Les commentaires du diaporama sur l`étude de gestion.

Transcription

Les commentaires du diaporama sur l`étude de gestion.
Réunion à distance, étude de Gestion
Bonjour à tous, je vous propose de commencer cette réunion. Avec mon
collègue, nous savons qu’elle correspond à une attente forte des enseignants.
Nous espérons qu’elle permettra de répondre à l’ensemble de vos
interrogations.
Nous expérimentons pour la première fois la réunion à distance. Nous avons
choisi un format allégé sans visioconférence et vous n’aurez donc le plaisir que
de voir un diaporama que je vais commenter.
Pour que cette réunion se déroule dans les meilleures conditions, nous avons
choisi de laisser la place aux questions à la fin d’une petite série de diapositives.
Pour éviter toute cacophonie, je vous prie de bien vouloir respecter les règles
suivantes si vous souhaitez poser des questions :
- Lever la main pour demander la parole (icône dans la barre d’outils)
- Attendre que je vous donne la parole.
- Parler en appuyant en même temps sur la touche CTRL de l’ordinateur
Il est également possible de poser vos questions via un chat (icône sur la barre
d’outils)
2
Voici le plan de mon intervention avec deux grandes parties :
- Le rappel des textes et des informations concernant la circulaire
académique qui en découle,
- Des propositions pour mettre en œuvre l’étude de gestion dans vos
classes.
Pour rappel ; une webconférence animée par des inspecteurs généraux a eu
lieu le 28 juin dernier à Paris. Ce qui a été dit ce jour-là constituera évidemment
le fil rouge de cette intervention
3
Le BO du 24 mai 2012 figure sur le site disciplinaire économie gestion de
l’académie.
Il s’agit d’une épreuve obligatoire : même si les points pris en compte pour la
détermination du total obtenu aux épreuves du bac ne sont que les points audessus de dix (avec un coefficient 2), tous les candidats au bac STMG doivent se
présenter à cette épreuve dans les conditions qui seront précisées par la suite.
Le règlement d’examen précise les enjeux en termes de points pour les
candidats. Ce pourra être décisif pour ce qui est de l’obtention d’une mention
au bac STMG.
Rappelons que le pourcentage de mentions au bac STG est considéré comme
faible et qu’il n’existait pas jusqu’à présent d’épreuve comme celle de TPE pour
les bacs généraux.
Il convient cependant de prendre la mesure de cet enjeu. Ce n’est pas un enjeu
majeur pour l’obtention du bac,
Ce qui reste prioritaire c’est l’acquisition du socle commun en Sciences de
Gestion,
L’étude de gestion est surtout un outil au service des enseignants pour donner
du sens aux connaissances en Sciences de Gestion
4
On voit ici les deux éléments fondamentaux qui sont mis en jeu pour l’étude :
- Un aspect d’une question du programme de Sciences de Gestion (pas de
sujets nationaux pour l’étude de gestion)
- Une ou plusieurs organisations réelles (grande différence avec l’étude STG
actuelle).
Cette question du programme de Sciences de Gestion est posée dans le cas
d’une ou plusieurs organisations réelles.
5, 6,
La fiche 1 (fiche de travail synthétique) est remplie par l’élève et visée par le
professeur qui suit l’étude de gestion
7
Au cours de l’année scolaire : il s’agit donc d’une évaluation « au fil de l’eau »
au fur et à mesure de l’avancement des travaux du candidat tout au long de
l’année.
Cette évaluation est menée par le professeur de Sciences de Gestion de la
classe
8 et 9
Le professeur remplit la fiche 2 en sélectionnant le niveau atteint par l’élève
pour chacun des cinq critères ; la note sur 14 est définie à partir du nuage de
points qui détermine le profil de l’élève ; dans le cadre « commentaires », une
appréciation globale par rapport aux attendus justifiera la note attribuée (cela
sert en tant que de besoin à la commission d’harmonisation, d’une part et, à
répondre au candidat qui demande des explications, d’autre part).
La grille fonctionne comme en BTS.
Il n’y a pas de pondération entre les critères,
Les croix définissent un profil qui conduit à une note globale sur 14. Il n’y a pas
d’algorithme de calcul de la note en fonction des croix.
10
Evaluation par le professeur de S de G ou par un autre professeur.
Surtout pour permettre les remplacements
Une préconisation :
-
Le prof de S de G du candidat a suivi la réalisation de l’étude et connait
donc les conditions dans lesquelles elle a été menée. Il a une meilleure
connaissance du candidat,
-
à condition d’avoir présenté préalablement les critères d’évaluation,
ceux-ci lui servent dès le début des travaux des élèves à indiquer le cap
et les exigences de l’épreuve. Le fait d’assurer aussi le passage de la
présentation orale garantit la cohérence entre les exigences établies par
lui dès le début du travail et les critères utilisés pour la présentation
orale,
-
le fait d’assurer le passage de la présentation orale lui apporte une
souplesse d’organisation pour les oraux dans la mesure où il est à même
de déceler très rapidement les candidats qui sont prêts et qui peuvent
passer sans tarder et ceux qui ont besoin d’un travail complémentaire,
dont le passage doit être retardé.
11 et 12
La grille fonctionne comme en BTS.
Il n’y a pas de pondération entre les critères,
Les croix définissent un profil qui conduit à une note globale sur 6. Il n’y a pas
d’algorithme de calcul (ou de feuille de calcul sur tableur) de la note en
fonction des croix.
Cas particulier des candidats individuels (élèves dans les établissements hors
contrat ou inscrits au CNED. Un seul temps d’évaluation est prévu, lors d’une
épreuve orale ponctuelle de 20 minutes, par un professeur d’économie et
gestion désigné par le recteur. L’examinateur remplit la fiche présentée en
annexe 4 de la note de service qui est en fait le regroupement dans un
document unique des fiches 2 et 3 ; les modalités pour renseigner les
différentes rubriques suivent la même logique que dans les cas précédents. Il
est à noter que le candidat individuel doit fournir le jour de l’épreuve un
dossier de même nature que celui présenté par le candidat précisé supra, la
différence se faisant au niveau de l’environnement numérique dans lequel
s’exerce l’interrogation. Les conditions habituelles s’appliqueront pour
permettre au candidat de présenter ses supports numériques.
13, 14 et 15
Commentaire de la circulaire académique
Les redoublants de première STMG (donc à partir de l’année 2013-2014),
comme l’indique la note, devront réaliser une étude différente de celle réalisée
lors de leur précédente année de première.
Les redoublants de terminale STG (année scolaire 2013-2014) se verront
appliquer un régime transitoire : a priori, ils pourront soit demander le bénéfice
d’une dispense de cette épreuve anticipée qu’ils n’ont pas pu présenter (donc
pas de points supplémentaires possibles) soit s’inscrire à cette épreuve (en
puisant éventuellement des éléments dans la partie étude de l’épreuve de
spécialité du bac STG) ;
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1) Nous vous invitons à « lever la main », pour poser votre question qui ne
doit concerner que la partie « Textes » de notre exposé.
2) Nous allons recueillir toutes les questions dans un premier temps.
3) Dans un deuxième temps nous essaierons d’y répondre de manière
systématique.
Questions
17
Travailler à partir des textes était facile. Travailler sur la mise en œuvre est
difficile dans la mesure où aucune expérience n’est disponible et que chacun
manque de recul. Nous serons donc prudents :
-
en proposant à chaque fois que c’est possible plusieurs choix de mise en
œuvre,
-
en essayant d’éclairer ces choix de manière réaliste pour une première
année de mise en œuvre.
Nous avons bien conscience que nous rentrons là dans la partie la plus délicate
de cette web conférence.
18
Ce sont les principes généraux de mise en œuvre énoncés par l’inspection
générale.
L’étude est ici définie comme un travail personnel.
On trouve ici la fonction probablement la plus importante de l’étude de gestion
: donner du sens aux connaissances.
19
- De ce deuxième principe découle la prise en compte du niveau de
connaissance des élèves. On n’oubliera pas que nous sommes en
première avec des débutants ou quasi débutants en gestion.
-
On utilise ici le terme « une certaine compréhension »,
-
de même on retrouve l’idée de « certains aspects » de la question de
gestion.
Par « une certaine compréhension », par « certains aspects », cela introduit la
possibilité de tenir compte du potentiel de chaque élève.
20
- Nous verrons que l’entrée par les notions peut s’avérer intéressante en
particulier pour le choix ou le traitement du sujet de l’étude ;
-
l’ensemble des notions mobilisables ne se limite pas ainsi à celles du
programme de Sciences de Gestion. Un exemple : la notion de parties
prenantes au fonctionnement de l’organisation (management des
organisations) parait mobilisable dans de nombreux sujets d’étude.
-
la restitution de ces notions n’a pas vocation à être évaluée. On se
limitera aux critères de la grille.
« les capacités et connaissances acquises lors des enseignements de
management des organisations et d'économie-droit de la classe de première
peuvent être mobilisées dans le cadre de cette épreuve, sans toutefois être
évaluées. »
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Nous arrivons ici à un principe fondamental :
- La dernière phrase définit à elle seule l’étude : « l’analyse d’un objet
(organisation réelle) grâce à des outils ( capacités, outils
méthodologiques) et des concepts (notions) ».
- Les deux démarches qui sont mises en évidence illustrent bien que le
lien entre organisation réelle (objet d’étude) et enseignement (notions)
peut se faire dans les deux sens.
22
Nous verrons que là aussi l’entrée par les capacités peut permettre de définir
des directions de travail avec les élèves.
23
QUESTIONS
24, 25
Position du problème:
Un préalable à tout travail d’étude sera de choisir une question et de choisir
une ou plusieurs organisations :
-
Choisir une question suppose que les élèves aient les moyens de ce
choix et connaissent au moins la liste des questions qui sont posées. Il
est même tout à fait possible qu’une connaissance un peu plus
approfondie soit nécessaire.
-
De la même manière, choisir une organisation suppose que les élèves
aient noué des contacts ou recensé les différents choix possibles.
-
Enfin, l’enseignant ne doit pas perdre de vue qu’il doit avancer
régulièrement dans sa progression de telle manière que le programme
soit traité entièrement compte tenu du fait qu’il constitue un pré-requis
pour les enseignements de spécialité de terminale.
Il en résulte plusieurs scénarios.
Scénarii, le pluriel italianisant est considéré comme affecté [1] et légèrement pédant. Le Conseil
supérieur de la langue française, via le journal officiel du 6 décembre 1990, en déconseille l’usage
dans les documents officiels de la République française.
Comme on peut le voir sur la diapositive suivante notre préférence va plutôt
pour le scénario C.
26
Dans ce scénario :
-
la difficulté nous parait résider dans la présentation succincte des
questions de gestion contenues dans le programme. Dans l’énoncé de
ces questions il n’est pas exclu de trouver des concepts sur lesquels les
élèves pourraient poser des questions ou manifester des
incompréhensions qui rendent difficile leur choix,
-
l’avantage éventuel peut résider dans la curiosité que pourrait générer
une telle présentation succincte.
-
un autre avantage évidemment réside dans le fait de pouvoir présenter
toutes les questions du programme et de proposer un choix étendu.
27
Une variante du premier scénario:
- Même si l’introduction est plus longue, il faudra ensuite revenir sur le
traitement du programme ce qui risque de retarder la progression,
- En ce qui concerne les restitutions, il ne parait pas utile de s’entrainer de
manière répétitive à la partie B de l’épreuve. Les restitutions sont donc
plus à considérer comme des travaux d’étape qui doivent être
retravaillés ensuite par les élèves.
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Un scénario prudent qui nous parait adapté pour une première année de mise
en œuvre :
-
Le traitement du programme n’est pas retardé,
-
ce scénario convient bien avec une des deux hypothèses de progression
qui a été présentée l’année dernière en formation sur l’académie et qui
figure sur la diapositive suivante,
-
ce scénario laisse aussi le temps en parallèle de préparer la recherche de
l’organisation qui fera l’objet de l’étude,
-
ce scénario laisse le temps de traiter un certain nombre de questions et
de disposer des notions qui s’y rattachent dont nous verrons qu’elles
peuvent être très profitables pour réaliser des études intéressantes.
29
Progression proposée au cours des formations de l’an dernier
30
De manière à rester concret, nous avons préféré proposer deux exemples. Ces
exemples sont tirés des échanges sur la liste de diffusion ecogest. Il ne s’agit là
en aucune manière de porter un jugement sur ces contributions dont au
contraire il faut se féliciter qu’elles existent et que leurs auteurs aient bien
voulu nous faire profiter de leur travail.
Elles vous sont proposées pour éclairer vos choix.
31 et 32
L’exemple qui suit met l’accent sur les outils et met à profit tous les acquis
méthodologiques mis en œuvre pour l’étude de terminale STG.
Le décompte horaire n’est qu’une hypothèse de travail considérée comme
réaliste par son auteur et ne correspond pas à une préconisation des textes ou
des IPR.
La priorité est le traitement du programme de Sciences de Gestion et le fait de
donner du sens aux notions de ce programme.
Cette démarche considère que le choix du sujet de l’étude est acquis ce qui
nous parait discutable et pouvoir donner lieu à quelques difficultés.
Le travail méthodologique en amont doit être opéré en accompagnement
personnalisé (capacités transversales qui pourront être ré exploitées ailleurs)
33 et 34
Cette démarche présente plusieurs avantages :
-
Elle établit la liaison avec l’enseignement de management des
organisations dans le sens d’une progression articulée entre
management et Sciences de Gestion comme recommandée dans les
programmes,
-
Elle consacre plus de temps et de soin au choix de la question et de
l’organisation. Il s’avère en effet que cette étape est décisive dans la
mesure où il sera très certainement très difficile de revenir en arrière sur
le choix de l’organisation et de la question de gestion,
-
Elle correspond au scénario C évoqué précédemment qui nous parait
plus prudent,
Elle permet, avant tout traitement de la question de gestion aux élèves de
disposer d’un certain nombre de notions pour y répondre
35
36
Questions
37 et 38
Un certain nombre de conditions sont requises pour définir un sujet d’étude
avec chacun des élèves de la classe.
Des critères de pertinence généraux qui s’appliquent quel que soit le sujet,
Des notions mobilisables ou à mobiliser pour permettre :
- De guider la recherche d’informations,
-
d’analyser ces informations,
-
de dégager des conclusions.
Nous essaierons d’illustrer ce point avec quelques exemples
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Au-delà de la prise en compte de ces critère généraux, la difficulté peut se
poser d’orienter le travail des élèves.
Ce premier exemple tel qu’il se présente demande à être précisé.
40
Prendre en compte les notions mobilisables tirées du programme présente de
nombreux avantages :
- il est tout à fait intéressant de convoquer un certain nombre de concepts
pour répondre à la question ; sinon ce serait passer à coté de l’occasion
qui est donnée de donner du sens aux concepts en question à la lueur de
l’organisation choisie.
-
c’est aussi le moyen de faire un choix et de définir les « certains
aspects » du sujet de l’étude, en sélectionnant par exemple certaines
performances qui paraissent intéressantes ou tout simplement faciles à
aborder dans le cas de l’organisation choisie.
Ainsi finalement un sujet d’étude c’est :
-
Une question,
-
Une ou plusieurs organisations,
-
Des concepts, des notions du programme qui sont contextualisés.
Passer à coté de l’utilisation de ces notions du programme reviendrait à dire
aux élèves que ces notions ne servent à rien, qu’on ne sait pas pourquoi elles
sont là.
Dans cet exemple, les notions mobilisables mentionnées dans le programme de
Sciences de Gestion permettent :
-
d’apprécier le potentiel de telle ou telle organisation au regard de la
recherche d’informations à effectuer,
-
De définir des directions de recherche d’information pour les élèves, de
préciser la nature des informations à obtenir,
-
de juger plus précisément de la pertinence des informations recueillies,
-
d’élaborer des conclusions et des analyses pertinentes.
Le souci de réalisme conduira évidemment à privilégier certains aspects de la
question plus facilement exploitables, à éviter toute théorisation abusive, à
reste à un niveau de recherche d’information réaliste.
41
L’autre possibilité est de prendre en compte les capacités tirées du programme,
ce qui présente de nombreux avantages :
-
Repérer quelques capacités à travailler à l’occasion de l’étude permet de
fixer des objectifs aux élèves,
-
c’est là aussi le moyen de faire un choix et de définir les « certains
aspects » du sujet de l’étude, en sélectionnant seulement certaines
capacités ou en définissant celles par lesquelles on peut entamer l’étude.
- Ici dans cet exemple on peut se fixer comme objectifs de définir certains
indicateurs, d’effectuer des comparaisons dans le temps ou entre
organisations,
-
la dernière des capacités sera peut être abordée par des élèves à fort
potentiel, capables par exemple de faire le lien avec le management des
organisations.
Ainsi finalement un sujet d’étude c’est :
-
Une question,
-
Une organisation,
-
Des concepts, des notions du programme utilisables dans le cadre de
l’étude pour répondre à la question,
-
des capacités telles que mentionnées dans le programme que l’on
développe à l’occasion de l’étude.
Travailler sur ces axes permet largement de définir le sujet de l’étude,
d’identifier les informations à collecter, de repérer les axes de travail.
42
Vérifions si là aussi, un sujet d’étude c’est:
-
Une question,
-
Une organisation,
-
Des concepts, des notions du programme utilisables dans le cadre de
l’étude pour répondre à la question,
-
des capacités telles que mentionnées dans le programme que l’on
développe à l’occasion de l’étude.
43, 44
Il est impératif de convoquer un certain nombre de concepts pour répondre à
la question, sinon ce serait passer à coté de l’occasion qui est donnée de
donner du sens aux concepts en question à la lueur de l’exemple de
l’organisation choisie.
Ainsi finalement un sujet d’étude c’est:
-
Une question,
-
Une organisation,
-
Des concepts, des notions du programme utilisables dans le cadre de
l’étude pour répondre à la question,
-
des capacités telles que mentionnées dans le programme que l’on
développe à l’occasion de l’étude.
Passer à coté de l’utilisation de ces notions du programme reviendrait à dire
aux élèves que ces notions ne servent à rien, qu’on ne sait pas pourquoi elles
sont là.
45
La prise en compte de toutes les capacités ?
L’exemple numéro 2 nous permet de faire certaines remarques :
- Certaines capacités seront plus faciles que d’autres à travailler dans le
cadre de l’étude (nous les avons cochées avec un astérisque),
-
la prise en compte de certaines capacités conduit à convoquer de
nouvelles notions (la notion d’acteur notamment ou celle voisine de
partie prenante)
46
A commenter
47
Dans le cas de cette question, la prise en compte des notions à mobiliser
permet de repérer un outil (la représentation des processus) qui peut servir de
guide à la réalisation de l’étude.
48 et 49
Dans le cas de cette question, c’est peut-être la prise en compte des capacités à
travailler qui permet de trouver des pistes de travail avec les élèves.
En tout état de cause sur un sujet d’étude qui parait difficile au premier abord,
la prise en compte des notions et des capacités peut se révéler précieuse
50
A commenter
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Ces exemples sauf le deuxième sont tirés des exemples projetés lors d’une web
conférence nationale.
Il est possible pour trouver un sujet d’étude de partir des notions du
programme.
52 et 53
A commenter
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Dans le cas de cette question, la prise en compte des notions mobilisables
permet de définir ce qui est réaliste en matière d’étude.
55
En effet voici la liste.
Beaucoup de ces notions paraissent assez difficiles à contextualiser. Elles
conduisent à recourir principalement à des sources d’informations
documentaires. Le recueil d’informations primaires peut poser quelques
difficultés méthodologiques.
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L’entrée par les capacités parait ici plus abordable.
57
A commenter
58
Si un élève est absent le jour de l’oral et qu’il s’agit d’un cas de force majeure, il
peut repasser l’épreuve selon une organisation définie par l’établissement. S’il
ne s’agit pas d’un cas de force majeure, l’élève est noté absent (à relativiser).
Contrairement à l’étude STG où l’absence de signature des fiches était une
information destinée aux professeurs interrogateurs, la fiche d’étude de
gestion n’est pas le support d’un règlement de compte avec l’élève. Les
problèmes de discipline et d’assiduité sont à régler en amont avec la vie
scolaire. Les fiches doivent donc être signées.
- Utilisation des grilles nationales conservées pendant un an dans
l’établissement. Il s’agit d’une épreuve où seuls les points au-dessus de la
moyenne comptent. Il convient donc de valoriser les productions des élèves.
Un 10 / 20 ne peut être toléré ! (soit c’est franchement mauvais et cela ne vaut
pas la moyenne, soit c’est à 11 au moins).
La commission d’harmonisation définira les écarts admissibles.
La moyenne des TPE sur l’académie est de 12,5 (à titre d’information…).
Questions-Réponses
Q. Temps imparti pour réaliser l’étude ?
Ceci relève de la liberté pédagogique, il n’y a pas de règle, variable selon la
classe, les élèves. Il est important de fixer une date butoir.
Q. Choix du sujet ?
Le sujet est choisi par l’élève en concertation avec son professeur. Les
questions doivent refléter la diversité des thèmes abordés dans le programme.
Q. Quid redoublants (en terminale stg en 2013-2014) ?
Ils peuvent :
- demander à être dispensés de cette épreuve
- peuvent s’inscrire à l’épreuve
Q. Harmonisation des notes ?
Sous l’autorité du recteur : création d’une commission académique pilotée par
un IA-IPR chargé d’assurer la remontée des fiches, d’harmoniser la notation de
l’épreuve et de faire un bilan de la session.
Q. Documents à remplir :
- élèves sous statut scolaire en lycée public ou privé sous contrat : annexes 1,
2 et 3 (attention ces annexes ont le statut de copies d’examen : possibilité pour
les familles d’en prendre connaissance, d’effectuer un recours, etc.)
. l’annexe 1 est remplie par l’élève et signée par le professeur responsable
. les annexes 2 et 3 : sont remplies par le professeur (2 : note /14 et la 3 : note
/6)
- élèves en candidats libres (Cned etc.) : annexes 1 et 4
L’élève apporte son dossier le jour de l’oral (pas de signature du professeur
responsable exigée) puis est interrogé à l’oral (rappel : 20’ soit 10’ de
présentation et 10’ de questions). Le professeur évalue la prestation sur
l’annexe 4.
Q. Qui mène l’entretien ?
- élèves scolarisés dans un établissement public ou privé sous contrat : le
professeur responsable de la classe ou un autre professeur d’économie gestion
en cas de défaillance du professeur responsable (attention : relire la note de
service sur ce point).
- candidats libres : l’oral est mené par un professeur désigné par le Recteur.
Q. Un élève peut-il repasser l’oral ?
En principe non, sauf cas de force majeure...
Q. Le professeur peut-il ne pas signer les fiches ?
La fiche n’est pas le support d’un règlement de compte avec l’élève : les pb de
discipline et d’assiduité sont à régler en amont avec la vie scolaire.
Q. L’oral doit-il avoir lieu pendant les heures de cours ?
Chaque établissement est chargé de l’organisation de l’épreuve. Les conditions
de l’épreuve dépendront des pratiques de l’établissement, de l’emploi du
temps des élèves, de la coordination avec l’équipe etc.
Q. Quid si un élève est absent à l’oral ?
Si cette absence relève d’un cas de force majeure, il peut repasser l’épreuve.
Sinon, il est noté absent à l’épreuve orale (peut-il garder le bénéfice de sa note écrite ???)