Communiqué - SIX media marketing inc.
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Communiqué Pour diffusion immédiate L’album disponible le 14 octobre Montréal, septembre 2014 – Pour Film Of Life, son dixième album disponible le 14 octobre prochain, l’horloger de l’afrobeat Tony Allen frappe un grand coup. Il est entouré des Jazzbastards, un trio de producteurs à la pointe des sons d’aujourd’hui, et de compagnons de route au premier rang desquels Damon Albarn, pionnier des ponts entre l’Afrique et les musiques actuelles. Tony Allen livre ici un disque qui sonne comme un autoportrait et qui brasse be bop, afrobeat jazz et pop psyché. Pour le sorcier de Lagos qui a toujours pensé sa batterie comme un orchestre et qui aime « la faire chanter », ce Film Of Life est un aboutissement. En avant-première de Film of Life, nous avions eu droit à l’extrait Go Back, une ballade poignante écrite et composée avec Damon Albarn, invité également au chant et aux claviers. Sur une trame rythmique sensuelle et hypnotique, les deux musiciens l’ont réalisé en hommage aux réfugiés d’Afrique qui échouent sur l’île de Lampedusa au large de l’Italie. TONY ALLEN Film of Life Site web Facebook Twitter Voyez le clip Go Back Source : Jazz Village / harmonia mundi Informations : Simon Fauteux SIX media marketing inc. 514 544-7013 [email protected] 70, rue Molière suite 201, Montréal (Québec) H2R 1N8 514.544.7013 www.sixmedia.ca Entre le chanteur de Blur et l’ancien accompagnateur de Fela Kuti, peut-on encore parler de complicité ? C’est que, depuis le projet itinérant Africa Express, jusqu’à l’éphémère groupe afro rock Rocket Juice and The Moon, en passant par le all stars band The Good The Bad & The Queen, ces deux-là se montrent résolument inséparables. Ainsi quand Tony Allen dit qu’il n’a pas connu une relation musicale aussi épanouissante depuis l’époque où il jouait avec Fela, Damon répond qu’il considère Tony Allen « comme le meilleur batteur au monde ». Un échange de politesse qui, après tout, n’engage que leur sincérité mais qu’il sera difficile de mettre en doute après l’écoute de ce titre co-composé par Albarn dont la délicatesse mélodique est au diapason de la légendaire souplesse rythmique du percussionniste. D’un sujet grave – le drame de l’exil – Allen et Albarn tirent un morceau au charme très Philly sound naviguant dans les eaux saines d’une juste compassion qui jamais ne sombre dans le pathétique complaisant.