Ordinateurs portables, année scolaire 2006-2007

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Ordinateurs portables, année scolaire 2006-2007
Dossier de presse
Mont-de-Marsan, le 7 septembre 2006
6 ANS APRÈS AVOIR ÉTÉ LE PREMIER DÉPARTEMENT FRANÇAIS
À FAIRE ENTRER LES ORDINATEURS PORTABLES DANS
SES COLLÈGES, LE CONSEIL GÉNÉRAL DES LANDES DRESSE
LE BILAN DE L’OPÉRATION
« UN COLLÉGIEN, UN ORDINATEUR PORTABLE »
ET PREPARE L’ANNEE SCOLAIRE 2006-2007
Une opération ambitieuse désormais inscrite dans les missions
éducatives du Département.
A la rentrée de septembre 2001, le Conseil général des Landes, sous l’impulsion de son Président
Henri Emmanuelli, lançait l’opération « un collégien, un ordinateur portable » qui avait pour objet de
prêter gratuitement et sans caution à chaque collégien de classe de 3e, un ordinateur portable pour la
durée de l’année scolaire. Cette initiative était une première à l’échelle d’un territoire et le département
des Landes faisait alors office de pionnier en la matière. Etendue aux élèves des classes de 4e depuis
septembre 2005, l’opération a pris de l’ampleur et ce sont désormais plus de 8 500 ordinateurs
portables qui seront distribués, en septembre-octobre 2006, lors de la rentrée scolaire à tous les
collégiens landais des 270 classes de 4e et 3e des 34 collèges publics du département.
En 2001, le Département des Landes poursuivait notamment l’objectif d’équiper les familles
gratuitement par l’intermédiaire de leurs enfants scolarisés. Un objectif repris, six ans plus tard, par le
gouvernement qui, le 11 juillet 2006, lors du dernier Conseil Interministériel pour la Société de
l’Information (CISI) lançait la mise en place d’une opération d’équipement des familles avec un
ordinateur à un 1 euro sous forme d’un crédit-bail remboursable sous trois ans.
 Une initiative landaise qui fait des émules
Cette initiative prise par le Conseil général des Landes est donc devenue une référence et a fait des
émules. En France, des actions similaires à l’échelle d’un territoire sur lequel elles ont compétence, sont
actuellement menées par d’autres collectivités territoriales comme les Conseils généraux des Bouchesdu-Rhône et d’Ille-et-Vilaine. A l’étranger, aux USA notamment, dans l’Etat du Maine ou le comté
d’Henrico en Virginie, des opérations d’équipement individuel d’élèves du même âge ont également lieu
notamment sous l’impulsion des enseignants-chercheurs du Massachusset Institute of Technologie
(MIT). Ce sont d’ailleurs les mêmes, qui depuis le sommet de la société de l’information à Tunis en
décembre 2005 travaillent sur un projet à l’utopie gigantesque : « one laptop per children » (OLPC) un
ordinateur simplissime, produit pour environ 140 $, destiné aux enfants des pays émergents à base de
composants peu gourmant en énergie et de logiciels libres et qui ambitionne de commencer avec 5 ou
10 millions de pièces ! De quoi conforter, s’il en était besoin, le Département des Landes qu’il est bien
orienté dans le sens de l’Histoire…
CONTACT PRESSE
Jean-Philippe LECOCQ / Leslie BOUTIN
PROFILE PRESSE
Tél. 01 46 05 12 67
mèl : [email protected] / [email protected]
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 Avec l’opération « un collégien, un ordinateur portable », le département
des Landes creuse l’écart avec ses voisins d’Aquitaine
Depuis le début de l’opération, près de 20 000 collégiens et leurs familles ont ainsi pu se familiariser
concrètement avec les outils de la « société de l’information » pendant au moins une année: les effets
se diffusent maintenant dans l’ensemble des foyers landais.
C’est ce qu’il ressort des résultats de la seconde étude menée en octobre 2005 par l’agence Aquitaine
Europe Communication. Le diagnostic démontre nettement l’avancée prise par le département des
Landes en matière d’équipement et d’utilisation des outils informatiques dans les foyers. Désormais le
taux d’équipement des familles landaises, en dehors des familles concernées par l’opération « un
collégien, un ordinateur portable », est supérieur de 5 points à la moyenne aquitaine et ce pour toutes
les classes d’âges.
Lorsque l’on ausculte la population des familles de collégiens concernés par l’opération, on s’aperçoit
que 25 % de ces familles disposent de plus d’un ordinateur à la maison contre 16 % en moyenne en
Aquitaine. Le taux d’équipement des familles avec enfant de moins de 11 ans est aujourd’hui de 82 %,
soit 5 points de plus que la moyenne aquitaine. Pour les foyers avec enfants de 15 à 18 ans, ce taux
monte même à 84 % … En ce qui concerne le taux de connexion à l’Internet, celui-ci est supérieur de
20 points à la moyenne aquitaine : 82 % pour les familles de collégiens, et 76 % pour celles comportant
un enfant de moins de 11 ans. Chez ces dernières, la progression est considérable : + 73 % en un an.
L’opération « un collégien, un ordinateur portable » et les actions de communication qui l’ont
accompagnée ont eu un impact : désormais les Landes font office de département pilote en ce qui
concerne l’introduction et l’utilisation d’outils informatiques et d’Internet au collège mais également à
domicile.
Nombreux sont les professeurs de départements limitrophes ou plus éloignés qui « s’émerveillent » de
toutes les possibilités offertes aux élèves et aux enseignants landais au moment où disposer d’un
ordinateur portable et d’une connexion à Internet sont en passe de devenir des produits de base
intégrés dans l’estimation du niveau de vie de toute une population.
 Des assistants informatiques toujours utiles…
La fin programmée du contrat des 42 emplois-jeunes, embauchés en 2001 et 2002 par l’Education
nationale pour intervenir localement et au quotidien dans les collèges sur les petits incidents et gérer le
parc informatique, est vécue dans les collèges comme un handicap à l’utilisation. Ceux qui pensaient,
il y a six ans, que les pratiques et les usages se généralisant, on n’aurait plus besoin de ces postes
d’assistants informatiques, en sont pour leur frais ; leur présence rassurante, leur disponibilité tout au
long de la semaine, leur sens des responsabilités pour la gestion des petits incidents matériels ou
réseaux, tout cela pourrait manquer.
C’est la raison pour laquelle, le Conseil général envisage de doter dès octobre 2006, les collèges d’une
subvention nécessaire à l’embauche directe d’un assistant d’éducation, contractuel pour trois ans
renouvelable une fois. Ce mode de recrutement sera directement géré par les établissements, le
Département demandant au Ministre de l’Education Nationale de comptabiliser ces emplois existants
depuis cinq années dans la liste des emplois transférés dans le cadre de l’acte II de la décentralisation.
 L’usage du multimédia en classe et dans le cours
Avez-vous pu observer les schémas papier utilisés par les enseignants pour expliquer aux élèves les
phases de la Lune ? Ou bien avez-vous essayé avec vos mains de faire comprendre à un collégien que
vous pouvez calculer le volume d’une balle de tennis en approximant celui-ci par une superposition de
cylindres, que plus vous découpez finement en cylindres plus vous vous rapprochez du volume exact ?
Il faut vraiment avoir la foi ou tomber sur une classe plutôt douée pour espérer leur faire comprendre
ces phénomènes sur un schéma à deux dimensions. Aujourd’hui travailler à l’élaboration d’animations
3D permet à l’élève d’observer et de mieux comprendre ces systèmes.
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Dans la classe, l’outil multimédia peut renforcer l’efficacité de l’acte pédagogique en associant de
manière dynamique le visuel et la parole de l’enseignant. De nombreuses pistes ont été validées par les
corps d’inspection ces dernières années : la compréhension de certains phénomènes naturels en
sciences expérimentales (géologie, biologie ou astronomie par exemple), l’approche de la géométrie en
mathématique, la cartographie en histoire-géographie, l’analyse de l’image en arts plastiques et en
lettres, etc. Depuis trois ans maintenant le Conseil général décidait d’abonner ses 34 collèges à des
banques de données numériques telles que les ressources de la chaîne publique France 5 (lesite.tv) ou
encore celles de l’Institut National de l’Audiovisuel (Jalons pour l’histoire du temps présent). A l’occasion
de cette rentrée, d’autres ressources multimédia ont été rajoutées sur les ordinateurs des collégiens :
un logiciel de sismologie, 300 animations flash en sciences, une nouvelle version d’un logiciel servant
aux élèves à concevoir des cartes, etc.
Notre priorité commune avec l’Education Nationale est de faire en sorte que les élèves sortent du
collège en maîtrisant la langue française. Il ne doit pas y avoir opposition, mais bien au contraire
complémentarité, entre une culture traditionnelle de l’écrit et du livre et la culture émergente du
multimédia. Les élèves doivent lire davantage, mais surtout produire des textes ou des oraux à partir
desquels l’enseignant peut pleinement mesurer leurs acquis. De ce point de vue, la pratique de la
présentation orale assistée par ordinateur (PréAO) est encore insuffisamment utilisée. Elle permet
pourtant de placer l’élève en situation motivante, l’amenant à s’exprimer efficacement devant un groupe,
quelle que soit la discipline, à l’aide d’un plan structuré.
Les portables disposaient déjà d’outils de PréAO, mais à l’occasion de cette rentrée scolaire nous
avons voulu faire un effort supplémentaire et décidé d’équiper les ordinateurs d’un puissant outil
d’apprentissage visuel destiné à développer et à organiser des idées. Cet outil qui nous vient du
Canada permet de représenter graphiquement des concepts, des pensées ou des mots, et de les
mettre en relation entre eux. En « mode schéma », on obtient une représentation visuelle de la pensée,
et en « mode plan », les idées sont organisées de manière hiérarchisée, ce qui facilite la rédaction
éventuelle d’un texte.
D’une manière générale, le Rectorat et les corps d’inspection veilleront à l’utilisation des pratiques et de
ces ressources qui, nous l’espérons, susciteront une attention et une participation accrues des élèves.
 Les vidéoprojecteurs et les tableaux interactifs… des outils dont l’usage
au quotidien s’accroît encore pour les enseignants landais.
Le Rectorat de Bordeaux qui s’est fixé comme priorité de travail l’usage du multimédia en classes porte
également ce dossier via les équipements de visualisation collective, tableaux numériques ou
vidéoprojecteurs. C’est la raison pour laquelle, il a beaucoup insisté au cours de l’année précédente
pour qu’au moins la moitié des 400 vidéoprojecteurs et des 110 tableaux interactifs soient fixés aux
murs et plafonds des collèges, diminuant ainsi de moitié le temps initial de branchement, de calibration
et favorisant ainsi leur utilisation dans des salles dédiées aux enseignants. Cela semble porter ses
premiers fruits observables d’après une enquête menée par le Rectorat de Bordeaux en mars et
juin 2006, l’augmentation par les enseignants des usages de ces outils ayant progressé de 50 %.
 L’évaluation pédagogique : un long et difficile exercice.
Lorsque l’on étudie les pratiques et les usages des différents matériels informatiques mis à la
disposition des enseignants et des collégiens, on s’aperçoit fort heureusement que ceux-ci varient d’une
année sur l’autre. Au cours des différentes enquêtes, études et évaluations menées depuis 2001 par
différentes institutions (disponibles sur les sites www.landesinteractives.net et www.acbordeaux.fr/landes), on a souvent tenté de créer une typologie des disciplines les plus utilisatrices de
l’outil informatique afin de décerner bons points et matériels supplémentaires aux enseignants
concernés.
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Le système éducatif français ne s’évalue pas facilement et simplement. Cela est d’autant plus vrai dans
ce genre d’opération « pilote », mais il est néanmoins étonnant, par exemple, que ses nombreuses
enquêtes ne portent que très rarement sur la pertinence de ces usages et des pratiques des élèves,
comme si ce qui comptait était la quantité d’heures d’utilisation et non la plus-value que peuvent
apporter ces outils et ces logiciels. De la même manière, il manque une étude et une évaluation des
usages à domicile : tant les usages scolaires que ceux qui, au premier abord, le seraient moins.
Ceci dit, comme il n’existe pas d’autres études, le Département prend son mal en patience…
 Des outils informatiques au secours de langues vivantes
A l’heure où l’Europe s’élargit, l’ouverture des collégiens vers d’autres langues, d’autres cultures,
d’autres modes de vie doit être renforcée. Le Rectorat de Bordeaux a depuis deux ans mis l’accent sur
les langues vivantes et s’est efforcé de combler le retard des élèves dans l’apprentissage des langues
étrangères.
Dans ce domaine, l’informatique et l’Internet offrent des possibilités déjà expertisées. Outre la possibilité
de se connecter via Internet à l’actualité quotidienne et aux médias de ces pays, elles donnent surtout
l’opportunité pour chaque collégien de 4e et de 3e de disposer chez lui, pour s’entraîner, d’un véritable
micro-laboratoire de langue.
Tous les spécialistes reconnaissent qu’une immersion auditive prolongée dans la langue étudiée,
accompagnée d’une approche pédagogique fournie en classe, renforce l’apprentissage de cette langue
vivante. Nous sommes convenus avec le Rectorat d’encourager les élèves à travailler davantage et
mieux, en leur proposant des documents sonores attractifs et variés. Les 5 manuels scolaires
numériques d’anglais et d’espagnols fournis cette année avec les ordinateurs portables de 4e ou de 3e
contribuent à cette réalisation.
 Les ressources numériques, les choses avancent… lentement !
L’un des grands débats mis à jour par les différentes opérations d’équipements d’élèves comme celles
des Bouches-du-Rhône, d’Ille-et-Vilaine et des Landes concerne l’existence et la pertinence de
ressources numériques adaptées à un usage scolaire en classe comme en autonomie.
Un ordinateur sans ressource, c’est une coquille vide. Peut-on demander à chaque enseignant de créer
lui-même les ressources qu’il utilisera au cours de l’année ? Assurément, peu seraient en capacité de le
faire, tant la prise en compte de ces nouveaux outils par les IUFM a hélas été tardive. L’existence de
ressources numériques adaptées aux programmes et pertinentes dans leurs usages et pratiques,
demeure donc toujours un sujet d’actualité même si depuis 2001 des avancées significatives en la
matière ont eu lieu.
Car les éditeurs ont fait des avancées en 5 ans et se sont regroupés pour mutualiser leur force de
vente. Ils y ont été incités par le Ministère de l’Education Nationale qui a mis successivement en place
les programmes ENEE puis ENS, qui ont abouti sur la définition d’un schéma national des applications
numériques (SCHENE). Mais comment l’édition numérique peut-elle trouver sa place dans un marché
où les collectivités locales et l’Etat procèdent à l’achat de « ressources pédagogiques » sans toujours
se concerter ?
A cet égard, le partenariat entre le Conseil général des Landes et le Rectorat de Bordeaux peut se
prévaloir d’une coordination exemplaire en ce domaine. Chaque année, depuis trois ans, les éditeurs
sont sollicités ensemble par les deux structures. Pour l’année 2006-2007, cinq manuels de langues
vivantes (anglais et espagnol en 4e et 3e), mais également plus de 300 animations scientifiques
(biologie, géologie, astronomie, physique, chimie, mathématiques) et près de 75 logiciels ont été
ajoutés ou mis à jour dans les ordinateurs portables des collégiens landais.
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 Et les collégiens landais dans tout cela ? Ils sont comme tous les Français
du même âge : adeptes de la communication à distance et de la recherche
d’information. Seule différence : ils sont près de 20 000, depuis septembre
2001, à avoir pu le faire grâce à la politique volontariste menée par le
Département !
La synthèse d’une vaste étude (*) menée en France et dans 8 autres pays européens auprès de 9 000
jeunes de 12 à 18 ans par Mediappro et la Commission Européenne, entre janvier 2005 et juin 2006,
résume assez bien la situation des collégiens landais :
« La relation que les jeunes Français de 12-18 ans entretiennent avec Internet et les médias
électroniques a beaucoup changé depuis 2000. La pratique s’est généralisée massivement et les
usages se sont ancrés autour de deux pôles : la fréquentation de sites, surtout pour le travail scolaire, et
la communication à distance, avec tous les services à disposition (téléphone portable, messagerie
instantanée et dans une moindre mesure le courrier électronique). Les jeunes ont intégré ces médias
dans leur vie quotidienne, de façon régulière mais modérée, comme des services disponibles en
fonction des priorités du moment.
Leur relative aisance dans l’utilisation des médias électroniques s’est construite avant tout par
tâtonnements personnels et par des échanges avec leurs amis. La télévision leur a permis de construire
une culture, plutôt approximative, sur les risques d’usage d’Internet. Les 12-18 ans sont aujourd’hui très
majoritairement au courant des écueils que peut réserver la fréquentation d’Internet. Ils les vivent
comme des nuisances dont il faut bien s’accommoder, acceptent les limitations, les interdictions et les
règles tant qu’elles sont explicitées et qu’elles leur permettent de concilier leur vie familiale et leur vie
sociale avec leurs pairs. Ils entretiennent plutôt une relation de confiance avec leurs parents et l’école
sur ces questions. Toutefois, malgré leurs pratiques importantes et leur intérêt pour ces médias, ils se
révèlent moins compétents qu’ils ne le pensent et ne le disent. Ils ne maîtrisent pas toujours les notions
et les termes leur permettant de décrire et d’expliciter leurs pratiques, ou de construire leur propre point
de vue sur ces médias. Ils ont aujourd’hui besoin d’approfondir des capacités qui restent souvent
superficielles, des connaissances le plus souvent très floues. La plupart d’entre eux perçoivent les
médias électroniques comme des technologies en mouvement et adoptent rapidement les nouvelles
évolutions, mais même à 17 ans, ils n’ont pas d’idée claire sur leur impact sociétal. Ils demandent de
l’aide pour mieux utiliser les médias électroniques, développer des habiletés, mieux comprendre les
mécanismes qui sont à l’oeuvre dans la production d’informations en ligne comme dans la
communication à distance, acquérir des compétences critiques.
L’école, centrée sur les apprentissages techniques et la recherche d’information, ne répond que peu à
ces besoins ; pour protéger, elle encadre et limite les pratiques au point de les rendre quasiment
impossibles. La maison, lieu d’appropriation par excellence, reste le lieu de toutes les
expérimentations. »
(*) Étude disponible sur le site du CLEMI http://www.clemi.org/international/mediappro/Mediappro_b.pdf
A NOTER – A NOTER – A NOTER- A NOTER
Le Conseil général des Landes organise les 5 et 6 octobre 2006
au centre de séminaire de Moliets-et-Maâ (sur la côte landaise)
un colloque «ORDINATEURS PORTABLES, ENSEIGNEMENT ET TIC:
QUEL BILAN TIRER APRÈS CINQ ANNÉES D’USAGES ?
QUELLES AVANCÉES ? QUELS FREINS ? QUEL AVENIR ? »
En partenariat avec le Rectorat de Bordeaux, l’Inspection académique des Landes
et le Centre Régional de Documentation Pédagogique d’Aquitaine
Renseignements et inscriptions par téléphone au 04.92.07.86.64
et par mèl à l’adresse suivante : [email protected]
- www.landesinteractives.info 5

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