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DOSSIER DE PRESSE VICTORIMAGE ET LE G.M.H.M présentent Sur le Fil de Darwin la dernière Terre inconnue Avec le Capitaine Lionel Albrieux, Monsieur Dimitri Munoz, Lieutenant Didier Jourdain, Adjudant-Chef Sébastien Bohin, Sergent-Chef François Savary, Caporal Sébastien Ratel Un film documentaire réalisé par Jeanne Delasnerie et Jean-François Didelot Une production Victorimage Durée : 1h30 Sortie en salles le 30 octobre 2013 Distribution Patrick Nebout [email protected] 06 23 91 56 70 Attachée de presse Marie-Dominique Tatard 06 89 88 22 13 facebook.com/surlefildedarwin www.victorimage.com RÉSUMÉ DU FILM En 2011, six alpinistes français membres du GMHM (Groupement Militaire de Haute Montage basé à Chamonix) ont réalisé une première mondiale : La traversée de la Cordillère de Darwin, en Terre de Feu. Cette expédition était jusque-là réputée impossible. Pendant 30 jours, ils ont filmé leur progression incertaine et extrêmement dangereuse sur ces glaciers du bout du monde, soumis aux pires conditions météorologiques de la planète, où ils ne pouvaient compter sur aucun secours. Comment, seuls au monde, ont-ils réussi là où toutes les tentatives précédentes avaient échoué ? Grâce à ce document exceptionnel, dévoilant des paysages uniques et grandioses, ils nous invitent à vivre de l’intérieur cette extraordinaire aventure humaine au cœur de l’une des dernières régions inexplorées du monde. Ce document témoigne, au travers d’un exploit physique et mental hors du commun, de l’excellence de nos militaires dans des domaines très peu connus du grand public. A contrario des documents empruntant à la fiction avec une écriture parfois artificielle, ce récit est une réelle découverte de la montagne et de ces hommes qui la vivent quotidiennement. Leurs activités d’alpinistes de haut niveau sont exercées dans un but professionnel et militaire mais sont toujours animées d’une passion forte et communicatrice. Ces hommes du Groupe Militaire de Haute Montagne font partie de l’élite des alpinistes mondiaux. Des grimpeurs ils sont, bien sûr, mais aussi certifiés guides de haute montagne. Glaciers, crevasses, faces abruptes battues par les vents et champs de neige géants sont autant de terrains connus et appréciés du GMHM. Et ici dans les Alpes, la roche, la glace et la neige ne manquent pas. La traversée pour la première fois au monde de la Cordillère de Darwin, dans les cinquantièmes hurlants. Une progression en milieu glaciaire d’environ 250 kilomètres avec 75 kg sur le dos, à skis, en escalade et avec une pulka, un mini traîneau, strict minimum pour un homme ayant à survivre en totale autonomie, en milieu hostile, durant plus de 30 jours. Il y a dans ces images des ambiances souvent fascinantes. Les montagnes enneigées plongent dans la mer et l’on a peine à imaginer qu’un homme puisse s’y frayer un chemin. C’est donc là, au beau milieu d’un néant montagneux et blanc d’une beauté époustouflante et vivifiante qu’ils sont débarqués, six hommes, qui presque sans se retourner, vont tenter de passer là où nul homme n’est venu y poser même son regard. Cette équipe très soudée, mélange de jeunesse et d’expérience, ces hommes, âgés de 25 à 40 ans menés par le Capitaine Albrieux ont réussi l’inimaginable, là où toutes les tentatives précédentes ont échoué. « Bien vivre en milieu polaire c’est ne pas avoir à survivre » et ici, c’est le terrain qui commande. L’instinct et la détermination, la confiance mutuelle et l’abnégation sont autant de qualités requises pour finir cette course folle. Des liens forts unissent ces militaires aguerris et une expérience commune les étreint : l’alpinisme extrême… 90 minutes pour découvrir l’esprit, les techniques du GMHM et traverser avec eux un territoire très convoité mais jamais exploré jusqu’alors. Nous vivons au cœur de l’action, filmée par les alpinistes eux-mêmes, la formidable aventure qui a récemment marqué le monde de l’alpinisme pour longtemps. NOTE DU PRODUCTEUR Comme souvent dans une histoire, tout a commencé par un coup de fil : celui d’un lieutenant chasseur alpin, membre du GMHM (le Groupe Militaire de Haute Montagne) ; groupe d’alpinistes dont on m’avait souvent vanté les mérites. Les gars partaient 15 jours plus tard tenter un pari impossible : la traversée de la Cordillère de Darwin en Terre de Feu ; l’un des derniers rectangles blancs sur la carte du monde. J’ai été pris de passion pour ces hommes, leur projet, leur histoire, et, au fond de moi, je m’attendais à ce qu’ils en reviennent vainqueurs. Malgré tout, je gardais à l’esprit que personne n’avait jamais réussi cette traversée. Quand le capitaine Albrieux m’a appelé depuis Yendegaïa et m’a dit « ça y est, on l’a fait », j’étais soulagé, très ému et impatient de voir ce qu’ils nous rapportaient. J’ai vu les images et je savais qu’il fallait aller au bout de cette histoire et sortir un film. J’ai tout de suite pensé à Jeanne Delasnerie. Il a fallu tout son talent de réalisatrice-monteuse pour écrire, décrypter et ordonner plus de 40 heures d’images. Ce travail, long et fastidieux, permet de révéler toute la densité humaine et sportive de cette aventure. Ce projet ne supportait pas l’attente des investisseurs institutionnels et j’ai décidé d’en supporter seul l’engagement. Cette histoire fait vibrer une corde très sensible pour le reporter d’images que je suis. Des images inédites, uniques et d’une intensité inégalée. Mais au-delà de l’aventure physique et humaine extraordinaire, elle est marquée par ces signes forts que sont la persévérance, le don de soi, un formidable esprit d’équipe qui amène chacun à ne rien lâcher et à se surpasser dans l’effort. J’en retire même aujourd’hui la sensation d’un exemple. Ces hommes montrent la capacité de l’Homme à faire abstraction de lui-même pour permettre au groupe de réussir. J’espère que ce film vous laissera cette impression qui fut la mienne : rencontrer des hommes qui, à l’image des spationautes ou des navigateurs engagés dans des courses au large, comptent parmi les derniers aventuriers de notre monde. Jean-François Didelot La Mission du Groupe Militaire de Haute Montagne Le Groupe Militaire de Haute Montagne a été créé en 1976 afin de promouvoir au sein des armées un alpinisme de haut niveau. Il s’agissait alors de s’inscrire dans le mouvement de profonde mutation que connaissait l’alpinisme à la fin des années 70. Par la suite les centres d’intérêts se sont quelques peu diversifiés, actuellement en plus de l’alpinisme, le Groupe est présent dans le domaine des conditions climatiques extrêmes. Actuellement composé de 10 membres tous spécialistes de la Haute Montagne. Participer au rayonnement de la France et de l’Armée de Terre Grâce à ces activités, le Groupe fait flotter le drapeau bleu blanc rouge dans les lieux les plus inaccessibles. Ces expéditions à l’étranger sont l’occasion de développer les relations avec d’autres armées, des organisations civiles ou des organismes d’état. Portant les couleurs de l’Armée de Terre, le Groupe permet de véhiculer à partir de ses réalisations l’image d’une armée jeune et dynamique, parfaitement intégrée dans le monde qui l’entoure. Constituer un vivier de spécialistes des conditions extrêmes pour des missions à caractère exceptionnel. Par sa pratique des terrains difficiles et son expérience des milieux extrêmes acquise depuis sa création, le Groupe est devenu un outil performant apte à s’intégrer au sein d’unités des forces spéciales engagées dans ce type de milieu. Transmettre, conseiller et former : Fort de son expérience acquise au cours de toutes ses années et des qualifications de ses cadres, le Groupe est à même de conseiller les organismes des armées ou bien des particuliers. De plus il intervient dans les formations de haut niveau en matière d’alpinisme au sein de l’Ecole Militaire de Haute Montagne. LE TRACE DE L’EXPÉDITION SUR GOOGLE MAPS Située à l’ouest d’Ushuaïa dans le Parc National Alberto de Agostino, la Cordillère de Darwin était l’un des derniers rectangles blancs sur la carte du Monde. Quasiment pas cartographiée, cette cordillère restait totalement invaincue par l’Homme. L’équipe du GMHM, aprè plus d’un an de préparation, s’y est engagée en ne sachant pas sur quel type de terrain elle allait tomber mais forte de sa très longue expérience de vie en groupe et de vie en conditions climatiques extrêmes. INTERVIEW DU GMHM PAR PATRICK FILLEUX DE L’AFP Lors de cette expédition, un journaliste a suivi le groupe de bout en bout, Patrick Filleux de l’AFP. Nous nous permettons de reprendre ici la première interview réalisée au pied de la Cordillère après l’exploit. Cette interview à chaud nous permet de retrouver l’ambiance de ce que ces hommes ont vécu. Exploit du GMHM au Chili: «Nous avons toujours été sur le fil de Darwin» Par AFP, publié le 09/10/2011 à 11:56, mis à jour à 12:04 PARIS - «Nous avons toujours été sur le fil de Darwin», raconte le lieutenant Didier Jourdain, 37 ans, après l’exploit du Groupe Militaire de Haute Montagne (GMHM) de l’armée de Terre qui vient de signer la première conquête de la Cordillère Darwin, à l’extrême-Sud du Chili. Second de l’expédition dirigée par le capitaine Lionel Albrieux, 40 ans, Jourdain revient avec son supérieur sur le succès des six alpinistes du GMHM qui ont «joué les funambules sur les crêtes jamais parcourues» entre le 6 septembre et le 5 octobre. QUESTION: Est-ce l’exploit le plus marquant du GMHM depuis sa création en 1976 ? Lionel Albrieux: «Chaque génération du GMHM a accompli des exploits comme les «premières» réalisées dans les Alpes, les traversées des pôles Nord Sud et l’ascension de l’Everest sans oxygène. Avec notre succès en cordillère Darwin, nous sommes dans la continuité des anciens à qui nous faisons écho et honneur». Q: Quelles sont les clefs de votre réussite, là où toutes les autres expéditions internationales avaient échoué ? Lionel Albrieux: «Préparation, détermination, compétence, engagement, fraternité d’armes et audace... Cet ensemble de paramètres et de qualités a permis notre réussite. On ne s’est jamais laissé gagner par le découragement et notre motivation s’est chaque jour renforcée». Q: Quelles ont été les principales difficultés attendues ou imprévisibles au départ ? Didier Jourdain: «Nos prises de risques ont été à la mesure de l’enjeu, c’est-à-dire pendant 30 jours au-delà des normes. Nous avons emprunté certaines voies devant lesquelles nous aurions calé dans une course en montagne +normale+. Nous avons pris toutes les décisions en commun. Même si nous avions tout prévu et envisagé au départ, nos incertitudes ont été permanentes jusqu’au dernier jour, quant à la durée de l’expédition, notre stock de nourriture, la résistance du matériel et des hommes, les inconnus d’une météo imprévisible, violente et toujours changeante. Nous ne savions pas que nous pouvions physiquement et mentalement aller aussi loin». Q: Avez-vous frôlé l’échec ? Didier Jourdain: «Oui, tous les jours. Nous n’avons jamais été assurés du succès. Nous n’avons jamais eu la moindre marge dans aucun domaine. Nous sommes passés là où nous devions passer, sous les chutes de séracs, les risques d’avalanches, les pièges des crevasses... Nous avons joué les funambules sur les crêtes jamais parcourues et toujours sous un vent soufflant parfois à 120 km/h. Nous avons toujours été sur le fil de Darwin, ainsi que nous avions baptisé l’expédition». Propos recueillis par Patrick FILLEUX Le point de vue de Patrick Filleux sur le film documentaire Patrick Filleux nous a fait l’amitié de visionner le film en avant-première. Il nous a fait l’honneur d’écrire une dépêche qui donne son sentiment sur ce film tout à fait unique. Documentaire unique sur expédition unique: deux ans après, «Sur le fil de Darwin» retrace sur grand écran la première traversée de la Cordillère Darwin, au Chili, un exploit signé par le Groupe Militaire de Haute Montagne (GMHM). En salles à partir du 30 octobre, ce témoignage exceptionnel résume en 90 minutes les 30 jours de lutte acharnée au coeur de la Terre de feu chilienne de six militaires français, six «as des cimes» du GMHM de Chamonix, du 6 septembre au 6 octobre 2011. Dans des conditions climatiques dantesques, les six hommes ont réussi là où de nombreuses expéditions internationales avaient échoué: traverser de part en part la petite cordillère Darwin, queue australe de la cordillère des Andes entre le détroit de Magellan et le canal Beagle, 130 km de sommets et glaciers inviolés et mal cartographiés, battus par des vents et des précipitations d’une violence inégalée. Ces six hommes, le capitaine Albrieux, 40 ans, son second, le lieutenant Didier Jourdain, 37 ans, l’adjudant-chef Sébastien Bohin, 38 ans, le sergent-chef François Savary, 38 ans, Dimitri Munoz (grimpeur civil du GMHM), 38 ans, et le caporal Sébastien Ratel, 25 ans, ont posé le pied là où aucun homme ne l’avait fait avant eux. Le Cap Horn de l’alpinisme Cette cordillère qui porte son nom avait été découverte par l’auteur de la «Théorie de l’évolution des espèces» en 1832, lors de son tour du monde à bord du Beagle. Elle est à l’alpinisme ce que le franchissement du Cap Horn à la voile, contre le vent et un jour de tempête, est à la navigation... En pire. Jusqu’à l’arrivée du GMHM, elle était restée une des rares «terra incognita» ou rectangle blanc sur le planisphère. Réalisé par Jeanne Delasnerie et Jean-François Didelot à partir des images tournées par les alpinistes-explorateurs lors de leur progression, le film offre des plans stupéfiants: les six hommes constamment encordés, gros sacs sur le dos et tractant des pulkas (traîneaux) bourrées chacune de 75 kg de matériel, progressent dans l’inconnu, au milieu du chaos des champs de glace et de neige, grimpant et descendant dans le brouillard parmi de profondes crevasses, en butte aux chutes mortelles de séracs et aux avalanches. Là, au coeur des 50e hurlants, ils sont coincés dans une abominable tempête de neige avec des vents de plus 100 km/h. Ils ne se voient plus, ne s’entendent plus et sauvent leur vie en creusant une caverne dans la neige pour s’y terrer. Ici, tels des funambules fantomatiques, ils progressent sur une crête étroite qui surplombe de vertigineux précipices glacés de 2.000 mètres où au moindre faux pas, la mort est certaine. Ainsi qu’aux siècles des découvertes, à l’époque des premiers grands explorateurs de la planète, ils sont en totale autonomie, sans aucune assistance et ne peuvent espérer aucun secours en cas d’accident. Ils ne doivent compter que sur eux mêmes. Mais l’équipe est soudée comme un seul homme. C’est, disent-ils, la clef de leur réussite. «Nous avons toujours douté mais chaque décision importante a toujours été prise en commun et à l’unanimité. Nous étions six hommes avec un seul cerveau, c’est ce qui nous a sauvés», disentils à l’écran. Lorsque enfin, du haut de la dernière crête, ils peuvent apercevoir en contre-bas le canal de Beagle que borde la forêt primaire de Patagonie, fin de leur calvaire, ils ne triomphent pas, restent humbles, se bornant à dire qu’ils sont «contents». Mais assurent-ils tous, une telle épreuve exceptionnelle ne peut se répéter: «Nous ne reviendrons pas». JEANNE DELASNERIE REALISATRICE - CHEF MONTEUSE TELEVISION DOCUMENTAIRE : Mad Men : où sont les hommes ? (52’, Eléphant et Cie 2010) ; Lukas Kandl (26’, Films de Septembre 2009). Modifications sur documentaires pour Dissidents, Mondonuovo, et pour le magazine 90’ (Canal+) ; EMISSIONS : Bonsoir Monsieur le Président, magazine d’information 52’ (Canal Jimmy 2011); M.I.A.M. (M6 2010); « 10 ans » de La grosse émission (Comédie 2008) PUBLICITES pour PGLL, Grand Large, Reflex Prod, Gang, Entropie, Digital Club, Byzance, Chez Louis); REPORTAGES COURTS pour France 2 (Télématin, C’est au Programme, Thé ou Café, Des Mots de Minuit, Téléthon, Vivement Dimanche), France 3 (On ne peut pas plaire à tout le monde, 19/20, Magazine du Sénat), France 5 (C’est Notre Affaire), Arte (Le Journal de la culture, Zoom Europa), Canal+ (+Clair), Planète Thalassa, TV5, France 24, W9…; TELEREALITE : Un dîner presque parfait (M6 - Studio 89) ; Le Royaume (TF1 - GLEM 2006)… CINEMA COURT-METRAGES : The Bedfordshire Clanger de Marc Mason (2007),Nous nous plûmes de Jérôme Bonnell (2003), L’amour absent de Christian Louis-Vital (2003),Vos papiers ! de Claire Fouquet (2002), L’attrape-Soleil de Christophe Legendre (2002),Requiem(s) de Stéphane Guérin-Tillié (2001), My beautiful omelette de Arno Salters (2001),L’attaque du camion de glaces de Brice Ansel (2001), Coup de maître de Lionel Arazi (2000),Sparring partner de Mohammed Achouri (2000), I Married a Fundamentalist de Arno Salters (1999),Chuut ! de Christophe Legendre (1998), Crépuscule de Someya Gange (1997),Kacofolies de Didier Roten et Minna Sif (1994), Mürder unter uns et Solitude de Marc Mason (1992) MONTEUSE ADJOINTE / ASSISTANTE SUR LONGS-METRAGES : Un lieu incertain de Josée Dayan (2010),La dame de Trèfle de Jérôme BONNELL (2009), La Vie d’artiste de Marc FITOUSSI (2007), L’ex-femme de ma vie de Josiane Balasko (2004), Le rocher d’Acapulco de Laurent Tuel (1995) PARTICIPATION A LA POST-PRODUCTION DE LONGS-METRAGES : Marie-Jo et ses deux amours de Robert Guédiguian (2002),La vie Nouvelle de Philippe Gran- drieux (2002), Stormy Weather de Solveig Anspach (2002),Il est plus facile pour un chameau… de Valeria Bruni-Tedeschi (2003), Un goût de sel de Hélène Marini (2003),Deux frères de Xavier de Choudens (2003), Monsieur N de Antoine de Caunes (2003) FICHE TECHNIQUE Sur le fil de Darwin, la dernière terre inconnue Date de sortie : 30 octobre 2013 (1h 30min) Genre : Documentaire Nationalité : Français Les membres de l’expédition Capitaine Lionel Albrieux Lieutenant Didier Jourdain Adjudant-Chef Sébastien Bohin Sergent-Chef François Savary Caporal Sébastien Ratel Monsieur Dimitri Munoz Réalisation Jeanne Delasnerie Jean-François Didelot Images Expédition Darwin Capitaine Lionel Albrieux Sergent-Chef François Savary Images ITV Chamonix/France Jean-François Didelot Maxime Duhamel Images ITV arrivée et tests pulka Jean-Pierre Tauvron Assistants à l’image Julien Grisol Victor Didelot Images satellite IGM (Instituto Geográfico Militar) Chili Montage Jeanne Delasnerie Étalonnage Clément Brewer Graphisme habillage Thibaud Lagardère Assistance technique Kristel Billand Musique originale Yves Ottino Voix off présentation Fred Leroux Voix off expédition Patrick Noérie Mixage Christophe Modolo Production VICTORIMAGE Producteur Jean-François Didelot Direction de production Judith Rivat Direction juridique Christophe Pascal Assistante de production Fiona Vallois Attachée de presse Marie-Dominique Tatard Distribution Patrick Nebout Banque Crédit Agricole île de France Moyens techniques VICTORIMAGE / G.M.H.M.