Analyse filmique de La Belle et la Bête par les 6°5

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Analyse filmique de La Belle et la Bête par les 6°5
Analyse filmique de La Belle et la Bête par les 6°5 Adaptation cinématographique de Christophe Gans, 2014 La forme artistique de cette adaptation est un film, mais il y a d’autres images de cette histoire de Madame Leprince de Beaumont : des gravures, des aquarelles, des dessins, des dessins animés. Dans ce film, la Bête est un lion avec des griffes de quatre centimètres, ses yeux sont bleus, il marche comme un humain et il a une cape géante. Elle semble effrayante quand il saute sur la table pendant le dîner avec la Belle. On assiste à la métamorphose de la Bête dans une eau qui soigne, on voit ses griffes se transformer en doigts puis la tête de lion en tête d’homme. La séquence qui m’a plu le plus, c’est quand le chien transformé en petite bête a construit une petite poupée pour la Belle. La séquence qui m’a fait rire, c’est quand les méchants se sont fait écraser par le géant de pierre, mais je n’ai pas aimé quand le cheval est tombé de la colline. On sait pourquoi la Bête est transformée : il avait promis à sa femme qu’il ne chasserait plus la biche dorée, mais il n’a pas tenu sa promesse donc il a été transformé par le dieu de la forêt qui était le père de sa femme. La qualité que la Belle aime chez la Bête est la gentillesse parce qu’il lui a permis d’aller revoir sa famille. Le décor est comme dans un conte : il y a de la neige, des arbres blancs et noirs qui s’écartent au passage de la Belle, et le cheval se guérit tout seul ! Mon personnage préféré est Tristan, le plus jeune frère de la Belle, car il est respectueux. Mika Fischer. Ce qui m’a plu le plus c’est que la Belle change de robe tous les matins : elles sont très belles. Mais je n’ai pas aimé quand elle rêve toutes les nuits ce qui s’est passé avant car c’est trop répétitif. La Bête est très douce avec la Belle, et il lui montre qu’il tient à elle sans trop insister. Il est honnête et il tient ses promesses. Les qualités de la Belle sont qu’elle est courageuse, honnête et serviable. Le décor que j’ai préféré c’est les escaliers du château à l’extérieur : il y a des roses, beaucoup de roses, avec comme de la poussière de fée magnifique. On voit qu’on est dans un conte parce que les escaliers de l’entrée sont très grands et très hauts, avec plein de petites choses magiques. Ambre Henk. La Bête est très monstrueuse, on dirait un lion avec une longue cape rouge. Le monstre a de grandes mains, avec de longues griffes au bout. Il est très réservé et gentil avec les personnes qui le sont avec lui. Vers la fin, on voit que les griffes de la Bête redeviennent des doigts de prince et que ses énormes pieds redeviennent des pieds normaux. La chambre de la jeune fille est très belle, il y a un grand lit et des poutres. Chaque jour il y a une robe différente, on voit qu’on est dans un conte grâce au bassin magique. Je préfère les deux sœurs car elles sont drôles, bêtes et un peu idiotes. Cette histoire est un conte merveilleux car ça finit bien et il y a beaucoup d’événements qui sont magiques. Inas Abdessamad. La Bête ressemble à un lion avec des moustaches, avec des griffes, un costume de prince, et il mange du sanglier : c’est ce qui peut le rendre effrayant. On le voit se transformer en prince ; il se fait mettre dans le lac par la Belle qui lui enlève la flèche d’or : l’eau qui guérit entre dans la blessure et c’est comme ça qu’il redevient un prince. La séquence qui m’a plu le plus c’est la situation finale parce que les géants de pierre tuent tous les méchants. Cette histoire est un conte merveilleux car il y a des choses qui n’existent pas dans la réalité. Quentin Haehnel. La Bête ressemble à un tigre avec une grande cape rouge et une grande veste, mais il a des dents qui ne sont pas pointues. Le moment effrayant est quand le père cueille la rose : une grande tête apparaît et la Bête bondit sur le père. Le moment que j’ai aimé c’est quand la Belle et la Bête vont sur la glace, la Bête la rattrape, il y avait des effets spéciaux. Ce qui m’a fait rire, c’est quand la Bête a donné un coup à quelqu’un, il est parti très loin sans saigner, mais je n’ai pas aimé quand les géants en pierre sont devenus vivants parce qu’il y avait beaucoup trop de son. Ozan Ulusoy. La Bête ressemble à un chat mélangé à un lion, et elle a la carrure d’un loup-­‐garou. Le moment qui m’a effrayée c’est quand la Bête a mangé le sanglier, j’ai eu peur qu’elle dévore aussi Belle. La chambre de Belle est magnifique : il y a un grand lit, de l’eau magique, des petits chiens, une armoire, et chaque jour il y a une nouvelle robe. Camille Hugoud. La Bête ressemble à un gros lion et à un chat, en tout cas dans la famille des félins, il a une grosse gueule, des lèvres marron et une grosse crinière. J’ai bien aimé quand les sœurs de Belle sont choquées car elle est plus belle qu’elles avec ses nouveaux habits. Ce qui était ennuyeux, c’est quand Belle raconte son histoire à ses enfants. La Bête était douce avec elle, il lui faisait son repas. J’ai aussi aimé le père car il était très courageux. Lydia Chikhi. Et pour terminer, voici comment les 6°5 ont imaginé la Bête à leur manière : 

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