TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé
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TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 1/8 TP 13.1 Suspension de moto Corrigé 1) Problématique. 2) Objectifs du TP et sommaire. 3) Expérimentation en configuration Paralever. Lorsque JK est horizontal, relever sur la maquette la position angulaire du bras oscillant à l’aide du rapporteur (les poids sur le châssis doivent être enlevés). La position de référence est pour une position angulaire du bras oscillant de 13,5°. Lancer une acquisition (à vitesse nulle), et observer les valeurs de sortie des 2 capteurs accéléromètre et inductif. Déterminer la valeur maximale de l’accélération longitudinale du point C appartenant à la roue par rapport au sol. On règle 2 tops par seconde (ou 1 top toutes les 500 ms) ce qui correspond à 120 tr/min de l’excentrique. Accélération maxi 1,5 m.s-2 420 ms MPSI-PCSI 920 ms Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 2/8 4) Simulation numérique sous Mecaplan. Déplacement du point C appartenant à la roue par rapport au sol (en mm) 48- 33 = 15 mm 38 - 29 = 9 mm MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 3/8 Vitesse du point C appartenant à la roue par rapport au sol (en mm/s) MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 4/8 Accélération du point C appartenant à la roue par rapport au sol (en m/s2) MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 5/8 5) Bilan. Expérimentation Position angulaire Accélération maxi du bras oscillant du point C pour la position appartenant à la roue conducteur seul par rapport au sol (en °) (en m/s2) 13,5 8 Paralever Monolever 1,5 1,3 Amplitude du déplacement du point C appartenant à la roue par rapport au sol (en mm) 15 9 Simulation numérique Vitesse du point C appartenant à la roue par rapport au sol (en mm/s) (Lorsque JK est horizontal) Accélération maxi du point C appartenant à la roue par rapport au sol (en m/s2 ) 97 57 1,6 1 Question 1 : Comparer les résultats (mesurés et simulés) et expliquer l’origine des écarts éventuels. Il existe des écarts, dus à : - la difficulté d’apprécier la position « conducteur seul », - l’imprécision des mesures directes d’angles ou de déplacements sur la maquette, - la difficulté d’apprécier à l’écran la valeur de l’accélération maximale, - l’inclinaison prise par l’accéléromètre pendant l’essai (il ne reste pas horizontal), - la différence entre la géométrie réelle de la maquette et la géométrie théorique prise pour l’esquisse de la simulation sur Mecaplan. Peut-on valider sans risque la simulation sous Mecaplan ? L’écart constaté (entre mesure et simulation) pour la configuration Paralever est faible. On peut donc valider sans risque la simulation cinématique réalisée sur Mecaplan, ce qui n’est pas le cas pour la configuration Monolever… Comparer les résultats obtenus entre le Paralever et le Monolever. Quelle est la configuration qui occasionne le moins de gêne dans le mouvement longitudinal ? La configuration qui occasionne le moins de gêne dans le mouvement longitudinal semble être la configuration Monolever… Est-ce que les deux sont vraiment gênantes sachant qu'une accélération de 1 m/s² correspond à un effort 10 fois moins important que la pesanteur ? Dans les 2 cas, les accélérations sont faibles, et donc les à-coups provoqués ne diminuent pas de façon sensible le confort de conduite. MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 6/8 6) Propriétés graphiques des vecteurs vitesse. Afficher, à l’aide du logiciel Mecaplan, les vecteurs vitesse VB3/1 , VD3/1 et VC3/1 dans deux positions différentes de la suspension. (utiliser une échelle pour que les vecteurs ne soient ni trop grands ni trop petits). Question 2 : En prenant successivement deux à deux les points de la pièce 3, projeter le vecteur vitesse de chacun des deux points sur la droite qui relie les deux points. Que constate-t-on ? On vérifie graphiquement la propriété d’équiprojectivité des vecteurs vitesse (voir cours). MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 7/8 Question 3 : Tracer les perpendiculaires aux vecteurs vitesse de chacun des points du solide 3. Que constate-t-on ? Comparer pour les deux positions de la suspension. On vérifie graphiquement la propriété du CIR (voir cours). MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011 TP 13_1 Suspension de moto - Corrigé Page 8/8 Question 4 : Proposer, au vue des résultats des questions précédentes, une méthode qui permettrait de déterminer graphiquement le vecteur vitesse du centre de gravité G 3 de la pièce 3. AVANT DE PARTIR, RANGER LE POSTE MPSI-PCSI Sciences Industrielles pour l’Ingénieur S. Génouël – J. Le Goff 13/11/2011