L`hygiene des aliments
Transcription
L`hygiene des aliments
REGIONE LAZIO Direttore Generale Dott. Vittorio Bonavita DIPARTIMENTO DI PREVENZIONE U.O.C. Servizio Veterinario Tutela Igienico Sanitaria degli Alimenti di Origine Animale Direttore: Dott. Giuseppe De Angelis V.le P. Togliatti, 1280 00155 Roma Tel 0641436384-6395 Fax 0621801998 L’hygiene des aliments CERTAINS RENSEIGNEMENTS Repêché par l’U.O.S. Distribution de produits d’origine animale Responsable: Dr. Claudia Rossi Ont fait le projet: Dr. Claudia Rossi Dr Vitantonio Perrone Dr Mauro Pieroni Dr Michele Suraci Merci pour la précieuse collaboration M.me Teresa Scavuzzo M. Antonello De Angelis et Dr Marco Magini L’INTRODUCTION En lisant l’introduction d’un livre ou, comme en ce cas, la brochure d’information, en général, le but c’est l’acquisition de renseignements synthétiques pour une première idée sur le contenu et le fin de l’ouvre. Il faut préciser que cette brochure est très importante, non pour les appréciations techniques, volontairement simples, avec des notes synthétiques sur la matière : la sécurité alimentaire, très variée et charpentée. On y trouve des réponses aux questions qui se répètent sur l’hygiène des aliments, mais surtout ( c’est le vrai objectif ) le lecteur se posera plusieurs questions aura la nécessité d’acquérir ou d’approfondir les connaissances pour améliorer son activité et saura à qui poser les questions adéquates. L’importance de cette brochure n’est pas écrite; c’est le besoin qui a poussé les fonctionnaires publics, qui travaillent dans ce service vétérinaire, qui intervient sur les contrôles de la sécurité alimentaire à implanter un projet en plusieurs parties pour améliorer les connaissances, la formation et les comportements des commerçants étrangers sur l’hygiène des produits alimentaires. Dès l’expérience directe sur le territoire, en évaluant les non conformités vérifiées pendant les contrôles sur les activités gérées en particulier par des exerçants pas italiens, on a mis en évidence de déficit de connaissance soit de caractère général soit spécifiques liées à chaque activités. Par conséquent on a déterminé les principaux besoins pour la formation de cette hétérogène catégorie de travailleurs actifs dans plusieurs domaines de la production, du commerce et de l’administration des aliments et qui sera très efficace pour la réalisation de projets particuliers de renseignements et formation. Donc on a mis en œuvre cette brochure qui représente le premier contact, un simple canal d’information par lequel harmoniser comportements et surtout surmonter résistances, nouer rapport de collaboration. En effet, dans les intentions des rédacteurs c’est seulement la première partie d’un projet plus grand qui vise à la réalisation, en façon ralliée, d’un parcours formatif charpenté sur différentes exigences liées aux plusieurs activités, pour améliorer toujours l’attention des travailleurs étrangers aux problèmes qui concernent la sécurité alimentaire. C’est fondamental pour la prévention que les informations soient divulguées mais on risque de la rendre insensible sans partager les buts et la participation des sujets intéressés. Le vrai objectif de ce travail c’est le lecteur pour en stimuler l’intérét et la participation active pour commencer aussi avec lui, ses collaborateurs, ses collègues le procédé d’implantation partagée d’un projet pour prévenir tous les problèmes liés à la sécurité alimentaires. Nous souhaitons cette approche à la brochure, pour atteindre le vrai but de notre travail et de notre rôle. Dr Giuseppe De Angelis Directeur des services vétérinaires UOC Protéger la santé et l’hygiène des denrées alimentaires d’origine animale Département de la prévention Az.USL Roma B. VEUX-TU OUVRIR UNE ENTREPRISE POUR VENDRE DES ALIMENTS ? OU BIEN ES TU DANS L’ADMINISTRATION (BAR, RESTAURANT, PIZZERIA OU AUTRE CHOSE ?) OU BIEN L’AS TU DEJA OUVERT ? CETTE BROCHURE EST A TOI !!! QUELLES SONT LES LOIS QUI S’APPLIQUE A TON CAS ? En Italie on applique la normative européenne concernant la sécurité alimentaire. Cette normative EXCLUSIVEMENT SANITAIRE , c’est-à -dire ne modifie pas et n’interfère pas sur les lois qui règlent les devoirs administratifs (ex : communication du début de l’activité auprès de la mairie, inscription au REC (Registre Exerçants Commerce)),fiscaux (ex : possession de la partie IVA) etc. ! A’ QUI S’ADRESSE LA NORMATIVE ? La nouvelle normative SANITAIRE s’applique à tous les cas d’une activité(ex : petit kiosque, magasin, supermarché, grand restaurant, etc.) travaille avec des aliments de n’importe quelle origine (animale ou végétale) quelconque point du parcours productif ou commercial : production, transport, commerce, soit fixe soit sur terrains publics, permanent ou ambulant, administration (bar, restaurant, buffet.....). On a beaucoup de normes sur l’hygiène des aliments, mais les principales sont : LE REGLEMENT COMMUNAUTAIRE N° 178/2002 du 28/01/2002 (GUUEL 31 du 01/02/2002) C’est la norme dont proviennent les règlementes suivants. Ses principes fondamentaux sont: §la sauvegarde de la vie et de la santé humaine, dans l’intérêt des consommateurs en tenant compte de la santé, du bien-être animal, de la santé végétale et de l’environnement; §la traçabilité des aliments et des matières premières. LE REGLEMENTS COMMUNAUTAIRE N° 852/2004 du 29/04/2004 (GUUEL 139 du 30/04/2004) Les dispositions du Règlements 852/2004 CE « sur l’hygiène des produits alimentaires » sont adressées à tous les travailleurs du secteur alimentaire. Ceux-ci s’affirment comme des responsables de la qualité d’hygiène-sanitaire des aliments traités et ils ont l’obligation de la garantir. Le Règlement: §traces une stratégie intégré pour la sécurité global du produits alimentaires, da la production au consommations; §fixe les requises et les procédures de ordre général prévu au fin de la sécurité alimentaire, valide pour tout le cycle de la filière productive et commercial des produits alimentaires; §confirme le système HACCP, que nous parleront après, comme la méthodologie des autocontrôles applicable dans tout les phases de la filière alimentaires : production, dépôt, transport, commercialisation et distribution; §on doit faire la régistration de tous les activités commerciales dans le champ alimentaire. La Deliberazione della Giunta Regionale n° 3 du 14 Janvier 2011 dont l’annexe 1 a été remplacée par l’annexe A de la DGR 296 du 24 Juin 2011 (BU n° 29 del 06 agosto 2011) e la Determinazione Dirigenziale 2145 du 2 Juillet 2006 On peux fournir, a les operateurs du secteur alimentaire, renseignements pour appliquer le règlement CE n° 852/2004 sur l’hygiène des produits alimentaires. Établit que l’enregistrement de toutes les activités productives qui opèrent dans la filière alimentaire il faut le réaliser auprès du Sportello Unico delle Attività Produttive del Comune o Municipio (SUAP) du territoire dont on déroule l’activité commerciale. Le Département de Prévention, par le Service Vétérinaire et le Service Hygiène Aliments et Nutrition (SIAN) a le rôle d’effectuer les contrôles officiels. QU’EST-CE QUE JE DOIS FAIRE AVANT DE COMMENCER L’ACTIVITE? Il n’y a pas besoin d’autorisation sanitaire mais… on doit enregistrer son exercice sur les listes spéciales des activités commerciales alimentaires auprès du Département de Prévention des AZ. USL. COMMENT ENREGISTRER SON EXERCICE ? Il suffit d’envoyer par l’intermédiaire d’un modèle informatique déjà prévu pour la Déclaration Début Activité (DIA sanitaire) a lieu à la SCIA au guichet unique pour les Activités Productives (SUAP) auprès de la mairie où se déroule son activité . Le formulaire pour la présentation de la DIA sanitaire est disponible près du Municipi, près du Service Vétérinaire Sanitaire et du Service Hygiène Aliments et Nutrition (SIAN) de ton AZ.USL. On peut avoir, aussi, les formulaires par e-mail et par téléphone. Les renseignements utiles sont dans la dernière page de cette brochure . Si tu as des doutes ou perplexités, adresse-toi au Service Vétérinaire ou au Service Hygiène Aliments et Nutrition (SIAN) de ton AZ. USL et tu auras les éclaircissement et les conseils indispensables . ... Mais fais attention ... Le formulaire doit être remplis en sa totalité de façon correcte, daté et soussigné par le propriétaire responsable de l’entreprise et représente Autoassurance des donnés remis. SI L’ACTIVITE A DEJA DEBUTE MAIS N’EST PAS ENCORE ENREGISTREE ? Il faut présenter tout de suite la Déclaration Début Activité en donnant les renseignements voulus. On évitera toutes les sanctions prévues !! COMMENT DOIT ETRE MON MAGASIN ET QUELLES SONT LES DETAILS PARTICULIERS ET LES QUALITES REQUISES DE LA STRUCTURE ET DES AMENAGEMENTS ? Les réponses sont dans les documents joints du Règlement CE n°852/2004, qui sont cités en supplément. Il est important que les endroits où les aliments sont rangées soient toujours propres et en ordre. Pour obtenir, facilement, ce résultat toutes les surfaces des locaux, des parois aux plafonds, aux surfaces d’appui exc.. doivent être LAVABLES, DESINFECTABLES et si possible LISSES !!! Ça signifie qu’il faut garder intacts, par exemple, les carreaux des planchers et des murs, parce que dans les lézardes se méchant saleté et nichent ! Dans les locaux il faut tenir seulement les objets et les aménagements nécessaires au déroulement de l’activité que, en tous cas, doivent être en matériaux LAVABLE ET DESINFECTABLES . Tout doit être très rangé pour faciliter la propreté. De plus, il faut éviter que les animaux entrent et se nichent, soient nichent ou rongeurs au autres !!! MAINTENANT, ENFIN PEUX-JE TRAVAILLER ? OUI CERTAINEMENT, MAIS RAPPELLE TOI … Comme déjà on dit, sur l’article de la normative, le travailleur alimentaire est responsable de la qualité d’hygiène sanitaire des aliments manipulés et il est obligé à l’assurer à ses clients et aux Autorités qui mènent le contrôles. COMMENT FAIRE ? Par la réalisation de son propre plan de autocontrôle. PLAN DE AUTOCONTROLE ? Qu’est ce qu’est ? Le plan d’autocontrôle est ‘ le manuel des instructions ‘ de sa propre activité, rédigé par les principes dictés du système HACCP( hazard analysis critical control points). HACCP??? C’est la méthode qui analyse l’activité de sa propre maison et ainsi, déterminer : • les dangers particuliers pour ses propres productions alimentaires (ex: microorganisme pathogène dans les gâteaux ou dans la viande hachée); • les mesures préventives pour éviter que les susmentionnés dangers se produisent(usagé de matières premières fraîches et ténues à la température de réfrigérateur; lavage des mains après avoir toucher les œufs; correcte propreté du hachoir exc.) ; • les mesures correctives, d’appliquer quand on vérifié des différences pour éviter avant tout que un aliment gâté (ou probablement gâté) peut être pris (ex : panne de réfrigérateur = je n’ use plus la crème que j’avais dans le réfrigérateur mais la rejette) et puis il faut éliminer l’inconvénient qui a causé l’altération du produit. QU’EST CE QU’IL FAUT ECRIRE DANS LE PLAN D’AUTOCONTROLE ? LE REGLE A SUIVRE C’EST : ECRIRE CECI QU’ON DOIT FAIRE ET FAIRE CECI QU’ON A ECRIT . N’importe qui travaille dans le domaine alimentaire sait que les structures et les aménagements soient intactes, propres et qui fonctionnent avant de commencer l’activité quotidienne et au cours de l’activité même: • dans son plan saura décrit le domaine de travail, les aménagements, qui appeler pour les entretiens ou les réparations !! »» Ex: périodiquement je contrôle si les filets aux fenêtres sont intactes et propres, autrement je les démonte et les lave ou les change ; Chaque travailleur sait quand, comment et avec chose doit effectuer les opérations de propreté et désinfection des locaux et des aménagements ; • Dans son plan sauront décrits les produits employés, les concentrés et les modalités du déroulement des ces opérations non seulement mais l’éventuelle personne responsable, si différent du propriétaire. »» Ex: je m’aperçois que les surfaces des tables sont sales ? Je répète ou fais répéter la propreté en contrôlant que soit faite en suivant les opérations prévues, en employant les produits selon les dilutions justes, en appliquant la procédure correcte. Tous les travailleurs savent ce que doivent vérifier au moment dont reçoivent les divers fournitures de matière premières de qualités : • Dans son plan serait décrit tout on a concordé avec ses fournisseurs sur les qualités requises des produits fournis, les modalités de transport et remises, les éventuels cas dont les produits ne seront pas reçus et donc restitués exc. »» Ex: arrivent des produits conditionnés avec des étiquettes incomplètes ou privées des légendes en italien. Je les rend au fournisseur. Chaque responsable d’une activité sait qu’il faut vérifier que tout rentre dans les limites préétablies et agir par suite si ça n’arrive pas (ex: température entre 0° et + 4°) : • Dans son plan il y aura décrit les observations et les mesurages pour le déroulement de l’activité et les corrections éventuellement apportés. »» Ex : chaque mâtin je contrôle les thermomètres des réfrigérateurs. Si la température n’est pas correcte j’appelle l’ouvrier spécialisé. S’est écoulé peu de temps, et les aliments n’ont pas eu d’élévation de leur température, je les déplace dans un autre réfrigérateur, sinon je les élimine comme sons produits ou déchets. Tous les responsables des activités s’occupe, quand on a des travailleurs « d’apprendre et transmettre l’art » : • Maintenant il s’agit d’écrire et de partager avec ses travailleurs non seulement les secrets du métier, mais aussi l’ensemble des comportements qu’il faut suivre pendant toute l’activité, en leur donnant matériaux, brochures et la possibilité à suivre des cours de formation; »» Ex.1): avant le début du travail je change mes vêtements, je mets ces de travail et me lave les mains ; »» Ex.2): dans mon magasin je ne peux pas congeler cela qui était réfrigéré ni décongeler cela qui était congelé ; »» Ex . 3) : si on a des blessures aux mains, il faut les protéger avec un bandage adéquat. Le résultat de la récolte dessus décrit compose, a grands traits, son PROPRE PLAN DE AUTOCONTROLE, qu’il faut mettre à disposition sur demande de l’Autorité compétente pour le contrôle , que en l’espace, est représenté par les deux Service de ton AZ USL avant cités . ET ENFIN ………… PARLONS D’ETIQUETAGE Comment doit être l’étiquetage des aliments que je vend dans mon magasin ? Avant tout il faut différencier entre aliment pré-emballé et aliment vendu enveloppé en papier ou au détail. L’aliment pré-emballé c’est conditionné dans l’usine du producteur et vendu tout à fait, sans être ouvert ( ex : boite de thon). L’aliment vendu au détail ou enveloppé c’est le produit alimentaire, en général ,vendu avec précédent fractionnement(ex : quartier de fromage Parmigiano coupé de la forme) ou bien ces conditionnés dans les magasins, placé en auget enveloppé en plastique pour la vente self-service. DONC …. il faut que les étiquetages de tous les produits alimentaires pré-emballés doivent citer, même si proviennent des autres Pays, tous les renseignement en langue italienne. Sur l’étiquetage il faut avoir au moins : • le nom commercial du produit ; • tous les ingrédients qui les composent ; • le nom de la maison productrice ; • où a été produit ; • le lot ou la date de production ; • la date d’échéance ou Terme Moindre de Conservation ( TMC ) An contraire il faut que les produits vendus au détail ou pré-enveloppé doivent avoir la spéciale étiquette appliquée aux récipient où sont contenus ou bien appliquée dans les étalages où sont exposés . Sur l’étiquette il faut avoir au moins : 1. le nom du produit en vente 2. la liste des ingrédients 3. la date d’échéance SEULEMENT pour le pâtes fraîches et les pâtes fraîches remplies ; 4. le pourcentage de glace, considéré tare, pour les produits congelés. Quelques produits alimentaires rentrent en règles particuliers que fixent renseignements supplémentaires dans l’étiquette …. FAISONS QUELQUES EXEMPLES VIANDES BOVINES (veau : âge comprise entre 0 et 8 mois, broutard : âge comprise entre 8 et 12 mois, bovins adultes : âge au-delà de 12 mois) Il faut que l’étiquette a les indications déjà cités, mais aussi des renseignements qui concernent l’origine de l’animale : le Pays de naissance, le Pays d’élevage, ce de l’abattage et où s’est passée la section des viandes. VIANDES AVICOLES ( poulets, dindons exc.) L’étiquette doit citer : le nom de l’espèce du volatile fermier, l’indicatif IT ou Italie suivi du numéro spécial d’élevage et l’abreviation de la provence ou se tovve, l’origine avec le pays de provenance si l’animal provient d’un pays étranger, la date de section ou le numéro de lot de production et le numéro d’identification de l’établissement de section. Il faut mettre tous ces renseignements sur le document de transport que suit la marchandise et/ou sur les étiquettes de chaque emballage qui est parvenue au magasin ou sur les emballages relatifs. PRODUITS DE LA PECHE Pour ce qui concerne les produits de la pêche les renseignements qu’il faut avoir sur l’étiquette sont :Le nom commercial, à partir du 1er Janvier 2012 (Reg. CE 404/2011), également le nom scientifique, la méthode de conservation (rais, congelé ou décongelé), la méthode de capture ( pêché ou élevé) la zone de capture selon le classement FAO, la provenance (eau douce ou salée). Pour les coquillages bivalves vifs sur l’étiquette de l’emballage ou sur le filet de la confection il faut citer : • le nom scientifique ; • l’établissement CEE où a été conditionné ; • la date du conditionnement ; • la température de conservation RAPPELLE, toujours, qu’il faut commercialiser vifs les coquillages frais. LA TRAÇABILITE Comme on a indiqué dans la première partie, le Règlement 178/2002 prescrit qu’il faut suivre toujours le parcours d’un aliment, ou d’un de son ingrédient du moment de sa première manipulation, jusqu’à quand vient d’être acheté pour le cuisinier chez soi. Pour avoir ça il faut que les Documents de transport suivent toujours les produits alimentaires. Il faut que ces soient remplis correctement, en façon que les aliments décrits correspondent à ces reçus, et il faut les garder dans les magasin jusqu’à quand les produits sont en vente. APPENDICE Pièce jointe II du Règlement CE 852/2004 Chapitre I : Chapitre II : Chapitre III : temporaires Chapitre IV : Chapitre V : Chapitre VI : Chapitre VII : Chapitre VIII : Chapitre IX : Chapitre X : Chapitre XI : Chapitre XII : Qualités générales des magasins destiné aux aliments Qualités requises de locaux de transformation Qualités requises des structures mobiles et/ou Transport Qualités des aménagements Déchets alimentaires Ravitaillement hydrique Hygiène personnelle Qualités applicables aux produits alimentaires Qualités applicables au conditionnement et l’emballage Traitement thermique Formation Chapitre I Qualités générales des structures destinés aux aliments Les projets, la construction, l’emplacement et les dimensions doivent : • garantir une adéquate propreté et désinfection ; • assurer un espace de travail apte pour ce qui concerne l’hygiène des manipulations ; • empêcher l’accumulation de saleté et la pénétration de particules dans les produits alimentaires ; • empêcher la formation de condensation ou de moisi sur les surfaces ; • admettre la correcte pratique d’hygiène et la lutte aux polluants ; • empêcher phénomènes de contamination, se référant, en particulier, à celle transmise par voie aérienne ; • assurer la présence, où il faut, de adéquates structures pour la manipulation et le magasinage à température contrôlé, avec possibilité de l’enregistrer, s’il faut. Il faut avoir : • lavabos en numéro suffisant, placés d’une manière adéquate, doués d’eau chaude et froide et de systèmes de séchage hygiéniques ; en plus, il faut les séparés des installations pour le lavage des produits alimentaires ; • salles de bains en numéro suffisant et que ne s’ouvrent pas directement des locaux de manipulation des aliments. Il faut avoir : • adéquate aération (mécanique ou naturelle) en évitant toujours le flux d’air des zones contaminés au zones propres ; les systèmes d’aération doivent assurer facile accès aux philtres et aux autres parties qu’il faut nettoyer toujours pour entretien ; • adéquat éclairage naturel ou artificiel ; installations sanitaires douée d’un bon système d’aération ; • installations de déchargements aptes à éviter tous risques de contamination ; si les canaux de déchargements sont ouverts, aussi partiellement, il faut éviter que le flux avance de zones contaminés au zones propres, en particulier, si on manipule les aliments ; • présence, où il faut, d’installations adéquates destinés à vestiaire pour le personnel ; Il faut que les locaux soient : • propres et en bonnes conditions d’entretien. Il faut garder les produits pour la propreté et la désinfection en place différent de ces de manipulation des aliments. Chapitre II Qualités requises pour les locaux de manipulation Les locaux de manipulation doivent : • être projetés et disposés en façon de suivre la correcte pratique d’hygiène et empêcher la contamination entre et pendant les opérations ; • avoir carrelages et murs faciles à nettoyer et désinfecteur, en matériaux résistants, pas absorbants lavables et pas toxiques ; les murs doivent assurer un suffisant drainage ; • avoir les plafonds tels à éviter accumulations de saleté, formation de condensation ou moisis, dispersion de particules ; • avoir fenêtres et autre ouvertures aptes à éviter accumulations de saleté et protégés par des filets anti-insectes amovibles ; il faut tenir les fenêtre fermés pendant la production pour éviter toutes contaminations ; • avoir les portes lisses, pas absorbent , lavables et désinfecta blés ; • avoir les surfaces de travail et aménagements en matériaux lisses, résistant à la corrosion, lavables, désinfecta blés et pas toxiques ; • si nécessaire, avoir de aménagements aptes à la propreté et désinfection des outils de travail et des installations, avec adéquate distribution d’eau chaude et froide ; • si nécessaire, avoir des aménagements (éviers ) pour le lavage des aliments, doués d’eau potable chaude et froide, à tenir toujours propres et, si nécessaire, désinfectés . Si les matériaux employés sont différents, les travailleurs alimentaires en peuvent montrer la conformité aux Autorités de contrôle . Chapitre III Qualités requises des structures mobiles et/ou provisoires Les structures mobiles et/ou provisoires doivent être placés, projetés et bâties en façon d’éviter risques de contamination des aliments. Si nécessaire, doivent avoir : • éviers, aménagements d’hygiène sanitaire et vestiaires, surfaces de contact avec les aliments, lisses, lavables, désinfectables, résistants à la corrosion et pas toxique ; • adéquats emplacements pour les lavage des aliments en conditions d’hygiène, eau potable chaud et froide et aménagements pour la récolte hygiénique des déchets ; • convenables mesures pour la propreté et la désinfection des outils de travail et des installations ; • installations et aménagements pour la conservation des produits à température contrôlé. Chapitre IV Transport La pièce de cargaison et les éventuels containers pour les produits : • doivent être projetés et construit pour admettre l’adéquate propreté et désinfection ( matériel lavable et desinfectable, angles de raccord arrondis, éviter espaces morts ou discontinuité exc.) ; • il ne faut pas les utiliser pour transporter matériel différent si peut être source de contamination pour les aliments. Si on transport des aliments différents et avec risque de contaminations croisées, (ex : produits conditionnés et au détail, viandes blanches étranges, charcuteries et laitages, exc.) il faut réaliser aptes séparations au-dedans .Pour les transport des produits au détails liquides, granulaires ou en poudre, il faut utiliser des pièces de cargaison on citernes réservée seulement au transport alimentaire et avec l’écrite indélébile dans ce sens . Si nécessaire (aliments périssables ) dans les pièces de cargaison et/ou containers il faut maintenir et contrôler les température aptes à la conservation des produits. Chapitre V Qualités requises des aménagements Tout le matériel, les aménagements et les outillages qui sont en contact avec les aliments doivent : • être très bien nettoyés et , si nécessaire, désinfectes souvent pour éviter tout risque de contamination ; • être construits en matériel lavable et désinfectable et être installés pour consentir le nettoyage apte des outillages et de la zone environnante ; • avoir les dispositifs de contrôle pour obtenir l’objectif du Règlement. Chapitre VI Déchets alimentaires (omissis) Chapitre VII Ravitaillement hydrique (omissis) Chapitre VIII Hygiène personnelle • Tous ceux qui travaillent en locaux pour le traitement des aliments doivent maintenir le standard élevé d’hygiène personnelle, porter vêtements adéquates, propres et si nécessaire, protecteurs ; • Tous ceux qui sont atteints ou porteurs de pathologies transmissibles avec les aliments ou présentent plaies ou blessures infectées, infection de la peau, diarrhée ne peuvent pas être autorisés à manipuler aliments ou seulement entrer où on traite des aliments ; • Il faut que, tous ceux qui sont atteints des pathologies sous citées, dénoncent tout de suite sa maladie et ses symptômes au responsable de l’entreprise alimentaire. Chapitre IX Qualités requises applicables aux produits alimentaires (omissis) Chapitre X Qualités requises au conditionnement et emballage (omissis) Chapitre XI Traitement thermique (omissis) Chapitre XII Formation Les responsables du secteur alimentaire doivent assurer que : • Les personnes préposées à la manipulation des aliments soient contrôlées et soumises à l’instruction et/ou à la formation qui vise à l’activité qu’ils développent ; • Les responsables de l’élaboration et la gestion de la procédure HACCP ont reçus une formation adéquate pour appliquer les principes du système ; • Soient respectées les qualités prévues de la législation nationale en matière de programmes de formation. Le responsable doit assurer que le personnel soit renseigné sur ; • Le risque identifiés ; • Les points critiques de contrôle relatifs à la production, stockage, transport et/ou distribution ; Sur les : • Mesures correctives ; • Mesures de prévention ; • Documentation relative aux procédures . Toutes améliorations aux conditions de production hygiénique des aliments devrait impliquer toujours directement le personnel préposé aux différentes phases des manipulation par une costante éducation sanitaire. Cette a le but, non seulement, de garantir une production hygiénique des aliments pour la protection des consommateurs mais aussi de sauvegarder les travailleurs mêmes des risques des certains maladies. La formation ne peut pas être un épisode mais exige une continue mise à jour par cours et séminaires particuliers pour le personnel qui travaille dans différentes installations et secteurs. . ADRESSES UTILES U.O.C.Servizio Veterinario Tutela Igienico Sanitaria degli Alimenti di Origine Animale Directeur: Dott. Giuseppe De Angelis e-mail [email protected] U.O.S. Controllo distribuzione prodotti di origine animale Responsable: Dott.ssa Claudia Rossi e-mail: [email protected] V.le P. Togliatti, 1280 00155 Roma Tel 0641436384-6395 – Fax 0621801998 U.O.C Servizio Igiene Alimenti e Nutrizione – Via B.Bardanzellu 8 Tel 0641434903 Municipio V Sportello attività produttive – Via Tiburtina 1163 –tel. 0669605451 Heures de la réception: Lundi Mercredi Vendredi (8.30 - 12.30) Mardi (8.30 - 12.30 / 14.30 - 16.30) Jeudi (8.30 - 12.30 / 14.30 - 16.30) Municipio VII Sportello attività produttive – Via Prenestina 510 Heures de la réception: Lundi Mardi Mercredi (8.30 - 12.30) Jeudi (8.30 - 12.30 / 14.30 - 16.30) Municipio VIII Sportello attività produttive -Via Duilio Cambellotti 11 Tel. 0669608435/475 Fax: 06-69608471 Heures de la réception: Mardi et Jeudi (8.30 - 12.00 / 14.30 - 16.00) Municipio X Sportello attività produttive Piazza di Cinecittà 11 Heures de la réception: Mardi (8.30 - 13.00 / 14.30 - 16.30) Jeudi (8.30 – 16.30)