la presse
Transcription
la presse
LA PRESSE CHORUS Les cahiers de la chanson Ce comédien de cinéma, de télévision, et surtout de théâtre, nous avait gratifié d’un attachant premier album « Rêves de comptoirs », il y a trois ans (cf. Chorus n° 20). C’est peu dire que Niobé récidive aujourd’hui, à travers un prologue signifiant, d’esprit tzigane, et onze chansons dont il a écrit les musiques et deux textes, la plupart de ces derniers étant signés par Lionel TUA. Fine plume que celui-là, de son délirant « Nanalphabète » à son fascinant « 1917 », genre déchirement sublime entre noble amour fou et devoir. Voix souple, truculence et autodérision, feu permanent (‘ Les Rideaux », « Même pas mal »), Jean-Pierre Niobé emporte l’adhésion en homme de scène complet, accompagné ici par cinq excellents musiciens pour cet enregistrement réalisé à l’espace Alexandre Gaultier de Varades. Daniel Patchenko Chorus n 30/ Janvier 2000 « Niobé, un comédien, un chanteur, un univers de rires, de tendresse et de voyages, un vrai bonheur, à voir absolument sur scène » Pierre Junières - France-Inter Juillet 1996 « Des petits bijoux de chansons, tour à tour drôles, noires, tendres… Délectable » France-Dimanche « Un spectacle magique » Ouest-France « C’est superbe et ça n’engendre pas la mélancolie » José Artur - France-Inter Décembre 1998 « J’avais vu Jean-Pierre Niobé lors de son premier concert en 1995. Il avait déjà un goût particulier pour le texte. Je l’ai revu dans un petit théâtre à Paris en novembre 2001, au « Sous-sol » accompagné de quatre musiciens. Les textes, écris par son complice du début, sont de plus en plus précis, de même que son interprétation, son jeu, son contact avec le public. C’est un comédien !! Il n’y a rien à dire. Il n’y a pas de triche, ni de démagogie. Tout paraît si simple. Les textes de Lionel Tua sont beaux, sans facilité, et le couple Niobé – Tua fonctionne à merveille. C’est un vrai bonheur de le voir chanter. C’est une rencontre dont on se souvient pour les rires, la complicité et son goût pour la vie, malgré les ratages et les échecs qu’il chante avec beaucoup de distance. Niobé fait son chemin, tranquille. Voilà du très bel ouvrage. Où que vous soyez vous le rencontrerez sûrement un jour. Ne le ratez pas. Bon spectacle ! ! » Denis Mazellier pour T.L.M. Mai 2002