Dossier de Presse

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 VLADIMIR STOUPEL
Chef d’orchestre
www.vladimir-stoupel.com
VLADIMIR STOUPEL
Le chef d’orchestre et pianiste français d’origine
russe Vladimir Stoupel s’impose comme un artiste
polyvalent, dont l’irréprochable maîtrise technique
est au service d’une intense musicalité. Ses interprétations saisissantes et pleines d’émotion, ainsi
que son répertoire pianistique d’une ampleur exceptionnelle ont défié et fasciné les publics à travers
toute l’Europe et l’Amérique. Son travail de direction
pour de nombreux orchestres a été encensé par la
critique : elle a acclamé ses interprétations « enchantées » (Frankfurter Allgemeine) et « déterminées » (Tagesspiegel).
Depuis ses débuts à l'âge de dix-sept ans à Moscou, Vladimir Stoupel est estimé tant comme chef d’orchestre que
comme pianiste. Il s’est produit avec l'Orchestre philharmonique de Neubrandenburg, le Leipziger Pops Orchestra,
le Berliner Kammerphilharmonie, Camerata Hamburg, Junge Europa Philharmonie, Berlin Sinfonietta, l'Orchestre de Chambre d'Enghien-Les-Bains, l'Orchestre philharmonique Alfred
Schnittke de Saratov (Russie) ainsi que son propre Ensemble Courage et Sinfonietta Europea. Il a également dirigé des concertos du piano, notamment avec l'Orchestre de chambre
de Pologne « Arthur Rubinstein », l'Orchestre de chambre de Nîmes en France et le Karelian
Chamber Orchestra (Russie).
En 2003, il a dirigé l'opéra « Le Violon de Rothschild » de Fleischmann-Chostakovitch au
Konzerthaus de Berlin qui a été salué par la critique et a donné suite à d'autres représentations en 2006 dans la même salle, jumelé avec une version scénique du cycle de Chostakovitch « Chants populaires juifs » op.79. En mai 2006, pour la première fois, 22 ans après son
exil, il retourna en Russie pour diriger la Alfred-Schnittke-Philharmonie de Saratov, entreprise
couronnée de succès. Dans le cadre de l'année Mozart en 2006, Vladimir Stoupel a dirigé
des productions du « Devin du village » de Rousseau, et de « Bastien et Bastienne » de Mozart au cours du « Sommeroper Schloss Britz » à Berlin. Ses engagements de chef d'orchestre incluent des concerts avec l'Orchestre de chambre de Reykjavik lors du Festival des Arts
de Reykjavik en 2009, l'opéra « L'Histoire du Pope et de son serviteur Balda » de Chostakovitch, inspiré du poème d'Alexandre Pouchkine, au Konzerthaus de Berlin, ainsi qu'une collaboration avec l'Orchestre de chambre Mendelssohn de Leipzig lors des "Journées Culturelles Juives" à Berlin en 2009. En 2012 il dirige plusieurs concerts avec l'Orchestre d'Etat
de Brandenbourg (Allemagne) et la première allemande de l'opéra "Félicitations!" de M. Weinberg au Konzerthaus de Berlin.
Vladimir Stoupel a étudié le piano avec Evgeny Malinin et la direction d’orchestre avec Gennady Rozhdestvensky au Conservatoire de Moscou. Il a également été l’élève du célèbre pianiste russe Lazare Berman. Citoyen français depuis 1985, Vladimir Stoupel vit actuellement
à Berlin.
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Echos de Presse
Un événement grandissime : pour la première
fois en Allemagne, « Je tiens à féliciter ! » de Mieczyslaw Weinberg au Konzerthaus Berlin.
…L’opéra de Weinberg est un
moment de pur ravissement ; le
public est véritablement conquis. Faisant fi de toute distance, la musique le transporte
toujours plus loin. Dirigée d’une
main de maître par Vladimir
Stoupel, la Kammerakademie
Potsdam nous offre une pièce
insolite qui, malgré l’indéniable
influence de Chostakovitch,
confirme l’originalité de Weinberg.
Opernwelt, novembre 2012
Un opéra « découverte » au
Konzerthaus Berlin
Impressionnante partition de
Weinberg, d’une densité étonnante, enrichie de rythmes
typiques des danses juives et
d’intrusions insolites tout en
parodie mêlant valse et polka ;
une expérience qui, sans être
véritablement atonale, révèle
une facture tonale qui vole en
éclats. La Kammerakademie
Potsdam dirigée par Vladimir
Stoupel fait vibrer chaque note,
chaque phrase, avec une intense clarté et une profonde
limpidité.
Tagesspiegel Berlin,
25 septembre 2012
Vladimir Stoupel concocte un
menu musical des plus éclatants
et offre au public conquis près
de 90 minutes d’excellence musicale.
Neue Musikzeitung, 24
septembre 2012
Un Paganini venu de
Bohême Sous la baguette du chef d’orchestre et pianiste Vladimir
Stoupel, le Brandenburgisches
Staatsorchester a commencé sa
prestation par une œuvre quasiinconnue de Beethoven (oui, il y
en a !). Pot-pourri de mélodies
folkloriques, de fougueuses
impétuosités et d’un entrelacs
d’élégance et de caprices, le
rondo en si bémol majeur pour
piano et orchestre a fait grande
impression. La très virtuose partie soliste a été exécutée avec
brio par Vladimir Stoupel. Heinrich Wilhelm Ernst, originaire
de Bohême, est un illustre inconnu pour la grande majorité
des mélomanes. Pourtant, ses
contemporains comparaient ce
compositeur et instrumentiste
virtuose à son grand modèle :
Paganini.
Le concerto pour violon en fa
dièse mineur est l'une de ses
œuvres principales ; si elle ne
vibre pas de l’« italianité » d’un
Paganini, donnant plutôt dans le
romantisme allemand avec un
certain entrain qui rappelle Weber, c’est une pièce de grande
envergure, mais jamais aux
dépens de la substance musicale. Il suffit de jeter un regard
sur la partie soliste pour comprendre pourquoi ce morceau
ne figure pratiquement jamais au
programme des concerts : il est
d’une atroce difficulté et ne le
cède en rien aux prouesses diaboliques que le violoniste génois
arrache à l’instrument. La
prestation de la soliste Judith
Ingolfsson n’en est que plus
remarquable ; les applaudissements ont déferlé sur le timbre
rayonnant de son instrument et
sa prodigieuse virtuosité. Le « tragique » de la symphonie
numéro quatre de Schubert a
souvent été quelque peu tourné
en dérision par beaucoup de
critiques, si bien qu’un « semblant de tragique », à la
chaleureuse mode viennoise,
émanait de beaucoup de ses
exécutions. Stoupel a évité cet
écueil en accentuant les an-
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tagonismes et en jouant les
tempi avec rapidité et agressivité. A un niveau subliminal, sous
la mélodie des lieder, on éprouve
une sensation de traque, une
contradiction intérieure entre
l’aspiration aux idéaux de
développement d’une sensibilité
beethovénienne et un lyrisme
romantique, contradiction qui
aboutit, finalement et pour cette
même raison, à l’« inachevée ». Westdeutsche Allgemeine
Zeitung, mars 2012
"In Memoriam Simon Laks"
Vladimir Stoupel lève la baguette, et l’orchestre philharmonique de Marseille se donne de
toute son âme musicienne à
l’expression de ce Poème pour
violon et orchestre de Simon
Laks; l’œuvre resplendit de tous
ses feux dès les premières mesures. Diaphane, la palette orchestrale se fait murmure sensuel, ou s’épaissit de mystères
sonores et de couleurs épicées.
Le violon se pose sur ce tapis
sonore, écrin chatoyant et sensible qui n’est parfois pas sans
rappeler un autre Poème – celui
de Chausson – tandis qu’une
sublime plainte lyrique s’élève du
Lorenzo Guadagnini de 1750
que joue l’excellente violoniste
Judith Ingolfsson. Vladimir Stoupel, le chef, paraît comme un
poisson dans l’eau, rompu à la
musique de Laks dont il a déjà
été, en tant que pianiste, l’interprète privilégié – au concert et
au disque. On se laisse conduire, séduire et émouvoir par
cette musique suave, cossue et
sensible, et, si le cœur n’est pas
ému, le cerveau ne peut que
noter, au fil de l’écoute, l’originalité de la facture musicale laksienne.
Christophe Mirambeau,
Marseille
Sous la direction assurée de
Vladimir Stoupel l'orchestre de
chambre de Reykjavik donna un
concert absolument extraordinaire.
Morgunbla∂i∂,
Reykjavik (Islande)
Contact :
Vladimir Stoupel,
Würzburger Str. 2,
10789 Berlin, R.F.A.
Tél./Fax :
+493023622698
Portable :
+49179 4919532
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