nicolas hulot - Syndicat de la Chasse

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nicolas hulot - Syndicat de la Chasse
Syndicat National de la Chasse
Chasse info
NICOLAS HULOT
Selon Serge CANADAS (*)
Un vrai Ecologiste ou tout simplement un businessman ?
Le Monsieur nature de TF1 exploite son image tout azimut.
Un business pour la bonne cause, au prix de quelques
entorses à l'écologiquement correct
Nicolas Hulot (NH), (ancien photographe de l'agence Sipa) animateur de télévision, lors du
lancement de son dernier livre, Le pacte écologique, a bénéficié d’un accueil particulier dans
la plupart des médias français voire même au delà. Il est présenté comme un grand défenseur
de l’environnement.
Face à cette énorme publicité faite autour de lui, il nous a paru intéressant de rappeler
quelques faits sur cet homme.
Qui sont ses amis et soutiens ? Comment gagne-t-il sa vie ? etc ..
A travers le développé qui suit nous vous laissons seul juge de ce qu’il est vraiment.
Défenseur de l’environnement ? Certainement, mais sans état d’âme quant à l’argent qu’il
perçoit.
Peu importe d’ou il vient. Quitte à ce que cela soit de l’argent de ceux qui polluent, il s’en
moque à priori.
Même s’il vient de la part de ceux qui polluent et qui donnent pour se donner bonne
conscience et donner une bonne image d’eux aux yeux du grand public … on prend.
Mais alors ou est la crédibilité dans tout ça ?
Accepter de l’argent de ceux qui polluent la planète pour, soit disant, lutter contre la pollution
c’est donner caution a cette pollution. Y a t’il une morale pour agir de la sorte ? Le débat ne
serait-il pas faussé ?
De quoi vit-il ?
Ushuaïa, 4 émissions par an, rapporte 30 000 euros par mois à NH (1).
Ajoutez à cela les droits d’auteur qu’il touche pour ses ouvrages (Le Syndrome du Titanic
s’est vendu à 160 000 exemplaires) plus un pourcentage sur les ventes des livres et des DVD
Ushuaïa.
Ushuaïa, est un label très rentable et TF1 a cédé pour quinze ans la licence d’exploitation à
plus d’une quinzaine de sociétés (L’Oréal pour les cosmétiques(10), Atol pour la lunetterie,
Rhonetex pour les vêtements, Lexibook pour l’électronique grand public, Quo Vadis
pour la papeterie...) et cautionné ainsi la commercialisation d’une soixantaine de produits
dérivés en France. TF1 estime à... 100 millions d’euros le chiffre d’affaires annuel généré par
tous les produits griffés Ushuaïa. » (Source : L’Expansion).
Comme le reconnaît NH, les divers produits dérivés Ushuaïa financent son indépendance et
lui permettent de lancer quatre fois par an, à une heure de grande écoute sur la première
chaîne française, son émission Ushuaïa nature.
Greenpeace a pointé du doigt les produits Ushuaïa (2) cancérigène qui entrent dans la
composition des gels douche.
D'autant que ce n'est pas la première fois : en 2004, TF1 retire du commerce des bâtons
d'encens Ushuaïa, jugés toxiques par l'UFC-Que choisir.
NH n'en est pas à une contradiction près. Qui a longtemps sponsorisé Ushuaïa ? Un grand ami
de la nature, le chimiquier Rhône-Poulenc.
Ushuaïa (2), un magazine truffé de publicités pour les produits dérivés Nicolas Hulot :
lunettes, gels douche, et DVD. Dans le premier numéro du magazine, 7 des 10 premières
pages, sont des publicités.
Sur la dernière page – la plus lue après la couverture – figure une réclame pour un 4x4 Volvo
vendu environ 50 000 euros :
« Volvo XC90, la nature est si belle que pour la découvrir, il fallait un 4x4 aussi beau et
respectueux ».
Dans Les cahiers de l’IEESDS, Sophie Divry écrit « Se servir de l’émotion suscitée par la
crise écologique pour pousser à la consommation, il fallait oser ».
La commission paritaire des publications et des agences de presse (CPPAP) a refusé de
considérer Ushuaïa magazine comme un produit d’information. Ushuaïa magazine n’a donc
pas eu de « numéro de CPPAP » et n’est commercialisé dans les kiosques qu’en tant qu’un
des multiples produits publicitaires dérivés de l’émission homonyme. (CB News, 31-10-2005)
Parmi les produits dérivés de la marque de TF1, il existe même un 4x4 « Ushuaïa » : un
Peugeot-Partner. Que les transports soient responsables de la plus grande partie des émissions
de gaz à effet de serre importe peu. Cette voiture est écologique, puisque « l’air conditionné
n’est proposé qu’en option, même sur le modèle Ushuaïa Grand Raid qui coiffe la gamme
(3).»
La télé instrumentalise-t-elle NH pour orchestrer un business « écolo » ?
A cela NH répond : « TF1 décline des produits dérivés qui permettent à l’émission de télé
d’être financée. Au début, j’ai été surpris par cette stratégie, mais je m’y suis fait. Cela ne me
choque plus du moment que je garde le contrôle du contenu de l’émission et ma liberté de
parole. (…) Mais il est vrai que je me demande parfois jusqu’où on peut aller (1). »
Des sponsors polluants
Le succès de NH vient en grande partie de son émission télévisée. Porté par l’audimat, NH
devient ambitieux. Il veut « mettre sa notoriété au service d’une cause d’intérêt général (4).
En 1990, il crée la Fondation Ushuaïa (11), qui par la suite prendra son nom.
Très tôt, il a pris son bâton de pèlerin pour aller à la pêche aux mécènes (457 000 euros par an
pour les « partenaires fondateurs »), n'hésitant pas à frapper à la porte d'entreprises
stigmatisées pour pollution par les écologistes, comme le nucléariste EDF ou le chimiste
Rhône-Poulenc. Sans états d'âme, NH va chercher l'argent là où il est.
Les premiers donateurs sont TF1, L’Oréal (10) et EDF. Mais d’autres entreprises viendront
s’associer à NH et faire un don : les Autoroutes du Sud de la France (ASF), Bouygues
Telecom, Valorplast, Apple, Décathlon, Énergie Système, ETT, Eurotherm, Giordano
Industries, Grohe, Knauf, Lafarge, Saint-Gobain Isover, Siplast Icopal, Tetra Pak France,
UGAP, Weber et Broutin, Yprema…
Que les entreprises les plus polluantes, celle qui construit les autoroutes où rouleront toujours
plus de voitures, celle qui transforme le pétrole en plastique jetable, celle qui génère des
déchets nucléaires pour des millions d’années, celle qui bétonne la nature et celle qui vend à
Coca-Cola du « temps de cerveau disponible » puissent être des donateurs d’une telle
fondation… n’est en fait pas très étonnant.
Effectivement donner de l’argent à NH est très porteur et efface en partie les
dysfonctionnements de certaine société moderne polluante. On vient auprès de NH s’acheter
une bonne conduite. Selon Sophie Divry, elle devient une sorte de « caution éthique » qui
permet de se légitimer. Partenaire des multinationales parmi les plus polluantes (E. Leclerc,
Bouygues, Lafarge…). Il n’est pas plus efficace façon pour la « mal-économie » d’éviter toute
remise en cause qui ne soit pas seulement superficielle.
Les entreprises, elles, ne s’y trompent pas. La campagne de promotion de la fondation sera
offerte par l’agence de pub CLM BBDO et affichée gratuitement par Decaux.
Le groupe ASF s’enorgueillit aussi de collaborer à l’action de la fondation NH. On peut lire
sur son site Internet : «… C’est donc naturellement qu’il a décidé de soutenir le programme
de la Fondation Nicolas Hulot qui vise à enrayer la perte de la diversité biologique (5). »
Fort de ses soutiens, NH fera distribuer 3 millions de son petit livre Défi pour la Terre dans
les supermarchés Leclerc et 100 000 dans les boutiques Bouygues Télécom. Les mesures du «
Défi pour la Terre » consistent à expliquer au peuple de fermer l’eau en se lavant les dents
mais surtout de ne pas poser de questions dérangeantes aux multinationales.
Quant aux puristes qui lui reprochent de financer sa fondation avec les dons d’entreprises pas
toujours écologiquement correctes, il rétorque qu’il préfère l’argent privé à l’argent public et
précise qu’il part du principe “que l’on peut faire évoluer les entreprises de l’intérieur”. La
preuve : il a été invité à parler de développement durable devant les cadres du groupe
Bouygues (6). »
Changer les choses de l’intérieur... Tel est le credo de NH, persuadé que la logique de profit et
celle du partage des ressources sont compatibles. E. Leclerc le dit d’une autre façon : « C’est
vrai, le développement durable est un concept à la mode. Tant dans le monde des entreprises
que dans tout débat de société. Et alors ? De tout temps, les marchands ont su récupérer les
bons slogans (7). »
Des amis peu exemplaires
Source partielle : Sophie Divry
NH a des amis, beaucoup d’amis, pour le soutenir dans sa démarche. Lors du lancement de
son dernier livre, Le Pacte écologique, était présente une brochette d’amis du show-biz de
quoi faire pâlir d’envie un Nicolas Sarkozy ou une Ségolène Royal (8).
C'était vraiment l’endroit où il fallait être quand on aime les stars. C'était pas une réunion
politique, c'était le festival de Cannes.
Luc Besson, et « revenu de Patagonie », l’évadé fiscal fan de Harley Davidson, Florent Pagny
en tenue kaki d’explorateur, Matthieu Kassovitz, Pascal Obispo, Julien Clerc, Anémone,
Corinne Lepage, le patron de Véolia environnement Henri Proglio (aussi membre du groupe
d’armement Thalès).
Pour beaucoup, des convertis plutôt de fraîche date, me semble-t-il, à l’écologie.
Le journal 20 minutes rappelle que Pascal Obispo a été propriétaire d’un Hummer, énorme
4x4 très polluant.
Etonnant, lorsque l'on sait que l'une des cibles privilégiées du créateur d'«Ushuaïa » sont les
voitures puissantes et polluantes.
Idem pour Pagny, qui a longtemps possédé, comme Luc Besson, des voitures de sport et de
puissantes motos. Autre incohérence, le chanteur effectue régulièrement des allers-retours en
Patagonie où il possède une propriété alors que la Fondation NH prône de limiter les
déplacements en avion ». « Ils roulent pour NH, mais un peu vite (9) », conclut le journal
gratuit.
NH lui-même a un style de vie en contradiction totale avec ce qu'il recommande... pour les
autres. Il vit en Corse et travaille en Bretagne, ce qui lui impose des déplacements très
fréquents en avion.
Un tatouage sur l’épaule, une queue de baleine en pendentif fait de lui le parfait écologiste et
surtout un bon produit médiatique, pas dérangeant, qui emporte l’enthousiasme. NH sait
parler, c’est un bon client, et les journalistes sont en terrain connu : ils s’interviewent entre
confrères.
Le 8 novembre, NH a droit à une pleine page dans le Figaro.
Serge Dassault, propriétaire d’un journal et fabricant d’armes, a lui aussi su faire le bon choix.
Grâce aux soutiens des multinationales, à l’appui de certaine star et à des émissions télévisées
à grande écoute, l’équipe NH parvient à imposer une image d’un homme aux propositions
ambitieuses.
Une image qui ne résiste pas.
NH ne sert pas la cause écologique, il contribue à faire passer l’idée que le capitalisme et le
profit sont conciliables avec un environnement préservé.
Il permet aux entreprises destructrices de se donner bonne conscience en finançant des
programmes d’éducation à l’environnement.
NH évite soigneusement de parler de la crise des valeurs et des inégalités sociales qui sont
intimement liées au saccage écologique de notre planète.
L’animateur de TF1 réussit en somme à faire « beaucoup de bruit pour rien » tout en prenant
un espace médiatique précieux.
NH n'aime pas la chasse
Source : Claude Deschryver
Propos rapportés de la revue «Science et Nature»
Nous ne rapportons ici qu'un extrait, qui traduit nettement la pensée et la stratégie du
personnage. Mais tout le reste, l'article entier, est du même tonneau.
«... En France, dans la nature, les chasseurs font la loi et parfois terrorisent ceux qui la
fréquentent. Pour le simple promeneur qui se retrouve pris dans le concerts des aboiements
d'une meute, de coups de fusils épars, de cris guerriers, Il devient vite traumatisant et sources
de danger... Et que dire de ces chasseurs postés en colonnes le long des routes, attendant le
passage des animaux rabattus et qui, effectuent des tirs tendus, sans avoir la garantie visuelle
de l'absence de véhicules dans leur ligne de mire ; et de ces chiens rachitiques, volontairement
affamés pour être plus efficaces à la chasse, abandonnés en grand nombre et qui errent en
meutes désespérantes ? A trois reprises, ces semaines, j'ai recueilli des chiens perdus, dans un
état déplorable d'hygiène et de santé. Contactés, leurs propriétaires ne se sont même pas
déplacés, et j’ai dû aller moi-même les rapporter ... »
La suite est éloquente, et nous vous en faisons grâce; mais notez toutefois que pour le
présentateur TV, nous sommes des «semeurs de trépas», nous ne ramassons jamais nos
douilles, nous ne représentons qu’une minorité (1,5 million tout de même) qui impose une
activité virile à 58 millions de Français, et que fréquemment, nous brandissons nos armes
chargées à la figure des randonneurs…
Par rapport à l'extrait publié, je ne retiendrai que deux points : tout d'abord, NH n'ignore
certainement pas que la nature n'est pas publique, mais privée, et que même lorsqu'elle
appartient à l'Etat, des chasseurs payent les droits de chasse (et au prix fort). Donc, il faut
avoir l'honnêteté intellectuelle de préciser que « lorsque les chasseurs font la loi », comme il
dit, ou bien ils sont chez eux, et ils ont raison de la faire (avec bien sûr toutes les règles de
courtoisie et d’humanité élémentaire), ou bien ils ne sont pas chez eux, et alors ils sont
passibles d'une condamnation. Et en pareil cas, il ne s'agit pas de chasseurs, mais de
braconniers. Encore faudrait-il avoir le courage de le préciser.
Autre point, les chiens. Nous affamons nos chiens pour les rendre plus performants à la chasse
et bien sûr, nous les abandonnons en grand nombre… ?
Il devrait savoir que le chien est un athlète qui a besoin d’être en grande forme pour être
efficace et que ceci est le premier soucis du piqueur.
Nous conclurons simplement en regrettant que NH, si attentif au sort des singes d'Amazonie
ou à celui des baleines bleues, soit incapable de comprendre la façon de vivre et les
sensibilités de millions de gens qui peuplent les campagnes françaises, ses compatriotes, et
qui font de ce pays ce qu'il est: une magnifique mosaïque de villages, de forêts, de cultures,
où, ne lui en déplaise, la chasse tient et tiendra encore longtemps une place importante,
culturellement et socialement.
Le Pacte écologique de Nicolas Hulot
Objectif 1 Economie : Vers une logique de durabilité
En bref : concevoir les produits industriels pour qu’ils durent, soient réparés ou recyclés afin
de réduire les flux de matières, de déchets et d’énergie.
Objectif 2 Énergie : organiser la baisse de la consommation
En bref : lutter contre le réchauffement climatique en réduisant massivement le recours au
pétrole, au gaz et au charbon pour diviser par quatre nos émissions de gaz à effet de serre d’ici
2050.
Objectif 3 Agriculture : Produire autrement
En bref : concilier la production agricole avec le respect de l’environnement, le travail paysan,
la qualité des produits et la santé.
Objectif 4 Territoire : contenir l’extension périurbaine et relocaliser les activités
humaines
En bref : préserver l’espace rural et naturel, cesser de multiplier les infrastructures et «
d’artificialiser » les surfaces, lutter contre l’étalement urbain par le rapprochement des lieux
de travail et d’habitation.
Objectif 5 Transports : sortir du tout routier
En bref : réduire la demande en transports fortement consommateurs de pétrole et grands
émetteurs de gaz à effet de serre (camions, automobiles et avions), augmenter l’offre en
moyens de déplacement moins gourmands et plus propres (trains, transports en commun,
transport fluvial, vélo).
Objectif 6 Fiscalité : établir le véritable prix des services rendus par la nature
En bref : faire apparaître le coût économique réel des activités humaines, supprimer les
subventions publiques entraînant la dégradation de l’environnement, réorienter le budget en
faveur du développement durable.
Objectif 7 Biodiversité : Faire entrer la nature dans
l’aménagement du territoire
En bref : intégrer la préservation du patrimoine naturel dans la stratégie globale du
développement durable, avec la création d’un réseau écologique national qui relieraient entre
eux tous les espaces protégés et garantirait leurs fonctions écologiques.
Objectif 8 Santé : prévenir avant de guérir
En bref : évaluer le poids des dégradations environnementales dans le coût global des
maladies, engager une politique de prévention, en particulier en ce qui concerne
l’alimentation, l’emploi des pesticides et la dissémination des OGM.
(*) – Avec des extraits pris dans « Les cahiers de l’IEESDS » titrant « L’escroquerie médiatique du siècle » par
Sophie Divry
1 - L’Expansion, 25-5-2005, « Ushuaïa, le label Hulot certifié 100 % rentable », lisible sur :
www.lexpansion.com/art/6.0.131528.0.html.
2 - La commission paritaire des publications et des agences de presse (CPPAP) a refusé de considérer ce
magazine comme un produit d’information.
Ushuaïa magazine n’a donc pas eu de « numéro de CPPAP » et n’est commercialisé dans les kiosques qu’en tant
qu’un des multiples produits publicitaires dérivés de l’émission homonyme. (CB News, 31-10-2005)
3 - Ouest-France, 30-1-2003.
4 - Citations extraites du site de la FNH :
www.fondation-nicolas-hulot.org
5 - Site web du Groupe ASF (Autoroutes du Sud de la France), avril 2005.
6 - Nicolas Hulot, « L’écolo cathodique », Le Figaro, 18-9-2006.
7 - Michel-Édouard Leclerc, Le Nouvel économiste, 26-3-2004.
8 - Le Figaro, 8-11-2006.
9 - 20 minutes, 9-11-2006.
10 – NH lutte contre l’usage du carbonne. Il est utilisé en cosmétique principalement comme agent conditionneur
en apportant des propriétés de lissage de la Fibre ou à titre d'agents de douceur et de texture dans les préparations
pour la peau (source L’Oréal).
11 - De source officieuse locale, c'est au lancement de cette école que des "ratés" sont apparus notamment dans
l'intégration d'oiseaux tels que les Ibis Sacrés. En effet, plusieurs couples n'ont pas résisté au plaisir d'aller
s'installer ailleurs ... entre la Brière et la Baie de Bourgneuf... Je rappelle que l'Ibis Sacré est une espèce exogène
qui "n'existait pas" en France. En gros, la bêtise faite avec le ragondin, la grenouille taureau, l'écrevisse de
Louisiane n'a pas suffit à "l’écologiste" pour faire la même chez lui !!!
Cette étude est une synthèse sur l’ensemble de ce qu’a fait Nicolas Hulot avec des sources
officielles et citées qui représente un travail de plus de 3 mois.
Il a été envoyé a Nicolas Hulot en personne en Recommandé avec Accusé de Réception.
Nicolas Hulot n’a rien contesté.
Serge CANADAS
Pour le Syndicat National de la Chasse