1678 1728 post CLAUDE CHIZE, adresse inconnue (.

CLAUDE CHIZE — PHILIBERT CHABANNE
1678
1728 post
CLAUDE CHIZE, adresse inconnue (....- 1703).
**, 1726
Claude
imprimeur
ép. Marie Thibaudier
1695 - ....
Enf[ant] ond[oyé], 1725
Antoine, 1724
Jeanne, 1692
Anthelme, 1691
Claude Chize
imprimeur
ép. Jacquème Libéral
Hilaire, 1690
Claude, 1726
Antoine
imprimeur
ép. Jeanne Bruyset
1688 - 1763
Françoise, 1725
Pierre, 1722 - 1725
Antoinette, 1686
Marguerite, 1685
Claudine, 1682
Claire, 1681
PHILIBERT CHABANNE, adresse inconnue (1703 ante - 1737 ante).
Claude Chize, imprimeur du XVIIe siècle, qui avait épousé Jacquème Libéral,
mourut à Lyon en 1703. Il laissait une nombreuse famille, entre autres Antoine et
Claude, qui furent imprimeurs ; mais son fonds, cependant, passa à Philibert
Chabanne.
Ce dernier avait plus de 40 ans lorsque, à l’occasion de la mort de Claude Chize, en
1703, il demanda à la chambre syndicale le bénéfice de son brevet, que Barthélemy
Martin sollicitait aussi. (Martin n’y réussit point.)
Même échec en 1706 à l’occasion de l’attribution du brevet de Rolin Glaize : la
Chambre demanda le renvoi de l’affaire devant le Conseil du Roi.
En 1710, Chabanne était parvenu à ses fins, puisqu’il était désigné cette année-là
pour participer à l’élection des officiers municipaux, mandat qui lui fut renouvelé en
1712, 1713, 1714 et 1715.
Chabanne appartenait encore en 1720 à la chambre syndicale, mais en 1737 il avait
disparu sans que j’aie pu retrouver la trace de sa mort. Il imprima en 1717 des Lettres
patentes du Roy relatives à la police des Eaux et Forêts, et en 1728 un arrêt du
Conseil d’État dans un procès entre les chanoines-comtes de Lyon et un nommé
Armand Pillavoine : je n’entends pas dire que Chabanne n’imprima que cela, mais son
imprimerie ne fut vraisemblablement qu’un atelier de peu d’importance.
Bibliographie
Arch. Lyon, HH Chappe VI passim.