Dossier de presse - Musée Unterlinden

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Dossier de presse - Musée Unterlinden

Dossier de presse
Collec tions d ’ar t mod er ne : nou v elles ac q u isitions
Simone Boisecq
Karl Jean Longuet
Raymond-Emile Waydelich
Léon Zack
d u 27 nov emb r e 2010 au 14 fév r ier 2011
Simone Boisecq, Grand couple, plâtre,
1976
Simone Boisecq, Soleil, résine, 1956
Karl-Jean Longuet, Le jeune-homme endormi, plâtre
original patiné, 1952-1954
Sommaire
Planche Contact - visuels disponibles pour la presse
p. 3
Informations pratiques
p. 5
Communiqué
p. 6
L’accrochage
p. 7
Liste des récentes acquisitions
p. 10
2
Planche contact
Accrochage de la collection d’art moderne et contemporain Récentes acquisitions
© Colmar, musée Unterlinden
Sculptures
(Prises de vues dans l’atelier de Simone Boisecq)
A.
B.
D.
C.
E.
F.
3
Peinture
G.
Collage
H.
4
I n formation s p ratiq u es
Musée
Unterlinden
1 rue Unterlinden – F-68000 Colmar – Tél. +33 (0)3 89 20 15 51
[email protected] – www.musee-unterlinden.com
Conservateur en chef Pantxika De Paepe
Accrochage
de
la
collection
d’art
moderne
et
contemporain
Récentes
acquisitions
Conservatrice d’art moderne et contemporain Frédérique Goerig-Hergott
Contact Presse Marie-Hélène Siberlin - [email protected]
Tél. +33 (0) 89 20 22 74
Horaires tous les jours, sauf le mardi, de 9h à 12h et de 14h à 17h
Les 4, 5, 11, 12, 18 et 19 décembre 2010, le musée est ouvert de 10h à 18h.
Fermé les 25 décembre et 1er janvier
Tarifs 7€ : tarif normal ; à partir du 2 janvier 2011, 8€ - 6€ : tarif groupe (15 personnes)
seniors et carte Cézam – 5€ : tarif 12/18 ans et étudiants (- de 30 ans) - tarif famille (à partir
de 2 enfants) : tarif normal pour le(s) adulte(s), 3€ par enfant (12/18 ans) - Gratuité pour les
enfants de moins de 12 ans, les handicapés, les membres de la Société Schongauer, les
porteurs du Pass Musées et de la carte culture, les scolaires de l’Académie de Strasbourg et du
Land Bade-Wurtemberg ainsi que les enseignants accompagnateurs.
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Commu n iq u é
Les donations récemment entrées dans les collections d’art moderne ainsi que les dernières
acquisitions réalisées avec le concours du Fonds Régional d’Acquisition des Musées d’Alsace sont
présentées dans le cadre de l’accrochage des collections d’art moderne à partir du 27 novembre 2010.
Sculptures
de
Simone
Boisecq
(Alger,
1922)
et
Karl
Jean
Longuet
(Paris,
1904
–
Auray,
1981)
Suite à l’achat du Faune de Simone Boisecq en 2009, la sculptrice a fait don en 2010 de sept de ses
sculptures et a accompagné l’achat récent du Jeune Homme endormi de Karl Jean Longuet de six
sculptures de son époux.
Cet ensemble conséquent et monumental met en lumière le parcours du couple de sculpteurs Simone
Boisecq et Karl Jean Longuet tout en apportant un éclairage nouveau sur la sculpture de cette époque.
Il vient par ailleurs enrichir le fonds des collections dans la perspective de l’exposition itinérante
consacrée à ces deux sculpteurs. En effet, les musées de Reims, Agen, Limoges, Poitiers et Colmar se
sont associés dans un projet d’exposition commune qui s’étendra de 2011 à 2012 et révélera
l’originalité de ces sculpteurs sur la scène parisienne de l’après Seconde Guerre mondiale.
Boîte
reliquaire
de
Raymond‐Emile
Waydelich
(Strasbourg,
1938)
Une partie des collections du musée Unterlinden s’est constituée à partir des années 1990 autour d'un
ensemble des collages, d’assemblages et de peintures de surréalistes ou issues du surréalisme.
L’acquisition d’une des premières boîtes reliquaires (1973-74) issue du célèbre cycle consacré à Lydia
Jacob de Raymond Waydelich s’inscrit dans cette continuité et vient compléter ce fonds avec l’une des
grandes figures de l’art contemporain en Alsace. Cet achat a motivé la donation d’une boîte reliquaire
supplémentaire et contemporaine consacrée à un membre de la famille colmarienne de Lydia Jacob.
En regard de ces deux boîtes, seront présentés les assemblages et collages des pages extraites de
l’album de Lydia Jacob à l’originaire de cette histoire fabuleuse et que l’artiste a réinterprétées en
1973.
Léon
Zack
(Nijni‐Novgorod,
1892‐Paris,
1980)
Trois œuvres de Léon Zack, un des représentants de l’école de Paris, sont entrées dans les collections
du musée. L’une d’elle a été achetée (Double portrait d’hommes, 1936) et les deux autres ont été
offertes par sa fille, le sculpteur Irène Zack (Vierge à l’Enfant, 1946 ; Sans Titre, 1973). Chacune de
ces œuvres illustre une étape importante du parcours du peintre, depuis sa période figurative où
domine la présence humaine à sa période abstraite et nuagiste, en passant par l’épisode charnière après
la Seconde Guerre Mondiale de son passage de la figuration à l’abstraction. Par ailleurs, elles
témoignent de la dualité qui sous-tend tout l'œuvre de ce peintre russe devenu français (1938), juif
devenu catholique (1941), figuratif devenu abstrait (après 1945).
Historique
des
collections
d’art
moderne
et
contemporain
Ouvert dès l’origine à la création contemporaine, le musée a développé à partir de la fin des années
soixante une importante collection d’art moderne, qui, au fil des années, a pris de l’importance. La
collection s’est organisée principalement autour des artistes actifs en France au milieu du XXe siècle
(avec les représentants des différents courants de l’abstraction) autour de l’établissement d’un
panorama de l’art français (Delaunay, Monet, Picasso, Renoir, Rouault…), des rapports entre la
France et l’Allemagne (Baumeister, Bissier, Dix, Grosz, Beckmann…) tout en s’ouvrant aux artistes
contemporains. Parallèlement les collections se sont enrichies au bénéfice d’importants legs (JeanPaul Person) ou donations (Friedlaender, Coppel, Downing) particulièrement depuis la réflexion
menée autour de son projet d’extension qui sera réalisé par les architectes Herzog & de Meuron. A
l’automne 2013, la collection d’art moderne et contemporain sera présentée dans les anciens bains
municipaux et dans une nef contemporaine attenante.
6
L’accroch ag e : acq u isition s et d on ation s
Ouvert dès l’origine à la création contemporaine, le musée a développé à partir de la fin des
années soixante une collection d’art moderne qui a pris, au fil des années, une importance
telle, qu’elle motive l’actuel projet d’extension confié aux architectes bâlois Herzog & de
Meuron. La collection s’articule principalement autour des artistes actifs en France après la
Seconde Guerre mondiale et les représentants des différents courants de l’abstraction. Elle
offre aujourd’hui un panorama de l’art français tout en s’ouvrant aux artistes contemporains.
Avec la réflexion menée autour de son projet d’extension, le musée a bénéficié de dons et legs
particulièrement importants, et continue à enrichir le fonds de sa collection par des achats. Cet
hiver, le musée Unterlinden présente ses nouvelles acquisitions d’art moderne et
contemporain réalisées avec le concours du Fonds Régional d’Acquisition des Musées
d’Alsace.
Simone
Boisecq
(Alger,
1922)
et
Karl‐Jean
Longuet
(Paris,
1904
–
Auray,
1981)
:
15
sculptures
Les acquisitions les plus conséquentes pour l’année 2010 concernent le couple de sculpteurs
parisiens Simone Boisecq et Karl Jean Longuet qui se rencontrèrent en 1946 et furent très
proches des artistes déjà représentés dans les collections colmariennes : Roger Bissière, César,
Henri Goetz, Jean Le Moal, Alfred Manessier, Pablo Picasso, Hans Reichel, Germaine
Richier, Maria Elena Vieira da Silva… Soucieux de palier le manque de sculptures
représentatives de la période de l’après-guerre dans son fonds, le musée Unterlinden avait
acquis en 2009 Le Faune (1956) de Simone Boisecq. Suite à cet achat, la sculptrice a fait don
en 2010 de sept de ses œuvres. Elle a par ailleurs accompagné l’achat du Jeune Homme
endormi (1952-1954) de Karl Jean Longuet du don de six œuvres de son époux. L’ensemble
constitué de quinze sculptures a été choisi en concertation avec le musée pour représenter les
grandes étapes du parcours des deux sculpteurs et s’intégrer au mieux au cœur des collections
existantes du musée Unterlinden. Ainsi, l’évolution de chacun d’eux est évoquée à partir de
leur rencontre et leur visite de l’atelier de Brancusi en 1946. Liés au cercle des artistes
espagnols et des surréalistes, aux peintres de la Nouvelle Ecole de Paris (dont la plupart sont
représentés dans les collections colmariennes), ils ont tous deux participé aux expositions
collectives avec les plus importants sculpteurs de leur temps. La présentation de cet ensemble
nouvellement acquis permet de mettre en évidence l’évolution de leur travail vers des formes
simplifiées tendant vers une abstraction qui n’est jamais géométrique mais reste proche de
l’organique. Les volumes et les vides reprennent en les stylisant les différents sujets selon un
principe de formes et de rythmes propre à leur langage.
Une exposition itinérante consacrée au couple de sculpteurs organisée par le musée
Unterlinden et les musées de Reims, d’Agen, de Poitiers et de Limoges (2011-2012)
permettra de percevoir dans son ensemble l’originalité de leur démarche sur la scène
parisienne de l’après Seconde Guerre mondiale.
7
Léon
Zack
(Nijni‐Novgorod,
1892‐Paris,
1980)
:
3
peintures
Trois œuvres donnant un aperçu de l’évolution picturale du peintre Léon Zack sont entrées
dans les collections du musée Unterlinden : l’une a été acquise, les deux autres ont été offertes
par sa fille, la sculptrice Irène Zack (1918).
Léon Zack commence sa carrière artistique à Moscou, hésitant entre peinture et poésie, avant
de fuir la Russie en 1920 avec sa femme et sa fille Irène et de se fixer en 1923 à Paris où il
rencontre Picasso et Larionov. En 1930, à contre-courant du cubisme, il adhère au groupe
néo-humaniste et participe aux grands Salons parisiens et à de nombreuses expositions à
Bruxelles, Amsterdam ou Prague. Sa peinture est alors figurative et la représentation humaine
domine. Le Double portrait d'hommes (1936) acheté par le musée, appartient à une série de
portraits, de figures imaginaires et anonymes exprimant l'attention que Léon Zack attache aux
visages, entre la rêverie et la méditation, projection des interrogations du peintre dans un face
à face avec lui-même. Cette huile sur toile présente au verso un double portrait de femmes.
Réalisée dans le contexte de la montée du fascisme et des manifestations antisémites, cette
double représentation témoigne de la dualité qui sous-tend tout l'oeuvre de ce peintre russe
devenu français (1938), juif devenu catholique (1941), figuratif devenu abstrait (1946).
Aujourd’hui intégrée aux collections du musée parmi les autres portraits de l'entre-deuxguerres.
Après la Seconde Guerre mondiale, la peinture de Léon Zack, à l’instar de celles d’un certain
nombre de ses contemporains, se détache de la figuration et tend vers une démarche plus
spirituelle. La Vierge à l'Enfant de 1946 illustre cette nouvelle orientation vers l'abstraction.
Composée d’une architecture de lignes et de triangles, la représentation est dépouillée, la
palette est chaude, la matière est épaisse, l’ensemble incite à la méditation et au spirituel,
comme le feront désormais ses œuvres abstraites futures. Cette œuvre charnière dans la
carrière du peintre a été offerte au musée Unterlinden par Irène Zack, avec une autre toile,
Sans Titre de 1973. Dans l’intervalle de ces deux œuvres, Léon Zack a abandonné le sujet,
prenant conscience que seules les nuances et les formes comptent. Il participe aux origines de
l’abstraction informelle et devient l’un des précurseurs et des grands représentants de la
tendance « nuagiste ». Cette toile de 1973 fut présentée à l'exposition que le Musée d'Art
Moderne de la Ville de Paris consacra à partir de décembre 1976 à Léon Zack. À la fin de sa
vie, toute matière, toute épaisseur a disparu de ses toiles, laissant la place à une peinture
épurée, aux couleurs vibrantes et transparentes qui semblent parfois éclairées d'une lumière
venue d'ailleurs. Léon Zack a consacré sa vie à la recherche d'une spiritualité, d'un équilibre et
d'une paix dont cette œuvre témoigne. Proche de l'esprit de Tal Coat qu'il admirait beaucoup,
de Camille Bryen et de Jean Fautrier, les peintures de Léon Zack ont trouvé leur place au
cœur de collections colmariennes parmi les artistes abstraits de l'après guerre.
8
Raymond‐Emile
Waydelich
(Strasbourg,
1938)
:
2
boîtes
reliquaires
Une partie des collections du musée s’est constituée dans les années 1990 autour d'un
ensemble des collages et d’assemblages de membres du Surréalisme ou de leurs suiveurs.
L’acquisition d’une boîte reliquaire (1973-1974) issue du célèbre cycle consacré à Lydia
Jacob par Raymond Waydelich, grande figure de l’art contemporain en Alsace, s’inscrit dans
cette continuité et vient compléter ce fonds. Formé à l'Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg
puis à l'Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs à Paris, Raymond Waydelich
appartient à cette nouvelle avant-garde « silencieuse » qui émerge au début des années 1970
avec des artistes qui opèrent un retour au privé, à la mémoire du passé personnel ou étranger
(Christian Boltanski, Nikolaus Lang…). La reconstitution et la documentation dans un
semblant d’objectivité et d’inventaire, d’archivage et de mise sous vitrine, remplacent un art
témoin de son époque qui caractérisait l’extériorisation artistique des années 1960. Raymond
Waydelich s’inscrit déjà dans cette mouvance, lorsqu’en 1973 il découvre un manuscrit de
1890 qui appartenait à une apprentie couturière nommée Lydia Jacob.
À partir de ce journal, l'artiste réinvente la vie de la jeune femme et lui voue désormais une
grande partie de son œuvre dans un cycle qui porte le nom de "Lydia Jacob story".
Cette boîte reliquaire figure parmi les toutes premières boîtes que Waydelich lui ait consacré.
Autour d’une photographie provenant des célèbres ateliers Braun à Dornach (dont le musée
Unterlinden conserve le fonds d’archives, de plaques, de tirages et d’albums
photographiques), s’articulent différents éléments signifiants l'identité de la jeune modiste.
Comme autant de messages intimes, personnels et codés, l’artiste a disposé du tissu, des
patrons de couturière, des miroirs ainsi qu’un petit carnet. Ces fragments d’objets ont été
placés dans un ancien tiroir qu’il a scellé par une plaque de plexiglas, sur laquelle Waydelich
a gravé des tracés archéologiques. Cette œuvre retrace, à travers des moyens plastiques d’une
grande variété, la vie de cette apprentie couturière. Avec poésie et humour, l’artiste a
réinterprété la vie d’une anonyme, inscrivant cette boîte reliquaire dans un travail sur
l’identité et la mémoire, se définissant lui-même comme un « marchand de bonheur et
archéologue du futur ». Cet assemblage est également une réflexion sur l’objet et sa
préservation, thématique que Waydelich a exploité en 1995 avec son caveau du Futur 3790
après J.C., enterré place du château à Strasbourg. Il renferme des souvenirs destinés à
l’archéologue du futur.
Si Raymond Waydelich consacre ses œuvres à Lydia Jacob, il étend aussi sa production de
boîtes reliquaires à l’entourage imaginaire de la jeune femme. L’achat d’une boîte reliquaire
par le musée a motivé un projet de donation d’une boîte supplémentaire et contemporaine de
la première. Il permet au musée de présenter aux côtés de l’étonnant « portrait » de Lydia
Jacob, celui d’un membre d’une branche colmarienne de sa famille imaginaire : Hans Mory,
né à Colmar en 1858 et mort dans la même ville en 1955, pêcheur professionnel à Rhinau…
À l’occasion de la présentation ces nouvelles acquisitions, Raymond Waydelich a accepté de
se dessaisir d’une quinzaine de doubles pages extraites du manuscrit de Lydia Jacob sur
lesquelles il était intervenu en 1973. L’artiste permet ainsi de montrer au public pour la
première fois, en regard des deux boîtes reliquaires, ces documents qui sont à l’origine et la
source principale de son travail. Le cycle dédié à Lydia Jacob a contribué à la reconnaissance
de l’artiste propulsé sur la scène internationale : en 1978, soit une vingtaine d'années après
Hans Arp, il est le second artiste alsacien sélectionné pour représenter la France à la Biennale
de Venise.
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Liste d es œu vres récemmen t acq u ises
Simone Boisecq
Achat avec participation du FRAM
Simone Boisecq, Le Faune, ciment noir, 1956
(illustration E)
Don
Simone Boisecq, Soleil, résine, 1956
(illustration A)
Don
Simone Boisecq, Totem, ciment, pierre noire, 1957
Don
Simone Boisecq, Grand couple, plâtre, 1976
(illustration B)
Don
Simone Boisecq, Le veilleur, résine bronze, 1984-1985
Don
Simone Boisecq, Le défi. D'un seul tenant, résine, 1990
Don
Simone Boisecq, Pessoa, bronze, 1994-1995
(illustration C)
Don
Simone Boisecq, Le combat avec l'ange, bronze, 1990
Karl Jean Longuet
Achat avec participation du FRAM
Karl-Jean Longuet, Le jeune-homme endormi, plâtre original patiné, 1952-1954
(illustration D)
Don
Karl Jean Longuet, Buste de Simone Boisecq, plâtre original, 1947
Don
Karl Jean Longuet, Grand couple, plâtre original patiné, 1952
(illustration F)
Don
Karl Jean Longuet, Opéra de Pékin, résine noire, 1954
Don
Karl Jean Longuet, Balzac, pierre, 1956-1958
Don
Karl Jean Longuet, La Grande Vasque X, plâtre noir patiné, 1971
10
Don
Karl Jean Longuet, La Porte de la nuit, plâtre, 1980
Léon Zack
Achat avec participation du FRAM
Léon Zack, Double portrait d'homme, œuvre double face : au revers, Double portrait de femme, huile
sur toile, 1936
(illustration G)
Don
Léon Zack, Vierge à l'enfant, huile sur toile, 1946
Don
Léon Zack, Sans titre, huile sur toile, 1973
Raymond-Emile Waydelich
Achat avec participation du FRAM
Raymond-Emile Waydelich, Boîte reliquaire Lydia Jacob, assemblage (bois, papier, photo, miroir,
livre, corde, tissu, cire, cuivre), bois (tiroir), plexiglas (sérigraphié, gravé), 1973-1974
(illustration H)
Don
Raymond-Emile Waydelich, Boîte reliquaire Hans Mory
11


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