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n°11 Bulletin d’information de la Communauté d’Agglomération du Soissonnais Déterminés ! pour la RN2 Acy, Bagneux, Belleu, Berzy-leSec, Billy-surAisne, Chavigny, Courmelles, Crouy, Cuffies, Cuisy-enAlmont, Juvigny, Leury, Mercin-etVaux, Missy-auxBois, Noyant-etAconin, Osly-Courtil, Pasly, Ploisy, Pommiers, Septmonts, Serches, Sermoise, Soissons, Vauxbuin, Vauxrezis, Venizel, VilleneuveSaintGermain, Vregny SEPTEMBRE 2005 PARC TERTIAIRE GOURAUD ges a t n Av a c a u x fis A VENDRE 4300 m 2 Locaux divisibles, à usage de bureaux Livraison : 1 trimestre 2007 Contacts : Direction du développement économique 06 61 69 12 13 Stéphane AUGÉ : 06 70 30 08 06 Serge COCHARD : l’agglo en action 4 septembre En scène Elus en colère - L’Aisne isolée souffre de ses routes 6 En scène L’agglo : une institution qui travaille pour votre quotidien 8 En direct Nos travaux Les arts martiaux auront bientôt leur salle 9 En scène Vous et votre logement 2e partie 10 14 Gouraud et ses concepteurs é dito S A l’affiche Expo à l’Arsenal Coopération avec la Chambre de Commerce 15 Zapping Les lauréats des Trophées du Libre 16 Objectif Nos travaux Le Plateau : la seconde tranche de travaux est lancée 17 En scène Un projet 18 Il fait bon vivre à Pommiers En couleurs Balade Pasly Histoire Les origines de l’aviation soissonnaise 2e partie Bulletin d’information Communauté du Soissonnais “Les Terrasses du MAIL” 11 avenue François MITTERRAND 02880 CUFFIES Tél. 03 23 53 88 40 courriel : [email protected] Directeur de la publication : Jean-Marie PAULIN Président Conception-réalisation : service communication Photos : service communication sauf mention contraire Impression : Groupe Morault Distribution : ADREXO Tirages : 27 000 exemplaires ISSN 1636-5739 Jean-Marie PAULIN Président de la Communauté d’Agglomération du Soissonnais ur le territoire de l’agglomération les chantiers d’aménagement et de construction ne manquent pas. Les travaux de démolition et de réhabilitation concernant l’ancienne friche Jacob Delafon ont bien avancé. La phase de construction est en cours et une première entreprise y construit son siège. Les travaux du Parc Gouraud transforment la physionomie du site et la première pépinière/hôtel d’entreprises sera opérationnelle en fin d’année. La première tranche de travaux pour l’aménagement des 65 hectares de la zone du Plateau s’achève. En ce début d’été, les engins ont commencé les terrassements de la deuxième tranche, d’une superficie de 95 hectares. L’Agglo s’est également lancée dans une démarche de Pays à l’échelle du bassin d’emploi. C’est la mise en commun de moyens de 5 structures intercommunales pour élaborer un projet de développement commun. Ce regroupement permettra, d’une part de mieux organiser la distribution des financements classiques pour les faire converger sur les opérations reconnues comme prioritaires, d’autre part, de dégager des crédits spécifiques pour financer des actions présentant un intérêt avéré à l’échelle du Pays. Pour les élus communautaires, il y a deux maîtres mots à toutes ces actions engagées : . Ils sont le combat de tous et constituent le message que je porterai dans la démarche de Pays dans laquelle nous nous sommes engagés. Le Pays est une chance pour voir au delà de nos limites géographiques, pour se développer ensemble en élaborant une politique économique cohérente. l’emploi et le développement Je souhaite à toutes et à tous une bonne rentrée. en scène Un CONTRAT ça se RESPECTE ! Contrat de plan (Etat-Région) en plan 2x2 voies pour notre économie pour votre sécurité L’ÉTAT et la RÉGION nous isolent, la RN2 nous réunit La N2, c’est mieux à 2 ! Les élus comptent sur vous et vous remercient pour votre soutien Élus en colère L’Aisne isolée souffre de ses routes ! Les travaux dans l’Oise pour la mise à deux fois 2 voies de la RN 2 sont sans cesse repoussés. L’Etat ne respecte pas les engagements pris dans le contrat de plan qui prévoyait un volet routier concernant la RN 2 - qui a été reconnue comme l’axe Picard qu’il fallait aménager en priorité. Les élus de l’agglo, las de voir les promesses non tenues, ont décidé de faire bouger les choses et d’organiser un barrage filtrant. Le 17 juin, ils ont entraîné beaucoup d’élus locaux dans leur mouvement. Et c’est à l’entrée de Gondreville que s’est déroulée cette première manifestation. La population présente n’a pas manqué de les soutenir fortement. Pour les uns, il s’agit de défendre le développement économique en désenclavant l’Aisne, pour les autres, d’améliorer la sécurité.Tous sont maintenant bien déterminés à se battre pour exiger de l’Etat un nouveau calendrier de travaux. Communauté du Soissonnais 09.2005 En janvier 2005, la nouvelle programmation des travaux pour les déviations de Villers-Cotterêts, Gondreville, Nanteuil et Le Plessis-Nanteuil est annoncée : les travaux sont repoussés à 2008 et 2011. Cela faisait un moment que les élus soissonnais envisageaient de réagir pour obtenir dans les temps ce que l’Etat et la Région ont promis dans le cadre du contrat de plan. A l’annonce du nouvel échéancier, la décision d’agir a été prise. L’incompréhension est totale : « l’Etat a donné de l’argent pour créer une zone économique dans le Soissonnais, et il ne respecte pas son engagement de réaliser les routes qu’il avait promis d’aménager... » clâme haut et fort le président de l’agglo, Jean-Marie PAULIN. Les entreprises qui veulent s’installer sur notre territoire regardent les équipements routiers avant de faire leur choix d’implantation. Souvent ils montrent du doigt la RN2 entre Soissons et Paris, qui reçoit 17 000 véhicules jours et qui demeure à 2 voies, tout comme l’accès vers la Belgique où la voie au nord de Laon est encore à 2 voies. Il en est de même pour la RD1 entre Soissons et Chauny. Les chefs d’entreprises nous font comprendre que, malgré notre atout d’être proche de Paris, ils préfèrent aller là où les transports sont plus faciles. « Ils veulent être rapidement reliés à leurs marchés qui sont, soit la région parisienne, soit l’Europe du nord. Tous les projets d’installation exigent que l’on soit directement connecté à un grand axe moderne ». En colère, les élus sont bien décidés à manifester, une première fois à Gondreville, mais aussi, pourquoi pas ?, sur les autres sites en remontant vers Paris et à aller jusqu’au Ministère, comme le suggérait un automobiliste, ralenti par la manifestation, mais content de voir que les élus se mobilisent pour faire avancer les choses. Monique Chalmin et Jean-Marie Carré respectivement vice-présidente et élu à la Communauté du Soissonnais, se sont chargés de l’organisation de cette manifestation intitulée « 200 écharpes pour la RN 2 ». Ils pensaient réunir 200 élus, ils étaient plus de 250... Fort de ce succés, rendez-vous est pris pour la suite de cette action. en scène Le soutien de la population et des élus déterminés La population très motivée et solidaire porte même les banderolles des élus La situation est inadmissible pour les élus quand, depuis des années, ils se battent pour faire de la RN2 un axe de développement économique vers l’Europe du Nord. Ceints de leur écharpe tricolore et d’un gilet fluo, ils sont partis dans leur premier combat le 17 juin dernier. Entre le calendrier prévisionnel annoncé lors du comité de suivi de septembre 2004 et celui présenté le 27 janvier 2005, l’Etat affiche plusieurs années de retard. Déviation Villers-Cotterêts Calendrier prévisionnel au 23 septembre 2003 Début des travaux : 2e trimestre 2005 Mise en service prévisionnelle : fin 2006 Calendrier prévisionnel au 27 janvier 2005 Début des travaux : 3e trimestre 2005 Mise en service prévisionnelle : fin 2008 Tous les médias étaient présents le 17 juin pour couvrir la manifestation. Monique CHALMIN, Jean-Marie CARRE élus de la communauté du Soissonnais et Alain BIZOUARD, maire de Gondreville, ici interrogés par FR3. Liaison Le Plessis-Nanteuil Calendrier prévisionnel au 23 septembre 2003 Début des travaux : 3e trimestre 2005 Mise en service prévisionnelle : fin 2006 Les élus de l’agglo sont cependant satisfaits, ils ont réuni des personnalités de tous bords, députés, conseillers généraux, maires, adjoints, de l’Aisne, de l’Oise... en tout six structures intercommunales étaient parties prenantes dans le mouvement.Tous étaient sur la route pour faire signer aux automobilistes une pétition et leur offrir un stylo portant les couleurs de la manifestation. Il y a eu trois à quatre kilomètres de ralentissement dans le sens Paris-Soissons et près d’un kilomètre dans l’autre sens. Calendrier prévisionnel au 27 janvier 2005 Début des travaux : courant 2009 Mise en service prévisionnelle : 2011 L’enfer de la RN2 : parfois jusqu’à 18 000 véhicules par jour, dont 1/3 de camions, on ne compte plus les accidents... Pour les habitants des villages c’est même mission impossible pour traverser la route. Calendrier prévisionnel au 27 janvier 2005 Début des travaux : courant 2009 Mise en service prévisionnelle : 2011 Déviation de Nanteuil Calendrier prévisionnel au 23 septembre 2003 Début des travaux : 4e trimestre 2004 Mise en service prévisionnelle : fin 2006 Déviation de Gondreville Calendrier prévisionnel au 23 septembre 2003 Début des travaux : 4e trimestre 2005 Mise en service prévisionnelle : fin 2006 Calendrier prévisionnel au 27 janvier 2005 Début des travaux : début 2010 Mise en service prévisionnelle : 2011 Communauté du Soissonnais 09.2005 5 en scène L’agglomération ! une institution qui travaille pour votre quotidien La Communauté d’Agglomération du Soissonnais, née le 31 décembre 1999, regroupe 28 communes pour une population de 54 112 habitants. Il s’agit d’une collectivité à part entière, disposant de sa propre fiscalité (basée sur la taxe professionnelle et non sur les ménages), recevant des subventions de l’Etat et autres collectivités selon les projets entrepris. Elle initie des projets d’aménagement ou des actions dans le cadre des ses missions. Au 01/01/2005, on comptait 162 communautés d’agglomérations en France et 5 en Picardie. Celle du soissonnais est la 2e communauté d’agglomération de l’Aisne. Elle s’est construite autour de la 6e ville Picarde : Soissons. Naissance de l’intercommunalité Soissonnaise Première grande phase d’organisation : Autour de la ville-centre, le besoin de services communs génère la création : - du SIVOM (arrêté du 18/04/1966) pour les besoins de l’assainissement, des ordures ménagères, du balayage des routes et pour les zones d’activités (compétence qu’elle ne mettra jamais en œuvre) - du SITUS (création du 17 avril 1984) pour les besoins en transport urbain. Deuxième grande phase d’organisation - Création d’une association APDLS (Association pour le Développement Local du Soissonnais). Elle a vocation intercommunale, en 1989, pour répondre au besoin de financement de la RN 31 (3e tranche). L’association correspond à la mise en oeuvre de la politique de développement intercommunale voulue par la Région - Le SIEP (Syndicat Intercommunal d’Etudes et de Programmation) est créé pour la révision du Schéma Directeur en 1992. Son territoire est étendu - L’association (APDLS) se transforme en syndicat de communes pour gérer le Programme Local de l’Habitat en 1993 - Le Syndicat devient Communauté de communes (loi ATR) en 1993. Communauté du Soissonnais 09.2005 Troisième grande phase d’organisation Au regard de la loi Chevènement, la Communauté de Communes devient Communauté d’Agglomération au 31/12/1999. Conformément à cette loi, elle doit définir des domaines d’intervention (compétences) obligatoires et optionnels, et choisit les compétences assainissement et schéma directeur. Le SIEP organise son autoliquidation. La Communauté d’Agglomération reprend par transfert la compétence ordures ménagères au 1/01/2003. La dissolution du SIVOM est prononcée. D’une intercommunalité de services à une intercommunalité de projets Avant 1989, l’intercommunalité se fonde sur des services à la population. En 1989, la mise à 2x2 voies de la RN 31 ouest est le premier projet commun. Trois autres projets se construisent entre 1993 et 1995, sous l’égide de la Communauté de Communes : - Aménagement de la zone des Etomelles (1er zone d’activités intercommunale) - Participation au financement pour la réalisation de l’IUT de Cuffies/ Soissons - Participation de l’intercommunalité au financement de l’amélioration de la ligne SNCF Paris-Laon. Le choix de l’intérêt « communautaire » Quand la Communauté d’Agglomération est créée le 29 décembre 1999, elle définit des compétences obligatoires et optionnelles comme l’exigeait la loi relative au renforcement de la simplification de la coopération intercommunale. Elle prend les compétences obligatoires : - Développement économique - Aménagement de l’espace - Equilibre social de l’habitat - Politique de la ville et choisit celles optionnelles : assainissement, valorisation des déchets, création, aménagement et entretien de voirie, et construction aménagement et gestion d’équipements culturels et sportifs. L’exercice d’une partie de ces compétences est cependant subordonné à la reconnaissance de leur intérêt communautaire. L’intérêt communautaire peut être définit comme étant la liste des domaines dont s’occupera la communauté d’agglomération. Sachant qu’il est fixé que, dans ce cas, les communes n’ont pas compétence et viceversa. Ainsi, lors d’une récente délibération, le conseil communautaire a défini, pour chacune des compétences énumérées ci-dessus, quel était l’intérêt communautaire. Intérêt communautaire en matière de développement économique : les zones d’activité industrielle, commerciale, tertiaire et artisanale à caractère stratégique (> 5000 m2), les zones anciennes à requalifier (friches industrielles > 5000 m2). Citons, par exemple : le parc d’activités du Plateau, la zone d’activités des Etomelles, la zone d’activités des Taillepieds, la zone artisanale des Entrepôts, le parc Gouraud, étude et création d’une zone d’activités à Sermoise, et à Mercin et Vaux. Sont, par ailleurs, d’intérêt communautaire les actions suivantes : - La prospection et l’accueil des entreprises à l’exception des entreprises situées dans une zone d’activité communale, - L’immobilier d’entreprises, - Le soutien à l’enseignement supérieur, - Les actions en faveur de l’emploi et de la formation à travers la Mission Locale (ou toute autre association s’y substituant) - Les opérations de soutien au commerce et à l’artisanat (Prêts bonifiés et le soutien aux opérations commerciales intervenant sur l’ensemble de la Communauté du Soissonnais), - Les contractualisations liées à la ZFU : pilotage, animation, coordination et mise en oeuvre des contrats. Intérêt communautaire en matière d’équilibre social de l’habitat sur le territoire communautaire : Outre le Programme Local de l’Habitat (PLH), sont considérés d’intérêt communautaire : en scène - Les actions et les aides financières en faveur du logement social d’intérêt communautaire, - Les réserves foncières pour la mise en oeuvre de la politique communautaire d’équilibre de l’habitat prévue au PLH ou annexée au PLH. - Les actions en faveur du logement des personnes défavorisées, par des opérations d’intérêt communautaire - L’amélioration du parc immobilier bâti d’intérêt communautaire. Intérêt communautaire en matière de politique de la ville : Au titre des dispositifs contractuels de développement urbain et de développement local, la Communauté d’Agglomération du Soissonnais prendra en charge le contrat de ville. Au titre des dispositifs d’insertion économique et sociale, sont reconnues d’intérêt communautaire : - La prise en charge du PLIE (Programme Local d’Insertion par l’Economie) et les dispositifs qui viendraient s’y substituer, ainsi que les actions qui concourent à l’insertion par l’économie - Les dispositifs de prévention de la délinquance, le contrat local de sécurité (CLS) et le contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) deviendront communautaires. Définition de la voirie d’intérêt communautaire : Considérant que le transfert de cette compétence est particulièrement complexe, il est proposé de limiter strictement le champ de cette compétence. Conformément au plan annexé à cette délibération, la compétence voirie d’intérêt communautaire se limite : - Aux entrées de ville ( cf les limites sur le plan) - A la voirie qui compose le site des Terrasses du Mail - Aux nouveaux ouvrages d’art sur l’Aisne. Intérêt communautaire en matière de création, gestion et entretien des équipements sportifs et culturels : Concernant les équipements culturels, sont considérés d’intérêt communautaire : - Les équipements culturels publics permettant l’enseignement de la musique, de la danse et de l’art dramatique : ces enseignements étant obligatoirement agréés par l’Etat - Les équipements de grande envergure susceptibles de modifier la politique culturelle du territoire (future grande salle de spectacle) - Le site du Château de Septmonts (hors espaces verts) Concernant les équipements sportifs, sont considérés d’intérêt communautaire : - Les piscines publiques existantes ou à créer - La salle d’escrime et d’arts martiaux de Saint Waast - Les équipements sportifs universitaires des Terrasses du Mail à Cuffies. Communauté du Soissonnais 09.2005 7 en direct nos travaux Les arts martiaux auront bientôt leur salle C’est le quartier Saint-Waast qui a été choisi comme site d’implantation pour le futur équipement sportif communautaire. Il s’agit d’une salle dédiée aux arts martiaux. Elle permettra de répondre aux besoins des sportifs de ces disciplines, mais aussi de restructurer un quartier de Soissons afin de mieux l’intégrer à la ville. Le quartier Saint-Waast est situé à l’entrée de Soissons en venant de Laon et occupe la berge droite de l’Aisne. Il est marqué par une urbanisation désordonnée et il est composé de contructions de tous types : logements collectifs de grande hauteur, maisons individuelles. Il est, par ailleurs, dépourvu d’équipements collectifs. A la suite de la désafectation de la ligne SNCF, de grands espaces demeurent inoccupés. La sous-urbanisation de l’ensemble de ce quartier permet des potentialités importantes de développement de l’urbanisme pour la ville de Soissons : ces deux quartiers, Saint-Waast et Saint-Médard possèdent la réserve foncière la plus importante de la ville ! Un réseau de cheminement sera réalisé pour relier ce quartier au reste de la ville. Il permettra ainsi de gérer les déplacements liés aux nouveaux logements qui ne manqueront pas d’être construits dans ce quartier. L’opportunité d’un terrain (rue du Belvédère) proche de l’abbaye Saint-Médard, et appartenant à la ville, va permettre la réalisation d’un troisième projet après le centre social Saint-Waast et le foyer de vie de l’APEI : il s’agit de la salle d’arts martiaux. Un projet pour le quartier Saint-Waast Des objectifs ont été arrêtés quant à la réalisation de la salle d’arts matiaux et c’est l’agence d’architecture Lemonnier d’Amiens, en charge du projet, qui devra y répondre, en tenant compte des prescriptions données par les fédérations : - réaliser une structure de salle de sports à proximité du cheminement piétons qui s’articule au parc à l’oiseau, Communauté du Soissonnais 09.2005 - structurer l’espace urbain par ce projet - améliorer le traitement de la rue du Belvédère et de l’espace piéton qui connecte le centre Saint-Médard au parc à l’oiseau - créer un équipement à l’échelle d’un quartier permettant de mieux intégrer Saint-Waast à la ville. La réalisation de la salle doit correspondre aux besoins de l’escrime et des autres arts martiaux, dont le karaté. D’autres clubs pourront être amenés à partager les locaux et une répartition des horaires devra s’effectuer. L’escrime disposera de 5 pistes. L’espace d’évolution sera de 551 m2 dont 314 m2 dévolus à la pratique du karaté. Cependant, il a été nécessaire de croiser les besoins des deux sports. Il a donc été décidé que l’équipement comporterait un espace de service commun et des salles particulières. Le projet livrera, outre le sas d’entrée, 1 hall spécifique pour chaque discipline, 2 vestiaires hommes de 20 m2 chacun, se répartissant en escrime et karaté, un vestiaire femme, commun aux 2 disciplines. De plus, chaque discipline disposera d’un espace convivial de 20 m2, d’un local de rangement de 20 m2 pour le karaté, et de 25 m2 pour l’escrime. Chacun disposera aussi de 27 m2 pour l’espace visiteur. Le permis de construire est en cours d’instruction et les travaux commenceront en fin d’année 2005. en scène vous et votre logement ! 2 partie e Faisant suite à un premier article consacré aux aides que vous pouvez obtenir, dès lors que vous êtes locataire, le service Habitat de l’agglomération se propose de poursuivre aujourd’hui et de vous éclairer sur celles dont vous pouvez disposer quand vous souhaitez effectuer des travaux dans votre logement, en tant que locataire. La subvention de l’Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat (ANAH) Une subvention peut être attribuée à un locataire pour la mise aux normes de décence du logement qu’il occupe. Plus généralement, ce sont les propriétaires qui réalisent les travaux d’amélioration dans les logements qu’ils occupent ou louent. Locataires, contactez absolument votre propriétaire ! Après avoir reçu son accord, vous pourrez entreprendre les travaux. Conditions générales pour recevoir une subvention de l’ANAH : Le logement est achevé depuis au moins 15 ans, Les travaux sont réalisés par des professionnels, Les travaux ne doivent pas être commencés avant d’avoir obtenu une autorisation écrite, Le logement doit être occupé après travaux pendant 9 ans à titre de résidence principale, Le dossier doit être déposé auprès de la délégation du département dans lequel est situé l’immeuble concerné par les travaux. Les travaux envisagés doivent permettre d’améliorer l’habitat en matière de sécurité, de confort, de salubrité, d’équipement, d’accessibilité et d’adaptation aux personnes handicapées physiques, d’économiser l’énergie et d’améliorer l’isolation acoustique. Ces travaux peuvent être réalisés dans les parties privatives ou communes des immeubles. le périmètre d’une opération programmée d’amélioration de l’habitat (OPAH) ou s’il inscrit dans un programme social thématique (PST) pour le logement des personnes défavorisées . Si vous souhaitez : - Bénéficier d’un conseil tant sur le plan juridique que technique avant de prendre une décision concernant votre projet de réhabilitation, - Connaître les subventions auxquelles vous pourriez prétendre, Être aidé pour remplir votre demande de subvention pour travaux : n’hésitez pas à contacter la délégation de l’ANAH de l’Aisne ANAH, 50 Boulevard de Lyon 02011 Laon cedex, téléphone : 03 23 24 64 00 mardi et jeudi après-midi de 13h30 à 16h30 et à consulter le www.anah.fr. Des dispositions fiscales favorables Vous pouvez éventuellement bénéficier d’un crédit d’impôt sur le revenu pour certaines dépenses liées à l’amélioration de votre logement (sous conditions). Ces aides peuvent se traduire par une TVA réduite à 5,5 % (travaux d’amélioration, de transformation...) ou des crédits d’impôts (équipements de production d’énergie renouvelable, maîtrise des dépenses de chauffage...). Pour plus de renseignements, contactez votre centre des impôts (ou le site du Ministère de l’Economie et des Finances : www.minefi.gouv.fr) Attention, une subvention de l’ANAH n’est jamais de droit. Votre dossier sera étudié au regard des objectifs définis au niveau national et local, de l’opportunité des travaux et de leur intérêt social, économique ou environnemental. Le montant de la subvention varie en fonction des situations, mais il est généralement de 20 %. Il peut être majoré si le propriétaire s’engage à respecter un plafond de loyer et si le logement est situé dans Communauté du Soissonnai 09.2005 9 gros plan Image Cabinet Wilmotte & Associés Gouraud et ses concepteurs L’ancienne caserne Gouraud située boulevard Jeanne d’Arc va devenir un parc tertiaire au sein d’un nouveau quartier du centre-ville de Soissons. La Communauté du Soissonnais a choisi le cabinet d’architecture Wilmotte & Associés pour être l’architecte en chef de l’ensemble du projet, associés aux paysagistes Neveux et Rouyer et au bureau d’études Infra-Services. D’autres architectes interviennent et vont intervenir, selon un cahier de recommandations précis. L’espace Gouraud s’étend sur 8,5 hectares. L’ancienne place d’armes, au centre, va être transformée en une vaste esplanade engazonnée comprenant une pièce d’eau. De chaque côté, 5 bâtiments, dont le premier est en travaux depuis octobre 2004, accueilleront des bureaux et des commerces. En bordure des voies, sont prévues des constructions réservées aux logements dont la réalisation est laissée aux promoteurs privés. Dès septembre 2005, les travaux concernant le premier immeuble de logements commenceront. En façade, côté boulevard Jeanne d’Arc, les deux pavillons d’accueil, après réhabilitation, sont destinés à la promotion du site pour l’un, et lieu de formation à l’informatique pour l’autre. Un hôtel se situera également à l’entrée du parc. A son extrémité, en vis-à-vis de Saint-Jean-des-Vignes, sera construit le futur conservatoire intercommunal de musique. Pour cette future zone, tournée vers l’activité tertiaire, les partenaires financiers sont l’Europe, l’Etat, la Région et le Conseil Général de l’Aisne. Ce sont eux qui permettent à la Communauté du Soissonnais de réaliser ce projet. Cet aménagement d’envergure va transformer radicalement le quartier tant du point de vue de la destination des locaux que du point de vue de l’ambiance qui va régner sur ce site d’ici quelques années. Le site a obtenu, il y a un an, la qualification de « zone franche urbaine », ce qui signifie que les entreprises qui s’y installeront pourront bénéficier d’exonérations fiscales importantes. Communauté du Soissonnais 09.2005 gros plan Wilmotte l’architecte en chef du projet Jean-Michel Wilmotte est originaire de Soissons et y a vécu 20 ans.Y revenir par le biais du grand projet de restructuration de l’ancienne caserne Gouraud constitue pour lui une réelle fierté. A la tête d’une agence de 100 personnes, il aime à dire que l’équipe qui l’entoure, composée de 19 nationalités différentes, est un lieu de brassage de cultures qui permet à la créativité de s’exprimer au mieux. Répartie sur 5 étages, l’agence Wilmotte & Associés est une véritable entreprise. Des équipes sont constituées pour répondre aux concours et aux commandes privées. Les domaines d’intervention de l’agence sont trés variés. La construction ou l’aménagement de musées représente environ 20 % de l’activité (musée des arts islamiques au Qatar - en coopération avec Peï, architecte de la pyramide du Louvre - musée de l’imaginaire pour Lalique... Les grands aménagements de quartier (comprenant logements, bureaux, commerces... ) constituent une part importante des missions, comme à Rouen et Dijon ou bien encore l’aménagement de 4 km le long de la Volga à Volgograd, une marina en Malaisie, la reconversion d’une ancienne caserne à Montélimar et, bien sûr, le Parc Gouraud à Soissons. Par ailleurs, six à sept personnes de l’équipe sont designers et consacrent leur temps à la création de mobilier urbain (lampadaires, bancs, abribus... ). Cela permet à l’agence de décrocher des projets comme celui des aménagements liés à l’arrivée du tramway parisien ou celui d’Orléans. Et puis, il y a « l’équipe luxe », en charge de projets privés : boutique John Galiano Faubourg Saint-Honoré ou bien celle de Cartier et Chaumet à Osaka, siège de LVMH avenue Montaigne, ou bien celui de Leclerc (les hypers) à Ivry. Il y a aussi les constructions de villas ou les aménagements de bateaux de plaisance... Devant un tel palmarés de réalisations, le Soissonnais peut être fièr de porter haut la griffe Wilmotte. Communauté du Soissonnais 09.2005 11 gros plan L’image de marque Un projet signé Wilmotte est un formidable vecteur de communication et le Soissonnais peut en tirer parti pour attirer des entreprises assurées de travailler dans un lieu de qualité. L’agence travaille dans 21 pays et sa renommée est internationale. Plus d’une centaine de projets sont en cours dans l’agence, dont une cinquantaine en France. Certaines de ses réalisations vous sont peut être familières : l’ensemble du mobilier urbain des Champs Elysées (lampadaire, bancs...), 70 % de l’aménagement intérieur du musée du Louvre, la place de Valenciennes ou bien celle de Thionville, le centre commercial dédié aux marques à Cocquelles ou le Marques-Avenue de Romans, la gare de péage de Biriatou... Jean-Michel Wilmotte (au centre) et Philippe Pingusson (Chef de projet Cabinet Wilmotte & Associés) en compagnie de Jean-Marie Paulin, président de la Communauté du Soissonnais Le projet d’aménagement Suite au départ des militaires la Communauté du Soissonnais a lancé un concours en 2001 pour l’aménagement de l’espace Gouraud. Plusieurs cabinets d’architecture ont concouru et ont proposé des solutions pour restructurer le secteur. La proposition du cabinet Wilmotte de réhabiliter les bâtiments existants et de les réhausser pour leur donner plus d’envergure a fait la différence avec les autres projets. En ce qui concerne les logements en façade du boulevard Jeanne d’Arc, le parti retenu par l’architecte concepteur est de garder le même esprit que celui que l’on trouve actuellement sur le boulevard : à savoir des bâtiments dont l’esprit rappellera les maisons du boulevard Jeanne d’Arc. Dans ce projet, l’architecte en chef a voulu que les constructions s’intègrent au maximum au tissu existant. L’architecture n’est pas purement contemporaine et les matériaux sont traditionnels. Pour les toitures, l’emploi de la tuile, d’enduits à la chaux et de placage pierre pour les façades. Le verre sera fortement présent, puisqu’il va habiller l’ensemble des ouvertures des façades principales des bâtiments. L’ensemble sera considérablement paysagé et plusieurs centaines d’arbres seront plantés sur le site. Résidence « Le Jardin Fleuri » Parc Gouraud e id Immeuble de standing ien - Parking en sous-sol. - 51 appartements fonctionnels et confortables - Terrasses et balcons donnent sur un jardin intérieur - Architecture de qualité utilisant technologies modernes et matériaux de haute qualité. R ob lo Investissement immobilier Architecte :Thierry ABARNOU Proche centre-ville, sur le boulevard Jeanne d’Arc, face à l’abbaye Saint-Jean-des Vignes LIVRAISON Communauté du Soissonnais 09.2005 4è trimestre 2006 - La résidence est proposée en accession - Elle répond également aux exigences d’investisseurs locatifs dans le cadre des avantages fiscaux du dispositif loi de Robien Contact : CEDIBAT 01 64 61 07 22 gros plan Neveux-Rouyer paysagistes du site Image Cabinet Wilmotte & Associés Le bâtiment de droite, pépinière et hôtel d’entreprises sera achevé en fin d’année 2005 Les architectes en visite sur le chantier B.M Architecture er réalise le 1 bâtiment Noël Baduel et Pierre Monmarson sont tous deux architectes et à la tête d’une agence de 5 personnes en équipe de base. L’effectif peut cependant augmenter quand il s’agit de travailler sur certains projets ou répondre à des concours d’architecture. A leur actif : la construction de plusieurs très belles usines et universités (pôle universitaire de Chateauroux, Ecole d’ingénieurs de Reims...), siège social de Médecins sans Frontières à Paris, bureaux et nombreux logements... Souvent l’utilisation de matériaux contemporains accompagnent avec harmonie les matériaux traditionnels comme le bois, la brique et le verre. Ils affectionnent tout particulièrement les restructurations de bâtiments militaires et apprécient de travailler en province, jugée très réactive sur les projets. Lauréats du concours organisé par la Communauté du Soissonnais pour la réhabilitation du premier bâtiment, ils ont bien receptionné les recommandations du cabinet Wilmotte et se sont attachés à réaliser ce qui sera la pépinière-hôtel d’entreprises. Dès décembre 2005, ce bâtiment proposera 1700 m2 de pépinière en location, 1600 m2 d’hôtel en location. Le bâtiment s’organise sur 3 niveaux en privilégiant pour le dernier, une plateforme de grande dimension, avec une très belle charpente qui restera visible pour partie. La façade principale est complétement vitrée et l’ensemble des menuiseries est en aluminium noir. L’enduit des façades est un enduit à la chaux avec par endroit un placage pierre. La couverture sera composée de tuiles brunes. Un second bâtiment, idendique à celui-ci d’une surface de 4886 m2 sera dédié à la vente. Pour toute information concernant cette opération prendre contact avec le service du développement économique de la Communauté du Soissonnais : 03 23 53 88 40. François Neveux et Bernard Rouyer, tous deux diplômés de l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles ont créé leur agence en 1991. Ils interviennent essentiellement sur deux types de projets (mises à part les créations de jardins privés) : le territoire, qui les amène à travailler, par exemple, sur l’intégration paysagère de réseaux EDF, sur la revalorisation du site de l’aéroport de Montaudran, ou celle du port autonome du Havre... et l’espace public, avec l’aménagement de jardins publics comme le parc de la culture à Shanghaï, d’espaces urbains à Levallois ou Gentilly, ou bien encore l’aménagement de parcs de logement et, bien sûr : la reconvertion du site de la caserne Gouraud. Ces deux paysagistes sont très attachés aux liens qui unissent l’architecture et le paysage. Pour eux, chaque projet est unique selon son environnement. Ainsi, pour chacun d’entre eux, proposent-ils des spécificités propres pour qu’il s’inscrive au mieux dans le territoire. Leur philosophie est claire : « le végétal a aujourd’hui un rôle déterminant dans l’élaboration des projets et l’amélioration du cadre de vie ». Pour le projet Gouraud, l’agence a été appelée par le cabinet Wilmotte & Associés. Le principe d’aménagement est le suivant : le site réaménagé comportera des liaisons vers les quartiers périphériques. Pour cela, le mur d’enceinte actuel sera rabaissé, couronné d’une haie de charmilles et percé pour permettre, à certains endroits, des accès piétons par des escaliers ou des grilles. L’aménagement paysager du site a été conçu en se basant sur des milieux naturels forestiers. Des arbres de hautes tiges seront plantés le long des voies et au niveau des parkings. Il s’agira de 30 % de conifères et de 70 % de feuillus (érables, chênes, tilleuls, charmes). Les arbres de taille importante existant actuellement sur la zone seront, pour la majorité, insérés dans l’aménagement paysager. Entre les bâtiments, seront aménagés des jardins de type « patios » avec une majorité d’espèces arbustives de taille inférieure aux précédentes (entre 0,50 et 1,20 m). Le couvert végétal de ces aménagements sera assuré par des espèces couvre-sols, telles que le lierre, la bruyère, la callune ainsi que par des plantes à bulbe. Le but est d’obtenir un sol totalement végétalisé qui nécessite un minimum d’entretien. L’entrée du site sera marquée, d’une part, par les deux bâtiments de services situés de chaque côté, et, d’autre part, par la création d’un mail planté. Ce mail sera constitué d’un alignement d’arbres de hautes tiges et d’un sol minéral destiné au cheminement piéton. Il constituera une transition entre le milieu urbain extérieur et le « techno-parc ». Les fossés de collecte des eaux pluviales (le long des voies) seront plantés avec des bambous nains. L’esplanade pourra servir de champ d’inondation en cas d’orages, de manière à soulager la charge des réseaux d’assainissement sur la ville de Soissons et d’éviter des débordements préjudiciables. Les parkings seront bordés de noues plantées d’arbustes recevant les eaux de ruissellement. Image Cabinet Wilmotte & Associés Le mur d’enceinte de l’ancienne caserne sera rabaissé, couronné d’une haie de charmilles et « percé » pour permettre à certains endroits des accès piétons par des escaliers ou des grilles. Communauté du Soissonnais 09.2005 13 à l’affiche Une coopération s’engage pour l’emploi Photos : Musée de Soissons Agglo et Chambre de Commerce ARSENAL Georges ROUSSE « Photographies » du 10 septembre au 30 octobre 2005 Né en 1947 à Paris, Georges Rousse est un artiste qui utilise comme seul et unique médium, la photographie : un même type de lieux, des bâtiments à l’abandon ou en attente de travaux, dans lequel l’artiste intervient par le dessin ou la peinture : une photographie de cette intervention conçue selon le point de vue particulier de l’appareil photo. Deux projets liés à l’Arsenal et à la Poudrière seront réalisés à l’occasion de l’exposition. « Le lieu n’est pas transformé dans le seul but de faire une image. Il l’est pour produire une énergie méditative dans cette même qualité d’intention que ce qui règle, par exemple, la création d’un jardin zen. La nature y est rigoureusement composée, pensée, de sorte à produire intuitivement quelque chose de très fort. La photographie que je cherche à faire procède d’une même synthèse. Non seulement des éléments de lumière, de peinture et d’espace, mais quelque chose de proprement indicible.» Début juillet, une convention de partenariat pour la mise en œuvre d’actions de développement et de promotion économique sur le territoire de la Communauté d’Agglomération du Soissonnais a été signée entre cette dernière et la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Aisne. Elle décrit les objectifs mutuels liés à la promotion et au développement économique du Soissonnais. Ce renforcement du partenariat intervient avec l’arrivée de nouveaux dispositifs sur le Soissonnais (Zones Franches Urbaines, pépinières d’entreprises, nouvelles offres foncières) et va permettre la poursuite des efforts en matière de développement économique. Les deux partenaires s’associent pour assembler leurs moyens, leurs méthodes et leurs connaissances afin de permettre un essor du Soissonnais sur le plan économique. Le territoire d’action des dispositifs proposés correspond au territoire géré par la Communauté d’Agglomération du Soissonnais et particulièrement la zone franche urbaine (notamment Presles-Chevreux et la zone des Entrepôts ainsi que le parc Gouraud), la zone du Plateau, et concerne d’une manière générale, l’ensemble des outils d’aménagements économiques existants ou en développement. Le périmètre pourra cependant s’étendre au Pays du Soissonnais en fonction de la demande. de 14h à 18h Samedi, dimanche Les actions qu’elles s’engagent à mener se situent dans les domaines suivants : - le développement endogène : encourager la création et la reprise d’entreprises, échanger régulièrement des informations sur la santé et les perspectives d’évolution des entreprises du bassin d’emploi... - le développement exogène : encourager l’arrivée de nouvelles entreprises, - l’exploitation des données économiques locales : mise en commun des outils d’observation des terrains d’activités, soutien de la Chambre de Commerce par la diffusion d’informations ou la réalisation d’études Fermé le mercredi La convention est valable pour une durée de 2 ans. Entrée libre de 9h à 12h / 14h à 17h Lundi, mardi, jeudi, vendredi Communauté du Soissonnais 09.2005 zapping Trophées du Libre Palmarés A Soissons, le 27 mai 2005, la seconde édition des Trophées du Libre, organisée par le pôle technologique de SIL-CETRIL - Soissons Informatique Libre et le Centre Européen de Transfert et de Recherche en Informatique Libre, a récompensé les vainqueurs 2005 du Concours International du Logiciel Libre en présence de Renaud Dutreil, Ministre de la fonction Publique, de la Réforme de l’Etat et du Ministère délégué à la Recherche. Cette année, le concours international du logiciel libre a réuni 157 candidats originaires de 25 pays. Le jury, constitué de personnalités emblématiques et de professionnels, était présidé par David Axmark, co-fondateur de MySQL AB. Parmi 18 projets nommés, un lauréat a été sélectionné dans chacune des 6 catégories : Sécurité / Applications pour les structures Publiques et collectivités / Gestion d’entreprise / Educatif / Multimédia / PHP. «SÉCURITÉ» Vainqueur : NuFW (France), proposé par Eric Leblond. Suite de logiciels pare-feu destinés à gérer de manière sécurisée les tâches d’authentification sous Linux. «APPLICATIONS POUR STRUCTURES PUBLIQUES ET COLLECTIVITES» Vainqueur : Lodel (France), proposé par Francois Lermigeaux. CMS modulable permettant de publier en XHTML directement depuis un traitement de texte. «GESTION D’ENTREPRISE» Vainqueur : MedinTux (France), proposé par Roland Sevin. Progiciel de gestion de dossier médical en médecine générale, spécialisée et services d’urgences. «EDUCATIF» Vainqueur : Prométhée (France), proposé par Dominique Laporte. Intranet pédagogique et administratif clef en main. «MULTIMEDIA» Vainqueur : VideoLAN (France), proposé par Rémi Denis-Courmonti. Lecteur multimédia léger multi-normes / Serveur de diffusion de flux vidéo sur IP. «PRIX SPÉCIAL PHP» Vainqueur : Mediawiki (USA), proposé par Brion Vibber. Logiciel permettant le travail collaboratif via Internet, utilisé entre autres pour le site Wikipédia. Les partenaires de l’événement ont remis leurs prix aux lauréats : HP offrait des PC portables de dernière génération, Nexen Services et Clever-Age : un hébergement Internet gratuit. La Communauté d’Agglomération du Soissonnais permettait, quant à elle, d’obtenir un hébergement d’entreprise gratuit durant une année au sein du Techno-parc de Soissons. Cette année encore le double objectif de cette manifestation unique était, d’une part, de mettre en lumière et d’encourager les remarquables initiatives dans le domaine du logiciel à code ouvert et, d’autre part, de confirmer le positionnement du Pays Soissonnais qui a inscrit le logiciel libre comme élément structurant de développement de son territoire. Formation informatique Dès la rentrée Suivez gratuitement, le nouveau module de formation : Initiation vidéo : 20 heures. Renseignements : 06 73 00 36 15 mail : [email protected] 15 Communauté du Soissonnais 09.2005 objectif La 2e tranche de travaux sur Courmelles (95 ha) a commencé cet été La 1ère tranche de travaux sur Ploisy (65 ha) est en phase d’achèvement RN 2 ve r sS Photo : Cabinet Houdry et Cabinet HYL oi ss on s nos travaux L’entrée de la zone (tranche 1) Le Plateau la 2 tranche de travaux e est lancée Le projet d’aménagement de la zone d’activités sur la commune de Courmelles a pour objectif la création d’un parc d’activités en extension de la zone de Ploisy, dont les travaux d’aménagement se terminent. L’en- semble constituera à terme un vaste parc de 160 hectares, dédié aux entreprises industrielles. Un nouveau pôle de développement économique va ainsi voir le jour. Les travaux d’aménagement de la zone de Ploisy (65 ha) s’achèvent. Petit historique : Terrassements ont été effectués entre juillet et novembre 2003. En 2004 : mise en place de l’ensemble des réseaux internes, raccordement des eaux usées de la zone d’activités à la station d’épuration de Pommiers, réalisation de la voirie primaire et d’une partie de la voie secondaire, mise en place de la terre végétale et préparation des sols. Dans le courant de l’hiver 2004-2005 : plantations des bandes forestières, des fonds de parcelles et en alignement de la voie primaire (48 000 arbres ont été plantés), mise en place des candélabres et amenée des réseaux électriques et eau potable. Les paysagistes qui travaillent sur ce dossier ont conscience qu’ils doivent créer un nouveau lieu de travail et de vie qui doit s’inscrire dans le long terme. C’est pour eux l’occasion d’inventer « un paysage contemporain, répondant à des contraintes techniques, écologiques, d’usage et économique dans le cadre d’un développement durable ». Un dispositif paysager est mis en oeuvre pour transformer ces 95 hectares plutôt inhospitaliers. Ce dispositif poursuit le même objectif que celui développé pour la tranche de Ploisy. Deux bandes de forêt seront plantées aux limites nord et sud du terrain. Leur épaisseur atteindra 70 mètres. Les boisements se situeront aussi en bordure de la RN 2 et en bordure des bassins d’orage. Ces plantations, composées de hêtres, de charmes et de merisiers ont pour objectifs d’obtenir des parcelles qui s’appuiront sur des masses boisées, de protéger des vents et des intempéries, de créer un évènement fort en écho à la forêt de Villers-Cotterêt. A l’intérieur de la zone, les voiries primaires et secondaires seront également arborées selon un double alignement d’arbres de haute tige (15 à 20 m de haut). Ces plantations représenteront environ 20 % de l’ensemble de la zone. Les engins sont arrivés sur le site en juillet dernier pour commencer les terrassements. Une nouvelle phase est ainsi enclenchée. Pour cette seconde tranche de travaux de 5,8 millions d’Euros (ZAC de Courmelles) concernant la zone d’activités stratégique du Plateau, les différents partenaires financiers sont l’Europe, l’Etat, le Conseil Régional de Picardie, le Conseil Général de l’Aisne. Cet seconde tranche concerne 95 hectares et se situe dans le prolongement de la première tranche de Ploisy qui occupe 65 hectares. Communauté du Soissonnais 09.2005 en scène un projet Une commune un projet Il fait bon vivre à Pommiers ! Aménagement des bords de l’Aisne Installée sur les bords de l’Aisne, la commune de Pommiers est exposée plein sud et bénéficie d’un ensoleillement maximal. Elle dispose des services de la Poste, d’une école maternelle et primaire, d’un boulanger, d’un restaurant, d’un bistrot, d’une école de voile. La municipalité, consciente de la qualité de vie dans sa commune, continue ses efforts pour rendre encore plus accueillant le village. Elle vient d’achever divers travaux et possède encore des projets dans ses cartons. Les berges, non loin de l’école de voile, viennent d’être aménagées. Elles vont permettre aux pêcheurs et aux promeneurs de bénéficier d’un espace bien agréable qui n’attend plus que les plantations, prévues à l’automne. Des bancs et des tables vont permettre aux mordus de la ligne, aux randonneurs et aux boulistes - puisqu’un terrain de boules a été créé - de pouvoir pique-niquer au bord de l’eau. Le montant total des travaux est de 15 000 Euros, dont la commune a pris en charge 50 %. La Région et le Conseil Général ont participé pour l’autre moitié. Afin de réduire la vitesse des véhicules (5500 véhicules jours dont environ 40 % de camions) et pour permettre aux gros engins de se croiser, le virage de la RD6 vient d’être élargi et réaménagé. Ces travaux ont été l’occasion de créer des places de parking, de faire des plantations, de procéder à l’enfouissement des réseaux d’éclairage public. Là encore, la commune a reçu des aides de l’Etat et de la Région pour financer ce chantier qui a coûté 160 000 Euros. Fin 2005, les travaux d’aménagement d’un giratoire seront entrepris, à la sortie de Pommiers en direction de Vic-sur-Aisne et de Chauny. L’occasion également de procéder à l’enfouissement des réseaux d’éclairage et de renforcer le réseau d’eau potable. Les projets auquels tient particulièrement Lionel Barriquand, maire de Pommiers, concernent les logements. Près de 70 logements sont en projet sur l’ensemble de la commune. A commencer par une opération de la SA. LOGIVAM à la sortie de Pommiers en direction de la gare. 6 logements individuels locatifs y sont prévus : 5 F4 et 1 F5. Sécurisé, ce lotissement n’aura qu’une entrée débouchant sur la RD6, ce qui créera un espace faisant fonction de cour commune. Le plus gros projet en matière de logement sera la création d’un lotissement situé sur un grand terrain face à la rivière. Il permettra la construction de 40 habitations. La commune se rend actuellement maître du foncier avec l’aide financière et technique de la Communauté du Soissonnais. Jouxtant ce futur lotissement, des terrains vont prochainement accueillir des constructions individuelles privées et 9 permis de construire sont déjà déposés. Les calculs sont faits : ces nouveaux logements vont permettre une arrivée de près de 150 nouveaux habitants. « Et il était temps », affirme Monsieur Barriquand. « A la municipalité, nous avons fait les comptes, nous avons perdu 80 habitants en 14 ans. Mais, surtout, notre population veillit de plus en plus. Les enfants quittent le foyer des parents. Prenons l’exemple du lotissement des Amandiers : dans les années 80, sur les 45 logements qui le constituaient, il y avait 54 enfants, aujourd’hui, il n’y en a plus qu’un... » cela laisse à réfléchir... Communauté du Soissonnais 09.2005 17 balade en pays soissonnais en couleurs P asly « Ici, ce n’est pas de la colline, c’est de la montagne », prévient Daniel Kuturasinski, secrétaire général de la mairie de Pasly. Et on le croit sans peine lorsqu’on visite les boves, creuttes et autres carrières qui parsèment les flancs vallonnés de ce village proche de Soissons, si proche et comme caché au milieu d’un écrin de verdure depuis l’époque gauloise. C’est à cette époque que nos ancêtres ont creusé ce qui est en fait les contreforts des Ardennes françaises. Le tuf très tendre leur a permis de s’abriter dans des grottes à l’agencement remarquable. Cela vaut la peine de s’y attarder, de même qu’il est intéressant de se rendre au musée de Soissons, afin d’admirer trois urnes funéraires romaines découvertes lors de la construction du pont de Pasly. Au moyen âge, Pasly est un village de cultivateurs et une chapelle est le seul lieu de culte. C’est sur son site que sera édifiée, au début du siècle dernier, l’église Saint JeanBaptiste. Une curiosité, puisqu’elle n’est pas classée, n’a aucun caractère dans un département au patrimoine architectural si riche. Peu importe aux Paslysiens… Ils ont bien d’autres raisons d’être fiers de leur village. En particulier, lorsqu’on évoque l’héroïsme de Jules Debordeaux durant la guerre de 1870. Ce jeune instituteur organisera une escarmouche contre les Prussiens qui tentaient de réparer le pont de Pommiers. Il sera exécuté le 9 octobre. Communauté du Soissonnais 09.2005 Aujourd’hui, Pasly est devenu un village résidence de 1069 âmes et il ne reste plus qu’un agriculteur, Franck Dufour. Refusant la fatalité de ce que certains appellent des « villes-dortoirs », la municipalité a joué la carte des associations. Carte maîtresse ! La population se maintient et permet de conserver un effectif scolaire d’une centaine d’élèves. Mais, comme ailleurs, la population vieillit et la municipalité aimerait amener du logement locatif. Cependant, sans terrain à vendre, elle ne peut rien faire et ce sont les initiatives privées qui ont le vent en poupe. En projet, deux lotissements de 20 unités. On le voit, la patrie du Paslygout (plat à base de viande de mouton, de bœuf et de haricots de Soissons) ne veut pas s’assoupir Accès et contact : Sortie Soissons en direction de Pommiers. Tourner à droite sur la RD 914. Tél mairie : 03 23 53 15 20 a en couleurs Les origines de Photo : Sté Historique l’ soissonnaise viation 1920, Soissons, détruite par la guerre, se reconstruit. Grâce à un don américain, géré par un Windsor et initialement destiné à un terrain de football, Soissons achète les 13 hectares du château Saint-Crépin pour en faire un parc avec stade. En 1926, on abandonne l’idée d’une halte d’atterrissage à Presles. Le CAS (Club Aéronautique de Soissons), nouvellement créé, obtient de s’installer à SaintCrépin. Il y restera 65 ans. Il était parrainé par Suzanne Deutsch de la Meurthe, industrielle à Moÿ de l’Aisne, dont le père avait créé la Coupe portant son nom. C’est alors que Soissons prétend ouvrir un champ de courses près du terrain d’aviation. Le 22 juin 1927, le 4e bureau du Ministère de la Guerre, celui de l’Aviation, déplore le choix d’un champ de course qui constituerait une gêne pour les liaisons aériennes avec le 34e Régiment d’aviation au Bourget et rendrait impossible l’emploi du terrain comme piste de secours pour les avions de la ligne Paris-Berlin, en cas de détresse. Sous la responsabilité de MM. Marcel Pierre, Bernard Miot et Ernest Rocault, le parc volant se constitue progressivement d’un Henriot, d’un Luciole, d’un Potez 36. On y utilise un autre Potez 36, propriété de M. Liénard, agriculteur à Chaudun, où il avait établi une piste d’atterrissage. On le complète par un SFAN, présenté par M. Thoret, père du Vol en Montagne à St Rémy de Provence. Avec le glorieux prestige des anciens pilotes de guerre, les clubs aéronautiques pouvaient servir d’écoles de formation. C’était l’ambition de Pierre Cot, ministre de l’Air, qui les voulait écoles de promotion populaire, alors que l’axonais Jean Mermoz les voyait écoles de formation de chefs. Le 13 février 1935, Mermoz visite l’aéroclub et y laisse sa photo dédicacée. C’est l’époque de manifestations aériennes sur le terrain, qui prit le nom de Marcel Goulette. Au cours de l’une d’elles, une jeune parachutiste se noya dans un étang Becker. Le 19 mars 1937 : cérémonie au terrain pour la disparition de Mermoz avec les héroïnes Adrienne Bolland, Maryse Bastié et le père du pilote. En plein succès, le CAS ajoute la pratique du Vol à Voile. 1939 : c’est la guerre. L’activité aérienne militaire se limite à quelques liaisons avec l’Arrière. 1940 : dissolution des aéro-clubs par l’occupant allemand. 1942 : l’occupant ayant toléré la pratique de l’aéromodélisme dans la Zone Occupée, les responsables Pierre, Miot, Rocault et Mme Davesne créent l’ACS (Aéro-Club de Soissons) qui prit une importance considérable, puisqu’il allait englober quinze sections dont deux en ville, au Centre d’apprentissage et à l’école Saint Georges, appelée section Georges Guynemer, avec d’autres dans les communes de Guny, Blérancourt,Vailly, etc. Des concours y furent organisés, ainsi qu’à Bétheny près de Reims. 1943 : reconnaissance officielle du Club d’Aéromodélisme Le 4 juin 1944 : concours à Blérancourt, deux jours avant le Débarquement en Normandie. La pratique de l’aéromodélisme ne comportait pas uniquement la construction de planeurs et d’avions dont l’hélice était actionnée par des écheveaux de caoutchouc. On y avait dispensé des cours de mécanique du vol, d’aérologie, de météorolo- 2e partie gie et d’Histoire de l’Aviation, sanctionnés par un Certificat élémentaire des Sports Aériens et du chef des sections locales. Le 28 août 1944, c’est la libération de Soissons. On exhume deux planeurs, le XIA et le Castel 32, de leur cachette dans l’atelier de la menuiserie De Reyer, à St-Waast. Une équipe entreprit la remise en état de ces planeurs et une autre s’occupa de la voiture-treuil laquelle, après quatre ans de planque, était à réviser entièrement. Après des soirées et week-ends passés à ces remises en état dans l’enthousiasme, l’activité aérienne de l’ACS put reprendre le 1er dimanche de décembre. Les débuts furent très durs. Par exemple, par manque d’essence, il fallait, à la main, tirer le planeur en début de piste, puis ramener le câble après lancement. Le hangar avait été démonté et récupéré par les Allemands, mais le club obtint un baraquement de même type. Si les aéroclubs ne devinrent ni des écoles populaires, ni des écoles de chefs à Soissons, les joies du ciel récompensèrent les élèves de leurs efforts et certains purent devenir pilotes de ligne. L’ACS a payé son tribut de drames, mais il prospère sur les hauteurs dominant Soissons René Verquin Vice-Président Sté Historique Documents privés. Archives locales, manuscrits et souvenirs de G. Janodet et R. Bouldoire. Communauté du Soissonnais 09.2005 19 demandez le programme ACY Septembre 30 Bourse aux vêtements SOISSONS Octobre Octobre 1-2 Bourse aux vêtements 13 Forum Santé Jeunes Espace Parisot 2 Brocante 30 Concert de l’orchestre d’harmonie de la garde républicaine Cathédrale BERZY Septembre 9-10-11 2e édition du festival 1001 Facettes CUFFIES Septembre Décembre 10 Marché de Noël MERCIN Septembre 17-18-19 Fête communale NOYANT Septembre 11 Brocante PASLY Octobre 15 Kermesse de la bière La Garde Républicaine dans la nef L’association « Sur les pas des Grognards » organise le 30 septembre (20h00) un concert de l’orchestre d’harmonie de la Garde Républicaine en la cathédrale de Soissons. Au programme, musique profane et sacrée. Émanation de la Garde nationale, ce corps d’armée a été créé par Napoléon. Une semaine de manifestation se déroulera d’ailleurs en 2006. On y évoquera sa dernière campagne et la bataille de Craonne (1814). Vente et réservation à l’Office du Tourisme, magasins Camara et Vase de Soissons. Photo service patrimoine ville de Soissons 4 Brocante Novembre 25-26-27 Rencontres amicales internationales SERMOISE Septembre 17-18 Fête patronale SEPTMONTS Septembre 3-4 Fête communale 18 ou 25 Brocante et journées du patrimoine Novembre 5 Soirée Halloween SOISSONS Septembre Tous les mardis Boeuf musical esplanade du Mail par l’EJC 17-18 Bourse d’échange minéraux et fossiles à l’Espace Parisot 17-18 Journée du patrimoine 24-25 Fête du haricot Octobre Tous les mardis Boeuf musical esplanade du Mail par l’EJC 1-2 Sur les pas des Grognards expo esplanade du Mail 2 Journée nationale des quartiers Presles, Chevreux, St Waast Novembre Tous les mardis Boeuf musical esplanade du Mail par l’EJC 5-27 Foire Saint Martin esplanade du Mail 27 Cross de la ville parc St Crépin décembre Tous les mardis Boeuf musical esplanade du Mail par l’EJC 2-3-4 Téléthon VAUXREZIS Septembre 4 Brocante 24-25-26 Fête communale Décembre 31 Reveillon de la Saint Sylvestre VILLENEUVE-SAINT-GERMAIN Octobre 2 et 16 Thé dansant 21 Halloween Novembre 6 Thé dansant Décembre 4-20 Thé dansant
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