Dossier de Presse - Théâtre de la Renaissance

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Dossier de Presse - Théâtre de la Renaissance
28 MARS A 19H
THEATRE/MUSIQUE
MOMO
PASCAL DUSAPIN
ANDRE WILMS
©Pascal Victor
DOSSIER DE PRESSE
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE / 7 RUE ORSEL 69600 OULLINS / 04 72 39 74 91
NICOLE LÉVY : 04 72 39 74 78 (LIGNE DIRECTE) / 06 61 11 50 85 / [email protected]
ÉQUIPE ARTISTIQUE
TEXTES
LEIGH SAUERWEIN
MISE EN SCENE
ANDRE WILMS
MUSIQUE
PASCAL DUSAPIN
LUMIERES
BERNARD JAMOND
DECOR
NICKY RIETI
COSTUMES
ELISABETH TAVERNIER
AVEC
RICHARD DUBELSKI Récitant et cymbalum
AMANDA FAVIER Violon
RENAUD MALAURY Violoncelle
MARINA MOTH Clarinette
FLORENTINO CALVO Mandoline et guitare
PRODUCTION T&M-PARIS
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LA GENESE DU SPECTACLE
Composée pour 9 instruments et récitant, l’histoire de Momo était initialement destinée
à un livre-disque illustré, racontée par André Wilms (Éditions Gallimard Jeunesse). Le
succès de cette initiative éditoriale fut immédiat. À Strasbourg, en septembre 2000,
devant 300 très jeunes spectateurs, Pascal Dusapin dirigea pour l’occasion un orchestre
d’élèves du conservatoire qui accompagnait André Wilms. La réaction fut «
spectaculaire » !
De là vient l’idée de créer un spectacle jeune public à partir de cette histoire de Momo.
T&M-Paris a convaincu le compositeur et le metteur en scène de s’attaquer à cet
exercice.
La partition a donc été réécrite et mise en scène dans un décor de Nicky Rieti et a été
présentée pour la première fois dans le cadre de la Saison Jeune Public de Nanterre en
novembre 2002.
Avec Momo, l'ambition de T&M-Paris est d'offrir au jeune public un spectacle riche et
étonnant, signé par des artistes reconnus qui se mesuraient ainsi pour la première fois à
ce genre particulier.
Les interprètes du spectacle sont toujours heureux de partager avec les enfants un
moment de rencontre à l’issue de la représentation, notamment pour présenter leurs
instruments respectifs, et donner quelques indices sur les coulisses de la représentation
!
LE SPECTACLE
Spectacle musical jeune public (4 / 8 ans).
Momo vit dans un cirque avec son grand père le très célèbre clown Huberto. Il aime
courir entre les caravanes, il aime regarder Bettina l’acrobate. Son grand-père le destine
à être clown, mais le pauvre Momo n’aime pas les clowns… Heureusement les animaux
du cirque sont les amis de Momo. Ils vont l’aider à découvrir qui il est et à trouver sa
place sous le chapiteau.
Composé par Pascal Dusapin, ce petit « opéra » pour un récitant et quatre musiciens
évoque avec humour et poésie l’univers particulier et mystérieux du cirque et donne
ainsi vie à tous ces personnages. Saisissant l’art du conte et de l’illusion, ce spectacle,
signé par André Wilms, reconstruit à l’intérieur d’une boîte magique tout un imaginaire
propre à l’enfance et accompagne visuellement cette fable musicale.
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MOMO ET LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE
TEXTE
LEIGH SAUERWEIN
ADAPTATION
ANDRE WILMS
[Entre crochets : les genres musicaux repérables dans Momo]
Nous allons vous raconter l’histoire de Momo, l’enfant du cirque qui ne voulait, ni être un
clown, ni dompteur, ni garçon d’écurie, ni lanceur de couteau, ni contorsionniste, ni fil de
feriste, ni compositeur, ni chef d’orchestre, ni raton laveur…mais CHUT….
[Marche]
Il était une fois un petit garçon appelé Momo qui vivait dans un cirque. Le cirque
voyageait de ville en ville. Momo adorait courir entre les caravanes, et sauter de l’une à
l’autre. Mais quand il faisait cela, son grand père passait la tête à la fenêtre et criait : «
Arrête ça tout de suite Momo ! Tu vas te casser le cou ! Arrête ça tout de suite Momo !
Tu vas te casser le cou ! »
Le grand-père de Momo était un clown célèbre, il s’appelait le Grand Huberto. Souvent, il
disait : « Momo, tu sais, un de ces jours je serai trop vieux, tu prendras ma place, tu
seras un grand clown. » Mais Momo n’était pas sûr de vouloir être un grand clown.
Quand on dressait la tente dans une ville nouvelle, Momo regardait Bettina, l’acrobate,
qui s’exerçait. Elle lui souriait. Momo l’aimait bien. Mais si le Grand Huberto attrapait
Momo à grimper sur l’échelle de corde avec Bettina, il hurlait : « Descends
immédiatement ! Tu veux donc te casser les deux jambes ! »
[Valse]
Et puis le spectacle commençait. Quand Huberto entrait en trébuchant sur la piste
illuminée, tous les gens hurlaient de rire.
[Tango]
Et quand Huberto jouait du violon ils sortaient leurs mouchoirs. Mais Momo n’arrivait pas
à trébucher et à tanguer. Et quand il jouait de son petit violon, personne ne pleurait. Un
soir Huberto perdit patience. « Momo, espèce d’idiot ! cria-t-il, tu n’es bon qu’à faire le
garçon d’écurie ! Va nourrir les animaux ! - Huberto ! dit Bettina de sa voix douce, tu n’es
pas juste avec Momo ! »
Momo sortit en courant dans la nuit. Il se glissa sous la caravane de Bettina et fondit en
larmes. « Je ne veux pas être un clown, sanglota-t-il, je n’aime pas les clowns ! »
[Berceuse]
Soudain Momo entendit des voix. C’était l’éléphant et l’ours. « Écoute Momo, écoute
nous ! Arrête de regarder tes pieds ! Si tu veux vraiment savoir qui tu es, regarde en
l’air !
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- Momo, Momo ! murmurèrent le cheval et le lion. Regarde le ciel ! Regarde les oiseaux !
Regarde les étoiles !
- Et pour quoi faire regarde le ciel, regarde les oiseaux, regarde les étoiles grommela
Momo, je ne suis qu’un garçon d’écurie ! »
Une belle lune ronde éclairait le cirque.
Tout à coup le cheval se mit à hennir, l’ours commença à grogner, et l’éléphant à barrir.
Le lion leva la tête et rugit. Momo courut loin pour échapper à tout ce vacarme. Puis il
s’arrêta pour reprendre son souffle. Devant lui, la tente se dressait dans la pénombre.
Momo s’allongea au milieu de la piste. Au-dessus, le trapèze se balançait doucement. À
présent on aurait dit que tous les animaux chantaient pour lui : « En l’air, Momo, en l’air !
Regarde en l’air ! ». Il se mit à grimper le long de l’échelle de cordes, il atteignit le
sommet de la tente. Personne ne criait : « arrête tu vas tomber »
Les mains de Momo se refermèrent sur la barre de bois. C’était doux. Momo commença à
se balancer dans les airs. D’avant en arrière, d’arrière en avant. Momo riait, il riait fort. Il
volait de plus en plus haut, de plus en plus vite, il avait l’impression d’avoir fait cela
toute sa vie.
« Qu’est-ce qui se passe ici ! cria le Grand Huberto. Où est Momo ? »
Tous les gens du cirque étaient là, le nez en l’air. Alors Huberto leva les yeux, lui aussi. «
Oh ! » s’exclama-t-il. Et puis « Ah ! », et encore « Oh ! ». Là-haut, tout là-haut, Momo
volait dans les airs. Comme un oiseau.
Bettina escalada l’échelle de cordes, et tendit les mains à Momo. Lentement ils se
laissèrent glisser jusqu’au centre de la piste illuminée. Alors le Grand Huberto prit Momo
dans ses bras, et s’écria : « Momo, Momo, pardonne-moi, je voulais faire de toi un clown,
mais là je dois te l’avouer, tu m’épates, tu es un acrobate ! Jamais plus je ne serai sévère
avec toi, l’idiot c’était moi ! ».
« Hourra ! » crièrent les gens du cirque, « Vive Momo ! ». L’éléphant sonna de sa trompe,
le lion rugit comme au cinéma, l’ours se dandina comme un danseur de tango, et le
cheval hennit comme un chanteur enroué. Une grande parade s’improvisa aux cris de «
Vive Momo, l’enfant oiseau ! ».
Édité par Gallimard Jeunesse dans la collection "Mes premières découvertes de la
musique ».
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LA PRESSE (EXTRAITS)
FRANCE INTER
29 Novembre 2002
« La musique mène la danse. Même si le
récitant fait progresser l'histoire, ce sont
les notes de Pascal Dusapin qui donnent
au récit ses couleurs et son rythme dans
une progression dramatique soutenue par
les cordes. Quand Momo rit, violon et
violoncelle rient avec lui. La scène est un
théâtre de marionnettes autour duquel
sont assis les quatre musiciens.
©Pascal Victor
Dans cette boîte magique, le comédien fait vivre la poupée Momo qu'il tient dans une
main. Il interpelle beaucoup les enfants dans la salle. Dans l'ombre, des marionnettistes
actionnent des animaux en ombres chinoises. Les images sont superbes. Le metteur en
scène André Wilms invente un "théâtre pauvre", d'une grande délicatesse. Il respecte la
poésie musicale de cet opéra de trente-cinq minutes qui, en plus d'initier les enfants au
spectacle, leur affine l'oreille. Momo est une parfaite initiation à la musique
contemporaine, au rêve et à la poésie du spectacle. »
PARIS MOMES
Décembre 2002 / Janvier 2003
« Cette histoire et ici contée tambours battant par le comédien cymbaliste Richard
Dubelski qui voltige entre les ombres d’un petit théâtre colorés et la lumière de la
musique de pascal Dusapin. Interprétée par un quatuor violon, violoncelle, clarinette,
mandoline (ou guitare), elle rythme les différents moments de cette aventure comme
autant de numéros d’un cirque qui donne aussi bien à voir qu’à imaginer. Une oeuvre
intimiste entre ciel et terre qui nous fait toucher du doigt les étoiles. »
LE FIGARO
9 Janvier 2003
« Il n’y a rien de plus délicat qu’un spectacle musical pour enfants. Faire passer un
message sans être pontifiant, être drôle sans être vulgaire, ne jamais être ennuyeux
sans pour autant rogner sur la valeur de la musique: toutes ces qualités le MOMO de
Pascal Dusapin les réunit de la plus jolie manière. La preuve qu’il n’est pas besoin d’une
débauche d’effets spéciaux hollywoodiens pour éblouir nos enfants gâtés par Internet et
par la télévision. Trois bouts de ficelles, une poupée et quelques ombres chinoise
suffisent à créer tout un monde, surtout quand le décor est dû à un inventeur d’images
comme Nicky Rieti et la mise en scène à un poète comme André Wilms : autant dire
qu’on avait placé la barre assez haut, pour nous conter l’histoire de Momo.
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LE MONDE
31 Janvier 2003
« En un temps record et trois fois rien en apparence les enfants reçoivent grâce à ce
spectacle une formidable initiation au spectacle vivant. Momo réussit à conjuguer
initiation au cirque par la fable et les costumes joliment conçus, des gilets pailletés et
des tutus parsemés d’étoiles brillantes et colorées; à la musique par la présence de
quatre musiciens de l’ensemble Ars Nova, évocation à eux seuls d’un orchestre par leur
disposition ; au théâtre - d’ombres, de marionnettes - par le soin apporté au décor, aux
éclairages riches et subtils, et à la force du conteur, Richard Dubelski. »
REPERES BIOGRAPHIQUES
PASCAL DUSAPIN
Pascal Dusapin est une des personnalités incontestables de
la musique française d'aujourd'hui, dont l'oeuvre trouve
désormais une large diffusion. Résolu à ne pas enfermer sa
démarche dans de pures considérations musicales, ses
compositions se nourrissent d'une réflexion généreuse qui
laisse une grande part à la sensualité. Son écriture, très tôt
émancipée de ses premières influences (Edgar Varèse, Iannis
Xenakis, Franco Donatoni), ne renonce jamais à un certain
lyrisme ainsi qu'au déploiement d'une énergie maîtrisée qui
conjugue rigueur de l'organisation formelle et liberté de
l'invention.
Essentiellement autodidacte, Pascal Dusapin a suivi les séminaires de Iannis Xenakis de
1974 à 1978, été pensionnaire de la Villa Medicis à Rome de 1981 à 1983 et compositeur
en résidence à l'Orchestre National de Lyon en 1993 et 1994. Lauréat du prix de la
vocation en 1977, il a également obtenu le prix Hervé-Dugardin (Sacem) en 1979 et, en
1993, le prix de l'Académie des beaux-arts, celui du Syndicat de la Critique et le Grand
Prix de la Musique du Ministère de la Culture. En 1998, 2002 et 2007, il obtient les
Victoires de la Musique. En 2007 il est lauréat du Prix Dan David.
Plus de quatre-vingt oeuvres jalonnent une carrière qui se développe dans tous les
domaines de la composition : instrument seul, musique de chambre, orchestre, opéra.
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ANDRE WILMS
En tant que comédien, André Wilms a travaillé sous la direction de
Klaus-Michael Grüber (Faust, La Mort de Danton, Le Pôle), André
Engel (Baal, En attendant Godot, Hôtel Moderne, La Nuit des
chasseurs), Jean-Pierre Vincent (Le Palais de Justice, Vichy
Fiction, La Peste), Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret
(Paysage sous surveillance, Les Sonnets, La Nature des choses),
Deborah Warner (La Maison de poupée), Michel Deutsch
(Imprécation II, IV et 36), Marie-Louise Bischofberger (L’Amante
anglaise), Georges Lavaudant (Roberto Zucco, Macbeth Horror
Suite) et avec Laurent Gaudé pour le projet 1000 orphelins.
Au cinéma, il a joué dans les films d'Aki Kaurismaki (Le Havre, 2011, La Vie de bohême,
1991 et Les!Leningrad Cowboys rencontrent Moïse, 1994), Etienne Chatilliez (La Vie est
un long fleuve tranquille, 1988 ; Tatie Danielle, 1990 ; Tanguy, 2001 et La Confiance
règne, 2004), Patrice Leconte (Monsieur Hire, 1990), Michel Deville, François Dupeyron,
Claude Chabrol (L’Enfer, 1994), ou récemment avec Olivier Babinet et Fred Kihn (Robert
Mitchum est mort, 2011), Mathieu Demy (Americano, 2011), Laetitia Masson (Petite Fille,
2011). Depuis la fin des années 1980, André Wilms signe ses propres mises en scène au
théâtre et à l'opéra : il a ainsi monté La Conférence des oiseaux de Michael Levinas, Le
Château de Barbe-Bleue de Béla Bartok, Le Château des Carpates de Philippe Hersant,
Tollertopographie d'Albert Ostermaier, La Philosophie dans le boudoir du Marquis de
Sade, Pulsion de François-Xavier Kroetz, La Noce chez les petits bourgeois de Bertold
Brecht, La Vie de Bohème d'après Henri Murger et Aki Kaurismaki, Histoires de Famille
de Biljana rbljanovic, Les Bacchantes d'Euripide, Le Père de Heiner Müller…
Il s’intéresse aussi tout particulièrement aux formes théâtrales de musique
contemporaine et collabore ainsi notamment avec les compositeurs Heiner Goebbels
(Max Black en 1998, Eraritjaritjaka en 2004), Franco Donatoni (Alfred, Alfred, 1998),
Luigi Nono ou encore Michael Jarrell.
NICKY RIETI
Né aux états-Unis, Nicky Rieti s’installe en France en 1972. Peintre et scénographe, il est
l’auteur de nombreux décors qui auront marqué l’histoire du théâtre et de l’opéra de ces
dernières années. Collaborateur régulier des metteurs en scène, André Engel, Bernard
Sobel, Jean Jourdheuil ou Jean-François Peyret, ses scénographies sont à la fois
spectaculaires et poétiques. Il a travaillé pour eux dans les plus grandes institutions
d’Europe, comme à l’Opéra Bastille, à la Comédie Française, à la Scala de Milan.
RICHARD DUBELSKI
Richard Dubelski est né dans les coulisses de l’Alcazar de Marseille, temple du music-hall
et de l’opérette, d’un père compositeur et chef d’orchestre du théâtre, et d’une mère
comédienne et chanteuse. Il suit une formation musicale et théâtrale auprès de Betty
Rafaelli, qui lui permet d’embrasser les activités de metteur en scène, comédien,
musicien et compositeur.
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En 1987 il rencontre Georges Aperghis dont il sera l’interprète dans différents
spectacles et également un proche collaborateur jusqu’en 1992. Parallèlement, il joue
comme comédien dans les spectacles de Thierry Bédard, Lucas Thiéry, Edith Scob,
Georges Appaix, André Wilms, Jean-Pierre Larroche, Thierry Roisin ou encore Marcel
Bozonnet.
En 1993, il décide de mettre en scène son premier spectacle musical au sein de sa
compagnie Corps à Sons Théâtre, et poursuit depuis cette recherche avec laquelle il
crée une vingtaine de spectacles. Il anime également divers stages et ateliers de théâtre
musical au sein d’écoles nationales de théâtre (l’E.R.A.C, l’Ecole de la Comédie de St
Etienne...) et de Centres Dramatiques Nationaux.
En 2009 et 2010, il est directeur artistique musical et compositeur de Kaléidoscope 2,
un spectacle de l‘Opéra de Lyon avec 350 amateurs, l’orchestre et la Maîtrise de l’Opéra
de Lyon. En juin 2013, il participera à la création de l’opéra de Sebastian Rivas, Aliados,
mis en scène par Antoine Gindt, au Théâtre de Gennevilliers, dans le cadre de ManiFeste,
Festival de l’Ircam.
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