Pendant que les livres étaient publiés par dizaines, dans les années

Pendant que les livres étaient publiés par dizaines, dans les années 70 et 80, l’auteur luttait pour la
reconnaissance, la promotion, la défense de l’acupuncture. Il y a quelque années il se décida enfin à
publier ce que lui pensait de l’acupuncture et de la médecine chinoise, mêlant explications,
souvenirs, anecdotes, même des petites histoires personnelles vécues qu’il aurait voulu inclure dans
son roman « Des soupirs perdus à Hong Kong », ainsi que quelques poèmes sans prétentions mais
dont les mots surgirent à cette époque de son amour pour Hong Kong.
Chaque chapitre peut se lire indépendamment d’un autre car il traite d’un sujet spécifique, et le
texte est souvent émaillé de souvenirs ou d’évènements recueillis lors de ses nombreux séjours en
Extrême-Orient, enrichis par sa connaissance du chinois, apprise à la dure et avec patience. Mais
cette familiarité avec la langue et l’écriture lui permit de comprendre beaucoup de nuances et de
déchiffrer beaucoup d’interprétations ou de traductions obscures. Sans qu’il s’en soit rendu compte
une entreprise positive de démystification commença à se faire jour au cours des ans, et qu’il
exprime dans les livres écrits en anglais (Revisiting Acupuncture, 4 volumes jusqu’ici)), mettant en
lumière le rôle parfois dérangeant de la Tradition, l’absence de la nécessité de la preuve, tout en
défendant envers et contre tout l’acupuncture moderne comme une technique médicale qui peut
très bien s’intégrer dans l’arsenal thérapeutique moderne.