Diagnostics 2014 - Nord Isère - Région Rhône

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Diagnostics 2014 - Nord Isère - Région Rhône
CONTRAT TERRITORIAL
EMPLOI FORMATION
NORD ISERE
ATOUTS ET FAIBLESSES
DU TERRITOIRE
2013
(Sources PRAO et CTEF)
Sommaire :
-
Pages 3 à 7
: portrait global du territoire
Page 8
: Principales réussites et points de vigilance
Page 9
: Zoom Industrie
Page 10
: Zoom Logistique
Pages 11 à 13
: Annexes
• Annexe 1 : Offre de formation initiale professionnelle
• Annexe 2 : Offre de formation en apprentissage
• Annexe 3 : Offre de formation Région – Pôle emploi – Agefiph
• Annexe 4 : Offre de formation post - Bac
ATOUTS ET FAIBLESSES DU TERRITOIRE
PRINCIPAUX
ENJEUX
PRINCIPALES
REALISATIONS 2012
Développer
la
mobilité
géographique pour les publics
en difficulté
(codes couleurs en référence avec
le plan d’action)
CTEF / CG / EPCI /CUCS : actions
pour lever les freins à la mobilité :
location de voitures
location de scooters
auto-école sociale
transport micro-collectif (VDD)
Un Territoire vaste et étendu, avec 140 communes, 2 SCOT, 4 CDDRA (Vals du Dauphiné, Isère Porte des Alpes,
Boucle du Rhône en Dauphiné et une partie de Rhône Pluriel), et une superficie importante ( ?)
Population totale = 285 474 habitants (2009) soit 24% de la population iséroise.
Un Territoire contrasté, avec :
- une agglomération (CAPI) de près de 100 000 habitants, qui représente 35% de la population et le cœur du
développement économique et commercial du territoire,
- 11 communautés de communes, qui couvrent le reste du territoire et représentent près des 2/3 de la population ;
ces EPCI comptent entre 5 000 et 25 000 habitants, avec des regroupements envisagés pour certaines dans le cadre
de la réforme des collectivités territoriales (Vals du Dauphiné),
- des populations fragilisées (jeunes sans qualification, bénéficiaires du RSA, travailleurs pauvres), notamment
concentrées dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville : 2 ZUS (Villefontaine et Chavanoz) et 8 quartiers
CUCS (sur les communes de Bourgoin-Jallieu, L’Isle d’Abeau, St Quentin Fallavier et Villefontaine).
Le territoire
Mobilité :
Un territoire très dépendant de l’automobile (étude Insee, 2012) et des transports en commun qui
restent insuffisants pour des horaires atypiques (travail posté dans l’industrie, grande distribution, employés
familiaux,…) et dans certaines parties du territoire, notamment les plus ruraux
Des migrations «domicile travail » importantes à l’intérieur du territoire mais également vers l’extérieur
(principalement vers l’agglomération lyonnaise), qui augmentent à la fois en volume et en périmètre (voir étude CDDRA)
(49% qui restent sur le territoire)
Evolution démographique
Une progression démographique élevée de 1,6% par an (0,9% au plan départemental, soit +70% pour la ZTEF
par rapport à l’Isère).
Un Territoire géographiquement attractif, à proximité des métropoles lyonnaise et grenobloise, et disposant
d’une très bonne accessibilité (route, rail, air) ; développement de la vallée urbaine du Nord-Isère, dans le
prolongement de la métropole lyonnaise.
Projets structurants du Territoire
Anticiper
les
besoins
Projets majeurs d’infrastructures (LGV Lyon-Turin, contournement ferroviaire de l’agglomération lyonnaise CFAL, formation du territoire
schéma de référence des territoires autour de Lyon St Exupéry),
Projets d’implantations d’entreprises et /ou d’activités : Village de Marques, maison d’accueil spécialisée (MAS)
de St Clair de la Tour, projets HERMES, activités médicales et de restauration autour du Médipôle, espace commercial
Place du Dauphiné de Tignieu-Jameyzieu (Tram Lyon – PDC), zone sur Pont de Beauvoisin)
en Etat / Région / PS : Mise en place
d’un démarche RH–GPEC T (moyen long terme)
Acteurs Institutionnels
Mobiliser les acteurs E/F du Groupes de travail CTEF :
Couverture territoriale globalement satisfaisante de la part des acteurs de l’emploi, mais une territoire
- Groupe « orientation - formation »
coordination des principaux acteurs et dispositifs à travailler :
- Groupe « alternance »
4 sites de Pôle Emploi (Bourgoin-Jallieu, La Tour du Pin, Pont de Chéruy et Villefontaine),
- Groupe « emploi – RH – GPEC T »
2 missions locales (ML Nord-Isère avec 5 antennes, et la MIJIR pour les cantons d’Heyrieux et de St Jean de
(Bonne mobilisation des acteurs)
Bournay),
3 CORTI (Coordination Territoriale pour l’Insertion /Conseil Général),
2 Contrats Urbains de Cohésion Sociale (sur les quartiers de la CAPI et à Chavanoz),
des opérateurs AIO présents sur le territoire (CIBC 38, MIFE Isère, CIDFF, AFPA Transition, …), mais sans doute
pas toujours avec une présence et une visibilité suffisantes pour les salariés ou les demandeurs d’emploi,
-
Des intercommunalités et des collectivités locales actives en matière de développement
économique, mais avec lesquelles il conviendrait sans doute de renforcer les articulations
économie / emploi / formation.
Implication des développeurs éco
des EPCI dans le Gpe « emploi –
RH »
L’activité économique
15 637 établissements en 2012 (+2% / 2011) dont une très forte proportion de TPE-PME (63% sans aucun salarié,
30% de 1à 9 salariés, 6% de 10-49 salariés, 1% de 50-249 salariés)
une part importante de l’activité industrielle (à retravailler) 9% des établissements et 26% des emplois
salariés, soit 17 262 salariés), avec des secteurs dynamiques et/ou porteurs d’innovation (textiles de mode et
techniques, éco-construction, agro-alimentaire, métallurgie, …). Toutefois, ce secteur doit opérer des
mutations économiques importantes (voir zoom industrie)
un secteur de la logistique très développé, mais assez difficile à cerner à la fois en terme
d’activités transport / entreposage (5875 salariés, soit 9% du total des effectifs salariés) et
commerce de gros intégré dans commerce / réparation automobile (12 986 salariés, soit 20% du
total)
de branches professionnelles (plusieurs conventions collectives et OPCA,…)
d’emplois périphériques en intérim, via les nombreuses enseignes implantées sur St Q. Fallavier
un secteur de la construction (9%), en légère baisse, mais avec des perspectives concernant l’éco-construction
et les grands projets d’infrastructures,
le secteur de l’agro-alimentaire (avec notamment la présence d’entreprises d’envergure nationale : AOSTE,
MARTINET, PASQUIER, COOPERL, DANONE, ..) plutôt stable mais très saisonnier
des secteurs avec des potentialités de développement : hôtellerie/restauration (814 établissements,
représentant 2282 salariés (effectifs en hausse régulière), santé / action sociale (1249 établissements, pour
4196 salariés),
des activités saisonnières (essentiellement sur la période de fév./mars à sept./oct.) dans l’industrie
(métallurgie/travail des métaux, IAA) et la logistique et le tourisme.
Développer la GRH dans les Démarches filières :
TPE/PME
Etat :
(favoriser une approche par -Groupe métallurgie, POE collective
filière)
parcours vers l’industrie
- GPEC Territoriale Textile
CTEF :
- 5 Sécurise’RA collectifs (avec des
entreprises du secteur industriel)
- Action d’accompagnement collectif
d’entreprises logistiques
- Action S’RA collectif avec des
entreprises de l’Eco-construction
- Formation d’un groupe d’intérimaire
à la logistique (co-financement FAF
TT via les APC T)
Etat/CTEF : implication du FAF TT
Un territoire d’entreprenariat et d’innovation :
au sein du gpe « emploi – RH »
riche de valeurs industrielles enracinées (textile, travail des métaux, ....)
disposant d’un tissu économique avec
• des entreprises leaders engagées dans des pôles de compétitivité (Minalogic, Tennerdis, Techtera, …),
• des pôles d’excellence et d’innovation (PIC, PIL’es, METIS)
• des projets collaboratifs sur l’éco-construction, le photovoltaique, …. , mobilisant des centres de recherche
(Grands Ateliers, CEA, …) , la R§D des grandes entreprises, et un projet de développement de plateforme
technologique (projet GPRA),
• des conventions de revitalisation (PLAYTEX, TECUMSEH, VALEO, PHOTOWATT,…) destinées à accompagner les
projets des entreprises pour le territoire.
Soutien au développement de la Suivi de la démarche Créafil des
• un taux de création d’établissements de 17% (16% pour la Région et le département)
création/reprise d’activité (mise en CDDRA
développement notamment des activités de services à la population en lien avec le développement
réseau)
démographique du territoire et les stratégies de développement économique des EPCI.
Des fragilités et des points de vigilance :
Développer la formation des CTEF :
Des niveaux de formation inférieurs aux moyennes départementales et régionales
publics en difficulté
-Formation « savoirs de base » et
Un part importante des emplois intérimaires (2,8 % de l’emploi, -10% entre 2011 et 2012), avec ses incidences sur
« modules courts professionnalisant »
les parcours professionnels (accès à la formation,…) et ses conséquences en cas de crise et de réduction des
des salariés des SIAE (projet porté par
effectifs (salariés non éligibles aux mesures d’accompagnement des PSE et des dispositifs de reclassement CRP /
AGEFOS-PME)
CSP),
- environ 170 personnes en AOF
les fragilités propres aux activités des prestataires logistiques (voir Zoom logistique)
- mise à plat des principaux dispositifs
des établissements appartenant à des grands groupes internationaux où les responsables doivent régulièrement
de formation du territoire
démontrer les avantages concurrentiels de leur site de production (productivité, qualité, R§D, réactivité,…)
Etat :
- Formation Compétences Clés : 683
entrées en formation sur le 1er
marché 2009/2012
Des potentiels à développer / accompagner :
Anticiper
les
besoins
en CTEF : Organisation d’une remontée
la création / reprise d’entreprises (évolution annuelle +18%)
formation
du
territoire
(GPEC
de besoins partenariale pour la
les perspectives de grands chantiers (LGV Lyon-Turin, CFAL), les opérations de rénovation urbaine
programmation collective
(Villefontaine, Bourgoin-Jallieu), le projet de Village de Marques, le projet urbain autour de l’ex-hôpital Pierre T)
(291 personnes formées en 2012)
Oudot (activités médicales et de restauration), ….
Le développement de groupements d’employeurs (GE, GEIQ, …), avec pour l’instant sur le territoire : le GEIQ
Etat : Soutien au développement de
CERA (transport voyageurs), GENI-LOG (logistique), GENI-PLURI (temps partagé, pluri – activité), le GEIQ BTP
Geni-pluri
Les ressources humaines
Actifs: 136 534 personnes (2009) (+2,4% / 2008) dont 47% de femmes
- taux d’activité : 75% (2009), supérieur à la moyenne iséroise (73%) et régionale (73%),
- 79% pour les hommes et 70% pour les femmes (respectivement 68% et 72% pour l’Isère),
- une croissance des actifs de 50% supérieure à celle du département (taux de variation annuel de 2% sur 1999 /
2007 contre 1,3% en Isère), avec sensiblement moins de seniors,
- d’un niveau de formation et de qualification inférieur à celui du département et de la région.
Actifs occupés
66 679 salariés dans le secteur privé (2012)(-1%/2011) répartis dans les secteurs d’activité de la manière suivante :
services : 43%
industrie : 26% (24% en Isère, 21% en Rhône Alpes, 19% en
commerce : 20%
France)
construction : 9%
Points de vigilance :
Enjeu régional d’articulation des
la problématique de non maitrise des savoirs de base, limitant les perspectives d’évolution
des départs à la retraite de salariés important dans de nombreux secteurs d’activité (textile, métallurgie, ….), dispositifs et des marchés Etat /
Région sur les compétences de
avec pour certains un déficit d’attractivité des métiers qui risque dé générer des difficultés de recrutement
base
Voir le « guide des dispositifs du
territoire Nord Isère »
En terme de catégories socioprofessionnelles (données Insee, 2009)
- Ouvriers : 29%
- Employés : 26%
- Agriculteurs : 1%
- Cadres et professions intermédiaires : 35%
- Artisans, commerçants, chefs d’entreprise : 7%
Une part plus importante des ouvriers (+ 7pts / Isère) et moindre pour les cadres et professions intermédiaires (- 7pts).
Développer la GRH dans les
TPE/PME
Demande d’emploi
20 267 demandeurs d’emploi (cat. A.B.C) au 30/06/2013, avec une augmentation annuelle de +10%
(+10 % pour le département et pour la région)
12 768 demandeurs d’emploi (cat. A) au 30/06/2013, avec une augmentation annuelle de 10%
Structure de la demande d’emploi au 30/06/2013 (cat A.B.C.) et évolution annuelle
- Part des femmes : 54%
- < 25 ans : 3850 (19%) (+11%)
- > 50 ans : 21% (+13%)
- DELD : 7910 (+15%)
- BEP-CAP : 44% (+ 12%)
- Pour motif de fin de contrat (22%) (+8%) (Intérim : +13%)
Points de vigilance :
DELD en augmentation annuelle de +15% (+ 33% sur 2 ans)
Seniors en augmentation annuelle de 13% (+30% sur 2 ans)
problématique des jeunes : jeunes demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi avec peu d’évolution sur 1
an (3850 inscrits, + 11%), 4 445 jeunes suivis par la Mission Locale Nord-Isère en 2010, soit une
augmentation de +5% / année 2009.
Les inscriptions pour fin de contrat (+30%), avec ses conséquences sur les parcours prof.
CG / CTEF : gpe « orientation –
Renforcer l’accompagnement
des publics éloignés de l’emploi formation »
Développer de l’alternance
Etat / CTEF :
- Gpe « alternance » (travail de
rapprochement offre / demande)
- Gpe « emploi – RH – GPEC T »
Sécurisation
des
parcours
professionnels des salariés
fragilisés
CIBC : PF de sécurisation des
parcours pro
Développer la formation des Plan Formation Emploi : Parcours
certifiant en électronique sur la Tour
publics en difficulté
du Pin
Les ressources humaines
CTEF/CG 38 : Groupe
« orientation – formation »
(projets à prévoir sur 2013)
Renforcer la formation postbac
Capi : Assises de l’enseignement
supérieur
Anticiper les besoins en
formation du territoire
Etat :
- GPEC Territoriale Textile, en lien
avec l’UNITEX
- Appui aux enjeux RH de la filière
Métallurgie : développement de
l’alternance, métiers en tension,
attractivité des métiers.
allocataires (foyers) du RSA dans le bassin Nord-Isère en septembre 2011, avec, par CORTI :
Vals du Dauphiné : 947 foyers, dont 557 au RSA socle
Porte des Alpes : 3848 foyers dont 2057 au RSA socle
Haut Rhône Dauphinois : 2280 foyers, dont 1400 au RSA socle
(données à compléter – infos des CORTI)
Les métiers rencontrant des difficultés de recrutement
•
Métiers peu qualifiés de l’industrie (voir Zoom industrie)
•
Métiers de l’aide à la personne / à domicile
•
Métiers de l’hôtellerie-restauration (service notamment)
•
Métiers du bâtiment (gros œuvre essentiellement)
• Pratiques de GRH :
Peu de structuration de la GRH au sein des TPE / PME (les recrutements se font souvent dans l’urgence)
Un recours important à l’intérim, notamment dans la logistique et l’industrie
=> Analyse des actions Securise’RA 2007-2012. (3 S’ra collectifs et 16 individuels)
-
Une satisfaction globale plutôt positive et qui crée de l’appétence sur cette thématique pour les chefs
d’entreprise (9/10 interrogés)
-
Des problématiques axées sur la structuration des RH :
-
o
Recrutement / intégration / fidélisation (12/16)
o
Accompagnement des mutations et développement de l’entreprise (3/16)
o
Identifier les besoins en formation et développer les compétences des salariés (2/16)
Des actions qui demandent du temps à l’entreprise mais qui constitue un réel investissement
Mobilité professionnelle : des actions existantes qui se sont renforcées en 2011 (PF de mobilité), mais qui
rencontrent des difficultés de mobilisation des publics (salariés et demandeurs d’emploi) et qui ne couvrent pas
l’ensemble du territoire de la ZTEF
Développer la GRH dans les CTEF : En l’absence d’animateur
TPE/PME
RH, mobilisation des
(favoriser une approche par développeurs éco. des EPCI
filière)
CTEF :
Mise en place de S’ra collectifs et
individuels :
- environ 30 entreprises
accompagnées (soit une centaine de
salariés)
- 1 S’ra collectif sectoriel sur l’écoconstruction
Enjeu 2011 : mieux coordonner
les acteurs autour de la PF de
sécurisation
Réponse territoriale à l’appel à
projet : Plateforme de
sécurisation des parcours prof.
(début janvier 2013)
Apport de Copilote7:
Forces-Faiblesses / Opportunités et Menaces du Territoire
Forces
Une stabilisation de l’ effectif de 2009 à 2010, et un gain de plus de
470 emplois de 2010 à 2011.
Des secteurs en fortes croissances et fortement représentés sur le
territoire :
Entreposage et services auxiliaires des transports (+ 1363)
Commerce de détail ( + 517)
Hébergement médico-social et social (+ 508)
Action sociale sans hébergement (+ 456)
Un territoire multisectoriel (diversité d’ activité, beaucoup de TPE/
PME…) qui favorise une certaine résistance à la crise.
Un territoire d’entreprenariat et d’innovation (entreprises leaders,
R&D, pôles de compétitivité, d’excellence et d’innovation fort taux
de création d’activité, projet collaboration en éco-construction,…)
Opportunités
Des secteurs d’ activité faiblement représentatifs mais porteurs :
Collecte et traitement des eaux usées
Collecte, traitement et élimination des déchets
(récupération)
Culture et production animale, chasses et services
annexes
Génie civil
Des mouvements d’ emploi positifs pour certaines activités en
cours et à venir :
Commerce de détails : le projet Villefontaine créera 556
emplois
Entreposage : Géodis à créer en février 2012 une
quarantaine d’ emplois suite à son implantation.
Des perspectives d’emploi liées à des projets
importants : Village de marque, Hermès, Lyon-Turin,
GPRA, dépendance (sanitaire et social), Logistique
d’Intermarché,,…
Faiblesses
Un territoire en déclin de 2007 à 2011 (-308 emplois)
De fortes pertes d’ emplois dans des secteurs en forte concentration de
salariés :
Commerce de gros (- 693)
Industrie automobile (-512)
Fabrication textile (-426)
Fabrication de machines et d’ équipements (-277)
Une chute du secteur de l’ intérim de 2007 à 2011 est observé (- 25 %)
Une économie trop dépendante de l’industrie et la sous-traitance
Des niveaux de qualification inférieurs aux moyennes régionales et
départementales
Menaces
Des réductions d’ effectifs sont prévues ou ont été réalisées
dans plusieurs activités :
L’ établissement Mermet (Fabrication de textiles) a
subi plusieurs réduction d’ effectifs sur l’ année
2012.
La fabrication de machines et d’ équipements est
un secteur en déclin avec Metal Industrie (Solymac
international) et Tecumseh qui ont réduit leurs
effectifs.
Un taux de salariés Intérimaires supérieur aux moyennes
départementales et régionales
ZOOM sectoriel :
Le secteur de l’industrie :
Le secteur de l’industrie manufacturière compte environ 1500 Etablissements et près de 18 000 salariés (évolution annuelle -4%) sur la ZTEF Nord Isère (soit 26% des emplois). Il a
connu une baisse progressive de ses effectifs (entreprises et salariés) entre 2007 et 2012, en lien notamment avec la crises de 2008 et l’augmentation du coût des matières
premières sur cette période.
Ce secteur regroupe deux types d’entreprises :
- Les entreprises traditionnelles en perte de vitesse et en recherche de reconversion / mutation :
Face à la concurrence mondiale et à la crise économique de 2008, la visibilité de ces entreprises en terme de commande s’est réduite de manière significative. Généralement
de petite taille et dépendantes de donneurs d’ordre (sous-traitance de rang 2 ou +), elles n’ont pas su mettre en place une stratégie prospective qui leur permettrait la
réactivité nécessaire. Elles rencontrent alors des difficultés de gestion de la main-d’œuvre : face à la fluctuation sur les carnets de commandes, les chefs d’entreprise ont
d’avantage recours à la flexibilité (CDD, intérim,…). La question de la Gestion des Ressources Humaines apparaît alors comme prépondérante. D’une part, le
manque d’attractivité sur ces métiers, en partie lié aux nombreux licenciements de ces dernières années, engendre des difficultés de recrutement et contraint l’entreprise à
mieux analyser et définir ses besoins. De plus, la question de la formation, et de la GPEC, notamment sur la gestion de la pyramide des âges, apparaissent secondaires,
alors qu’elles pourraient permettre de mieux sécuriser l’entreprise et les salariés.
Enfin, les difficultés de mobilité géographique, liées à la localisation excentrée de certaines entreprises, leur imposent de favoriser le bassin d’emploi comme « sourcing »,
d’où un lien important avec Pole Emploi.
-
Les entreprises en reconversion et/ou porteuses d’innovation :
L’innovation et à l’investissement ont permis toutefois à bon nombre d’entreprises de garder de la visibilité et de se développer. L’industrie se spécialise alors sur les
« niches » et les « produits mécaniques et connexes » à forte valeur ajoutée (high-tech, design industriel, ennoblissement,…). Le textile par exemple, en
déclin depuis de nombreuses années sur le territoire, s’est aujourd’hui diversifié et spécialisé (textile de luxe « made in France », textile technique de pointe, écoconstruction,…). Des innovations en termes de RH sont intéressante à relever (formation à l’autonomie des salariés, élévation et formalisation des compétences,
développement de certifications de branche, nouveaux emplois cadres, formation à la polyvalence, …).
Ces entreprises sont généralement plus attractives dans la mesure où elles proposent de meilleures perspectives et conditions de travail.
Néanmoins, elles ont aussi été frappées en 2012 par la crise économique est doivent recourir aujourd’hui à de nouvelles forment de flexibilité de
l’emploi (chômage partiel, prêt de main d’œuvre, annualisation du temps de travail, développement de la formation en substitution du chômage partiel,
intérim,…). Le recours au temps partagé apparaît peu utilisé.
L’agro-alimentaire semble aussi bien résister à la crise dans la mesure où ces entreprises se sont organisées pour répondre à la saisonnalité de la demande. Néanmoins, la
sécurisation des salariés saisonniers reste à faire évoluer.
Ce secteur industriel bénéficie notamment du travail d’appui des branches professionnelles, des organisations patronales (UDIMEC, GICOB) et de leurs organismes collecteurs
(ADEFIM, OPCALIA TMC,…). Conscients des problématiques de recrutement et de formation sur certains métiers (voir ci-dessous), ils sont investis sur divers territoires pour
contribuer à l’attractivité des métiers et la formation des demandeurs d’emploi. A l’instar du textile, ils proposent aussi des démarches de GPEC de manière collective.
Métiers en tension prioritaires dans l’industrie (source : UDIMEC)
- Soudeur/métallier
- Tourneur/fraiseur
- Chaudronnier
- Chef de ligne de production polyvalent
Toutefois, les impératifs de productivité et de qualité imposent bien souvent à l’entreprise d’être exigeante sur plusieurs critères (savoirs-êtres, rapidité, habiletés manuelles,
représentation 2D-3D,…). Le travail mené par Pôle Emploi, notamment sur la Méthode de Recrutement par Simulation (MRS), apparaît à plusieurs points de vu comme une approche
pertinente, car elle définit des tests en fonction des métiers concernés (tests d’habiletés, des niveaux de pré-requis,…). Cette méthode a ainsi permis de pourvoir un bon nombre de
poste pour les recrutements d’Hermès Textile sur Bourgoin-Jallieu (3 promotions de 10/12 DE formés depuis le 4ème trim. 2011).
ZOOM Sectoriel :
Logistique :
Le secteur de la logistique représente une part importante de l’emploi sur la ZTEF Nord Isère, estimée à environ 15 000 salariés, soit 25% de l’emploi salarié. Il constitue un atout
fort pour ce territoire dans la mesure où il s’agit d’un secteur avec de fortes perspectives de développement et des emplois non – délocalisables.
Toutefois, bien que très développé, le secteur de la logistique apparaît relativement peu structuré, et ce pour plusieurs raisons :
- La difficulté à faire la distinction entre les différentes activités de transport et entreposage
- L’appartenance à plusieurs branches professionnelles
- L’adhésion à des OPCA différents
- Le recours important à l’intérim qui rend la structure et les besoins d’emplois difficiles à analyser
- La juxtaposition de plusieurs réseaux d’entreprises via les groupements d’employeurs (GE ou GEIQ), les grappes (PIL’es), ,…
Concernant l’Emploi et la Formation, bien que des initiatives soient prises par certaines entreprises sur ces sujets, la prise en compte des publics peu ou pas qualifiés reste sensible.
En effet, les enquêtes menées par le Pole d’Intelligence Logistique Europe du Sud (PIL’ES) auprès de ses adhérents, font état d’une difficulté des chefs d’entreprises sur ces publics,
et principalement pour des raisons de savoirs-être (manque de motivation, absentéisme,…). Ce constat est partagé par différents acteurs.
L’enquête « alternance » du PIL’ES menée en 2011 démontre aussi que ce mode de recrutement/formation, encore très limité en volume (une vingtaine de contrats / an), est
essentiellement utilisé sur des postes « tertiaires » (RH, administratifs,…) de niveau III et plus, et très peu sur les postes « opérationnels » (cariste, préparateur de commande,…)
de niveau V ou IV, où les entreprises affichent des difficultés de recrutement. De plus, les salariés occupant ces postes, n’ont peu ou pas de qualifications spécifiques. Ces pratiques,
motivées par une recherche de rentabilité économique légitime, induisent une certaine dévalorisation des métiers chez les salariés et auprès des demandeurs d’emploi.
Le recours important à l’intérim, lié à une recherche de flexibilité et/ou d’externalisation de la Gestion des Ressources Humaines, a quant à lui des incidences fortes sur les parcours
professionnels (accès à la formation, précarité,…) ainsi que des conséquences observables sur la demande d’emploi, en cas de baisse de l’activité et/ou de réduction des effectifs ;
en l’occurrence, ces salariés ne sont pas éligibles aux mesures d’accompagnement des PSE et des dispositifs de reclassement. Enfin, dans la mesure où ces offres ne sont pas
toujours transmises à Pole Emploi, l’analyse et les moyens d’actions sont rendus plus contraints (pas dans les métiers en tension).
Enfin, à plus ou moins long terme, les chefs d’entreprises de la logistique vont devoir faire face à de nouvelles mutations / ré-organisations. En premier lieu, l’augmentation du prix
de l’énergie et l’érosion des marges, liée à une augmentation de la concurrence, va conduire ces dirigeants à innover et donc à développer de nouvelles compétences. Ensuite, la
reconversion des sites logistiques de 1ère génération, souhaitée par les institutions sur ce territoire, devra entrainer une réflexion sur de nouvelles manières de travailler dans ce
secteur.
Préconisations :
Face aux problématiques présentées ci-dessus, les entreprises ont une responsabilité sociétale d’anticiper et prévenir ces difficultés. D’autant que le CTEF soutien financièrement
l’action Logistic Expo du Pil’es qui vise à valoriser les métiers de la logistique.
En lien avec l’objectif principal du CTEF, d’adapter au mieux la formation et les dispositifs d’insertion/emploi aux enjeux du terrain, la contribution du Pil’es peut être importante. En
effet, par son réseau et sa connaissance du secteur, le Pil’es peut contribuer à permettre de développer une démarche de GPEC Territoriale, avec les entreprises, afin de collecter,
d’analyser et extrapoler ces informations à l’échelle du Territoire Nord Isère.
Pour cela, la Région Rhône Alpes est en mesure de d’accompagner la mise en place d’une démarche de GPEC T (accompagnement d’un collectif d’entreprises logistique par un
cabinet conseil spécialisé), associant nécessairement à terme les représentants des salariés.
Annexe 1 : Une offre de formation initiale professionnelle importante :
-
Lycée Aubry (Bourgoin – Jallieu) :
o
-
-
-
-
CAP et Bac pro structure métallique + CAP serrurier métallier
o
Bac pro technicien d’usinage
o
Bac pro maintenance des systèmes industriels
o
Bac pro métiers de la mode
o
Bac pro et BTS maintenance des véhicules automobile
o
CAP menuisier et ébéniste et CAP Tapissier d’ameublement en décors et siège
o
Bac pro ELEEC (Électronique, Energie, Equipement Communiquant
Lycée Elie CARTAN
o
CAP prêt à porter
o
Bac pro métiers de la mode (MDLM)
o
Bac pro Mise en œuvre des matériaux (MEOMIT)
o
Bac pro maintenance des équipements industriels (MEI)
- Lycée Paul Claudel (Villemoirieu)
o
Bac pro : conseil vente en alimentation, service en milieu rural
o
BTS Agricole : technico-commercial, service en milieu rural
- Lycée l’Oiselet (Bourgoin – Jallieu)
o
o
BAC STI (maintenance industrielle)
BTS Négociation et relation client
- Lycée privé du Guiers Val d’Ainan (Pont de Beauvoisin) :
o Cap service en milieu rural
o Bac pro services aux personnes et aux territoires
o Bac pro technicien vente conseil en produits alimentaires
- Lycée pro Gambetta (Bourgoin-Jallieu)
o
CAP restauration, CAP vente
o
Bac pro : accompagnement + soins et services à la personne + Compta /
secrétariat + Commerce
o
CAP Assistant technique en milieu familial et collectif
Lycée PRAVAZ (Pont de Beauvoisin)
o
Bac pro maintenance des équipements industriels (MEI) + Bac pro ELEEC
o
CAP moto et Bac pro maintenance des véhicules moto (MVO)
o
CAP froid et clim, CAP vente
o
CAP vente
o
o
Bac pro secretariat + Bac pro comptabilité
Bac pro : système électronique et numérique (SEN), MEI, ELEEC, +
tertiaire (compta, secrétariat)
o
BTS Technico commercial
Lycée DELORME (Isle d’Abeau)
o
CAP agent d’entreposage et de messagerie
o
Bac pro : exploitation et transport + logistique
o
BTS : assistant de gestion PME-PMI + QIABI (qualité des industrie agro-alimentaire et
les bio – industries
Lycée Léonard DE VINCI (Villefontaine) :
o
Spécialité audio – visuel
o
CAP et Bac pro vente / commerce
o
BTS + Licence Pro design industriel
o
Bac pro Accueil relation client et usagers
- Lycée pro l’Odyssée (Pont de Cheruy)
Annexe 2 : Une offre d’apprentissage qui couvre une bonne partie des secteurs d’activité, y compris sur les nouveaux métiers :
EFMA (Bourgoin) :
o
CAP : (métiers de bouche, coiffure, commerce, esthétique, mécanicien et
carrosserie auto)
o
Mention complémentaire (métiers de bouche, maintenance auto, stylistevisagiste)
o
Bac pro : maintenance auto et carrosserie
o
BP : métiers de bouche, coiffure
CFA BTP (Bourgoin) :
MFR La Grive (Bourgoin)
o
Bac pro service, accueil, relation client et usager
o
Bac pro commerce
MFR Le Village (St André le Gaz) :
o
CAP Électricien
o
Bac pro électronique, énergie équipements communicants
o
BP installation et équipements électriques
o
Bac pro : Electrotechnique Energie Equipements Communicants
o
Mention Complémentaire Technicien en énergies renouvelables
o
BP : Charpentier, maçon, menuisier, génie climatique, peintre
CFA UNICEM (Montalieu – Vercieu) :
o
Bac pro : Exploitation des transports, logistique
BTS : négociation et relation clientèle
CAP : charpentier, constructeur en canalisation TP, installateur sanitaire et
thermique, maçon, menuisier serrurier-métallier, 2nd œuvre BTP (peinture,
carrelage, plâtrier-plaquiste, électricien), menuisier installateur et fabrication
o
o
o
CAP : Maintenance industrie (matériaux de construction), conducteur d’engin
(TP et carrières), graveur de pierre, maintenance des matériels (TP), tailleur
de pierre
o
Mention complémentaire : Graveur de pierre
o
BP : conducteur d’engins de chantier (TP), métiers de la pierre
o
Technicien de production des matériaux pour la construction et l’industrie
CFA Transport-logistique (Villette d’Anthon) :
o
CAP : Transport voyageur, conducteur routier marchandise, déménageur
o
Diplôme d’Etat : ambulancier
MFR Le Chalet (St André le Gaz)
o
CAP menuisier fabrication et pose, Maintenance de bâtiments de collectivité,
installateur sanitaire, maçon, Mécanicien auto
o
o
BP menuisier
Bac pro Maintenance automobile
CFA FIPAG (Education Nationale) :
BTS Management des Unités Commerciales (BTS MUC) et BTS Négociation et
Relation Client (BTS NRC) au lycée Loiselet à Bourgoin-Jallieu (Isère).
BTS Qualité dans les industries alimentaires et bio-industries (BTS QIABI) au
lycée Philibert Delorme à L'Isle d'Abeau.
• Difficultés concernant l’apprentissage :
Taux de remplissage global des CFA autour de 60-80%. Cela s’explique entre autres par : les problèmes de mobilité géographique, des entreprises peu intéressées ou qui ne souhaitent
plus y avoir recours (manque de préparation des jeunes),…
le secteur industriel (métallurgie, travail des métaux) n’a pas de CFA sur le territoire (Moirans ou Beaurepaire), ce qui génère des difficultés pour une partie des jeunes et des entreprises
certains secteurs géographiques ne sont pas ou peu couverts par une offre en CFA (Pont de Beauvoisin, Pont de Chéruy,…)
la suppression des CAP et la mise en place du Bac Pro en 3 ans rebutent certains employeurs qui hésitent à signer des contrats d’une durée de 3 ans.
Des difficultés de remplissage récurrents sur certains métiers (automobile, industrie,…)
Annexe 3 : offre de formation pour les demandeurs d’emploi plutôt restreinte en nombre de place et en secteurs proposés : (programmation 2012-2015)
o
o
o
o
Métiers du transport – logistique
TP conducteur de voyageurs (AFT-IFTIM)
TP conducteur de marchandises (AFT-IFTIM)
TP cariste d’entrepôt (DESA group / Forma’log)
TP Préparateur de commandes (DESA group / Forma’log)
Professionnalisation CACES 1,3 et 5
Métiers de l’industrie :
Pré-certifications métiers industrie
CAP Serrurier – Métallier (Greta Lycée AUBRY)
CAP Conduite de systèmes industriels (Greta – Lycée E.CARTAN)
Certif techniciens d’études en mécanique (AFPA)
Métiers du Tertiaire :
Vendeur spécialisé en magasin (Greta – Lycée l’Oiselet)
CAP Assistant Administratif Polyvalent, complet (GRETA NI : entreprise d’entrainement pédagogique)
CAP Assistant Administratif Polyvalent, matières professionnelles (Greta NI : entreprise d’entrainement pédagogique)
Professionnalisation assistant de gestion commerciale (GRETA : entreprise d’entrainement pédagogique)
Professionnalisation : technicien comptable (GRETA : entreprise d’entrainement pédagogique)
Métiers du bâtiment :
Pré-certifications Bâtiment 2nd œuvre
CAP peinture Revêtement (GRETA : Centre permanent du bâtiment)
CAP Plâtrier – Plaquiste (GRETA : Centre permanent du bâtiment)
CAP Maçon (GRETA : Centre permanent du bâtiment)
Cap constructeur en béton armé du bâtiment (GRETA : Centre permanent du bâtiment)
CAP agent de maintenance polyvalent du bâtiment (Escale MPS formation)
o
Métiers de la sécurité :
o
Métiers de l’audiovisuel :
o
o
o
Agent de surveillance en sécurité privée + SST (MFR la Grive)
BTS audiovisuel (pour projets de création d’activité) (Lycée L. de Vinci)
Métiers de bouche :
CAP cuisine complet (Greta : Lycée Gambetta)
CAP cuisine matières pro (Greta : Lycée Gambetta)
Métiers de l’aide à la personne :
Titre pro : assistant de vie aux familles
DE auxiliaire de vie sociale (GRETA NI)
Métiers du tourisme :
Coordinateur projets en loisirs et tourisme adapté (MFR Chapeau CORNU)
Annexe 4 : une offre de formation post-Bac à renforcer
•
Lycée Léonard DE VINCI (VILLEFONTAINE) :
o
•
BTS Design de produits (Formation initiale)
o
BTS Communication audiovisuelle (Formation initiale)
o
Licence pro Design de produits et packaging (en Formation initiale/contrat pro et apprentissage)
o
Mention complémentaire Maquettes/Prototypes (Formation initiale et contrat pro)
o
BTS Audiovisuel (avec diverses options) (Formation initiale)
Lycée P.DELORME (ISLE-D’ABEAU)
o
BTS QIABI (Qualité dans les Industries Alimentaires et les Bio Industries) (Formation initiale)
o
BTS Assistant de Gestion PME-PMI (Formation initiale)
•
Lycée privé ST MARC (NIVOLAS-VERMELLE)
•
Lycée Paul CLAUDEL (VILLEMOIRIEU)
o
•
•
•
o
BTS Technico Commercial Option spécialité alimentaire (Formation initiale)
o
BTS Service en milieu rural (Formation initiale)
Lycée L’Oiselet (BOURGOIN-JALLIEU)
o
BTS Maintenance industrielle (Formation initiale et contrat pro)
o
BTS Assistant technique d’Ingénieur (contrat pro)
o
BTS Assistant de gestion PME-PMI (contrat pro)
o
BTS Négociation Raltion Clientèle (NRC) (Formation initiale, contrat pro et apprentissage)
o
BTS Comptabilité Gestion des Organisations (CGO) (Formation initiale et contrat pro)
o
BTS Management des Unités Commerciales (MUC) (contrat pro et apprentissage)
Lycée J-C AUBRY (BOURGOIN-JALLIEU)
o
BTS Industrialisation des produits mécaniques (IPM) (en apprentissage)
o
BTS Après-vente Automobile (contrat pro)
o
DEA Expert en automobile (Formation continue)
Lycée la Pléiade (PONT DE CHERUY)
o
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•
Prépa aux concours d’infirmier
BTS Commerce International
IFSO (CCI Nord Isère à VILLEFONTAINE) :
o
BTS Assistant de gestion PME-PMI (contrat pro et apprentissage)
o
BTS assistant de Manager (contrat pro et apprentissage)
o
BTS Négociation Relation Client (contrat pro)
o
BTS Compta Gestion des Organisations (contrat pro)
o
BTS Management des unités commerciales (MUC) (contrat pro)
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Licence Réhabilitation Performante en Energie des Bâtiments (formation initiale)
o
Licence Générale Economie Gestion (formation initiale)
o
Bachelor Responsable en développement Commercial et Marketing (Formation initiale)
AFT IFTIM (VILLETTE D’ANTON)
o
BTS Négociation Relation Clients (NRC) (Formation initiale)
o
TSTL (Technicien Supérieur en Transport et Logistique (niveau III) (Formation initiale)
o
CERELOG (Responsable en logistique) (niveau II) (Formation initiale)