La Voix du Lycéen - Lycée Français de Lomé
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La Voix du Lycéen - Lycée Français de Lomé
La Voix du Lycéen ÇA ÉCOUTE, ÇA PARLE ET ÇA ÉCRIT Le Mensuel des « LFLiens » A V R I L 2 0 1 5 La PEINTURE et Alwena HENAFF: UNE « LOVE STORY » Dans ce numéro : ÉDITO 2 SOCIÉTÉ: Le Kenya tremble, mais résiste... 2 rêves » (p.5) ENVIRONNEMENT: Les sachets plastiques, le défi du 21ème siècle Les Poé-Créatifs ART/CULTURE: La Peinture et Alewane Henaff: UNE « LOVE STORY » « Vivre sa passion et ne jamais laisser tomber ses 3 4 5 INTERVIEW EXCLUSIVE de Mme BOUYE, la Directrice administrative et financière du LFL 6 M. D. R. ... 7 « En chaque enfant, il y a un petit MOZART... » Antoine de Saint-Exupéry Page 2 SOMMAIRE EDITO... ÉDITO… Fidèles lecteurs du mensuel La voie du lycéen, bienvenue à la seconde parution de votre journal préféré. Comme tous les mois, nous donnons l’occasion aux « Lfliens » de s’exprimer sur divers sujets qui animent notre société et notre école. Dans ce nouveau numéro, vous irez à la découverte d’Alwena Henaff (une artiste -peintre « en herbe »), et de Mme BOUYÉ, la Directrice administrative et financière de votre Lycée préféré (LFL), au travers d’une interview. Vous découvrirez dans la rubrique dédiée à l’environnement, les déchets plastiques, leurs conséquences et les alternatives pour pallier leurs effets néfastes. Le voyage se poursuivra à travers un univers poétique créé par des élèves. Bref, un cocktail de messages et de blagues destiné à étancher la soif des lecteurs passionnés que vous êtes. 2 SOCIÉTÉ: Le Kenya tremble mais résiste... ENVIRONNEMENT: Le sachet plastique: un défi majeur du 21ème siècle... 3 4 ART: La peinture et 6 Alwena Henaff: Une « LOVE STORY » Excellente lecture ! Laurent Y. DAMETOUGLE MDR... INTERVIEW EXCLUSIVE: Mme BOUYE: Directrice administrative et financière du LFL LA VOIX DU LYCÉEN 9 8 POE-CREATIFS 10 Page 3 SOCIÉTÉ Le Kenya tremble, mais résiste… saillants se sont mis à tirer aveuglément dans la foule de chrétiens amassés, faisant ainsi plusieurs morts et des blessés graves. Les revendications des Islamistes Shebabs étaient le départ des forces kenyanes de la Somalie et le souci d’exterminer les étudiants Chrétiens. Les assaillants se sont même amusés à jouer avec leurs victimes en les faisant, par exemple, ramper dans des flaques de sang au sol. Cette attaque, soigneusement préparée et menée, rappellera pour d’aucuns le terrible attentat de Charlie Hebdo intervenus en France. Le Jeudi 02 Avril 2015 restera une date à jamais gravée dans la mémoire de la population Kenyane. Le Kenya se réveillait en pleurs après une attaque sanglante des Islamistes Shebabs, ayant causé la mort de 128 personnes à l’université de Garissa, ville du nordest Kenyan frappée en plein cœur par Le Kenya ne s’est pas laissé intimider par ce énième attentat. La position la crise Somalienne. adoptée par le Chef d’Etat est claire : « fermeté et sévérité ». Uhuru Kenyatta a Une semaine après le drame Kenyan, promis de « répondre le plus sévèrela douleur est aussi intense au sein de ment possible » au « massacre médiéla population Kenyane qui a en souve- val barbare » de Garissa : deux camps nir cette attaque qui leur a fait perdre de Shebabs en Somalie ont d’ailleurs 128 des leurs. Alors que l’université de été détruits par les forces Kenyanes le Garissa reposait à l’aube dans son 06 Avril passé. Le Kenya reste donc fort calme habituel, des islamistes armés et solidaire dans sa lutte contre le terrofont irruption dans une salle de classe risme qui constitue une menace pour occupée par les étudiants chrétiens l’Afrique, et, pour le monde. qui faisaient leur prière. Après avoir différencié musulmans et non musulmans Laurent Y. DAMETOUGLE à leur arrivée dans cette sale, les as- LA VOIX DU LYCÉEN Page 4 ENVIRONNEMENT/SANTÉ DOSSIER SPÉCIAL: LE SACHET PLASTIQUE : LE DÉFI MAJEUR DU VINGT ET UNIÈME SIÈCLE, UN PROBLÈME AU QUOTIDIEN ! De nos jours le sachet plastique, loin de passer pour un instrument dangereux est largement utilisé dans notre société. Ceci, loin de constituer une menace potentielle pour des milliers d’utilisateurs est même devenu un réflexe. Pourtant, les sachets plastiques, qui sont de plus en plus encombrants dans notre société présentent d’autres inconvénients majeurs ! Qu’est-ce que le sachet plastique au juste ? Où le retrouve-t-on ? Quels sont ses dangers potentiels ? Avons-nous d’autres alternatives que le plastique ? Peut-on trouver une alternative à son utilisation? Voilà autant de questions que nous aborderons dans notre dossier d’aujourd’hui ! jet. Les matières plastiques couvrent une gamme très étendue de matériaux polymères synthétiques ou artificiels, ce qui permet d’obtenir grâce au plastique des produits aussi divers que variés. Le plastique est apprécié pour plusieurs de ses propriétés : légèreté, résistance, isolation thermique, et maniabilité. La matière plastique intervient dans des domaines divers : ameublement, articles de bureau, objets courants comme le biberon, la règle, etc… et aussi fabrication des sachets plastiques aujourd’hui tant décriés. QU’EST-CE QU’UN PLASTIQUE? Les sachets plastiques ont envahi le quotidien des pays africains. Au Togo par exemple, on les retrouve partout : sur les routes, dans les arbres, en pleine nature, au bord des plages, dans les airs et même à la surface de la mer. Les déchets plastiques dans l’environnement Avant toute chose, nous devons savoir ce qu’est le plastique. Une matière plastique est un mélange contenant une matière de base (un polymère) qui est susceptible d'être moulé, façonné, en général à chaud et sous pression, V osemi-produit i x d u L y c é e n afin de conduire Làa un ou à un ob- LE DANGER DES PLASTIQUES Sachets plastiques et environnement Les sachets plastiques nous exposent à plusieurs dangers. Sachons que ces sachets se dégradent en pas moins de 400 ans pour certains ce qui implique une « pollution visuelle ». Les nombreux sachets utilisés, étant très légers, ils s’envolent et recouvrent champs, rivières, montagne et la mer, où ils contribuent à la dégradation des paysages! Les sachets plastiques même lorsqu’ils se dégradent présentent des dangers du fait des éléments toxiques qu’ils laissent lors de leur désintégration. L’agriculture éprouve aussi de grandes difficultés avec les sachets plastiques qui recouvrent les sols et empêchent l’infiltration d’eau dans le sol. Les plastiques ont le mérite d’être très encombrants : n’oublions pas qu’environ 500 milliards de sacs plastiques sont utilisés chaque année dans le Avril 2015 n°0002 Page 5 ENVIRONNEMENT/SANTÉ monde dont à peine 1% seulement sont recyclés. 100 à 1000 ans de durée de vie pour un plastique A cette pollution visuelle, s’ajoute une réelle menace sur la vie des animaux. Dans un pays comme le Sénégal, on considère qu’environ 5 millions de sachets plastiques sont utilisés quotidiennement ce qui fait un total de presque 2 milliards de sachets plastiques utilisés par an. On considère qu’une bonne partie du cheptel Sénégalais est décimé pour avoir accidentellement ingurgité des sachets plastiques, ce qui équivaudrait à une perte de 10 milliards de francs CFA par an pour l’économie sénégalaise. Sachets plastiques et santé publique La santé publique se retrouve aussi menacée par ces sachets plastiques. Prenons un exemple simple : le Togo. Dans plusieurs recoins de la capitale, on a des sachets plastiques qui s’accumulent et tendent à boucher les canalisations et ainsi entrainer l’accumulation d’eau polluée ou viendront se reproduire les agents vecteurs de maladies telles que le paludisme. LUTTE CONTRE LA PROLIFERATION DES DECHETS PLASTIQUES Des alternatives existent-elles à l’utilisation de ces sachets plastiques non biodégradables ? Pouvons-nous lutter contre leurs effets indésirables ? Non à en croire certains pessimistes mais oui à en croire plusieurs scientifiques. Tout d’abord, vient l’utilisation de sachets plastiques biodégradables. Les sachets plastiques biodégradables ayant une durée de vie plus courte, leur avènement pourrait valablement remplacer les sachets plastiques actuels. Ensuite, on pourrait utiliser des sachets faits à base de papier qui sont plus écologiques que les sachets plastiques biodégradables. Toutes ces mesures ne prendront effet que si la population prend conscience et lance une lutte contre les sachets plastiques. Une solution simple : aller faire ses courses avec son panier ! Un élément qui fait sourire certains, mais un geste simple qui est destiné à freiner l’utilisation systématique du sachet plastique lors de nos courses quotidiennes. D’autres solutions existent également mais ne font pas consensus. On peut citer entre autres le recyclage, à première vue évident, mais inefficace du fait que recycler un sachet plastique coute plus qu’en produire un nouveau ! La seule solution serait donc l’adoption d’un comportement citoyen responsable car nous restons persuadés que seule la volonté de tout un chacun mais surtout la volonté collective permettra d’endiguer les effets néfastes que représentent en un premier lieu l’utilisation des sachets plastiques et aussi les problèmes qu’ils causent à notre société actuelle dans un second lieu. Alors, que feriez-vous ? Laurent Y. DAMETOUGLE Page 6 ART/CULTURE/SPORT La peinture et Alwena Henaff: « Une love story » Antoine de Saint-Exupéry disait qu’ « en chaque enfant, il y a un petit Mozart assassiné.» Mais vraisemblablement, ce n’est pas le cas d’Alwena Henaff ! Son petit Mozart n’a pas été assassiné ! Son petit Mozart, ce n’est pas celui de la musique, mais celui de la peinture ! Nous sommes allés à sa rencontre pour mieux la découvrir : qui est-elle ? Comment estelle venue à la peinture ?... Découvrez vousmême ! Les œuvres parlent mieux que les mots ! La Voix du Lycéen : Bonjour Alwena, peux-tu te faire connaitre à nos fidèles lecteurs ? Alwena: Je m’appelle Alwena HENAFF. J’ai 14 ans et je suis en classe de 4ème au Lycée Français de Lomé. Je suis Française, de Bretagne près de Nantes. LVL : Comment es-tu venue à la peinture ? Quel est ce virus qui t’a piqué pour que tu sois passionnée de la peinture ? Alwena : J’ai commencé à peindre lorsque que j’ai découvert à quel point on pouvait faire de belles choses avec un pinceau. C’est un magnifique moyen d’exprimer sa pensée. La Voix du Lycéen LVL : Comment trouves-tu ton inspiration ? Alwena : Je trouve mon inspiration dans le monde qui m’entoure ! LVL : Quelles sont tes perspectives d’avenir ? Veux-tu faire carrière dans la peinture plus tard ? Alwena : Je souhaite continuer à peindre, car c’est quelque chose qui me passionne énormément. LVL : Quel message as-tu à l’endroit de tous les jeunes comme toi, qui ont des potentialités, des talents non exprimés ? Alwena : Je leur conseille de vivre leur passion et de ne jamais laisser tomber leurs rêves ! LVL : Merci Alwena Alwena: Merci à toi! Je serai une de vos fidèles lectrices! Maddox KONG Page LES ŒUVRES QUI PARLENT D’ALWENA 7 Page 8 Interview exclusive de la DAF du LFL La Voix du Lycéen : Bonjour Mme BOUYE. Depuis quand êtes-vous Directrice Administrative et Financière au LFL ? té de gestion qui sont chargées de la communication. Mme BOUYE : Bonjour. Je suis arrivée à la fin du mois d’Août 2014. Mme B. : Je souffre un peu de la chaleur, mais je me sens plutôt bien. Je n’ai pas eu le temps de visiter le Togo, je suis allée seulement jusqu’à Kpalimé . Les gens ici sont vraiment gentils et je me sens toujours en sécurité. LVL : Comment vous sentez vous au Togo depuis que vous êtes là ? LVL : En quoi consiste votre travail de Directrice administrative et financière? Mme B. : Je fais partie de l’équipe de direction. Je suis l’adjointe du Chef d’établissement, en matière administrative, financière, matérielle et de ressources humaines. J’ai aussi un rôle auprès du Comité de gestion qui est l’organisme gestionnaire du LFL. « Les élèves sont très courtois. Et c’est ce qu’on remarque en premier lieu quand on arrive ici. » LVL : Quelles sont les difficultés que l’on peut rencontrer comme DAF ? Mme B. : C’est la diversité des tâches. Et quand on arrive dans un lycée français à l’étranger, il faut remettre en cause ses acquis, son expérience, tout en les utilisant pour s’adapter à un mode de fonctionnement différent. LVL : Quelles sont les plus grandes difficultés que vous avez rencontrées au LFL depuis votre arrivée? Mme B. : La comptabilité, ici, elle est faite avec le système OHADA. Je ne le connaissais pas et il a fallu s’y adapter . Et puis connaitre tout le personnel et intégrer un mode de fonctionnement tellement différent, ça n’a pas été facile. LVL : Qu’avez-vous le plus apprécié depuis votre arrivée au LFL ? Mme B. : La gentillesse du personnel ; la conscience professionnelle de mes collègues. C’est vraiment agréable! LVL : Quelle image avez-vous des élèves du LFL ? LVL : Quel repas togolais appréciez-vous le plus ? Mme B. : Les élèves sont très courtois. Et c’est ce qu’on remarque en premier lieu quand on arrive ici. Ce n’est pas toujours le cas en France. Ici, les élèves sont respectueux des adultes. C’est aussi très agréable. LVL : Quels conseils pouvez-vous donnez à « La Voix du Lycéen » ? Mme B. : Je ne savais pas que le journal existe. J’aimerais bien l’avoir en version papier. Et dans le cadre d’un projet, il serait bien que vous rencontriez des journalistes dans la rédaction d’un journal local. Il n’y a pas que des enseignants pour vous proposer des choses ! Vous les jeunes avez plein d’idées et vous pouvez faire des propositions ! LVL : Quels soutien notre rédaction peu attendre de votre part ? Mme B. : Je peux vous faciliter les choses , en terme financier. Et vous faire rencontrer les personnes du Comi- Mme B. : (Rire…), moi je suis hyperdifficile ! Pour le moment, je n’ai pas mangé grande chose typiquement togolais. Ceci dit, je n’aime pas trop la pâte de maïs avec la sauce. (rire…) LVL : Quelle est votre plus grande activité de distraction ? Mme B. : Je joue au golf! C’est à peu près ma seule distraction. Je n’ai pas trop temps pour les loisirs. Je vais aussi quelque fois à la plage LVL : Merci M. BOUYE de nous avoir accordé un peu de votre temps, si précieux ! Mme B. : C’était avec plaisir ! Revenez quand vous voulez ! Propos recueillis par : Aman R. A. & Erwin A.-A. M. D. R. …. LA DÉCOUVERTE DE L'AMÉRIQUE LE COURAGE Un maître qui avait pris l'habitude de venir en retard au travail recevait un jour la visite surprise de l'Inspecteur. Rentrant en classe, il est surpris de voir l'Inspecteur assis derrière son bureau discutant avec ses élèves. Le maître avait en main un sachet qu'il dépose sur son bureau, salue l'inspecteur et ses élèves. Après, il déballe le sachet qui contenait des galettes et un sachet d'eau glacée. Il s'assoit, mange les galettes et boit le sachet d'eau. Après avoir fini, il demande aux élèves : - Qu'est-ce que je viens de faire ? Les élèves répondent : - Monsieur, vous avez mangé. - Et qu'est-ce que j'ai mangé ? demande le maître - Des galettes monsieur, répondent les élèves. - Et puis quoi encore ? demande le maître. - De l'eau monsieur. - Bien ! Quand le maître arrive en retard et puis il fait tout cela devant l'inspecteur, comment on appelle ça ? - Le courage monsieur. répondent les élèves à l'unisson - Très bien, prenez vos cahiers et écrivez "EDUCATION CIVIQUE ET MORALE : LE COURAGE" Le maître est trop inspiré; à votre avis quelle note va lui mettre l'inspecteur???? Page Pendant un cours d'histoiregéographie sur l'Amérique, le professeur posa une première question à la classe: -Qui peut m'indiquer sur la carte où se situe le continent américain? Une élève du nom de Martine indiqua avec précision la situation du continent américain. -Bravo, Martine c'est très bien! Le professeur posa la question suivante: -Qui a découvert l'Amérique et en quelle année? Une autre élève du nom de Tina insistait pour y répondre. Alors le professeur l'interrogea. -Vas-y Tina, donne-nous la réponse. Voici ce qu'elle a répondu: -C'est Martine, il y a 5 minutes. Blagues d’Abidjan DEVINETTES... Blagues d’Abidjan 1. Quelle est la différence entre un jardin d'enfants et la Chambre des députés ? Le jardin d'enfants est sous la surveillance d'un adulte 2. Quelle différence y a-t-il entre un marteau, un pull et la semaine ? Le marteau a un manche, le pull a deux manches et la semaine a dimanche 3. Comment appelle-t-on un lapin sourd ? On ne l'appelle pas, on va le chercher ! La Voix du Lycéen 9 Page 10 LES POÉ-CRÉATIFS RÊVE D’AFRIQUE Un jour nous vivrons tous, sans souvenir de guerre, Un jour nous vivrons tous, sans plus parler d’enfer, Un jour nous vivrons tous, oubliant la misère, UNE MÈRE Un jour nous vivrons tous, sans parler de galères. La vie sera plus belle, et le ciel, plus bleu, Toujours là, Egayera tous les enfants de Somalie, Jamais loin, Qui chanteront, vêtus comme de beaux lys, Près de moi, Flottant au-dessus des airs, éblouissant nos yeux. Je rêve de ce monde depuis tout petit, Et d’espoir et d’ambitions je me nourris. Car ces espoirs et cette passion, feront ma gloire. Et ces magnifiques yeux bruns, Me regardent, Et Me bercent. Tous ses mots dits, Des drames… provocations mais je suis patient, Sont si beaux et gentils ! Non, non à l’exaspération, oui à l’espoir, Espoir… Espoir ... Espoir…. C’est là tout mon serment. Elle est si belle, Avec sa beauté éternelle ; Sur son visage, jamais de tristesse. Laurent Y. DAMETOUGLE Juste une douce délicatesse ! Se sentir entouré par cet amour, Donne de la joie tous les jours, Et un sentiment d’être protégée pour toujours ! Youna BAGOT Page 11 L’Équipe LFL INFOS… Samedi 09 Mai Directeur de Publication: M. Stéphane GIRARD Rédactrice en Chef: Youna BAGOT Fête de l’Europe: Rencontres sportives avec les anciens élèves et lancement de l’Association des anciens élèves (15h00). Mardi 12 Mai Assemblée générale des parents d’élèves à 18h00 Editeur en Chef: Renaud DOGAN Mercredi 13 Mai Secrétariat de rédaction: Fête de l’Europe au siège de l’Union Européenne avec la Chorale du Lycée Français de Lomé. Jennifer QUENUM Maddox KONG Photographie: Jennifer QUENUM Erwin AMOUZOU-A. Vendredi 22 Mai Examen Cervantès Examen du BAC du 08 au 12 Juin 2015 Comité de rédaction: Examen du Brevet Gloria L’HOTE, Paméla LOISEL, Youna BAGOT, Jennifer QUENUM, Jonathan QUENUM, Ahmès AKEMAKOU, Erwin AMOUZOU-A., Amna R. ABDOU., Laurent Y. DAMETOUGLE, Maddox KONG, Marc TAMAKLOÉ, Océane LAWSON 15 et 16 Juin 2015 La Voix du Lycéen LA VOIX DU LYCÉEN Page Avril 2015 n°0002 12