16 nouveaux décès liés au Gardasil, révélés en vertu du Freedom of

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16 nouveaux décès liés au Gardasil, révélés en vertu du Freedom of
16 nouveaux décès liés au Gardasil, révélés en vertu du
Freedom of Information Act
By: BARBARA HOLLINGSWORTH
Local Opinion Editor
09/29/10 3:15 PM EDT
Des documents provenant de la Food and Drug Administration obtenus par
l’Association Judicial Watch en vertu du Freedom of Information Act (loi
sur la liberté d’information) indiquent que le Gardasil, un vaccin « contre
le cancer du col de l’utérus » fabriqué par Merck et précipitamment mis
sur le marché par la FDA en 2006, pourrait ne pas être aussi sûr que ce
que l’industrie et ses partisans gouvernementaux avaient affirmé au
public.
Les données de la FDA montrent que 16 nouveaux décès (incluant 4
suicides) et 3589 effets secondaires liés au Gardasil ont été rapportés
sur les 16 mois qui séparent Mai 2009 et Septembre 2010.
Les effets secondaires incluent 213 cas d’invalidité définitive. La FDA a
aussi reçu 25 rapports de paralysie de Guillain-Barré chez des jeunes filles
qui avaient reçu le vaccin.
Une jeune de 13 ans est morte 37 jours après avoir reçu une injection de
Gardasil. « J’ai tout d’abord refusé qu’elle reçoive cette vaccination mais
son médecin m’a assuré que ce vaccin était sûr. » a dit sa maman à la
FDA.
En mars, j’ai parlé à deux familles du Maryland et de New-York dont
filles, des collégiennes, en pleine santé et athlétiques sont mortes
façon très soudaine après avoir reçu leur injection. Une autre fille
Maryland a souffert d’une attaque particulièrement invalidante dans
jours qui ont suivi sa seconde injection par Gardasil en 2008.
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Emily Tarsell, dont la fille de 21 ans, Christina, est morte 18 jours après
avoir reçu sa première dose de Gardasil, a accusé Merck de dissimuler le
cas de sa fille dans le rapport que la compagnie pharmaceutique a envoyé
au Système de pharmacovigilance vaccinale (VAERS) dépendant des
Centres de Contrôle des maladies (CDC).
« Merck a dit dans son rapport au VAERS qu’un médecin a rapporté que
ma fille avait une splénomégalie (= gonflement de la rate) causée par un
virus qui était possiblement mortel. » a dit Tarsell au journal The
Examiner. « Ca été fabriqué de toutes pièces. Le rapport d’autopsie a
attribué le décès à une cause « indéterminée », un suivi du CDC n’a pas
permis de trouver la moindre preuve d’une infection virale et le
pathologiste ainsi que ses médecins ont nié avoir raconté cela. »
Plus tôt cette année, Tarsell a envoyé un questionnaire de 10 pages à 39
patients (ou à leurs familles) qui ont souffert d’effets secondaires après
vaccination par Gardasil. Les réponses, dit-elle, ont montré une tendance.
« Dans chaque cas, il y avait une surplus de symptômes non préexistants
au départ et qui allaient en empirant après chaque dose supplémentaire
de vaccin Gardasil. »
Six des 39 répondants au questionnaire sont mortes. Toutes les six se
plaignaient de fatigue chronique associée à différentes combinaisons de
vertiges, maux de tête, troubles cutanés et autres symptômes. Le
statisticien James Garrett a découvert que le délai endéans lequel se sont
produits les décès ne pouvait pas être une coïncidence, concluant que
« l’hypothèse que le Gardasil n’est pas lié à aucun de ces six décès
n’est pas défendable. »
Le vaccin, qui protège contre le papillomavirus, est actuellement exigé
pour toutes les filles de sixième à Washington D.C, au Maryland et en
Virginie comme dans beaucoup d’autres Etats. Les parents peuvent choisir
de ne pas le faire mais peu sont conscients des risques du vaccin.
« Le risque pour une femme de mourir d’un cancer du col est vraiment
faible si elle passe un frottis de contrôle annuel. » dit Tarsell, mettant en
garde les autres parents : « Personne ne vous dit de stopper la
vaccination si vous manifestez ces symptômes. Si on nous l’avait dit, nous
aurions refusé l’injection, parce que le risque n’en vaut pas la peine. »
Source: Washington Examiner