programme - Orchestre de Chambre de Lausanne
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PROGRAMME DU CONCERT SÉRIE LES GRANDS CONCERTS LUNDI 2 & MARDI 3 MAI 2016, 20H00 SALLE MÉTROPOLE LAUSANNE CHRISTOPHER PARK PIANO CHRISTOPH ESCHENBACH DIRECTION ORCHESTRE DE CHAMBRE DE LAUSANNE FRANÇOIS SOCHARD, PREMIER VIOLON SOLO Partenaire de saison et banque officielle Partenaire radio exclusif Le bouquet de la soirée est offert par Meylan Fleurs SA à Lausanne PROGRAMME JOSEPH HAYDN WOLFGANG AMADEUS MOZART 17321809 17561791 Symphonie n° 21 en la majeur, Hob. I/21 (15’) 1. 2. 3. 4. Concerto pour piano et orchestre n° 24 en do mineur, K 491 (30’) Adagio Presto Menuetto Allegro molto 1. Allegro 2. Larghetto 3. Allegretto ENTR ACTE, 20 MINUTES RICHARD STRAUSS JOSEPH HAYDN Metamorphosen, étude pour 23 cordes solistes (25’) Symphonie n° 49 en fa mineur, Hob. I/49 « La passione » (25’) 18641949 17321809 1. 2. 3. 4. Adagio Allegro Menuet Presto Diffusion du concert en direct sur Espace 2 le mardi 3 mai 2016 et à la carte sur www.espace2.ch LA FORME ET SES MÉTAMORPHOSES On en revient toujours à Haydn, qu’on ne surnomme pas pour rien « le père de la symphonie », genre qu’il cultiva de 1759 à 1795. Mais on aurait tort de réduire ce grand musicien au créateur de la seule forme symphonique. Haydn fut aussi un tempérament imaginatif, et les cent quatre symphonies qu’il nous a laissées sont pleines d’une fantaisie dans les motifs et dans les rythmes qu’on redécouvre à mesure que ses symphonies, longtemps considérées avec un respect un peu trop lointain, sont jouées par des chefs enthousiastes. Il est vrai que le musicien, au service pendant une trentaine d’années des princes Esterhazy (Paul Anton en 1761–1762, puis son frère Niklaus dit « le Magnifique » jusqu’en 1790, enfin le fils de celui-ci, Paul Anton qui, n’ayant que peu de goût pour la musique, redonna à Haydn sa liberté), fut libre d’animer comme il l’entendait la vie musicale du château : « Coupé du monde, je fus obligé d’être original », dit-il un jour plaisamment. Les deux symphonies au programme de ce concert ont cette particularité de commencer l’une et l’autre par un mouvement lent qui précède le premier Allegro, puis le menuet et enfin le finale. Cette forme est habituellement désignée par l’expression « sonate d’église », et on peut imaginer que Haydn l’a retenue pour exprimer, certes toujours avec pudeur, ses inquiétudes les plus profondes. La Vingt et unième Symphonie s’ouvre par un mouvement d’une grave mélancolie, que les bois viennent à peine fleurir de quelques couleurs. Le Presto qui suit contraste on ne peut plus avec la désolation qui précède, cependant que le Menuetto vibre des accents qu’on attend de lui (ce qui ne sera pas du tout le cas du menuet de la Symphonie n° 49 qui clôt ce concert). Le finale, après ce moment de relatif relâchement, reprend l’initiative à la faveur d’une instrumentation acidulée qui pousse inexorablement la musique vers l’avant. Relativement concise, cette symphonie exprime des sentiments profonds avec une noble simplicité. La Quarante-neuvième, de quatre ans postérieure, ira plus loin dans l’ampleur de la forme. Le soustitre de cette Quarante-neuvième symphonie, « La Passion », ne doit pas nous égarer : il ne s’agit pas ici d’une symphonie uniformément lyrique mais d’une partition qui, écrite pour le Vendredi saint de l’année 1768, selon certaines sources, reprend elle aussi le découpage de la sonate d’église. L’œuvre est poignante de bout en bout, que ce soit dans le vaste Adagio initial ou dans l’Allegro qui suit, particulièrement agité. Le Menuet, plein de fébrile inquiétude, n’a rien d’une page à danser, cependant que le Presto, haletant, débridé, se précipite sans répit vers sa fin. De Haydn à Mozart, qui partageait les mêmes convictions maçonniques, la transition va de soi. Les vingt-sept concertos pour piano de celui qui parlait avec tendresse de « papa Haydn » constituent, avec ses opéras et sa musique sacrée, l’un des cycles les plus accomplis qu’il nous a laissés, celui où l’effusion mélodique rejoint au mieux la maîtrise de la forme. « C’est dans les concertos (et les opéras), non dans les symphonies, que se dessine l’évolution de l’écriture orchestrale de Mozart au cours des années viennoises, écrit Robert Levin. L’émancipation des instruments à vent – d’une importance capitale pour le développement de ses concertos pour piano — parvient à un tournant avec le Concerto K 450 (1784), qui s’ouvre par un passage destiné aux instruments à vent obligés. Dès lors, Mozart hisse l’ensemble des vents au rang d’entité privilégiée au sein de l’orchestre : dans les concertos K 482 et K 491, On en revient toujours à Haydn, qu’on ne surnomme pas pour rien « le père de la symphonie » il leur arrive parfois de pousser les cordes complètement de côté. » Le Vingt-quatrième concerto K 491 fut composé au début de l’année 1786 et créé à Vienne, le 3 ou le 7 avril de la même année, par le compositeur. Il est donc contemporain des Noces de Figaro et du Vingt-troisième concerto. Le premier mouvement oppose la sombre inquiétude de l’orchestre à la légèreté du piano. L’introduction orchestrale crée l’atmosphère, à laquelle répondra le soliste avec sollicitude sans pour autant, à mesure que le mouvement progresse, se faire jamais pressant ou angoissé : la grâce l’emporte toujours. Cette page, qu’on peut qualifier par certains côtés de pathétique, laisse la place à un mouvement lent à la fois simple et tendre, nimbé de cette expression de la nostalgie dont Mozart a le secret, enfin à un finale très serré qui comprend huit variations. On change du tout au tout avec les Métamorphoses (Metamorphosen) de Richard Strauss, qui pourraient être sous-titrées « Tombeau de l’Opéra de Munich ». Car cette ultime partition pour orchestre écrite par Strauss, du 13 mars au 12 avril 1945, précédée par une première version pour septuor à cordes, est un écho à la douleur éprouvée par le vieux compositeur à l’annonce de la destruction de l’Opéra de Munich, sa ville natale, survenue en octobre 1943 : « La plus grande catastrophe de ma vie, je suis anéanti ». Douleur encore augmentée par d’autres bombardements : « Je suis inconsolable. Le Goethes Haus, le lieu le plus sacré de la planète, détruit ! Dresde, Weimar, Munich, toutes ces villes charmantes, disparues ! » Les Métamorphoses sont dédiées à Paul Sacher, qui en assura la création à la Tonhalle de Zurich le 25 janvier 1946. Elles prennent le profil d’une méditation funèbre avec une section centrale, notée Allegro, un peu plus animée, et sont destinées à vingt-trois instruments (dix violons, cinq altos, cinq violoncelles, trois contrebasses), tous considérés comme des voix solistes, quitte à rejoindre momentanément tel ou tel autre instrument. Strauss n’a pas choisi d’illustrer une forme précise, ce que traduit d’ailleurs le titre de l’œuvre, ni de s’en tenir à une tonalité définie. Comme l’explique Michael Kennedy, « le titre (…) est emprunté à Goethe, qui employa cette image au soir de sa vie lorsqu’il revint par la pensée à des œuvres qui avaient occupé son esprit pendant longtemps ; il les compara alors aux métamorphoses de la vie végétale, la graine évoluant jusqu’à l’épanouissement, puis mourant avant de redevenir graine ». L’œuvre crée sa propre forme par métamorphoses successives, le thème de la Marche funèbre de la Symphonie héroïque de Beethoven planant sur l’ensemble de la partition, à la fois comme une référence lugubre et une marque d’attachement à une civilisation inextinguible et à une tradition musicale qui a Vienne, celle de Haydn, de Mozart, de Schubert et de Bruckner, pour port d’attache. CHRISTIAN WASSELIN BIOGRAPHIE DES ARTISTES CHRISTOPHER PARK PIANO Né à Bamberg, le pianiste germano-coréen Christopher Park donne des concerts dans le monde entier, en compagnie des plus grands chefs et des meilleurs orchestres. Il se réclame de deux traditions d’interprétation : la tradition russe (celle de Lev Oborin), grâce à l’enseignement qu’il a reçu de Lev Natochenny, et la tradition allemande (celle de Wilhelm Kempff), via Joachim Volkmann. Ses premiers enregistrements solo ont été consacré à des transcriptions d’œuvres russes (2010) et à Liszt (2012). Il a aussi perfectionné son jeu auprès de personnalités telles que Gary Graffman, Cyprien Katsaris, Karl-Heinz Kämmerling, Vladimir Krainev et Thomas Duis. Christopher Park aime aussi accompagner des chanteurs et pratiquer la musique de chambre. Il se produit avec des artistes aussi divers que Richard O’Neill, Adolfo Gutiérrez Arenas, Avi Avital, Sumi Jo, le Quatuor Küchl, ou encore le chorégraphe John Neumeier avec qui il travaille depuis 2013 ; on leur doit les spectacles intitulés Petrushka-Variations, Kinderszenen et Vaslaw. CHRISTOPH ESCHENBACH DIRECTION Né en 1940 à Breslau, Christoph Eschenbach étudie d’abord le piano et remporte, à l’âge de dix ans, le premier prix du concours organisé à Hambourg par la firme de piano Steinway. Il se forme à la direction d’orchestre auprès de Wilhelm Brückner-Rüggeberg, puis remporte à Lucerne le Prix Clara Haskil, qui donne de l’élan à sa carrière de pianiste. Spécialiste de Mozart, il interprète aussi la musique de son temps ; Aribert Reimann, ainsi, a composé à son intention, en 1979, ses Variations pour piano. Il forme un duo avec le pianiste Justus Franz, enregistre avec ce dernier et Helmut Schmidt, chancelier de la République fédérale allemande, le Concerto pour trois pianos de Mozart, et se met à accompagner plusieurs chanteurs, dont le baryton Dietrich Fischer-Dieskau. Sa carrière de chef commence à Hambourg en 1972, avec la Troisième Symphonie de Bruckner, et sa carrière de chef lyrique six ans plus tard, à Darmstadt, avec La Traviata. Il est tour à tour directeur musical de l’Orchestre philharmonique de Rhénanie-Palatinat, de l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, de l’Orchestre symphonique de Houston, de l’Orchestre de la NDR d’Hambourg, de l’Orchestre de Philadelphie, de l’Orchestre de Paris. Depuis la saison 2010–2011, il est directeur musical du National Symphony Orchestra à Washington et du Kennedy Center. Christoph Eschenbach s’est illustré dans de nombreux théâtres lyriques, notamment à Covent Garden et à l’Opéra de Houston. En 2000, il a dirigé Parsifal au Festival de Bayreuth, en 2001 Arabella au Metropolitan Opera de New York et, en 2004, pour le cinquantième anniversaire du Chicago Lyric Opera, Don Giovanni. L’ORCHESTRE DE CHAMBRE DE LAUSANNE Fondé en 1942 par le violoniste Victor Desarzens, l’Orchestre de Chambre de Lausanne (OCL) n’a cessé de déployer ses ailes pour devenir aujourd’hui l’une des phalanges de chambre les plus demandées d’Europe. La nomination à sa tête en 2015 de l’un des jeunes chefs les plus prometteurs de la nouvelle génération, l’Américain Joshua Weilerstein, en est la preuve éclatante. De formation Mannheim (soit une quarantaine d’instrumentistes), l’orchestre embrasse un vaste répertoire qui va des premiers baroques à la création contemporaine. Très vite convié à l’étranger — il participe au Festival d’Aix-en-Provence dès la deuxième édition, ses tournées en Allemagne puis aux États-Unis sont des succès retentissants, comme ses concerts plus récents au Théâtre des Champs-Élysées, au Musikverein de Vienne ou aux BBC Proms de Londres. Parmi ses dernières invitations, on citera le Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, le Festival Rostropovitch de Moscou et le Festival d’Istanbul. Ses concerts sont rythmés par l’engagement de solistes de premier plan : de Clara Haskil, Alfred Cortot, Walter Gieseking et Edwin Fischer à Murray Perahia, Radu Lupu, Martha Argerich et Nikolai Lugansky chez les pianistes, d’Arthur Grumiaux à Frank Peter Zimmermann chez les violonistes, de Paul Tortelier à Truls Mørk chez les violoncellistes, ou encore de Jean-Pierre Rampal à Emmanuel Pahud chez les flûtistes, les plus grands noms l’ont gratifié de leur concours et continuent plus que jamais à lui faire confiance. L’OCL a aussi toujours su attirer les baguettes les plus intéressantes du moment : de Günter Wand à Charles Dutoit, de Paul Hindemith à Ton Koopman, de Jeffrey Tate à Bertrand de Billy (actuel principal chef invité), il s’enrichit sous leur direction des influences les plus diverses. À l’instar du disque, qui offre un miroir pérenne de cet esprit d’ouverture : de l’intégrale des opéras de Haydn dans les années 1970–1980 sous la direction d’Antal Dorati aux concertos de Beethoven avec Christian Zacharias (qui viennent de sortir en DVD chez Bel Air Media), en passant par les récentes gravures chez Alpha consacrées à Schönberg et Webern (avec Heinz Holliger) et à Spohr (avec Paul Meyer), à la faveur d’une nouvelle collaboration avec Outhere Music, la vitrine est séduisante et parfaitement en phase avec l’identité historique de l’OCL. Le premier disque sous la direction de Joshua Weilerstein sera consacré à Stravinski, à paraître chez MDG. Résident de la Salle Métropole, écrin idéal au centre de Lausanne, l’OCL est l’hôte régulier de la fosse de l’Opéra de Lausanne et le partenaire privilégié de nombreuses institutions de la région telles que la Haute école de musique de Lausanne, l’Auditorium Stravinski de Montreux, la Fondation Pierre Gianadda de Martigny, le Festival d’opéra d’Avenches ou le Concours de piano Clara Haskil de Vevey. Il est également un partenaire historique de la Radio Télévision Suisse, dont il nourrit les programmes depuis l’origine et profite en retour de son vaste réseau de diffusion national et européen. C’est ainsi que ses concerts, enregistrés par Espace 2, sont mis à la disposition du public en écoute à la demande sur www.espace2.ch. Une phalange du rang de l’OCL, c’est bien sûr des affiches aux noms de solistes et de chefs invités prestigieux, mais c’est d’abord une identité forte forgée au fil des ans par un petit nombre de directeurs artistiques. Au fondateur Victor Desarzens (1942—1973), qui marque l’institution par son engagement infatigable en faveur des créateurs suisses (Frank Martin en tête) succèdent DIRECTEUR ARTISTIQUE CONTREBASSES Joshua Weilerstein Marc-Antoine Bonanomi premier solo PRINCIPAL CHEF INVITÉ Bertrand de Billy Sebastian Schick deuxième solo VIOLONS Daniel Spörri Gyula Stuller François Sochard premiers violons solo Julie Lafontaine deuxième solo des premiers violons Alexander Grytsayenko chef d’attaque des seconds violons Olivier Blache deuxième solo des seconds violons Gábor Barta Delia Bugarin Stéphanie Décaillet Edouard Jaccottet Stéphanie Joseph Janet E. Loerkens Alexandre Orban Catherine Suter Gerhard Ophélie Vadot Anna Vasilyeva ALTOS Eli Karanfilova premier solo Armin Jordan (1973—1985), qui par les disques (chez Philips et Erato) accentue considérablement le rayonnement international de l’orchestre, puis Lawrence Foster (1985—1990), Jesús López Cobos (1990—2000), Christian Zacharias (2000—2013) avec une exceptionnelle intégrale des concertos pour piano de Mozart chez MDG, pour arriver en 2015 à Joshua Weilerstein, qui d’emblée déclare son intention de poursuivre l’œuvre de ses prédécesseurs tout en inscrivant l’OCL dans le XXIe siècle, par le biais de programmes audacieux ou l’exploitation plus efficace des nouveaux moyens de communication. Nicolas Pache deuxième solo Johannes Rose Karl Wingerter NN FLÛTES Jean-Luc Sperissen premier solo Anne Moreau Zardini deuxième solo HAUTBOIS Beat Anderwert premier solo Barbara Stegemann deuxième solo CLARINETTES Davide Bandieri premier solo Curzio Petraglio deuxième solo BASSONS Axel Benoit premier solo François Dinkel deuxième solo CORS Iván Ortiz Motos premier solo Andrea Zardini deuxième solo TROMPETTES VIOLONCELLES Marc-Olivier Broillet premier solo Joël Marosi premier solo Nicolas Bernard deuxième solo Catherine Marie Tunnell deuxième solo TIMBALES Lionel Cottet Indira Rahmatulla Philippe Schiltknecht Arnaud Stachnick premier solo NOS PROCHAINS CONCERTS LES ENTRACTES L’OCL À GENÈVE MARDI 3 MAI 2016, 12H30 MERCREDI 11 MAI 2016, 20H00 SALLE MÉTROPOLE LAUSANNE VICTORIA HALL GENÈVE Gyula Stuller Johannes Rose VIOLON ALTO Xavier Phillips VIOLONCELLE Stéphanie Décaillet Philippe Schiltknecht VIOLON VIOLONCELLE Gábor Barta Pascal Godart VIOLON PIANO Œuvre de Ernest Chausson Frank Beermann DIRECTION Œuvres de Robert Schumann et Nikolaï Miaskovski LES GRANDS CONCERTS LUNDI 23 & MARDI 24 MAI 2016, 20H00 SALLE MÉTROPOLE LAUSANNE LES DOMINICALES Truls Mørk VIOLONCELLE DIMANCHE 8 MAI 2016, 11H15 Michael Francis DIRECTION SALLE MÉTROPOLE LAUSANNE Davide Bandieri CLARINETTE Eli Karanfilova ALTO James Feddeck DIRECTION Œuvres de Felix Mendelssohn Bartholdy, Max Bruch et Franz Schubert Œuvres de Ralph Vaughan Williams, Arthur Honegger, Frank Martin et Benjamin Britten REMERCIEMENTS La Fondation de l’Orchestre de Chambre de Lausanne remercie pour leur fidèle soutien les autorités, institutions, personnalités et entreprises suivantes : Contributions publiques Ville de Lausanne État de Vaud Fonds intercommunal de soutien aux institutions culturelles de la région lausannoise Partenaires médias Espace 2 RTS Radio Télévision Suisse 24 heures Mécénat Loterie Romande Fondation Leenaards ProHelvetia Fondation Notaire André Rochat Association des Amis de l'Orchestre de Chambre de Lausanne Partenaire de saison et banque officielle Banque Cantonale Vaudoise Aide comptable Gaétan Golay [email protected] T 021 345 00 29 Attachée de presse Hélène Brunet [email protected] T 021 345 00 20 Bibliothécaire Pierre Béboux [email protected] T 021 329 03 73 Responsable des activités jeunesse Aude Leclerc [email protected] T 021 345 00 23 Régisseur administratif Pierre-François Bruchez pierre-francois.bruchez @ocl.ch T 021 345 00 26 Responsable de la billetterie Yannick Geering [email protected] T 021 345 00 25 Responsable de la promotion et du mécénat Lydiane Pittet [email protected] T 021 345 00 28 Régisseur technique André Goy [email protected] T 021 329 03 74 Partenaire exclusif des Concerts Découvertes Nestlé Échanges promotionnels Lausanne Palace Meylan Fleurs, Lausanne Partenaires institutionnels Opéra de Lausanne Haute Ecole de Musique de Lausanne (HEMU) Conférence des Sociétés Chorales Vaudoises de Concert (CSCVC) La Manufacture, Haute Ecole de Théâtre de Suisse Romande (HETSR) L’ADMINISTRATION Directeur exécutif Benoît Braescu Assistante de direction Roberta Ocozia [email protected] T 021 345 00 24 Comptable Joséphine Moretta Piguet [email protected] T 021 345 00 27 IMPRESSUM Responsable de la publication Benoît Braescu Graphisme trivial mass CONTACT Impression Imprimerie Cornaz SA Photographies Eric Brissaud — Couverture, p.7 Federal Studio — p.9 Rue de Genève 12 CH — 1003 Lausanne T +41 21 345 00 20 F +41 21 345 00 21 www.ocl.ch L’OCL est résident de la Salle Métropole L’Orchestre de Chambre de Lausanne est membre d’orchester.ch 31 JUILLET 2016 Gábor Tákacs-Nagy Gábor Tákacs-Nagy 26 JUILLET 2016 3 AOÛT 2016 Marc Minkowski Michael Tilson Thomas 28 JUILLET 2016 6 AOÛT 2016 András Schiff Emmanuel Krivine Réservations: verbierfestival.com VFCO © AlinePaley Retrouvez les concerts du Verbier Festival Chamber Orchestra ! 23 JUILLET 2016