Tableau thématique pour l`étude des Petits Poèmes en prose
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Tableau thématique pour l`étude des Petits Poèmes en prose
Tableau thématique pour l’étude des Petits Poèmes en prose Le voyage/L’évasion « L’étranger » (1) : il aime les nuages « Un hémisphère dans une chevelure » (17) : voir lecture analytique Le voyage/L’évasion (2) « Le port » (41) : description d’un port avec ses mouvements ; lieu de départ « Enivrez-vous » (33) : il faut toujours être ivre La fuite du temps « Le désespoir de la vieille » (2) : peur de l’enfant devant elle ; elle ne plaît même plus aux enfants La haine des concitoyens « Un plaisant » (4) : il salue un âne ce qui fait dire au poète qu’il concentre en lui « tout l’esprit de la France » « Le tir et le cimetière » (45) : une voix sortant d’une tombe rappelle que « tout est néant, excepté la Mort » « Chacun sa chimère » (6) : idées obsessionnelles des concitoyens La haine des concitoyens (2) « La fausse monnaie » (28) : il critique un ami qui donne une fausse pièce à un pauvre Recherche du Beau/de l’Idéal/de l’Absolu/insatisfaction de l’artiste « Le confiteor de l’artiste » (3) : admiration, puis consternation devant l’infini du ciel et de la mer « Déjà ! » (34) : des voyageurs détestent la mer et veulent rentrer sur la terre ; le poète est triste de quitter la mer « Les dons des fées » (20) : les fées se trompent en donnant des dons aux nouveauxnés, y compris le don de « L’invitation au voyage » (18) : il imagine un pays idéal qu’il met en parallèle avec sa maîtresse « Les vocations » (31) : quatre enfants parlent de leurs envies (destins) : la musique avec le voyage (tsiganes) ; les femmes ; le théâtre ; Dieu dans les nuages « Les projets » (24) : un homme imagine plusieurs lieux d’évasion avec sa maîtresse « Any where out of the world » (48) : le poète propose à son âme plusieurs pays où s’évader ; elle réclame un lieu « hors de ce monde » « Le mauvais vitrier » (9) : le poète s’emporte contre cet innocent qui n’a pas de verre de couleur (symbole de la beauté) « A une heure du matin » (10) : le poète se barricade chez lui, la nuit, pour échapper à la foule plaire, donné au hasard, sans raison « L’horloge » (16) : dans les yeux de sa maîtresse, il lit l’heure de l’éternité Rêve et réalité « La chambre double » (5) : elle est d’abord le lieu d’une évasion (drogues ?) puis elle redevient marquée par le temps et par la réalité Supériorité et infériorité du poète « Chacun sa chimère » (6) : il voit ce que les autres ne voient pas mais en souffre davantage « Le chien et le flacon » (8) : le public du poète ressemble au chien qui préfère les ordures au parfum Supériorité et infériorité du poète (2) « Les foules » (12) : le poète est capable de se glisser dans la peau de tout le monde « Le fou et la Vénus » (7) : indifférence de la déesse devant un bouffon ridicule (sublime et grotesque) « Déjà ! » (34) : mépris pour les voyageurs qui veulent quitter la mer « La femme sauvage et la petite-maîtresse » (11) : délicatesse blasée de la maîtresse et nature « sauvage » d’une femme mariée qui passe Le laid et le beau/Le sublime et le grotesque/ Le contraste (2) « Le thyrse » (32) : contraste entre la ligne droite et le sinueux Les êtres solitaires/La solitude « Les veuves » (13) ; « Le vieux saltimbanque » (14) : tendresse du poète pour lui (le saltimbanque, vieux et triste, se tient à l’écart d’une fête populaire) « Laquelle est la vraie ? » (38) : il enterre une femme qui représente l’idéal ; elle renaît toute petite et « canaille » ; son refus d’abandonner l’idéal « Le crépuscule du soir » (22) : le poète aime l’approche de la nuit, qui lui promet le soulagement par la solitude, même si celle-ci Le laid et le beau/Le sublime et le grotesque/Le contraste « Les fenêtres » (35) : il est plus intéressant d’imaginer ce qu’il y a derrière une fenêtre fermée que de voir vraiment à travers une fenêtre ouverte « Le mauvais vitrier » (9) : élans irrésistibles à faire le mal chez le poète incapable de vivre comme les autres « Les veuves » (13) : contraste entre les riches et les pauvres « Perte d’auréole » (46) : le poète rencontre dans un « mauvais lieu » quelqu’un qui est ennuyé par la dignité « La solitude » (23) : éloge de la solitude en réponse aux critiques d’un gazetier qui la condamne « A une heure du matin » (10) : le poète espère écrire quelques vers, la nuit, pour ne pas être comme les autres qu’il méprise « Une mort héroïque » (27) : un bouffon se fait tuer par son Prince, jaloux de son talent d’acteur apporte à d’autres la folie « Le gâteau » (15) : deux enfants se disputent un morceau de pain qu’ils appellent « gâteau » Les pauvres/Les malheureux « Les veuves » (13) : attirance du poète pour les pauvres plus que pour les riches ; intérêt particulier pour les veuves malheureuses et seules Les pauvres/Les malheureux (2) « La fausse monnaie » (28) : pitié des pauvres « Assommons les pauvres ! » (49) : le poète partage son argent avec un mendiant sexagénaire après s’être battu avec lui (signe d’égalité) Métaphores des animaux pour les humains « Le chien et le flacon » (8) : le public du poète ressemble au chien qui préfère les ordures au parfum « Le gâteau » (15) : les enfants ressemblent à des chats Métaphores des animaux pour les humains (2) « Un cheval de race » (39) : une femme âgée est comparée à un cheval noble La tentation/La rencontre avec le diable « Les tentations ou Éros, Plutus et la Gloire » (21) : il aperçoit en rêve deux diables et une diablesse qui lui proposent des dons extraordinaires ; son refus difficile Déception devant la différence ou la froideur de la femme/Misogynie « La corde » (30) : un enfant qu’il accueille chez lui se pend ; tout le « Les bons chiens » (50) : le poète veut chanter l’éloge du « chien crotté, [du] chien pauvre » ; on devine qu’il s’agit de certains humains « Le joueur généreux » (29) : il perd son âme en jouant avec le diable dans un lieu de consommation de drogues ; en échange, il peut vaincre l’ennui « Les yeux des pauvres » (26) : il aime les pauvres ; « Le joujou du pauvre » (19) : un enfant riche préfère le jouet d’un enfant pauvre (un rat) à son propre jouet cher « Les bons chiens » (50) : le poète veut chanter l’éloge du « chien crotté, [du] chien pauvre » et non pas celui du chien gâté « La femme sauvage et la petite-maîtresse » (11) : la femme sauvage ressemble à plusieurs animaux « Le désir de peindre » (36) : portrait « Les yeux des pauvres » (26) : le poète s’adresse à sa maîtresse ; il a été charmé par les regards d’une famille de pauvres alors qu’elle les a détestés « Déjà ! » (34) : les voyageurs ressemblent à des cochons parce qu’ils ne pensent qu’à manger et dormir « Portraits de maîtresses » (42) : monde réclame un bout de la corde (porte-bonheur), y compris la mère elle les déteste ; leur différence malgré leur amour Déception devant la différence ou la froideur de la femme/Misogynie (2) « Le galant tireur » (43) : un époux réussit mieux sur un champ de tir en pensant qu’il tue sa femme « La soupe et les nuages » (44) : décalage entre l’admiration du poète devant les nuages et la réaction de sa maîtresse L’art et la mort « Une mort héroïque » (27) : on oublie la mort grâce à un spectacle réussi « Un cheval de race » (39) : une femme âgée est « laide » et « délicieuse » Éloge de la femme Attirance pour le mystère/pour ce qui fuit/pour ce qui est profond/pour ce qui est fou/pour ce qui change « Les bienfaits de la lune » (37) : sa maîtresse et lui sont marqués par l’influence de la lune, ce qui leur fait aimer ce qu’ils n’ont pas POÈMES TRÈS PROCHES DE LA PROSE « Une mort héroïque » (27) : histoire de Fancioulle condamné à mort (5 pages) POÈMES TRÈS PROCHES DE LA PROSE (2) « Le galant tireur » (43) : aucun effet poétique PROSE TRÈS POÉTIQUE (DENSITÉ DES IMAGES) « Le thyrse » (32) « La belle Dorothée » (25) : description d’une belle femme affranchie (allusions à l’Afrique) qui veut aussi racheter la liberté de sa sœur de onze ans « Mademoiselle Bistouri » (47) : le poète est abordé par une femme qui éprouve un désir étrange pour les médecins et leur métier « Portraits de maîtresses » (42) : quatre hommes racontent leurs amours ; 6 pages « La soupe et les nuages » (44) : peu de liens avec la poésie « Le port » (41) d’une femme mystérieuse et ténébreuse quatre hommes racontent leurs vies amoureuses « Le joueur généreux » (29) : rencontre avec le diable ; 4 pages « Mademoiselle Bistouri » (47) : 4 pages, très narratif « Les Tentations » (21) « Le miroir » (40) : très court ; rien de poétique ! « Épilogue » : en vers et en rimes !