Saint-Nazaire - Club Affaires Atlantique

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La concession Audi Volkswagen déménage en avril
Ouest-France
Mardi 26 février
Full-contact : formation des juges-arbitres
L’ex-garage Moison, qui regroupe également face à la gare les marques Skoda et Seat, va prendre ses aises
hors de la ville. Il s’implante sur 19 000 m2 à Trignac, au bord de la voie express.
IGC Etudes
Samedi, le comité régional de full-contact organisait à St-Nazaire
une formation pour devenir juge arbitre départemental et régional.
Une esquisse très proche de ce que sera la nouvelle concession Horizon automobiles, au bord de la voie express.
Les usagers de la quatre voies n’ont
pas pu ne pas remarquer le bâtiment
qui prend forme, actuellement, à hauteur de Trignac. Il se situe au bord de
la nationale, non loin du radar, là où
se trouvait naguère un commerce de
bateaux d’occasion. C’est ici qu’emménagera, dans la première quinzaine d’avril, le concessionnaire Horizon automobiles qui regroupe les
marques Audi, Volkswagen, Seat et
Skoda.
Une opportunité à Trignac
Adieux donc l’ex-garage Moison
du quartier de la gare où elles se
trouvent actuellement. Cette enseigne nazairienne historique avait
ouvert dans les années 50, rue du
Commandant-l’Herminier, avant de
Loïc Cornuaille, directeur de la concession : « Nous serons bien placés ».
déménager quelques mètres plus
loin en 1975, rue de la Ville-Halluard.
En 2006, le groupe Jean Rouyer, 5e
distributeur automobile français basé
à Cholet, avait repris les bâtiments
pour en faire ce qu’ils sont aujourd’hui.
Une implantation provisoire : les marques automobiles ont des exigences
qui rendent bientôt nécessaire un espace plus dégagé que celui-ci. « Il y
avait surtout une pression d’Audi »,
confie le directeur du site, Loïc Cornuaille qui, en 2009, fait le tour des
points de chute envisageables.
Le « pôle automobile » d’Océanis ?
L’espace apparaît restreint. La zone
de Brais ? Echéance trop lointaine :
« Nous étions prêts de suite, eux
non ». Les discussions vont plus loin
avec Guérande qui cherche aussi à
attirer les concessions. Audi aurait
pu s’y installer et les trois autres marques se maintenir sur place, au prix
d’un réinvestissement.
Mais toutes les conditions n’étaient
pas réunies. Jusqu’à ce qu’apparaisse l’opportunité du terrain de
Trignac qui va permettra de tout regrouper au même endroit. Une superficie de 19 000 m2, pour accueillir
deux bâtiments : l’un de 1 500 m2
pour Audi, l’autre de 3 800 m2 pour
les trois autres concessions, avec
chacune son show-room (hall d’exposition), plus deux ateliers de mécanique munies de ponts neufs, un
atelier carrosserie et un parking « occasions ». De nouveaux locaux pour
la petite soixantaine de salariés d’Horizon automobiles.
« Une bonne visibilité »
Le contexte « compliqué » du marché automobile, comme le reconnaît
Loïc Cornuaille, représente évidemment un enjeu supplémentaire pour
ce déménagement. Mais le concessionnaire ne craint pas de quitter
Saint-Nazaire « intra-muros ». « Nous
serons bien placés, avec une bonne
visibilité. On parle de 120 000 voitures par jours sur cet axe ».
Quant aux locaux ainsi libérés, ils
étaient en location et vont donc revenir à leurs propriétaires. Pour la suite,
la Carene n’a jamais caché que cet
îlot situé entre la gare, la voie ferrée et
la rue de la Ville-Haluard l’intéressait
pour ses projets d’urbanisme. Elle
cherche a en obtenir la maîtrise foncière. Après la parcelle de l’ancienne
station-service proche du pont de la
Matte, où les travaux de dépollution
ne sont pas encore terminés, elle
va regarder au-delà en direction du
port.
Jean DELAVAUD.
Les stagiaires représentaient les clubs de Marzan, Indre, Donges, Saint-Andrédes-Eaux, Trignac et Saint-Nazaire.
Rencontre
Hugues Le François, président de la
ligue des Pays de Loire de full-contact
et disciplines assimilés.
Comment se porte le full-contact
dans le département ?
Nous avons huit cents licenciés en
full-contact et disciplines associés en
Loire-Atlantique. Il y a 18 clubs dans
les Pays-de-Loire dont 11 en LoireAtlantique. La Loire-Atlantique est de
loin département le plus important
au niveau des effectifs
Comme dans tous les sports et
principalement dans les sports
de combats, l’arbitrage est très
important ?
Pour chaque combat, trois juges et
un arbitre sont obligatoires, c’est un
minimum. À cela il faut ajouter la présence d’un médecin et d’un délégué
officiel.
À qui ses stages s’adressent ?
À tous les licenciés de notre fédération et c’est du volontariat. La formation se fait sur six stages d’une demi-journée validée à l’issue de trois
compétitions. C’est primordial que
nous formions des officiels. Le but et
que chaque club dispose d’un corps
arbitral. Il est possible de participer à
ces stages de formation à partir de la
catégorie benjamin.
Comment se déroule un stage ?
C’est un peu de théorie et beaucoup
de pratique avec de la mise en situation réelle. Certains jouent le rôle de
fulleurs et d’autres celui de juge-arbitre et inversement.
La saison de full-contact est bien
remplie ?
Elle s’étale sur 35 weed-end dans
l’année et comprend des comprend
des compétitions, des stages et des
formations
Saint-Nazaire en bref
3 arbres plantés square des Aviateurs à Penhoët
Commerce nazairien : l’UDB critique la Ville
La section Pays de Saint-Nazaire de
l’Union démocratique bretonne exprime « son inquiétude » sur l’avenir du commerce nazairien (notre
enquête du 21 au 23 février). L’UDB
pointe notamment « une politique
de travaux irréfléchie et menée
sans concertation a engendré de
nombreuses faillites et les vitrines
vides se multiplient dans l’avenue
de la République ».
Les magasins et les moyennes surfaces de centre-ville et de quartier
« Lien ElémenTerre », la ville, la maison de quartier et les écoliers de Paul Bert
ont planté 3 arbres au square des Aviateurs.
« Lien ElémenTerre », association nazairienne, regroupe plus de 90 personnes ; elle met en relation des personnes disposant d’un jardin mais
ne s’en occupant plus, avec d’autres
personnes qui souhaitent jardiner,
sans avoir d’espace pour cela. « L’association entend également s’impliquer dans la vie de la ville, pour une
autre idée du paysagisme urbain,
par le développement des jardins
partagés, la plantation d’arbres
fruitiers en ville et la multiplication
d’espaces destinés au jardinage »,
affirme Christina Brulavoine. C’est
dans ce cadre que nous avons pris
contact avec Gaëlle Bénizet-Tual,
élue du quartier de Méan-Penhoët,
pour lui proposer la plantation d’arbres fruitiers (2 pommiers et 1 poirier) ». La plantation s’est déroulée
vendredi, à 14 h 30, square des Aviateurs. Une classe de l’école PaulBert a aidé les jardiniers pour l’occasion. Pour répondre au mieux au
besoin des adhérents qui ne savent
pas ou peu jardiner, « Lien ElémenTerre » a aussi créé il y a un an, un
jardin école, appelé le « Jardin Ecol’ô », avec Alain, jardinier référent bénévole.
« Lien ElémenTerre », lien : http://lienelementerre.ouvaton.org
Des élèves de Sainte-Anne au Salon du chocolat
favorisent selon l’UDB le « maintien
du lien social et à la mise en place
d’une ville des courtes distances
prête à relever le défi du changement climatique et de l’épuisement
des ressources ». Le parti breton
préconise « le gel des nouvelles implantations de grandes surfaces en
périphérie, le développement de
pôles commerciaux de quartier, et
un aménagement du centre-ville visant à en améliorer l’animation et
l’accessibilité ».
Ces 11 élèves passionnés de chocolat vont confectionner une montgolfière avec
leur professeur Olivier Grimault.
PPRT de Donges : « Pas sur le dos des contribuables »
Le sous-préfet de Saint-Nazaire, qui
s’exprimait dans Ouest-France du
22 février, défend les mesures prises
dans le cadre du Plan de protection
contre les risques technologiques à
Donges. L’Association dongeoise
des zones à risque et du PPRT réagit
à ses propos et refuse que « la sécurité due aux riverains » soit financée
« sur le dos des contribuables ».
Le représentant de l’État a indiqué
que les pouvoirs publics et les collectivités allaient « bien au-delà de ce
que prévoit la loi ». Pour l’ADZRP,
« pas de quoi pavoiser quand on
sait que la loi justement n’a rien
prévu, rien anticipé et que c’est une
raison pour laquelle les riverains en
France, de nombreux élus, en demandent sa révision ».
Le sous-préfet a également précisé
que le reliquat du financement des
travaux de protection à payer par les
particuliers serait de 10 %. « Le souspréfet, en recherche de financements, fait état de discussions avec
différentes collectivités locales »,
commente l’association. « Au final, et
en l’absence de financement spécifique, ce sont les riverains impactés, les habitants de Donges et plus
largement ceux de toute la Carene
qui seraient une nouvelle fois pénalisés par l’impôt ».
Le Salon du chocolat se déplace
cette année dans l’Ouest et proposera sa première édition à Nantes début mars. Les 11 élèves (8 gars, une
fille) de la classe de CAP chocolaterie
du lycée hôtelier Sainte-Anne y participeront. « Nous sommes la seule
classe de Loire-Atlantique sur ce
secteur », note Olivier Grimault, professeur de confiserie-chocolaterie.
« C’est un vrai défi qu’on nous a lancé. Construire une montgolfière, en
chocolat noir, de 2 à 3 m de haut,
qui nécessitera plus d’une centaine
d’heures de travail. » Le thème du
salon est basé sur Jules Verne. « Le
second défi sera de l’accrocher (au
plafond, N.D.L.R.) », précise l’enseignant avec un petit sourire, qui en
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Naissances
Adel Si Bachir ; Chloé Guicheteau.
Décès
Jeanne Geiss, veuve Guigand, 94
dit long sur l’idée qu’il a déjà sur la
bonne tenue de l’opération. Le professeur n’en est en effet pas à son
coup d’essai, ayant participé au précédent salon. Il avait alors confectionné avec ses élèves une automobile
grandeur nature (« à l’échelle 1 »),
une 2 CV Citroën, pesant une tonne
(de chocolat au lait), résultat d’environ 200 heures de travail. Seule reste
aujourd’hui une roue plus vraie que
nature de la 2 CV, dans la cuisine voisine, le reste ayant été vendu à but
caritatif, en pièces détachées…
Du 8 au 10 mars, Salon du Chocolat, au Parc des Expositions de
Nantes, à la Beaujoire.
ans ; Alfredo Rizzon, 87 ans ; Raymonde Porcher, 88 ans ; Madeleine
Haumont, veuve Plunian, 92 ans ;
Marcel Perrais, 91 ans ; Jeannie Legal, veuve Cadier, 87 ans.
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