Analyse qualitative - 1er semestre

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Analyse qualitative - 1er semestre
Revues hebdomadaires
RAPPORT
mars – juin 2015
„Newsweek”, „Wprost”, „Polityka”
TOP OF THE TOP
couvertures
illustrations
„Wprost” 17/2015, Préparez la maison pour l'été
„Newsweek” 17/2015 („Je n’ai rien à dire,
mais encore beaucoup à montrer...”)
„Polityka” 20/2015, Sélection
S’il y a un texte sur la branche du nettoyage, il
est certain que la photo illustrant la publication
présente une femme avec un mop, sans
mentionner le contenu du texte, qui parle
presque exclusivement de FEMMES de
ménage.
parité (?) bureau de la rédaction
"Wprost" 10/2015
Hommes
17
49%
"Wprost" 12/2015
Femmes
18
51%
"Wprost" 21/2015
Femmes
9
21%
Femmes
Hommes
20
50%
20
50%
"Newsweek" 20/2015
Hommes
33
79%
"Polityka" 20/2015
Femmes
Femmes
6
15%
7
14%
Hommes
33
85%
Hommes
44
86%
articles
„Wprost” 10/2015, Surtout pas une émancipatrice
„Wprost” cite une étude menée par le portail MyDwoje.pl (NousDeux), grâce à laquelle les
lectrices et les lecteurs peuvent apprendre quel type de femme est recherchée par les
hommes. Et quel type d’homme est recherché par les femmes? Cela n'a pas été analysé. Les
hommes ont répondu à la question dans quel rôle ils voient les femmes. Les femmes – que
désirent elles … pour elles-mêmes. Conclusions - les hommes recherchent une épouse
exemplaire, pas une femme libérée. Les femmes veulent se realiser professionnellement et
aussi bien prendre soin de la maison. Que reprochons nous à cette étude? Caractère
tendancieux et prévisibilité.
„Wprost” 10/2015, Le silence des agneaux, Entretiens avec Magdalena Środa, Olga
Kozierowska, Iwona Guzowska; „Newsweek” 10/2015, Le chef prend ce qu'il veut
Le fait que "Wprost" et "Newsweek" ont brisé le silence autour du tabou qu’était et est toujours
le harcèlement sexuel, nous réjoui (dommage que cela est arrivé seulement après le
scandale de Kamil Durczok). Quatre conversations troublantes menées avec Ewa Wanat,
Magdalena Środa, Olga Kozierowska et Iwona Guzowska démontrent avant tout le
traumatisme que subissent les victimes du harcèlement. Deuxièmement elles prouvent que
les femmes ne sont pas elles-mêmes coupables - des jupes courtes et des talons hauts ne
peuvent pas être cause de viol. Ce qui est évident pour les milieux féministe, ne l’est pas
nécessairement pour le reste de la sociéte. En outre, la journaliste de „Newsweek” –
Aleksandra Pawlicka, souligne l’inéficacité de la loi polonaise de pénaliser le harcèlement.
Elle cite aussi à juste titre des statistiques montrant qu’il arrive également aux hommes d’être
victimes de harcèlement (dans le grupe 18-24 ans - 1 homme sur 12 et 1 femme sur 3).
„Wprost” 10/2015, Mères-mendiantes
Nous ne voulons pas critiquer l'article. Katarzyna Świerczyńska décrit dans son texte les
difficultés des PARENTS d'enfants malades, qui, dans leur impuissance, décident de demander
à des étrangers un soutien financier pour le traitement de leurs enfants. Mais notre attention a
été attirée par le titre Mères-mendiantes, malgrè le fait que l’auteure se réfère à plusieurs
reprises aux deux PARENTS collectant de l'argent pour le traitement des enfants (elle rapelle
elle-même l’action „Papa pour Julka”, où un HOMME cherchait de l'aide pour sa fille). Le titre
indique que ce sont les Femmes qui sont associées à la faiblesse et à l'impuissance.
„Wprost” 10/2015, Les mères qui ont tué
Le reportage «Les mères qui ont tué" raconte l'histoire de deux infanticides à l’est de la
Pologne (Tarnobrzeg et Tarnów). Dans les deux cas, il s’agit de femmes avec un passé dur, une
enfance difficile et des expériences traumatisants. Un concours de circonstances, la dépression, la maladie
mentale, la peur de l'avenir ont poussé ces femmes à tuer un enfant - leur propre ou celui de quelqu'un
d'autre. Les assassines prétendent être irresponsables en raison de maladies mentales. Cependant les
experts ne peuvent pas clairement l’établir. La Cour doit déterminer si la mère à psyché saine est capable
de commettre un crime sur son propre enfant. Un des cas a pris fin avec une condamnation à perpétuité,
bien que l’avocat lutte pour l'acquittement de sa cliente. Dans le second cas, l'accusée attend le
jugement de la Cour suprême. L'article ne fournit pas de conclusions et ne cite pas de statistiques
(combien de femmes/hommes sont coupables d'infanticide en Pologne; quels sont les motifs de
ces crimes; est-ce que la majorité est commise dans un état de resposabilité diminuée).
„Wprost” 10/2015, Pourquoi les femmes changent le monde
L’article „Pourquoi les femmes changent le monde” démontre d’une façon très intéressante les
différences importantes dans la façon de fonctionner des hommes et des femmes. Les femmes sont plus intuitive,
axée sur la coopération et la compréhension du monde et des autres personnes. Alors que les hommes sont plus
enclins à la lutte et la confrontation, ils préfèrent imposer leur volonté aux autres que de comprendre l'autre côté.
D’attitudes tellement différentes résultent également un impact différent des hommes et des femmes sur
l'économie et la gestion d’entreprises. Selon les recherches de l’analyste américain David Gordon, la
performance du secteur des entreprises, qui sont gérées par des femmes est de 1,7 fois plus élevé que de celles
gérés par des hommes. Les bénéfices des entreprises qui ont introduit la parité au Conseil sont de 56% plus élevé
que ceux des autres. Les femmes gérent par empathie et compréhension, alors que les hommes par la peur et
la concurrence intense. La capacité des femmes à écouter, reconnaître les sentiments et la coopération est
utile, non seulement dans le couple, mais aussi dans l’entreprise. Ceci est la raison pour laquelle les femmes sont
de plus en plus en train de changer le monde, tandis que les hommes veulent le gérer.
„Wprost” 12/2015 Suffragettes-terroristes
Un avantage important de l'article Suffragettes - terroristes de Jakub Melnik est son caractère
historique. D'une part, le fait de présenter l’histoire de groupes sociaux si importants est
satisfaisant. D'une autre part, la publication a été écrit d’un point de vue très masculin - déjà
le titre repousse des personnages principales, et le mot féministe apparaît dans un contexte
péjoratif. La tonalité finale de la publication a une connotation négative. L’auteur veut
convaincre que l'utilisation de la violence par les suffragettes torturées (qui appliquaient
néanmoins dans un premier temps des moyens pacifiques) était sans fondement, parce
que „les femmes ont obtenu le droit de vote (…) par des méthodes parlementaires, et non
la violence qu’ont ferait mieux d’oublié pour préserver la bonne réputation du mouvement”.
„Wprost” 15/2015, Nostalgie pour un mec
Il est difficile de discuter ou commenter un article dans lequel il y a un chaos total et où les
arguments cité se contredisent. D’une part, l’auteur de l’article Nostalgie pour un mec,
élaboré à partir de recherches scientifiques, prétend qu’en matière de répartitions des
responsabilités à la maison les 10 dernières années ont vu une révolution en Pologne. Dans le
même temps, elle cite des statistiques qui montrent que ce sont toujours les femmes qui
s’occupent à la maison de la lessive (79% de femmes), du ménage (61%), de la cuisine (74%),
de la vaisselle (60%) et des courses (50%). Selon ces statistiques RIEN n’a changé ces
dernières années - les femmes s’occupent toujours des enfants, de la maison et d’un
deuxième adulte. L'homme aide seulement parfois (38% des hommes paient les factures, 87%
s’occupent de petites réparations à la maison).
D'après les données citées par l'auteur, ce qui a un peu changé c’est l’attitude des hommes
envers le congé paternité: au cours des dernières années, le nombre des pères profitant de
ce congé continue de croître. Mais encore 87% des hommes veulent être chef de famille, et
80% pensent que les femmes s’occupent mieux de la maison. Donc, là aussi, il n'y a pas de
révolution. La quintessence de l’esprit et de la mentalité de l’homme polonais est présentée
par les mots de Jacek et par sa vision de la famille parfaite: «Moi je travaille, je prends soin à ce
que rien ne manque à ma famille. Je rentre à la maison, où ma femme souriante m’attend
avec le dîner. " Pour Jacek l’attribution des rôles valable jusqu’à présent est très confortable:
traditionnellemt c’est la femme qui sert à table et l’homme s’attend à ce que le repas sera
servi. Nous avons donc encore des hommes inconscients et des femmes conscientes que le
jeu n’est pas juste.
Il est donc difficile de comprendre la thèse avancée dans l'article - que les femmes sont à la
recherche d'un homme dominant, et les hommes éprouvent de la nostalgie de l'ordre
patriarcal du monde. Car si le patriarcat se porte bien, il est difficile de comprendre le désir
pour lui. Et si il a déjà été écrasé, pourquoi on ne le vois pas dans les statistiques citées?
L'auteur cite un nouveau terme inventé par un psychothérapeute de Poznan: patriarcat égalitaire
- où l’homme domine, mais avec une pleine empathie pour sa femme. Cela permettra de sauver
l'homme moderne, perdu, plein d'anxiété, étouffants ses émotions. L'homme dira: Je te comprend
ma petite, mais c’est quand même moi qui règne içi. Cela va peut-être convenir à Anna, qui ne
veut pas assumer la responsabilité pour sa vie et recherche un homme responsable avec
logement. Ou à Maja de Bydgoszcz, qui en a assez de partenariat avec les hommes faibles et
aspire à un mâle de race et barbare.
Mais le patriarcat égalitaire sera-t-il accepté par les femmes qui luttent depuis des années pour
l’égalité en droits et la parité? Je doute.
L'autrice ne tire aucune conclusion à partir des études citées, ni des histoires individuelles de
Łukasz, Maja, Anna, Jacek. Les conclusions nous pouvons les tirer nous-même. Personnellement,
après avoir lu cet article, j'en ai deux: un bon journalisme me manque, avec des arguments
intéressants et une allocution logique - l'article de Agata Jankowska en est le contraire.
Deuxièmement, si je veux en savoir plus sur la société polonaise et les changements qui ont lieu
dans la mentalité polonaise, je dois aller voir ailleurs. L’article de Agata Jankowska dans "Wprost"
ne m’a appris rien de significatif.
„Newsweek” 10/2015, Ogórek est un gadget de Miller
Dans une interview de Jacek Tomczak Kinga Dunin répond à des questions liées à la
candidature de Magdalena Ogórek à l'élection présidentielle. Ceci est l'un des rares textes où
la personne interrogée donne des raisons logiques de sa réticence envers la candidats. Il
convient de noter le fait que le journaliste utilise la forme féminine du mot ministre (MINISTRA).
„Newsweek” 11/2015, L’âge comme une maladie honteuse
Anna Szulc soulève un sujet social très important - la discrimination des femmes en raison de leur
âge. Dans les conclusions, la journaliste prouve que les femmes de plus de 50 ans ne doivent
pas avoir honte et l'âge devrait être pour elles uniquement une mobilisation supplémentaire.
„Newsweek” 12/2015, Crime d’ Icare
Wojciech Staszewski raconte dans son article l'histoire de trois hommes accusés à tort
d'abuser de leurs partenaires. C’est bien, qu’on parle de la violence domestique également
dans ce contexte. La seule chose qui soulève nos doutes sont les connotations négatives des
mots "Féministe" (sauvage) et "maîtresse de maison" (qui s’occupe de la lessive, de la cuisine,
du repassage).
„Polityka” 14/2015, La vertu du mec
Je lis rarement des articles, qui me consternent à tel point. Déjà le premier paragraphe du
texte de Krzysztof Bacławski m'a fait éclater de rire. J’espère que l'effet était intentionnel - la
date de publication du n▫14 de « Polityka » est le 1er Avril. La journée du poisson d'avril? Espérons!
Que peut-on apprendre après la lecture? Attention, attention! – ce sont les hommes qui sont le
sexe discriminé. Il y a plusieurs facteurs qui le montrent. Tout d'abord, les „hommes cèdent la
place aux femmes dans le domaine du sport: aujourd'hui, elle s’appliquent plus
audacieusement aux compétitions de triathlon, la lutte, la boxe et les sports
mécaniques.” De plus „les hommes font leurs études supérieures plus rarement que les
femmes, le sex-ratio, même dans les écoles polytechniques (sic) , est de plus en
plus équilibré". Comme si cela ne suffisait pas - "lors des dernières élections, les femmes ont
pris 35% des postes de maires", tandis qu’" il y a deux générations, dans les années 50, il y en
avait une sur plusieurs centaines". Les hommes sont aussi „beaucoup plus susceptibles a
travailler jusqu'à épuisement”, leurs amitiés "sont le plus souvent embarrassantes et vagues,
manquant de sincérité et de courte durée”. En 2011, ils représentaient plus de 77% de la
population des sans-abri, et dans six cas sur sept de suicide ce sont des hommes. Les
hommes ne sont pas présents dans l'éducation des enfants. C’est visible non seulement dans
les familles, mais aussi dans les écoles, où les enseignants (ou plutôt les enseignantes), „ce
sont aujourd'hui principalement des femmes". La discrimination en plein essor, mais les
arguments présentés ci-dessus la démontrent réellement? Est-ce que le fait que les femmes
réalisent leurs passions "typiquement masculines", qu’elles veulent se former dans des métiers
technique (donc masculins), mieux rémunéré, ôte cette possibilité aux hommes? Est-ce que
35% de femmes occupant les postes de maires constitue une réelle menace pour la partie
mâle de la population?
L'auteur oublie certaines données importantes. Durant l'année scolaire 2014/2015, les femmes
constituaient 36,9% de tous les étudiants des universités techniques de Pologne. Par rapport à
l'année 2007/2008, il y a une augmentation - de 6,2 %¹, mais la parité est encore loin.
35% DE POSTES DE MAIRES EST OCCUPÉ PAR DES FEMMES. Il convient de mentionner ici que,
selon le libellé de la loi du 8 Mars 1990 sur le Gouvernement local - les communes ne sont que
des unités de soutien des municipalité². A des niveaux plus élevés de l'autonomie
gouvernementale, la situation est la suivante: les femmes représentent 6% des maires de
villages, 10% des maires (président de la ville) et 11% de tous les présidents de villes³. Y-a-t'il
quelque chose à craindre (?)
LES HOMMES TRAVAILLENT JUSQU'À ÉPUISEMENT – et que dire du travail invisible et non
rémunéré des femmes? L'étude „Le budget du temps de la population” réalisée par le
Bureau Central des Statistiques, il y a deux ans, indique que les femmes s’occupent des tâche
ménagère environ 1 heure 45 minutes de plus que les hommes. Chaque année, une femme
moyenne effectue un travail qui vaut 26 205 zł.4
LES ENSEIGNANTS CE SONT AUJOURD'HUI PRINCIPALEMENT DES FEMMES – mais est-ce leur
faute? La profession d'enseignant est féminisée parce que: a) la perception de cette profession est
toujours stéréotypée, b) les salaires des enseignants et les enseignantes sont toujours relativement bas.
Pendant l'année scolaire 2013/2014, le salaire mensuel moyen des enseignants dans les écoles
maternelles s’élevait à 3933 zł, dans les écoles primaires - 4500 zł, et dans les écoles secondaires - 4620
zł5. A titre de comparaison, les chefs de projet, qui ont fait des études de technologies de
l'information gagnaient en moyenne 10 000 zł brut par mois. Après des études techniques, un
chef de projet sur deux reçevait un salaire de plus de 8 000 zł6. Et pour mémoire - selon les
données de l'OCDE, en 2014, l'écart salarial (i.e. la différence de salaire selon le sexe) en Pologne
s’élevait à 10,62%.
En résumé, le texte de Krzysztof Bacławski est chaotique et faible. Les arguments cités ne
démontrent pas la discrimination des hommes, au contraire – ils soulignet la position inférieure
des femmes. L'auteur manipules les résultats des recherches (comme dans le cas du rapport
de Siemens „Santé - chose masculine "), car comment l'activité des spermatozoïdes et
l'augmentation du nombre de suicides chez les hommes pourrait indiquer l’inégalité entre les
sexes?
Une dernière citation de l'article, qui ressemble à un poisson d'Avril, peut servir de le
punchline: "Peut-être, qu’en recherchant des moyens pour l'égalité des femmes, nous nous
sommes retrouvés dans une impasse?".
„Polityka” 14/2015, Mères alcooliques
Le texte Mères alcooliques de Joanna Podgórska d’une part attire l'attention sur l'important
problème de mères alcooliques, mais de l’autre part - pourquoi personne ne parle de pères
ivrognes? La publication est choquante, car elle suggère que se sont les mères qui sont principalement
Kobiety na politechnikach 2015, Raport, Fundacja Edukacyjna Perspektywy, marzec 2015
Dz.U. 1990 Nr 16 poz. 95
3 Opracowanie własne na podstawie danych udostępnionych przez PKW
4 Budżet czasu ludności 2013, część I, Główny Urząd Statystyczny, Warszawa 2015
5 Dane udostępnione przez Ministerstwo Edukacji Narodowej na potrzeby Stowarzyszenia Kongres Kobiet
6 Zarobki wg Ogólnopolskiego Badania Wynagrodzeń (OBW), Dane przekrojowe, [w:]
http://wynagrodzenia.pl/artykul.php/typ.1/kategoria_glowna.503/wpis.2995, [dostęp: 06.10.2015]
1
2
responsable de l’éducation des enfants, donc elles ne peuvent pas avoir des problèmes d'alcool.
Les hommes ne suscitent pas de tels doutes: ils ne paient pas beaucoup d'attention aux
enfants et leur alcoolisme est tellement commun (?)
autres commentaires
„Newsweek” 14/2015
S’il n’y avait pas le supplément du numéro sur la médecine (avec des textes vagues sur la
santé, le sexe, style de vie, régime alimentaire), il n’y aurait pratiquement pas de femmes
dans la rédaction. Tout le supplément (8 textes) est fait par des femmes, ce qui signifie que
seulement 7 femmes pour 51 hommes ont travaillé sur l’édition principale (10% de la
rédaction).
Feuilletons „Newsweek”, „Polityka”, „Wprost”
Feuilleton - une forme supérieure de journalisme, est du domaine des hommes. Seulement UN
feuilleton signé par une femme est apparu dans les 39 numéros surveillés. C’était „La curiosité
saine” de Joanna Wrześniewska-Sieger („Wprost” 19/2015).
L’éditorial du rédacteur en chef „Newsweek”, „Polityka”, „Wprost”
Les rédacteurs en chef se concentrent dans leurs énoncés sur des thèmes graves (peu
féminins). Par exemple, les élections présidentielles et les comptes post-électorales ont
dominées les feuilletons de Tomasz Lis („Newsweek”). Sylwester Latkowski („Wprost”) a
soulevé la question du harcèlement sexuel (grand bravo!), mais s’est également concentré
sur "son" scandale des écoutes téléphoniques. De son côté, Tomasz Wróblewski à misé sur la
politique („Wprost”). Jerzy Baczyński („Polityka”) écrivait rârement (3 numéros sur 13). Il est
pratiquement impossible de trouver des noms féminins dans les éditos. Les seuls qui
apparaissent ce sont Magdalena Ogórek, Angela Merkel et Marine Le Pen.