Recherche - École des Mines de Saint

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Recherche - École des Mines de Saint
SAINT-ÉTIENNE
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2013
www.mines-stetienne.fr
I N S P I R I N G I N N O VAT I O N I I N N O VA N T E PA R T R A D I T I O N
2
Sommaire
Stratégie, projets, événements
Mot du directeur
Stratégie et engagements de l’École
Les grands projets de l’École
Les événements marquants de 2013 L’Institut Mines-Télécom
dévoile une stratégie ambitieuse
3
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6
8
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Relations avec le monde économique et la société
La Direction des Relations
avec le Monde Économique en action
L’entrepreneuriat au cœur de l’École des Mines
Centre de culture scientifique, technique et industrielle
Le monde : le terrain de jeu préféré de nos ingénieurs
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Formation
Une offre de formation à l’image de la diversité
du monde économique et de ses besoins
Cursus ICM, Ingénieur Civil des Mines
Cursus ISMIN, Ingénieur Spécialisé en Microélectronique,
Informatique et Nouvelles technologies
Formations d’ingénieurs sous statut salarié La formation continue et les mastères spécialisés
Masters Recherche 16
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Recherche
Une recherche au service des acteurs économiques
de la société
Les principales missions de la recherche
Institut Henri Fayol Centre CIS : Ingénierie et Santé
Centre SPIN : Sciences des Processus Industriels et Naturels
Centre SMS : Sciences des Matériaux et des Structures
Centre Microélectronique de Provence
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Chiffres clés
Données clés de la recherche
Éléments budgétaires
Chiffres clés du bilan social
Rapport d’Activité 2013
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3
Stratégie, projets, événements
Le mot du directeur
“Made in France…”
Philippe Jamet
Directeur
Ce titre en forme de clin d’œil fait écho à la loi
pour l’enseignement supérieur et la recherche
du 22 juillet 2013 qui rend licite l’usage de la
langue anglaise dans l’enseignement supérieur.
Il veut signifier qu’il est possible, pour notre
pays, d’assumer une vision ambitieuse de
sa culture, tout en s’adaptant aux réalités de
la mondialisation, mais il traduit aussi cette
conviction que les formations d’excellence
“à la française”, au premier rang desquelles,
les formations d’ingénieurs, ont vocation
à conquérir le monde.
En matière de rayonnement mondial, les
Écoles des Mines savent de quoi elles parlent,
elles qui exportèrent très tôt leur modèle et
généralisèrent avant l’heure les parcours à
l’international comme méthode pédagogique.
Aujourd’hui, l’internationalisation passe par
l’accueil croissant d’étudiants talentueux.
D’ailleurs en 2013, et ce n’est pas la moindre de
nos satisfactions, Mines Saint-Étienne a battu
son propre record qualitatif et quantitatif
d’admissions sur titres étrangers en 2e année
du cycle Ingénieur Civil des Mines.
Elle se mesure aussi à la visibilité des travaux
de recherche et à la reconnaissance des
enseignants-chercheurs par leurs pairs
mondiaux. Dans ce domaine, l’École des Mines
a enregistré de très beaux succès durant
l’année passée. Vous pourrez en découvrir
certains, dans les domaines du design, de la
bioélectronique, de la santé et bien d’autres
encore, en feuilletant ces quelques pages.
Elle s’est aussi distinguée par des initiatives
originales, comme la délivrance du doctorat
Honoris Causa de l’institut Mines-Télécom
au professeur Henry Mintzberg, de l’université
McGill.
Être ouvert au monde est très exigeant. Ainsi,
l’offre de formation se doit d’être unique dans
la définition de son projet, sans faute dans la
qualité de ses contenus et innovante dans ses
méthodes pédagogiques. C’est dans cet esprit
que l’École a lancé, en 2013, une réforme en
profondeur du cycle Ingénieur Civil des Mines,
qui constitue depuis près de deux siècles
son parcours “phare”, avec pour objectif une
maquette totalement rénovée dès la rentrée
2014.
Ces réalisations à l’international sollicitent
fortement la “machine École”. Elles demandent
un effort important au niveau des ressources,
humaines comme budgétaires, une gageure
dans le contexte actuel… Si l’École est en
mesure de soutenir cet effort, c’est aussi par
la qualité de ses fonctions de “back-office”,
traditionnellement oubliées dans les rapports
d’activité, mais auxquelles je tiens à rendre
un hommage particulier.
L’international n’est bien sûr pas une fin en
soi pour une École Nationale… Connaître le
monde, le comprendre et en devenir familier
est une condition nécessaire de la prospérité
des nations. C’est cette réalité que M. Arnaud
Montebourg, ministre du redressement
productif, en visite à l’École le 18 mars 2013,
a voulu rappeler en qualifiant nos élèves de
“combattants du Made in France”.
Puisse ce rapport vous convaincre qu’il existe,
décidément, un “made in Mines Saint-Étienne”,
et qu’il vous donne envie d’en savoir plus sur
une École résolument différente…
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Stratégie, projets, événements
Contact
Michel Cournil / [email protected]
Stratégie et
engagements de l’École
L’objectif essentiel et fédérateur de l’École
des Mines de Saint-Étienne est la satisfaction de
ses parties prenantes (stakeholders) que sont :
les élèves (élèves-ingénieurs, élèves-chercheurs)
et anciens élèves,
les entreprises,
l’État (stratégie nationale de recherche et
d’innovation),
la société (développement des territoires).
Ceci au travers des trois missions
qui lui sont dévolues :
Formation,
Recherche,
Appui au développement économique.
La stratégie de l’École vise ainsi trois grands objectifs
cadres permettant de faire progresser quantitativement
et qualitativement le retour vers ses “clients” des activités
de l’École. L’année 2013 a été marquée par des réalisations et progrès importants en direction de ces objectifs.
Objectif 1 > l’excellence sur tous nos produits
Objectifs
Pour développer et mettre en œuvre
une politique visant l’excellence pour chacune
de ses marques dans son domaine en s’appuyant
sur l’établissement, ses organismes privés
partenaires (ISTP, ARMINES), l’Institut
Mines-Télécom et les partenaires de site.
Réalisations/progrès
Nos diplômés Ingénieurs Civils des Mines se positionnent comme les futurs
leaders de la reconquête industrielle (Focus encarté, page A)
Le cursus ISMIN devient résolument international et se valorise autour
de 4 compétences d’excellence (page 18)
Les formations sous statut salarié de l’EMSE s’imposent comme un modèle
pour l’Institut Mines-Télécom (page 19)
Les compétences et moyens de l’École sont mobilisés autour de 6 thématiques
scientifiques transverses et 3 projets phares (pages 6 et 7)
Objectif 2 > la performance comme levier de progrès interne
Objectifs
Pour déployer à tous les niveaux de
l’organisation une culture et des pratiques de
PME de l’enseignement supérieur, compacte,
agile, innovante et à l’écoute des entreprises
et au service du tissu économique régional,
national, international.
Réalisations/progrès
L’École finalise son dossier pour l’obtention du label Responsabilité Sociétale
des Entreprises (RSE) de la CGE/CPU
Les préconisations du plan d’actions fonction support sont mises en application
sous forme de procédures et organisations nouvelles au service de la qualité
et de la performance globale
Le plan directeur des Systèmes d’Information est mis en place progressivement
dans tous les secteurs de l’École
Objectif 3 > les partenariats externes, sources de légitimité et de visibilité
Objectifs
Pour développer et animer un réseau
de partenariats actifs et diversifiés, pour
conforter notre vocation et notre rayonnement
d’institution d’enseignement supérieur et de
recherche de rang international, tout en étant
au service du développement économique.
Rapport d’Activité 2013
Réalisations/progrès
Tous les départements des Centres de Formation Recherche appartiennent
à une unité de recherche labellisée (CNRS, INSERM…) ou sont en cours
de finalisation d’un partenariat (cf. cahier Recherche : pages 22 à 28)
Organisation
Philippe JAMET,
directeur
Rachel VITANI,
secrétaire générale
Michel COURNIL,
directeur adjoint
Christian ROUX,
directeur adjoint chargé
de la recherche et de l’innovation
Xavier OLAGNE,
directeur adjoint chargé
des formations
sous statut étudiant
Cyril Faure,
directeur des relations
avec le monde économique
David DELAFOSSE,
directeur du centre
Sciences des Matériaux
et des Structures
Christian BRODHAG,
délégué au développement
durable
Agnès DUC-EMERIAT,
responsable du
programme mécénat
Christophe PIJOLAT,
directeur du centre
Sciences des Processus
Industriels et Naturels
Aurélien ROTH,
délégué à la communication
Stéphane DAUZERE-PERES,
directeur du Centre
Microélectronique
de Provence
David VARENNE,
délégué par intérim
à la documentation
et au patrimoine
Stéphane AVRIL,
directeur du Centre
Ingénierie et Santé
Arnaud ZOHOU,
directeur du CCSTI
La Rotonde
Bruno Léger,
directeur de l’Institut
Henri Fayol
Composition du Conseil d’Administration
de l’École des Mines de Saint-Étienne
Président
Sur proposition du ministre chargé
de l’enseignement supérieur
François GERIN,
directeur général adjoint de SIEMENS
Françoise MOULIN-CIVIL, rectrice de l’académie de Lyon
Collège des personnalités compétentes
Collège des représentants des élèves
Julie BADICHE, directrice Flux de Marchandises
et présidente d’EASYDIS (Groupe CASINO)
Collège des élèves titulaires & des élèves
en spécialisation diplômante
Christian COFFINET, président de l’Association des
Ingénieurs Civils de l’école des Mines de Saint-étienne
Loïc BOIS (ISFEN)
Sybille DESCLOZEAUX, directrice générale d’ERTM
(Études & Réalisations Techniques et Mécaniques)
présidente du CESER
Marc LASSUS, fondateur de GEMPLUS,
consultant en technologies innovantes
Brigitte PLATEAU, administrateur général de l’INPG
Dieter WEICHERT, directeur de l’Institut de mécanique
générale à Aachen (Allemagne)
Collège des représentants
des personnels de l’établissement
Pierre ZIGRAND (ICM 2e année)
Collège des élèves-chercheurs
David PERRIN (CIS)
Collège des représentants
des collectivités territoriales
Conseil Régional Rhône-Alpes représenté
par Jean-Louis GAGNAIRE
Conseil Général de la Loire représenté par Henri NIGAY
Saint-Étienne Métropole
représentée par René VASSOILLE
Collège des professeurs : Jean-Charles PINOLI
Collège des enseignants-chercheurs : Johan DEBAYLE
Collège des ATOS : Stéphanie JAVELLE
Collège des représentants de l’état
Au titre du ministre du redressement productif
Emmanuel CAQUOT, chef de la mission de tutelle
des écoles au CGEIT (Conseil Général de l’Économie,
de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies)
Coralie OUDOT, sous-directrice des ressources humaines
ministérielles au secrétariat général du ministère de
l’économie, des finances et de l’industrie et du ministère
du budget, des comptes publics et de la réforme de l’état
Philippe NICOLAS, directeur régional des entreprises,
de la concurrence, de la consommation, du travail et
de l’emploi (DIRECCTE)
Sur proposition du ministre chargé du budget
Marc CANO, directeur départemental des finances
publiques de la Loire
Sur proposition du ministre chargé de la recherche
Sophie JULLIAN, déléguée régionale à la recherche
et à la technologie pour la région Rhône-Alpes
Participants de droit avec voix consultative
Mines Saint-Étienne :
Philippe JAMET, directeur
Michel COURNIL, directeur adjoint
Xavier OLAGNE, directeur adjoint chargé
des formations sous statut étudiant
Christian ROUX,
directeur adjoint chargé de la recherche
et de l’innovation
Rachel VITANI, secrétaire générale
Eric PREISS, contrôleur budgétaire en région
Anne-Sophie CHAMBON, agent comptable
Institut mines-télécom :
Jean-Claude JEANNERET, directeur général
Stratégie, projets, événements
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Stratégie, projets, événements
Contact
Michel Cournil / [email protected]
Les grands projets de l’École
L’École des Mines de Saint-Étienne dispose d’une
part d’un potentiel humain et matériel de grande
qualité, d’autre part, d’un réseau de grande
ampleur dans les mondes scientifique et économique qui lui permettraient d’aborder avec succès tout un ensemble de thématiques et sujets. Il
n’en demeure pas moins que l’âpreté actuelle de
la concurrence dans l’enseignement supérieur et
la recherche et la rigueur des conditions économiques ainsi qu’un souci d’efficacité et de visibilité
accrues incitent l’établissement à se rassembler
autour de quelques thématiques prioritaires et de
projets phares.
Le caractère généraliste de l’École et l’ampleur de son
audience scientifique et technique n’en sortent pas
amoindris, bien au contraire, car les sujets et domaines
retenus ont été identifiés sur des critères d’excellence
scientifique, pertinence économique et en tant que
sources d’innovation. Par ailleurs, la majorité d’entre eux
sont des sujets d’interface et perpétuent ainsi la vocation
bientôt bicentenaire de l’École à s’investir sur des projets
pluridisciplinaires et les valoriser en termes de formation
et soutien au développement économique.
Les 3 projets phares :
Biomécanique des tissus mous
La thématique “biomécanique des tissus mous” vise à
développer des modèles numériques qui représentent
de manière fidèle la résistance et le comportement mécanique des tissus mous du corps humain. Les tissus mous
sont la matière qui constitue les artères, les veines, les
muscles, les ligaments ou la peau. Leurs propriétés mécaniques sont très variables et la caractérisation de ces propriétés, notamment via l’imagerie médicale, fait l’objet de
recherches intenses dans le monde. Le CIS de l’École est
aujourd’hui l’acteur incontournable au niveau national sur
ce domaine et nous ambitionnons d’en être les leaders au
niveau européen sur les applications médicales.
Les applications médicales sont le moteur de nos
recherches, ce que motive la future implantation du CIS
sur le pôle santé à côté du CHU de l’Hôpital Nord de SaintÉtienne début 2015. Ces applications médicales sont le
diagnostic et le traitement personnalisés de certaines
maladies cardiovasculaires ou ostéo-articulaires comme
les anévrismes aortiques, l’insuffisance veineuse, la lombalgie, l’arthrose...
Parmi les principales applications industrielles, la prédiction de l’action biomécanique des textiles médicaux, fait
l’objet de nombreuses collaborations en cours. Le bassin
ligérien, qui concentre 60 % de la production nationale des
textiles médicaux, est le leader européen sur ce secteur.
La chaire industrielle “Aortic Lab” en cours de création, qui
porte sur la prévention des ruptures d’anévrismes, nous
permettra d’augmenter notre impact dans la recherche
médicale et le transfert de technologies dans ce domaine.
Design et création industrielle
Le design est une pratique née avec l’industrie, qui évolue
avec elle. Aujourd’hui, c’est un des leviers de création de
valeur et de relocalisation des activités industrielles. Les
actifs immatériels constituent une part croissante du patrimoine des entreprises et il y a un enjeu majeur à faire
collaborer efficacement ingénierie, création de valeur
et design. Portée par la dynamique du territoire stéphanois qui a fait du design un vecteur de transformations
urbaines, l’École a élaboré en 2008 un projet original
d’enseignement et de recherche autour de la co-création
entre design et ingénierie qui a acquis en 2013 une nouvelle dimension.
Initié en 2010, un partenariat stratégique avec la faculté
de design du Politecnico de Milan (plus grande école de
design d’Europe) s’est concrétisé en 2013 par un accord
de double diplôme de doctorat en Design et Science des
Matériaux.
Cartographies de perception des matériaux et traitements de surface.
L’enjeu est de décliner des perceptions prescrites par le design en
spécifications techniques opérables en production et contrôle qualité.
À terme une ‘“ingénierie inverse” des sensations sera possible.
La recherche et le transfert vers l’industrie
se déploient suivant trois directions :
L
a métrologie, le prototypage
et le design sensoriels (figure),
L
’ingénierie de la valeur perçue,
Figure : simulation numérique du traitement d’un anévrisme
aortique par pose d’une endoprothèse
Rapport d’Activité 2013
L
es matériaux et surfaces fonctionnelles
pour le design.
En formation, les innovations pédagogiques expérimentées depuis 2008 ont débouché en 2013 sur la création
d’un Master pluridisciplinaire unique en France (Master
“Prospectives Design” co-conçu avec l’Université Jean
Monnet et l’École d’Art et Design de Saint-Étienne). En
2015 , un défi sociétal “Design et création industrielle”
sera proposé aux élèves Ingénieurs Civils des Mines dans
la nouvelle maquette du cycle.
Au niveau citoyen : des préférences sociales pour les
productions locales naissent du souhait de réduction
des empreintes écologiques individuelles, mais aussi de
la prise de conscience des risques liés à une trop forte
dépendance globale. La prise de responsabilité individuelle et collective des habitants doit donc être considérée comme un des enjeux de l’action publique, au même
titre que l’emploi ou le développement économique.
Industrialisation durable
des territoires
Aujourd’hui, des territoires, des entrepreneurs et des
industriels innovants ont d’ores et déjà intégré ces changements et proposent déjà des solutions opérationnelles.
L’Institut Henri Fayol se mobilise sur le thème de l’industrialisation durable des territoires, afin d’y maintenir
une activité économique à la fois performante, pourvoyeuse d’emplois et responsable vis-à-vis de l’environnement et de la société.
Cet objectif se décline à trois niveaux : le territoire,
l’entreprise et le citoyen.
Au niveau territorial : Le développement d’une économie verte fondée sur la valorisation de ressources
renouvelables, réparties et de faible intensité donne un
rôle nouveau aux territoires. Des politiques territoriales
basées sur des logiques d’écologie industrielle et de
transition énergétique favoriseront l’émergence de tels
réseaux.
Au niveau des entreprises : les leviers environnementaux et sociétaux constituent des facteurs de différenciation ainsi que des opportunités de réduction de coûts
et de gains en compétitivité. La concrétisation de ces
opportunités passe par la maîtrise sur les plans informationnels, organisationnels et décisionnels de l’intégration de critères de performance plus globaux.
Les 6 thématiques
prioritaires de l’École
L
’énergie
a santé
L
Les processus de création,
d’innovation et de design
Les transports
La micro-électronique
L’optimisation de la performance
globale des entreprises et des organisations
Photo
Stratégie, projets, événements
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Stratégie, projets, événements
Contact
Aurélien Roth / [email protected]
Les événements
marquants de 2013
26 janvier
12 avril
Remise des diplômes des Ingénieurs Civils des Mines,
parrainée par M. Gilles Auffret (directeur général de Rhodia
et président de Solvay).
M. Claude Bartolone, président de l’Assemblée Nationale,
effectue un déplacement dans la Loire pour une visite officielle consacrée à l’excellence industrielle et à l’emploi.
À cette occasion, il visite les locaux de l’ISTP/IRUP implantés
au sein du Campus Industriel.
8 février
Remise des diplômes des Ingénieurs de Spécialités Génie
Industriel et Génie des Installations Nucléaires, parrainée
par M. Pascal Berthuet, directeur du Centre d’Excellence
Industriel Systèmes de Navigation et de Guidage de Sagem
Défense Sécurité – Groupe SAFRAN.
17 mai
Inauguration de l’Institut Henri Fayol
Le centre d’enseignement et de recherche dédié à la performance industrielle porte le nom d’un illustre ancien élève
de l’École (1841-1925) et l’un des pères du management
moderne. Un séminaire scientifique sur les “Mutations
numériques et environnementales au service de la performance industrielle”, était organisé à cette occasion.
18 mars
Accueil de M. Arnaud Montebourg, ministre du
redressement productif
Dans le cadre de la Biennale internationale du design à SaintÉtienne et du lancement officiel de la semaine nationale de
l’Industrie, la délégation ministérielle a rencontré de nombreux élèves-ingénieurs, professeurs et dirigeants de l’École
et membres du personnel. Le ministre a “rendu hommage
aux combattants du Made in France”.
17 mai
Le professeur Henry Mintzberg, titulaire de la chaire
leghorn à la faculté d’administration de l’Université McGill à
Montréal reçoit le titre de Docteur Honoris Causa de l’Institut
Mines-Télécom, remis par M.
Jean-CLaude Jeanneret, directeur général de l’Institut MinesTélécom et M. Philippe Jamet,
directeur de l’EMSE.
Rapport d’Activité 2013
9 juillet
Fusion réussie des deux Unités Mixtes de Recherche CNRS
en une seule entité. Inauguration du Laboratoire Georges
Friedel du nom d’un grand minéralogiste, ancien professeur
et directeur de l’École des Mines de Saint-Étienne de 1907
à 1919.
Cette unité mixte de recherche (CNRS UMR 5307, matériaux / procédés / mécanique) regroupe près de 200 personnels de l’École.
5 et 13 novembre
Visites des campus des universités partenaires de l’EMSE
à Hong Kong et Taiwan : HKUST, Faculty of Engineering ;
NTU Faculty of Engineering, Faculty of Electrical Engineering and Computer Science.
Concrétisation des pistes de coopération : accueil des premiers étudiants de Hong Kong et Taiwan en mobilité, respectivement en février et septembre 2014, et initiation de
nouvelles collaborations en recherche dans le domaine des
matériaux pour la santé.
4 octobre
Remise des diplômes des ingénieurs de spécialité ISFEN à
Gardanne, par M. François Gérin.
Mission en Asie de Mme Elisabeth Goutin, DFE
et M. Jean Geringer, CIS
16 novembre
26 novembre
Remise des diplômes des Ingénieurs Spécialisés en Microélectronique, Informatique et Nouvelles technologies
(ISMIN), parrainée par M. Pierre Benard, président de Thalès TDA Armements.
L’École des Mines de Saint-Étienne et l’EMLYON
Business School signent un accord de double diplôme.
Ce double cursus Master of Science in Management/Ingénieur Civil des Mines est particulièrement prisé des recruteurs. Ce partenariat est effectif dès la rentrée 2014.
16 décembre
À l’initiative du ministère de
l’Écologie, du Développement
durable et de l’Énergie, le Site
Georges Charpak a l’honneur
d’accueillir “la conférence de
mise en œuvre de l’économie
circulaire” sous la présidence du
ministre Philippe Martin qui a
ouvert la journée de travail.
M. Bruno Bonnell, président d’EMLYON Business School
et M. Philippe Jamet, directeur de l’EMSE
Stratégie, projets, évènements
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Stratégie, projets, événements
Contact
Michel Cournil / [email protected]
L’Institut Mines-Télécom
dévoile une stratégie ambitieuse
Après la création de l’Institut Mines-Télécom en
2012, ce dernier a dévoilé en 2013 sa stratégie
d’ensemble pour les quatre prochaines années.
C’est le résultat d’un travail collectif d’envergure avec l’ensemble des écoles, dont bien sûr
l’École des Mines de Saint-Étienne.
Répondre aux défis scientifiques
de notre société en mutation :
Ce travail a duré plus d’un an
et a débouché sur la définition de
quatre grandes orientations :
renforcer le dynamisme de nos incubateurs et former les
“combattants du Made In France“ comme les qualifiait
M. Montebourg, ministre du redressement productif, en
parlant des étudiants lors de sa venue à l’École des Mines
de Saint-Étienne en mars 2013.
Former des ingénieurs et des managers
pour les décennies à venir :
cela passe notamment par la diversification des recrutements d’étudiants, la reconnaissance et le développement
des formations par alternance (via une grande étude sur
les formations d’ingénieur sous statut salarié en France,
pilotée par la DRME de l’École) et par des pratiques pédagogiques innovantes et adaptées aux nouveaux besoins
(lancement des MOOC notamment).
dans sa nouvelle mouture, le cycle ICM prévoit de faire
travailler les étudiants sur huit grands défis sociétaux.
Être un catalyseur du développement
économique :
Devenir un acteur mondial :
accroître la diversité des origines géographiques et le
nombre de nos étudiants étrangers, et ceci tout en préservant un très haut niveau de recrutement.
FOCUS
Retour sur le 2e colloque de l’Institut
Mines-Télécom sur le thème de
l’énergie
C
e colloque s’est déroulé les 30 et 31 mai dans les
locaux de Mines ParisTech,
C
ette manifestation, organisée dans le cadre du
débat national sur la transition énergétique a été
l’occasion pour les chercheurs de l’Institut MinesTélécom, de faire le point sur les travaux engagés
sur le thème de l’énergie et d’envisager de futures
collaborations,
Rapport d’Activité 2013
T
rois thèmes étaient présentés : l’efficacité énergétique, les réseaux du futur et les énergies renouvelables,
D
eux tables rondes ont réuni des industriels du
secteur afin de débattre autour de ces thèmes et de
présenter leur vision sur l’évolution du marché de
l’énergie,
A
u total 170 participants, enseignants-chercheurs
et industriels, se sont retrouvés pour assister aux
12 conférences et échanger autour des 75 posters
exposés.
Contact
Cyril Faure / [email protected]
La Direction des Relations
avec le Monde Économique
en action
Créée en 2012, la Direction des Relations avec le
Monde Économique (DRME) assure une mission
de soutien au développement des entreprises et
joue un rôle important dans leur accompagnement vers l’excellence et l’innovation.
En 2013, la DRME a promu l’offre de services de l’École
en matière d’enseignement, de recherche et de transfert
de technologie et assuré le suivi des relations avec les
entreprises souhaitant nouer un partenariat plus étroit
avec l’École des Mines, notamment des PME et ETI du
territoire.
Le développement de synergies avec les branches professionnelles, les pôles de compétitivité et clusters, a
permis de faire entrer dans l’École des entreprises qui
naturellement n’osaient pas la solliciter sur des problématiques industrielles.
Comment les entreprises
investissent l’École
Stages, projets tutorés, activités de recherche, transfert
de technologie sont autant de sujets qui permettent aux
grandes entreprises et aux PME et ETI de tisser des liens
étroits avec l’École et d’investir l’espace collaboratif ainsi
créé.
Grâce à l’ouverture vers les PME et la mise en réseau de
celles-ci avec les Centres, l’École a accueilli en 2013 des
entreprises intéressées pour nouer des relations renforcées dans le temps (accueil de stagiaires, projets collaboratifs avec les centres…).
Les grandes entreprises investissent Mines Saint-Étienne
et notamment la société SIEMENS, très présente, par
la présidence du Conseil d’Administration de l’École,
M. François Gerin, directeur général adjoint.
FOCUS
Taxe d’apprentissage
Cette entreprise a joué un rôle décisif dans le développement du Mastère Spécialisé Efficacité Énergétique dans
la Rénovation des Bâtiments (MS EERB) dont elle a soutenu le démarrage et continue à être un partenaire fort
dans le développement de celui-ci.
L’École est “école cible” du programme Campus Management mis en place par HP qui regroupe 11 écoles cibles
dont 7 écoles d’ingénieurs.
En 2014, l’École souhaite renforcer son action en direction des PME PMI avec l’organisation de manifestations
dédiées sous différentes formes (speed meeting professionnel, rencontre avec les centres).
Afin d’être plus opérationnelle et réactive dans ses
relations avec les entreprises partenaires, l’École a
décidé de se doter d’un outil de “gestion de la relation client”, projet co-piloté avec la DSI.
Photo
La campagne 2013 a permis à l’École d’enregistrer une augmentation de 20 % sur le montant de
taxe collectée par rapport à 2012. Progression qui
confirme la confiance portée par les entreprises à
leur école partenaire.
Enfin, la DRME a pour ambition de se rapprocher des
autres directions des relations entreprises développées au sein des Écoles des Mines afin d’échanger
sur les bonnes pratiques et imaginer des actions
communes dans le cadre de l’Institut Mines-Télécom.
Relations avec le monde économique et la société
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Relations avec le monde économique et la société
Contacts
Daniel Ochoa / [email protected]
Michel Fiocchi / [email protected]
Sandrine Berger-Douce / [email protected]
L’entrepreneuriat
au cœur de l’École des Mines
L’Espace Partenarial Recherche & Développement (EPRD) du Site Georges Charpak fonctionne à la manière d’un hôtel d’entreprises
pour startups innovantes ayant des activités de
recherche ou de formation en lien avec celles du
Site. Il apporte aux startups un support scientifique et technique grâce au Site Georges Charpak, un vivier d’élèves ingénieurs mobilisables
sur des stages ou des projets industriels, ainsi
qu’un support relationnel et une interaction
avec différents dispositifs locaux de développement économique dont l’incubateur généraliste
IMPULSE, l’incubateur national “multimédia”
Belle de Mai et le Centre Européen d’Entreprise
et d’Innovation (CEEI).
FOCUS START-UP WE
Deux nouveaux projets vont intégrer
l’EPRD au printemps 2014 :
Start-up Week-end :
le podium pour l’École
J OLIMIX, porté par un élève ISMIN, lauréat du
concours 101 projets, portant sur un objet connecté
destiné à l’événementiel,
X
-RADAR, solution bas-coût destinée à la détection
précoce d’orages dont la première application est la
protection des cultures.
Avec 16 startups hébergées depuis 2008, l’EPRD de
Gardanne a connu un développement remarquable, et
participe pleinement à accroître l’attractivité du Site
Georges Charpak et les interactions startups / étudiants
et enseignants chercheurs.
Un EPRD stéphanois à l’horizon 2016
L’École des Mines affiche, dans son plan stratégique
la création d’ici 2016, d’un EPRD à Saint-Étienne qui
s’inspire du modèle du Site Georges Charpak. Cette
création devra faire l’objet d’une affectation spécifique
de bureaux à proximité immédiate des laboratoires et de
la mise en place de conventions de collaboration avec les
acteurs locaux de l’entrepreneuriat (incubateur Use’In,
BPI France, CCI, SEM).
Rapport d’Activité 2013
Organisées par Saint-Étienne Métropole à la Cité
du Design fin novembre 2013, les journées du
Start-up Week-end visaient à la sensibilisation
des étudiants à l’entrepreneuriat et la création
d’entreprise : “48h pour développer une stratégie
et donner l’envie d’entreprendre”. Cette 2e édition
avait pour thème “Sport et Santé”.
Les 3 premiers prix ont récompensé
3 équipes de l’École :
e 1er prix récompense 2 élèves ICM pour leur
L
projet H-ELEC “conversion de l’énergie thermique du corps humain en énergie électrique”
Le 2e prix est obtenu par 4 doctorants du centre
CIS, avec leur projet MOTIMOVE “podomètre
intéractif et fidélisant incitant à la pratique du
sport”
e 3e prix récompense 4 élèves ICM pour leur
L
projet GYMINI “application de coach sportif et
diététique pour smartphones”
Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement
à la création d’entreprise innovante de la part
de Saint-Étienne Métropole, ainsi que de la
possibilité d’exposer leurs produits lors de la
prochaine Biennale Internationale Design SaintÉtienne en 2015. Ils bénéficieront également de la
part de l’École d’un accès facilité aux incubateurs
technologiques EPRD de Gardanne et bientôt
Saint-Étienne.
Contact
Arnaud Zohou / [email protected]
www.ccsti-larotonde.com
Centre
de culture
scientifique,
technique
et industrielle
Modèle unique en France de ce que peut-être une relation entre culture et universités, l’alliance entre l’École
des Mines de Saint-Étienne et La Rotonde (CCSTI, Centre
de Culture Scientifique Technique et Industrielle SaintÉtienne & Loire), fonctionne sur un enrichissement mutuel.
Ainsi, La Rotonde est :
u
n lieu culturel avec une dynamique pluridisciplinaire
renforçant le dialogue Sciences & Société,
u
n centre de médiation, ouvert à tous les publics,
scolaires, d’éducation populaire ou grand public,
u
n outil de développement du territoire, valorisant la
recherche et l’innovation industrielle,
u
n outil de production de ressources à une échelle
régionale, nationale et internationale...
La Rotonde donne l’opportunité aux élèves de l’École
des Mines qui le souhaitent, de compléter leur formation
scientifique d’excellence par une formation humaniste,
indispensable aux métiers de demain.
Elle s’inscrit aujourd’hui dans une dynamique forte :
d’un centre de diffusion de contenus scientifiques, elle
renforce son rôle de plateforme d’innovation sociale,
culturelle et de développement, en changeant son
approche des publics et des experts, considérés comme
les membres d’une même communauté d’intérêt.
Une alliance
singulière
et unique
en France
FOCUS La culture
scientifique sur le Site
Georges Charpak
La mission de culture scientifique sur le Site
Georges Charpak apporte une large contribution
en termes de réflexion, de compétences et surtout de productions visibles, associant les élèves,
les doctorants et les enseignants-chercheurs au
niveau local et régional.
C’est ainsi qu’elle a participé en 2013 à l’élaboration du cahier des charges du futur centre
culturel scientifique et technique du Site Morandat, un projet ambitieux de la Ville de Gardanne
pour l’Ouest de la région PACA. Avec le réseau
régional “Culture Sciences” porté par l’État et la
Région, la mission a développé une formation à la
culture scientifique pour les médiathèques de la
région Paca. Dans le cadre de la convention du
programme “Provence Territoire d’Itinéraires
Scientifiques” (PROTIS) signée avec le Conseil
Général des Bouches-du-Rhône, elle a poursuivi
des actions vers les collèges et le grand public :
film réalisé avec des collégiens sur le site du CEA
à Cadarache, Fête de la science, film des 10 ans
du Centre Microélectronique de Provence…
Il s’agit pour La Rotonde d’appréhender le territoire
comme un écosystème culturel, économique et social, et
de faire travailler ensemble les écoles, les universités, les
centres de recherche, les entreprises, les collectivités locales, les habitants et le centre de médiation scientifique.
Ainsi de centre de coût, le CCSTI devient centre de profit, car il génère une dynamique positive de fertilisation
croisée entre différents acteurs locaux qui ne se rencontraient que très peu jusqu’ici. En favorisant la transversalité entre les disciplines et les pratiques, en croisant des
élèves des écoles de la deuxième chance avec des jeunes
designers, artistes et ingénieurs, en mobilisant les structures d’insertion sur des projets d’innovation ouverte, la
Rotonde crée des espaces de rencontre, de travail et de
coopération, et développe une ambiance, un environnement, un état d’esprit, des outils et des méthodes propices à la curiosité, à la créativité, à l’imagination…
Bref, à l’envie d’entreprendre et à l’engagement !
Relations avec le monde économique et la société
13
14
Relations avec le monde économique et la société
Contact
Michel Cournil / [email protected]
Le monde : le terrain de jeu
préféré de nos ingénieurs
La quasi-totalité des diplômés formés par l’École
exerceront leur activité en contexte international, soit directement (actuellement 25 %
des ICM trouvent un premier emploi à l’étranger) soit indirectement, car leurs partenaires et
concurrents sont internationaux. L’École a tout
mis en œuvre pour faire prendre avec succès
le virage de la mondialisation à ses étudiants
notamment en favorisant la visibilité internationale de ses enseignants-chercheurs et la culture
internationale de son personnel.
Tous prêts pour l’international
Tous les élèves des cursus ICM et ISMIN réalisent une
mobilité internationale de 3 mois minimum (10 mois en
moyenne) dans une entreprise ou dans une université :
1
00 accords d’échanges avec les meilleures universités sur les 5 continents permettent à nos élèves d’acquérir une équivalence ou un Master en plus de leur
diplôme d’ingénieur, ou de faire un stage,
À
terme, tous les élèves des cycles d’ingénieurs par
alternance réaliseront une mission internationale,
un gage
d’adaptabilité
et de capacité
À
exceller au niveau international
À
manager des équipes multiculturelles
À
concevoir et créer à l’échelle mondiale
À
être performant dans un contexte en
constante évolution
Rapport d’Activité 2013
L
es mobilités sortantes sont largement soutenues par
les régions d’implantation de l’École (Rhône-Alpes,
PACA), par les programmes Erasmus + et par la Fondation de l’École. Les boursiers bénéficient d’une aide
complémentaire,
U
ne cellule mobilité étudiante en prise directe avec les
enseignants de l’École garantit la qualité des échanges
(niveau, programmes, évaluation) et les bonnes conditions de leur réalisation (encadrement administratif,
bourses, suivi…).
Répartition des élèves ICM 2A et 3A en stage ou
parcours académique dans le monde
Année 2013-2014
Romain
MORLHON
3A
Maxent
VANDEVILLE
3A
Montréal, Canada
Montréal, Canada
École Polytechnique de
Montréal
École Polytechnique de
Montréal
Chloé
PELLETIER
3A
Daniel
HITTINGER
3A
Laurine
ROBLOT
2A
Romain
FLEURISSON
Montreal, Canada
École Polytechnique
de Montréal
Aurélie
HUESO
3A
Lucas
GARIN
3A
Montréal, Canada
École Polytechnique de
Montréal
3A
Jeremy
QUESNEL
3A
Léonard
JACQUEMET
Jean-Baptiste
CHARPENTIER
3A
3A
Camille
LOCATELLI
Guillaume
MONIER
2A
Ali
DIAB
3A
Kévin
PEREZ
Daejeon, Corée du Sud Daejeon, Corée du Sud
Shen Yang, Chine
Montréal, Canada
Montréal, Canada
ECOLE DE TECH. DE
MONTREAL
ECOLE DE TECH. SUP.
Minneapolis, USA
Minneapolis, USA
University of Minnesota
University of Minnesota
Montréal, Canada
MC GILL UNIVERSITY
AIST
MFP MICHELIN
Montréal, Canada
École Polytechnique de
Montréal
3A
Pierrick
RENOU
3A
KOREA ADV. INST. of SCIENCE
Damien
SEHABIAGUE
Quentin
GUIRONNET
Seoul, Corée
Seoul, Corée
Seoul National University
Seoul National University
Pierre
NICOLAS-NICOLAZ
3A
Cedric
CHEN KUANG PIAO
Mathieu
SNOLLAERTS
3A
3A
Kévin
HOCDE
Seoul, Corée du Sud
Pekin, Chine
SEOUL NATIONAL UNIVERSITY
TERAO GREEN BUILDING
3A
New-York, USA
New-York, USA
Thomas
BRAGARD
3A
Jintian
ZHAO
Esther
LEFEBVRE
Xiangyu
LI
2A
3A
Omer
RIFAAT
Chiba, Japon
JFE STEEL CORPORATION
BRIGHT POWER
CAPGEMINI
2A
Sendai, Japon
Sendai, Japon
TOHOKU UNIVERSITY
Tohoku University
Stéphane
VAGO
Jad
OUAISSI
3A
3A
Kiyoung
KIM
Tel Aviv, Israël
Roch
MIGNOT
2A
Carole
LIXI
Casablanca, Maroc
Naama, Algérie
BNP PARIBAS
LEE JEMIN
New Delhi, Inde
Indian Institute of
Texhnologie
Antoine
DO
JOHNSON CONTROLS
INVESTMENT
NEXANS NSH
WICRESOFT
3A
METLIFE
Shanghai, Chine
Shanghai, Chine
Shanghai, Chine
TIMOCCO
New-York, USA
3A
Tom
VENTURINI
David
VAN ISACKER
3A
Shanghai, Chine
RHODIA ASIA PACIFIC
3A
Romain
MUSCAT
3A
Mathilde
ROUCHON
3A
Gabrielle
MENARD
3A
Milena
GANDROZ
New Delhi, Inde
Indian Institute of
Technology
2A
Marion
SANGUINETTI
Hong-Kong, Chine
Hong-Kong, Chine
UST
UNIVERSITY OF SCIENCE
Hong-Kong, Chine
Hong-Kong, Chine
Hong Kong, Chine
Hong Kong, Chine
UNIVERSITY OF SCIENCE University of Science & Tech. AMUNDI HONG KONG LIMITED UNIVERSITY OF SCIENCE
3A
Hong-Kong, Chine
SODICA ASIA
Chloe
SOUCHERE
New Delhi, Inde
Indian Institute of
Technology
Yoann
LECUYER
Hue, Vietnam
HOSPITAL OF HUE
2A
Alexandra
MATHIOLON
Bogota, Colombie
Universidad de Los Andes
3A
Imane
BELHAJ
Singapour
Cofely (GDF SUEZ)
Pointe noire, Congo
SOCOFRAN
Léo
BRECHIGNAC
Calama, Chili
3A
CODELCO
3A
Jonathan
LAVILLE
3A
Matthieu
CHAPPAZ
Cordoba, Argentine
Universidad Nacional
de Cordoba
Santiago, Chili
pontifica universidad
catolica de chile
3A
Benoît
DESIR
Santiago, Chili
pontifica universidad
catolica de chile
3A
3A
Jérémie
ROZENBLUM
Boris
PAUL
3A
Antoine
VIVIER
Buenos Aires, Argentine
Universidad de
Buenos Aires
3A
Alix
OUVRY-VIAL
Maud
MATRAY
Léandre
VARENNES-PHILLIT
Buenos Aires, Argentine Buenos Aires, Argentine
Universidad de
Buenos Aires
Santiago, Chili
pontifica universidad
catolica de chile
Santiago, Chili
pontifica universidad
catolica de chile
3A
3A
Jean-Maroun
TORBEY
Universidad de
Buenos Aires
3A
François
VERICEL
Pierre
ATTARD
Victoria, Australie
Mylène
MATHON
MONASH
Auckland, NZ
Buenos Aires, Argentine Buenos Aires, Argentine
Universidad de
Buenos Aires
UNIVERSITY OF AUCKLAND
Universidad de
Buenos Aires
Santiago, Chili
pontifica universidad
catolica de chile
Répartition des élèves ICM 2e année et 3e année en stage
ou parcours académique dans le monde
Toute la jeunesse du monde…. ou
presque aux Mines de Saint-Étienne !
D
es promotions multiculturelles avec un recrutement record d’étudiants internationaux dans notre
cursus ICM : 115 élèves étrangers de 20 nationalités
différentes apprennent ensemble le métier d’ingénieur et le travail d’équipe,
L
’accueil d’étudiants de “nouveaux pays” : HongKong, Argentine, Japon, Corée,
U
n dispositif d’accueil et d’intégration particulièrement apprécié comprenant un volet parrainage
étudiant et un week-end d’accueil ludique en pleine
nature co-organisé par les élèves et les permanents
de l’École.
un gagE
pour l’école
D
’attractivité et de rayonnement
D’ouverture à l’interculturel
De pérennité des accords internationaux
Un corps enseignant engagé
La conclusion ou la consolidation de ses accords internationaux est une priorité pour l’École qui favorise à cet
effet :
T
outes les équipes de recherche sont porteuses de
projets en collaboration avec des universités étrangères des plus prestigieuses, parfois parmi les 10 premières du classement de Shanghai et chaque année
environ 5 ou 6 mobilités longues (de 3 mois à 1 an) de
nos enseignants-chercheurs à l’étranger se concrétisent,
D
es missions d’envergure auprès de ses partenaires
(Hong-Kong, Taiwan, Argentine, Corée, Japon, Brésil,
Chili, Liban, Chine, États-Unis, Canada, Pays-Bas…),
3
2 nationalités différentes parmi les doctorants
(10 sont en cotutelles de thèse) et 13 nationalités parmi les élèves en Master,
L
a participation à 13 projets européens de recherche.
L’anglais langue de travail
Afin d’attirer un maximum de très bons étudiants internationaux, l’École propose une offre de programmes
diplômants de niveau Master enseignés en anglais dans
ses thématiques de pointe. Par ailleurs, elle s’engage à
permettre à tout étudiant en échange de suivre un parcours anglophone. Ces programmes, également ouverts
aux étudiants francophones de l’École, sont conçus pour
favoriser des partenariats de recherche de haut niveau.
Naturellement, une formation en français langue étrangère est dispensée à tous nos visiteurs, étudiants, chercheurs ou professeurs.
L’enseignement des langues étrangères assure une
ouverture linguistique et culturelle grâce à la diversité
de l’équipe professorale (17 nationalités pour 9 langues
étrangères). La pédagogie met l’accent sur la responsabilisation et la participation active des élèves par l’intensification des tutorats en binôme ainsi que les cours en
petits groupes. Tout au long du cursus ICM, l’élève opère
ses propres choix (langues, cours électifs, ateliers de
communication…) en fonction de ses centres d’intérêt et
de son projet à l’international.
Relations avec le monde économique et la société
15
16
Formation
Contact
Contact
Xxxx
Xavier
/ [email protected]
Olagne / [email protected]
Une offre de formation
à l’image de la diversité du monde
économique et de ses besoins
Formation d’ingénieurs
L’École prend en compte et s’efforce d’anticiper la diversité et la variabilité de la demande du monde économique
et des entreprises pour proposer une offre large de formations d’ingénieurs clairement identifiée.
L’École propose ainsi trois profils d’ingénieurs
sur ses sites de Saint-Étienne et de Gardanne :
1- Ingénieur généraliste, “l’Ingénieur Civil des Mines”,
grâce à sa culture pluridisciplinaire, son aptitude à
appréhender les problèmes complexes, sa capacité à
travailler en équipe multiculturelle et son sens de l’efficacité, il saura assumer des fonctions à responsabilité
et ce dans tous les secteurs industriels.
2- L’ingénieur technologue du cycle ISMIN : soutenu par
des équipes de recherche de pointe en microélectronique, informatique et applications, il saura s’adapter
plus généralement au secteur des nouvelles technologies, secteur à forte valeur ajoutée et en constante
mutation, en apportant sa créativité et son goût pour
le travail en équipe.
3- L’ingénieur d’opération, sous statut salarié (SS), formé en alternance par la voie de l’apprentissage et de
la formation continue, selon un modèle d’excellence
original, où l’entreprise est acteur et bénéficiaire de la
formation de l’élève-ingénieur. Celui-ci est formé pour
et par une entreprise partenaire. Il aura acquis pendant
sa formation la capacité à intégrer la problématique de
l’entreprise et à imaginer et mettre en œuvre les solutions adaptées.
Formations par la recherche
La qualité et le potentiel des laboratoires de recherche
de l’École lui permettent de proposer dix programmes de
Master recherche et de former dans dix spécialités différentes des doctorants destinés prioritairement à l’entreprise.
Formations professionnalisantes
L’École offre également des formations qualifiantes, plus
courtes, selon une approche de formation tout au long de
la vie (mastères spécialisés, BADGE, etc.).
Recrutement/statut
Effectifs
2012/13
%
H/F
%
Boursiers
%
Étrangers
Formation
AST : admission sur titre
SS : statut salarié
Ingénieur Civil des Mines (ICM)
Saint-Étienne et/ou Gardanne
Concours Mines Ponts
ou /admis sur titre (AST)
statut étudiant
469
74/26
29 %
19 %
Ingénieur Spécialisé en Microélectronique,
Informatique et Nouvelles technologies
(ISMIN) Gardanne
Concours Télécom
INT ou AST/statut étudiant
235
79/21
44 %
11 %
538
81/19
-
-
187
65/35
-
-
114
90/10
-
3.5 %
Ingénieur Spécialisé en Génie Industriel
Saint-Étienne
Ingénieur Spécialisé en Génie
des Installations Nucléaires
(GIN) Saint-Étienne
Recrutement sur dossier/SS/
Cursus en alternance
Ingénieur Spécialisé en Électronique
et Informatique Industrielle (ISFEN)
Gardanne
Masters Recherche
Saint-Étienne ou Gardanne
Recrutement sur dossier
66
-
-
-
Formation doctorale
Saint-Étienne ou Gardanne
Recrutement sur dossier
160
-
-
-
Mastères Spécialisés, BADGE
Saint-Étienne
Recrutement sur dossier
35
81/19
-
8%
Rapport d’Activité 2013
Contact
Xavier Olagne / [email protected]
Cursus ICM,
Ingénieur Civil des Mines
L’École forme des Ingénieurs Civils des Mines
depuis près de 200 ans. Elle a su constamment
anticiper les mutations industrielles et sociétales
pour préparer les élèves aux exigences toujours
renouvelées des postes de responsabilité au sein
des entreprises et du monde économique.
Qui sont les Ingénieurs
Civils des Mines ?
L’Ingénieur Civil des Mines est à la fois :
U
n cadre dirigeant éclairé et responsable, solidement
ancré dans le terrain de l’entreprise et de la société,
U
n leader innovant et engagé préparé à un contexte
mondialisé et en évolution constante,
U
n ingénieur pluridisciplinaire capable à la fois de
gérer et piloter la complexité et si besoin, d’investir un
sujet pointu à un niveau d’expert.
La pédagogie
Les singularités des cursus
T
rès large palette de cours et d’options couvrant la
plupart des métiers et des secteurs d’activité,
P
rojet éducatif accordant une place centrale aux
enjeux du développement durable pour préparer les
élèves à être des professionnels informés, conscients
et responsables,
A
pproche intégrée sciences et management : l’Ingénieur Civil des Mines maîtrise les dimensions techniques, économiques, humaines et organisationnelles
de son métier,
F
ormation à la recherche : possibilité d’acquérir une
compétence approfondie en R&D par un Master recherche proposé dans chaque option,
F
orte ouverture à l’international : pratique de 2 ou 3
langues vivantes parmi 7, campus réunissant des étudiants de plus de 20 nationalités, mobilité à l’étranger
d’au moins 3 mois,
P
rès de 25 accords de double diplôme avec des établissements en France et à l’étranger.
La 1ère année : consolidation et ouverture
Le premier objectif est d’homogénéiser, consolider et
élargir le socle de connaissances scientifiques.
La 1ère année est aussi un temps de rupture par rapport
aux classes préparatoires, avec l’ouverture à de nouvelles
formes d’intelligence et la découverte de l’entreprise
et des enjeux sociétaux. Les élèves acquièrent les fondements requis en sciences humaines, économiques et
sociales et développent leurs compétences en matière
de travail d’équipe, communication, gestion de projet,
prise d’initiative et esprit critique.
La 2e année : expérimentation
et approfondissement
Au cours de la 2e année, les élèves effectuent un parcours entièrement personnalisé qui leur permet de
découvrir des problématiques très différentes par des
approches transversales. Par touches et expérimentations successives, ils esquissent leur projet professionnel,
approfondissent un domaine spécifique et confortent
leurs compétences et connaissances d’eux-mêmes en
prenant du recul par rapport aux activités suivies.
La 3 année : professionnalisation
et autonomie
e
La 3e année est presque tout entière dévolue aux cours
d’option (l’École en propose 9) et aux projets qui leur
sont associés. L’option est un champ d’apprentissage
privilégié pour aider l’élève à consolider son projet professionnel tout en acquérant l’expertise nécessaire pour
crédibiliser celui-ci. Les activités pédagogiques offertes
visent clairement à asseoir le développement de l’autonomie.
FOCUS 2013
ignature d’un accord de double diplôme
S
avec l’EMLyon Business school,
ecrutement record d’admis sur titres
R
étrangers en 2e année : 33 étudiants
représentant une dizaine de nationalités,
émarrage du nouveau format de la filière
D
médecin-ingénieur en lien avec la faculté de
médecine de Saint-Étienne.
Grâce à des dons d’anciens élèves,
la Fondation I3M.SE soutient des projets
de mobilité internationale de haut niveau.
C
arlos-Javier Riumallo-Herl, chilien, admis
sur titre à l’EMSE en 2008 puis titulaire d’un
Master of Science de la London School of Economics a commencé un doctorat à la Harvard
School of Public Health avec une bourse de
4 000 € de la Fondation,
N
otre lauréat 2013 est le 4e lauréat de la
bourse exceptionnelle de la Fondation I3M.SE,
S
ofiane Berlat, admis au Stanford Design
Program et lauréat 2011, est maintenant
Product Design Engineer chez Apple Inc.
Formation
17
18
Formation
Contact
Bernard Dhalluin / [email protected]
Cursus ISMIN,
Ingénieur Spécialisé
en Microélectronique, Informatique
et Nouvelles technologies
Depuis 10 ans, le cycle ISMIN forme des ingénieurs sur les techniques, produits et services
liés aux nouvelles technologies actuelles et
celles de demain.
Qui sont les ingénieurs ISMIN ?
Le cycle ISMIN repose sur une formation orientée vers les
métiers de R&D dans les domaines de haute technologie,
impliquant une forte sensibilisation à la recherche et à
l’innovation. Les postes occupés à la sortie correspondent
à ceux de cadres d’études, ingénieurs de développement
hardware et/ou software, chefs de projet, ingénieurs
produits… dans des domaines d’activité allant de l’informatique haut niveau à la nanoélectronique. Un tiers des
contenus est consacré aux techniques de management.
La pédagogie
1ère année : les bases scientifiques
Les contenus de cette année de tronc commun sont basés
sur les fondamentaux des sciences, de l’électronique et de
l’informatique mais aussi des techniques de management.
Les domaines enseignés étant à fort potentiel d’évolution
technique, les contenus pédagogiques ont été construits
afin que le futur ingénieur ISMIN puisse maîtriser les technologies actuelles mais aussi qu’il puisse s’adapter rapidement aux technologies du futur.
2e année : approfondissement
Le premier semestre est l’approfondissement des fondamentaux de la première année. Le second semestre est
entièrement consacré à la réalisation par équipe de 3 ou
4 élèves d’un projet industriel proposé par une entreprise.
L’objectif pédagogique est de développer la capacité à travailler en mode projet.
3e année : professionnalisation
FOCUS 2013
Lancement du nouveau programme 3e année
constitué de parcours professionnalisant :
compétences + métier
I nternationalisation : en mobilité entrante, nous
avons accueilli 7 élèves étrangers. En mobilité
sortante, 18 en semestre académique et 13 en
stage de fin d’études.
ne équipe de 4 élèves a obtenu une aide de
U
25k€ pour débuter leur activité de “photos
festives” nommée Jolimix dans le cadre du
concours 101 projets.
P
remières rencontres élèves-ingénieurs
PME PACA, en collaboration avec CentraleMarseille et Arts et Métiers Paritech.
Rapport d’Activité 2013
Le contenu du premier semestre de la troisième année
est un tout nouveau programme constitué d’un parcours
au choix. Un élève ingénieur choisit une mineure (compétences), une majeure (profession), un cours électif (Master
Recherche ou création d’activité) et une semaine d’ouverture professionnelle sur des thématiques techniques.
L’année se complète par le stage de fin d’études de 6 mois
en entreprise ou en laboratoire.
Les singularités des cursus
Les contenus des parcours 3e année sont innovants et
originaux et s’appuient sur les compétences scientifiques
des équipes de recherche du CMP : technologies/supply
Chain, électronique pour l’énergie, dispositifs biomédicaux, mobilité/sécurité. Un accompagnement est proposé
aux élèves voulant se tourner vers une carrière d’entrepreneur ou de chercheur.
Ce cursus se déroule sur le campus provençal de l’École,
Site Georges Charpak de Gardanne et profite de la proximité de structures en fort lien avec le monde industriel :
un centre de recherche de 90 permanents, une plateforme
technologique en R&D et un pré-incubateur accueillant
10 start-ups.
Contact
Jean-Jacques Pauzon / [email protected]
Formations d’ingénieurs
sous statut salarié
L’École propose 3 cursus de formation sous statut salarié,
en formation initiale et continue :
L
a spécialité “Électronique et informatique industrielle - ISFEN” en partenariat avec l’ITII- PACA en
s’appuyant sur les ressources du Centre de Microélectronique de Provence,
L
es spécialités “Génie Industriel – GI” et du “Génie
des Installations Nucléaires - GIN” en alliance avec
l’Institut Supérieur des Techniques de la Performance
(ISTP).
Parmi les Écoles des Mines et des Télécom regroupées au
sein du grand établissement d’enseignement supérieur
Institut Mines-Télécom, Mines Saint-Étienne représente
à elle seule 45 % des effectifs globaux inscrits dans les
formations conduites en alternance (apprentissage et
formation continue diplômante).
Qui sont les ingénieurs de Spécialité ?
L’objectif est de former des ingénieurs répondant aux
attentes explicites et implicites du monde économique
dans une démarche prospective.
Ces ingénieurs allient :
d
e solides capacités conceptuelles permettant de
comprendre des systémiques complexes dans des
contextes incertains voire instables,
a
u pragmatisme et au sens de l’action concrète permettant de piloter des projets de progrès, créateurs
de valeur pour l’organisation.
La pédagogie
Le projet pédagogique des formations sous
statut salarié s’articule autour :
d
’un programme simplifié, lisible et clairement
semestrialisé :
a
cquisition des fondamentaux et intégration en
entreprise,
e
nseignements cœur de métier et pilotage d’un
projet industriel,
d
éveloppement personnel, culturel et prise d’envergure,
d
’une solide formation scientifique adossée à la
recherche,
d
’une ouverture culturelle internationale appuyée
sur la réalisation d’une période de mobilité à l’étranger
pour 100 % des élèves-ingénieurs,
d
u développement de valeurs éthiques professionnelles.
Les singularités des cursus
R
ecrutement national et interprofessionnel garantissant la cohérence du niveau des candidats avec le
référentiel d’excellence de l’École,
F
ormations accessibles d’une part par la voie de l’apprentissage pour les jeunes diplômés d’un Bac+2 à
caractère scientifique et technique, et d’autre part
dans le cadre de la formation continue pour des
publics justifiant d’au moins trois ans d’expérience
professionnelle,
M
odèle reconnu par le monde économique.
FOCUS 2013
ecrutement du plus grand nombre d’élèvesR
ingénieurs en apprentissage à la rentrée 2013
au sein de l’IMT, avec un flux de 208 apprentis
(aucun recrutement n’a eu lieu dans la spécialité
“Électronique et informatique industrielle”,
suite au non-renouvellement du partenariat
avec l’ITII PACA),
79 élèves ingénieurs en formation sous statut
7
salarié dans les 3 spécialités GI, GIN et ISFEN,
vis favorable rendu par la Commission des
A
Titres d’Ingénieur pour l’habilitation d’une
nouvelle formation de spécialité “Valorisation
énergétique”.
Le Campus Industriel héberge les spécialités Génie Industriel
et Génie des Installations Nucléaires.
Formation
19
20
Formation
Contacts
Karine Rottier / [email protected]
Emma Morge / [email protected]
La formation continue
et les mastères spécialisés
BADGE
Brevet d’Aptitude Délivré
par les Grandes Écoles,
accrédité par la Conférences
des Grandes Écoles (BADGE)
Le BADGE “Management en entreprise”
Né d’un rapprochement entre l’École et les branches
professionnelles des ciments, matériaux et granulats, le
Badge Management en entreprise est opéré par l’ISTP.
Public concerné
Le BADGE accueille des salariés ayant un niveau d’études
bac+2, voire baccalauréat, qui souhaitent valider et/ou
consolider leur expérience professionnelle. Le BADGE
répond à une demande forte des entreprises de disposer
de moyens de renforcement et de reconnaissance des
compétences.
La pédagogie
La pédagogie, centrée sur la situation professionnelle,
permet au postulant d’acquérir la prise de hauteur,
l’approche conceptuelle et les compétences liées à sa
spécialité et à son activité professionnelle.
Les singularités du cursus
a
ccompagnement individualisé par un ingénieurconseil, réel facteur de succès pour l’entreprise,
m
ise en pratique organisée autour de la conduite d’un
projet au sein de l’entreprise ou d’une prise de fonction.
Promotion MS EERB 2013
Les Mastères Spécialisés
Les Mastères Spécialisés sont des programmes à haute
valeur ajoutée permettant aux intégrants d’élargir
leur champs de compétences, de compléter ou de
valoriser une formation initiale, de faire converger
projet professionnel et besoins des entreprises. L’École
s’est fixé l’objectif de développer des MS portés par les
centres en s’appuyant sur leurs compétences internes.
Public concerné
Les Mastères Spécialisés s’adressent aux jeunes diplômés en recherche de professionnalisation, aux salariés et à leurs entreprises souhaitant développer une
expertise.
FOCUS 2013
éflexion sur deux nouveaux BADGES avec l’idée de traR
vailler sur l’excellence opérationnelle en lien avec l’Académie de la Performance
rojet de Mastère Spécialisé dont le programme de for P
mation s’oriente vers des compétences en innovation
et design, à l’international. Ce MS développé en anglais,
devrait s’appuyer sur une pédagogie innovante inspirée
des pratiques comme le “design factory helsinki”
écision d’engager la ré-accréditation du Mastère SpéD
cialisé Security of Integrated Systems & Applications
(SISA), développé en anglais et opéré à Gardanne, en
appui sur les compétences de l’Institut Henri Fayol pour
la partie software et sur le Centre Microélectronique de
Provence (CMP) pour l’aspect hardware.
Rapport d’Activité 2013
Le Mastère Spécialisé EERB (Efficacité Énergétique
dans la Rénovation des Bâtiments), créé avec le soutien de la société SIEMENS et opéré en partenariat
avec l’ENTPE et l’ENISE a accueilli 13 candidats en
2013.
La pédagogie
Ce MS a bénéficié d’une réforme de l’ingénierie pédagogique avec le renforcement de l’axe de progrès,
piloté par Jonathan Villot de l’Institut Henri Fayol. Les
candidats du MS participent depuis la rentrée 2013 à
la vie de la plateforme Construction 21 “le portail européen des professionnels de la construction durable”.
L’École fait également partie du cluster Éco Énergie
Rhône-Alpes.
Les singularités du cursus
C
e MS est conduit en partenariat avec l’ENISE et
l’ENTPE,
N
ouveaux intervenants professionnels notamment
l’Agence Locale de l’Energie (ALEC42), le cabinet
Heliose et un architecte.
Contact
Christophe Desrayaud / desrayaud @emse.fr
Photo
Masters
Recherche
Les Masters Recherche sont des formations
adossées à la 3e année des cycles ICM et
ISMIN. Ils sont co-habilités avec d’autres établissements d’enseignement supérieur (Université
Jean Monnet de Saint-Étienne, Université d’Aix
Marseille, notamment). Ces diplômes ont pour
objectif de former les élèves-ingénieurs aux
métiers de la recherche (doctorat ou recherche
développement en milieu industriel).
Ils constituent un atout dans le contexte des graduations
LMD pour la reconnaissance internationale de nos diplômés ICM ou ISMIN. Ces formations, de niveau Master 2,
sont au nombre de 10 en termes de spécialités scientifiques, et se déroulent sur un an en parallèle de la troisième année du cycle ingénieur.
M
odélisation mathématique et applications,
W
eb Intelligence,
M
odélisation, analyse et visualisation des images,
S ystèmes territoriaux, aide à la décision, environnement,
Ingénierie matériaux procédés :
S
pécialité IMP Procédés,
S
pécialité IMP Science et génie des matériaux,
S
pécialité IMP Mécanique et ingénierie,
Microélectronique / dispositif de la nanoélectronique,
Génie industriel,
Sciences de l’environnement industriel et urbain.
Sur les 10 spécialités ouvertes à l’École des Mines, un effectif de 66 étudiants a été admis par une inscription à l’École
des Mines en 2012-2013. Cet effectif s’ajoute à celui de
l’Université Jean Monnet pour constituer une promotion
conséquente au niveau stéphanois de 200 étudiants.
Le contenu de ces formations se recoupe partiellement
avec la troisième année des cycles ICM et ISMIN mais
comporte des cours de spécialisation supplémentaires
non requis pour les diplômes de formation initiale. Cette
dimension a été prise en compte dans le contexte du projet ICM 2016 qui doit aboutir à la rentrée de septembre
2014.
Par ailleurs, le lancement de la vague A d’évaluation qui
concerne toutes les spécialités, à l’exception du Master
Microélectronique (en vague B avec l’Université d’AixMarseille) a donné lieu à une réflexion sur le devenir
des formations Master dont les dossiers d’accréditation
seront soumis en septembre 2015.
Enfin, la réflexion sur les spécialités de Master à intégrer
les opportunités actuelles qui se présentent pour la création de Master ou “Diplôme National de Master” (DNM) au
format international dont une spécialité est en cours d’accréditation dans le domaine du “Biomedical Engineering”.
Formation
21
22
Recherche
Contact
Christian Roux / [email protected]
Une recherche au service des
acteurs économiques de la société
L’École des Mines de Saint-Étienne est une école
sous tutelle du ministère du redressement productif. C’est dans ce cadre, et plus particulièrement dans celui de l’Institut Mines-Télécom,
créé le 1er mars 2012, qu’elle développe son modèle de recherche partenariale au service des
acteurs économiques de la société.
Elle conjugue enseignement et recherche en s’appuyant
sur 5 Centres deFormation et de Recherche orientés par
des domaines applicatifs : énergie, matériaux, procédés,
santé, électronique et performance industrielle durable.
Ces centres sont présentés dans la suite du document :
SPIN (Sciences des Processus Industriels et Naturels),
SMS (Sciences des Matériaux et des Structures), CIS
(Centre Ingénierie et Santé), CMP (Centre Microélectronique de Provence), Institut Henri Fayol. Une présentation spécifique des projets phares de l’École est disponible
en pages 6 et 7.
La Fondation
I3M.SE soutient
le projet de chaire
“Aortic Lab”.
Porté par le Centre Ingénierie et Santé (Professeur Stéphane Avril), il ouvre des perspectives
enthousiasmantes dans le domaine des maladies
cardio-vasculaires. Les ruptures d’anévrisme de
l’aorte tuent aujourd’hui 400 personnes par jour
en France. Au mieux, elles sont dépistées lors d’un
examen prescrit pour une autre pathologie alors
qu’un dépistage systématique est possible.
Grâce à une double avancée clinique : dépistage
systématique “nouvelle génération” et planification prédictive de l’intervention chirurgicale, le
programme de recherche public/privé AORTIC
LAB peut marquer une étape décisive dans l’éradication des AAA.
Rapport d’Activité 2013
L’efficacité de sa recherche trouve son origine dans un
modèle unique en France, des centres de formation et de
recherche orientés par la demande en partenariat avec
l’association ARMINES. La reconnaissance scientifique de
ceux-ci passe par l’association des équipes de ces centres
à plusieurs organismes.
Dans le paysage français toujours mouvant de l’enseignement
supérieur et de la recherche, le rapprochement entre le
CEA-Tech, l’Institut Mines-Télécom et ARMINES, constitue
un modèle original pour répondre de façon optimale ,sur
toute la chaîne de valeur, à la demande industrielle et au
transfert technologique des recherches développées dans
nos centres.
L’activité partenariale de la recherche de l’École des Mines
de Saint-Étienne est reconnue par le label Carnot attribué,
dès 2006, aux Centres de Formation et de Recherche des
Écoles des Mines auxquels sont associés des laboratoires
de l’École polytechnique et de l’ENSTA ParisTech :
M.I.N.E.S (Méthodes Innovantes pour l’Entreprise et la
Société). Ce label a été confirmé en avril 2011.
L’activité partenariale de l’École des Mines de SaintÉtienne, en progression constante, atteint 7 M€ pour
l’année 2013.
L’École est accréditée à délivrer le doctorat au sein de
l’École Doctorale 488 “Sciences, Ingénierie, Santé” qui
comprend aussi les équipes de recherche de l’Université
Jean Monnet et de l’ENI de Saint-Étienne. Dans cette
École Doctorale, 46 thèses de doctorat ont été soutenues
en 2013. Les doctorants sont financés sur des fonds
provenant de diverses origines (notamment 26 % dans
un cadre CIFRE, 25 % sur financement EPA et 14 % sur
ressources contractuelles).
Les principales missions
de la recherche
L’organisation opérationnelle de l’École est structurée en 5 Centres de Formation et de Recherche
(CFR), leurs missions principales sont de :
F
ormer des ingénieurs et des chercheurs de haut
niveau adaptés aux nouvelles données et aux nouveaux
enjeux de l’économie et de la société, aptes à exercer
des fonctions de responsabilité dans les entreprises,
R
éaliser une recherche, fortement connectée avec
le milieu économique, étroitement impliquée dans la
formation et reconnue au niveau national et international,
Les missions de formation, de recherche et
de valorisation des 5 Centres, via une activité
contractuelle (avec Armines et le Carnot
M.I.N.E.S) et des collaborations directes avec
son environnement académique, se réalisent
dans une démarche globale de l’École de :
d
évelopper les relations entre l’enseignement supérieur et le monde économique pour améliorer la compétitivité des entreprises,
d
évelopper la coopération internationale en matière
d’enseignement et de recherche.
S
outenir le développement économique par l’accompagnement des entreprises aussi bien dans leurs projets internationaux que dans leurs mutations.
Intimement liées, ces missions interagissent. Les enseignants chercheurs, de par leurs vocations, partagent
leurs activités entre l’enseignement et la recherche avec
le souci permanent de nourrir leurs enseignements des
résultats des recherches menées à l’École.
Les 5 Centres de Formation et de Recherche interconnectés entre eux, se positionnent dans le paysage de l’enseignement supérieur et de la recherche par leur intégration disciplinaire dans des UMR CNRS et une équipe
commune avec le CEA. Leur structuration orientée par la
dimension applicative de la recherche, permet à l’École
des Mines d’apporter des réponses ciblées aux problématiques scientifiques, technologiques rencontrées par
le monde économique.
Disciplines
scientifiques
et domaines applicatifs
des Centres
SMS
D
iscipline scientifique concernée :
sciences et génie des matériaux.
omaines applicatifs :
D
transformation de la matière, transport, énergie.
SPIN
isciplines scientifiques concernées :
D
énergétique et génie des procédés.
omaines applicatifs : énergie et développement
D
durable, ressources naturelles.
CIS
D
isciplines scientifiques concernées :
informatique, mathématiques et systèmes, sciences
et génie des matériaux, mécanique et ingénierie,
biologie.
D
omaines applicatifs : santé.
Institut Henri FAYOL
D
isciplines scientifiques concernées :
mathématiques et systèmes, économie,
management, société, informatique.
D
omaines applicatifs : développement durable,
contenus et services numériques.
CMP
D
isciplines scientifiques concernées :
sciences et génie des matériaux, mathématiques
et systèmes, électronique et communication.
D
omaines applicatifs : microélectronique
et informatique.
Recherche
23
24
Recherche
Contact
Bruno Léger / [email protected]
Institut Henri Fayol
L’Institut Henri Fayol, du nom de l’un des pères
fondateurs du management moderne, illustre
ancien élève de l’École (1841-1925), est centré
sur la performance des entreprises et des
organisations envisagée dans une perspective
de responsabilité sociétale et de développement
durable.
Vocation : la performance responsable
La vision de l’Institut repose sur l’idée que la performance
d’une entreprise ou d’une organisation ne peut que se
concevoir dans une démarche systémique d’ensemble
visant à satisfaire de façon conjointe et pérenne les différents acteurs et parties prenantes, tout en maîtrisant les
impacts sur la société et sur l’environnement.
Grands thèmes de recherche :
une approche pluridisciplinaire
L’institut entend proposer des solutions globales au double
défi des transformations écologiques et numériques. Le
positionnement thématique porte plus particulièrement
sur les interactions entre information et organisations,
abordées avec un regard pluridisciplinaire :
m
athématiques appliquées,
i nformatique,
g
énie industriel,
s ciences de l’environnement,
m
anagement et sciences humaines et sociales.
Une organisation en 4 départements :
Informatique pour les Systèmes Coopératifs
Ouverts et Décentralisés (ISCOD)
Services et contenus numériques (web, internet, informatique ambiante), éthique.
Décision en Entreprise :
Modélisation, Optimisation (DEMO)
Simulateurs numériques multidisciplinaires, production,
planification, lean manufacturing et management.
Performance Industrielle et Environnementale
des Systèmes et des Organisations (PIESO)
Évaluation environnementale, pilotage de chaînes logistiques, systèmes de production orientés service, maîtrise
des impacts et des risques industriels.
Études sur la Performance, l’Innovation
et le Changement en Entreprise (ÉPICE) :
Déploiement de la responsabilité sociétale et de l’ISO
26000.
Projets pédagogiques
Cycle d’Ingénieur Civil des Mines
L’Institut Henri Fayol est au cœur du projet de l’École de
former des ingénieurs managers pluridisciplinaires de
haut niveau. Ses équipes portent la responsabilité de nombreux enseignements : 4 des 6 pôles de tronc commun de
1ère année, 12 modules au choix de 2e année, 5 options en
3e année.
Autres interventions :
FOCUS 2013
C
ursus d’ingénieurs spécialisés : cycle ISMIN et formations sous statut salarié à l’ISTP,
I mplication dans 5 Masters Recherche.
Distinctions et nominations :
Alexandre Dolgui a été élu membre (Fellow) de
l’Académie Européenne de management Industriel.
Il a été aussi le Président de l’International Program Committee (IPC chair) d’une conférence de
l’IFAC “Manufacturing Modelling Management and
Control” (455 participants de 59 pays).
Olga Battaia a été nommée “Research Affiliate” du
CIRP (Collège International pour la Recherche en
Productique), devenant ainsi le premier membre
français du collège jeune chercheur.
Manifestations
7 mai 2013 : inauguration de l’Institut Henri Fayol.
1
À cette occasion, Henry Mitzberg a été fait docteur Honoris Causa de l’Institut Mines-Télécom.
0 et 11 octobre 2013 : journées “Systèmes et
1
Techniques de Production” du GDR MACS du
CNRS (215 participants).
Rapport d’Activité 2013
I SCOD a participé à l’organisation avec le LHC de la
conférence MARAMI, 4e conférence sur les modèles
et l’analyse des réseaux : approches mathématiques
et informatiques.
Projets marquants
ans le domaine de l’innovation : projet FInnov en
D
partenariat avec l’Organisation Internationale de la
Francophonie.
eadership d’un projet de recherche sur la LogisL
tique Urbaine dans le cadre du projet de recherche
ANNONA validé par l’ANR.
adine Dubruc a effectué une mobilité internatioN
nale à l’Université Libanaise dans le cadre de l’Observatoire franco-libanais de l’innovation durable.
e ministère des Affaires Étrangères soutient
L
financièrement notre projet “Modeling supply
chain with dual channels under green environment
and uncertainties” avec University of Science and
Technology of China.
Recherche
25
Contact
Stéphane Avril / [email protected]
FOCUS 2013
Centre CIS :
Ingénierie
et Santé
L’arrivée de Claire Morin (ingénieur ENSTA /
thèse de doctorat à l’École Polytechnique) renforce la thématique “biomécanique des tissus
mous”. Les projets de cette nouvelle maître de
conférences portent sur le comportement des
vaisseaux sanguins et la prédiction des ruptures
d’anévrismes.
Vocation
Domaines d’application
La santé personnalisée par des soins adaptés à chaque
patient nécessite des solutions à l’interface de l’ingénierie et de la santé.
Biomédical (nano médecine, ingénierie tissulaire, biologie et vieillissement), soin (cancérologie, infectiologie),
chirurgie (orthopédique, vasculaire, ophtalmologique)
et organisation (logistique hospitalière, Silver Economy).
Thèmes de recherche et valorisation
La biomécanique des tissus mous
En particulier biomécanique de l’aorte / détection et
traitement des anévrismes. Ce projet stratégique vaut
au centre une reconnaissance internationale.
CIS est partenaire des leaders européens du textile
médical : Ormihl Danet, Medtronic, Covidien, Gibaud,
Thuasne, Sigvaris, Oxylane.
L’ingénierie des Systèmes de Soins
et des Services de Santé
Traite l’optimisation du parcours de soin à l’hôpital et en
hospitalisation à domicile. À la clé : un projet collaboratif
de plateforme hospitalière virtuelle.
Projets pédagogiques
I CM : modules de 2e année Biologie et Sciences de
l’Ingénieur, Ingénierie Biologie Santé
option de 3e année : Ingénierie et Santé
Depuis 1996 : parcours pharmacien-ingénieur
Depuis 2010 : parcours médecin-ingénieur,
M
asters Recherche : Image, Vision Signal - Génie industriel - Mécanique et Ingénierie de l’École doctorale
488 “Sciences, Ingénierie, Santé“,
M
Sc. BioMedical Engineering & Design, label de la
CGE, dédié à un public anglophone.
Partenariats hospitaliers : CHU de Saint-Étienne, de
Firminy, Institut de Cancérologie Lucien Neuwirth,
Cancéropôle Lyon Bérard.
L’ingénierie des Biomatériaux
et des Particules Inhalées
Excelle dans l’étude des interactions entre matériaux et
cellules, tissus et organes humains. L’accent est mis sur
la biotoxicité, la biopersistance des nano et microparticules, pour le traitement du cancer et des infections
ORL chroniques. Le CIS travaille sur de nouveaux biomatériaux à visée thérapeutique, comme les substituts
osseux.
Partenariats industriels : Bionova, NanoH, Osseomatrix,
Diffusion Technique Française.
Le CIS est membre des pôles de compétitivité
Viameca et Lyon Biopôle, des clusters régionaux
Sporaltec et ICARE, du Pôle des Technologies
Médicales, du Cancéropôle CLARA, de l’IFRESIS,
de l’Equipex IVTV. Collaborations avec des entités de l’INSERM pour les sciences du vivant.
26
Recherche
Contact
Christophe Pijolat / [email protected]
Centre SPIN :
Sciences des Processus Industriels et Naturels
Vocation
Le centre SPIN est spécialisé dans les procédés de transformation de la matière et de l’énergie. Son objectif est de
contribuer à l’avancée et à la diffusion des connaissances
en génie des procédés dans un grand nombre de domaines
industriels : énergie nucléaire, gaz-pétrole, matériaux
pour l’électronique, nouveaux matériaux de construction,
pharmacie, biomatériaux, environnement et développement durable, sécurité industrielle…
Thèmes de recherche :
“De la particule aux réacteurs”
Le centre SPIN s’intéresse à la réactivité des solides dans
des systèmes hétérogènes (liquides-solides-gaz), les
modélisations de ces systèmes permettant le passage des
étapes élémentaires des réactions physico-chimiques aux
procédés industriels ou naturels. L’ensemble se retrouve
dans les 3 thématiques de recherche :
“ Procédés, Poudres, Interfaces, Cristallisation et
Écoulements“ qui intègre la durabilité des énergies
fossiles, les matériaux biosourcés, la synthèse de
nanoparticules, ainsi que la mise en œuvre des poudres
(Laboratoire Georges Friedel),
“ Procédés et Réactivité des Systèmes Solide-gaz,
Instrumentation et Capteurs” prenant en compte la
modélisation multi-échelle des réacteurs hétérogènes,
la réactivité des systèmes multi-matériaux et côté
applicatif l’intensification des procédés et l’instrumentation (Laboratoire Georges Friedel),
“ Géosciences-Environnement” avec la liaison entre les
problématiques de surface (hydro-systèmes complexes
et transferts eau-sols-plantes) et celles des sous-sols
(UMR Environnement, Ville et Société).
Principaux domaines applicatifs
L’énergie constitue le domaine d’application central des
activités. Pour la filière pétrole/gaz, la mise en œuvre
des hydrates de gaz pour la séparation et séquestration
du CO2, ainsi que la climatisation, donnent lieu à des partenariats avec l’IFPEN, Total, GDF-Suez… Pour la filière
nucléaire, les problématiques de corrosion de gaines de
combustibles et de modélisation des transformations du
combustible sont traitées en partenariat avec le CEA,
AREVA, l’IRSN…
Les procédés industriels mettant en œuvre des solides
pulvérulents se retrouvent dans des domaines très variés
tels que la santé (comprimés), les matériaux du bâtiment
(ciments, liants hydrauliques, composites bois-ciment), les
céramiques techniques (fusibles électriques) en relation
avec des partenaires tels que Seppic, Calcia, Lafarge, Solvay, Kerneos, CEA ou encore Mersen.
Le contrôle des procédés et des émissions polluantes
donne lieu à une forte activité sur le développement de
Rapport d’Activité 2013
capteurs de gaz en relation avec des équipementiers et
constructeurs automobiles et des industriels du domaine
de la chimie : Renault, PSA, Electricfil, Meas, Arkema,
Solvay, Bluestar…
Les activités en Géosciences sont conduites en partenariat avec l’industrie (IFPEN, Total, Harsco) ou des institutions publiques (BRGM, IRSTEA, ADEME, ONEMA,
Agences de l’eau) avec un champ applicatif interdisciplinaire : gestion des ressources en eau, de l’énergie et
des géo-réservoirs, valorisation des déchets industriels,
réhabilitation des friches industrielles et des sites pollués,
risques naturels, ou encore développement durable.
Projets pédagogiques
Le centre SPIN intervient dans l’ensemble du cursus Ingénieur Civil des Mines, avec des implications sur le pôle
physique de 1ère année, sur les axes techniques en 2e année (procédés, énergétique, instrumentation, méthodes
de caractérisation, processus naturels, systèmes industriels, physique), en tant que responsable de l’option de 3e
année “Procédés et Énergies”, ainsi que dans les Masters
Recherche “Ingénierie des Matériaux et Procédés” (spécialité Génie des Procédés), “Systèmes Territoriaux, Aide
à la Décision et Environnement“ et “Images”.
FOCUS 2013
Le projet DENOPI est un projet d’Investissement
d’Avenir “Recherche en matière de sûreté nucléaire
et de radioprotection” porté par l’IRSN. Il fait suite
à l’accident de Fukushima et la vulnérabilité des
tubes combustibles en alliage de zirconium entreposés dans les piscines de désactivation des réacteurs.
Le Centre SPIN fait partie du GIS Zone Atelier
Bassin du Rhône, groupe de centres de recherche
focalisé sur les hydro-systèmes dans le bassin du
Rhône. Les thématiques sont : changement climatique et des ressources, transferts thermiques
entre les fleuves et les nappes phréatiques (en
partenariat avec l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, EDF et l’Office national des milieux
aquatiques, ONEMA).
Total et le centre SPIN poursuivent leur collaboration sur la prévention du bouchage des conduites
pétrolières. Le projet Archimède 3 a pour objectif
d’apporter une nouvelle compréhension sur le processus de cristallisation en écoulement dans un
pipeline. Les expérimentations sont réalisées sur
la boucle de circulation Archimède du centre SPIN
(conduite de 30 m en horizontal et 12 m en vertical).
Contact
David Delafosse / [email protected]
Centre SMS :
Sciences des Matériaux et des Structures
Vocation : “Materials by Design ”
Le centre SMS conduit une recherche de pointe en
mécanique et en science des matériaux. Il adopte une
démarche dite “Materials by Design” dans laquelle la
compréhension des mécanismes physiques est un levier
pour l’innovation et la création de valeur. Il valorise ses
recherches et forme ingénieurs et docteurs pour les
industries de l’énergie, des transports, des nanotechnologies et pour la création industrielle.
Grands thèmes de recherche :
Le centre SMS constitue la plus grande partie de l’Unité
Mixte de Recherche CNRS/EMSE “Laboratoire Georges
Friedel”. Trois équipes de recherche développent des
projets structurants et émergeants. Les premiers constituent le cœur de leur activité scientifique et de leur
reconnaissance internationale. Les seconds résultent
de redéploiements de compétences ou de croisements
interdisciplinaires et explorent de nouveaux domaines à
fort potentiel de développement.
É
quipe Mécanique des Procédés d’Élaboration
directe : modélisation, procédés d’élaboration des
composites bio-sourcés et biodégradables,
É
quipe Physique et Mécanique des Matériaux : transformation des matériaux métalliques et microstructures, projet “Analyses multiphysiques locales”,
É
quipe Surfaces, réactivité et fonctionnalisation
(commune avec SPIN) : vieillissement et dégradation
sous l’effet de l’environnement, “Ingénierie de la perception” des matériaux (projet phare “Matériaux pour
le Design et la Création Industrielle”).
Principaux domaines applicatifs
Dans le domaine de l’énergie, nous étudions la durabilité
des matériaux utilisés pour la production et le transport
des énergies (partenaires principaux : AREVA NP, Arcelor Mittal).
Dans celui des transports, l’allégement des structures
pour un transport “énergétiquement efficace” (partenaires principaux : Groupe SAFRAN, Aubert et Duval).
Nos activités dans le domaine des nanotechnologies
concernent les “analyses multiphysiques locales” et les
nano-composites fonctionnels (partenaires principaux :
STMicroelectronics, EDF).
À destination des industries créatives, nous développons une R&D en ingénierie des matériaux tournée vers
la pratique professionnelle des Designers Industriels
(partenaires principaux : RCP Sensolab, Renault).
Projets pédagogiques : des formations
innovantes et internationales
Le centre SMS a la responsabilité des enseignements en
matériaux et mécanique du cycle Ingénieur Civil des Mines.
FOCUS 2013
Arrivée à Saint-Étienne d’un FIB (Focused Ion
Beam), qui permet, par découpe ionique, de
sonder la matière aux échelles ultimes. Mathieu
Lenci, ingénieur de recherche dans le centre SMS,
a coordonné ce projet. Cet instrument scientifique du meilleur niveau mondial, d’une valeur
supérieure à 1M€, est en phase de réception et
les premières études débuteront en 2014.
Reconnaissance internationale pour le
projet “Design et Création Industrielle” :
l’analyse sensorielle dans la boîte à
outils des designers italiens.
L’analyse sensorielle est née il y a cinquante ans
des besoins de contrôle qualité dans l’industrie
agro-alimentaire. Elle a été transférée au début
des années 2000 dans l’industrie automobile,
avec l’objectif de formaliser les sensations
visuelles et tactiles associées aux matériaux
d’habitacle. Patrizia d’Olivo, étudiante du Master
“Design & Engineering” du Politecnico de Milan
a écrit son mémoire au Centre SMS en 2012.
Mémoire distingué par l’Association italienne
de Design Industriel puis présenté à l’automne
2013 au musée du design “La Triennale” à Milan.
L’option “Mécanique et Matériaux” est coordonnée avec
trois parcours de Master Recherche (“Materials Science
and Engineering” , “Mécanique et ingénierie”, “Surface
and Interface Science and Engineering”) dont deux, anglophones, diplôment plus de 50 % d’étudiants internationaux. Le centre est co-concepteur et co-opérateur du
Master “Prospectives Design” de l’Université Jean Monnet. Cette formation pluridisciplinaire en technologie,
business et design est unique en France.
Recherche
27
28
Recherche
Contact
Stéphane Dauzère-Pérès / [email protected]
Centre Microélectronique
de Provence
Vocation
Le CMP, créé en 2003, est un centre de formation et
de recherche technologique implanté au sein du pôle
microélectronique PACA. L’activité de recherche, qui se
développe autour d’intérêts industriels régionaux, a une
visibilité internationale et s’ouvre à des domaines émergents tels que la bioélectronique et l’électronique imprimée. Le CMP est membre actif du pôle de compétitivité
Solutions Communicantes Sécurisées (SCS) et héberge la
plateforme partenariale R&D Micro-PackS.
Grands thèmes de recherche
Les quatre départements de recherche SAS (Systèmes
et Architectures Sécurisés), PS2 (Packaging et Supports
Souples), SFL (Sciences de la Fabrication et Logistique)
et BEL (Bioélectronique) développent des travaux de
recherche académiques et appliqués sur les thèmes
ci-dessous :
c onception et caractérisation de circuits intégrés et
systèmes sécurisés,
é
lectronique sur support flexible, électronique imprimée
s ciences de la fabrication et logistique pour la microélectronique, technologies communicantes dans les
processus logistiques,
i nterfaces neuronales, biocapteurs, biosystèmes.
Ces travaux s’appuient sur de nombreux partenariats
académiques nationaux et internationaux : organismes
de recherche (INRIA, CEA, CEA-Liten, ONERA, CNRS…),
écoles et universités françaises (Université Aix-Marseille,
ENS, Centrale Paris…), ainsi que d’une quinzaine
d’universités étrangères prestigieuses (Bristol, Hagen,
MIT, Stanford, Lausanne, etc…).
Principaux domaines applicatifs
La recherche applicative s’appuie sur de nombreux partenariats industriels dans des projets nationaux ou
européens, avec en particulier les entreprises STMicroelectronics, Gemalto, Inside secure, Cassidian, Infineon,
Invia, Morpho, Crocus Technology, Eurocopter, Freescale, Starchip, EADS, SNCF, Tagsys-RFID, Nexcis, Soitec
et Cityway.
Le CMP héberge la plateforme technologique partenariale Micro-PackS, première structure R&D nationale en
matière d’assemblage de micro-technologies intégrant
des préoccupations sécuritaires. Micro-PackS est dotée
de moyens scientifiques et techniques conséquents
ouverts à la mutualisation publique/privée, avec un
parc d’équipements de 10 M€ sur plus de 700 m2 de
salle blanche. Micro-PackS regroupe une vingtaine de partenaires : grands groupes, PMEs, startups et académiques.
Rapport d’Activité 2013
Projets pédagogiques
Le CMP est impliqué dans les formations initiales (cycle
ISMIN et cycle ICM) et formations sous statut salarié
(cycle ISFEN), ainsi que les Masters Recherche MINELEC
(Micro & Nanoélectronique) et Génie industriel, et assure
la responsabilité de la commission formation du pôle SCS.
En 2013, le CMP a conduit, avec l’aide de la Direction de
la Formation, la réforme de la 3e année du cycle ISMIN, en
proposant 4 spécialités adaptées aux besoins des industriels. Par ailleurs, un premier track international en “Information Technologies and Supply Chain” devrait démarrer en septembre 2014.
FOCUS 2013
e département BEL a publié deux articles dans
L
la prestigieuse revue “Nature Communications”
sur la conception de transistors organiques innovants et leur mise en œuvre dans l’enregistrement de signaux neuronaux.
a conférence internationale IPSO (Innovative
L
Printed Smart Objects) a été organisée par les
départements PS2 et BEL avec l’association
ARCSIS les 28 et 29 novembre 2013. Elle a réuni
une centaine de participants sur le thème de
l’électronique imprimée.
e workshop PHISIC 2013 (Workshop on PracL
tical Hardware Innovations in Security Implementation and Characterization - composants
sécurisés vis-à-vis des attaques matérielles) a
été organisé par le département SAS les 13 et 14
juin 2013 (plus de 100 participants).
e département SFL a organisé 5 nouvelles jourL
nées d’échange en 2013 (plus de 30 depuis 2006)
avec les sites de Rousset et de Crolles de STMicrolectronics. Depuis leurs origines, ces journées
ont permis de démarrer notamment trois projets
européens.
a salle blanche a été étendue de 560 m2 à
L
720 m2, avec la création de trois laboratoires en
classe 10 000, d’un laboratoire de préparation
d’échantillons et d’un local de stockage central
de produits chimiques.
Chiffres clés
29
Données clés
de la recherche
CIS
CMP
FAYOL
SMS
SPIN
Total
Centres
Effectif total des personnels présents
au 01/01/2014 dans les centres (personnels
permanents et non permanents,
mis à disposition, doctorants inscrits à l’École)
51
98
87
85
83
404
Dont effectif total des personnels permanents
23
38
43
51
53
208
Dont effectif total des personnels
non permanents
28
60
44
34
30
196
Chercheurs
0
6
1
3
0
10
Enseignants
0
4
0
0
0
4
Enseignants chercheurs
17
17
33
21
26
114
ITA
10
25
14
32
30
111
Post Doctorants
2
10
3
0
1
16
Doctorants inscrits à l’École à la rentrée
2013/2014*
22
36
36
31
26
163
Doctorants encadrés
35
43
46
36
31
191
Thèses soutenues en 2013*
8
6
7
12
10
46
Personnels titulaires d’une HDR** présents
au 01/01/2014
8
11
11
13
15
58
Nombre de publications de rang A (AERES)
en 2013
35
29
58
40
37
199
Ressources dédiées à la recherche
hors investissement en Keuros (dotations
École/contrats de recherche publics et
privés/Contrats européens/ARMINES/CNRS)
431
2685
746
1265
1445
6572
% en montant des contrats privés
34 %
21 %
31 %
44 %
26 %
29 %
% en montant des contrats européens
3%
22 %
7%
4%
12 %
13 %
Investissement recherche 2013 en Keuros
(École et ARMINES)
64
646
3
42
82
837
Répartition de l’effectif des personnels
permanents et non permanents présents
au 01/01/2014
191
Les données financières sont basées sur le chiffre disponible en février 2014
* L’École inscrit quelques doctorants de l’École des Mines d’Alès (laboratoire LGEI intégré à l’École Doctorale)
** HDR : Habilitation à Diriger les Recherches
30
Chiffres clés
Éléments
budgétaires
NATURE DES MOYENS
Moyens alloués par le Ministère de Tutelle
(Redressement Productif)
Subvention de fonctionnement
Subvention d’investissement (dont transfert via
CAF)
Subvention pour le personnel contractuel de
recherche
Masse salariale personnels titulaires
Bourses élèves ingénieurs
Indemnités d’enseignement
Ressources propres de l’établissement
en k€
sans construction,
sans amortissement
(EPA)
en k€
avec construction,
sans amortissement
(EPA)
Construction Site
Georges CHARPAK
27 758
27 798
40
4 078
4 078
0
529
569
40
9 836
9 836
0
11 373
11 373
0
637
637
0
1 305
1 305
0
21 923
26 123
4 199
Produits scolaires (y compris mastères)
591
591
0
Bourses séjour élèves à l’étranger (Socrates,
Région, Département)
298
298
0
Bourses élèves chercheurs (Cifre, Ademe…)
2 937
2 937
0
Prestation de service, formation continue,
formation par apprentissage et colloques
7 186
7 186
0
Subventions des collectivités et organismes
publics (fonctionnement et investissement)
+ recette contractuelle
6 938
6 957
19
Taxe d’apprentissage
639
639
0
Divers produits de gestion
790
790
0
0
Produits financiers
1
1
264
264
9
9
0
2 271
6 451
4 180
49 681
53 920
4 239
Charges de personnel (hors élèves-chercheurs)
26 800
26 800
0
dont personnel contractuel
15 427
15 427
0
dont personnel titulaire
Produits exceptionnels
Accession à la propriété, cautionnements
Reprise sur provisions, fonds de roulement et
report de crédits
Total
NATURE DES CHARGES
11 373
11 373
0
Indemnités d’enseignement
1 305
1 305
0
Rémunérations élèves chercheurs
4 362
4 362
0
Bourses élèves ingénieurs
637
637
0
Bourses pour séjour à l’étranger
300
300
0
11 940
11 940
0
2 004
4 277
2 273
47 349
49 622
2 273
Dépenses de fonctionnement (hors salaires)
Dépenses d’investissement
Total
Le montant élevé des reports est lié aux opérations de constructions en cours (2e phase du Site Georges CHARPAK et Bâtiment CIS)
Rapport d’Activité 2013
31
Âge moyen du personnel
permanent = 44.8 ans
Âge moyen de départ à la retraite
= 63 ans
Chiffres clés
du bilan social
63 % de personnel scientifique
35 % de femmes
35 % de personnel ministère
4 % de personnel handicapé
12 % de personnes de nationalité
étrangère représentant
27 nationalités différentes
Répartition globale
Taux de promotion du personnel
= 9,5 % avec une durée moyenne
entre 2 promotions = 5 ans
Effectif total (avec MAD et doctorants)
418
Hommes
Femmes
270 (65 %)
148 (35 %)
Scientifique
Technique
Administratif
262 (63 %)
59 (14 %)
97 (23 %)
Ministère
EPA
(décret 2000)
IMT
MAD
148 (35 %)
165 (39 %)
76 (18 %)
29 (7 %)
Catégorie A
Catégorie B
Catégorie C
299 (72 %)
107 (26 %)
12 (3 %)
Cette année 3.6 % de la population
scientifique ont effectué une
mobilité internationale ou
industrielle d’une durée moyenne
de 5 mois.
Les plafonds d’emploi sont les
suivants : en 2013 : 184 ETP EPA
+ 143 ETPT ministère soit un total
de 327 emplois.
Répartition des agents selon leur statut
%
7%
Agents fonctionnaires
33
137
Agents CDD
Doctorants salariés
7%
13
%
29
56
Effectifs contribuant
aux missions de l’École
Agents EPA/IMT CDI
6%
Personnel ARMINES
Personnel ISTP
%
33 %
333
165
27
14 %
137
29
550 vacataires contribuent également aux missions de l’école.
Formation
148
211
241
4
29
MAD
(Mis à Disposition)
Total
376
418
Total
161
Contractuels
(EPA + IMT)
MAD
Ministère
doctorants
Effectifs
non
permanents
Nbre de
formations *
permanents
Statut
Répartition par filière
Scientifique
140
41
56
25
262
Technique
48
8
3
59
Administrative
86
10
1
97
Total
274
59
29
418
* Les agents peuvent avoir suivi une ou plusieurs actions de formation au cours de l’année considérée.
56
55 % Doctorants
inscrits à l’École
Personnel mis
à disposition
37
5%
Agents
École des Mines
472%
MAD
59
Chiffres clés
Quelques chiffres
2013
158 Cours Fauriel
CS 62362
42023 Saint-Étienne cedex 2
Tél. : +33 (0)4 77 42 01 23 - Fax : +33 (0)4 77 42 00 00
I N S P I R I N G I N N O VAT I O N I I N N O VA N T E PA R T R A D I T I O N
Crédits photos : atelier bidule, Bruno Amsellem, Agence Contexte, Gilles et Bernard Michelou, As de Cœur, Photupdesign - Hubert Genouilhac, Saint-Étienne métropole, Sarah Chambon, 4vents Photographie aérienne. Délégation à la communication, mars 2013.
SAINT-ÉTIENNE