1 LE CHAPITRE XVII L`ADVENTISME DU SEPTIÈME JOUR

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1 LE CHAPITRE XVII L`ADVENTISME DU SEPTIÈME JOUR
LE CHAPITRE XVII
L’ADVENTISME DU SEPTIÈME JOUR
(Prononcé dans la Salle Municipale, Riverside, Californie, janvier, 1930, à un auditoire
de Deux Mille Personnes, Rapporté Sténographiquement par Ruth McQueen.)
Par la providence de Dieu nous nous sommes rassemblés ce soir, pour reprendre
notre examen du système humain connu en tant que l’Adventisme du Septième Jour. Que
nous sommes légitimés en faisant ainsi tous ceux qui sont au fait des activités des
Adventistes du Septième Jour en Californie du sud vont être du même avis. Chaque
communauté est assaillie avec les cultes des temples et les gens sont en train d’être
harangués avec les accusations toutes faites, stéréotypées, comme un perroquet que “le
pape a changé le sabbat” et que “les gens qui respectent le dimanche” ont la “marque de
la bête.” Nous sommes ici pour répondre aux fausses assertions et d’exposer le faux
enseignement de ce système.
J’en ai quatre accusations accablantes contre l’Adventisme du Septième Jour.
Premièrement, l’origine de la doctrine du second avènement imminent du Messie du
Septième Jour est humaine – n’est pas divine; en deuxième lieu, cela est une hérésie
appuyé sur les visions d’une femme – pas sur l’enseignement de la Bible; troisièmement,
ces doctrines sont Judaïques – elles ne sont pas Chrétiennes; en quatrième lieu, ces textes
de preuve de la Bible sont faussés – pas basés sur l’acte de dispenser avec droiture la
Parole de Dieu.
1. L’ORIGINE DE L’ADVENTISME DU SEPTIÈME JOUR EST HUMAINE N’EST
PAS DIVINE
Au début du dix-neuvième siècle M. William Miller a fait un tableau de prophétie
et a déclaré que l’année 1843 serait l’an de retour du Seigneur. L’année 1843 est arrivée
mais Christ n’est pas venu. M. Miller a révisé ses chiffres et 1844 fut la date révisée. L’an
1844 est venu pourtant Christ ne s’est pas présenté, et M. Miller s’est retiré de l’étape de
décider d’avance des dates.
Mme Ellen G. White, une convertie de William Miller s’est remise à l’œuvre de
Miller, elle a essayé de réparer ses erreurs, a ajouté l’aspect du sabbat, et a nommé son
groupe “Les Adventistes du Septième Jour.”
M. Miller fut assez honnête d’admettre son échec et a cessé de le faire. Cependant
Mme White a dit que la main de Dieu fut dans l’échec. Dieu a de propos délibéré causé
M. Miller de faire une fausse prophétie. Écoutez-la : “Sa main a couvert la faute dans
l’estimation des périodes prophétiques. Ceux qui furent en train d’attendre leur Seigneur
ne se sont pas aperçus de cette erreur, et les hommes les plus savants qui se sont opposés
au temps ont également échoué de le voir. Dieu a destiné que son peuple devrait
rencontrer une déception.” (La page 99 des “Dons Spirituels” dans “Les Premiers Écrits
de Mme White.”)
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Donc Dieu Tout-Puissant a occasionné William Miller de faire une fausse
prophétie! En Deutéronome 18, 22 il nous dit que « quand un prophète parlera au nom du
Seigneur, si la chose ne suivra pas, ni n’arrivera pas, cela est la chose que le Seigneur n’a
point dite, mais le prophète l’a dite présomptueusement. » Cela est la preuve divine d’un
vrai prophète.
William Miller a fait une prophétie que Christ devrait arriver en 1843. Il a fait
cette prophétie au nom du Seigneur; cette prophétie n’a pas eu lieu. Mme White a eu une
vision qui a dit que Dieu l’a produit à dessein d’échouer. En revanche Dieu a révélé que
quand un prophète parle au nom du Seigneur, et la chose ne suivre pas, ni n’arrive pas,
que ce prophète n’est pas un prophète de Dieu. Pour cette raison, conformément à l’aveu
propre de Mme White, M. Miller ne fut pas un prophète de Dieu. Ni est Mme White une
prophétesse de Dieu par la même épreuve. L’Adventisme du Septième Jour a trouvé sa
source avec un faux prophète et fut révisé et remanié par une fausse prophétesse. Cela est
par conséquent humain – pas divin.
II. CELA EST UNE HÉRÉSIE FONDÉE SUR LES VISIONS D’UNE FEMME – PAS
SUR L’ENSEIGNEMENT DE LA BIBLE
Mme White a fait l’affirmation d’être une prophétesse inspirée. Les prédicateurs
Adventistes l’ont reconnu à titre d’une prophétesse inspirée.
J’ai un livre écrit par Mme White. Cela est appelé “La Grande Controverse.” La
maison d’édition des Adventistes du Septième Jour l’ont publié ce livre. Voici qu’est-ce
que les éditeurs ont dit d’elle dans l’avant-propos du livre : “Nous croyons qu’elle a eu
les pleins pouvoirs par une illumination divine pour parler de quelques événements
passés qui ont été portés à sa connaissance, avec une plus grande exactitude qui est
exposé dans n’importe quel récit existant, et de lire l’avenir avec plus que la prévoyance
humaine.” (La Préface des Éditeurs, la page (a) à “La Grande Controverse,” [les titres des
livres cités sont en anglais] par Mme E. G. White.)
Il y a la prétention que Mme White fut inspirée; qu’elle a reçu l’illumination
divine pour écrire ses livres; qu’elle pourrait écrire avec plus d’exactitude qu’un auteur
divin quelconque avant elle n’a jamais fait dans n’importe quel récit divin existant;
qu’elle avait “plus que la prévoyance humaine.” Cependant ce n’est pas la seule chose
exprimée dans cette “préface.” Ici sont les propres mots de Mme White pour ce qui
concerne son livre :
“Malgré le fait que Dieu a révélé sa volonté aux hommes par le canal de sa parole
n’a pas fourni inutile la présence continuelle et directrice du Saint-Esprit. Au contraire
l’Esprit a été promis par notre Sauveur d’expliquer la parole à ses serviteurs, d’illuminer
et appliquer ses enseignements.” (L’Avant-propos de l’Auteur, la page (d) à “La Grande
Controverse,” par Mme E.G. White.) Dieu a donné sa parole mais avait besoin
d’illuminer Mme White pour nous dire qu’est-ce que cela veut dire! Combien mieux est
cela que le prêtre Catholique pour interpréter l’Écriture sainte à ses laïcs? Cependant
apprenez plus sur le sujet :
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“Comme l’Esprit de Dieu avait ouvert à mon intelligence les grandes vérités de sa
parole, et les scènes du passé et de l’avenir, j’ai été enjointe de faire connaître à d’autres
qu’est-ce qui a été ainsi révélé.” (La Préface de l’auteur, la page (g), “La Grande
Controverse.”
Mme White, l’écrivain de “La Grande Controverse” et l’auteur de l’Adventisme
du Septième Jour, a reçu “l’illumination de l’Esprit Saint” pour écrire ses livres – voilà sa
propre prétention de l’inspiration. Cela est l’affirmation que ses écrits ne sont pas
seulement égaux, mais supérieurs aux écrits des apôtres du Christ, car elle a eu les
révélations récentes qu’ils n’ont pas eues. Et alors, peut-être, la main de Dieu aurait pu
dissimuler quelques-unes des “erreurs” des apôtres comme il a fait de William Miller. Et
comment font les partisans de Mme White ont su qu’elle, aussi, comme M. Miller, n’a
pas fait les mêmes fautes? Ses aveux détruits la certitude et la fiabilité de n’importe quoi
qu’elle aurait pu enseigner. Toutefois les prédicateurs Adventistes acceptent les écrits de
Mme White en tant qu’inspirés, même supérieurs au Nouveau Testament lui-même. Ceci
n’est pas une présentation déformée. Cela est vrai des Mormons et l’imposteur Joseph
Smith; c’est vrai des Scientistes Chrétiens et Mme Mary Baker Eddy; cela est vrai des
Adventistes et Mme Ellen G. White, mes Amis, allez-vous être si crédule que d’être de
cette façon ainsi entraînés loin de l’autorité du Nouveau Testament par les visions et les
rêves et les soi-disant révélations de ces fanatiques religieux déséquilibrés mentalement?
Cependant ces Adventistes ne sont pas tellement audacieux et courageux tandis
qu’ils entraînent les gens de croire qu’ils sont. Ils vont tirer bon parti leurs lancements de
défi répétés pour discuter seulement quand ils peuvent sélectionner leur antagoniste
(quelqu’un ils savent ils pourraient s’y prendre avec) et lorsque toutes les conditions sont
unilatérales dans leur intérêt.
Un certain D.M. Conright fut un maître dans l’art de la discussion Adventiste
pour vingt-huit ans. Il a abjuré l’Adventisme du Septième Jour et plus tard a entré un
ancien associé en débat à Healsburg, Californie, sur la proposition suivante : “Résolues
que les visions de Mme E.G. White sont les révélations de Dieu.” Maintenant, un
Adventiste du Septième Jour a soutenu cette proposition en débat. Exactement comme les
Mormons affirment que l’imposteur Joe Smith fut un prophète de Dieu. Les prophètes
modernes de Dieu ne semblent pas être du même avis sur desquelles des “révélations”
devraient être admises.
Cependant j’ai dans ma main un autre livre. Cela est la “Vie de Mme E.G. White”
par D.M. Canright. Il devrait connaître la sœur, puisqu’il a essayé de la défendre pour
vingt-huit ans. Par contre quand il a abjuré leur système trompeur il a écrit plusieurs
livres et pamphlets exposant chaque aspect de l’erreur de leur doctrine et organisation.
C’est qu’est-ce que j’appellerais “de connaître les dessous d’une affaire.” À la page 40,
M. Canright cite du traité de M. Erwin sur “La Marque de la Bête.” M. Erwin est un
expert Adventiste. Voici la déclaration :
Cela est du point de vue de la lumière qui est venu par l’Esprit de la Prophétie
(Les écrits de Mme White) que la question va être réfléchie, croyant comme nous faisons
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que l’Esprit de la Prophétie (les œuvres de Mme White) est l’unique l’interpréteur
infaillible des principes de la Bible.”
Ceci est M. Erwin, un homme qui pour un grand nombre d’années fut le président
du Colloque Général des Adventistes du Septième Jour, il l’a écrit avec sa propre plume –
que les écrits de Mme White sont les seuls interpréteurs infaillibles de la Bible. Tout de
même pas mal de personnes les estiment d’être les hommes intelligents. Aucun homme
habile ne peut être aussi faible.
Cependant dans son livre, “Les Premiers Écrits de Mme White,” elle “révèle” ses
nombreuses “visions.” Elle prétend qu’elle fut rattrapée dans le ciel, où elle a vu ces
visions. Voici un échantillon :
“Dans le lieu saint le plus saint j’ai vue une arche – dans l’arche fut le pot en or de
la manne, la verge d’Aaron qui avait fleuri, et les tables de pierre lesquelles se sont pliées
ensembles comme un livre. Jésus les a ouvert et j’ai vu les dix commandements écrits sur
elles avec le doigt de Dieu – le saint sabbat avait une allure glorieuse – un halo de gloire
fut tout autour de cela. J’ai vu que le sabbat ne fut pas cloué à la croix.” (Les Premiers
Écrits de Mme White, à la page 26.)
Maintenant, il y a quelque chose, mes amis, Mme White ne pouvait pas trouver la
doctrine du sabbat dans la Bible (.T.), donc elle prend une excursion au ciel pour l’avoir.
En lisant juste la Bible cela paraît tellement claire que le sabbat a été cloué à la croix,
qu’elle a fallu obtenir une vision pour la dire que Paul avait tort en Colossiens 2, 14-16,
et que ce ne fut pas cloué à la croix. Ses visions mêmes sont un aveu affirmatif que la
Bible n’enseigne pas l’Adventisme du Septième Jour, et est même un aveu que la Bible
enseigne contre cela. Ça prend “les révélations” en plus de la Bible pour prouver les
doctrines de ces gens-là, qui impressionneraient les personnes qu’ils croient la Bible – en
réalité ils ne la croient pas, et ce n’est pas même leur critère de l’autorité.
En revanche pour ce qui est de la vision de Mme White, laquelle elle dit elle fut
au ciel, et que Dieu l’a dit de revenir à la terre et révélée. Ce n’est pas insolite que Dieu
ne laisserait pas Paul révélé sa vision au peuple dans ce monde (2 Corinthiens 12, 1-4)
mais a commandé Mme White de raconter la sienne? Je me demande bien pourquoi que
cela est comme ça? Peut-être, Dieu, connaissant que Mme White fut une femme, savait
qu’elle dirait de toute façon! En tous cas, cela paraît même plus bizarre encore, que Mme
White serait permise par le même Dieu qui a guidé Paul de nier que Paul a dit au sujet du
sabbat, et également que de pareilles visions seraient “permises” d’exprimer. Paul a dit
qu’elles (les visions) ne furent pas « permises. » Mme White a dit que Dieu l’a
commandé de révéler. Paul a expliqué que le sabbat fut cloué à la croix, et Dieu a Mme
White de revenir et dire que cela ne fut pas le cas. Quelles révélations, mes amis!
Mesdames, Messieurs, l’Adventisme du Septième Jour est fondé sur les écrits qui
font l’autorité de cette femme (qui fut probablement frappée à la tête avec une brique peu
avant qu’elle a commencé d’avoir ces visions; je pense ce fut les “trente-six chandelles”
qu’elle a vu au lieu des visions, et elle n’a jamais réussi à se remettre) et non pas sur la
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Parole de Dieu. Elle est leur prophétesse, encore actuellement. Elle a déclaré que “l’esprit
de prophétie” est toujours dans l’Église, et ce fut elle – l’un et l’autre l’esprit et la
prophétie. Quoiqu’elle soit décédée, sa parole est la loi des Adventistes du Septième Jour
dans le monde entier aujourd’hui.
Écoutez Paul : « 12 Car je ne permets point à la femme d’enseigner, ni d’usurper
l’autorité sur l’homme; mais [elle doit] demeurer dans le silence. 13 Car Adam a été
formé le premier, puis Ève. 14 Et Adam n’a pas été trompé; mais la femme ayant été
séduite, est tombée dans la transgression. » (1 Timothée 2, 12-14). Ce fut la volonté de
Dieu que les femmes ne devraient pas tenir les places de pouvoir ni d’exercer l’autorité
dans la religion. Dieu savait pourquoi – et la déclaration remonte au début, et rend cela
fondamental, et pour cette raison n’est pas une simple chose temporaire ou locale que les
apôtres ont fait allusion à. La femme a une sphère, mais n’est point telle que Mme White,
ni n’importe quelles femmes prédicateurs et enseignantes d’aujourd’hui, ont revendiqué à
tort à elles-mêmes. L’Église de Jésus-Christ va toujours être dans une meilleure posture si
les femmes vont être satisfaites avec la sphère divine que la divinité leur a donnée et
arrêtez d’usurper l’autorité religieuse, ou n’importe quel pouvoir sur l’homme – « car
Adam a été formé le premier, Ève ensuite. »
Dieu a donné à la femme une sphère différente. Les apôtres furent tous les
hommes; les évangélistes du Nouveau Testament furent tous les hommes. Il n’y a pas eu
une femme évangéliste dans le Nouveau Testament. Dieu a ordonné que sa révélation
devrait être donnée au monde par le truchement des hommes; il (Dieu) a inspiré douze
hommes, les a fait des apôtres, les mis dans l’Église, et par eux ont transmis à nous la
connaissance de sa volonté. Cependant Mme E.G. White est le pape féminin humain de
l’Église des Adventistes du Septième Jour. Ses écrits sont l’autorité absolue de cette secte.
Un système quelconque dans la religion qui est basé sur l’autorité d’une femme
est disqualifié essentiellement sur le premier compte – « car Adam a été formé le premier,
ensuite Ève, » et « je ne permets pas une femme d’enseigner; ni d’usurper de l’autorité
sur l’homme. »
J’accuse que l’Adventisme du Septième Jour est fondé sur les visions d’une
femme et non pas sur les enseignements de la Bible – je l’ai prouvé.
III. SES DOCTRINES SONT JUDAÏQUES PAS CHRÉTIENNES
J’attire votre attention à Galates 4, 22-5, 1 : « 22 Car il est écrit qu’Abraham a eu
deux fils, l’un de la servante, et l’autre de la femme libre. 23 Mais celui qui était de la
servante naquit selon la chair, et celui de la femme libre était par la promesse. 24
Lesquelles choses sont une allégorie : car ce sont les deux alliances, l’une du mont Sinaï,
qui engendre la servitude, qui est Agar. 25 Car cette Agar est le mont Sinaï, en Arabie, et
correspond à la Jérusalem d’à présent, et est dans la servitude avec ses enfants. 26 Mais la
Jérusalem qui est en haut est libre, laquelle est la mère de nous tous. 27 Car il est écrit :
Réjouis-toi, toi [la] stérile qui n’enfantes pas; éclate [de joie] et écris-toi, toi qui n’étais
pas en travail : car la délaissée a beaucoup plus d’enfants que celle qui a un mari. 28 Or
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nous, frères, comme Isaac [l’]était, sommes les enfants de la promesse. 29 Mais comme
alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l’Esprit, et il en
est de même maintenant. 30 Néanmoins que dit l’écriture? Chasse la servante et son fils,
car le fils de la servante ne sera pas héritier avec le fils de la femme libre. 31 Ainsi donc,
frères, nous ne sommes pas les enfants de la servante, mais de la [femme] libre. 5, 1
Tenez-vous donc fermes dans la liberté avec laquelle Christ nous a rendus libre, et ne
soyez pas de nouveau empêtrés sous le joug de la servitude. »
D’abord : Leur attitude envers la loi est Judaïque.
(1) Il y a deux femmes – Agar et Sara. Agar la servante d’Abraham fut l’esclave;
Sara l’épouse d’Abraham, fut la femme libre. (2) Il y a eu deux fils; Ismaël, le fils
d’Abraham par Agar, (Genèse 16, 15) la femme d’esclave; Isaac, le fils d’Abraham par
Sara, son épouse, la femme libre. (3) Il y a deux endroits; Sinaï en Arabie et Jérusalem,
en Judée. (4) Il y a deux alliances : l’ancienne alliance apportée à Sinaï dans le désert, et
la nouvelle alliance, promulguée de Jérusalem le jour de la Pentecôte.
Il n’y peut avoir aucune méprise à propos de la signification de cette allégorie.
« 24 Car ce sont les deux alliances; l’une du mont Sinaï, qui enfante la servitude, qui est
Agar. 25 Car cette Agar est le mont Sinaï, en Arabie, et correspond à la Jérusalem de
maintenant, et est dans la servitude avec ses enfants. » (Galates 4, 24-25)
Alors, dans cette allégorie, Agar, l’esclave est l’ancienne alliance. Sara la femme
libre est la nouvelle alliance. Ismaël, le fils d’Agar, représente les enfants de l’ancienne
alliance – ceux qui ont observé l’ancienne alliance. Isaac, le fils de Sara, représente les
enfants de la nouvelle alliance – ceux qui respectent la nouvelle alliance. Quelle
disposition devrait nous faire des deux femmes et de leurs fils? Paul dit, « 30 Chasse la
femme esclave et son fils : car le fils de la femme esclave n’héritera pas avec le fils de la
femme libre. » Qui est le fils d’Agar? L’un d’eux avait été en train de donner un cours ici
sur cette tribune pour à peu près six semaines. Je suis en train de faire qu’est-ce que Paul
a expliqué, « chasse-le, » avec ses doctrines Judaïques. Le fait est, mes amis, ces gens qui
respectent l’ancienne alliance vivent toujours sous le Judaïsme. Ils ne sont pas venus dans
la liberté de Jésus-Christ et le Nouveau Testament.
Nous ne sommes pas justifiés par la loi (l’A.T.). « Christ est devenu sans effet
pour vous, qui que ce soit de vous qui est justifié par la loi; vous êtes déchus de la
grâce. » (Galates 5, 4).
Nous sommes morts à la loi (l’A.T.). « Voilà pourquoi, vous aussi, mes frères,
vous devenez morts à la loi par le corps de Christ, pour être mariés à un autre, savoir, à
celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions du fruit pour Dieu. » (Romains 7,
4).
Nous sommes délivrés de la loi (l’A.T.). « 6 Mais maintenant nous sommes
délivrés de la loi, qui étant morte [et] en quoi nous étions retenus; afin que nous servons
en nouveauté d’esprit, et non selon la lettre qui a périmé. 7 Que dirons-nous donc? La loi
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est-elle péchée? À Dieu ne plaise. Non, je n’ai pas connu le péché, sinon par la loi : car je
n’aurai pas connu la convoitise, si la loi n’eût dit : Tu ne convoiteras point. » Cela l’a
identifié indubitablement comme les dix commandements. Et qu’est-ce que Paul dit
concernant cette loi? Écoutez-le : « 6 Mais maintenant nous sommes délivrés de la loi,
qui étant morte [et] dans laquelle nous étions retenus, en sorte que nous servions en
nouveauté d’esprit, et non selon la lettre surannée. » (Romains 7, 6-7) En ce cas de quelle
loi sommes-nous délivrés? La loi dit, « Tu ne convoiteras point » ‒ le Décalogue [faisant
référence à l’Ancien Testament, le renvoi est d’Exode 20,17].
Cette loi – les dix commandements – a été supprimée en Christ. Paul nous dit
virtuellement sans y aller par quatre chemins que les dix commandements furent ôtés.
Écoutez-le en 2 Corinthiens 3, 6-8 : « 6 Qui aussi a fait de nous des ministres capables du
nouveau testament (ou alliance); non de la lettre, mais de l’esprit; car la lettre tue, mais
l’esprit vivifie. 7 Or si le ministère de mort, écrit et gravé sur des pierres, a été glorieux,
si bien que les enfants d’Israël ne pouvaient fixer le regarde sur le visage de Moïse, à
cause de la gloire de son aspect; laquelle gloire devait prendre fin. 8 Comment le
ministère de l’esprit ne sera-t-il pas plus glorieux? » Écoutez les versets 11-12 : « 11 Car
si ce qui devait être supprimé a été glorieux, ce qui demeure est beaucoup plus glorieux.
12 Ayant donc que nous avons une telle espérance, nous utilisons une grande hardiesse
de parler. » Maintenant lisez les prochains versets – les versets 13-14 : « 13 Et non
comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, afin que les enfants d’Israël ne
regardent pas fixement à la fin de ce qui devait être aboli. 14 Mais leurs pensées, ont été
aveuglées (endurcies); car jusqu’à ce jour le même voile demeure sans être retiré lors de
la lecture de l’ancien testament; lequel voile n’est ôté [qu’]en Christ. »
Paul identifie d’une manière précise la chose que fut supprimée en Christ et
abrogée. Ce fut la loi remise aux enfants d’Israël quand ils ne pouvaient plus voir le
visage de Moïse pour la gloire de sa contenance (Exode 34, 33). Ce fut cette alliance qui
fut écrite et gravée sur les tables de pierre – les dix commandements. Ce fut à Sinaï que le
visage de Moïse resplendissait tellement ils ne pouvaient plus le regarder. Ce fut là que
les dix commandements ont été « écrits et gravés » sur les pierres. Cela est cette alliance
que Paul révèle fut « abolie en Christ. »
Cependant les Adventistes du Septième Jour disent que ceci fait mention des
pierres posées par Josué lorsque le peuple a traversé le Jourdain, et non aux dix
commandements. Le récit de cela est en Deutéronome 27, 2-3 : « 2 Et il arrivera qu’au
jour où vous passerez le Jourdain [et entrerez] dans le pays que le Seigneur votre Dieu
vous donnera, vous vous dresserez de grandes pierres, et vous les plâtras de plâtre. 3 Puis
vous écrirez sur elles tous les mots de cette loi, quand vous aurez passé, afin que vous
puissiez entrer dans le pays que le Seigneur votre Dieu vous donnera, un pays où coulent
le lait et le miel; comme le Seigneur, le Dieu de vous pères, vous l’a promis. »
Maintenant ils soutiennent que « le ministère de mort, celui de la lettre, écrit et gravé sur
des pierres » (2 Corinthiens 3, 7) furent ces pierres dressées au Jourdain, et pas les dix
commandements du tout.
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Par contre Paul nous dit qu’elles furent les tables de pierres remisent lorsque le
visage de Moïse a rayonné (Exode 34, 29-30) tellement que le peuple ne pouvait plus
regarder son visage. Moïse ne fut pas là quand Israël a traversé le Jourdain et Josué a
érigé les pierres plâtrées. Moïse fut décédé lorsqu’Israël a traversé le Jourdain. Les tables
de pierre apportées à Sinaï quand le visage de Moïse a resplendi – cela identifie les dix
commandements en tant que la loi qui a été « supprimée en Christ. » Cela règle
l’argument.
Cependant on vous énonce gravement qui si les dix commandements sont
supprimés les hommes peuvent voler et commettent des assassinats, et faire toutes les
choses que les dix commandements interdisent. Il ne s’ensuit pas.
La Californie fut jadis sous la Constitution Mexicaine. Le meurtre est défendu par
une loi dans la Constitution Mexicaine. Pourtant la Californie est devenue mort à la
Constitution Mexicaine, retirée de cela, et n’est plus sous la Constitution mexicaine. Suitil, par conséquent, que le peuple de la Californie peut avec impunité commettre des
meurtres parce qu’il n’est plus sous la Constitution Mexicaine? Certainement pas.
Pourquoi? Parce que leur fidélité à une autre Constitution l’interdit.
Quand les colonies Américaines ont déclaré leur indépendance de l’Angleterre
elles furent retirées de la loi de l’Angleterre. Il y avait beaucoup d’excellents principes
dans cette vieille loi Britannique, néanmoins quand nos aïeux furent délivrés du servage
de l’Angleterre, ils ont été libres de toute la loi Anglaise. S’ensuit-il que le peuple des
États-Unis peut faire toutes les choses que la loi Britannique a défendues? Non. Nous
avons une autre loi qui empêche et interdit un certain comportement de la part de nos
citoyens. En qualité de citoyens nous sommes libres de faire quoi qu’il en soit qui soit
autorisé et rien que cela défends. Si cette loi me dit que je ne commettrai pas de meurtre,
alors je ne commettrai pas d’assassinat; non parce que la loi Britannique a une loi contre
le meurtre, mais parce que la loi que je suis sous le contrôle défends le meurtre.
Le Décalogue représente la vieille Constitution – la totalité de la loi de Moïse.
Lorsque la loi a été abrogée le vieux système fut aboli, les dix commandements et tout.
Jésus-Christ nous a donné une Nouvelle Alliance. Ce n’est pas une question de qu’est-ce
qui a été dans l’ancienne mais qu’est-ce qui est dans la nouvelle.
Les Adventistes font une distinction entre « la loi de Moïse » et « la loi de Dieu. »
Avec eux les dix commandements sont « la loi de Dieu » et la « loi cérémoniale » est la
loi de Moïse.
Ils sont d’accord que la loi de Moïse fut supprimée en revanche les dix
commandements, ils disent, ne sont pas la loi de Moïse – les dix commandements, sont la
loi de Dieu. Laissez-nous lire qu’est-ce que le Récit Divin révèle sur ce point.
J’aborde une série de passages montrant qu’est-ce que Dieu a donné, et qu’est-ce
que Moïse a donné. Qu’est-ce qui est dans la loi de Dieu d’une part et qu’est-ce qui est
dans la loi de Moïse d’autre part.
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Le premier renvoi est Esdras 7, 6 : « Cet Esdras monta de Babylone, et il était un
scribe versé dans la loi de Moïse, laquelle le Seigneur Dieu d’Israël avait donnée. » Là
nous trouvons que Dieu a donné « la loi de Moïse. » Alors qu’est-ce que Moïse a donné?
2 Chroniques 34, 14 : « Et lorsqu’ils sortirent l’argent qui avait été apporté à la maison de
l’Éternel, Hilkija, le sacrificateur, trouva le livre de la loi de l’Éternel, donnée par
Moïse. » Ici nous trouvons que Moïse a donné « la loi de Dieu. » Cela démontre que la
loi de Dieu et la loi de Moïse sont une seule et l’identique chose, ainsi la distinction faite
par les prédicateurs des Adventistes du Septième Jour que les dix commandements sont
« la loi de Dieu » et que l’autre partie de l’Ancien Testament est la « loi de Moïse, » est
montré d’être une “distinction sans une différence.”
Laissez-nous voir qu’est-ce qui fut dans la loi de Dieu et qu’est-ce qui fut dans la
loi de Moïse. Lisez avec moi 2 Chroniques 31, 3 : « Il établit aussi la portion du roi prise
sur ses biens pour les holocaustes, c’est-à-dire pour les holocaustes du matin et du soir,
et pour les holocaustes des sabbats, et pour [celles] des nouvelles lunes et des fêtes
établies, comme il est écrit dans la loi du Seigneur. » Il n’y a rien dans les dix
commandements à propos des holocaustes. Les Adventistes nous disent que les dix
commandements constituent la loi de Dieu. Rien d’autre n’est la loi de Dieu. Ils nous
informent que la « loi de Moïse » est la loi cérémoniale, renfermant toutes ces
ordonnances de fêtes et les nouvelles lunes, Par contre ce verset nous révèle que ces
choses furent dans la loi du Seigneur.
Qu’est-ce, en ce cas, est la loi de Moïse? Lisez Marc 7, 10 : « Car Moïse a dit :
Honore ton père et ta mère. » Cela est un des dix commandements, mais Marc explique
que Moïse a dit, « Honore ton père et ta mère. » Pour cette raison, les dix
commandements sont la loi de Moïse.
Je suis en train de vous montrer qu’il n’y a aucune distinction scripturale entre la
loi de Moïse et la loi de Dieu. La loi que Dieu a donné par Moïse est appelée la loi de
Moïse et la loi de Dieu alternativement.
Deux autres versets, Luc 2, 22.23, lisez avec moi : « 22 Et quand les jours de sa
[de Marie] purification, selon la loi de Moïse, furent accomplis, ils le portèrent à
Jérusalem, pour le présenter au Seigneur. 23 (Comme il est écrit dans la loi du Seigneur :
Tout mâle qui ouvre l’utérus sera appelé saint pour le Seigneur.) » Rien dans les dix
commandements comme cela; pourtant cela est « écrit dans la loi du Seigneur. » Donc la
« loi de Moïse » est ici nommée « la loi du Seigneur. » Derechef, le verset 24 : « Et pour
offrir un sacrifice selon ce qui est dit dans la loi du Seigneur : Une paire de tourterelles,
ou deux pigeonneaux. » Rien dans les dix commandements au sujet des tourterelles et les
pigeons, malgré tout cela « est dit dans la loi du Seigneur. » Par conséquent la loi de
Moïse est également la loi du Seigneur. De nouveau, le verset 27 : « Il vint au temple par
l’Esprit, et quand les parents apportèrent l’enfant Jésus, pour faire à son égard selon la
coutume de la loi. » Ici c’est appelé la loi. Maintenant, le verset 39 : « Et après qu’ils
eurent accompli toutes ces choses selon la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, à
Nazareth, à leur [propre] ville. » Dans cette lecture, mes amis, nous avons « la loi » ‒ « la
9
loi de Moïse » ‒ « la loi du Seigneur » ‒ toutes ces références faisant mention à la pareille
chose.
Maintenant tournez avec moi à Matthieu 22, 35-40 : « 35 Et l’un d’eux, qui était
un docteur de la loi; l’interrogea, l’éprouvant, et disant : 36 Maître, quel est le grand
commandement dans la loi? 37 Jésus lui dit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton
cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. 38 Celui-ci est le premier et le grand
commandement. 39 Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toimême. 40 De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. » Les
deux commandements que Jésus a mentionné ici ne sont pas dans les dix
commandements du tout. Cependant Jésus a dit ils sont les plus grands dans « la loi. »
Maintenant s’il y a une distinction à faire entre « la loi du Seigneur » ou « la loi de
Dieu, » et « la loi de Moïse, » comme les Adventistes affirment, en ce cas Jésus a nommé
deux commandements trouvés dans la loi de Moïse lesquels sont plus grands que la loi de
Dieu. Et vu que les Adventistes admettent que « la loi de Moïse » a été retirée, par leur
propre doctrine les plus grands commandements dans la loi ont été enlevés et le(s)
moindre(s) reste(nt).
Seulement Jésus a dit, « Sur ces deux commandements dépendent toute la loi et
les prophètes. » Les prédicateurs des Adventistes du Septième Jour ont la chose sur
laquelle la loi dépend ôtée, et laissent la loi dépend sur rien!
Les prédicateurs Adventistes se trompent lorsqu’ils vous disent que les dix
commandements sont « la loi de Dieu » et le reste de l’Ancien Testament est « la loi de
Moïse. » La loi de Moïse et la loi de Dieu parlent du même système, et sont utilisées
alternativement.
Ce fut cette première alliance – l’alliance toute entière – qui fut enlevée. « 6 Mais
maintenant il [Christ] a obtenu un ministère d’autant plus excellent, qu’il est le médiateur
d’une meilleure alliance, qui a été établie sur de meilleures promesses. 7 Car si la
première alliance avait été sans défaut, il n’y aurait pas eu lieu d’en chercher une seconde.
8 Car en trouvant des défauts, Il dit : Voici, les jours viennent dit le Seigneur, que je
conclurai une alliance nouvelle avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda. 9 Non
selon l’alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je les pris par la main pour les
accompagner hors du pays d’Égypte; parce qu’ils n’ont pas persévéré dans mon alliance,
et moi, et je les ai délaissés, dit le Seigneur. 10 Car voici l’alliance que je traiterai avec la
maison d’Israël après ces jours-là, dit le Seigneur. Je mettrai mes lois dans leur
intelligence (compréhension, pensée, dianoia), et je les écrirai dans leur cœur. Je leur
serai un Dieu, et ils me seront un peuple. 11 Et ils n’enseigneront point chacun son voisin
et chacun son frère, disant : Connais le Seigneur; car ils me connaîtront tous, depuis le
plus petit jusqu’au plus grand. 12 Car je serai miséricordieux (propice, favorable) à
l’égard de leurs injustices (péchés, mal, actions mauvaises, adikia), et je ne me
souviendrai plus de leurs péchés (hamartia), ni de leurs iniquités (iniquité, injustice;
impiété, anomia). 13 Puisqu’il dit : Une nouvelle alliance, il a rendu ancienne la première.
Or ce qui devient ancien et qui vieillit, est près de disparaître. » (Hébreux 8, 6-13). Ceci
est une citation de Jérémie 31, 31. Le prophète a prédit que Dieu ferait une nouvelle
10
alliance non pas comme l’alliance qu’il a fait avec les enfants d’Israël quand il leur a fait
sortir d’Égypte.
Les prédicateurs des Adventistes du Septième Jour disent que cette alliance fut
« la loi de Moïse » et non pas les dix commandements. Laissez-nous lire la Bible, 1 Rois
8, 9 : « Il n’y avait rien dans l’arche, sauf les deux tables de pierre que Moïse y plaça à
Horeb, quand le Seigneur fit une alliance avec les enfants d’Israël lorsqu’ils sortirent du
pays d’Égypte. » Maintenant, le verset 21 : « Et j’y ai établi un lieu pour l’arche, dans
laquelle est l’alliance du Seigneur, laquelle il fit avec nos pères quand il les fit sortir du
pays d’Égypte. »
1. L’alliance que Dieu a faite avec Israël quand Il leur a fait sortir d’Égypte fut
dans l’arche.
2. Seulement il n’y avait rien dans l’arche à l’exception des dix commandements.
3. Pour cette raison, les dix commandements sont l’alliance que Dieu a faite avec
les enfants d’Israël quand il leur a fait sortir de l’Égypte.
Or, qu’est-ce qui s’est passé à cette alliance? « 7 Car si la première alliance avait
été sans défaut, il n’y aurait pas eu lieu d’en chercher une seconde. 8 Car en trouvant des
défauts, Il dit : Voici, les jours viennent dit le Seigneur, que je conclurai une alliance
nouvelle avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda. 9 Non selon l’alliance que je
fis avec leurs pères, au jour où je les pris par la main pour les accompagner hors du pays
d’Égypte; parce qu’ils n’ont pas persévéré dans mon alliance, et moi, et je les ai délaissés,
dit le Seigneur. » L’alliance qui fut abrogée est l’alliance que Dieu avait fait avec Israël
quand il leur a fait sortir de l’Égypte (1 Rois 8, 9.21). Cela s’ensuit indiscutablement que
les dix commandements sont l’alliance qui fut supprimés(ée).
Je stigmate l’Adventisme du Septième Jour, donc, en étant Judaïque dans son
attitude envers la loi et l’évangile. Ils se légitiment par la loi (de l’A.T.) et sont, par
conséquent, séparés du Christ, et ils viennent de cette façon sous la condamnation des
Galates qui seraient « 4 justifiés par la loi, » et ainsi furent « 4 déchus de la grâce. »
(Galates 5, 4)
En deuxième lieu : Leur attitude envers l’acte de manger des viandes est Judaïque.
Afin de vous montrer qu’est-ce qu’ils enseignent sur la question des viandes, je
vais citer de Mme White, leur prophétesse :
“Vous avez fait usage de la graisse des animaux, que Dieu dans sa parole a
expressément interdit.” (“Les Témoignages À L’Église,” [“Testimonies To The Church,”]
le Volume 2, à la page 61.) “Le fromage ne devrait jamais être introduit dans l’estomac.”
(À la page 68.) “Cela est tout aussi autant le péché de violer les lois de notre être que de
désobéir un des Dix Commandements.” (À la page 70). “L’utilisation de la chair du
pourceau est à l’encontre de ses commandements explicites.” (À la page 96.)
11
Mme White a dit que cela est aussi grave un péché de violer les lois qui règlent
notre régime alimentaire que cela est de désobéir à un des dix commandements. Elle a
énoncé que de manger de la chair d’un pourceau ou porc est contraire à ses
commandements formels. Par conséquent, Mme White enseigne, mot par mot, que de
manger un morceau de bacon est aussi coupable aux yeux de Dieu que l’acte d’adultère.
Cela est le Judaïsme qui monte en graine!
Romains 14 devrait en finir avec la question. Débutez par le verset 1 : « Quand à
celui qui est faible dans la foi, recevez-le, mais [pas en vue] de discussions douteuses
(dialogismos, littéralement : pas dans les discussions ou les doutes; pas pour les décisions.
Dénote un raisonnement, une opinion en son for intérieur). 2 Car l’un croit qu’il peut
manger de toutes choses; un autre qui est faible, mange des herbes (lachanon, plante
potagère, légume). 3 Que celui qui mange de toutes choses, ne méprise pas celui qui n’en
mange point; et que celui qui n’en mange point, ne juge point celui qui en mange : car
Dieu l’a reçu. » Certains Chrétiens du temps de Paul venaient juste de sortir du Judaïsme.
Ils furent « 1 faibles dans la foi » pour ce qui est de « manger des viandes » défendues
dans la loi de Moïse. Un croit qu’il puisse manger toutes choses mais un autre, qui est
faible, mange les herbes – le végétarien. Paul explique que celui qui « ne mange point »
(les viandes) ne devrait pas juger celui qui « mange » (les viandes).
De nouveau : « 6 Celui qui a égard au jour, y a égard au Seigneur; et celui qui n’a
pas égard au jour, il n’y a pas égard au Seigneur. Celui qui mange de toutes choses,
mange au [à cause du] Seigneur, car il remercie Dieu; et celui qui ne mange point, ne
mange pas au [à cause du] Seigneur, et il rend grâce à Dieu. » (Romains 14, 6)
Maintenant écoutez la conclusion de son argument au Verset 14 : « Je sais, et [je] suis
persuadé par le Seigneur Jésus, qu’il n’y a rien de souillé en soi; mais à celui qui estime
qu’une chose est souillée, elle est souillée pour lui. » [N.B. Il faut utiliser la logique
quand on interprète les versets bibliques, ce verset ne veut pas dire : manger du sang, qui
est interdit dans les deux testaments, Lévitique 3, 17; Actes 21, 25; Actes 15, 20.29. Une
transfusion de sang n’est pas manger, car cela ne rentre pas dans le système digestif, donc
cette pratique est admissible pour le Chrétien de faire]
Que c’est différent l’enseignement de Paul des conférences de M. Knox dans cette
salle! Quand vous entendez un Adventiste du Septième Jour vous penseriez que « le
royaume de Dieu » consiste « 17 dans les viandes et les breuvages. » (Romains 14, 17)
Cependant Paul a dit, « 3 Que celui qui mange de tout, ne méprise pas celui qui ne mange
pas de tout; et que celui qui ne mange pas de tout, ne juge pas celui qui mange de tout;
car Dieu l’a reçu. » (Romains 14, 3) L’homme qui pense qu’il ne peut pas manger un
morceau du porc, « à cause de la conscience » est faible dans la foi – dit Paul.
1 Corinthiens 10, 25 : « Mangez de tout ce qui se vend au marché des viandes,
sans vous enquérir de rien à cause de la conscience. » Voilà l’apôtre Paul règle, dans un
dernier mot, la question de la viande. Une fois de plus, « Si quelqu’un qui ne croit pas
vous convie à un festin, et que vous vous apprêtiez à y aller, mangez de tout ce qui est
mis devant vous, sans vous enquérir de rien à cause de la conscience. » (1 Corinthiens 10,
12
27). Alors, mes amis, vous avez Paul, l’apôtre inspiré, contre M. Knox, le grand
astronome et spécialiste de diététique de Riverside! Faites votre choix. Je choisi Paul.
Troisièmement : Leur enseignement sur le sabbat est Judaïque.
En Colossiens 2, 16 : « Que personne donc ne vous juge [en ce qui concerne] sur
le manger (brõsis, action de manger; la nourriture), ou sur le boire (posis, la boisson [on
ne parle pas d’ici des boissons alcoolisées; l’acte de boire]), ou à l’égard d’un jour de fête
(hortẽ, un jour saint (Kjv) de festin des Juifs), ou de la nouvelle lune (neomẽnia, premier
jour du mois, nouvelle lune; est employé en Colossiens 2, 16 en tant que la fête Juive), ou
des jours de sabbats. » Remarquez bien que ces choses de la loi (de l’A.T.) – les viandes,
les breuvages, les jours de sabbat, les jours saints de fêtes Juives, les nouvelles lunes, tous
typiques du Judaïsme. Paul les énumère tous ensemble, et classe l’observance du sabbat
avec d’autres traits du Judaïsme. Paul commande que personne devrait juger un autre par
ces ordonnances de la loi (de l’A.T.) – y compris le sabbat. Une plus ample discussion du
jour du sabbat va suivre plus tard dans cette dissertation.
En quatrième lieu : Leur attitude envers le système de la dîme est Judaïque.
Nous serions loin de dire quelque chose pour encourager ou excuser de donner
comme un ladre (avare) de la part des Chrétiens. Il y a formulé plus sur le sujet de donner
dans le Nouveau Testament que de la foi, le repentir, ou le baptême. Treize des vingtneuf paraboles du Christ sont les paraboles de l’argent et tournent sur le pivot financier.
Les chapitres entiers dans les épîtres aux églises sont consacrés au sujet de donner. En
revanche cela est un fait digne d’attention que les apôtres n’ont pas essayé de souligner
l’obligation de donner par la prédication de la dîme.
La méthode du raisonnement employée pour faire la dîme une partie du système
Chrétien est comparable à l’effort des Méthodistes de prouver l’adhésion à l’Église d’un
nouveau-né fondé sur l’alliance de la circoncision, et en outre le parallèle avec la
tentative des “gens de digression” d’apporter la musique de David et les Juifs dans
l’adoration du Nouveau Testament.
L’argument en chef, d’être basé sur la déclaration de Paul que Christ est prêtre
selon l’ordre de Melchisédec, à qui Abraham a payé les dîmes. La portée de l’argument
est : Christ est prêtre selon l’ordre de Melchisédec; pour cette raison, les Chrétiens
devraient payer les dîmes à Christ. La dialectique fallacieuse et la conclusion n’est pas un
enchaînement logique. Christ est prêtre selon l’ordre de Melchisédec uniquement dans le
particulier cité par l’auteur des Hébreux ‒ savoir, « 3 sans père, sans mère, sans
descendant (généalogie), n’ayant ni commencement de jours, ni fin de vie; mais étant fait
semblable au Fils de Dieu, [il] demeure prêtre perpétuellement (continu; à jamais). »
(Hébreux 7, 3) La signification en termes clairs est que, comme Melchisédec, Christ n’est
pas venu d’un lignage sacerdotal, n’ayant ni prédécesseur ni successeur dans la prêtrise –
personne avant lui et nul après lui – mais « 3 il demeure sacrificateur à toujours. » La
mention à la dîme dans ce fragment du texte ne fut que la grandeur de Melchisédec, « 2
auquel aussi Abraham donna le dixième (la dîme) de tout. » (Hébreux 7, 2) Tellement
13
grand fut Melchisédec, le roi de Salem, que même si éminent un personnage comme
Abraham lui a payé les dîmes.
Le lecteur soigneux peut comprendre que Christ est prêtre selon l’ordre de
Melchisédec parce qu’il est prêtre à jamais. « 6 Comme il dit aussi à un autre endroit : Tu
es prêtre pour toujours selon l’ordre de Melchisédec. » (Hébreux 5, 6). Un argument sur
la dîme basé sur cette partie du texte est bien trop tiré par les cheveux pour être même
intéressant.
Un autre exemple de mauvaise exégèse est que Paul nous a ordonné de « suivre
dans les traces de cette foi de notre père Abraham, » (tiré de Romains 4, 12) et il nous dit
qu’une de ces « traces » de la foi d’Abraham fut la dîme! Ne pouvons-nous pas demander
qu’est-ce que furent les autres « traces »? La dîme n’est pas tout ce qu’Abraham a fait. Et
qu’est-ce qui est de l’offrande d’Isaac sur l’autel, les sacrifices, et la circoncision?
Devrions suivre dans ces traces aussi? À dire vrai c’est que Paul ne nous a pas donné
l’ordre de suivre dans les traces d’Abraham, ni de suivre dans les traces de la foi
d’Abraham, mais de suivre dans les traces de cette foi de notre père Abraham. La foi
spécifique signifiée dans la locution a cru Dieu dans tout ce qu’il fut commandé de faire,
de l’acte d’aller à Canaan à son offrande d’Isaac sur l’autel. Si vital est la déclaration
qu’Abraham a cru Dieu au point concerné que cela est employé trois fois à propos de
cela – en Romains 4, 3, en Galates 3, 6, et en Jacques 2, 23 – chaque fois de mettre
l’accent sur le sens de la foi d’Abraham. De suivre dans les traces d’Abraham
nécessiterait de faire tout ce qu’Abraham a fait; néanmoins de marcher dans les traces de
cette foi est simplement d’être guidé et incité par ce même principe noble d’une foi
prompte en faisant tout que Dieu nous commande. « Par la foi, Abraham – obéit. »
(Hébreux 11,8) La foi d’Abraham est la foi qui obéi. Les Adventistes nous feraient croire
que ce fut la dîme!
Quand même cela est préconisé que la dîme fut pratiquée un grand nombre de
siècles avant la loi de Moïse fut donnée; de là, pas purement une partie de l’ancienne loi.
Cependant le même est vrai des offrandes, les sacrifices, et la circoncision.
Dans la seconde lettre aux Corinthiens Paul consacre deux chapitres consécutifs
au sujet de donner. Il parle en termes de “l’action d’abondance dans la grâce de donner”
(Quel verset?); « promptitude de vouloir » (2 Corinthiens 8, 11); « la bonne volonté [une
pensée ou volonté bien disposée]» (2 Corinthiens 8, 12); « c’est accepter selon ce qu’on
a » (2 Corinthiens 8, 12) et « suivant la prospérité que Dieu lui accordera » (1
Corinthiens 16, 2) – tout ceci et plus, malgré tout pas un mot de la dîme. Ainsi les
principes de l’action Chrétienne de donner comme énoncé par Paul sont récapitulés dans
la charge : « comme il se l’est proposé dans son cœur, qu’il donne ainsi. » (2 Corinthiens
9, 7) Paul aurait pu simplement commander les Corinthiens de dîmer et se défaire de la
question dans un mot. Au lieu de cela, il se sert de deux chapitres entiers enseignant les
Chrétiens comment donner.
14
La dîme appartient à la lettre et légalisme du vieux système et non pas à l’esprit et
la liberté du nouveau. Le nouveau est meilleur et ce n’est pas la dîme ou la taxe, mais
volontaire, généreux, de donner avec joie; et Dieu va juger celui qui donne.
J’ai montré que leur doctrine de la loi est Judaïque; que leur attitude envers les
viandes est Judaïque; que l’observance du sabbat est Judaïque et le système de la dîme,
laquelle ils contraignent sur leur membres, est Judaïque. Donc, j’ai prouvé que tout le
système entier de l’Adventisme du Septième Jour est Judaïque. Ils sont Judaïques dans
toute chose distinctive de l’Adventisme du Septième Jour. Les seules choses touchant
l’Adventisme du Septième Jour qui ne sont pas Judaïques sont les choses qu’ils partagent
avec d’autres gens. Il n’y a pas une simple chose caractéristique de l’Adventisme du
Septième Jour qui n’est pas Judaïque. Cela est un système Judaïque de A à Z. Montrezmoi une chose dans leur doctrine qui n’est pas Judaïque et je vais vous montrez que
d’autres personne l’enseignent.
IV. SES TEXTES DE PREUVES BIBLIQUES SONT TRAVESTIS – N’EST PAS
FONDÉS SUR L’ACTE DE BIEN DISPENSER AVEC DROITURE LA PAROLE DE
DIEU
Les prédicateurs Adventistes du Septième Jour font usage de beaucoup de textes
de la Bible. Plutôt, ils emploient improprement un grand nombre de textes bibliques.
Leurs interprétations sont forcées, leurs uniques efforts étant de lire dans chaque passage
de respecter le sabbat. Quelques exemples de leur application de certains passages de
l’Écriture sainte vont donner des preuves à l’appui de cette accusation.
(1) La loi et le Sabbat.
Matthieu 5, 17-18 : « 17 Ne pensez pas que je soi venu détruire (kataluõ, et non
pas abolir, qui est katargeõ) la loi ou les prophètes; je ne suis pas détruire (kataluõ), mais
pour accomplir. 18 Car en vérité, je vous le dis, jusqu’à ce que le ciel et la terre passent,
un seul iota ou un seul trait de lettre ne passera pas de la loi jusqu’à ce que tout ne soit
accompli. »
Les Adventistes du Septième Jour citent souvent cette partie du texte pour prouver
que « la loi » n’a pas été supprimée, naturellement, afin qu’ils puissent observer le sabbat.
Le texte ne révèle pas que la loi ne devrait pas passée. Cela dit pas un iota ou un titre
passeraient de la loi « jusqu’à ce que tout ne soit accompli. »
Le mot « jusqu’à » se limite à un certain temps. Paul explique que la loi fut
ajoutée à la promesse d’Abraham « jusqu’à » Christ devrait arriver (Galates 3, 15-19).
Cela limite la durée de la loi jusqu’à la venue du Christ. Par conséquent Matthieu 5, 18
révèle, « jusqu’à ce que tout ne soit accompli. » Luc 24, 44 nous dit quand ce fut
accompli – quand Christ fut crucifié. Là la loi, ayant été accomplie, a bel et bien pris fin.
15
Si Christ avait détruit la loi cela aurait empêché son accomplissement – mais
l’ayant accompli, il l’a abolie ou l’a abrogée, comme exposée manifestement en
Éphésiens 2, 15 et 2 Corinthiens 3, 7-14. [15-18].
(2) Un Sabbat Perpétuel.
Exode 31, 16 : « Et pour cette raison les enfants d’Israël respecteront le sabbat,
pour célébrer le sabbat dans toutes leurs générations, comme une alliance perpétuelle. »
Ceci est un texte favori avec les prédicateurs Adventistes. Si le sabbat est
perpétuel, peut-il être supprimé? Si le sabbat est supprimé, alors est-il « perpétuel »?
Laissez leur répondre à leur propre question sur un autre fragment du texte : « Et
quand Aaron allumera les lampes au crépuscule, il y brulera l’encens; un encens
perpétuel devant le Seigneur pendant toutes vos générations. » (Exode 30, 8). Les
Adventistes du Septième Jour disent que le processus de brûler de l’encens appartient à la
loi de Moïse, qui a été ôtée. Cependant le texte affirme l’encens perpétuel. Laissez-nous
substituer le mot l’encens pour sabbat dans leur question : “Si l’encens est perpétuel,
peut-il être supprimé : Si l’encens est supprimé, est-il perpétuel?” Et nous ajoutons : si
l’encens perpétuel peut cesser, pourquoi un sabbat perpétuel ne peut-il pas arrêter
également? En ce cas qu’est-ce que « perpétuel » veut dire? Pourquoi, c’est qualifié par
cette expression, « pendant toutes vos générations. » Ce fut perpétuel par les générations
d’Israël en tant que le peuple de Dieu. Le sabbat devrait être respecté et l’encens offert
sans suspension durant toute la dispensation de la loi et les générations majestueuses
d’Israël. Les Adventistes doivent accepter ce fait autrement ils se condamnent pour
abroger l’encens et les sacrifices « perpétuels ».
(3) Christ est le Sabbat.
Luc 13, 10 : « Et il était en train d’enseigner dans une des synagogues un jour de
sabbat. » Les Adventistes posent la question : Si le sabbat a été supprimé, pourquoi Christ
et ses disciples l’ont observé? Encore une fois laissez-leur répondre à leur propre
question sur un autre passage. “Ce qui est bon pour l’un est bon pour l’autre.” Christ et
ses disciples ont respecté la pâque. « 17 Or le premier jour de la fête des pains sans levain,
les disciples vinrent à Jésus, et lui dirent : Où veux-tu que nous te préparions [ce qu’il
faut] pour manger la pâque? 18 Et il dit : Allez dans la ville chez un tel et dites-lui : Le
Maître dit : Mon temps est proche; je ferai la pâque chez toi avec mes disciples. »
(Matthieu 26, 17-18). Maintenant laissez-nous substituer la pâque pour le sabbat et rendre
à eux la question (renvoyer la balle). Voici : Si la pâque a été supprimée, pourquoi Christ
et les disciples l’ont observée?
M. H.M.S. Richards a prononcé un sermon au tabernacle Adventiste à Alhambra
sur “Voilà Pourquoi Je Respecte Le Sabbat.” Il a dit, “J’observe le sabbat parce que
Jésus-Christ l’a respecté.” Alors, pourquoi il n’observe pas la pâque? Jésus-Christ a aussi
respecté la pâque. L’argument ne vaut rien, ou bien les Adventistes sont inconsistants.
16
Pourquoi Jésus a observé le sabbat? Voici la réponse : « Mais lorsque le(s) temps
a(ont) été accompli(s), Dieu envoya son Fils, né d’une femme, né sous la loi. » (Galates 4,
4). Au cours de la vie de Jésus-Christ, la loi fut toujours en vigueur; pour cette raison il
fut soumis à la loi et contraint à respecter le sabbat, la pâque, et toutes les coutumes de la
loi. Cela est inconséquent pour un Adventiste de rétorquer, “Christ a observé le sabbat,
donc, je vais l’a respecté,” et refuse d’observer la pâque.
(4) L’Homme et le Sabbat.
Marc 2, 27-28 : « 27 Et il leur dit : Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas
l’homme pour le sabbat; 28 Si bien que le Fils de l’homme est le Seigneur aussi du
sabbat. »
Les Adventistes emploient ce texte pour prouver que le sabbat est obligatoire sur
tout le genre humain. Toutefois Jésus a fait la déclaration pour montrer que l’homme est
supérieur au sabbat et ses besoins sont plus grands. « Le sabbat a été fait pour l’homme,
et non pas l’homme pour le sabbat. » Les Adventistes aimeraient vous faire croire que
l’homme fut fait pour le sabbat. Ils ont inversé les choses, et ils auraient les intérêts de
l’homme cédaient en faveur du jour, à la place du jour cédé à l’homme. Leur point de vue
même asservi Jésus-Christ au sabbat à la mesure que le Fils de Dieu ne pourrait pas luimême l’a suspendu, ou même l’enlevé, comme il l’a fait la loi.
Même la vie d’une brebis fut supérieure à l’observance du sabbat. « 11 Quel sera
l’homme d’entre vous, s’il a une brebis, et qu’elle vienne à tomber dans une fosse le jour
du sabbat, qui ne l’empoigne et ne la relève? 12 Combien donc un homme vaut-il mieux
qu’une brebis? De sorte qu’il est permis de faire du bien les jours de sabbat. » (Matthieu
12, 11-12). Voici un conflit d’intérêt entre la vie d’un mouton et l’observance du sabbat.
L’un doit céder – le moindre au plus grand. Le sabbat a cédé; par conséquent, ce fut la
moindre importance que la vie d’une brebis.
Mettez en balance ceci avec le premier commandement : « Tu n’auras point
d’autres dieux devant moi. » (Exode 20, 3) Ce commandement n’a pas même cédé à la
vie d’un homme.
La vie d’un mouton est plus grande que le quatrième commandement (le sabbat).
Cependant la vie d’un homme est moins que le premier commandement de vénérer Dieu
seul. Pour cette raison, le premier commandement est autant supérieur au quatrième
commandement que la vie d’un homme est supérieure à la vie d’un mouton.
1. L’homme est supérieur au quatrième commandement – le sabbat.
2. L’homme est inférieur au premier commandement – de rendre un culte à Dieu.
3. Donc, le premier commandement est plus grand que le quatrième
commandement.
17
Mais encore :
1. La vie d’une brebis fut plus grande que le sabbat.
2. La vie d’un homme est plus grande que le mouton.
3. Par conséquent, les besoins de l’homme sont autant plus grands que le sabbat
que l’homme est plus grand que la brebis.
Ainsi Jésus a enseigné les Juifs que l’observance qui manque de flexibilité du
sabbat fut passée – cédant à l’homme pour qui cela fut fait. Et le Fils de l’homme étant le
Seigneur du sabbat avait le pouvoir de l’ôter.
(5) La Fuite le jour du Sabbat.
Matthieu 24, 19-20 : « 19 Mais malheur à celles qui sont enceintes et à celles qui
allaitent en ces jours-là! 20 Et priez que votre fuite ne soit pas en hiver, ni un jour de
sabbat. »
Les Adventistes conseillent vivement que Jésus a enseigné l’observance stricte du
sabbat serait en application même après sa mort. Dans l’avertissement ses disciples
concernant la destruction de Jérusalem, il a dit, « Or priez Dieu que votre fuite n’arrive
point le jour du sabbat. »
Les Adventistes pensent-ils réellement que Jésus voulait dire que cela serait une
violation du sabbat pour les disciples se s’enfuir pour leurs vies? Le Seigneur n’avait-il
pas déjà leur enseigné qu’ils pourraient même sauver la vie d’une brebis le jour du sabbat?
Tout de même ils ont Jésus disant qu’ils ne pourraient plus fuir le jour du sabbat pour
sauver leurs propres vies.
Quoique le sabbat soit aboli par la mort du Christ sur la croix trente-sept années
avant la destruction de Jérusalem, les Juifs incrédules continuaient quand même à se
conformer au sabbat. Sachant et prévoyant ce fait, Jésus savait que les portes de la ville
seraient fermées le jour du sabbat, et dans la destruction soudaine de la cité le peuple
serait pris au piège à l’intérieur.
Notez la mise en garde aux versets 19-20 :
1. « Malheur à celles qui sont enceintes » ‒ leurs fuites seraient empêchées par la
lourdeur.
2. « Et à celles qui allaiteront en ces jours-là » ‒ les mères avec les nourrissons
pour secourir seraient à un désavantage évident.
18
3. « Priez que votre fuite n’arrive pas en hiver » ‒ est-ce que l’hiver est une saison
sainte? Où, ne fait-il pas une référence au fait que la fuite seraient entravée par le froid et
la souffrance?
4. « Ni le jour du sabbat » ‒ fut-il parce que cela violerait le sabbat de fuir? Ce
genre de chose est absurde. Ce fut parce que les corps constitués Juifs ont encore
rigoureusement fait respecter la loi du sabbat auraient toutes les sorties closes et la fuite
serait contrecarrée.
Cela fut les obstacles à la fuite que Jésus pensait – la sécurité du peuple – non pas
l’observance du sabbat.
(6) Paul et le Sabbat.
Actes 18, 4 : « Et il discutait dans la synagogue chaque sabbat, et persuadait les
Juifs et les Grecs. »
Les Adventistes ont compté 84 sabbats que Paul avait observé pendant son séjour
à Éphèse, comme « il allait dans les synagogues chaque jour du sabbat. » Nous avons
seulement besoin de leur rappeler qu’après trois jours de sabbats, les Juifs étant en colère
à cause de sa prédication l’ont mis dehors de leur synagogue, et Paul a dit, « Voici, nous
nous tournons vers les Gentils. » (Actes 13, 46) Donc le nombre diminue de 84 à 3. Paul
ne fut pas une si bonne personne qui observait le sabbat après tout!
M. Ellis, le prédicateur Adventiste à Alhambra, est venu dans notre lieu de
réunion là la soirée de lundi pour discuter ces sujets avec nous. Si cela avait été le jour de
dimanche, suivant leur argument, nous pouvons l’avoir accusé de respecter le dimanche –
la marque de la bête! Qu’il s’en est tiré de justesse!
Pour quel but Paul est rentré dans la synagogue? De toute évidence pour
enseigner les Juifs les pareilles choses que je suis en train d’enseigner les Adventistes ce
soir – et ils ont l’air d’être presque aussi fâché avec moi que les Juifs furent avec Paul.
(7) Le Pape et le Sabbat – Est-ce qu’il l’avait changé?
D’abord : Qu’est-ce que les Adventistes disent?
Je lis des “Premiers Écrits de Mme White,” à la page 26, de la “vision” du ciel :
“J’ai vu que Dieu n’avait pas remplacé le jour du sabbat, car il ne change jamais.
Toutefois le pape l’avait changé du septième au premier jour de la semaine, car il
substitue les temps et les lois.” De nouveau, sous “La Marque de la Bête” dans les
“Premiers Écrits,” à la page 55, Mme White dit : “Le pape a changé le jour de repos du
septième jour au premier jour. Il avait pensé de remplacer le plus grand commandement
dans le décalogue, et ainsi de faire lui-même égale avec Dieu, ou même élevé lui-même
au-dessus de Dieu. La nation entière a suivi après la bête et chaque semaine ils privent
Dieu de son temps saint.”
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Dans la “Grande Controverse,” à la page 574, Mme White explique : “La
première mesure publique mettant en vigueur l’observance du dimanche fut la loi
décrétée par Constantin … comme la papauté est devenue fermement établie, l’œuvre de
l’exaltation du dimanche fut poursuivie … Eusèbe, un évêque, a avancé l’affirmation que
Christ avait transféré le sabbat à dimanche.”
En deuxième lieu : Qu’est-ce que le pape dit?
Il revendique :
1. Que l’Église Catholique Romaine est la seule vraie Église. Les Adventistes
croient-ils cela? Non.
2. Que Pierre fut le premier pape de la Sainte Église Catholique. Les Adventistes
croient-ils ça? Non.
3. Que le pape aujourd’hui est le divin successeur en ligne directe à l’apôtre Pierre.
Les Adventistes croient-ils cela? Non.
4. Que le pape est infaillible. Les Adventistes croient-ils ça? Non.
5. Que l’Église Catholique tienne les clefs du ciel. Les Adventistes croient-ils cela?
Non.
6. Que tous ceux qui sont en dehors de la communion fraternelle de l’Église
Catholiques sont les hérétiques. Les Adventistes croient-ils ça? Non.
7. Que les Protestants sont redevables aux Catholiques pour avoir la Bible. Les
Adventistes croient-ils cela? Non.
8. Que les prêtres Catholiques Romains ont l’autorité d’absoudre les péchés. Les
Adventistes croient-ils ça? Non.
9. Que le pape a changé le sabbat à dimanche – et est-ce que les Adventistes
croient cela? Eh bien, oui, ils disent, “C’est justement qu’est-ce qu’il a fait! Et cela est la
marque de la Bête!”
Les Adventistes nient tout ce que le pape réclame hormis un – et ils prennent son
mot pour ça!
Troisièmement : Qu’est-ce que l’histoire révèle?
(1) Barnabas – 120 ap. Jésus-Christ. Deux cents ans avant l’époque de Constantin
est prétendue d’avoir substitué le sabbat, au chapitre 15? [Nota Bene : C’est plutôt : le
chapitre 2, le verset 7; et le chapitre 13, le verset 10] de “l’Épître de Barnabas,” il dit :
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“7 L’encens m’est une vaine abomination, et vos nouvelles lunes et sabbats je ne
peux pas les endurer.” (Le chapitre II, le verset 7). Du premier jour de la semaine, il dit :
“10 Voilà pourquoi nous observons le huitième jour avec allégresse, le jour aussi sur
lequel Jésus est ressuscité de la mort.” (Le chapitre XIII, le verset 10).
(2) Justin Martyr – né 114 ap. Jésus-Christ – a écrit en 140 ap. Jésus-Christ. Dans
son livre, “La Première Apologie,” le Volume 2, à la page 116, il explique : “Mais
dimanche est le jour sur lequel nous tenons notre assemblée commune, parce que cela est
le premier jour – et Jésus, notre Sauveur, sur le même jour est ressuscité de la mort.”
Ça a été écrit par Justin Martyr une cent et quatre-vingt année avant le temps de
Constantin est affirmé d’avoir changé le sabbat.
(3) Eusèbe – 324 ap. Jésus-Christ. Dans son Histoire Ecclésiastique, aux pages
112-113, cet historien parle de quelques gens qui judaïsaient de son époque comme suit :
“Avec eux l’observance de la loi fut tout à fait nécessaire … Ils respectent
également le sabbat et d’autre discipline des Juifs juste comme eux, mais d’une part ils
célèbrent le jour du Seigneur beaucoup comme nous dans la commémoration de sa
résurrection.”
Ainsi nous voyons que les croyants en Christ observaient le dimanche aux
deuxièmes et troisièmes siècles, avant l’époque du soi-disant “Loi du Dimanche” de
Constantin.
(4) Neander, Fisher, Mosheim, Schaff – le témoignage combiné des historiens de
l’Église – d’un commun accord rendent le verdict contre les accusations des prédicateurs
Adventistes que le “pape a changé le sabbat.”
En quatrième lieu : Qu’est-ce que la Bible révèle?
Actes 20, 7 : « Et je premier jour de la semaine, lorsque les disciples se sont
assemblés pour rompre le pain. Paul prêcha (s’entretint, fit un discours) avec eux, qui
devait partir le lendemain, et il prolongea son discours jusqu’à minuit. » Pourtant les
Adventistes disent que suivant les circonstances, ils n’ont pas « rompu le pain » le
premier jour de la semaine. Le texte révèle qu’ils sont arrivés ensemble pour cet objet –
et ce fut sur le premier jour pas avant, pas après – mais sur le premier jour, et cela fut
pour rompre le pain. Aucun homme honnête informé ne va nier que ce premier jour de la
réunion de la semaine fut pour le but d’observer la Sainte Cène – « de rompre le pain. »
Si les Adventistes pourraient prouver (laquelle chose ils ne peuvent pas) que les
circonstances montrent qu’ils n’avaient pas rompu le pain sur le premier jour de la
semaine, cela prouverait seulement qu’ils ont échoué de faire qu’est-ce qu’ils sont
« venus ensemble » pour faire.
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Ainsi nous avons la parole de Dieu corroborée par l’histoire authentique, contre
les prétentions pauvres du pape et les Adventistes du Septième Jour sur le soi-disant
“changement du sabbat.”
J’ai prouvé que l’origine de l’Adventisme du Septième Jour est humaine – pas
divine; que cela est une hérésie appuyée sur les enseignements d’une femme et ses
prétentions perfides sur l’inspiration – non pas sur l’enseignement du seul et unique livre
inspiré – la Bible. Que cela est Judaïque dans chaque principe distinctif que cela enseigne,
n’est pas Chrétien en aucun; que ses textes de preuves sont les déformations des passages
Bibliques et pas basés sur l’acte de bien dispenser avec droiture la parole de Dieu.
Ces accusations ont été faites publiquement dans une manière claire et franche.
Elles ont été publiées dans les deux journaux quotidiens de la ville. Si j’ai dénaturé
l’Adventisme du Septième Jour, laissez M. Know, M. Richards, ou un représentatif apte
quelconque de l’Adventisme prendre la tribune et prouve notre erreur. Ils ont fait
l’attaque. Nous sommes purement venus à la défense des principes de l’enseignement du
Nouveau Testament. Si nous les avons déformés dans quelque chose quoi qu’il en soit,
laissez-les l’indiquer. Laissez-nous venir ensemble dans une discussion commune de ces
principes que le peuple puisse écouter les deux côtés en même temps. Ceci est une
proposition équitable que nous avons faite aux prédicateurs Adventistes du Septième Jour
de la Californie du Sud pour plusieurs semaines. Jusqu’à présent nous n’avons pas eu de
réponse. J’espère que nous l’aurons.
LA FI
[Commentaire du traducteur : Toute la gloire soit donnée au Père Céleste dans le nom de
son seul Fils engendré, Jésus-Christ pour l’œuvre présentée ici. Ce document est tiré du
livre : L’Évangile Pour Aujourd’hui (The Gospel For Today), le chapitre XV11, les pages
325 jusqu’à 351. L’auteur est le défunt prédicateur Foy Esco Wallace, fils. Je remercie M.
Harold “Buster” Dobbs de la maison d’édition “Firm Foundation” de qui j’ai octroyé les
droits de traduire et diffuser ces livres ou ces parties des livres de théologie. Pour
communiquer avec le traducteur, voici les courriels : [email protected]
ou [email protected] ou [email protected] ou
[email protected] Examinez ou éprouvez toutes choses…
1 Thessaloniciens 5, 21. Pour tout téléchargement gratuit, naviguez vers :
www.egliseduChristquebec.com Traducteur : Denis Tarko.
Actes 17, 10-11. 10 Et immédiatement les frères envoyèrent Paul et Silas, de
nuit, à Bérée, qui y arrivant, entrèrent dans la synagogue des Juifs.
11 Ceux-ci étaient [de sentiments] plus nobles que ceux de Thessalonique, en ce
qu’ils reçurent la parole avec une prompte pensée, et examinèrent les écritures
quotidiennement, [pour voir] si ces choses étaient ainsi.
Que Dieu vous bénisse en étudiant sa parole.]
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PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE
LE 7 OCTOBRE 2012-10-07
TOUS DROITS RÉSERVÉS © 1997 ALL RIGHTS RESERVED
FOY E. WALLACE, JR. PUBLICATIOS
5111 ROGERS AVEUE SUITE 504 FORT SMITH AR 72903
RICHARD E. BLACK, PUBLISHER
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