massey ferguson 6460 dyna-6
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massey ferguson 6460 dyna-6
MASSEY FERGUSON 6460 DYNA-6 Présenté pour la première fois au Sima 2005, le 6460 équipé de la transmission Dyna-6 bénéficie d’un grand nombre d’automatismes et de la souplesse des six rapports sous charge. Le bouton principal sélectionne les automatismes de boîte. CABINE Comme dans un 200 ch ! La cabine du 6460 dégage une impression de confort. Grands et petits pourront trouver leur position de conduite grâce aux multiples possibilités de réglage offertes par le volant et le siège. Les espaces de rangement sont présents mais peu nombreux, et il manque un vrai compartiment pour stocker les documents car la boîte placée derrière le siège à cet effet est peu pratique. La visibilité sur l’avant est bonne mais elle est perfectible sur l’arrière car l’attelage est masqué par le bloc hydraulique. L’ambiance en cabine est agréable, avec un grand nombre de diffuseurs d’air et la climatisation de série. L’autorégulation de l’air conditionné n’est disponible qu’en option. Le 6460 est également le tracteur le plus silencieux de l’essai, avec seulement 71,5 dB à pleine charge répartis entre le bruit du moteur et celui de la transmission. La qualité de la finition est bonne mais les testeurs ont noté quelques petits problèmes de fiabilité. Ainsi, la jauge de carburant a fonctionné par intermittence et le commodo contrôlant les essuie-glace et les cligno- tants à rendu l’âme au bout de deux jours. Bien entendu, ce qui distingue surtout la cabine du Massey, c’est l’ordinateur de bord Datatronic 3. En couleur et bien organisé, il est doté d’une grosse molette sur le côté qui permet de naviguer entre les fonctions et de valider les choix d’un seul clic. Ce moniteur offre la possibilité de mémoriser des tâches répétitives en bout de champ. Une opération réalisée à l’arrêt comme sur les tracteurs à variation continue les plus sophistiqués. L’ambiance en cabine est digne d’un tracteur de forte puissance avec un ordinateur de bord et une ergonomie bien pensée. Mais la visibilité reste perfectible. Photos : RALF HEIL