Programme - Domaine de Sceaux - Conseil départemental des
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Programme - Domaine de Sceaux - Conseil départemental des
vallée de la culture 2015-2016 Conseil départemental des Hauts-de-Seine / Pôle Communication • © DR • octobre 2015 • KA Le paysage au xıxe siècle Cycle de cours d’histoire de l’art 17 décembre 2015 – 30 juin 2016 Programme /domainedesceaux domaine-de-sceaux.hauts-de-seine.fr La vallée de la Seine est rendue à la culture et aux arts par la création d’équipements d’importance internationale : la Cité musicale départementale de l’Île Seguin et le musée Albert-Kahn. Dans la continuité de ce geste, le département des Hauts-de-Seine s’engage à mettre ses projets en résonance avec ceux des communes qui célèbrent un patrimoine partagé : les paysages naturels ou bâtis des bords de Seine et des environs de la capitale. Tout au long du XIXe siècle, ces lieux furent le berceau d’avancées artistiques majeures. De l’époque romantique à celle de l’impressionnisme, les plus grands peintres se sont forgés un nom en brossant les images sublimées – devenues pour beaucoup de célèbres chefs-d’œuvre – d’un cadre de vie exceptionnel : celui d’une vallée portant naturellement au désir de culture. En parallèle à trois expositions organisées sur ce thème, un cycle de cours, pour tous les publics, curieux ou amateurs, propose de parcourir cette passionnante histoire du paysage, où vous serez guidé par les meilleurs spécialistes, conservateurs de musée et historiens. Je vous souhaite de bonnes visites et des cours passionnants dans la Vallée de la culture des Hauts-de-Seine. Patrick Devedjian Député et Président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine Musée du Domaine départemental de Sceaux Paysages Du romantisme à l’impressionnisme Les environs de Paris Du vendredi 18 mars au dimanche 10 juillet 2016 Au travers d’une centaine de tableaux, dessins et photographies de Corot, Daubigny, Renoir, Sisley, ou encore Atget, l’exposition Du romantisme à l’impressionnisme, les environs de Paris, présente l’évolution du paysage francilien au XIXe siècle. À l’apogée du genre, toutes les générations de peintres, français comme étrangers, se retrouvent dans les environs de Paris, pour y mener la vie d’artiste en groupes voire en colonies. Ces lieux d’échanges sont de fabuleuses écoles où s’invente le paysage moderne, en marge de la vie artistique parisienne, de ses salons et de son Académie. L’exposition dresse la carte de ces lieux de peinture emblématiques, Barbizon, Auvers-surOise ou encore les bords de Marne, où peintres et photographes ont trouvé tour à tour la lumière étouffée des futaies prisée par les romantiques, les étendues lumineuses de paysages harmonieusement vallonnés et l’éclat impressionniste de la Seine. Le regard porté sur ce territoire, qui s’industrialise et s’urbanise à la vitesse du chemin de fer, connaît en un siècle une formidable révolution. Lieux d’exil romantique, les environs de Paris deviennent au fil des ans sites touristiques, débroussaillés par les premiers excursionnistes, et lieux de loisirs où les guinguettes voisinent avec les canotiers du dimanche. Les artistes ont-ils été les fidèles témoins de ces évolutions urbaines et sociales ou ont-ils inventé leur Île-de-France ? Ce sont les enjeux que soulève cette exposition, qui rend hommage à la beauté des sites d’Île-de-France, célébrée, avec passion, par le siècle par excellence du paysage. Les animations autour de l’exposition du musée du Domaine départemental de Sceaux Pique-nique impressionniste Dimanche 5 juin 2016, à partir de 12h, Domaine de Sceaux Fouillez les greniers pour dénicher canotiers et ombrelles, sortez palettes, toiles et cartons à dessins et venez sur la Plaine de l’Orangerie déjeuner sur l’herbe, en famille, comme au temps des impressionnistes. Au programme : flonflons et chansons de la Belle Époque puis, dès 14h, jeux d’autrefois pour petits et grands, atelier de peinture et même un photographe 1900, pour vous faire tirer le portrait « à l’ancienne » ! Les autres temps forts autour de l’exposition du musée du Domaine départemental de Sceaux Vendredi 18 mars 2016 • tarif : 16 € - tarif réduit 12 € ( réservation conseillée ) Concert inaugural à l’Orangerie du Domaine de Sceaux Trois des membres du Cercle, Dana Ciocarlie (piano), Hugues Borsarello (violon), et Mariam Adam (clarinette), proposent pour cette Petite Nuit, un programme autour de Debussy, Stravinsky, Bartok… Samedi 9 avril 2016 • entrée gratuite Journée d’étude à l’Orangerie du Domaine de Sceaux. Le musée du Domaine départemental de Sceaux donne la parole aux sociétés savantes et associations culturelles qui, depuis longtemps, s’engagent en faveur de la valorisation des sites patrimoniaux d’Île-de-France et de leur mémoire. Pierre-Emmanuel Damoye, La Seine à Nanterre Vers 1885-1890, huile sur bois, 30x60 cm, musée du Domaine départemental de Sceaux, ©Musée du Domaine départemental de Sceaux ©P.Lemaître Programme du cycle de cours d'histoire de l'art Paysages des environs de Paris et peinture d'histoire : Valenciennes, Bertin, Michallon Francis Villadier, conservateur en chef du patrimoine Depuis la fin du XVIIIe siècle, les peintres se sont plu à représenter sans relâche les sites d’Îlede-France propres à satisfaire leurs envies de nature et de plein air. À travers l’exemple, parmi d’autres, des quelques kilomètres de berges et de fleuve qui forment la « belle boucle » de la Seine, c’est à une véritable leçon d’histoire de l’art du paysage que nous sommes conviés, depuis les élégantes compositions néo-classiques jusqu’aux audaces colorées des Fauves. Geneviève Lacambre, conservateur général honoraire du patrimoine, chargée de mission au musée d'Orsay Pour ces artistes qui complètent leur formation lors de voyages en Italie, les premières études ont été faites aux portes de Paris où se trouvaient forêts, maisons rustiques ou lavoirs au bord de l'eau. Maître de Bertin et de Michallon, Valenciennes, auteur en 1800 de Conseils à un élève sur la peinture et particulièrement sur le genre du paysage, écrit que l'on peut trouver des sites pittoresques en France même, afin de se constituer un répertoire de modèles étudiés sur nature à introduire dans le genre noble qu'est le paysage composé à sujet historique. Jeudi 17 décembre 2015 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée Français de la Carte à Jouer d’Issy-les-Moulineaux Jeudi 11 février 2016 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée Français de la Carte à Jouer d’Issy-les-Moulineaux Paysage héroïque ou paysage poétique (1800-1850) ? Le parti pris du paysage en photographie Emmanuel Schwartz, conservateur en chef du patrimoine, responsable du département des peintures à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris Au début du XIXe siècle, une nouvelle sensibilité se superpose aux anciennes distinctions entre paysage héroïque et paysage champêtre, entre paysage italien et paysage hollandais. Les jeunes artistes français, dont Corot et son maître Michallon, peignent sur le motif un paysage qui rappelle les sites décrits par Homère et Horace. Consciemment ou non, leur regard puise dans la lumière du Latium, dans la douceur de ses collines et de ses ruines, l’inspiration du génie antique. Ils pratiquent, pendant une courte période, un paysage à la fois naturel et érudit. Hervé Jézéquel, photographe, enseignant, École nationale supérieure d'Architecture de Paris la Villette Comment observer, rendre compte et comprendre la transformation du paysage en Îlede-France dans ce passage du XIXe au milieu du XXe siècle, de la ruralité à l'urbanité ? Les photographes en ont été les témoins, qu’ils soient amateurs anonymes, professionnels ou artistes. Leurs images nous aident à saisir, chacune à leur façon, le pouvoir de représentation spécifique de ce medium dans sa vitalité créatrice et sa force documentaire. Ainsi, nous découvrirons des images connues et moins connues de Baldus, Atget, Nadar, Doisneau et bien d’autres. Moments de l’histoire de la peinture de paysage Jeudi 28 janvier 2016 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée Français de la Carte à Jouer d’Issy-les-Moulineaux Jeudi 10 mars 2016 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée Français de la Carte à Jouer d’Issy-les-Moulineaux Du sublime au pittoresque, le paysage romantique Monet et le paysage impressionniste Jérôme Farigoule, directeur du musée de la Vie romantique Interrogation sur la représentation du réel autant que sur la peinture elle-même, le paysage devient un des enjeux primordiaux de la création dans la première moitié du XIXe siècle. Qu'il s'agisse de confronter l'humanité à l'absolu d'une nature grandiose ou d'explorer l'espace et le passé avec l'émergence du genre pittoresque en s'attachant à la représentation d'un patrimoine national ou de lointains exotiques, le genre du paysage constitue l'une des expressions les plus abouties de l'esthétique romantique. Marine Kisiel, conservateur au château de Fontainebleau À la fin du Second Empire, un groupe de jeunes artistes que la critique baptisera, en 1874, du nom d’impressionnistes, entame des recherches nouvelles sur la traduction de la lumière, de l’instant et de la vie moderne pour lesquelles le paysage tient une place centrale. Poursuivies en commun durant environ une décennie, puis au gré de développements individuels, les explorations impressionnistes du paysage, de ses ressources et de ses enjeux picturaux feront l’objet de cette conférence. La figure de Monet, « plus grand paysagiste des temps modernes » selon Huysmans, y sera particulièrement évoquée. Jeudi 31 mars 2016 • 18h30 • entrée 4 € / tarif réduit 2,50 € Musée du Domaine départemental de Sceaux ( Écuries ) Jeudi 12 mai 2016 • 18h30 • entrée 4 € / tarif réduit 2,50 € Musée du Domaine départemental de Sceaux ( Écuries ) Camille Corot Alfred Sisley (1839-1899) Gérard de Wallens, professeur à l’Institut R oyal d’Histoire de l’Art et d’Archéologie de Bruxelles Longtemps présenté comme le précurseur des impressionnistes, Corot apparaît aujourd’hui sous un jour bien différent et beaucoup plus proche de ce qu’il reconnaissait lui-même être. Nous verrons combien Corot doit tout à l’enseignement néo-classique et comment il influence la peinture de son siècle, jusqu’à Picasso. Sylvie Patin, conservateur général du patrimoine, musée d’Orsay Sylvie Patin fut le commissaire de l’exposition Alfred Sisley au musée d’Orsay en 1992-1993. Après la guerre de 1870, Sisley se retire dans les environs de Paris, d’abord à Louveciennes puis à Sèvres à partir de 1877 où il peint de nombreux paysages de la Seine. Grâce à sa profonde connaissance de l’œuvre de Sisley, Sylvie Patin brossera un portrait de cet artiste méconnu en son temps, mais considéré, aujourd’hui, comme un des représentants majeurs de l’Impressionnisme. Jeudi 14 avril 2016 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée d’Art et d’Histoire de Meudon Jeudi 19 mai 2016 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée d’Art et d’Histoire de Meudon Le paysage au Salon : de la reconnaissance à la subversion Dominique Lobstein, historien de l’art Considéré comme un genre mineur, le paysage était plutôt rare sur les cimaises académiques du XVIIIe siècle. Le paysage d’invention envahit celles-ci au XIXe siècle au point de susciter la création d’un prix de Rome de paysage. Très vite cependant à l’invention, les artistes vont préférer le réalisme que détrônera rapidement le symbolisme. Celui-ci mènera les paysagistes vers de multiples expériences plastiques qui vont remettre en cause leur sujet. À travers la longue histoire des Salons, l’histoire et la réception du paysage peuvent ainsi se lire, de la reconnaissance à la subversion. Jeudi 26 mai 2016 • 18h30 • entrée 4 € / tarif réduit 2,50 € Musée du Domaine départemental de Sceaux ( Écuries ) L’art du paysage à l’épreuve de la modernité industrielle (Île-de-France, 1780-1900) Nicolas Pierrot, chercheur au service Patrimoines et Inventaire à la Région Île-de-France Paris : foyer de résistance, de « réaction esthétique à l’industrialisation » ? L’affirmation sonne juste. Elle semble relayer le désespoir du curieux devant les cimaises de nos musées, devant les pages de nos histoires de l’art : les artistes n’auraient-ils pas contribué, au même titre que les romanciers, à construire le récit, positif ou négatif, du « progrès industriel » ? Redécouvrons les « portraits de manufactures » de la fin du XVIIIe siècle, les paysages romantiques, les vues lithographiées intégrant le motif de l’usine dans leur « inventaire pittoresque du monde », afin de mieux apprécier la radicale nouveauté formelle – et la banalité iconographique ? – des expériences impressionnistes. Jeudi 16 juin 2016 • 18h30 • entrée 4 € / tarif réduit 2,50 € Musée du Domaine départemental de Sceaux ( Écuries ) Les nabis et le paysage Fabienne Stahl, attachée de conservation, musée départemental Maurice Denis Fabienne Stahl réalise actuellement, avec Claire Denis, le catalogue raisonné de l’œuvre de Maurice Denis. Le groupe des nabis, formé autour de 1889, avec notamment Maurice Denis, Pierre Bonnard, Paul Ranson, Édouard Vuillard et Georges Lacombe, a renouvelé durablement le genre du paysage, en réaction à l'impressionnisme et suivant la leçon de Gauguin transmise à Paul Sérusier à Pont-Aven. Au-delà du fauvisme. Que reste-t-il du paysage ? François Michaud, conservateur en chef au musée d’Art moderne de la Ville de Paris Évocation du paysagisme abstrait initié, entre autres, par les peintres Alfred Manessier, Jean Bazaine ou Jean Le Moal après la guerre de 1939-1945 et présentation des tendances de la création contemporaine dans le domaine du paysage. Jeudi 30 juin 2016 • 18h30 Entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée d’Art et d’Histoire de Meudon Jeudi 2 juin 2016 • 18h30 • entrée gratuite ( réservation conseillée ) Musée d’Art et d’Histoire de Meudon Gustave-Henri Colin (1828-1910). La Seine au Bas-Meudon. 1889. Huile sur toile. 43 x 21,5 cm. Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Petit Palais. © Petit Palais. Roger-Viollet. Musée Français de la Carte à Jouer • Issy-les-Moulineaux Une animation exceptionnelle Concert du Nouvel An : La peinture sur Seine - musique et peinture en résonance Paysages La « belle boucle » de la Seine Des impressionnistes aux années 1930 Du mercredi 16 décembre 2015 au dimanche 20 mars 2016 Vendredi 1er janvier 2016 • à 11h Musée Français de la Carte à Jouer d’Issy-les-Moulineaux La « belle boucle » de la Seine sera le fil conducteur d’une promenade musicale. Les compositions de Debussy, Fauré, Poulenc, Ravel, inspirées par l'eau et la nature, répondront aux tableaux de Sisley, Luce ou encore Jongkind projetés sur écran, dans un dialogue des sensations. Samuel Godefroi (violon), Pascale Forgerit (flûte), Léopold Sers (piano et récitant) La « belle boucle » est une jolie formule inventée au siècle dernier pour désigner le premier méandre de la Seine en aval de Paris. Du Point-du-Jour jusqu’à Suresnes, elle a été le sujet d’un nombre important de tableaux réalisés par des artistes inspirés par le fleuve, ses rives et sa vallée. La nature y apparaît d’abord presque vierge, voire « sauvage », tandis qu’au-dessus de la vallée les coteaux offrent des points de vue aux larges perspectives verdoyantes. Notre « belle boucle » n’en vécut pas moins un moment de mutations sans égal, du fait de la proximité de Paris qui favorise sa rapide industrialisation. À leur manière, les œuvres d’art en retracent l’histoire et la portée. Simultanément, les techniques, les valeurs et les critères esthétiques (étude et quête de la lumière, goût pour l’imitation de la « belle nature » ou recherches plus formelles) se renouvellent au gré des courants et des écoles qui se succèdent : réalisme, impressionnisme, fauvisme… La thématique, les sujets demeurent pourtant les mêmes : l’eau, son scintillement et ses reflets ; les bords du fleuve et les îles qui affleurent, où tout un imaginaire de « paradis naturel » continue à se donner libre cours ; les « panoramas » dont la perception ne manque pas d’être modifiée au fil du temps sous l’effet des vues aériennes prises des ballons dirigeables et des aéroplanes. L’exposition regroupe ainsi un riche ensemble d’œuvres au premier rang desquelles figurent des tableaux réalisés par des artistes reconnus : Sisley, Schuffenecker, Harpignies, Luce, Jongkind. Un parcours mariant des dispositifs innovants aux nouvelles technologies permettra d’aborder l’exposition de manière originale. Maximilien Luce, La Seine au Pont d’Issy, 1920, huile sur toile, 69 x 88 cm, musée du Domaine départemental de Sceaux, © Musée du Domaine départemental de Sceaux / P. Lemaître Musée d’Art et d’Histoire de la Ville de Meudon Paysages La « belle boucle » de la Seine Du néo-classicisme au romantisme Du vendredi 8 avril au dimanche 24 juillet 2016 Avides de nature, affamés de paysages, les peintres vinrent nombreux flâner dans la « belle boucle », ce méandre de la Seine qui s’étend d’Issy-les-Moulineaux à Suresnes, dès les premières années du XIXe siècle. Les coteaux de Meudon ou de Saint-Cloud leur offraient des perspectives alléchantes sur le fleuve tandis que la Seine et ses îles constituaient, pour ces artistes épris de nature, des sujets toujours renouvelés. Paul Huet initia sur ces rives le paysagisme romantique, Théodore Rousseau et Constant Troyon y peignirent, Antoine Chintreuil ou Louis Français y préparèrent l’impressionnisme tandis que, plus traditionnels dans leur manière, les peintres familiers des Salons y multipliaient les paysages. Gustave Mascart, La Seine et le Pont de Courbevoie, vers 1880, huile sur toile, 61 x 77 cm, Musée du Domaine départemental de Sceaux, © Musée du Domaine départemental de Sceaux / P. Lemaître La cinquantaine d’œuvres rassemblées dans cette exposition grâce à la collaboration de nombreuses institutions muséales, nous convient à une promenade picturale le long de la Seine et à travers le temps. D’Issy-les-Moulineaux à Suresnes, de la fin du XVIIIe siècle au début du Second Empire, nous assisterons aux derniers feux du classicisme, à l’émergence du romantisme, à l’épanouissement du réalisme et à la naissance de l’impressionnisme. Alexandre Dunouy, Le pont de Sèvres et l'île Séguin, 1821, huile sur toile, 51 x 62 cm, musée d’Art et d’Histoire de Meudon. © Musée d’Art et d’Histoire de Meudon Pôle Communication - Conseil général des Hauts-de-Seine • Licences : 2-1063009 - 3-1063010•© C. de Maffei • avril 2014 • KA Paysages Un territoire, trois expositions La « belle boucle » de la Seine des impressionnistes aux années 1930 Du mercredi 16 décembre 2015 au dimanche 20 mars 2016 Musée Français de la Carte à Jouer d’Issy-les-Moulineaux 16, rue Auguste Gervais - 92130 Issy-les-Moulineaux Renseignements et réservations 01 41 23 83 60 / [email protected] Horaires d’ouverture Du mercredi au vendredi : de 11 h à 17 h Samedi et dimanche : de 14 h à 18 h Tarifs : 4,70 € / 3,60 € pour les Isséens et GPSO ; tarif réduit : 3,60 € / 2,60 € pour les Isséens et GPSO www.issy.com Les environs de Paris du romantisme à l’impressionnisme Du vendredi 18 mars 2016 au dimanche 10 juillet 2016 Musée du Domaine départemental de Sceaux Château de Sceaux - 92330 Sceaux Renseignements : 01 41 87 29 50 • Réservations : 01 41 87 29 71 Horaires d’ouverture : de 14h à 18h30 Fermé le lundi. Fermé le 1er mai Tarifs : 4 € ; tarif réduit : 2,50 € www.domaine-de-sceaux.hauts-de-seine.fr • /domainedesceaux La « belle boucle » de la Seine du néo-classicisme au romantisme Du vendredi 8 avril au dimanche 24 juillet 2016 Musée d’Art et d’Histoire de la Ville de Meudon 11, rue des Pierres - 92190 Meudon Renseignements et réservations : 01 46 23 87 13 Horaires d’ouverture : de 14h à 18h. Fermé le lundi Tarifs : 2,50€ ; tarif réduit : 1€ www.meudon.fr Un pique-nique impressionniste dimanche 5 juin 2016, à partir de 12h, Domaine départemental de Sceaux Fouillez les greniers pour dénicher canotiers et ombrelles, sortez palettes, toiles et cartons à dessins et venez sur la Plaine de l’Orangerie déjeuner sur l’herbe, en famille, comme au temps des impressionnistes. Au programme : flonflons et chansons de la Belle Époque puis, dès 14h, jeux d’autrefois pour petits et grands, atelier de peinture et même un photographe 1900, pour vous faire tirer le portrait « à l’ancienne » ! 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