Juillet 2006

Transcription

Juillet 2006
AGATHE - Lettre d’information – n° 27
Juillet 2006
Additif au Bulletin N° 18
L'Amour de la Cité
Le Regard du Citoyen
CHERS ADHERENTS
Les Assemblées Générales
ordinaire et extraordinaire auront lieu
Annonce des Assemblées Générales ordinaire et extraordinaire
Cette annonce est faite pour valoir convocation des adhérents, conformément à
L’article 17 des statuts de l’Association
En guise d’éditorial
Nous n’avons pas l’habitude, ni de polémiquer, ni de revenir sur le passé. Nous
préférons, de loin consacrer notre temps de travail à l’écoute de nos interlocuteurs, à
l’étude des dossiers, puis, à leur traitement. Nous n’en avons pas l’habitude et de plus, nous ne l’aimons pas. Il arrive,
cependant, qu’il soit nécessaire de rompre avec les habitudes, lorsque le rayonnement de l’Association est attaqué par de
lâches calomnies.
Calomnies, parce que les propos tenus sont inexacts, et volontairement répandus pour nuire, lâches, parce qu’ils sont
distillés hors la présence des principaux responsables d’AGATHE ainsi placés dans l’impossibilité de répliquer. Que ces
détracteurs sachent que, pour réparer, nous les attendons au grand jour. A l’occasion de notre assemblée générale, par
exemple, en venant nous apporter la contradiction.
Pour faire patienter ceux qui prétendent que l’Association ne fait rien, ou qu’elle défend de mauvaises causes, contraires
aux intérêts agathois, nous allons leur montrer, au grand jour, tout au long de cette « Lettre d’Information »,
l’activité que déploient les bénévoles dans une Association apolitique,au service de nombreux agathois
les divers résultats dans lesquels nous prétendons avoir pris une part importante
mais aussi, que les doléances que nous prolongeons ou les critiques constructives dont nous prenons l’initiative,
se rapportent à une réalité palpable sur le terrain.
Ce sera la meilleure façon de répondre à nos détracteurs.
Mais, ne pensez-vous pas qu’il appartient, aussi, à tous ceux qui reconnaissent la nécessité de l’existence d’une
association comme la nôtre, notamment aux adhérents et aux sympathisants, de profiter de notre Assemblée Générale
pour venir nous encourager
Leur présence à cette manifestation annuelle n’est pas neutre. Elle est chargée de signification. Elle donne du poids
à notre représentativité.
Le Président
AGATHE - Lettre d'information - ISSN 1636 - 6190 . Directeur de la publication Jean RAVAILLE. Rédaction Membres du Bureau
.Association au Titre de la loi 1901
- Déclarée parution au Journal Officiel N° 23 du 27 01 1975
- Agréée par Arrêté Préfectoral N° 97 - 1 - 023 pour l'Urbanisme et l'Environnement selon le Code rural et le Code de l'urbanisme
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NOS REFLEXIONS SUR notre Couverture médicale
Ce problème est, à juste titre, dans l’actualité, depuis que la construction du « Centre de soins
polyvalents » est achevée et qu’il convient, maintenant, de savoir quels moyens lui seront
attribués pour fonctionner..
De ces moyens vont dépendre la nature et l’importance des soins assurés dans des conditions
acceptables.
La nature et l’importance de ces soins montreront s’ils correspondent à l’attente et surtout, aux
besoins de la population.
Ce ne sont pas des artifices comme l’appellation « d’Hôpital » ou de « Service des Urgences » qui
feront cette démonstration. En ce domaine, plus encore que dans tout autre, entrons dans la réalité
sans faux-semblant. La recherche et l’apport de solutions aux problèmes de SANTE ne tolèrent
pas l’usage de la langue de bois. Il faut appeler un chat un chat et Hôpital ou Service d’Urgence,
un véritable hôpital ou Service d’Urgence.
Si on peut comprendre, qu’à Agde ne soit pas établi un véritable centre hospitalier compte tenu de l’existence des établissements de ce type à
BEZIERS, SETE ou MONTPELLIER, pour l’admettre, il faut absolument que deux conditions soient remplies :
que soit établi, entre notre cité et l’un des centres hospitaliers cités ci-dessus, un système de transport médical ultra rapide.
qu’il soit permis à un service d’Urgence, digne de ce nom par son équipement, de fonctionner dans notre nouveau centre de soins
polyvalents, quand ne serait-ce que pour désengorger les autres, dans lesquels l’attente est, parfois, un peu longue.
Dans la presse ou sur Internet comme dans notre Lettre d’information (la n°22), nous avions déjà pointé le doigt sur les espoirs déçus lorsqu’il
était fait appel au n° 15 après minuit. Nous avions conclu en écrivant que « Nous pouvions penser que la création d’un nouvel « hôpital » à
AGDE pourrait apporter une solution.
Si le montant consenti à cet investissement, n’avait pour résultat que d’améliorer la présence médicale après minuit, la montagne de grand bla
bla bla aurait accouché d’une petite souris.
Les problèmes de couverture médicale s’étendent à AGDE, à d’autres secteurs. Au sens large du terme, celui de l’accueil en Maison de
Retraite en fait partie.
Comment la population ressent-elle la fermeture de la Maison de retraite Victor LACHAUD prévue pour la fin de l’année 2006 ?
C’est une maison d’accueil publique, donc à portée de familles modestes. Les personnes âgées actuellement présentes, sont désorientées par
l’idée de leur transfert sous d’autres cieux. On peut craindre qu’à la suite de la rupture engendrée, certaines d’entre elles ne vivent pas le temps
nécessaire pour rejoindre leur nouvel hébergement.. On doit, sans doute, compter la dessus, puisqu’il n’y a pas assez de places offertes ailleurs,
pour recevoir tous les présents à LACHAUD ce jour. La vétusté du décor, avec une volonté politique sans faille, pouvait être effacée en faisant
appel à des investissements appropriés. Issue d’un don fait à la Ville par Victor LACHAUD, en plein centre du bourg, cette maison de retraite,
partie intégrante de notre patrimoine dans tous les sens du terme, avait une valeur inestimable, matérielle et sentimentale. Pour les agathois des
troisième et quatrième âge, d’abord ; car ils savaient qu’ils étaient encore dans leur ville jusqu’à leur dernier jour, à proximité des visites de leurs
familles et de leurs amis. Valeur inestimable aussi pour ces derniers, auxquels on enlève les facilités connues jusqu’ici pour apporter aux
personnes âgées de l’établissement, encore un peu de chaleur humaine. Dans quel but les expulse-t-on ?
Veut-on faire place libre au secteur privé des maisons de retraite, comme sur la route du Cap ? Veut-on livrer les lieux à la spéculation
immobilière ? L’avenir nous le dira.
Pour notre part, nous n’avons pas de termes assez durs pour qualifier l’exécution d’une pareille décision. Il s’agit, en tout cas, d’un acte contraire
à l’humanisme.
Attention ! notre bonne couverture médicale s’effrite. Sachons agir, chacun à notre place, avec nos moyens et à notre manière, pour que
s’arrête cette lente dégradation
L’ACTIVITE dans les Secteurs Géographiques
Le CAP secteur n° 0
Quatre dossiers en cours concernent la station : Le BRUIT - l’URBANISME et l’ENVIRONNEMENT ainsi que l’ADRENALINE. Ce
trimestre, ces sujets ont été suivis dans les commissions spécialisées. Nous vous renvoyons à ces rubriques pour y puiser les informations.
La TAMARISSIERE secteur n° 4
Charmante petite station, gros problèmes.
- La défense contre les assauts de la mer Tout vient à point à qui sait attendre. Les travaux sont, enfin, exécutés. Dans l’aboutissement de
cette réalisation, AGATHE revendique une juste place. Les habitants et les usagers de cette plage savent le rôle actif que nous avons
joué. Suite au coup e mer de décembre 2002, depuis le moment où il nous a fallu convaincre de l’intérêt de protéger la dune, la pinède et les
habitations jusqu’au lancement des études. Nous avons su montrer notre détermination en créant une commission prête à engager un contentieux
avec le concours de notre avocat Me Lucien GRANDJEAN rencontré à MONTPELLIER.
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Puis, nous avons suivi, pas à pas, l’avancement du dossier finalement lié à celui des enrochements prévus pour la plage de Saint Vincent. La
rencontre du Maire, les réunions dans le quartier, les écrits de l’Association ont finalement porté leurs fruits.
- La pollution répétée du fleuve du côté de l’embouchure.
A plusieurs reprises, la présence d’une nappe fortement nauséabonde composée d’hydrocarbures lourds, est apparue à la surface du fleuve, entre
la criée et les phares. Depuis le mois de septembre, des courriers ont été adressés au Maire et à plusieurs autorités compétentes, sans résultat.
Depuis le début du mois d’avril, une pétition circule.
Dès que possible, nous nous proposons de rencontrer M. Guy MIRETTE prud’homme des gens de mer. Avant que les rapports entre le milieu
des pêcheurs et une partie de la population s’envenime, n’est-il pas, en effet, préférable de tenter de régler le problème à l’amiable. ?
- Autre pollution. A terre, cette fois, dans le tènement des VERDISSES.
La canalisation qui conduit les eaux usées de la commune de VIAS à la station d’épuration d’AGDE, après avoir traversé les Verdisses et le
fleuve, ne remplit plus correctement ses fonctions. Elle laisse échapper dans les Verdisses une partie de ce qu’elle ne peut plus amener jusqu’à
son terme. Au delà des mauvaises odeurs qu’on imagine, rien ne garantit qu’à la longue, la nappe d’eau, en sous sol, ne sera pas menacée.
Nos adhérents, dans ce secteur, ont effectué plusieurs interventions. M. le Maire, lors de la réunion plénière du Comité de Quartier du GRAU,
comme M. BENTAJOU dans son entretien mensuel avec les membres de notre Bureau au siège d’AGATHE, ont indiqué que la canalisation
mise en cause était hors d’usage et qu’il appartenait à la Commune de VIAS de la remplacer. Les formalités administratives préalables au
commencement des travaux auraient été engagées.
Au moment où nous mettons en page la présente Lettre d’Information, nous n’avons pas réussi à joindre le Maire de Vias pour vous donner de
plus récentes informations.. Nous le regrettons
- Dans les VERDISSES, encore, nous occupent deux dossiers :
celui de la cabanisation et
celui du respect de la vocation de cette zone naturelle pour elle-même et pour qu’elle favorise l’écoulement des inondations
sur ces deux points, nous vous renvoyons à ces rubriques
Le GRAU – SAINT-VINCENT secteur n° 5
Les sujets concernant le GRAU sont nombreux. Ils font l’objet d’une activité soutenue. Responsable d’AGATHE dans ce secteur, Roger SUAU
réunit périodiquement les membres du Comité de Quartier qu’il anime.
- Voici des extraits de sa dernière intervention et de la liste des questions posées récemment à M. le Maire.
Certes, nous donnons notre avis sur les grands projets que nous soumet la Municipalité, qu'il s'agisse de l'aménagement die la place des
Mûriers, de l'allongement de la Criée, ou de la mise en conformité des Pontons du Quai MERIC, etc...
Mais nous faisons remonter également vers la Municipalité les doléances que les résidents de notre quartier ont bien voulu nous transmettre et
des réponses qui nous ont été promises. C'est notamment le cas pour
1°) La fin de l'aménagement de l'Avenue de St. Vincent de la mer â Notre Dame, stoppé en 1995
Par lettre du 8 mars 2005, la Municipalité nous faisait ,savoir qu'une étude allait être lancée très prochainement afin de procéder (après
vérification auprès des services concernés ) à l'enfouissement des réseaux dont la réalisation .reste à programmer. La poursuite de la piste
cyclable du chemin de la Chevrette à la mer est également envisagée.
3°) La mise au gabarit du chemin de Baluffe, depuis l'intersection avec le chemin du sucre vers l'avenue du Littoral,
Le chemin des Dunes vient d'être terminé. C"est actuellement le tour du chemin de la Chevrette et de la Cossarde, ensuite on entreprendra ;la
mise en conformité du chemin de Baluffe La date n'est pas précisée.
De plus, dans l'Agathois n° 3020 du 20 avril 2006 on peut lire " L'épi collecteur situé à l'Ouest du brise lames de St. Vincent à également été
arisé, afin de rétablir le transit entre les deux plages, tout en protégeant l'émissaire
A première vue il semble que l'épi n'a pas été arasé: ? Peut-on °en connaître les raisons et êtes-vous déterminé à le faire ?
L'Enquête d’.Utilité Publique citée ci-dessus, concernait la réalisation de 4 brises lames. dont 3 au Grau et un à la Tamarissière,
Pouvez-vous nous dire s'il n'est plus question de la construction du deuxième, voire du troisième brise lames au Grau ?
Une façade littorale redessinée
Dans le numéro spécial du journal de la Ville il est dit. que « redessiner le front urbain du Grau d'Agde est aujourd'hui une nécessité »
Il apparaît essentiel de recréer une promenade de la digue jusqu'à St. Vincent. qui soit naturellement identifiée par les promeneurs et améliore la
qualité de l'environnement urbains Que faut-il comprendre ? Que devient le parcours piéton actuel sur le boulevard du front de mer ?
Pouvez-vous nous dire en quoi consiste le réaménagement du front de mer, dont le projet n'a pas encore été soumis à l'étude du comité de
quartier
4°) L'ouverture d'une voie entre la rue du Château d'eau et le quai Cdt MERIC
Les travaux n'ont pas été retenus au budget primitif .2006, arbitrage au budget 2007. L'expropriation nécessaire est faite.
5°) Les travaux nécessaires pour que la zone littorale du Grau ne soit pas submergée par fortes pluies,
Un réseau drainant est envisagé rue du Littoral. ainsi que la création d’un nouveau poste de relèvement,
6°) La création de pistes cyclables avenue du Littoral et route de Guiraudette
Il suffirait, pour que les piétons et les cyclistes circulent en toute sécurité de leur permettre d'emprunter la piste située entre les plots de bois et
les clôtures des propriétés. Pour cela, il faudrait débarrasser cette piste des objets encombrants ( cailloux, poteaux, branchages, ) et établir un
véritable chemin de roulement
Lors de la réunion du 5 mars 2004, il nous avait été promis , qu' une étude serait engagée fin 2004
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7°)Le revêtement de la piste cyclable des berges de, l'Hérault , liée au futur aménagement de la criée,
L'aménagement sera réalisé après reprise de l'agrandissement de la criée dont le projet est en fin d 'exécution.L 'E. U P. a eu lieu ail 2
mai au 2 juin
8°) La circulation pour les piétons et les cyclistes qui traversent le rond point de l'Ephèbe en allant vers Hyper U,
Problème examiné surplace avec M.Mrs FREY et BENTAJOU le 30 mai qui furent intéressés par le projet proposé par le Comité de quartier
Malheureusement depuis cette date le projet est au point mort
9°) La pollution constatée dans l'Hérault, due au dégazage du réservoir de certains bateaux,
D'après la Mairie, cette pollution n'est pas uniquement due au dégazage du réservoir de certains bateaux. La Criée a été contactée sans
obtenir de réponse précise. Une enquête est en cours, attendons sa conclusion.
10°) Les pontons du quai Cdt. MERIC
Les terrasses commerciales vont être mises en conformité avec la législation en vigueur et seront dotées de quais d'accostage. Cet
aménagement sera engagé des 2007 après élaboration d'un cahier des charges. Nous avons posé la question de savoir qui financera les
travaux ?
La concession n° 14 à St Vincent, AGATHE cautionne les habitants et témoigne en leur faveur.
La gestion des Services à caractère Industriel ou Commercial de la commune (cantines scolaires, eau, assainissement, port de plaisance,
campings,) peut s’effectuer
y - soit directement par les fonctionnaires municipaux, on dit alors qu’ils sont gérés « en régie »
y - soit par appel au secteur privé, particuliers ou entreprises, ils font alors l’objet d’une « Délégation de Service Public.
Avec des règles différentes, une partie du domaine public maritime ( les plages en particulier,) peut être louée à des personnes ou à des sociétés
du secteur privé. On parle alors de « concession » A l’expiration de la période pour laquelle elles ont été attribuées, elles doivent être remises
en concurrence.
Cette année, sur les plages de notre commune, entre leur extrémité Est et Ouest, 15 concessions ont été attribuées : 8 de 1200 m2 – 4 de 750
m2 – 3 de 300 m2
Le principe de l’attribution de ces concessions est soumis à la Commission des Services Publics, composée de représentants de la municipalité
en place, de l’opposition et d ‘associations dont la nôtre.
Notre Association estime que les plages doivent être, avant tout, réservées aux baigneurs. Lorsque le commerce s’y installe, des exemples venus
d’ailleurs, montrent les excès auxquels on aboutit. A AGDE, aussi, des débordements nous ont été signalés de la part de concessionnaires se
croyant permis d’interdire le passage entre leur installation et le bord de mer.
C’est pourquoi, dans la commission ci-dessus citée, le représentant de notre association a voté contre l’attribution des concessions de grande ou
petite buvette. Il a été le seul.
En tout état de cause, l’installation d’une concession ne saurait empêcher en aucune manière, l’usage de la plage par les autres.
C’est ce qu’a fait remarquer avec pugnacité, une intervenante lors de la dernière réunion du Comité de quartier du GRAU.à propos de la
concession n°14.
La concession n° 14 de 750 mètres carrés est une concession de petite buvette. Elle est installée sur la plage de Saint Vincent. Elle n’a pas été
placée, c’est le moins qu’on puisse dire, avec un minimum de précaution pour créer un minimum de gêne.
Pour se défendre, le Maire a tenté de faire apparaître l’intervention comme inspirée par des sentiments égoïstes. Or plusieurs personnes
importunées par cette installation, signent, en ce moment sur une pétition
AGATHE, aussi soutien les riverains de cette plage et tous ceux qui désirent continuer à y accéder sans contrainte. D’autant plus que nous
pouvons témoigner de la promesse faite le Maire de ne pas la placer en cet endroit.
Ce lieu était encore resté imprégné de l’authenticité des plages du passé, à l’opposé des autres plages de la commune, il avait gardé
son caractère d’autrefois : familial et convivial. Il y était possible d’accéder directement à la plage sans l’obstacle d’une route ou
d’un chemin. Si les choses devaient en rester là, un pas de plus aurait été franchi vers la standardisation de nos plages
contrairement à leur diversification annoncée pour chaque partie de l’archipel de vie.
Pouvons-nous espérer que M le Maire le comprenne et revienne, à la situation antérieure
Participez à la restitution de cette plage au public en signant la pétition auprès des riverains, ou au siège de notre
Association.
- Les défenses du phare Est se font la malle…
Par une lettre du 2 Mai 2002 au maire d’Agde et un article dans l’Agathois en Janvier 2003, nous avions attiré l’attention sur l’état de
dégradation de la jetée du Grau, su la digue elle même et à son extrémité, devant le phare. Des travaux ont été réalisés, notamment de peinture.
Il semblerait qu’elle n’ait pas suffi à consolider les liens entre les pierres A ce jour, en effet, si on va sur place, on peut se rendre compte qu’il
existe, à nouveau, de nombreuses cavités dans l’âme de la digue, que le quai de circulation en contrebas s’enfonce irrémédiablement, qu’au
niveau du phare les blocs de béton coulés sur place penchent dangereusement vers la mer, laissant entre eux des fissures de plus de 15cm . Il ne
faudrait pas que les fondations même de ce phare ne soient bientôt attaquées. Rappelons nous ce que disait un ancien pêcheur Agathois «en
l’absence de travaux sérieux et suffisants faute de travaux vous allez foutre en l’air la digue et le Phare ».
MALFATO – ROCHELONGUE secteur n° 6
De manière à ce que tous les secteurs concernés puissent trouver les informations concernant la cabanasisation, nous avons traité ce
sujet sous la rubrique du même nom.
Nous conseillons à nos adhérents de profiter de leurs vacances en AGDE pour ne pas hésiter à nous rencontrer.
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- La route de ROCHELONGUE
Nous avons, à nouveau, attiré l’attention sur les dangers que représente cette route pour joindre la ville à la mer
Cette voie de communication est très fréquentée puisqu’elle relie aussi une sortie de la voie rapide au Mail de Roche longue et à une partie du
CAP. A la suite de notre article publié dans l’AGATHOIS, il nous a semblé voir une certaine agitation de part et d’autre du macadam, avant
d’arriver au radar. Cette question a été également soulevée en comité de quartier du GRAU. La réponse donnée par le Maire, à savoir que les
conditions de transfert du département à la commune étaient insuffisantes ne saurait nous satisfaire. Lorsqu’en 2002, nous avions rencontré les
services du département installés en Agde, rue de la République, les propositions de cette collectivité ne nous paraissaient pas déraisonnables.
Une partie, au moins, des acquisitions de terrain pour l’élargissement a été réalisée. Combien de temps faut-il à une négociation de ce type pour
aboutir ? Faudra-t-il , qu’un accident grave vienne s’ajouter à notre requête ?
AGDE – VILLE secteur n° 7
Nous avons déjà eu l’occasion de montrer que certains sujets présentaient une dualité qui les faisait concerner à la fois un de nos secteurs
géographiques et un thème traité dans une commission spécialisée.
Ce trimestre, pour ce secteur, ce sera le cas pour
L’Ile St Laurent, avec l’aménagement des ses berges et la replantation de ce parc.
La Maison de retraite des Oliviers ou l’asile LACHAUD et bien entendu
l’hôpital dont il est question par ailleurs dans cette lettre
Par contre, d’autres sujets d’actualité intéressant peuvent être abordés ici.
Celui lié à l’aménagement de l’usine à sardine, si ce projet se fait que va devenir notre salle des fêtes,( un parking, un agrandissement du petit
super marché ?) à ce jour nous manquons d’information
Celui concernant la ZAC du Capiscol , dont le dossier à l’air en panne, particulièrement sur le sujet du rejet des eaux pluviales celui-ci pose
semble t il à juste raisons un problème important
Celui du stationnement en centre ville, ce dossier, sur lequel aucun projet, à notre connaissance, n’a été présenté aux habitants. à l’heure
actuelle
Nous apprenons dans l’agathois du 6 juillet 2006 qu’il va y avoir « Rencontres du Cœur de ville ; le centre Historique : un enjeu d’avenir », une
réunion est prévu à la quelle nous ne manquerons pas d’assister
Le MAIL de ROCHELONGUE secteur n° 8
La GAZETTE du MAIL
Nous aimons bien le style de Guy Louvet, responsable de ce secteur. Tour à tour sérieux, badin, sarcastique, il sait traduire dans ses
narrations, les vrais problèmes du quartier. Il dénonce les imperfections, mais il souligne aussitôt les corrections apportées.
C’est la vie d’un quartier qu’il nous peint dans une véritable gazette.
- Sur Le MAIL, proprement dit, comment la saison dernière s’est-elle passée depuis l’O.P.A. sur le Mail de Rochelongue ?
De nouveaux commerçants sont arrivés, des têtes nouvelles sont apparues, le California nous a couvert d’un bandeau jaune, l’Oasis, le
boulanger est arrivé de Paris, un marchand de chaussures, une boutique de vêtements qui vendent chinois, le karaoké qui a vendu son
fonds, les glaces continuent à se vendre avec les plaintes des copropriétaires, car le soir ils vous distillent les mêmes rengaines.
Trois commerces sortent des hauts parleurs dehors et toute la journée agressent avec de la musique techno. Et, pour couronner ce festival, le
PUB 7 de l’intérieur de son estaminet fait trembler tous les appartements de la rue E. DEJEAN en poussant la sonorisation au maximum. La
police peut intervenir, il s’en moque.
Le chinois n’a pas vendu, il a même fait l’objet, sur dénonciation, d’un contrôle renforcé de l’URSAAF. A part cela, tout va très bien madame la
marquise. Même que le Corail, dans sa grande nudité, affiche les compliments de la presse régionale sur la qualité de sa moule.Seuls, les
pratiquants de skate board ou de roller n’agressent plus nos oreilles, la police en est venue à bout. Et pourtant c’est un sport agréable à voir,
dommage qu’ils fassent trop de bruit en sautant. La Mairie devrait leur donner satisfaction en aménageant le stade qui leur a été attribué comme
ils le souhaitaient. Une loi concernant les nuisances sonores existe: le 17 juin 2002 un arrêté a été pris n° 2002.536 relatif à la réglementation
des bruits de voisinage. Pourquoi la police ne le fait-elle pas respecter ?
Tous les soirs des orchestres distillent 100Dba de bruit et l’on constate que ces nuisances font fuir la clientèle
Au SUNSET, cette année encore, une dizaine de copropriétaires ont vendu leur appartement.
Monsieur le Maire, vous êtes le responsable du maintien de l’ordre, de la sécurité et de la tranquillité publique, faites respecter vos arrêtés. Vos
pouvoirs et vos moyens sont importants : amende, saisie du matériel, suppression de la concession sur le domaine public, fermeture
administrative de l’établissement. Vous avez donné des satisfactions sur l’environnement.. continuez, à répondre à nos souhaits... un terrain de
boules, des bancs supplémentaires, l’éclairage sur tout le chemin des douaniers seraient les bienvenus. Merci
- Et sur Les PLAGES ?.
Nous avons été écoutés, l’entretien, les douches, les W.C. n’ont pas été interrompus le 1er septembre, leurs fonctionnements a continué tout le
mois. Seule la surveillance a été regroupée en un seul point sur la plage Richelieu.
Pour l’occupation de la plage par des concessions commerciales entre la Mairie et les plagistes, une nouvelle convention a été signée concernant
Le Mail. Dans la commission des Services Publics, le représentant de notre Association a voté contre l’installation des commerces de bouche sur
les plages.(voir dans la rubrique du GRAU, l’article intitulé « la concession n° 14 »
Et surtout, n’allez pas stationner devant l’une de ces officines installée sur le sable.. Un “ musclé “ viendra immédiatement vous “ vider “ sans
ménagement considérant que les 5 mètres qui séparent ses transats de la mer lui appartiennent.
Avez-vous vu le reportage télé, diffusé récemment c’est édifiant ?
Le pouvoir de l’argent gangrène le sable ! D’après un ancien plagiste cela rapporterait 150.000 euros depuis des années à la municipalité.
Que dire des déchets laissés par les touristes qui polluent nos plages, quelques poubelles supplémentaires ne pourraient-elles pas les recevoir ?
Quant aux motos et vélos qui, devant les entrées, bloquent le passage des handicapés en stationnant sur les chemins en bois sous l’œil
bienveillant d’une police qui dit ne pouvoir verbaliser, ni même déplacer une moto de quelques mètres. L’amende n’existe-t-elle que pour les
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voitures ?
Depuis cette année, une musique techno est diffusée très fortement depuis les emplacements où se déroulent les sports. Ne peut-on
pratiquer une activité sportive en silence. D’autant qu’une ordonnance municipale interdit l’utilisation des transistors. On ne comprend
pas cette incohérence ! Où est le respect d’autrui ?
Relevons aussi les chiens qui lâchés sur les plages par leurs propriétaires, le matin et la fin d’après midi. Où est l’hygiène ?
Faut-il espérer de nouvelles améliorations pour passer l’été 2006 au MAIL de ROCHELONGUE ?
L’ACTIVITE dans les COMMISSIONS
le BRUIT Commission I– ESPOIRS DĖÇUS
Notre Association, on le sait, demande
que soit fait l’inventaire de tous les types de bruits ; qu’il s’agisse de ceux qui sont émis par des établissements recevant du public,
qu’il s’agisse des Bruits de voisinage, des bruits mobiles, des animations ou des goélands
que soient répertoriés les textes en vigueur pour chacun d’entre eux
que soit recherché, dans cette liste, ceux qui sont adaptés à une efficacité certaine
et enfin, que ces textes soient appliqués aux cas patents connus ou signalés.
Or, nos interlocuteurs s’entêtent à vouloir limiter le débat au bruit des Etablissements recevant du Public et cette année, le débat a
encore été réduit, puisque ramené à l’examen de la situation sur le quai Jean MIQUEL
Quel bilan pouvons-nous tirer des discussions du premier trimestre ? Maigre !
En six mois, sans compter les années passées, nous n’avons même pas réussi à boucler la partie abordée. Une nouvelle fois, il faudra attendre la
fin de la saison pour voir si on a progressé ( d’un saut de puce ?)
Pour aider à l’avancement du dossier, nous avions demandé, dès le mois d’avril, la communication de documents. Nous les attendons encore.
Nous avions cru, un moment, pouvoir écrire que nous avions apprécié la qualité du travail accompli dans la réunion du 27 avril. La suite est
décevante. Même en acceptant, les limites qui nous sont imposées dans un soucis constructif, les résultats se font attendre. La municipalité
traîne, manifestement, les pieds, pour gagner, saison après saison , une fausse tranquillité.
Nous invitons cependant ceux qui subissent ce véritable fléau des temps modernes à nous contacter. Pour continuer notre action, nous
avons besoin d’être informés.
le P.P.R.I. les INONDATIONS Commissions II et III
AGATHE ne laisse pas tomber les 1200 familles touchées par les inondations de 1997
- Au sujet du PPRI : toujours pas de nouvelle sur l’issue du contentieux pendant devant le Tribunal Administratif de
MONTPELLIER.
- Au sujet de la défense contre les inondations. Tout autant qu’il restait
l’espoir d’une solution favorable à ce contentieux, vous aviez compris que nous ne
pouvions pas passer à un autre type d’action , au risque de donner la fausse impression
que nous n’avions pas confiance dans le moyen juridique utilisé.
Aujourd’hui, nous montrons clairement la voie dans laquelle nous nous sommes
maintenant engagés. Elle est simple : il s’agit de convaincre les forces politiques et
administratives de notre commune, département et région qu’il y a, sans doute, à AGDE
comme ailleurs, des travaux qui pourraient avoir pour conséquence de diminuer la hauteur
des plus hautes eaux en cas d’inondation Mais, comme nous ne sommes pas des
techniciens, la logique voudrait que des études permettent d’établir si nos propositions
sont réalisables.
C’est ce à quoi nous nous employons.
Après avoir obtenu l’engagement de M. VEZHINET de mettre à disposition un crédit affecté à cette étude, nous avons rencontré, à
MEZE, M. Yves PIETRASANTA Vice-Président du Conseil Régional, en présence de son Directeur de Cabinet M. GIORDANO. Le
jeudi 29 juin, une délégation de notre Association a pu apprécier la cordialité de
l’entretien, l’écoute attentive, et, finalement, le soutien financier promis que nous
sommes en train de concrétiser administrativement.
Il est vrai que André BORDERES et Luc LAPEYRE que nous connaissons
bien, nous ont grandement facilité la démarche en nous ouvrant la voie vers le
Vice-Président régional. Assistant à l’entrevue, ils ont témoigné de la
représentativité d’AGATHE et du sérieux avec lequel ses dossiers étaient
construits et défendus. Nous vous tiendrons informés des suites de ce contact que
nous considérons comme très positif.
Par ailleurs, le même dossier pris en main pour sa concrétisation par
M. François LIBERTI, notre Député, , s’avance. Le 13 juillet, à sa demande
et en sa présence, nous devons être reçus par M. Le Préfet de Région à
MONTPELLIER à suivre…..
La POLLUTION Commission IV
Au sujet de l’ELIMINATION des ORDURES MENAGERES.
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Après avoir échappé, au moins pour un certain temps, à la Torche à plasma, nous voici ,
maintenant , revenus sous la menace d’une Usine d’Incinération. Nous avons donc tourné nos
boucliers dans cette direction. Pour montrer au public que le recours à l’incinération n’était pas
une bonne solution, ni sur la plan financier, ni sur le plan de l’environnement, la Commission
spécialisée a demandé à M. Robert CLAVIJO animateur du Collectif de l’Elimination des
Déchets de l’Hérault, de venir développer les arguments en faveur de cette thèse.
La Commission a, ensuite, organisé une visite de la plate-forme de fabrication de compost à
ASPIRAN.
Parallèlement à l’information du public, nous avons, également, entrepris une action
pédagogique dans les écoles de la ville.
l’ADRENALINE Commission VI.
Au contentieux, tout continue. Si l’instance devant le Tribunal Administratif s’éternise, nous avons interjeté appel du référé perdu devant
le Tribunal de Grande Instance de BEZIERS. La cour d’appel de MONTPELLIER devrai se prononcer vers le mois de mars 2007.
Notre action, aussi . En ce moment même, nous sollicitons les conseils de Mme. Corinne LEPAGE dont tout le monde connaît la
compétence et le dévouement à la cause de l’Environnement. Affaire à suivre….
la SECURITE Commission VII
De statistiques en congratulations, on s’agite beaucoup. mais la réalité est tout autre. S’il en était besoin, les syndicats de Police, en ont
récemment témoigné dans la presse.
Même la mise en place du « Contrat Local de Sécurité dans la Communauté d’Agglomération, ne saurait la masquer. Installé en grande
pompe au début de l’année comme une mesure d’une grande efficacité, il ne faut pas oublier que ces contrats avaient été officiellement
instaurés par une circulaire interministérielle du 28 octobre 1997. C’est dire les effets rapides escomptés ! Il semblerait que notre lettre
au Ministre de l’Intérieur n’ait pas été étrangère à ce déblocage comme nous l’avons déjà écrit.
Nous projetons de traiter la situation découlant des incivilités et de l’insécurité, en commun avec une Association biterroise, comme nous
l’avions fait, pour le BRUIT avec une Association de MARSEILLAN-PLAGE
l’URBANISME, ENVIRONNEMENT et PATRIMOINE Commission VIII
¾ sur l’URBANISME
- On continue de saccager l’espace boisé de l’île des loisirs. La totale disparition de ce bosquet est-elle déjà programmée dans
l’indifférence générale ? Cela serait-il la conséquence de l’appétit des promoteurs, à l’affût de ces terrains en or ?
- Au sujet du non-respect du code de l’Urbanisme sur les permis de construire. Nous l’avons signalé dans une correspondance
adressée au Maire qui n’a pas l’air de s’en émouvoir.
¾ sur L’ENVIRONNEMENT.
Un platane a été abattu sur la place de la Marine. Nous avons adressé une lettre au Maire qui reste de bois. Pour le
remplacement,promis en septembre, les palmiers seront-ils à la hauteur ?
¾ sur le PATRIMOINE
La berge du château Laurens se reconstruit. Ne faudrait-il pas chercher toutes les causes de son effondrement ? Comme par exemple,
au moment des crues, l’incidence de l’échelle à poissons et du tas de pierres, au pied aval de la pansière qui n’a toujours pas été
enlevé depuis les travaux de restauration. Que disaient les documents contractuels ?
Le reboisement devrait être réalisé en tenant compte du fait que le parc est un site inscrit. Nous en reparlerons
FISCALITE et les FINANCES COMMUNALES Commission IXLa commission remarque que lorsque des travaux de la Commune, sont confiés à des entreprises privées, ils doivent, en principe,
respecter certains documents dont un cahier des charges, un devis, etc…
Il apparaît qu’un certain nombre de ces travaux, se dégradent peu de temps après leur réalisation Lorsque cela se justifie, la
responsabilité des entreprises est-elle mise en cause ?
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Çla CABANISATION Commission XISous ce titre, les tènements de MALFATO, GRAND QUIST, et les VERDISSES, ont connu un renouveau d’actualité. Un Préfet, M.
POMEL, chargé de mission , paraissait devoir secouer le Littoral et, sur celui-ci, le vaste problème de la CABANISATION. M.
POMEL est parti. Qu’adviendra-t-il de la tâche qu’il avait entreprise ?
Avec les éléments d’information recueillis auprès de nos adhérents, nous avons commencé à nous rendre sur place pour voir les
installations.
Nous restons à l’écoute de tous ceux qui voudront profiter des vacances d’été pour nous rencontrer.. Mais voici que surgit du sol un
nouveau sujet d’inquiétude pour ceux qui ne sont pas raccordés à un réseau de tout à l’égout ; Cette situation apparaît sous le nom
«d’ Assainissement non collectif »
Nos informations les plus détaillées nous proviennent d’un article paru dans le quotidien MIDI LIBRE du 22 juin.
Une de nos adhérentes nous a questionné sur la signification de l’article. Il est vrai qu’il serait souhaitable de connaître très
exactement, à quel service va correspondre la somme de 50.64 €. Nous allons nous y atteler.
Les brèves du Bureau, ce trimestre.
- nous avons organisé pour vous :
$ le samedi 17 juin , une réunion publique animée par M. Robert CLAVIJO sur le thème de l’élimination des déchets
$ le vendredi 30 juin, une visite de la fabrique de compost à ASPIRAN
- nous avons rencontré pour vous :
$ le jeudi 06 avril, les représentants de l’Association ADENA, M. Serge TEYSSEDRE son Président et M. Renaud DUPUY de la
GRANDRIVE à pour une réunion de réflexion et de travail
$ le Vendredi 28 avril au siège, M. Louis VALLIERE, Président de l’Association des VERDISSES, pour notre dossier inondation.
$ le jeudi 29 juin, à MEZE, M. Yves PIETRASANTA, Vice Président de la Région.
- nous avons représenté AGATHE :
$ le mardi, 9 mai, dans la Commission municipale des Services Publics qui devait donner son avis sur le principe de la
Délégation de Service Public (D.S.P.)
$ le jeudi, 11 mai, dans le Comité Consultatif sur la CABANISATION
$ le vendredi, 17 juin, dans la Commission municipale des Services Publics qui devait donner son avis sur les compte rendus
annuels de Gestion des services concédés du port municipal du CAP et des Services de l’Eau st de l’Assainissement.
- nous avons participé pour vous :
$ lundi 03 avril à un groupe de travail sur le BRUIT en présence de M. Sebastien FREY, premier Adjoint et de M. Louis BENTAJOU,
Conseiller Municipal
$ le mercredi 5 avril à la réunion du Conseil d’Administration du C.L.A.P.E. à MONTPELLIER
$ le samedi, 13 mai, à une grande journée d’information sur l’élimination des déchets tenue à FABREGUES, près de
MONTPELLIER
$ le jeudi 22 juin à la réunion du Conseil d’Administration du C.L.A.P.E. à MONTPELLIER
$ le jeudi 29 juin aux réunions organisées par l’A.D.E.N.A. de M. DUPUY de la GRANDRIVE pour Natura 2000 et le Défi
Marin
- nous avons assisté pour vous :
$ le jeudi 18 mai, à une réunion publique, organisée par la Mairie sur la CABANISATION.
- nous avons réuni pour vous :
$le mercredi 26 avril, le Conseil d’Administration d’AGATHE
-Pour communiquer nos actions et nos informations au public,
$ nous avons fait paraître 13 articles sur l’AGATHOIS ainsi que sur le magasine internet d’Hérault Tribune
Aux Membres du CA
Réunion du Conseil d’Administration le Jeudi 20 Juillet 2006 à 9H00 Précises
Au Siège Social , 2 rue de la Poissonnerie
AGATHE - Lettre d'information - ISSN 1636 - 6190 . Directeur de la publication Jean RAVAILLE. Rédaction Membres du Bureau
.Association au Titre de la loi 1901
- Déclarée parution au Journal Officiel N° 23 du 27 01 1975
Agréée par Arrêté Préfectoral N° 97 - 1 - 023 pour l'Urbanisme et l'Environnement selon le Code rural et le Code de
l'urbanisme
Adresse postale :B.P 909- Le Grau – 34304 AGDE Cedex – Permanence tous les samedis matin de 10h30 à 12heures à son
siège social 2 rue de la Poissonnerie, centre historique de la cité à AGDE Ville
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