1 – la généalogie, pourquoi ? comment

1 – LA GÉNÉALOGIE,
POURQUOI ? COMMENT ?
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Définition :
- En grec ancien,"genea
"est un mot fé
ancien,"genea"est
féminin : gé
génération ; race, famille ; naissance
qui donne "genealogia
"genealogia"" : gé
généalogie, qui donne un verbe "genealogein
"genealogein"" : faire la
généalogie de quelqu'un "genos
". Il
"genos"" est un mot neutre dont le pluriel est "genea
"genea".
signifie"naissance","origine".Ils sont l'un comme l'autre lié
liés à la racine indoindoeuropé
"/"gon"/"gn
gn".
". Le franç
européenne"gen
enne"gen"/"gon"/"
français"gé
ais"généalogie"vient du premier (genea
(genea)) en
passant par le bas latin"genealogia
". (source : communication d'Alain Burgeon sur
latin"genealogia".
fr.rec.genealogieen1998). D'aprè
D'après le dictionnaire Larousse, le mot gé
généalogie vient du
grec :"genos
", race et "logos", science. On peut donc dé
:"genos",
définir la gé
généalogie comme la
science qui a pour objet l'é
l'établissement de l'origine et de la filiation des familles. Le
généalogiste est celui qui établit les gé
généalogies des familles.
- La Gé
tude de
Généalogie est la science qui a pour objets la recherche de l’l’origine et l’é
l’étude
la composition des familles. Une gé
dénombrement des
généalogie est la liste, le dé
membres d’
d’une famille établissant une filiation.
- La gé
glise interdit les mariages
généalogie pré
présenta une grande importance lorsque l’É
l’Église
entre personnes lié
liées par un trop petit nombre de degré
degrés de parenté
parenté.
Qui rechercher ?
- Vous pouvez ne vous inté
intéresser qu’à
qu’à la ligné
lignée de vos ancêtres portant votre nom
(ascendance agnatique). C’
C’est un choix, mais n’
n’oubliez pas que vous descendez à
égalité
galité de chacun de vos parents. Il vous sera conseillé
conseillé de rechercher l’l’ensemble de
vos ancêtres, dont le nombre, bien évidemment double à chaque gé
génération et de
noter toutes informations concernant les collaté
collatéraux.
- La dé
tablissement d’
démarche habituelle qui suit l’é
l’établissement
d’une gé
généalogie bien garnie, est la
recherche de tous les descendants de tel ou tel personnage de vos
vos ancêtres, choisi
selon des critè
trouvé
critères qui sont tout à fait personnels : le plus ancien que vous ayez trouvé
(momentané
(momentanément !), celui dont l’l’activité
activité vous plaî
plaît plus particuliè
particulièrement ou dont la
position sociale vous sé
séduit.
Les Sources de la Généalogie
- L’État
’État civil existe depuis 1792, tenu sur des registres en double exemplaire par les
officier d’É
tat civil. Un des exemplaires est conservé
d’État
conservé à la Marie, l’l’autre au Greffe du
Tribunal. Des tables dé
décennales sont ré
réguliè
gulièrement établies. AuAu-delà
delà d’un dé
délai de 100
ans, les registres du Greffe sont versé
versés aux Archives dé
départementales concerné
concernées.
Les communes de moins 2000 habitants sont tenues de verser
verser leurs registres de plus
de cent ans (dont elles restent proprié
propriétaires) aux Archives dé
départementales.
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- Les registres paroissiaux institué
institués par l’l’Ordonnance de VillersVillers-Cotterets de
1536, mais ne sont à peu prè
près gé
généralisé
ralisés que depuis 1650 environ. Certains registres
sont cependant plus anciens. Il subsiste huit registres paroissiaux
paroissiaux anté
antérieurs à 1500.
Le plus ancien est celui de Givry (Saône et Loire), datant de 1334.
1334. Dans le diocè
diocèse de
Nantes, l’É
vêque prescrit aux curé
l’Évêque
curés, en 1406, la tenue de registres de baptêmes. A
RozRoz-Landrieux (Ille(Ille-etet-Vilaine), il existe un registre de baptêmes de 1451. Ces registres
registres
sont tenus en deux exemplaires depuis 1668 environ. Une collection
collection est conservé
conservée à la
Mairie où
où elle a été entreposé
entreposée en 1793, l’l’autre aux Archives dé
départementales
concerné
concernées (idem pour les communes de moins de 2000 habitants). Ces registrent
registrent
paroissiaux continuent d’
glise et constituent ainsi une source
d’être tenus par l’É
l’Église
complé
complémentaire importante pour supplé
suppléer d’
d’autres documents disparus.
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►
Délai de communication des documents
Loi du 3 janvier 1979 sur les archives et dé
décret d’
d’application du 3 dé
décembre suivant :
les archives publiques sont normalement communicables aprè
après un dé
délai de 30 ans à
l’exception des documents suivant :
- documents publics mettant en cause la vie privé
privée des personnes ou l’l’inté
intérêt de
l’État
’État : 60 ans
- dossiers judiciaires, minutes et ré
répertoires des notaires et commissairescommissaires-priseurs,
registres d’É
tat civil, enregistrements : 100 ans
d’État
- dossiers de personnel militaire : 120 ans (à
(à compter de la date de naissance des
inté
intéressé
ressés)
- dossiers contenant des renseignements de caractè
caractère mé
médical : 150 ans (à
(à compter de
la date de naissance des inté
intéressé
ressés)
Les registres d’É
tat civil et les registres paroissiaux de plus de 100 ans sont donc
d’État
donc
librement consultables sur microfilms aux Archives dé
départementales.
En ce qui concerne l’É
tat civil de moins de 100 ans, on peut obtenir des copies
l’État
inté
intégrales ou des extraits des actes dans les conditions suivantes :
- actes de dé
décès : les copies peuvent être dé
délivré
livrées à tous les demandeurs
- copies inté
livrées qu’à
qu’à la
intégrales des actes de naissance et mariage : ne sont dé
délivré
personne concerné
concernée par l’l’acte (ascendants, descendants, conjoint ou son repré
représentant
légal).
- extraits d’
d’actes de naissance et mariage : dé
délivré
livrés à tous les demandeurs.
Nota
Actuellement tous les registres d’É
tat civil et paroissiaux ont tous été microfilmé
d’État
microfilmés par
les MORMONS. Les copies de microfilms, pré
préservant les registres trop abî
abîmés par les
manipulations, peuvent être consulté
consultées sur des lecteurslecteurs-reproducteurs aux Archives
départementales. Il est possible de faire venir un microfilm d’
d’un dé
département, aux
Archives dé
départementales de son domicile à la seule condition que ledit dé
département
en fasse le prêt (nombre de copies suffisantes). De plus en plus, les Archives
départementales mettent en ligne les registres d’É
tat civil et paroissiaux
d’État
(voir liste page 36).
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