La centrale nucléaire de Belleville sur Loire Une

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La centrale nucléaire de Belleville sur Loire Une
DOSSIER DE PRESSE
Janvier 2014
La centrale nucléaire de Belleville sur Loire
Une production d’électricité au cœur de la région
Centre
N’imprimez ce message que si vous en avez l’utilité.
EDF – CNPE de Belleville sur Loire
BP 11 – 18240 Léré
Fil Twitter : @EDFBelleville
SA au capital de 930 004 234 euros - 552 081 317 R.C.S. Paris
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+ 33 (2) 48 54 56 76
La centrale nucléaire de Belleville sur Loire
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FICHE D’IDENTITE DE LA CENTRALE DE BELLEVILLE SUR LOIRE
Date de mise en service
1987 pour l’unité de production n°1
1988 pour l’unité de production n°2
16.1 milliards de kWh, environ 4% de la production
Production 2013
nationale d’électricité d’origine nucléaire
Taux de disponibilité de 76.2%
Nombre d’unités de production
2 unités de production de 1 300 MW chacune
Puissance totale
Une puissance totale de 2 600 MW
Effectif total
736 salariés
226 salariés d’entreprises permanentes
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Communiqué de presse – bilan 2013
La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire constitue un atout essentiel pour répondre aux besoins de la
consommation d’électricité en France. C’est un acteur économique essentiel de la région Centre. En 2013, la
centrale de Belleville-sur-Loire, avec un taux de disponibilité (c’est-à-dire le rapport entre le temps où les unités
ont effectivement produit de l’électricité et le temps où elles auraient pu produire si les réacteurs n’avaient pas été
arrêtés) de 76.2%, a produit 16.1 milliards de kWh soit près de 100% des besoins de la région Centre, ce qui
représente 4% de la production nucléaire nationale.
La sûreté a constitué, cette année encore, la première des priorités pour les équipes de la centrale de Bellevillesur-Loire. En 2013, la centrale a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire 4 événements de niveau 1 et
39 événements classés au niveau 0 de l’échelle INES.
Cette exploitation en toute sûreté s’est faite en portant une attention particulière à la sécurité des personnes
intervenant sur nos installations, qu’elles soient d’EDF ou d’entreprises extérieures. En 2013, le taux de fréquence
d’accidents (c’est-à-dire le nombre d’accidents par million d’heures travaillées) est de 2 (5.3 en 2012). De même, la
centrale a porté une attention particulière aux rayonnements auxquels pouvaient être exposés certains de ses
salariés afin de les limiter au maximum. Ainsi, en 2013, aucun intervenant n’a dépassé 14 mSv, la
réglementation fixant la limite d’exposition pour les travailleurs du nucléaire à 20 mSv / an. Et la dosimétrie
collective (c'est-à-dire la dose moyenne reçue par mille travailleurs) s’est élevée à 1136 H.mSv (444h H.mSv en
2012, 870 H.mSv en 2011 et 2177 H.mSv en 2010).
En 2013, le respect de l’environnement est resté au cœur des préoccupations des équipes de la centrale de
Belleville-sur-Loire. Les rejets de la centrale sont ainsi toujours restés en deçà des limites autorisées et la centrale
a recyclé ou valorisé 92% de ses déchets.
Tout en continuant à faire de la sûreté la première de ses priorités et à améliorer en permanence ses
performances environnementales et de prévention des risques, la centrale de Belleville-sur-Loire se prépare
aujourd’hui à de nouveaux défis : renouveler ses compétences. En 2013, la centrale a ainsi accueilli 59 nouveaux
embauchés (soit 309 personnes nouvellement embauchées depuis 2008) et les salariés de la centrale ont suivi 89
300 heures de formation soit 121 heures par salarié.
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SOMMAIRE
1. La centrale de Belleville sur Loire au sein du parc nucléaire français
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2. La sûreté nucléaire, notre première priorité
7
Une activité réglementée et contrôlée en permanence
7
Une exploitation transparente
8
Les premiers enseignements tirés suite à l’accident de Fukushima
8
Une prise en compte des risques en lien avec les pouvoirs publics
9
La sécurité du site
10
3. L’environnement, une préoccupation au quotidien
11
4. Préparer l’avenir du site
13
Une réévaluation du niveau de sûreté des réacteurs
13
Des investissements pour préparer l’avenir
13
Une gestion rigoureuse des déchets radioactifs
14
Le choix du recyclage du combustible usé
15
5. La centrale de Belleville sur Loire, un acteur économique local incontournable
16
Des retombées économiques importantes
16
Favoriser l’insertion des jeunes et des personnes en situation de handicap
16
Des partenariats forts avec les acteurs locaux
16
6. Une information continue du public
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7. Chiffres clés 2013
21
8. Dates clés
22
Une production d’électricité au cœur de la région Centre
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1. La centrale de Belleville sur Loire au sein du parc nucléaire français
Les premiers réacteurs nucléaires, construits en France entre 1958 et 1966, appartenaient à la filière UNGG
(Uranium Naturel Graphite Gaz).
Ensuite, EDF a adopté une technologie américaine, plus efficace et moins coûteuse : le réacteur à eau pressurisée
(REP). Cette technologie a été déclinée sur chacun des 58 réacteurs, d’une puissance totale de 63 GW mis en
service entre 1977 et 1999, dont les deux réacteurs de la centrale de Belleville-sur-Loire en 1987 et 1988.
La centrale nucléaire de Belleville sur Loire appartient donc à un parc standardisé, ce qui permet de mutualiser les
ressources d’ingénierie, d’exploitation et de maintenance et de disposer, pour l’ensemble du parc de production
nucléaire, d’un retour d’expérience important.
En 2013, le parc nucléaire français
a produit 403,7 milliards de kWh.
La centrale de Belleville sur
Loire a, quant à elle, produit
16.1 milliards de kWh, soit près
de 4% de la production
nucléaire française d’EDF.
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2. La sûreté nucléaire, notre première priorité
La première des priorités de tous les acteurs de la centrale est la sûreté. A ce titre, plus de 89 300 heures sont
consacrées à la formation des 736 salariés de la centrale de Belleville-sur-Loire dont 1 650 heures sur simulateur,
réplique exacte de la salle des commandes afin de s’entraîner à faire face à tous types de situations, de la plus
simple à la plus complexe.
La centrale de Belleville-sur-Loire dispose d’une équipe en charge de la sûreté composée de 5 ingénieurs et
3 auditeurs qui s’assurent au quotidien que l’ensemble des règles de sûreté encadrant l’exploitation de la centrale
nucléaire est respecté. Organisés en astreinte, ils peuvent être sollicités, en dehors des heures ouvrables,
24 heures sur 24.
La culture de sûreté repose sur les compétences collectives et individuelles
acquises depuis le début de l’exploitation du parc nucléaire et développées en
permanence grâce à un investissement important dans la formation.
Une activité réglementée et contrôlée en permanence
Comme toutes les centrales nucléaires d’EDF, la centrale de Belleville sur Loire est soumise à des contrôles
réguliers de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), qui assure, en toute indépendance au nom de l’Etat, le contrôle
de la sûreté nucléaire et de la radioprotection pour protéger les travailleurs, les riverains et l’environnement des
risques liés à l’exploitation nucléaire.
L’ASN est la seule habilitée à autoriser la mise en service ou la poursuite de
l’exploitation d’une centrale nucléaire en France. La loi du 13 juin 2006 relative à
la transparence et à la sécurité en matière nucléaire (dite « loi TSN » et désormais
intégrée dans le Code de l’environnement) en a fait une autorité administrative
indépendante.
En 2013, 19 inspections ont été réalisées sur la centrale de Belleville sur Loire, dont 1 en présence de la
Commission Locale d’Information sur la thématique Grand-chaud/Grand-Froid et 6 de façon inopinée. Ces
inspections donnent lieu à des « lettres de suite », publiées sur le site internet www.asn.fr. La centrale a alors deux
mois pour répondre aux remarques faites par l’ASN et exposer, si besoin, les actions mises en place.
Suite à une année 2012 marquée sur le plan environnemental par plusieurs écarts, l’ASN a demandé, le
17 décembre 2013, à la centrale de Belleville, de réaliser des actions permettant d’améliorer la maîtrise des
activités à risque environnemental. Cette décision est une opportunité pour le site de conforter le Plan Rigueur
Environnement lancé en mars 2013.
De plus, les centrales nucléaires d’EDF sont régulièrement évaluées au regard des meilleures pratiques
internationales par les inspecteurs et experts de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA).
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Une exploitation transparente
Tous les événements nucléaires, y compris les plus minimes, survenus à la centrale de Belleville sur Loire, sont
déclarés à l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et rendus publics. Ils sont classés selon une échelle de gravité
internationale dite « échelle INES » (International Nuclear Event Scale).
L’échelle INES va de l’écart sans conséquence de niveau 0 à l’accident le plus grave
de niveau 7, coefficient attribué à l’accident de Tchernobyl et, plus récemment, à
celui de Fukushima
En 2013, la centrale de Belleville sur Loire a déclaré 39 événements de niveau 0 et 4 évènements de niveau 1.
Parmi ces événements, 1 événement de niveau 1 est commun à plusieurs réacteurs : il est appelé « générique ».
Les premiers enseignements tirés suite à l’accident de Fukushima
Comme toutes les centrales du parc nucléaire d’EDF, dans le cadre des évaluations complémentaires de sûreté
demandées par le premier ministre François Fillon à la suite de l’accident de Fukushima, la centrale de Bellevillesur-Loire a rédigé un rapport d’expertise technique extrêmement complet.
Ce rapport, première étape dans le cadre des évaluations, a été remis à l’ASN le 15 septembre 2011, comme les
18 autres rapports des centrales françaises.
Les premières conclusions de cet exercice ont montré que la centrale de Belleville-sur-Loire, comme toutes les
centrales nucléaires, est robuste et présente un bon niveau de sûreté et de résistance aux différents aléas tels que
le séisme, l’inondation, la perte des alimentations en eau et électricité.
En parallèle de ce travail d’expertise très approfondi réalisé par EDF (en ligne sur www.edf.com et www.asn.fr),
l'ASN, avec l'appui de l'IRSN, a mené ses propres inspections sur le site de Belleville-sur-Loire du 16 au 17 août
2011 afin de se forger sa propre vision de la situation de la centrale. L’ASN a rendu son avis final pour l’ensemble
des 19 centrales, au premier ministre le 3 janvier 2012.
L’avis rendu par l’Autorité de Sûreté Nucléaire a confirmé le bon niveau de sûreté de la centrale de Belleville-surLoire.
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A la suite de ces évaluations complémentaires de sûreté, EDF a mis en œuvre les améliorations jugées
nécessaires par l'ASN pour répondre aux situations nouvelles extrêmes considérées, suite à l'accident de
Fukushima.
Ces travaux sur les centrales existantes et en construction visent à renforcer la robustesse, ainsi qu’à assurer des
marges de sûreté supplémentaires aux installations face :
- aux risques de séisme et d’inondation,
- à la perte simultanée de la source de refroidissement et des alimentations électriques,
- aux conséquences en cas d'accidents graves,
A ce titre, EDF a engagé un plan d'actions qui s’étalera sur plusieurs années, conformément aux prescriptions
techniques de l’ASN, comme par exemple :
 la mise en place de la Force d’Action Rapide du Nucléaire (FARN) qui est désormais capable d'intervenir,
en cas d’urgence, sur n’importe quel site nucléaire en France pour secourir 2 réacteurs. 4 bases ont été
installées à Civaux, Dampierre, Paluel et Bugey qui sont déjà partiellement opérationnelles. L’objectif est,
qu’à fin 2014, la FARN soit en capacité d’intervenir de façon simultanée sur 4 réacteurs d'un site, et à fin
2015 simultanément sur 6 réacteurs, permettant ainsi de couvrir tous les sites nucléaires français d’EDF.
 la construction sur chaque site d'un nouveau Centre de Crise Local (CCL) capable de résister à des
agressions de types séisme ou inondation bien au delà du référentiel actuel (exemple de séisme de
période de retour de 20 000 ans) et dimensionné pour gérer un accident grave simultanément sur tous les
réacteurs d'un site. Le premier CCL sera opérationnel en 2016 pour le démarrage de Flamanville 3.
 l'installation d'un diesel d’ultime secours sur l'ensemble des 58 réacteurs avant 2018. Le principe est de
disposer d'une alimentation électrique supplémentaire en cas de défaillance des 2 alimentations externes
et des 2 alimentations internes déjà existantes.
Au total, les dispositions complémentaires qui seront mises en place suite aux évaluations complémentaires de
sûreté représenteront un investissement d’environ 10 milliards d’euros pour l’ensemble du parc nucléaire, dont la
moitié était déjà prévue dans le cadre des travaux relatifs à la durée de fonctionnement des tranches à partir de
l’atteinte de 40 ans d’exploitation.
Une prise en compte des risques en lien avec les pouvoirs publics
En 2013, 32 exercices (7 exercices de crise et 25 exercices incendie) ont été organisés à la centrale pour tester les
organisations et apporter des améliorations. Ces exercices ont aussi été l’occasion de vérifier l’efficacité des
dispositifs d’alerte et de la gestion technique des accidents. Car, si la probabilité d’accidents reste extrêmement
faible en raison des multiples dispositions prises à la conception et en exploitation, la gestion des risques passe
par la mise en place de plans d’urgence, impliquant l’exploitant et les pouvoirs publics, permettant de faire face à
tout type de situation :

le Plan d’Urgence Interne (PUI), sous la responsabilité d’EDF.

le Plan Particulier d’Intervention (PPI), sous la responsabilité du préfet et des pouvoirs publics afin de
prendre les mesures nécessaires pour protéger les populations ainsi que l’environnement en cas de risque
de rejets.
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La sécurité du site
La protection des installations nucléaires contre les risques externes liés à l’activité humaine, tels que les chutes
d’avion, les actes de malveillance ou de terrorisme, a été prise en compte par les pouvoirs publics et EDF depuis le
démarrage de ses centrales. Chaque site dispose d’équipes dédiées à la protection des installations (salariés
d’EDF et d’entreprises permanentes), 24h/24 et 7 jours/7.
En complément de la présence de ces équipes, des dispositions ont été prises pour construire trois niveaux de
défense :
-
la prévention des actes de terrorisme, réalisée notamment par les services de police et de renseignements.
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, des mesures spécifiques ont été mises en œuvre, dont
l’installation de pelotons de gendarmerie à proximité des centrales ; la centrale nucléaire de Belleville sur Loire
dispose d’un peloton composé de 38 gendarmes depuis septembre 2012 ;
-
la protection physique des installations, via des dispositifs relevant de la conception des ouvrages et de
l'exploitation des installations nucléaires, de manière à résister à de nombreux scénarii d'accidents, y compris
les actes de malveillance ou de terrorisme ;
-
une organisation de crise éprouvée, qui permettrait de gérer et de limiter, en lien avec les pouvoirs publics, les
conséquences d’un accident quel qu’il soit.
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3. L’environnement, une préoccupation au quotidien
La centrale nucléaire de Belleville sur Loire est intégrée dans son environnement. Toutes ses nuisances
potentielles – radioactivité, chaleur, bruit, rejets chimiques, impact esthétique – ont été prises en compte dès sa
conception ; elles sont contrôlées en permanence, dans le cadre d’une réglementation stricte.
Avant même la construction du site, EDF a procédé à un bilan radio écologique initial du site et fait réaliser, chaque
année, par des laboratoires extérieurs qualifiés, une étude radio écologique et hydro biologique afin de suivre
l’impact de ses installations sur les écosystèmes.
En juillet 2004, l’ensemble des centrales nucléaires a obtenu la certification
environnementale ISO 14001. Cette norme internationale certifie l’existence et
l’efficacité des démarches environnementales en vigueur. La centrale nucléaire de
Belleville sur Loire a obtenu sa certification en 2003 et a passé avec succès son
audit de suivi ou de renouvellement en 2010.
En juillet 2004, l’ensemble des centrales nucléaires ont obtenu la certification
environnementale ISO 14001. Cette norme internationale certifie l’existence et
Une dizaine de l’efficacité
personnes au
de la centrale
nucléaire de Belleville-sur-Loire
permanence
dessein
démarches
environnementales
en vigueur. La travaille
centraleennucléaire
de à la
maîtrise des impacts
de l’exploitation et
à la surveillance
de l’environnement
du son
site. audit de suivi ou
Belleville-sur-Loire
a obtenu
sa certification
en 2003 et autour
a passé
de renouvellement
preuve
l’amélioration
sa démarche
d’amélioration
Les contrôles réalisés
par les équipesen
de 2010,
la centrale
sontde
nombreux
et, pourde
beaucoup,
quotidiens.
continue.
En 2013, à la centrale de Belleville-sur-Loire, environ 12 000 analyses et 4 000 mesures ont ainsi été réalisées
pour contrôler les rejets et leur impact sur l’environnement. Ces mesures montrent des résultats largement endessous des limites annuelles réglementaires. La centrale publie mensuellement l’ensemble des résultats réalisés
sur son site internet http://belleville.edf.com.
Contrôle permanent des rejets
Surveillance de l’environnement
er
Depuis le 1 février 2010, comme l’ensemble des autres acteurs du nucléaire (CEA, Andra, Marine nationale, etc),
la centrale de Belleville-sur-Loire transmet également les résultats de sa surveillance de l’environnement au réseau
national de mesures de la radioactivité dans l’environnement, réseau mis en place par l’IRSN. L’ensemble de ces
données sont disponibles sur le site internet www.mesure-radioactivite.fr.
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Conformément à l’article L. 125-15 et L. 125-16 du Code de l’environnement, tous les événements
environnementaux, y compris les plus minimes, survenus à la centrale de Belleville sur Loire, sont déclarés à
l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et rendus publics. En 2013, la centrale de Belleville sur Loire a déclaré
4 évènements environnementaux.
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4. Préparer l’avenir du site
Une réévaluation du niveau de sûreté des réacteurs
La centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire a été conçue pour une durée d’exploitation d’au moins quarante ans.
C’est l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) qui émet un avis sur la poursuite d’exploitation pour 10 années
supplémentaires à l’issue des visites décennales. La visite décennale intègre une réévaluation et un réexamen de
sûreté afin de prendre en compte les progrès technologiques et le retour d’expérience de l’ensemble des
installations nucléaires dans le monde, puis d’effectuer les modifications nécessaires en augmentant toujours le
niveau de sûreté de l’installation.
Les prochaines visites décennales, déterminantes pour la poursuite de l’exploitation de chacun des réacteurs de la
centrale nucléaire de Belleville sur Loire, auront lieu en 2019 pour l’unité de production n°2 et en 2020 pour l’unité
de production n°1.
Trois types d’arrêts sont programmés pour un réacteur, tous les 12 ou 18 mois,
pour recharger le combustible et réaliser la maintenance de toutes les
installations :

l’arrêt pour simple rechargement du combustible

la visite partielle, consacrée au rechargement du combustible mais aussi
à un important programme périodique de maintenance.

la visite décennale, qui conclut des contrôles approfondis et
réglementaires des principaux composants que sont la cuve du
réacteur, le circuit primaire et l’enceinte du bâtiment réacteur.
Des investissements pour préparer l’avenir
En 2013, EDF a investi plus de 3,5 milliards d'euros dans le parc de production nucléaire en France afin de
maintenir et améliorer en continu le niveau de sûreté et de performance des installations.
Pour aller plus loin :
- environ 1,5 milliard pour la rénovation ou le remplacement des gros composants tels que les générateurs de
vapeur, les transformateurs ou les alternateurs et la maintenance des matériels ;
- environ 1,5 milliard pour les visites décennales et les améliorations de sûreté déployées à cette occasion, et pour
le déploiement des premières mesures post-Fukushima ;
- environ 500 millions pour la maintenance courante.
La centrale de Belleville sur Loire a investi plus de 46 millions d’euros, ce qui permet de conserver en permanence
les installations dans un état optimum pour un fonctionnement en toute sûreté.
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Au cours de l’arrêt programmé de l’unité de production numéro 2, du 2 août au 15 novembre, des actions ont été
mises en place afin d’améliorer la gestion, le contrôle et le suivi des manutentions s’opérant entre le bâtiment
combustible et le bâtiment réacteur. La machine de chargement des assemblages combustible a été rénovée et
dotée de nouveaux outils d’assistance au chargement, notamment d’une fonction vidéo permettant de visualiser,
sous eau, les opérations de manutention et les numéros d’identification des assemblages. Après une première
opération de remplacement en 2010, le condenseur de l’unité de production n°2 a été entièrement rénové en 2013.
Des épreuves hydrauliques ont été conduites sur les parties primaire et secondaire de l’installation. Une épreuve
hydraulique consiste à remplir les capacités entièrement en eau et à les pressuriser au-delà des conditions
normales de service pour vérifier l’absence de fuite. Un organisme indépendant habilité, l’APAVE, était présent lors
de l’épreuve, à l’issue de laquelle, les matériels sont requalifiés et déclarés disponibles pour leur remise en
exploitation.
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Une gestion rigoureuse des déchets radioactifs
L'exploitation de la centrale de Belleville sur Loire, comme toutes les centrales nucléaires, génère des déchets
radioactifs qu'elle gère avec la plus grande rigueur :


des déchets radioactifs dits « à vie courte », qui perdent au moins la moitié de leur radioactivité tous les
30 ans et contiennent 0,1 % de la radioactivité totale des déchets.
des déchets dits « à vie longue », issus du traitement du combustible nucléaire usé. Ce dernier est
constitué de 96% de matière recyclable en de nouveaux combustibles et 4% de déchets non recyclables.
Les progrès réalisés en matière de gestion de ces déchets ont permis de diviser par trois leur volume, sur
l’ensemble du parc, depuis 1985.
Le choix du recyclage du combustible usé
La stratégie d’EDF, retenue depuis les années 1980 en matière de cycle de combustible nucléaire, en accord avec
la politique énergétique nationale, est de pratiquer le traitement des combustibles usés (uranium recyclable et
plutonium).
Ce traitement permet d’une part, de valoriser la matière recyclable contenue dans le combustible usé pour produire
de nouveaux combustibles et d’autre part ; d’isoler les déchets radioactifs, non recyclables, et de les conditionner
sous une forme stable et durable qui évite toute dispersion de radioactivité dans l’environnement.
Aujourd’hui, EDF a engagé le démantèlement de 9 réacteurs définitivement
arrêtés situés sur six sites : Brennilis (Bretagne), Chooz (Champagne-Ardenne),
Chinon et St-Laurent (Pays de Loire), Bugey et Creys-Malville (Rhône-Alpes).
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5. La centrale de Belleville sur Loire, un acteur économique local
incontournable
Des retombées économiques importantes
Dès le lancement des chantiers en 1979, la centrale de Belleville-sur-Loire a participé au développement du tissu
économique de la région Centre et de la région Bourgogne.
Actuellement 736 salariés EDF travaillent sur site, ainsi que 226 salariés permanents d’entreprises prestataires et
38 gendarmes du PSPG, et 1 officier du SDIS, tout au long de l’année. A cela, il convient d’ajouter les salariés
d’entreprises prestataires lors des arrêts pour maintenance : de 600 à 2 000 selon le type d’arrêt.
Les entreprises locales sollicitées sont nombreuses : à titre d’exemple, les marchés passés avec les entreprises
locales pour la maintenance représentent 9 millions d’euros, soit une progression de 38% par rapport à l’année
2012.
De plus, la centrale contribue à la fiscalité locale à près de 50 millions d’euros, dont près de 7 millions d’euros pour
la seule taxe foncière.
Favoriser l’insertion des jeunes et des personnes en situation de handicap
La centrale de Belleville-sur-Loire assure le renouvellement de ses compétences par des recrutements réguliers :
309 depuis 2008 (41 personnes en 2008, 47 en 2009, 43 en 2010, 68 en 2011, 51 en 2012 et 59 en 2013) et
prévoit de réaliser encore près d’une cinquantaine d’embauches au cours de l’année 2014.
Elle s’implique aussi activement dans la formation des jeunes en apprentissage : 36 apprentis ont été accueillis en
2013 sur la centrale dans des domaines variés comme la conduite, les automatismes, la maintenance, la chimie, la
radioprotection, etc. De la même façon, elle favorise l’insertion professionnelle des jeunes en accueillant chaque
année près d’une cinquantaine de stagiaires.
La centrale de Belleville-sur-Loire s’engage également dans l’insertion des personnes handicapées dans le monde
du travail : en 2013, une personne en situation de handicap a bénéficié d’une embauche.
Le 22 octobre 2013, la centrale de Belleville-sur-Loire a organisé, en coopération avec le pôle emploi d’Aubignysur-Nère et l’association PEREN (Promotion de l’Emploi et des Ressources des Entreprises prestataires du
Nucléaire), un forum de recrutement des métiers du nucléaire, au Centre d’Information du Public de la Centrale
Nucléaire de Belleville-sur-Loire. L'objectif de cette journée était de faire découvrir les métiers du nucléaire que
proposent les partenaires industriels la centrale EDF de Belleville sur Loire. Ainsi, près d’une quinzaine
d’entreprises et de structures, ont été présentes pour s’entretenir en direct avec plus de 200 demandeurs d’emploi.
La centrale est également partenaire de l’association Trajectoires qui a pour objectif d’accompagner les
demandeurs d’emploi dans leur réinsertion professionnelle, en proposant différents services à destination du grand
public.
Des partenariats forts avec les acteurs locaux
La centrale s’implique tout au long de l’année auprès des élus et de tous les partenaires locaux.
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Chaque année, la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire parraine de nombreuses manifestations locales sur les
thèmes de l’environnement, de la solidarité et de la culture. En 2013, la centrale de Belleville sur Loire a soutenu
26 projets, pour un montant de 26 500 euros. La centrale inscrit ses actions de partenariat dans la durée, en faveur
de l’environnement, de la solidarité, du handisport et du patrimoine local.

L’opération « les Piles s’empilent », organisée par la centrale en partenariat
avec l’association pour la Qualité de Vie dans le Val de Loire, présidée par
Daniel Messelot, a permis de récolter pendant l’année scolaire 2012-2013, plus
de 7 tonnes de piles usagées par les élèves des écoles primaires et des
collèges des environs. 36 établissements scolaires (3 276 élèves) du Cher, de
la Nièvre, de l’Yonne et du Loiret ont participé à cette 17ème édition, récoltant
en moyenne 2,09 kilogrammes de piles par élève.
La remise des prix a eu lieu mardi 18 juin 2013, au Centre d'Information du
Public de la Centrale nucléaire de Belleville sur Loire. Comme les années
précédentes, les meilleurs établissements scolaires ont été récompensés en
fonction du poids des piles récoltées.
François GOULAIN, Directeur de la centrale de Belleville, a remis aux établissements lauréats de chaque
catégorie un chèque et une coupe, en fonction du poids des piles récoltées et de la taille de l’établissement.
Le montant total des prix remis par la centrale s’élève à près de 1 400 euros.
La centrale de Belleville s’inscrit depuis de nombreuses années dans une démarche environnementale en agissant
au travers d’opérations concourant notamment à préserver l’environnement et la biodiversité.

La centrale de Belleville a fêté la nature du 22 au 24 mai 2013, en proposant un programme dont le contenu a
été labellisé en tant qu’action associée, par les organisateurs de la 7ème édition de la Fête de la Nature :

une conférence-débat est organisée, le jeudi 23 mai, à 18 heures, intitulée « le castor en Loire »,
animée par l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage du Cher (ONCFS),
Trois expositions :

« Redécouvrons les beautés discrètes de la nature » : Emmanuel
Bert, agriculteur de la région de Cosne-sur-Loire et photographe
amateur, nous a proposé de jeter un regard détaillé sur quelques uns
de ces insectes, qui bien que communs à nos jardins, nos haies ou nos
chemins passent souvent inaperçus à nos yeux.
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«Un voyage extraordinaire dans le monde des insectes » : Christophe Bergamaschi, photographe
amateur riverain et photophile, nous a proposé une véritable promenade dans un éphémère jardin, en
faisant un zoom spectaculaire et souvent insolite sur les insectes de toute espèce...
Une production d’électricité au cœur de la région Centre
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« Venez à la rencontre du castor de Loire et de son environnement ! » Crépusculaire et nocturne,
cet excellent nageur ne vit que dans l'eau et se nourrit exclusivement de plantes herbacées comme le
saule ou le peuplier... Cette exposition a été prêtée par l’ONCFS du Cher.
Le mardi 17 septembre 2013, la centrale de Belleville a poursuivi son engagement sur la route de l’écomobilité
et les modes de déplacement durables en organisant le « Belleville Green Mobility Day », une opération
exceptionnelle et unique qui s’inscrit dans une démarche forte d’engagement au quotidien de la centrale vers
des modes de mobilité durables participant à la lutte contre la pollution pour un monde avec moins de CO².
Enjeu environnemental, économique et social, la mobilité est au cœur
des préoccupations des collectivités locales, autorités organisatrices
des transports, des entreprises qui développent des plans de
déplacements ou des citoyens pour leurs trajets professionnels ou
personnels. Les transports électriques répondent à ces besoins sans
émettre de polluants locaux et en étant très silencieux. Dans ce
contexte, il est donc essentiel de partager l’information et les bonnes
pratiques dans le domaine de la mobilité électrique afin de permettre
aux décideurs d’acquérir une véritable connaissance de ce sujet. Cette journée avait pour but de sensibiliser,
d’éveiller et de susciter des comportements éco-responsables et économes en énergie, en faveur du
développement durable, tant dans la vie personnelle que professionnelle.
La centrale s’est associée à la société E.Lease, filiale du Groupe EDF, pour mettre en place une offre
permettant aux salariés le souhaitant de « franchir de pas ». Une vingtaine de salariés ont reçu la clef de leur
nouvelle voiture lors d’une cérémonie de remise des clefs officielle. A terme, la flotte accessible aux salariés
sera au nombre de 40 véhicules électriques. La centrale s’est également engagée dans le développement de
l’utilisation des véhicules électriques pour les besoins de service (navette des colis, tournée
environnement…).
De nombreuses actions pédagogiques et incitatives ont été également organisées pour les salariés EDF et
des entreprises prestataires de la centrale de Belleville, au cours de la semaine de la mobilité. Ce rendezvous résolument sous le signe de la découverte des moyens de déplacement de demain, était la suite logique
des « Journées de la Mobilité Electrique » qui s’étaient déroulées les 20, 21 et 22 septembre 2012.

La solidarité reste le meilleur remède contre la maladie. Comme chaque année,
les salariés de la centrale EDF de Belleville se sont fortement mobilisés pour
soutenir l’action de l’Association Française contre les Myopathies (AFM). Ils ont
concrétisé leur engagement solidaire au travers de dons financiers et de « dons
d’heures » convertis en euros par l'entreprise pour le Téléthon. Ces dons ont été
complétés par une participation financière de la centrale ; la somme totale des
dons et de la participation financière représente près de 14 000 euros.
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Par ailleurs, la centrale de Belleville est partenaire des communes de la
commune de Belleville-sur-Loire au sein desquelles diverses animations
sont proposées. Parmi celles-ci, une course en relais était organisée sur 8
communes riveraines, et le « Fil de l’Energie », parcours à vélo organisé par
EDF et dont les étapes sont des unités de l’entreprise.

La centrale de Belleville s’engage également dans des actions culturelles en
soutenant l’association Trait d’Union 58 avec le Festival du Cinéma de Cosne, l’association Val de Jazz, ou le
Musée de Varzy. Cette année, grâce à ce partenariat, lors de la Fête de la Science, le grand public s’est vu
proposer d’assister au CIP à une conférence intitulée « L'homme mis à nu autour d'une académie de François
Boucher» présentée par Jean-Michel Roudier, conservateur et Stéphanie Rabussier-Ringeval, attachée de
conservation du Musée.
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6. Une information continue du public
La centrale nucléaire de Belleville informe systématiquement le public de son fonctionnement et de son actualité :
-
Le centre d’information du public est ouvert à tous. Des visiteurs y sont accueillis tout au long de l’année et
des conférences pour les scolaires y sont données. En 2013, 3385 personnes ont bénéficié d’une
information sur le nucléaire au sein du centre d’information du public de la centrale et 1549 ont pu
prolonger la visite par une découverte des installations.
Tout au long de l’année, plusieurs journées à thème sont organisées, souvent en lien avec les associations
locales, avec pour objectif de faire découvrir nos métiers et sensibiliser aux activités liées à la production
d’électricité. (Fête de la science, Semaine du développement durable, Journée de l’industrie électrique,
Fête de la nature, etc.).
-
L’actualité du site nucléaire de Belleville, comme celle de tous les autres sites, est disponible sur les pages
dédiées
à
la
centrale
sur
le
site
internet
www.edf.com
ou
sur
son
tout
nouveau
compte Twitter @EDFBelleville.
-
La centrale met aussi à disposition des riverains un numéro vert pour se tenir informé de l’actualité de la
centrale, des modalités d’accès pour la visiter et disposer d’informations sur son fonctionnement, 7 jours
sur 7 : 0800 006 027.
-
Chaque mois, une lettre d’information, « En Direct », est envoyée aux medias, aux représentants
institutionnels, aux élus et à la population locale (près de 1 000 destinataires). Cette lettre présente les faits
marquants de l’actualité de la centrale de Belleville-sur-Loire et intègre les résultats mensuels des mesures
réalisées dans l’environnement du site, complétés par les résultats des rejets de l’installation.
-
Chaque année, conformément à l’article L. 125-15 et L. 125-16 du Code de l’environnement, la centrale
publie un rapport appelé « rapport transparence et sécurité nucléaire » dans lequel sont développés les
principaux résultats concernant la sûreté, la radioprotection et l’environnement de la centrale pour l’année
venant de s’écouler. Ce rapport est accessible depuis les pages dédiées à la centrale de Belleville sur le
site internet www.edf.com.
-
La centrale participe également à la commission locale d’information (CLI). Cette instance rassemble élus,
représentants des autorités publiques, experts en sûreté, représentants des milieux industriels et
associations de protection de l’environnement, elle constitue un lieu d’échanges et de relais de
l’information auprès du grand public.
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7. Chiffres clés 2013
Site
Nombre de réacteurs en service :
Nombre de réacteurs en déconstruction :
2
0
Production
Energie nette produite en milliards de kWh :
Part dans la production française d’énergie nucléaire :
16,1
4%
Effectifs
Effectif total (EDF et salariés extérieurs permanents) :
Salariés d’entreprises extérieures sur les arrêts :
Salariés permanents d’entreprises locales :
Embauches :
Apprentis :
Age moyen de l’effectif :
736
1500
226
59
36
38,5 ans
Retombées socio-économiques
Taxe sur les installations nucléaires :
Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) :
Imposition forfaitaire sur les entreprises de réseaux :
Redevance sur l'eau / pollution / Soutien Etiage :
Taxe foncière :
Autre redevances :
Taxe Chambre de Commerce et Industrie (CFE)
Contribution due sur les installations nucléaires de base (IRSN)
Imposition forfaitaire production THF et Nucléaire
Taxe sur les permis de construire
Taxe sur les véhicules
Investissements de rénovation des installations
21 500 340
6 645 559
30 321
4 905 193
6 856 690
526 274
1 406 000
7 998 650
11 280
5 720
14 186 634
Sûreté
Inspections de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) :
Investissements de maintenance :
Entraînements des équipes de gestion d’un événement :
Budget Arrêt Simple pour Rechargement
Budget Visite Périodique
Heures de formation :
Evènements significatifs pour la sûreté de niveau 1 ou plus :
12 programmées + 6 inopinées + 1 réactive
14 186 634
7 exercices
11 000 000
31 100 000
89 300 heures
4
Sécurité
Nombre d’accidents avec arrêt de travail :
Taux de fréquence d’accidents pour les salariés EDF et entreprises extérieures (par million d’heures de travail) :
5
2
Environnement
Prélèvements et analyses :
4000 prélèvements et 12 000 analyses
Evènements significatifs pour l’environnement (dont 0 événement significatif pour le transport)
4
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8. Dates clés
22 novembre 1978
Décret d’utilité public pour 4 unités de production
5 janvier 1979
Permis de construire pour 2 unités de production
15 janvier 1979
Démarrage du chantier de construction
Octobre 1981
1
1979 - 1982
Travaux de décapage et de terrassement
1980 - 1984
Construction de l’unité de production n°1
1980 - 1985
Construction de l’unité de production n°2
1985
2
ère
autorisation de prise d’eau et de rejets en Loire
ème
autorisation de prise d’eau et de rejets en Loire
ème
autorisation de prise d’eau et de rejets en Loire
1987
3
14 octobre 1987
Couplage au réseau électrique de l’unité de production n°1
6 juillet 1988
Couplage au réseau électrique de l’unité de production n°2
12 novembre 1994
La production atteint 100 milliards de kWh
1999
Première visite décennale de l’unité de production n°2
2000
Première visite décennale de l’unité de production n°1
4 janvier 2001
Nouvel arrêté de prise d’eau et de rejets en Loire
Juillet 2001
La production atteint 200 milliards de kWh
Janvier 2007
La production atteint 300 milliards de kWh
2009
Seconde visite décennale de l’unité de production n°2
2010
Seconde visite décennale de l’unité de production n°1
Octobre 2012
La centrale fête ses 25 ans et atteint 400 milliards de kWh de
production
N’imprimez ce message que si vous en avez l’utilité.
EDF – CNPE de Belleville sur Loire
BP 11 – 18240 LERE
Fil twitter : @EDFBelleville
SA au capital de 930 004 234 euros - 552 081 317 R.C.S. Paris
CONTACTS
Presse
Catherine Blandin : +33 (2) 48 54 50 11
Sylvie Vermote-Vivier : + 33 (2) 48 54 56 76
www.edf.fr
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