dossier Mécénat MERVEILLE MONT ST-MICHEL
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dossier Mécénat MERVEILLE MONT ST-MICHEL
RESTAURATION LA MAQUETTE DE LA « MERVEILLE » DE L’ABBAYE DU MONT-SAINT-MICHEL SOMMAIRE Palais de Chaillot Cité de l'architecture et du patrimoine ©Nicolas Borel 2009 La Cité de l’architecture & du patrimoine Page 5 Un monument emblématique de l’architecture gothique Page 6 L’origine de la maquette Page 7 Une maquette hors du commun Page 9 Fiche descriptive Page 10 Lexique d’architecture gothique Page 11 La restauration Page 12 L’exposition Merveille d’architecture gothique Page 13 Calendrier Page 14 Plan de communication Page 15 Participer à la restauration de la « Merveille » Page 16 S’engager aux côtés du grand public Page 17 Contreparties Page 18 Contacts Façade nord : vue d’ensemble ©CAPA/MMF/Anne Chauvet LA CITÉ DE L’ARCHITECTURE & DU PATRIMOINE Le Palais de Chaillot ©Nicolas Borel La Cité de l’architecture & du patrimoine propose à ses visiteurs une diversité culturelle exceptionnelle, sur 22.000 mètres carrés au cœur de Paris. Du renouvellement urbain à la valorisation du patrimoine, la question de la ville interpelle chaque jour davantage nos contemporains. Établissement public sous tutelle du ministère de la culture et de la communication, la Cité de l'architecture & du patrimoine a pour missions la diffusion, la sensibilisation et l’enseignement de l'architecture dans sa dimension actuelle et patrimoniale, en France et à l’international. Elle se situe ainsi au croisement de la création, de l’innovation technologique et de la responsabilité sociale des acteurs de la Ville. S’adressant aussi bien au grand public qu’à des acteurs plus spécialisés, la programmation est diversifiée : collections permanentes, grandes expositions thématiques, éditions, colloques, débats, projections... Aux spécialistes des domaines de l’architecture et de la ville, la Cité offre les enseignements dispensés par l’École de Chaillot, une bibliothèque et un centre d’archives. Un auditorium, des lieux de rencontres, l’ouverture à d’autres formes artistiques, une politique d’échanges internationaux visant à susciter et à alimenter des débats, permettent à la Cité de jouer pleinement son rôle de centre culturel pluriel, dédié à la promotion de l’architecture du présent comme du passé. Par son objet en lien étroit avec le secteur économique, ses atouts en termes de localisation et d'espaces privatisables au Palais de Chaillot, la Cité est naturellement en relation avec les entreprises, qu'elle accompagne dans leurs réflexions. Elle offre à ses partenaires et mécènes, dans un souci constant de valorisation de leur image, une caisse de résonance à la mission d'utilité sociale de tout entrepreneur. 5 UN MONUMENT EMBLEMATIQUE DE L’ARCHITECTURE GOTHIQUE « L’abbaye escarpée, poussée là-bas, loin de terre, comme un manoir fantastique, stupéfiante comme un palais de rêve, invraisemblablement étrange et belle » Guy de Maupassant Le Mont-Saint-Michel, une abbaye entre terre et mer Sur un îlot granitique au milieu de grèves immenses soumises au va-et-vient des marées, à la limite de la Normandie et de la Bretagne, s'élève la « merveille de l'Occident ». Cette abbaye bénédictine est dédiée depuis le VIIIème siècle à l'archange saint Michel, « prince de la milice céleste ». La construction de l'abbaye, qui s'est poursuivie du XIème au XVIème siècles, en s'adaptant à un site naturel complexe, a constitué une remarquable prouesse technique et artistique. Le Mont-SaintMichel, classé au titre des monument historiques en 1874, est inscrit au patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco depuis 1979. Avec trois millions de visiteurs annuels, le Mont-Saint-Michel se place parmi les sites touristiques majeurs en France. « La Merveille de l’Occident » Le qualificatif de « Merveille » désigne les constructions gigantesques, d’une stupéfiante audace architecturale, s’élevant au nord et au sud du Mont-Saint-Michel. « Les grands bâtiments qui donnent sur la pleine mer, au nord, peuvent passer pour le plus bel exemple que nous possédons de l’architecture religieuse et militaire au Moyen-âge, aussi les a-t-on nommés de tous temps la Merveille » écrit Eugène Viollet-le-Duc, dans son Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècles. 6 Vues du Mont-Saint-Michel avant sa restauration, Fonds Hyacinthe-César Delmaet (1828-1862) et Louis-Emile Durandelle (1839-1917), ENSBA L’ORIGINE DE LA MAQUETTE A la fin du XlXème siècle, la « Merveille » se trouve dans un état inquiétant, menaçant de tomber en ruine. La conservation de l’édifice, utilisé alors comme prison, préoccupe les pouvoirs publics. Un projet de restauration est lancé et c’est dans ce contexte qu’une maquette en pierre est réalisée. Edouard-Jules Corroyer, architecte des monuments historiques Né à Amiens en 1835 et mort à Paris en 1904, Édouard Corroyer est issu d'une famille des corps de métier du bâtiment : son père est charpentier, son oncle maternel et son aïeul, couvreurs. Il est l'élève d'Eugène Viollet-le-Duc, qu’il aurait rencontré en 1855 lors de la restauration de la cathédrale d’Amiens. Il intègre en 1871 la Commission des monuments historiques et mène plusieurs études sur l’architecture médiévale. En 1872, il est chargé d’évaluer l’état du Mont, et obtient son classement au titre des Monuments historiques en 1874. En 1878, il reçoit pour mission de restaurer le Mont-Saint-Michel. Sous sa direction, des travaux gigantesques sont entrepris, en commençant par les plus urgents. Il s’agit d’abord de consolider plusieurs parties du monument comme les remparts du village et les bâtiments romans, avant d’entreprendre la restauration du troisième niveau gothique comprenant notamment la Merveille, avec le cloître et le réfectoire. Il se consacre pendant une quinzaine d’année à la restauration de « la Merveille » et écrit quatre ouvrages sur l’édifice. En 1888, il est révoqué du service des monuments historiques alors que sont nées des dissensions avec son dessinateur Émile Sagot et avec les Montois eux-mêmes qui ne lui pardonnent pas son opposition à la digue qu’il appelait « le remblai », et à la demande des députés Lockroy et Bassé qui le considéraient trop proche des idées cléricales. Restitution du Mont-Saint-Michel, Édouard Corroyer, 1873, Paris, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine © Médiathèque de l’architecture et du patrimoine 7 Une maquette à l’histoire tourmentée Les recherches historiques ont permis de déterminer que la maquette a été réalisée au début des années 1880, sans doute à la fois pour expliciter et défendre le projet de restauration, alors contesté, et pour mettre en valeur la virtuosité technique de l’entrepreneur chargé du chantier, Théodore Fouché. La maquette de la Merveille a été réalisée au 1/20 e (5cm/m) avec une extrême précision, qualités qui expliquent que, en 1884, Fouché remporte une médaille à l’exposition des Arts décoratifs et que, dans la foulée, la maquette soit donnée au musée de Sculpture comparée, comme le précise le registre d’inventaire, par « M. Corroyer architecte et Fouché entrepreneur ». Exposée tout au long de l’histoire du musée puis du Centre de recherche sur les monuments historiques, auquel la collection de maquettes est rattachée, la maquette de la Merveille du Mont-Saint-Michel a néanmoins connu plusieurs déménagements, démontages et remontages successifs qui ont modifié et parfois altéré sa structure et son aspect, entre 1892 et 1995. Présentée au musée à partir de 1884 jusqu’en 1997, la maquette est aujourd’hui en réserve. Son état préoccupant a fait l’objet d’une étude préalable très détaillée qui permet néanmoins d’envisager aujourd’hui sa restauration et son retour au sein des collections permanentes. Édouard Corroyer, Projet de restauration, la façade nord et l’entrée de l’abbaye, photographie d’un plan, 1874. © Conseil général de la Manche, arch. dép. (cl. A. Poirier, fonds Édouard Corroyer, 28 Fi 143) 8 UNE MAQUETTE HORS DU COMMUN Photographie de gauche : salle des hôtes Photographie de droite : détail de l’intérieur des deux salles du bas (aumônerie et salle des hôtes) CAPA/MMF/Anne Chauvet Que représente la maquette? La maquette présente l’architecture de l’abbaye, de manière à rendre perceptible l’audace extraordinaire de cette construction. Elle en donne une vision restaurée, dans l’esprit du projet défendu par Corroyer. La maquette montre l’étagement de la partie nord-est de l’abbaye, les différents systèmes de construction et l’allègement progressif des structures architecturales depuis la tour de défense et la barbacane* du châtelet* jusqu’au réfectoire. Elle offre également une coupe sur le bâtiment est comprenant trois niveaux superposés. À l’étage inférieur se trouvent l’aumônerie, où les pèlerins recevaient le gîte et le couvert, et le cellier. Le niveau intermédiaire abrite, quant à lui, le réfectoire des moines et la salle des chevaliers. Le dortoir et le cloître se situent au dernier niveau. Eléments techniques Contrairement aux autres maquettes de la collection du musée qui sont en plâtre, la maquette de la Merveille est en pierre. Elle est composée d’un certain nombre de blocs (30 cm de hauteur environ) assemblés et sculptés de chaque détail du monument, depuis les assises des parements et les éléments défensifs des parties fortifiées jusqu’à la reproduction de certains aménagements et décors de la Merveille elle-même (chapiteaux*, fenestrages*…), présentée en coupe. Quelques petits éléments sont même taillés à part et assemblés (meneaux des fenêtres, gargouilles*…). Des charpentes viennent compléter cette représentation, donnant à cette maquette toute sa majesté et son élégance verticale. Certaines parties du monument sont montrées en écorché*, le « mur » étant laissé ouvert pour permettre de voir et comprendre l’architecture en profondeur. En outre, il est possible que, dans sa conception originale, la maquette ait été au moins partiellement démontable pour les besoins de l’argumentation et de la description du projet de restauration d’Édouard Corroyer. En effet, certains détails sont sculptés dans des zones presque invisibles lorsque la maquette est assemblée. C’est le cas par exemple des entailles* des marches de l’escalier de la Tour des Corbins. 9 FICHE DESCRIPTIVE Titre : Maquette du châtelet* d’entrée et d’une partie de la « Merveille » du MontSaint-Michel Statut : maquette appartenant aux collections de la Médiathèque de l’Architecture et du Patrimoine, en dépôt au musée des Monuments français, département Patrimoine de la Cité de l’architecture & du patrimoine, inv. CRMH 37 Matériaux et techniques : Maquette en calcaire de l’Oise (analyse réalisée par le Laboratoire des Monuments historiques en 1980) pour le bâti et en bois pour les charpentes et toitures, avec des compléments en plâtre (joints, escarpements) dus à des restaurations antérieures Date : réalisée avant 1884 par l’entrepreneur en maçonnerie Théodore Fouché, sur les indications d’Édouard Corroyer (1835 – 1904), architecte des monuments historiques chargé de la restauration du Mont-Saint-Michel Dimensions (cm) : L. 228 ; P. 169 ; H. 260 ; H. socle : 50 Echelle : 1/20e (5 cm pour 1 m) Façade ouest : vue d’ensemble, CAPA/MMF/Anne Chauvet 10 LEXIQUE D’ARCHITECTURE GOTHIQUE Barbacane : désignait au Moyen Âge un ouvrage de fortification avancé qui protégeait un passage ou une porte, et qui permettait à la garnison d'une forteresse de se réunir sur un point saillant à couvert, pour faire des sorties, pour protéger une retraite ou l'introduction d'un corps de secours. Chapiteau : élément décoratif de forme évasée qui couronne une colonne et lui transmet les charges qu'elle doit porter. Châtelet : ouvrage de défense construit au devant d’une place forte ou d’un pont. Le sens est alors proche de celui de barbacane. On parle également de châtelet pour désigner un ensemble fortifié compact destiné à défendre une porte. Ecorché : représentation d’une maquette permettant de faire apparaître les parties importantes de la structure intérieure d’un bâtiment. Entaille : ouverture plus ou moins grande que l'on fait pour lier une pièce avec une autre. Fenestrage : élément décoratif composant et subdivisant les grandes baies des édifices religieux de l’époque gothique. Gargouille : canalisation placée au sommet d’un édifice à l’extrémité d’une gouttière et permettant l’évacuation des eaux de ruissellement à bonne portée d’un mur. Les gargouilles sont généralement soigneusement sculptées. 11 LA RESTAURATION Un état de conservation alarmant et dégradé L’étude préalable, réalisée par un restaurateur de sculpture, a montré l’importance des altérations structurelles liées aux défauts du calage actuel des éléments de pierre constitutifs de la maquette et à l’insuffisance de son support en bois. Quelles interventions réaliser? Un démontage partiel et une reprise très importante de ces calages sont indispensables pour stabiliser la maquette et permettre de la transporter et de la présenter à nouveau malgré son poids (une tonne environ) et sa fragilité. Par la suite, la restauration de la surface, aujourd’hui très hétérogène du fait des interventions antérieures successives et de nombreux ajouts en plâtre, rendra à la maquette un aspect proche de celui qu’elle avait à l’origine, celui d’une pierre blonde, mettant ainsi en valeur l’extraordinaire qualité de la mise en œuvre, et soulignant l’élégance de l’ensemble et la finesse des détails. L’intervention de conservation-restauration est estimée à 155 jours de travail. Façade nord, détail de la Tour Claudine, CAPA/MMF/Anne Chauvet 12 L’EXPOSITION MERVEILLE D’ARCHITECTURE GOTHIQUE Le retour de la maquette à la Cité s’accompagnera d’une exposition-dossier dans les galeries du musée. Cet événement permettra d’illustrer les caractéristiques de l’architecture gothique classique parfaitement maîtrisée de cette première moitié du XIIIème siècle. La maquette révèle les enjeux des restaurations menées par Édouard Corroyer, épisode clé de la politique de sauvegarde des Monuments historiques qui a tant marqué le XIXème siècle et qui a conduit en partie à la création du musée de Sculpture comparée, ancêtre du musée des Monuments français. On peut pour cela évoquer l’état du monument avant sa restauration à partir de 1874 (fonds photographique aux archives départementales de la Manche) et le projet d’Edouard Corroyer (fonds conservé à la MAP). Différents fonds témoignent de cette page de l’histoire du monument : fonds Hyacinthe-César Delmaet (1828-1862), fonds Louis-Emile Durandelle (1839-1917), service des collections de l’ENSBA, etc. Grâce à un reportage photographique et audiovisuel, l’exposition retracera les étapes de la restauration de la maquette et la nécessité imposée aux restaurateurs de trouver des solutions novatrices et tout spécialement adaptées pour pallier les désordres structurels et les altérations de surface de cette œuvre exceptionnelle. Enfin, l’exposition rendra hommage à tous les mécènes, entreprises et individuels, qui auront accepté de soutenir ce projet. 13 Galerie des moulages, Salle Davioud, CAPA, photo Nicolas Borel CALENDRIER Juillet - Août 2014 20 et 21 Septembre 2014 Septembre - Novembre 2014 Novembre - Décembre 2014 Janvier 2015 2015 Façade nord : vue d’ensemble, CAPA/MMF/Anne Chauvet 14 Restauration Phase 1 Démontage des parties à recaler; réalisation de la structure métallique de renfort Présentation de la maquette et du projet de restauration aux Journées Européennes du Patrimoine Campagne de crowdfunding Restauration Phase 2 Mise en place de la structure de renfort, remontage des éléments et nettoyage de l’ensemble Restauration Phase 3 Installation en salle, remontage des parties supérieures et travaux de finition (joints, retouches) Exposition Merveille d’architecture gothique Façade ouest ; détail de la cour de la Merveille , CAPA/MMF/Anne Chauvet PLAN DE COMMUNICATION Le plan de communication sera disponible très prochainement. 15 PARTICIPER A LA RESTAURATION DE LA « MERVEILLE » Pour soutenir ce projet de la saison 2014, dont le budget global est estimé à 150 000€, la Cité de l'architecture & du patrimoine recherche des partenaires financiers. En participant à ce projet de restauration, Vous marquez votre attachement au patrimoine national et à son rayonnement international. Vous prenez part à un projet ambitieux et indispensable pour la politique de sauvegarde des Monuments historiques. Vous contribuez à la diffusion de la culture architecturale auprès du grand public. Les contreparties offertes par la Cité La Cité associe étroitement ses partenaires et mécènes aux activités en lien avec l'exposition ou le programme soutenu : vernissage, visites privées en avantpremière, rapports privilégiés avec les artistes, participation aux ateliers sur des séquences dédiées… Elle accorde également une grande importance à l'intégration des partenaires à la vie de l'établissement afin d'entretenir une relation active et enrichissante : petit-déjeuner annuel des partenaires, soirées de gala... Les avantages fiscaux du don Conformément à la loi de 2003 sur le mécénat, l’entreprise donatrice bénéficie d’une réduction d’impôts de 60% de son versement. En contrepartie, les dispositions législatives permettent à l’établissement bénéficiaire d’offrir au mécène, en respectant un principe de disproportion marquée entre don et contreparties, des mises à disposition d’espaces, de la billetterie et de la visibilité à travers le plan de communication du programme soutenu. 100 000 € Mécénat 16 60 000 € Réduction d’impôts 20 000 € Contreparties 20 000 € Coût réel S’ENGAGER AUX CÔTÉS DU GRAND PUBLIC Afin d’associer chacun d’entre nous à cette opération de restauration essentielle, la Cité de l’architecture & du patrimoine fait appel à la générosité publique en organisant une campagne de crowdfunding de septembre à novembre 2014, sur une plateforme de don en ligne . Il s’agit d’une démarche inédite pour notre établissement à laquelle nous vous proposons de vous associer via le mécanisme d’abondement : pour chaque euro versé par un internaute, l’entreprise partenaire s’engage à verser un euro dans la cagnotte en ligne. L’entreprise partenaire bénéficie ainsi de la visibilité induite par la campagne de crowdfunding. - Mention et logo sur la page de collecte - Mention sur le bulletin de souscription papier 17 CONTREPARTIES POUR LES ENTREPRISES La Cité de l’architecture & du patrimoine propose à l’entreprise mécène un large choix de contreparties lui permettant de valoriser son action auprès de ses collaborateurs et de ses partenaires commerciaux ou institutionnels. Les contreparties de mises à disposition d’espaces permettent à l’entreprise donatrice d’organiser des événements tels que réceptions de prestige dans la galerie des moulages du musée, séminaires dans l’auditorium, ou encore cocktails sur les terrasses des espaces partenaires de la Cité, visites privées de l'exposition.... Les contreparties peuvent être définies « à la carte » avec le mécène, dans la limite de 20% de contreparties, et ce dans le respect de la loi de 2003 sur le mécénat. Les contreparties de communication proposées autour de l’exposition : • Présence du logotype du partenaire sur les outils de communication de l’exposition : cartons d’invitation, affiches, communiqués, dossiers et annonces presse, • Mention sur la signalétique intérieure et extérieure de l’exposition, • Reprise du logo sur le site Internet de la Cité et création d’un lien vers le site du partenaire, • Invitations à l’inauguration de l’exposition, organisation de visites privatives en présence des commissaires ainsi que mise à disposition de billets gratuits pour les clients ou collaborateurs (toutes contreparties valorisées dans le cadre de la convention de partenariat). Des contreparties d'accès aux expositions et des visites privatives, avec ou sans accompagnement, sont également offertes aux mécènes. Il est également possible d'accéder via les contreparties à la programmation de l'auditorium, qui présente régulièrement conférences et cours publics d'architecture. Enfin, des formules permettent de combiner une réception à des visites libres des collections et expositions. 18 CONTACTS Guillaume de la Broïse Directeur du développement et du mécénat [email protected] +33 (1) 1 58 51 50 10 +33 (1) 1 58 51 59 91 David Madec Directeur de la communication et des partenariats [email protected] +33 (1) 1 58 51 52 80 +33 (1) 1 58 51 59 91 Cité de l’architecture & du patrimoine www.citechaillot.fr 1, place du Trocadéro et du 11 Novembre 75116 Paris +33 (1) 1 58 51 52 00