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Manipuler un document PDF Zoom Pour faire un zoom, allez dans le menu Menu : Affichage > Zoom Options les plus intéressantes : • Zoom de sélection • Redistribuer Changer de zoom : • Clic droit souris + Pleine largeur Sortir du zoom : • Clic droit souris + Sélection (ou Main) Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, polis par les ans, décoreraient notre chambre ; les plus rares fleurs mêlant leurs odeurs aux vagues senteurs de l’ambre, les riches plafonds, les miroirs profonds, la splendeur orientale, tout y parlerait à l’âme en secret sa douce langue natale. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux dormir ces vaisseaux dont l’humeur est vagabonde ; c’est pour assouvir ton moindre désir qu’ils viennent du bout du monde. — les soleils couchants revêtent les champs, les canaux, la ville entière, d’hyacinthe et d’or ; le monde s’endort dans une chaude lumière. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, polis par les ans, décoreraient notre chambre ; les plus rares fleurs mêlant leurs odeurs aux vagues senteurs de l’ambre, les riches plafonds, les miroirs profonds, la splendeur orientale, tout y parlerait à l’âme en secret sa douce langue natale. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux dormir ces vaisseaux dont l’humeur est vagabonde ; c’est pour assouvir ton moindre désir qu’ils viennent du bout du monde. — les soleils couchants revêtent les champs, les canaux, la ville entière, d’hyacinthe et d’or ; le monde s’endort dans une chaude lumière. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, polis par les ans, décoreraient notre chambre ; les plus rares fleurs mêlant leurs odeurs aux vagues senteurs de l’ambre, les riches plafonds, les miroirs profonds, la splendeur orientale, tout y parlerait à l’âme en secret sa douce langue natale. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux dormir ces vaisseaux dont l’humeur est vagabonde ; c’est pour assouvir ton moindre désir qu’ils viennent du bout du monde. — les soleils couchants revêtent les champs, les canaux, la ville entière, d’hyacinthe et d’or ; le monde s’endort dans une chaude lumière. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. 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Contrastes & Couleurs Pour améliorer la lecture, vous réglez le contraste et les couleurs en cliquant sur Menu : Edition > Préférences > Accessibilité > Options des couleurs du document > Remplacer les couleurs du document Exemple : • • fond gris, texte noir fond noir, texte blanc Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, polis par les ans, décoreraient notre chambre ; les plus rares fleurs mêlant leurs odeurs aux vagues senteurs de l’ambre, les riches plafonds, les miroirs profonds, la splendeur orientale, tout y parlerait à l’âme en secret sa douce langue natale. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux dormir ces vaisseaux dont l’humeur est vagabonde ; c’est pour assouvir ton moindre désir qu’ils viennent du bout du monde. — les soleils couchants revêtent les champs, les canaux, la ville entière, d’hyacinthe et d’or ; le monde s’endort dans une chaude lumière. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, polis par les ans, décoreraient notre chambre ; les plus rares fleurs mêlant leurs odeurs aux vagues senteurs de l’ambre, les riches plafonds, les miroirs profonds, la splendeur orientale, tout y parlerait à l’âme en secret sa douce langue natale. 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Lecture audio Pour se faire lire le texte, cliquez sur : Menu : Affichage > Lecture audio > Activer la lecture audio Les raccourcis clavier sont : Activer la lecture Lire la page Lire jusqu’à la fin Pause Arrêt Maj + Ctrl + Y Maj + Ctrl + V Maj + Ctrl + B Maj + Ctrl + C Maj + Ctrl + E Pour changer la voix par défaut : Menu : Edition > Préférences > Lecture > Options de lecture audio > cocher/décocher les options souhaitées Mon enfant, ma sœur, songe à la douceur d’aller làbas vivre ensemble ! Aimer à loisir, aimer et mourir au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés de ces ciels brouillés pour mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. 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