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Boîte de clavardage (Tout le monde) Lise-Anne Roy:bonjour
La Résurrection:Bonjour!
Suzanne Pelletier:Bonjour
Maxyme:Bonjour tout le monde, nous allons débuter la conférence à 10h00.
Jules Bonin-Ducharme:Bonjour!
Claire, Véronic et Diane:Bonjour tout le monde!
Sylvie Rondeau:Bonjour tout le monde. Sylvie et Nancy sont présentes
Denise Lefebvre:Bojour la gang!
Angela Manolachi:Bonjour tout le monde :-)
Natalie Ginglo-Robert:Bonjour!
samer amrane:Bonjour à tous
Présentatrices:Bonjour tout le monde!
Marc Goulet:Bon vendredi à tous et à toutes!
CSPGNO Sudbury:Salut de Sudbury
Louis P Houle:Bonjour je suis présent
Marie-Hélène:Un beau bonjour du CSCProvidence!
Marc Goulet:Un séjour à NCTM... :o)
Serge:Bonjour tout le monde... désolé du délai!
Lara:Est-ce possible de reposer la question? clarifier la question
Julie Bellavance:oui
Denise Lefebvre:L'élève semble avoir utiliser quelque chose pour les trois
soustractions mais non pas pour la première.
France, Véronique et Julie (CECCE):Notre hypothèse est que l'enfant inverse le
9 et 6 puisqu'elle démontrait une compréhension du 0 dans d'autres situations
d'où l'automatisme au premier fait.
Julie Bellavance:peut-être qu'elle n'a pas vu que le 7 est un 7 et non un 9
Lise-Anne Roy:une faute d'inattention?
Marc Goulet:est-ce que ce type de question est appropriée?
Céline:2 minutes ... et sauter à la fin du vidéo pour le bilan final
Lara:Je ne suis pas surprise du bilan final. Souvent, c'est un mécanisme. Je vois
2 nombres et je les additionne.
Serge:Question plus simple pour Céline... quel âge des élèves?
Lara:Pas je, plutôt l'élève voit
Louis P Houle:Et quels âges ont les enfants du fermier? Peut-être c'est la raison
pourquoi il a 5 chiens!:)))
Julie Mondoux et Anne B-Petroski:Céline, quel niveau d'études?
Céline:4e année
Julie Bellavance:oui
Julie Mondoux et Anne B-Petroski:Certains élèves sont habitués à seulement
considérer les nombres du problème et de faire une opération. D'autres ont un
très bon sens de l'âge.
Serge:4e.... je n'aurais pas cru!
Céline:C'est un "classique" que j'ai voulu tester moi-même. Semble-t-il qu’on
pourrait obtenir des résultats semblables en 8e
année...http://robertkaplinsky.com/how-old-is-the-shepherd/
Jules Bonin-Ducharme:Je trouve surprenant qu'une élève crois que 46 ans c'est
vieux! ;-)
Céline:Je parle mais... pas de réactions
Serge:Je pense que ça démontre un automatisme plus qu'une compréhension
du problème. Si les nombres avaient été 122 moutons et 8 chiens, est-ce que
les élèves auraient écrits 120 ans?
CSPGNO Sudbury:Jules, j'étais du même avis :-))))
Céline:Cette expérience a permis au groupe d’élèves en question de faire une
prise de conscience sur leur réaction devant une situation "mathématique". Un
PPP avec le même problème le lendemain de l'enregistrement a eu un effet
immédiat.Le visionnement du clip a suscité des conversations très riches dans
cette classe.
Céline:Pour le reste, un groupe de titulaires de 2e année en parcours a visionné
ce clip et là aussi, les conversations ont été riches. Plusieurs questions ont été
posées. Par exemple,... - Que faisons-nous pour provoquer ce comportement? Que peut-on faire pour défaire cette quête d'une réponse numérique à tout prix,
peu importe si elle n'a aucun sens? - Dans nos classes, est-ce qu'on privilégie la
vitesse? la réflexion? la réponse? les questions fermées?
Céline:Plusieurs observations aussi... - le court laps de temps de réflexion que
s'accordent les élèves pour produire une "réponse" dans le cas où ils ont trouvé
"30".- on entend clairement "25 moutons et 5 chiens c'est 30" avec une voix
assurée- quelques estimations avec justification :) Mmmmm... vieux à quel âge?
Les réponses sont parfois douteuses :)
Céline:Que faire pour changer la perspective face à "être vieux" ? Hi hi hi
Louis P Houle:Merci pour la web conférence, je dois quitter. Vous avez fait un
super travail mesdames! Bravo!
Suzanne Pelletier:merci pour la bonne conférence web, je dois quitter.
Lise-Anne Roy:merci les dames
Serge:Finalement.... pas loin à aller!
Marc Goulet:Combien de mètres Serge?
Serge:0.15 ?
Serge::)
Marc Goulet:Es-tu certain?
Serge:c'est une bonne estimation
CSPGNO Sudbury:Grand merci les dames!! Excellente fin de semaine!
Serge:En effet... un grand merci Diane et Maude
Céline:Nous souhaitons amener davantage de participants? Est-ce possible
d'avoir une salle assez grande pour cela?
Marc Goulet:WOW! Quel beau site Geneviève! Au plaisir d'en prendre
connaissance en profondeur...
Serge:un record?
Serge:Personne ne voulait être avec moi :(
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:CSDCEO- 2 personnes
CSPGNO Sudbury:Nous étions 4 au GNO!
Claire, Véronic et Diane:3 personnes
Pierre Tranchemontagne:Nous sommes 3 ensembles, mais chacun était branché
avec notre propre ordinateur
Cindy Chauvin:CSCProvidence - 4 personnes
Céline:Une bonne raison d'inclure plus de gens dans les rencontres régionales?
:)
Lara:merci
Tina Ouellet:4 personnes
Angela Manolachi:Viamonde-2 personnes
Angela Manolachi:Merci mesdames!
Julie Bellavance:Merci Maude! Encore une fois, une très belle rencontre..
Marie-Hélène:Oui surtout pour ceux qui voyage dans le sud... plus de personne
pour les RR svp! :)
Dina Chartrand:Nous étions 3, chacun avec nos ordinateurs. Merci beaucoup!
Julie Mondoux et Anne B-Petroski:Nous étions 2 :o)
Serge:Je dois quitter... merci encore
Marie-Hélène:Merci!!!!!!!
Claire, Véronic et Diane:Superbe belle rencontre! Les discussions furent très
riches et intéressantes. Merci et à la prochaine!
Tina Ouellet:Merci beaucoup! Au plaisir de revivre une expérience semblable
bientôt !
France, Véronique et Julie (CECCE):Merci mesdames, à bientôt!
Natalie Ginglo-Robert:Merci beaucoup! :)
Marc Goulet:Encore merci! Même avec les difficultés techniques j'ai bien
apprécié!
Complétez la phrase Maxyme:Complétez la phrase. En 2015, je me souhaite de vivre l’expérience
professionnelle suivante:
Helene Matte:tout simplement de continuer à apprendre
Shana Verrier:de réussir avec succès mon spécialiste en lecture et de mettre en
oeuvre toutes les belles stratégies!
La Résurrection:Nous souhaitons nous perfectioner à faire l'intégration de la
technologie en salle de classe pour toutes les matières.
Louis P Houle:Qu'il y ait de plus en plus de technologie d'intégré à la pédagogie!
Dina Chartrand:D'avoir un état d'esprit en développement tout en apprenant
Tina Ouellet:... que chacun de nos élèves progressent à leur plein potentiel
CSPGNO Sudbury:évaluer la compréhension à l'intérieur des MA et des HP
Denise Lefebvre:...accompagner davantage les leaders dans les écoles en
numératie!
France, Véronique et Julie (CECCE):De continuer à vivre de beaux moments
avec les enseignants et les élèves et continuer à apprendre ensemble.
Pierre Tranchemontagne:Participer à NCSM/NCTM avec une équipe
(conseillers, direction d'école, membre de la haute gestion, enseignants) de notre
conseil; Réflexion approfondie sur les erreurs des élèves (comprendre le
pourquoi);
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:De continuer à explorer tous les
concepts mathématiques afin d'avoir une meilleure vision des grandes idées.
Jules Bonin-Ducharme:Je souhaite pouvoir mieux continuer d'appuyer les gens
que j'accompagne et de surtout respecter leur réalité pour pouvoir les ameners
un peu plus loin dans leur cheminement et dans mon cheminement aussi.
Angela Manolachi:Une bonne maîtrise des RA, critères de réussite, détails et
être habile à les co-construire durant nos accompagnements.
Bethann Thomas:Continuer à approfondir nos concepts en mathématiques et
l'art de questionner!!
Natalie Ginglo-Robert:Analyser, comprendre, apprendre, discuter, et cheminer
avec mes collègues et les profs dans des nouveaux domaines en
mathématiques!
Suzanne Pelletier:de continuer dans mon apprentissage et appuié les
enseignantes dans mon école
Denise Lefebvre:....moi aussi, Pierre!!!!! NCSM\NCTM!!!!!
Marc Goulet:Un séjour à NCTM... :o)
mireille bouchard:de continuer à enrichir mes connaissances et de bien les
transmettre aux enseignant.e.s avec qui je travaille.
Yves Rainville:être aussi efficace que possible avec l'intégration de la techno
Lise-Anne Roy:Je souhaite faire une différence dans mon école, auprès des
enseignantes et des élèves
Claire, Véronic et Diane:Miser autant en numératie que la littératie au sein de
notre école...Diane et Véronic
Sylvie Rondeau:de vivre des expériences de partage avec mes collègues de
mon conseil et dans la province afin d'accroître ma capacité pour rendre les
mathématiques plus accessibles et moins « épeurantes » pour les élèves et le
personnel enseignant
Denise Lefebvre:....développer la pensée critique chez nos élèves.
Pierre Tranchemontagne:(un à côté: je serai à NCSM/NCTM, donc s'il y a des
gens qui y vont, laisse-moi le savoir!)
Lynne Fry:Je veux continuer à améliorer mon questionnement en
mathématiques, pour amener les élèves à réfléchir davantage et peut-être
différemment à un problème donné.
Jules Bonin-Ducharme:Pierre T.: Je serai à NCSM/NCTM aussi!
Louis P Houle:développer certaines compétences du XXe siècle!
Céline:élaborer des projets enrichissants pour ma prochaine étape (retraite)
...très égoìste :)
Shana Verrier:continuer à pouvoir appuyer le personnel enseignant
Julie Mondoux et Anne B-Petroski:Que les élèves non seulement apprennent
mais comprennent les mathématiques :o)
TRACE 1 Mon hypothèse sur la cause du problème. Lara:présenter les stratégies pour additionner
Pierre Tranchemontagne:Quelle est l'erreur?
CSPGNO Sudbury:mon hypothèse est ajout... addition
Shana Verrier:utilisation des nombres repères - intervalles de 1 au lieu de
groupements 5-10
Marc Goulet:Selon Natalie et moi, nous croyons que les traces ne démontent pas
le point d'ancrage 5 et 10.
Quelles preuves cette trace apporte-­‐t-­‐elle quant aux stratégies d’enseignement? Lara:l'élève compte les 15 perles, les 5 perles, les 5 perles pour arriver à 25.
Lara:l'élève compte par bonds (intervalles de 1)
Angele Desrochers:L'élève utlise le dessin afin de démontrer sa compréhension.
Denise Lefebvre:L'élève utilise le processus de résolution de problème.
CSPGNO Sudbury:la trace illustrée démontre compte par intervalle de 1
cependant la phrase mathématiques par bond de 5?
Céline:Je pose l'hypothèse qu'on exige plusieurs procédures pour "résoudre un
problème". On voit du surlignage, des dessins, des opérations...
Quelles preuves cette trace apporte-­‐t-­‐elle quant à l’apprentissage de l’élève? Denise Lefebvre:L'élève comprend le problème, a le sens d'ajout et peut
représenter une quantité donnée.
Lara:l'élève comprend le problème
Lara:il ou elle a le sens d'ajout
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:À l'écrit il peut représenter une quantité
Shana Verrier:elle comprend le problème - elle a probablement compté dans sa
tête
Qu’est-­‐ce que ça me dit sur le savoir à l’étude? Qu’en pensez-­‐vous? Maxyme:Certains enseignants accorderaient un niveau 3 en communication et
d’autres un niveau 4. L’élève laisse des traces très claires, mais n’encercle pas
la réponse et n’écrit pas de phrase complète. Qu’en pensez-vous?
CSPGNO Sudbury:Dans le testing de l'OQRE la phrase complète est inscrite,
l'élève n'a qu'à inscrire la réponse donc est-ce nécessaire?
Shana Verrier:Ça dépend de l'objectif de l'activité et quelles sortes de traces ont
été modelées
Pierre Tranchemontagne:Je questionnerais si nous sommes en mode
"apprentissage" ou évaluation de l'apprentissage. Si c'est en évaluation de
l'apprentissage, je n'accorderais pas de note à ce travail, je tenterai de me baser
sur un plus grand étvantail de preuves...
France, Véronique et Julie (CECCE):Quel est le niveau scolaire de l'élève?
Helene Matte:n'est-ce pas le rôle de la communication de représenter la
stratégie?
Patrick:3e année Véronique
Shana Verrier:Selon moi elle communique bien ses résultats même s'il n'y a pas
de phrase complète - en conférence individuelle je lui demanderais de
m'expliquer son raisonnement
Lara:Difficile à dire puisque la communication peut être à l'oral et/ou à l'écrit. Estce que l'enseignant à questionner l'élève
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:Nous ne pouvons pas accorder un
niveau avec une seule question. J'appuie Pierre.
Roddy et Michel:nous sommes en accord avec sudbury
Denise Lefebvre:Par les traces, je peux voir que l'élève peut résoudre un
problème d'ajout et a la phrase "mathématique".
CSPGNO Sudbury:d'accord aussi avec Pierre
Natalie Ginglo-Robert:Selon Marc et moi, au niveau des traces écrites, l'élèves a
représenté le problème et écrit une phrase mathématique. Toutefois, on ne sait
pas comment elle est arrivé à 25, a-t-elle utilisé un outil mathématique, grille de
60? Alors, il faudrait demander à l'élève et ensuite donner un niveau de
rendement.
Céline:La communication idéale est-elle la publication écrite selon un modèle
prescrit par l'enseignant?
Jules Bonin-Ducharme:L'élève démontre de deux façon son résonnement; visuel
et phrase mathématique. N'est-ce pas communiquer?
Julie Mondoux et Anne B-Petroski:L'élève a communiqué clairement comme un
vrai mathématicien.
TRACE 2 Mon hypothèse sur la cause du problème. Natalie Ginglo-Robert:Selon Marc et moi, l'élève a fait des
regroupements. Probablement par 10 (16 groupes de 10) et un groupe de 5,
mais les traces ne nous donnent pas cette certitude là. Il faudrait lui demander.
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:L'élève éprouve de la difficulté avec la
valeur de position des nombres à l'écrit?
Natalie Ginglo-Robert:Pour la question 2, est-ce que l'élève pense que la
réponse doit être plus de mille car il utilise la grille de mille?
Quelles preuves cette trace apporte-­‐t-­‐elle quant aux stratégies d’enseignement? Céline:Demande-t-on beaucoup aux élèves de décomposer les nombres et
moins de les composer?
Helene Matte:Deande-t-on à l'élève de repréter et faisons l'hypothèse qu'il pourra
l'écrie symbolique
Céline:Y a-t-il une méprise liée aux fameux zéros en multiplication parce qu'il y a
un nombre qui finit par zéro dans l'opération? On aimerait lui parler...
Helene Matte:représenter..
Quelles preuves cette trace apporte-­‐t-­‐elle quant à l’apprentissage de l’élève? Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:L'élève peut représenter les nombres
de différentes façons.
France, Véronique et Julie (CECCE):L'élève semble pouvoir décomposer mais
ne peut recomposer le nombre.
Lara:élève décompose un nombre de 2 façons différentes
Pierre Tranchemontagne:@CECCE: et j'ajouterais qu'il/elle semble avoir de la
difficulté à écrier en chiffre un nombre en respectant la valeur de position
Denise Lefebvre:L'élève représente de deux façons, mais a de la difficulté à faire
le transfert de la représentation visuelle au symbolique.
CSPGNO Sudbury:L'élève aurait pu ajouter des nombres à sa première
représentation, la valeur de position semble un défi pour cet ou cette élève
Suzanne Pelletier:l'élève représente deux différentes manières mais ses
reponses ne sont pas claire peut-être le faire communique à l'orale sa réponse Qu’est-­‐ce que ça me dit sur le savoir à l’étude? TRACE 3 Mon hypothèse sur la cause du problème. Serge:Incompréhension du concept de la décimale
France, Véronique et Julie (CECCE):Est-ce que l'élève comprend la valeur de
position?
Helene Matte:Un confiance sur les connaissances antérieurs 3 fois 5 font 15, un
genre d'automatismes
Marc Goulet:L'élève ne comprend pas ce que représente 0, 5 mètre. Il n'a
probablement pas d'image mentale d'un mètre. En fait c'est un problème de
mesure.
Lise-Anne Roy:ne comprend pas l'addition des nombres décimaux
Lara:compréhension de la valeur de position
France, Véronique et Julie (CECCE):Marc, nous sommes d'accord l'élève aurait
bénéficié avoir un mètre devant lui.
Suzanne Pelletier:oui. cet élève aurait besoin d'un visuel devant lui (le mètre)
Quelles preuves cette trace apporte-­‐t-­‐elle quant aux stratégies d’enseignement? Helene Matte:algorithme traditionnelle, les nombres sont présentés à la verticale
France, Véronique et Julie (CECCE):L'élève ne semble pas se servir de ses
repères.Ex: 0,5 m est la moitié d'un mètre alors deux moitiés font 1 m.
Céline:Comment nomme-t-on ces nombres en classe? Dit-on 5 dixièmes.. ou
"virgule 5"?
Helene Matte:on utilise pas l'estimation
Lara:Cet élève a besoin d'utiliser le concret avant de passer à l'abstrait
Lara:Il ne maitrise pas nécessairement l'addition (algorithme traditionnel) pour
additionner les décimaux
Marc Goulet:limité aux nombres décimaux. représenter 0, 5 m par 1/2 mètre
devient plus concret.
Quelles preuves cette trace apporte-­‐t-­‐elle quant à l’apprentissage de l’élève? Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:L'élève fait une procédure sans
comprendre la valeur de position des nombres décimaux.
Denise Lefebvre:peut additionner les dixièmes avec les dixièmes, mais non pas
des dixièmes avec des centièemesd (valeur de position) Qu’est-­‐ce que ça me dit sur le savoir à l’étude? Serge:Si l'étudiant(e) avait le sens de l'estimation et de la mesure, il est clair que
cette erreur ne serait pas commise, car la réponse finale est plus "courte" que le
premier terme
Denise Lefebvre:L'élève n'a pas le sens du nombre décimal.
Quelles sont mes preuves? Maxyme:Notre modèle d’accompagnement me permet de mettre en oeuvre cette
composante: _______ Quelles sont mes preuves?
Céline:plusieurs activités d'apprentissage professionnelles se passent en classe
(modèle en W)
Céline:le projet ERETÉ est appuyé par un chercheur
Céline:notre modèle "2 mois - un focus" avec journées d'enquête est cyclique...
le tout est collaboratif
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:Nous avons un modèle qui met en
valeur l'effet du W.
Lise-Anne Roy:accompagnement au lieu de modelage pour l'enseignante
Lise-Anne Roy:Nos CAP sont en effet l'effet du W
CSPGNO Sudbury:ERETÉ, l'apprentissage professionnel par enquête, les
accompagnatrices permettent ce modèle
Shana Verrier:Nous nous fixons des objectifs précis à chaque CAP et nous
déterminons quelles preuves nous allons fournir. Entre les rencontres, nous
avons des séances informelles où nous partageons nos défis
Shana Verrier:Les objectifs sont toujours "top of mind"
Céline:On prévoit des "public lessons" sous peu avec des petites équipes.
(bansho)
Angela Manolachi:Selon nous l'ECAM permet de mettre en place ce type de
modèle, car on a la possibilité d'explorer de nouvelles stratégies tout en évaluant
leur pertinence.
Denise Lefebvre:Nous vivons l'ECAM.
Helene Matte:Céline de qui proviennent vos "publics lesssons"?
Céline:Nous...
Lara:suite à l'analyse des résultats, nous avons des accompagnements plus
ciblés pour plusieurs écoles. Donc en 1e l'analyse des résultats de l'école. Avec
le personnel, nous avons ciblé les besoins. L'accompagnement se fait à chaque
semaine hors de la classe et en classe. Il y a divers types de co-enseignement
qui se fait. On se base sur la recherche. Aussi, nous avons inclu les enseignants
ALF et enseignants ressources lors de la planification (CSDCCS)
Céline:pas nous mais nos équipes qui sont prêts à partager leurs tentatives et
d'inclure des observateurs dans le processus d'enquête
Shana Verrier:Je me présente comme co-apprenante avec l'enseignante.
France, Véronique et Julie (CECCE):Lorsqu'on vit des enquêtes et qu'on prend
le temps d'expliquer exactement ce que Cathy Bruce a dit -on est là pour essayer
des choses et apprendre, cela a un bel effet. Mais cela prend du temps...nous
travaillons beaucoup sur le "Mindset" (capsules dans les écoles)
Céline:Hélène, leurs classes deviendront des classes laboratoires... Des
collègues viendront prendre part à leur processus.
Cette composante est difficile à mettre en œuvre pour moi. Pourquoi? hypothèse Maxyme:Cette composante est difficile à mettre en œuvre pour moi. Pourquoi?
(hypothèses)
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:Notre impacte pourrait être plus grand
avec un plus grand nombre de rencontres.
Helene Matte:la composante "teacher directed" est difficile, en accompagnement
on entend "qu'est-ce que tu veux qu'on fasse?" L'accompagnateur est perçu
comme le leader. C'était mon expérience en cas .
CSPGNO Sudbury:Nous pensons que notre plus grand défi est le manque de
ressources humaines et le TEMPS:-(
Suzanne Gilbert:Certaines enseignantes ont de la difficulté à accepter le concept
d'accompagnateur versus le modelage. Graduellement, on voit la transition.
France, Véronique et Julie (CECCE):Hélène, nous sommes d'accord, avec
certaines équipes, les enseignants prennent leur apprentissage en main et avec
d'autre c'est plus difficile. Ca dépend de leur perception des CAP, ils ne voient
pas toujours qu'on est là pour apprendre tous ensemble et non pas pour être
dirigés par la personne qui anime.
Natalie Ginglo-Robert:Pour Marc et moi, le défi est de se rendre dans les salles
de classe pour observer et ensuite coobjectiver avec l'enseignante.
France, Véronique et Julie (CECCE):On pense que si les équipes d'enseignant
prennaient chacun leur tour à animer les CAP, cela pourrait aider à la prise en
charge.
Denise Lefebvre:Moi aussi Natalie, se rendre dans les classes et dans les
écoles.
Lara:Les enseignants ont peur de se faire juger
Denise Lefebvre:Cette année, nous avons des leaders dans les écoles. Dans la
plupart des écoles, c'est bien reçu mais pas toujours le cas.
J’ai des questions… Céline:En mode "tentative" dans les enquêtes .... *exploratory lessons" Combien de temps avant de pouvoir vraiment insérer les "public lessons" de
façon à ce que cela fasse partie de la culture?
CSPGNO Sudbury:Afin de faciliter la mise en pratique en classe, nous pensons
que les capsules pédagogiques sont prioritaires afin de mettre la table face aux
tentatives en salle de classe, le tout sécurise le personnel enseignant.
Culture d’enquête et de collaboration Maxyme:Comment définissez-vous ou créez-vous dans votre milieu une culture
d’enquête? Les enseignants connaissent–ils leur rôle dans le processus
d’enquête? Sont-ils conscients des enjeux? Avez-vous pris le temps d’identifier
clairement la question d’enquête ou la pratique dans laquelle vous désirez
investir?
Céline:On le vit! Le climat de confiance s'établit, l'intention se précise,...
Lara:l'objectif est établi avec les enseignants. Très souvent, on exploite la
recherche "GEE, monographie etc" avec les enseignants pour arriver à des
conclusions. ceci développe le climat de confiance.
Marc Goulet:Leadership partagé, les rôles changent selon l'intention des
rencontres.
France, Véronique et Julie (CECCE):Les enseignants qui sont à leur deuxième
ou troisième année en numératie connaissent davantage leur rôle et le rôle de
l'enquête ainsi que son impact dans le développement professionnel et
l'apprentissage des élèves . On voit la différence lorsque c'est leur première
expérience. L'idée ressortie dans le diagramme de la confiance est
primordiale! Ils ne doivent pas se sentir jugés.
CSPGNO Sudbury:Cette année nous avons ajouté la perpective ENGAGEMENT
à nos enquêtes et je pense que c'est un ajout collaboratif mais surtout très apte à
la redevabilité de chacun et chacune.
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:Les enseignants connaissent les
critères pour participer à l'équipe de collaboration. Tous les rôles sont bien
définis. Les enseignants savent dans quoi ils s'engagent.
Lara:Lorsque l'apprentissage de l'élève est au coeur de l'apprentissage. Ceci
permet de créer une culture d'enquête collaborative.
Développement des connaissances pédagogiques Maxyme:L’objectif de l’enquête est –il bien appuyé et nourri par la recherche?
L’analyse des travaux d’élèves permet –elle de questionner, d’expliciter et
d’influencer la pratique en salle de classe.
CSPGNO Sudbury:Nous avons cette année la collaboration d'un
chercheur/professeur de l'UdeT pour notre enquête en numératie, quelle
richesse!!!! Il nous accompagne dans l'analyse, la pratique réflexive et nous offre
des pistes pour le comment influencer nos pratiques avec les élèves.
Marc Goulet:Les dernières recherches sont au premier plan comme ressources.
Angela Manolachi:Notre équipe travaille sur l'étude du vocabulaire en maths afin
de déterminer son impacte sur l'acquisition des concepts à l'étude et la
communication du raisonnement en maths. On est en train d'essayer plusieurs
stratégies suggérées dans les GEEM , etc.
Céline:Les monographies, l'analyse, les observations, la pratique réflexive,....
Helene Matte:Je vous recommande les recherches sur le
cerveauhttp://prea2k30.scicog.fr/ressources/accesfichier/16.pdf
Discours professionnel Maxyme:Les enseignants font-ils preuve de redevabilité? Comment cette
dernière se manifeste-telle? Les conversations professionnelles permettent-elles
de générer de nouvelles connaissances ou d’évoluer pédagogiquement?
Céline:Documents collaboratifs (ex: google présentation avec une diapo par
profs avec photos et traces en lien avec une stratégie commune explorée) Conversations publiques dans les communautés GOogle?+
Expérience des élèves Maxyme:Comment documentez-vous les apprentissages des élèves? Les
apprentissages du groupe pour monitorer le progrès? Quels moyens peut-on
mettre en place pour que les élèves participent davantage à l’enquête?
Lara:tableaux de pistage (tout au long de l'apprentissage), traces d'élèves,
enregistrement vidéo ou audio
Lise-Anne Roy:tableaux de données, objectifs pour les élèves, travaux divers,
observations des profs,
France, Véronique et Julie (CECCE):être transparent avec les élèves et leur
montrer que nous sommes aussi en apprentissage.
En mars, j'aimerais qu'on aborde... Julie Mondoux et Anne B-Petroski:Nous étions 2 :o) Grand merci de nous avoir
conçu un 2 heures riches de discussions et de réflexions !!!!!
Sylvie Rondeau:Continuer à travailler avec Geneviève au sujet de difficultés
d'enseignement et d'apprentissage en mathématiques...
Sylvie Rondeau:Nous sommes 2
Sandra Julien Lapensée et Brigitte Boyer:Revenir sur les bases et les
incontournables sur le sens du nombre. Dans notre conseil, nous revenons
beaucoup sur les bases qu'il faut pour développer le sens du nombre chez nos
élèves.
Denise Lefebvre:Poursuivre avec EED en numératie.
Sylvie Rondeau:Avec Marian: il serait aussi intéressant d'explorer les
conceptions erronés par rapport au domaine ou au concept qu'elle explorera
avec nous (nous sommes 2)
Denise Lefebvre:Comment intégrer les fondements de base au niveau de la
pensée critique....comment faire PENSER nos élèves.
Natalie Ginglo-Robert:La dyscalculie...approfondir qu'est-ce que c'est, que fait
l'élève? Que font nous comme stratégie d'enseignement? Vidéos, ressources,
documents d'appui, etc.

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