VM 19/04 MOISAN EHRWEIN peut y croire
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VM 19/04 MOISAN EHRWEIN peut y croire
32 Sports Basketball Mirecourt avec aisance Pas le dénouement attendu Le GET Vosges, qui a logiquement baissé pavillon vendredi soir face à une équipe de Mulhouse surfant sur une dynamique positive, ne verra pas les playoff. Et risque de glisser au classement. Nationale 1 C e derby perdu face à Mulhouse résume assez bien la saison des Gétis tes. Courageux, surprenants par instants mais logiquement dominés par des formations possédant un tout autre effec tif. Vendredi soir, une fois enco re, c’est avec un groupe 100 % français (puisque Marinkovic est blessé) que le GET s’est incliné face à une formation alsacienne alignant depuis mi décembre un roster d’un autre calibre. « On a vu la différence entre une équipe intéressante mais manquant de métier et une autre qui a eu les moyens de se renforcer en cours de saison », constatait Laurent Mathis. Dont le groupe a encore tout tenté pour arracher la victoire et déjouer une situation qui ne lui était pas favorable. Cela n’a pas suffi. Pour plusieurs rai sons. La première réside dans la qualité du groupe mulhou sien. Mais aussi dans les fai blesses affichées depuis un certain temps par les Golbéo spinalothaonnais. À l’image de leur défense qui n’est plus aussi efficace qu’en première partie de saison ou qui ne sur prend plus personne. « Mul house a réussi à servir ses joueurs intérieurs grâce aux dribbles de ses joueurs exté rieurs qui ont misé sur le fait que nous n’arrivions pas à tenir les duels homme à hom me », constatait Laurent Mathis. « Nos changements défensifs qui auraient dû être un atout se sont révélés de mauvais choix car nous n’avons plus la même applica tion quand nous les effec tuons » regrettait le coach spi nalien. Qui admettait également que Mulhouse s’était parfaitement préparé à ces changements de défense devenus la marque de fabri que du GET. « On a travaillé toute la semaine sur les défen ses de zone, la boite ou dou bleboite », confiait ainsi Jean Pierre Zuttion, l’assistant de Jamel Benabid. Punition pour Douillet La scène se passe au milieu du 3e quarttemps. Attaquant le cercle face à Yates, Jérémie Douillet se fait stopper et même chiper le ballon. Alors que le pivot de Mulhouse chute au sol, Douillet a un mauvais réflexe et porte un coup de pied à son adversaire. Immédiatement, les arbitres lui infligent une faute antisportive qui donne deux lancers francs aux Alsaciens ainsi que la possession du ballon après les lancers. Alors que le score est de 5463, cette « erreur » de jeunesse donne l’occa sion à Mulhouse d’ajouter 5 points. Une éventualité qui n’a guère plu à Laurent Mathis. Qui a donc rappelé son joueur sur le banc. Où Jérémie Douillet est ensuite resté scotché jusqu’à la fin du match. La punition était évidente. « Je n’ai pas apprécié son attitude qui était néfaste pour le groupe », s’est contenté de dire le coach spinalien à l’issue du match. Connaissant le caractère bien trempé du joueur, pas sûr qu’il ait apprécié la sanction surtout sous les yeux de son paternel. « Je vois que Jérémie progresse de match en match », a d’ailleurs indiqué David Douillet à l’issue de la rencontre. Les quinze minutes que son fils a passées sur le banc de touche vendredi soir devraient lui permettre d’éviter de rééditer la même erreur à l’avenir. Ph.N. MIRECOURT 69 107 (3427, 1025, 1533, 1022) Gymnase GilbertBauvin, une soixantaine de spectateurs, arbi trage de MM. Jacquot et Michel. VillerslèsNancy : Miron 11, Brouard 9, Razakandmanidef 8, Randriharvielo 7, Simon 5, Padier 4, Drovelli 4. Mirecourt : Tornoczky 29, Malanda 24, Tayayi 16, Dollinger 8, Duvoid 8, Coulibaly 8, Bakalag 4, Bourgeois 2. Cinq défaites en six matchs ! Et pourtant, le GET a poussé Mulhouse dans ses derniers retranchements. Et pourtant, le GET va forcément avoir des regrets. Car il ne participera pas aux playoff. C’est désor mais quasicertain ! Avec 18 victoires au compteur, les Gétistes ne peuvent plus espé rer. Même en gagnant leurs deux derniers matchs (à Saint Vallier et contre Avignon). Mulhouse (19 victoires), sur ce qu’il a montré vendredi soir ne va pas perdre ses deux derniè res rencontres (contre Quim per et à La Rochelle). Tarbes (19 victoires) devrait au moins battre Cognac lors de l’ultime journée. Et Rueil (18 victoires) peut encore se mêler à la lutte puisqu’il va accueillir Tarbes et aller à Blois. En gagnant ses deux der niers matchs, le GET pourrait atteindre la barre des 20 victoi res et donc se retrouver à éga lité avec d’autres formations. Ce qui ne ferait pas spéciale ment ses affaires puisque les deux défaites concédées con tre Mulhouse risquent de peser lourd en cas de mini championnat à trois, voire à quatre. D’autant plus que le GET n’a pas le panieraverage favorable sur Rueil ni sur Tar bes. Les playoff ne seront donc pas au rendezvous cette sai son mais cela n’enlèvera rien au mérite des Gétistes d’avoir su sauver leur tête dans cette Nationale 1 impitoyable. Voir que ni les playoff, ni la relégation ne sont actés alors qu’il ne reste que deux jour nées à disputer en dit long sur la densité de ce championnat où le GET a pris le contrepied du règlement autorisant la présence de trois étrangers par équipe. Mais cet exploit synonyme de maintien ne doit pas être galvaudé par une fin de championnat délicate. Ven dredi soir, les Vosgiens ont VILLERS Coupe de Lorraine (16e de finale) Jérémie Douillet pris dans la nasse entre Njiba et Yates : l’image d’un GET qui souffre en cette fin de saison. (Photo Ph. B.) concédé leur troisième défaite consécutive pour la première fois de la saison. Ils restent sur cinq revers en six matchs et se retrouvent aujourd’hui à la neuvième place à égalité avec Rueil et Avignon. Et pourraient donc finir le championnat à la onzième place alors qu’ils ont toujours fait partie de la pre mière partie du tableau. Cer tes, cela n’aurait pas d’inci dence mais cela ne refléterait pas le bon parcours de cette équipe enthousiasmante. Mais comme elle se fait fort de ne jamais rien lâcher, elle va sûrement faire les efforts pour terminer l’aventure sur une bonne note… Ph.N. Tarbes/Lourdes – Vichy.......................................6472 Bordeaux – Avignon/Sorgues............................7590 GET Vosges – Mulhouse.....................................93101 Chartres – SaintVallier........................................9793 Blois – Challans .......................................................6470 La Rochelle – Quimper..........................................9389 Centre Fédéral – Cognac................Mercredi 22 avril Exempts : SaintChamond et Rueil. L’EB Mirecourt se rendait à VillerslèsNancy pour y ren contrer l’équipe locale en Cou pe de Lorraine. La formation vosgienne a dû combler vingt cinq points, attribués au coup d’envoi à l’ensemble meurthe etmosellan en raison des qua tre niveaux d’écart qui sépa raient les deux équipes (Nationale 3 contre départe mental). Les joueurs de Geoffrey Seltzer ont finalement dominé leurs adversaires, qui ont fait mieux que se défendre. Les Vosgiens marquaient d’entrée de jeu par Dollinger et Tornoc zky (à 3 points), mais Villers lèsNancy réagissait et Brouard scorait à son tour dans une ambiance survoltée. Puis Tornoczky inscrivait deux paniers consécutifs à 3 points. Ce joueur a d’ailleurs fait preuve d’une grande adresse, enchaînant les paniers à longue distance en quantité. A l’issue du pre mier quarttemps, Mirecourt était revenu sur les talons de son hôte (3427). Le début de deuxième round à l’avantage de Mirecourt qui appuyait sur l’accélérateur dans le sillage de Dollinger et Malanda. La courte avance des Villarois était réduite à peau de chagrin et Mirecourt prenait finalement les rênes à la 13e minute, sur un panier de Coulibaly. Mais les locaux s’accrochaient et rejoignaient les vestiaires avec un débours de huit unités (4452). Dès la reprise, Tornoczki continuait son festival et les Vosgiens s’envolaient vers une victoire facile malgré une bonne résistance de Villers lèsNancy qui ne baissait pas les bras. Mais l’adresse de Tayayi et surtout celle de Malanda et Tornoczky faisait la différence. Les paniers à 3 points étaient monnaie courante et le match tournait à la démonstration de la part des Vosgiens. La fin de partie était encore sans problème pour Mirecourt qui l’emportait donc sans trembler (10769). Trail 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 SaintChamond................ SaintVallier ...................... Vichy.................................... Challans .............................. Chartres.............................. Blois...................................... Tarbes/Lourdes .............. Mulhouse............................ GET Vosges........................ Avignon/Sorgues............ La Rochelle......................... Rueil...................................... Bordeaux............................ Quimper.............................. Cognac................................. Centre Fédéral.................. Pts 56 54 53 53 53 52 51 51 50 50 49 48 48 47 42 34 J G 31 32 32 32 32 32 32 32 32 32 32 31 32 32 31 31 25 22 21 21 21 20 19 19 18 18 17 17 16 15 11 3 P 6 10 11 11 11 12 13 13 14 14 15 14 16 17 20 28 p c 2414 2390 2280 2211 2389 2146 2376 2272 2154 2212 2268 2378 2260 2305 2209 1795 2095 2247 2039 2069 2177 2000 2249 2221 2122 2079 2259 2267 2172 2266 2252 2385 Un vainqueur inattendu Canoëkayak MoisanEhrwein peut y croire Piges de sélections à Pau Quatorzième et dernière de la première course de sélec tion en C1 jeudi, AnneLise Moisan Ehrwein a fait bien mieux hier sur le stade d’eaux vives de Pau. La jeune femme, seulement junior 1ère année, peut encore espérer une sélec tion en équipe de France espoir cette saison. Après s’être classée 6e des qualifica tions de cette course n°2, elle a encore fait plus fort en finale en décrochant le 5e rang. Elle devra néanmoins sortir le grand jeu aujourd’hui sur la course n°3, réservée aux athlè tes ayant été au moins une fois en finale au préalable. D’une part parce qu’elle n’a été devancée que par des espoirs hier et parce qu’elle doit impé rativement gommer sa derniè re place de jeudi. En C1, les Vosgiens ont été moins heu reux. Antoine Runet, qui visait une place en équipe de France espoir, est d’ores et déjà out en raison d’un « 50 » rédhibi toire en qualifications. Men tion spéciale tout de même à Marc Biazizzo qui a atteint le Top 10 en qualifs et donc la finale et s’est offert un tour de bassin supplémentaire aujour d’hui. Où son frère Mathieu en K1 et Gauthier Klauss et Mat thieu Péché en C2 partiront en quête du titre national. La cerise sur le gâteau pour Nancy Le SLUC Nancy a réalisé son meilleur match de la saison pour terrasser Dijon, hier, et reprendre le panieraverage. Ce qui permet à Nancy de garder sa quatrième place. DIJON NANCY 73 87 (1726, 2317, 1820, 1524) Palais des sports, arbitrage de MM. Bissang, Dubois et Lubienski. Dijon : Gray 21 (dont 5 paniers à 3 pts), Harris 15 (dt 1 à 3 pts), Joseph 11 (dt 3 à 3 pts), Walker 11 (dt 1 à 3 pts), Mendy 5, Curti 4, Joss 2, Bristol 2, Alinge 2. 25 tirs réussis sur 65, 13 lancers francs sur 15, 28 rebonds, 15 passes décisives. Nancy : Clark 20 (dt 4 à 3 pts), Duggins 18 (dt 2 à 3 pts), Gladyr 17 (dt 3 à 3 pts), Falker 11, Souchu 9 (dt 1 à 3 pts), Pietrus 8, Reid 4. 32 tirs réussis sur 58, 13 lancers francs sur 16, 34 rebonds, 18 passes décisives. ProA Alain Weisz n’avait qu’un constat à faire en conférence de presse juste après cet exploit en lettres capitales. Il l’a fait, bien fait, les traits tirés, le front ruisselant mais les yeux brillants de bonheur : « C’est de loin, notre match le plus abouti cette saison. Défensivement, on n’a pas cédé d’un pouce. Offensive ment, on termine à 55 % dont 10/19 à trois points. Et on gagne la bataille du rebond (3236) après avoir été mené à la mitemps (2015). A la sor tie, on enlève le panieravera ge, cerise sur le gâteau. » Et comment ! Ce SLUC Nan cy là, dominé mardi par une talentueuse équipe de Stras bourg qui ne règne pas sur le championnat pour rien, a réussi une performance col lective magnifique. Dopé par un excellent départ, par l’adresse de Gladyr, les inspi rations de Clark, le SLUC a tenu bon même lorsque Gray qui finira à 5/7 à trois points et Joseph sortirent des shoots primés à huit mètres : « Dijon est passé devant pour un petit point mais on a tout de suite réagi pour finir en tête à la mitemps malgré un gros second quarttemps de Dijon », ajoutera le coach. Clark, le finisseur Grâce à Joseph (5657, 28e), grâce à Walker (6366, 32e) qui aura compris sa douleur devant la défense nancéienne (2/12), Dijon réussit pourtant à revenir sur les talons du SLUC. Poussée par son public, la JDA mit l’intensité et le volume d’agressivité demandés, hur lés même, par coach Borg. Mais à chaque fois, Duggins (18 pts) d’un drive supersoni S.Mx. Les classements C1 dames Finale : 1. C. Tixier (Orthez Nautique CK), 140,33 (6 pts de pénalité) ; 2. E. Bregazzi (KC Angérien), 143,78 (0) ; 3. L. Baudu (USM Saran CK), 145,71 (8) ; 4. L. Robin (Red Star Club Champigny), 163,49 (8) ; 5. A.L. MoisanEhrwein (GESN), 174,74 (8) ; … ; 7. C. Jacquet (Ancerville/Barle Duc), 181,15 (52)… 10 classées. Qualifications : 1. C. Jacquet, 141,07 (2) ; 2. L. Baudu, 143,26 (4) ; 3. C. Loir (CU Palois), 148,29 (2) ; … ; 6. A.L. Moisan Ehrwein, 157,20 (2)… 14 classées. C1 hommes Finale : 1. N. Peschier (VPA Pontd’Arc), 101,94 (0) ; 2. P.A. Tillard (Foyer loisirs Manslois), 102,89 (0) ; 3. M. Thomas (CK Jarnac Sports), 104,99 (4) ; … ; 6. T. Blaise (CKC Nancy/Tomblaine), 110,91 (0) ; 10. Mar. Biazizzo (GESN), 117,22 (2). Qualifications : 1. P.A. Tillard, 105,31 (2) ; 2. M. Thomas, 106,03 (2) ; 3. J. Marc (Lan nion CK), 106,32 (0) ; … ; 10. Mar. Biazizzo, 110,84 (0) ; 23. J. OtheninGirard (GESN), 128,80 (6) ; 30. L. Vancon (GESN), 147,49 (6) ; 32. A. Runet (GESN), 158,09 (50)… 35 classés. dimanche 19 avril 2015 Les 20 points de Keydren Clark ont largement pesé dans la balance pour le SLUC Nancy, étincelant hier dans la salle de Dijon. (Archive) que, Pietrus d’un rebond stra tosphérique (11 rebonds) ou Clark d’un shoot primé ciselé (20 pts, 4/7 à trois points) repoussèrent les ambitions bourguignonnes. En bleu de chauffe en défen se, le SLUC enfila jusqu’au bout, ses habits de scène en attaque. Et lorsque Ke Ke Clark lequel aura au passage mon tré à Walker qu’il peut aussi être un brillant scoreur, trouva deux shoots superbes dans le corner (6879) à trois minutes de la fin, le banc et les suppor ters nancéiens libérés, se levè rent pour saluer des Nan céiens en mode majeur. Des Nancéiens qui venaient après quatre défaites (deux en compétition, deux en prépara tion) de mettre à genoux des Dijonnais atterrés à l’image de Gray (21 pts) subjugué par l’énergie nancéienne. Gladyr lance le bal C’est vrai aussi que le SLUC avait pris un départ idéal. En y mettant de l’application, de l’intensité et de l’adresse. Gla dyr avait donné le ton, faisant admirer son shoot fluide et limpide. Il avait aussi trouvé les espaces pour attaquer le cercle, abreuvé de caviars par un Clark des grands soirs. Et comme Karim Souchu (9 pts en première mitemps) qui retrouvait la salle de ses premières amours, allait jouer les facteurs X de cette premiè re mitemps, terminant même la rencontre à 100 % (4/4 dont 1/1 à trois points), le SLUC avait parfaitement tenu la bou tique. La mobylette Walker avait bien mis les gaz, offrant sur le jeu de transition des shoots ouverts à Gray et Joseph (23 33, 11e, 3433, 15e) mais le SLUC avait déjà répondu du tac au tac. A la mitemps (4043) on imaginait déjà un final poi gnant. Il le fut. Mais jamais une si belle et éclatante victoire nancéienne. Un véritable chef d’œuvre. Avec le panierave rage comme bonus. Que du bonheur ! G.G. Adrien Dos Santos s’est imposé sur le trail longue distance, reléguant son premier poursuivant à deux minutes. Sap’Trail Ils étaient près de 750 trailers à s’être donné rendez vous à la caserne des pom piers rue AndréVitu, à Epinal, pour le Sap’Trail. Trois courses étaient au pro gramme de la journée qui commençait par le champion nat de France des pompiers. Cette première course était réservée aux pompiers venus de 32 départements. Grand favori, le Vosgien tenant du titre, Ludovic Laurent, était le logique vainqueur en 1 h 34’41’’. Il devançait de près de six minutes son plus proche concurrent, Fabrice Delacote, juste devant Loïc Monsarat. Il n’y a donc eu aucune surprise lors de cette course. Du suspense, il y en a eu un peu plus sur la distance du 18 km. Mais pas de surprise non plus, puisque Mickaël Voirpy, également tenant du titre, accrochait une nouvelle victoire à son palmarès. « J’ai dû être toujours à fond parce que je voyais qu’il n’était pas loin », relatait Mickaël Voirpy, en regardant Christophe Bétard qui finissait deuxième. « J’ai fait les premiers kilomè tres avec Mickaël mais après, c’était trop dur de le suivre », rétorquait le spécialiste du triathlon. La surprise est venue du 36 km. Le premier qui faisait son apparition dans l’aire d’arrivée était Guillaume Dus sard, mais le malheureux sor tait d’une voiture suite à un abandon après le vingtième kilomètre alors qu’il était deuxième. Adrien Dos Santos franchissait quant à lui la ligne d’arrivée en vainqueur. « Les dix derniers kilomètres ont été très compliqués », soupirait, exténué, le vainqueur de cette course. Deux minutes plus tard apparaissait le favori, Sébastien Reichenbach, en pleurs. « Je me suis fait violen ce. J’ai pensé abandonner », soupiraitil. Chez les fémini nes, Lucie Chainel levait les bras avec « les jambes lour des » et à une belle 19e place au scratch. La totalité des résultats dans notre prochaine édition. Les classements 36 km : 1. Dos Santos A., en 3 h 17’44’’ ; 2. Reichenbach S., 3 h 19’50’’ ; 3. Vau thier JM., 3 h 27’59’’ ; 4. Griette Ch., 3 h 28’30’’ ; 5. Weexsteen L., 3 h 29’31’’ ; 6. Mackow S., 3 h 33’04’’ ; 7. Simon A., 3 h 34’04’’ ; 8. Tutzo Th., 3 h 34’27’’ ; 9. Grossi S., 3 h 37’46’’ ; 10. Poirel S., 3 h 37’52’’ ; 11. Pecheur R., 3 h 38’16’’ ; 12. Toamain B., 3 h 38’49’’ ; 13. Xemard F., 3 h 39’44’’ ; 14. Germain L., 3 h 40’44’’ ; 15. Thomas S., 3 h 43’57’’ ; 16. Bau mont Ph., 3 h 44’37’’ ; 17. Jeanmaire L., 3 h 44’56’’ ; 18. Pierson M., 3 h 45’58’’ ; 19. Chainel L., 3 h 47’26’’ ; 20. Gehin J., 3 h 47’55’’. 18 km : 1. Voirpy M., 1 h 23’32’’ ; 2. Betard Ch., 1 h 26’04’’ ; 3. Noirot T., 1 h 26’46’’ ; 4. Mougel H., 1 h 28’35’’ ; 5. Parmente lat J., 1 h 30’09’’ ; 6. Ladier L., 1 h 32’31’’ ; 7. Claudel M., 1 h 32’44’’ ; 8. Villiere D., 1 h 35’19’’ ; 9. Mailfert O., 1 h 35’23’’ ; 10. Zuliani J., 1 h 36’01’’. Saptrail : 1. Laurent L., 1 h 34’41’’ ; 2. Dela cote F., 1 h 40’24’’ ; 3. Monsarat L., 1 h 40’57’’ ; 4. Lonchambon L., 1 h 43’08’’ ; 5. Vanhee L., 1 h 44’18’’ ; 6. Lipp J., 1 h 47’40’’ ; 7. Lieby Ch., 1 h 48’08’’ ; 8. Cikacz F., 1 h 48’18’’ ; 9. Chevrot S., 1 h 48’53’’ ; 10. Bellanger R., 1 h 50’28’’. Mickael Voirpy, quant à lui, double la mise sur le 18 km. (Photos Jérôme HUMBRECHT) La Liberté de l’Est L’Est Républicain