François Moog se situe e disa t u`out e so ilieu p ofessio el
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François Moog se situe e disa t u`out e so ilieu p ofessio el
Rencontre nationale des référents de fraternités 2014 François Moog : Nos che i s de Frater it s à la lu i re de l’Eva gile François Moog est maître de conférences à l’Institut Catholique de Paris, docteur en théologie et directeur de l’Institut supérieur de Pastorale Catéchétique. Précautions liminaires : Le texte qui suit a été établi à partir de notes prises par plusieurs personnes. Il essaie de rester le plus fidèle possible à ce qui a été dit, mais il ne saurait engager M. Moog, tant il est vrai que transcrire de l’oral à l’écrit c’est sans doute aussi trahir la pensée et les propos. Nous souhaitons cependant que ce texte puisse rester comme une mémoire de ce que nous avons entendu et partagé. François Moog se situe e disa t u’out e so ilieu p ofessio el, il est e e de la Co u aut Vie Chrétienne et que son lieu de formation est plutôt la spiritualité ignacienne. Il se situe donc dans notre e o te o e u t a ge , puis u’il ’est pas e e d’une fraternité éducative La Salle. En tant u’ t a ge , il fait tout de e le hoi de pa tage ave ous e o e t, et de e t e e dialogue ave nous plutôt que de faire « un docte enseignement » sur le lien entre charisme et institution, ou le rapport entre engagement des laïcs par leur baptême et vie consacré, ou sur communauté éducative et communauté chrétienne, ou tout autre sujet qui entre dans son champ de compétence. Le choix de ce « dialogue » (autant que cela est possible à 100 personnes), ’est prendre le risque de venir nous parler comme un étranger, de faire écho aux remontées des travaux de groupes à partir de la lecture u’il a faite de la deu i e o ie tatio de l’AMEL et de e u’il a v u et e te du depuis l’ouve tu e de notre rencontre. C’est do u ho, pa ti ulie puis u’il vie t de la le tu e d’u e pe so e, et su tout, ui e lôt ie ais ui a plutôt pou vo atio de so e , ave d’aut es hos, do t elui de Sœu Be adette. Premier écho : le charisme Ensemble, frères et laïcs Le texte inspirateur dans son introduction, renvoie à deux images congruentes en parlant du charisme : ’est u h itage, et e ta t ue tel, il essite u e fa ille pou t e po t . Ce ui est o igi al da s la f ate it du ative La Salle, ’est l’affi atio u’elle est o pos e de f es et de laï s. Il ’ a pas d’u ôt les f es ui vive t du ha is e, et de l’aut e, les laï s ui essaie t de s’e i spi e o e ils peuvent, mais « laï s et f es s’app op ie t le ha is e lasallie , e vive t et le font vivre » (texte i spi ateu . . C’est fo da e tal, ela dit uel ue hose de ce que, dans la fraternité éducative La Salle et chez les frères des écoles chrétiennes, on pense être le charisme lasallien. Qu’est-ce que le charisme ? En occident, o t ai e e t à l’o ie t, la th ologie du ha is e est peu d velopp e, e ui peut se o p e d e pa le fait ue la th ologie de l’Esp it Sai t est gale e t assez duite. Dans le Credo et le Glo ia, la fo ulatio pou di e e u’est l’Esp it est duite, alors que ce qui est dit sur le Père et le Fils est assez développé). Mais en lisant Saint Paul, dans la première lettre aux corinthiens notamment au chapitre 12 on trouve plusieurs éléments : Premier élément : les ha is es so t des do s va i s de l’Esp it dist i u s à tous. « Les dons de la grâce so t va i s, ais ’est le e Esp it. Les se vi es [ i ist es] so t va i s, ais ’est le e Seig eu . Les a tivit s [dive s odes d’a tio ] so t va i es, ais ’est le e Dieu ui agit en tout et en tous. » (Versets 4, 5 et 6). « Mais elui ui agit e tout ela, ’est l’u i ue et e Esp it : il distribue ses dons, comme il le veut, à chacun en particulier » (verset 11). C’est i t essa t, ar cela veut 1 di e ue pe so e ’est e e pt de ette alit ha is ati ue da s l’Église, et es do s, es ha is es, vie e t de Dieu pa l’Esp it Sai t. Deuxième élément : la foi en Christ fait homme. Da s ette alit ha is ati ue des do s de l’Esp it pou l’Église pa dus e ha u pa l’Esp it, il a u e alit d’i o po atio e Ch ist. C’est e ue Paul d veloppe da s la p e i e lett e au o i thie s au chapitre 12 versets 12 à 31. Reconnaître en Jésus le Christ et le Seigneur est déjà un do de l’Esp it Sai t Co , et ’est sa s doute le p e ie . Celui à pa ti du uel se d ploie l’e se le des do s de l’Esp it, les charismes. Troisième élément : un don pourquoi ? U do , u ha is e, e ’est pas uel ue hose ue je poss de, ui ’a été donné, et qui me donne ma pla e da s le o ps. C’est e ue pou ait fai e e te d e u e auvaise i te p tatio de la pa a ole des talents. Le contre exemple est Moïse, qui était bègue et qui pourtant devait parler au peuple pour le convaincre. Dans la notion de charisme, il y a aussi une notion de vocation. Il y a un don de Dieu pour les aut es, ais e ’est pas ous ui d ido s uel est le do u’o va ett e au se vi e des aut es. Il a u do de Dieu ui est li au fait ue l’o o fesse le fait que Christ soit Seigneur, qui nous fait participer à l’ difi atio de la o u aut , et do e ’est pas u e alit ue l’o poss de, ’est uel ue hose ui nous traverse et qui nous rend disponibles aux autres. On ne peut donc pas « porter » un charisme, et on ne peut pas transmettre un charisme. On peut se laisser transformer par lui. Et on ne peut pas objectiver u ha is e, o est o lig d’e viv e. Deuxième écho : l’e gage e t A pa ti de ette d fi itio du ha is e, o o p e d ue l’e gage e t ne peut pas consister à repérer ce u’il a de o ou de pe fo a t e oi pou le ett e au se vi e des aut es, à la dispositio de la fraternité. Pou o p e d e le lie e t e ha is e et e gage e t, il faut li e u passage de l’e seig e e t du concile Vatican II sur la révélation divine. Dans la constitution dogmatique Dei Verbum au chapitre premier : « Il a plu à Dieu dans sa sagesse et dans sa bonté de se révéler en personne, et de faire connaître le st e de sa volo t , g â e au uel les ho es pa le Ch ist, ve e fait hai , a de t da s l’Esp it saint auprès du Père et sont rendus participants de la nature divine. Dans cette révélation, le Dieu invisible s’ad esse au ho es e so i e se a ou ai si u’à des a is, il s’e t etie t ave eu pou les i vite et les admettre à partager sa propre vie ». Dieu se donne en person e. Cela veut di e à la fois u’il le fait luie et ue e u’il do e, ’est sa p op e pe so e. Il est à la fois le do ateu et le do . Il do e sa « propre vie », o e la pe da t, ais e ous pe etta t de viv e de sa vie. C’est ela u ha is e, ce ui i pli ue u e o u io ave Dieu pou u’il puisse ous t a s ett e sa p op e vie. Ce do e el ve pas d’u e seig e e t, d’u e liste de d ets, ais plutôt du st e : il nous fait vivre de son propre mystère, il nous met en contact avec sa vie elle-même. Ce que nous décrit ce texte, plein de tendresse, ’est une intimité avec Dieu, une plongée dans le monde relationnel de Dieu. Et on découvre deux éléments importants pour notre réflexion : Premier élément : la foi e ’est pas adh e à u e seig e e t, ais ’est o se ti à Dieu ui ous do e sa vie. La foi, ’est di e « oui » à Dieu et donc prendre un engagement envers Dieu. Deuxième élément : pour consentir à ce don, il faut prendre position en faveur du don. Cela est bien développé notamment dans la première lettre de Jean au paragraphe 5 versets 9 à 13 : « Nous acceptons bien le témoignage des hommes ; or, le témoignage de Dieu a plus de valeur, puisque le t oig age de Dieu, ’est elui u’il e d à so Fils. Celui ui et sa foi da s le Fils de Dieu possède en luimême ce témoignage. Celui qui ne croit pas Dieu, celui-là fait de Dieu u e teu , puis u’il ’a pas is sa 2 foi dans le témoignage que Dieu rend à son Fils. Et ce témoignage, le voici : Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils possède la vie ; elui ui ’a pas le Fils de Dieu e possède pas la vie. Je vous ai écrit cela pour que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui mettez votre foi dans le nom du Fils de Dieu. » Le do est d jà fait, et si vous o ez au fils de Dieu ’est ue vous tes e gag s e faveu de e do . Il est do agissa t e vous. O passe du t oig age à la vie. Et le passage du t oig age à la vie, ’est l’a te de foi, l’e gage e t de foi. On peut eli e l’Éva gile de Jea o e u p o s, ui a outit à u e o da atio . Ce p o s, Dieu le casse en ressuscitant Jésus. Et nous dans ce procès, nous avons un rôle de témoin. On peut rendre témoignage au Christ en vivant de sa vie. Nous nous retrouvons au pied de la croix avec deux attitudes possibles : « si tu es le fils de Dieu, sauve toi toi-même ». C’est l’attitude de Sata da s l’Éva gile de Lu : « si tu es le fils de Dieu, ha ge es pie es e pai … ». L’aut e attitude est elle du e tu io au pied de la croix : « vraiment, celui-ci était le fils de Dieu ». Not e o se te e t, lo s u’il s’e p i e pa « vraiment tu es le fils de Dieu », nous fait vivre de la vie même de Dieu puisque « nul ne peut dire Jésus Christ est seig eu si e ’est pa l’Esprit Saint » (1 Co 12, 13) Troisième écho : la médiation Cha u de ous a des do s, ui doive t tous s’e p i e , pe so e ’a le d oit d’ t e passif da s u e o u aut h tie e. Mais le do ’est pas ua tifia le, il d pe d de so a o plisse e t e ous, de ot e e gage e t, de ot e o se te e t. Si le ha is e est u do de Dieu pou l’ difi atio de la o u aut , il s’agit do de se e d e dispo i le. Pa a alogie, o peut se de a de : comment cet engagement dans la fraternité éducative La Salle me détermine comme étant à la disposition des autres, pour que les autres puissent pleinement eux-mêmes prendre vraiment leur part dans la mission qui est elle de la o u aut du ative et ui est o u e à tous f. statuts de l’E seig e e t Catholi ue). Si un charisme comme participation à la vie divine relève bien de la même vie divine, il en est une expression particulière. Car pour se déployer, le don de Dieu dans sa richesse et sa diversité, a besoin de médiation. Pour illustrer cela, il faut se reporter au chapitre 2 des Actes des Apôtres partagé en trois temps : la description des évènements (Ac 2, 1-13), la première homélie de Pierre (Ac 2, 14-36), les premières conversions et la vie des premiers chrétiens (Ac 2, 37-47). L’appa e te o fusio da s la des iptio des v e e ts, et l’e ploi d’a alogies app o i atives ous e voie à la diffi ult de d i e pou d’aut es e ue la vie de l’Esp it p oduit e ous. Mais o peut ote da s le d oule e t de e it, ue d’a o d, ela p ovo ue u assemblement (Ac 2, 6a), chacun entend les apôtres parler sa propre langue (Ac 2, 6b). Puis ils disent « chacun de nous » (Ac 2, 8), pour finir par dire « nous » A , . Ce ue p oduit l’Esp it de a i e lai e, da s le vo a ulai e tout au oi s, ’est un « nous ». C’est une communion. L’ho lie de Pie e est t s o st uite. Il elit les itu es : le prophète Joël (Ac 2, 14-21) et le patriarche David (Ac 2, 22-36) pour expliquer ce qui est en train de se passer : non, ces gens ne sont pas ivres, mais ils agisse t sous l’effet de l’Esp it ui est pa du da s le o de, ai si ue l’a dit le p oph te Joël, et ’est le signe que Jésus est ressuscité, comme le dit David. Dans cette homélie, Pierre fait deux choses. D’a o d il qualifie le « nous ». Il e ploie d’a o d u e d sig atio g og aphi ue e disa t « hommes de Judée, et vous tous qui résidez à Jérusalem » (Ac 2, 14), puis une désignation religieuse « Israélites » (Ac 2, 22) et enfin il dit « Frères » (Ac 2, 29). Voilà le « nous » ui s’e p i ait tout à l’heu e, ’est u e f ate it . Et il fait une deuxième chose : il pla e eu ui l’ oute t au pied de la oi . Il les e d t oi s de la su e tio du Christ en leur disant : alors vous y croyez vous que Jésus est le Christ et le seigneur ? 3 Dans un troisième temps, les auditeurs demandent à Pierre et aux autres apôtres : « Que ferons-nous, frères ? » (Ac 2, 37) On voit bien au passage que la relation entre « nous » et « frères » est bien établie. Et par la suite, Pierre les engage dans la question des médiations. La première des médiations est le baptême. Et là il est i po ta t de p ise u’il a u e p ise da s la t adu tio de la TOB ui dit : « il y eut environ trois mille personnes ce jour-là qui se joignirent à eux ». Ce qui laisse entendre que les personnes d ide t d’eu es de ejoi d e les apôt es, o e o d ide de fai e pa tie d’u lu de p ta ue ! Or dans le texte grec, le verbe est à la voie passive ce qui pourrait donner : « il y eut trois mille personnes ce jour-là qui furent jointes à eux ». On pourrait dire aussi « qui furent adjointes à eux » ou même, dans une traduction encore plus littérale : « qui furent agglutinées à eux ». Mais dans un premier temps, Luc (à ui o att i ue l’ itu e des A tes des Apôt es e po d pas à la uestio « qui » (les a adjoints, ou agglutinés ?) mais il à la question « comment » (vivent-ils ?) (Ac 2, 42-47). Les termes communion, unis, tout en commun, renvoient au mot grec « Koïna » qui donne « Koïnonia » c'est-à-di e o u io . C’est ça qui fait le « nous » do t ils pouvaie t pa le ava t le apt e d jà. Puis vie t la des iptio d’u e o u aut h tie e la da, où l’o voit e u’ils fo t. Et da s le dernier verset (47) on retrouve le verbe adjoindre : « Et le Seigneur adjoignait chaque jour à la communauté ceux qui trouvaient le salut » mais cette fois à la forme active, et le sujet de ce verbe est le Seigneur. Nous ne décidons pas par nousmêmes de fai e Église, ais ’est Dieu ui ous o stitue o e l’Église e a t e t e ous u lie de communion. Et il créé ce lien par les actes qui nous font consentir à son action : oute l’e seig e e t des apôtres, être fidèles à la communion fraternelle, rompre le pain, prier, mettre tout en commun, louer Dieu... Il y a des pratiques concrètes qui sont autant de médiations par lesquelles se rejoignent le don de Dieu et notre consentement, donc les médiations qui nous font vivre de la vie de Dieu. Et de fait, p ie ’est o se ti à l’esp it du Ch ist e ous, l e l’Eu ha istie, ’est ie o u ie et viv e de la vie ue Dieu ous o u i ue, oute l’É itu e ’est ie oute le Ch ist lui-même qui parle et enfin, mener une vie fraternelle en donnant à manger à celui qui a faim, à boire à celui qui a soif, en couvrant celui qui est nu, en visitant celui qui est prisonnier, en soignant celui qui est malade, en éduquant le pauvre (pour nous incorporer au dispositif), en faisant grandir en liberté celui qui nous est confié ou qui se confie à nous ou u’o d ide de p e d e e ha ge, et ie ’est le fai e pou le Ch ist. (Mt 25, 31-46). Et ’est là ue l’o peut pa le d’u ha is e o e uel ue hose. La question de ces médiations, pour penser la dyna i ue ha is ati ue pa e e ple d’u e f ate it du ative, à o ditio ie sû u’o e la pe se pas e d pe da e d’u e pl itude ha is ati ue lasallie e ui se ait elle des f es, et puis vous vous avez les iettes ui to e t de la ta le... Si ’est ensemble porter quelque chose et en vivre, alors cela veut di e u’il faut ue les laï s de la F ate it Édu ative La Salle vive t des es diatio s ue elles qui font vivre les frères. Là il y a une tradition, c'est-à-dire un ensemble de médiations spécifiques qui passe pa des p ati ues, u vo a ulai e, des a i es de fai e u’il faut a u i . Qui e so t epe da t pas distinctes du baptême, mais qui en constituent un des déploiements possibles. Toutes ces pratiques pa ti uli es ui fo t u’u f e des oles h tie es, e ’est pas u j suite, i u f e de Ploë el... C’est ça le p i ipe ha is ati ue. Alo s u e f ate it , ’est p is e t se do e les o e s pa ti ulie s de viv e de es diatio s-là. Conclusion : la responsabilité En guise de conclusion, il faudrait rajouter après charisme, engagement, médiation, la notion de responsabilité parce que cela fait partie des choses qui vous préoccupent. Dans ce récit de la Pentecôte, Pie e ’est pas le hef, ais uel u’u ui a auto it . Cette auto it pe et d’u e pa t de e vo e à la Pa ole de Dieu, à l’É itu e, et d’aut e pa t, de e vo e ha u à sa p op e espo sa ilit . « Il en a fait le Christ et le seigneur », ai te a t ’est à vous, da s le p o s de J sus, de deve i t oins. A ceux qui le 4 questionnent, Pierre dit de prendre leurs responsabilités : « convertissez-vous et recevez le baptême ». La espo sa ilit au sei de la f ate it du ative La salle passe d’a o d pa u e la ifi atio et u dialogue clair. Le charisme est vécu par les frères et les laïcs, les frères gardent leur place spécifique, mais le charisme est enrichi par la manière dont les laïcs le vivent dans la fraternité éducative La Salle. Cela nécessite un dialogue responsable entre membres des fraternités, laïcs et frères. La responsabilité des f ate it s ’est aussi d’ t e ga a ts des diatio s sp ifi ues au ha is e, envers les membres qui sont engagés dans les fraternités, mais aussi pour tous les autres membres des communautés éducatives pour u’ils soient vraiment acteurs à la manière dont sont acteurs les disciples du Christ qui suivent l’e seig e e t et la a i e de fai e p opos s pa Jea -Baptiste de La Salle. Pie e est au ilieu des douze, do il est ie e e, il est toujou s e e de l’Église, mais il e t etie t u e fo e d’e t io it pou pouvoi p is e t appele au aut es uelles so t les diatio s sp ifi ues, ue le do il vie t de Dieu appo t à l’É itu e et u’il est pou les aut es appo t au baptême). Tout cela devrait aide à gule la uestio de l’e gage e t pou la F ate it Édu ative la Salle. Pa e ue s’il a dive sit de do s il y a diversité des expressions et des liens aux médiations et donc diversité de l’e gage e t. Le ha is e, ’est le o t ai e d’u oule et ’est o al. Cela peut je l’esp e, peut-être vous pe ett e de la ifie aussi pa e e ple le appo t à la tutelle et la atu e du dialogue ue l’o peut e t ete i ave le p i ipe de tutelle, pa e e ple ave la du e de l’e gage e t … Et je ois vraiment ue ’est à pa ti de e iveau fo da e tal là u’il faut le fai e et pas si ple e t o e u e o ga isatio pratique et on va voir si ça marche. Parce que les enjeux sont trop considérables. 5