi nous en tenir. geuses ét yerqptrjjs jjtttrajynj; les frai '
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; dont les peuples vivent d’une vie apim ale Q uant à ce« arm es, leur présence ici est » mes, et> le s ’ c o r n a » devaient ^ e û r
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plue «Impie, beau- re r les oreittES ä ngrancir w a p e de crocs
et prim itive — d ’une existence voisine de san
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celle que devaient m ener les hommes des coup m oins ex traordinaire que vous ne le pour les empêcher de se rouler parm i les I
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m iiBÜiiii THà ” rmm r f ------° MI* Q|1'*- tro u s viscrueux e t n o irâtres au-dessus des- *
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A l'Elysée,
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