Dossier de Presse Volo - Live

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Dossier de Presse Volo - Live
Volo : Bien zarbos
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chanson sucrée-salée
Abattons le suspense sans sommation : dans le Volo, tout est bon. Concocté
par le frères Volovitch, dont l’un est Wriggles à la scène et l’autre est Wriggles
à la régie, Volo rappelle forcément ledit quintet ou, plus précisément, son
visage le plus sensible, celui des anecdotes du quotidien, des textes douxamers, quoique non dénués d’humour.
Les frères se partagent les voix, tandis que guitares acoustiques, violons,
saxo, piano ou même harpe tissent un arrière-plan musical chaleureux, parfois
mélancolique. Les ayatollahs du binaire peuvent passer leur chemin.
Les Volo ont la narration amicale, confidente. Les voix des frères Frédéric et
Olivier sont d’ailleurs assez similaires, avec un soupçon d’interrogation, de
naïveté, comme s’ils avaient du mal à croire à ce monde où le meilleur devrait
pouvoir arriver (Ah !, "l’amour version ministère de l’Intérieur" sur Histoire
sympa!) alors que le pire est le plus probable.
Les chansons déroulent des historiettes qui, sans prêcher de morale, dévoilent
un Volo amateur d’ "alterophilie". Le duo demeure un pied dans la réalité,
sombre, certes, mais où il déniche des raisons d’espérer, et l’autre dans
l’imaginaire. La distanciation de l’humour et de la mélancolie font office de lien.
La simplicité formelle (pas d’arrangements clinquants) permet de goûter les
paroles, de fredonner tous les refrains, dont certains vont squatter votre
cerveau mine de rien (oui, même "Je gagne et je dépense/Un salaire minimum
interprofessionnel de croissance" sur Le MEDEF).
On découvre ainsi l’utilité du facho en temps de paix : consoler les chagrins
d’amour ("Le soleil se couche sur Anvers/On m’a roué de coups/Dépouillé de
toutes mes affaires/Ça m’a fait un bien fou"). Ah ! oui, parce que chez Volo,
les histoires d’amour n’ont pas encore commencé ou sont déjà (mal) finis.
Prenez cette flamme allumée mais non encore déclarée : "Je suis livreur de
pizza/Et c’est pas par envie/Mais les yeux d’Elisa/Ce sera pour toute ma vie."
Voilà qui aurait dû être ridicule mais qui vous touche tellement vous avez envie
qu’ils balancent leurs pizzas à la gueule du patron pour s’embrasser dans les
olives.
Ajoutons au rayon des qualités de Volo la concision (huit titres sur quatorze
durent moins de trois minutes, sans paraître torchés pour autant) et
l’homogénéité de l’album dans son ensemble, dont aucun titre ne fait figure de
remplissage ou ne reste à la traîne.
Bref, au lieu de se prendre la tête, les Volo prennent leurs neurones en main,
si je puis dire, prouvant au passage que la réflexion est quelque chose de
joyeux est de bien plus agréable que de se laisser gaver les synapses de
merde en boîte.
FM
Album à télécharger sur http://www.opera-music.fr/
site des Wriggles
contact scène: Blue line Prod-Bp 10021-rue tournemire-46600 Martel- !
[email protected]:05 65 27 15 15-fax: 05 65 27 15 16
Francofans n°11 et n°14
C'est avec force et VOLOnté que les frères Volovitch ont décidé de monter leur projet, Volo. Frédéric et
Olivier V. s'unissent pour se renvoyer la balle autour d'un album qui sent la réussite. Si le premier est connu pour
officier au sein de la troupe des fantaisistes Wriggles, le second demeure inconnu au bataillon. Totalement différent du projet commun, l'album de Volo fait place à une chanson à texte plus commune autour des deux guitaristes et paroliers. ConVOLOns vers cette nouvelle découverte à travers ces quelques lignes pour présenter Bien
zarbos.
Une première version de l'album est sortie courant 2005 et surprise, un succès d'estime qui a marché uniquement grâce au bouche à oreille. Agrémentée de deux nouveaux titres, cette nouvelle mouture nous emmène
entre délires de frangins, situations vécues ou imaginés, opinions personnelles et politiques, le tout pimenté d'humour, de rires et de rimes. Tranches de vie mises en musique, coups de gueule et tracas quotidiens tournés intelligemment, définition d'un cadre connu de tous mais vu avec perspicacité, lucidité et un brin de folie.
Musicalement, Volo se cale sur une rythmique simple : quelques accords de guitare auxquels viennent s'ajouter
quelques instruments disparates (claviers, harpes, saxo...). Les paroles sont mises en valeur pour un album de
chanson française. Pas de voix exceptionnelle, pas de compositions extraordinaires mais l'alchimie est superbe,
le ton sur lequel sont traités les sujets évoqués reste gravé longtemps en tête, le disque se repasse plusieurs fois
sans aucune lassitude. Volo a réussi son coup, un bon coup.
Timide comme un amoureux transi (Elisa), énervé contre la
société capitaliste (Le MEDEF) ou tendre comme un jeune papa (Tu
me fais marrer). Les trois premiers titres sont représentatifs d'un
album explorant toutes les facettes vécues par un homme de classe
moyenne d'aujourd'hui dans la société française. Chaque texte possède sa propre spécificité, fait mouche, avec pas mal d'éloquence.
Bien zarbos part aussi dans le délire le plus profond : fantasmes masculins (Histoire sympa) mais l'espace de quelques minutes fantaisistes, la cruelle réalité se fait ressentir sur l'omniprésence culturelle
étasunienne (God bless), relevant la nature profonde de l'homme
(C'est plus fort que toi, La mémoire), dénonçant la médiatisation
partisane (Les infos). Engagés dans de nombreux combats, Volo
prend fait et cause à la première personne avec une justesse. Le message est passé.
Passé la surprise de découvrir ces titres, la partie intimiste se révèle toute aussi jouissive : des déceptions
amoureuses et le refuge dans l'alcool (Fille en fleur, Montréal, Anvers sur lequel un passage effrayant fait mal au
coeur), une ode aux parents (Ils nous apprennent), petites « sauteries » (Avant l'amour), situation de « loose »
(Bien zarbos) et visions personnelles de lieux parisiens récurrents (Le métro, Dans mon café préféré). Au plus
près de la vie quotidienne et avec un regard caustique amusant et engagé sans tomber dans l'excès même si flirtant parfois avec la démagogie, Volo parvient à conserver toute l'attention qu'on comptait bien lui porter lors de
l'écoute.
Une fois l'album sorti de la platine, l'envie de le remettre est immédiat, certains titres repassent en boucle (Le MEDEF, Elisa, Anvers, God bless, La mémoire, Dans mon café préféré...). Volo arrive à inspirer et à rendre un superbe album qui mérite d'être découvert pour ce qui constitue déjà une bonne surprise pour la nouvelle
chanson française, prêt à s'envoler vers des cieux plus élevés car comme disait Zucchero, Il VOLO.
15/01/2006
Volo - Bien Zarbos
Bien Zarbos que cet album. Volo n'est en fait que le diminutif de Volovitch. Oui et alors. Et si je
vous dis que Volovitch c'est en fait deux frères (Volovitch) dont un n'est autre que Fred des
Wriggles et l'autre Olivier (ingé son des Wriggles). Vous me dite ... oui et alors ? Et alors tais-toi et
lis jusqu'au bout ce que j'ai à te dire.
Les 16 titres de cet album sont emprunts de douceur, d'amour et de gaieté. Ca parle de choses
légère comme de choses graves. On sens - via les Wriggles - la patte de Fredo mais celle d'Olivier
n'est pas mal non plus. Les morceaux sont relativement bien alternés entre chansons « légères »
et chansons plus « engagées » que ça soit sur la politique nationale ou internationnale. Allez hop
sans attendre plongeons nous dans cet opus.
On remarque tout de suite que les morceaux sont bien arrangés que les musiciens qui les accompagnent ont apporté leur touche. J'apprécie beaucoup le frapper de batterie sur Le Medef (Frapper
le MEDEF), ce cher syndicat des patrons qui n'ont jamais de fins de mois qui commencent le 2.
God Bless America chantent-ils, en énumérant tout ce que les USA ont importé chez nous et le
monde, tout ce qui nous rend plus abruti qu'avant, plus dépendant et moins autonome. C'est plus
fort que toi où comment l'homme s'autodéturit-t-il, ce devoir de Mémoire qu'il n'arrive pas à retenir
et répète sans cesse : toujours s'entretuer pour un Dieu (quand on y croit) qui est le même.
Prenons Le métro avec tout ce que ca amène de négatif (SDF, pickpockets, odeurs ...), et cette
situation Bien Zarbos mitigée entre désespoir et espoir nous amène à la partie plus joyeuse de l'album.
Revenons sur les premières notes de l'album qui sont pour Elisa psycho-drame mélancolique d'un
livreur de pizza amoureux de la jolie fille qui tiens la caisse. Amour ... toujours l'amour. Même
quand il est fait avec sauvagerie par une charmante dame de la force publique rendant cette
Histoire sympa. Mais l'amour parfois peut être douloureux, surtout quand il se termine en queue de
poisson. Ici, chacun des Volo exprime une rupture, qui plus est à chaque fois internationale que ca
se passe à Anvers ou Montreal, ces moments de désespoir qui suivent l'encaissement. Mais qui at-il de pire ? Se faire largueur, ou décider d'aller chez une nana avant l'amour et voir son « régulier
» arriver ne vous laissant d'autre choix de partir en 4e vitesse ?
Amour toujours amours quand tu laisse place à l'imparfat, quand on se dit que c'était une jolie fille
en fleur qui nous fait poser le coude sur le zinc.
Mais l'amour au coin de son Café préféré, apporte parfois celle qui sera la mère de l'enfant à qui
l’on pourra dire Tu m'fais marrer bébé - Celle par qui j'ai connu Volo. Cette chanson est comme l'album, emprunte de mélancolie tout en ayant cette touche qui nous dit : il faut se battre et profiter de
tous les instants.
Et maintenant que les Wriggles vont être à 3 (fin Aout), peut-être que Kristof et Noof ont aussi des
projets qui permettront aux Volo de prendre complètement leur envol.
Sur ce Bob il est temps de rendre l'antenne.
La Nouvelle République du Centre-Ouest
INDRE-ET-LOIRE, vendredi 27 janvier 2006,
chartsinfrance.ner
samedi 18 février 2006
Rue du Théâtre - samedi 28 janvier 2006
Chanson Mag n°2 - Février/Mars 2006
Start Up n°109 - Février 2006
Lylo n°188 - du 8 au 21 janvier 2005
n°41
Télérama n°188 - du 8 au 14 février 2006
La Voix du Nord - Mardi 24 janvier 2006
Duo, En toute intimité A Volo a rempli Le Poche
Vendredi soir, le Poche affichait salle comble. Nombreux sont ceux qui ont dû
rebrousser chemin, et remettre à plus tard une soirée en tête avec le duo A Volo.
Deux frères chanteurs guitaristes, lumière tamisée, et un public des plus réceptifs :
le décor est planté, la soirée s’annonce plutôt bien.
Sur scène, le duo chante le quotidien, la vie, le temps qui passe. Les deux frères
emmènent leur public dans une bouche de métro, se mettent dans la peau d’un livreur
de pizza... Une histoire d’amour au Québec qui n’aboutit pas... La vie, la vraie, racontée en chanson, accompagnée à la guitare. Un moment de détente qui a fait chaud aux
coeurs. Un tête à tête en toute intimité.
Édition : BETHUNE-BRUAY
© 2006 La Voix du Nord. Tous droits réservés
Zurban n°285 - du 8 au 14 février 2006
ZICLINE - Mars 2006 - Article VOLO, Bien Zarbos
La sortie d’un album solo est un véritable challenge lorsque l’on fait partie d’un groupe. Alors que les
Wriggles atteignent encore des sommets dans leur carrière, Frédéric Volovitch a décidé de monter son
propre projet, en compagnie de son frère, Olivier. On y retrouve surtout l’esprit sombre et clown triste
du groupe, avec des mélodies très travaillées.
Accompagné de sa guitare seule ou d’un groupe selon les morceaux, Volo se met au service d’une
chanson engagée où textes et musiques ont chacun leur importance. Traitant du racisme (Anvers), du
capitalisme (le Medef), ou de la guerre (c’est plus fort que toi), le duo sait aussi se faire léger, tout en
restant sombre, avec des chansons d’amour impossible.
Les influences musicales se font diverses, allant de la chanson à la pop, avec une forte dose de funk.
La basse est omniprésente et claque sur des rythmes entraînants.
La sortie de cet album fait suite à un parcours commercial atypique. L’album s’est déjà écoulé à 10
000 exemplaires avant sa sortie dans les bacs, grâce à Internet et au bouche à oreille. Devant ce succès, Volo s’engage dans une tournée, un an après la sortie du disque sur Internet, et pour appuyer sa
nouvelle sortie dans les bacs.
Cette renaissance de l’album Bien zarbos, va lui donner une configuration plus large et qui conviendra bien à la dimension d’une musique riche accompagnée de textes bien écrits. Volo voit sa réputation aller crescendo.
Festival Paroles et Musiques - édition 2003
Attention , Edition 2003
Infos : Mardi 13 mai à 23h
Magic Mirrors
On vit des choses, des grandes, des petites, des marrantes, des touchantes, des surprenantes...plein de choses. On s’en rappelle en riant, en
soupirant, en échangeant. On essaie parfois de les oublier, souvent on les réinvente.
Volo nous chante ces moments, leur cisèle des mélodies et les rend inoubliables, quels qu’ils soient.
Ils sont 2, complices comme des frères (jusqu’à en avoir les mêmes parents), leurs 2 guitares riches et complémentaires, glissent d’un univers à
l’autre, aussi à l’aise dans la ballade-volo, que dans le funk-volo, le rap-volo... le volo-volo.
Leurs paroles parcourent les cafés, le métro, les toits, les seins d’une contrôleuse, la télé, le pape...plein de gens, de moments, d’événements,
drôles ou pas.
Ces deux gars natifs de Tours et qui vivent à Paris, ont débuté leur carrière à Saint Etienne il y a trois ans. Depuis, on a pu les apercevoir en
première partie des Joyeux Urbains ou de Bénabar. Comme on aime les belles histoires, il était logique de les retrouver un jour ou l’autre dans
l’antre du Magic Mirrors.
Forum
Larriereboutique.fr
Volo
Bien Zarbos
Deux frères aux univers différents mais complémentaires, dont les chansons tendres
souvent acerbes croquent sinon notre société du moins ses incohérences.
VOLO
Un duo de frangins très doués issus de la famille
Wriggles dont les chansons entre funk, pop et
fusion, fustigent tous les maux du quotidien.
Découvrez des extraits de "Bien Zarbos", leur
premier cd.
Ce cd n'est pas en vente sur larriereboutique.fr.
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