Dossier TP5 Espaces verts

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Dossier TP5 Espaces verts
Dossier du TP 5
Niveau 2
Espaces verts
ANIMATEURS DE PRÉVENTION
Dossier du TP5
> Sommaire
La situation de travail
U1 : le chantier............................................................................................................................................................ 4
U2 : l’atelier d’entretien des matériels .................................................................................................. 11
Informations complémentaires............................................................................................................... 13
Guide de travail ..................................................................................................................................................... 15
Annexes........................................................................................................................................................................ 18
3
Dossier du TP5
> La situation de travail
U1 : le chantier
6 h 30 : arrivée sur le chantier, balisage de la zone et déchargement
1
L’attelage camion-remorque s’arrête sur la voie
publique, côté chantier.
Aussitôt, un des jardiniers remonte sur le pont
en amont du virage afin d’installer le panneau
signalant le chantier.
Son collègue pose le balisage à l’arrière
de la remorque alors qu’un troisième la dételle.
2
La remorque est poussée de façon à ce que
l’espace soit suffisant pour descendre
et manœuvrer les deux tondeuses chargées
sur le camion.
3
Un des jardiniers pose le balisage de sécurité
(panneau et cônes) derrière la remorque.
4
Dans le même temps, la signalisation
indiquant un chantier en cours (panneau
travaux AK5) est posée en amont du virage…
4
Dossier du TP5
5
… tandis que les rampes sont sorties afin
de descendre les matériels.
6
Ces rampes sont fixées chacune
par une goupille.
7
Dans un premier temps, la tondeuse
autotractée est descendue.
8
Puis la débroussailleuse fixée sur la paroi
latérale du camion est détachée.
5
Dossier du TP5
9
Enfin, la tondeuse autoportée
est descendue.
10
Pendant ce temps, un des jardiniers a endossé
le harnais qui lui permettra de soutenir
la débroussailleuse.
Puis il la prépare en posant le fil de coupe.
11
Sur le camion se trouvent, en réserve, un bidon
de gasoil (pour la tondeuse autoportée)
et un bidon d’essence sans plomb (pour
la tondeuse autotractée), ainsi qu’un bidon
de mélange d’essence pour alimenter
la débroussailleuse et la souffleuse.
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Dossier du TP5
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Pendant que les trois jardiniers préparent
leurs matériels, le quatrième parcourt
la zone de tonte et ramasse les plus gros
déchets (bouteilles, canettes, cailloux…).
7 heures : début de réalisation du chantier, tonte de la pelouse
13
Passage de la débroussailleuse sur les bordures
et sous les massifs (aux endroits inaccessibles
à la tondeuse autotractée)
14
Passage de la tondeuse autotractée
aux endroits inaccessibles à la tondeuse
autoportée (tour des arbres, bord des massifs)
15
Passage de la tondeuse autoportée
sur le reste de la surface la plus dégagée
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Dossier du TP5
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Le bac de ramassage de la tondeuse
autotractée est vidé en moyenne toutes
les 10 minutes.
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Le jardinier s’approche sur le trottoir au plus
près de la remorque, décroche le bac et le vide
dans la remorque.
18
Selon le nombre et la taille des chantiers
de tonte à réaliser dans la journée, les jardiniers
peuvent être amenés à refaire le plein
des tondeuses (en moyenne deux pleins
par journée de travail).
19
Le conducteur de la tondeuse autoportée
doit également vider son bac de ramassage
à plusieurs reprises. Mais, sur ce modèle
de tondeuse, le bac ne peut être soulevé
pour être basculé et vidé directement
dans la benne. Le conducteur se rapproche
donc au maximum de la remorque et vide
son chargement sur le trottoir.
8
Dossier du TP5
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Un des jardiniers ramasse ensuite l’herbe
à la pelle pour la mettre dans la remorque.
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En cas de bourrage et en fin de travail,
les tondeuses sont sommairement
nettoyées avec une spatule.
9 h 30 : nettoyage de la zone, enlèvement du balisage et chargement du camion
22
La tondeuse autoportée est remontée
en premier, car l’espace est très limité
sur la plateforme du camion. Il faut
manœuvrer pour bien la serrer contre
la paroi et positionner la roue arrière
à la perpendiculaire pour pouvoir fermer
le hayon.
Une fois correctement positionnée,
elle est arrimée avec des sangles.
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Dossier du TP5
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La débroussailleuse est ensuite fixée sur l’autre
paroi puis la tondeuse autotractée est enfin
positionnée dans l’espace restant.
24
Pendant ce temps, un des jardiniers finit
de nettoyer la zone à la souffleuse.
25
Le balisage de sécurité est ramassé.
26
Tout le matériel étant rechargé dans le camion,
les rampes sont remontées et le hayon fermé.
Le camion recule alors et la remorque
est rattachée.
Avant de partir, un des jardiniers va récupérer
le panneau (AK5) de signalisation du chantier
sur le pont.
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Dossier du TP5
U2 : l’atelier d’entretien des matériels
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Arrivé à l’atelier d’entretien, les matériels sont
descendus du camion pour être nettoyés.
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Le nettoyage de la tondeuse autotractée
est effectué (carburateur en haut,
antiparasite enlevé, filtre à air en position
verticale et vanne d’arrivée d’essence
fermée).
29
La lame est démontée pour être affûtée ;
le carter de protection est gratté
avec une spatule.
30
À l’extérieur, le bac de ramassage
de la tondeuse autoportée est passé
au jet d’eau sous pression.
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La tondeuse est ensuite amenée dans l’atelier
et ouverte côté moteur pour que ce dernier
puisse sécher.
32
Puis le carter de protection est basculé
et les deux lames sont démontées pour
être affûtées ; le carter de protection
est nettoyé à la spatule.
33
Les lames sont affûtées avec une meuleuse
électrique posée sur l’établi.
(Sur cette étagère : huile hydraulique, huile moteur,
antigel, nettoyant pour pièce, dégrippant et lubrifiant
en aérosol)
34
Les lames des tondeuses sont remontées après
passage de dégrippant-graissant.
Le moteur est ensuite vérifié (graissage, niveau
d’huile… si nécessaire) .
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> Informations complémentaires
L’entreprise qui emploie ces jardiniers est située dans le sud de la France et compte 92 salariés.
Le service « entretien pelouse », auquel appartient cette équipe, compte 8 salariés, tous en contrat
à durée indéterminée et titulaires d’un CAP de jardinier.
Le personnel
Les quatre jardiniers de cette équipe ont entre 25 et 40 ans et un minimum de 5 ans d’ancienneté dans l’entreprise. Parmi eux, trois sont titulaires de l’attestation de formation aux premiers
secours (AFPS) et le responsable d’équipe est en cours de formation au sauvetage secourisme du
travail (SST).
Tous ont suivi les stages de :
• balisage de chantier ;
• utilisation de produits phytosanitaires.
2 ont été formés à la prévention des risques liés à l’activité physique (PRAP).
2 sont autorisés à la conduite de la tondeuse autoportée.
Une documentation est disponible à l’atelier, dont les fiches de données de sécurité des produits
(FDS) (voir par exemple la FDS du « lubrifiant WD-40 aérosol » en p. 18) et un index phytosanitaire.
L’organisation du travail
Selon la dimension du chantier et sa situation géographique, l’équipe a en charge 1 à 4 chantiers
par jour.
Horaires de travail, du lundi au vendredi :
• en hiver : de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h
• en été : de 6 h à 13 h (avec une pause casse-croûte de 35 min à prendre librement)
Les travaux réalisés par cette équipe sur les chantiers sont, selon les saisons :
• la tonte de pelouse ;
• le désherbage sélectif (passage de désherbant sélectif) ;
• l’aération des gazons (par carottage) ;
• la scarification des gazons (griffage pour enlever la mousse…) ;
• la réfection des pelouses ;
• le plaquage de gazons (pose de plaques ou de rouleaux de gazon) ;
• le ramassage de feuilles sur pelouses.
Le planning des travaux à réaliser est mensuel et varie selon la saison et le type de travaux à
réaliser.
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Dossier du TP5
En voici un exemple type :
mai
Mois
Lieu du
chantier
Semaine
19
Jardin des Quais
X
Parc Jourdan
X
Rond-point
Marcel-Pagnol
Square Bizet
20
21
22
X
X
X
juin
23
24
25
X
juillet
26
X
27
28
29
X
30
août
31
32
33
34
X
septembre
35
36
X
37
38
39
etc.
40
41
42
etc.
X
X
X
X
etc.
Il n’y a pas de consignes de travail formalisées. Chacun a une tâche liée au matériel utilisé. Les
jardiniers sont tous polyvalents (sauf en ce qui concerne la conduite de la tondeuse autoportée).
Par semaine, l’organisation est relativement libre, mais des urgences (problème lié à la météo,
dégradation accidentelle ou volontaire, etc.) peuvent survenir et modifier le planning.
Organisation type d’une semaine :
Les matériels sont chargés sur le camion le lundi matin et durant toute la semaine – sauf incident
ou panne particuliers – ne sont pas déchargés le soir. Seul un nettoyage sommaire est réalisé sur
site, en fin de chantier.
Le vendredi après-midi, les matériels sont déchargés, nettoyés et entretenus, puis entreposés
dans l’atelier pour le week-end.
Les matériels utilisés sur les chantiers de tonte de pelouse sont :
• une débroussailleuse thermique (environ 5 kg ; soutenue par un harnais ; fonctionne avec un
mélange d’essence ; niveau sonore d’environ 92 dB(A)) ;
• un souffleur à feuilles thermique (environ 5 kg ; fonctionne avec un mélange d’essence) ;
• une tondeuse autotractée à moteur thermique (fonctionne à l’essence sans plomb ; niveau
sonore d’environ 83 dB(A)) ;
• une tondeuse autoportée (fonctionne au gasoil ; niveau sonore d’environ 105 dB(A)).
Cette tondeuse autoportée ne peut être utilisée que sur les terrains dont la pente est inférieure
à 30 %. L’équipe dispose, pour les terrains escarpés, d’un microtracteur à quatre roues motrices.
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Dossier du TP5
> Guide de travail
Rappels sur l’évaluation des risques
Pour détecter les risques liés à ce chantier, il faut :
• identifier les dangers présentés par la situation de travail ;
• identifier les personnes susceptibles d’y être exposées, directement ou indirectement ;
• observer la situation de travail.
Le danger est la propriété ou la capacité intrinsèque par laquelle des produits, des matériels, des
méthodes, des pratiques de travail, etc., sont susceptibles de causer un dommage. On le définit
par l’existence d’éléments nuisibles dans une situation.
Le risque correspond à la probabilité d’une rencontre entre l’homme et un danger auquel il peut
être exposé.
Danger
Personne
Situation dangeureuse
Dommage
Exemple :
• Danger : les automobiles (masse en mouvement)
• Personne : le jardinier
• Situation dangereuse : pose du balisage sur la route
• Risque : se faire renverser par une voiture
• Dommages : fracture, écrasement, traumatismes, etc.
Classer les risques
Ce classement doit être le plus factuel possible (fondé sur des éléments tangibles, statistiques,
enquête, etc.), c’est l’aspect quantitatif. Mais il comprendra aussi une approche qualitative se
basant sur des échanges avec les opérateurs, sur l’idée que les individus se font du risque en se
fondant sur leur expérience et leur connaissance.
Les critères de classement doivent être établis par consensus au sein du groupe de travail chargé
de l’évaluation des risques.
La finalité de ce classement est de permettre de débattre de priorités d’actions de prévention.
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Dossier du TP5
Nous vous proposons ici de définir le risque comme étant le produit de trois éléments : la gravité
(G) du dommage, le niveau d’exposition (Ne) et la fréquence d’exposition (Fe) au danger :
R = G x Ne x Fe
Pour chacun de ces trois éléments, nous avons défini des échelles de valeur et une cotation
chiffrée.
Niveau de gravité du dommage G
Niveau de gravité
du dommage
Définition des critères retenus*
1
Ne pouvant entraîner que des conséquences corporelles bénignes sans arrêt de travail
Exemples : contusion, coupure légère, hématome, brûlure légère, etc.
2
Ne pouvant entraîner que des conséquences corporelles réversibles après arrêt de travail
(arrêt de travail inférieur à 21 jours)
Exemples : entorse, plaies avec points de suture, etc.
5
Susceptible de provoquer des blessures irréversibles et handicapantes ou d’entraîner
une déclaration de maladie professionnelle
Exemples : fractures, sectionnement d’un membre, surdité, etc.
10
Susceptible de provoquer un accident du travail ou une maladie professionnelle avec
une incapacité permanente partielle (IPP) supérieure à 10 % ou des blessures mortelles
sur une personne
Exemples : fractures complexes, paralysie…
50
Susceptible d’entraîner un accident du travail ou une maladie professionnelle avec
une incapacité permanente partielle (IPP) supérieure à 10 % ou des blessures mortelles
sur plusieurs personnes
Exemple : cancers consécutifs à une exposition à l’amiante
* Ces critères sont retenus conventionnellement. En fonction de l’évolution du contexte, ils peuvent être revus par le groupe de travail et faire l’objet de réajustements.
Niveau d’exposition au danger Ne
Niveau d’exposition
au danger
Ne
Définition des critères retenus*
Très peu probable
1
Danger inaccessible sauf action volontaire et déterminée
Exemple : destruction d’une protection intégrée
Peu probable
2
Danger inaccessible sauf action volontaire
Exemple : shuntage d’une sécurité
Possible
3
Danger accessible avec action volontaire
Exemple : protection aisément démontable
Tout a fait possible
5
Danger accessible sans action volontaire
Exemple : protection inadaptée ou inefficace
Certain
10
Exposition directe au danger
Exemple : pas de protection
* Ces critères sont retenus conventionnellement. En fonction de l’évolution du contexte, ils peuvent être revus par le groupe de travail et faire l’objet de réajustements.
Fréquence d’exposition au danger Fe
Niveau d’exposition
au danger
Fe
Définition des critères retenus*
Très rare
1
Rare
2
Exposition d’un opérateur environ une fois par mois
Occasionnelle
3
Exposition d’un opérateur environ une fois par semaine
Habituelle
5
Exposition d’un opérateur une fois par jour
Permanente
10
Exposition d’un opérateur plusieurs fois par jour
Exposition d’un opérateur environ une fois par an
* Ces critères sont retenus conventionnellement. En fonction de l’évolution du contexte, ils peuvent être revus par le groupe de travail et faire l’objet de réajustements.
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Dossier du TP5
R = G x Ne x Fe
Classe de risque R
Classes de risque
Estimation du risque
R < 20 (R inférieur à 20)
Peu important
20 ” R < 50 (R compris entre 20 et 49)
Assez important
50 ” R < 100 (R compris entre 50 et 99)
Important
100 ” R < 500 (R compris entre 100 et 499)
Très important
R ” 500 (R supérieur ou égal à 500)
Majeur
Estimation du niveau de maîtrise du risque
Niveau de maîtrise
du risque
Définition des critères retenus*
A
Sécurité intrinsèque, suppression du danger, éloignement de la personne
(Risque bien maîtrisé)
B
La prévention inclut des mesures d’ordre collectif et individuel sur le plan technique,
organisationnel et humain.
(Risque globalement ou assez bien maîtrisé)
C
La prévention existe mais peut être complétée ou améliorée. Les personnes sont
protégées (port d’équipements de protection individuelle).
(Risque en partie maîtrisé)
D
Les mesures de prévention existent mais ne sont pas toujours efficaces ou mises
en œuvre.
(Risque peu maîtrisé)
E
Absence de prévention ou prévention inadaptée
(Risque non maîtrisé)
* Ces critères sont retenus conventionnellement. En fonction de l’évolution du contexte, ils peuvent être revus par le groupe de travail et faire l’objet de réajustements.
Estimation du niveau de maîtrise du risque
Niveau de
priorité
Définition des critères retenus*
Correspondance avec le
niveau de maîtrise du risque
N4
Le risque résiduel est peu important ; il peut être éliminé
par au moins une action préventive pouvant être déclenchée
très rapidement.
A
B
N3
Le risque résiduel est important ; une action doit permettre
de le réduire rapidement mais d’autres actions à moyen
terme doivent être envisagées pour le maîtriser.
C
N2
Le risque résiduel est très important et nécessite une action
corrective immédiate, voire l’arrêt de l’opération en cours.
Une réflexion sur d’autres actions préventives à moyen
ou long terme doit être engagée.
D
N1
Le risque est entier. Il peut mettre en péril la vie de l’opérateur.
Celui-ci doit être soustrait à la situation de risque et
ne pourra reprendre son activité qu’après la mise en œuvre
d’actions préventives.
E
* Ces critères sont retenus conventionnellement. En fonction de l’évolution du contexte, ils peuvent être revus par le groupe de travail et faire l’objet de réajustements.
Remarque
Les critères que nous vous proposons ici ne sont peut-être pas bien adaptés pour estimer les situations
à risque dans votre entreprise. Dans la pratique, vous pouvez en définir d’autres tels que, par exemple, le
nombre de personnes exposées, la durée d’exposition, etc. De même, les grilles de cotation ne sont qu’un
exemple que vous devrez adapter à votre contexte.
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Dossier du TP5
Annexes
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Dossier du TP5
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Dossier du TP5
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Dossier du TP5
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Dossier du TP5
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Dossier du TP5
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ANIMATEURS DE PRÉVENTION
La collection de l’INRS conçue dans le cadre d’un enseignement à distance,
pour les animateurs de prévention, comporte deux séries de travaux pratiques
correspondant aux deux niveaux du cycle de formation. Ces documents sont
exclusivement réservés aux apprenants inscrits au cycle d’étude « Acquérir
les bases de la mission prévention en entreprise » niveau 1 et niveau 2.
Dans la même collection :
Travaux pratiques, niveau 1 :
• TP n° 1. Soyons factuels
• TP n° 2. La chute de Christian
• TP n° 3. Histoire de taille
• TP n° 4. Situations dangereuses
ED 2441
ED 2442
ED 2443
ED 2444
Travaux pratiques, niveau 2 :
• TP n° 0. Parlons prévention
• TP n° 1. Paroles croisées
• TP n° 2. L’entreprise Plastilux (et dossier correspondant)
• TP n° 3. Retour sur accident
• TP n° 4. Tubes à la chaîne (et dossier correspondant)
• TP n° 5. Espaces verts (et dossier correspondant)
• TP n° 6. Synthèse
ED 2450
ED 2451
ED 2452 et ED 2453
ED 2454
ED 2455 et ED 2456
ED 2457
ED 2459
Ainsi que les brochures
ED 2409 à ED 2422
Institut national de recherche et de sécurité
pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles
30, rue Olivier-Noyer 75680 Paris cedex 14 Tél. 01 40 44 30 00
Fax 01 40 44 30 99 Internet : www.inrs.fr e-mail : [email protected]
•
•
•
Édition INRS ED 2458
1re édition
• décembre 2008 • 3 000 ex. • ISBN 978-2-7389-1737-9 • impression groupe Corlet S.A.

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