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Paris > Angers A11 (300 km)
Nantes > Angers A11 (90 km)
Lyon > Saumur (535 km)
Tours > Angers A85 (125 km)
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Bordeaux > Cholet (315 km)
Cholet > Angers A87 (65 km)
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Paris Montparnasse > Angers (90 mn)
Paris Roissy > Angers (2h30)
Lille > Angers (3h30)
Lyon > Angers (4h)
Strasbourg > Angers (5h)
Marseille > Angers (6h)
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Magazine du Comité
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tourisme de l’Anjou
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Sommaire
Dossier de presse Anjou 2010
en version interactive sur l’Espace Presse
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4 Quoi de NEUF ?
• Terra Botanica, la grande aventure du végétal
• Les étranges élixirs de l’Hôtel-Dieu
• Les coulisses du vin en 4 actes
• À Maulévrier, les courses ont du chien
14 AMBIANCES
6 INCONTOURNABLES 2010
• L’Anjou, fille des eaux et du vent
• Terre généreuse
• Matières précieuses
• Des hommes et des passions
• L’Anjou se partage
• On n’a pas tous les jours vingt ans
• Un quart de siècle et plus encore
8 ZOOMS...
• L’Anjou agrandit son jardin
• L’Anjou le nez au vent
• L’Anjou se partage en famille
19 Carte d’IDENTITÉ
• Curriculum-vitae
• Petite et grande Histoire
• Palmarès économique
• Tourisme en Anjou, de belles lettres et des chiffres
• Le who’s who angevin
12 Idées WEEK-ENDS
• Retour au naturel
• Break en ville
Laurent
Boron
Hélène
Ramsamy
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Quoi de NEUF ?
L’Anjou continue d’exploiter le filon de l’or vert. Les sites touristiques misent plus que jamais sur le végétal, en cultivant un savoirfaire enraciné depuis des siècles. Les nouveautés fleurissent sur tout le territoire. Une bonne raison de s’arrêter sur ces terres fertiles
arrosées par la Loire… et de respirer un fructueux bol d’air.
Terra Botanica, la grande aventure du végétal
> inauguration 10 avril 2010
Terra Botanica, le premier parc à thème européen entièrement
dédié au végétal, fleurit sur 11 hectares aux portes d’Angers
ce printemps 2010. La grande aventure du végétal se révèle en
Anjou dans le 1er parc ludique et pédagogique consacré à l’univers
vert : 110 000 m² de jardins, d’espaces aquatiques et de serres
jalonnés d’une quarantaine d’attractions et animations originales
(projection en 4D, contes, jeux interactifs, parcours sur l’eau, dans
les arbres, cabanes perchées, etc.) et un centre d’affaires particulièrement végétalisé.
Quatre univers, « végétal Convoité », « végétal Généreux »,
« végétal Mystérieux », « végétal Apprivoisé » s’épanouissent
dans un décor extraordinaire et une mise en scène multidimensionnelle. Voyage à travers le temps, l’espace et les sens, Terra
Botanica mêle à chaque instant le spectacle de la nature à la
compréhension du vivant. Une grande aventure à partager entre
petits et grands.
Un chef étoilé en cuisine
En Anjou naturellement
Les visiteurs vont se régaler au restaurant de Terra Botanica :
le chef étoilé angevin, Pascal Favre d’Anne, concocte les
menus ! Toujours ceint d’une veste vert pistache, cet ancien
élève de Marc Veyrat qualifie sa cuisine de « végétale et ludique ».
Salades et « hambur’verts » sont préparés sous les yeux des
clients et selon les goûts de chacun avec des produits frais
fleurant bon le terroir ligérien. Autre motif de satisfaction : le
plaisir de savourer les recettes d’un chef étoilé s’affiche à prix
raisonnable : moins de 10 € pour le menu adulte « Vert i fraîch »
et 6 € pour « Un i Vert », formule qui réjouira les papilles des
enfants. Encore une bonne raison de croquer Terra Botanica
à pleines dents !
Terra Botanica ne pouvait naître qu’en Anjou : 1er producteur
européen d’hortensias ; 1er producteur français pour les plantes
médicinales, la pomme, le cassis, la mâche, le concombre, le
poireau primeur et le radis ; 1er producteur français pour les plantes en pot, les plantes à massif, les jeunes plants de pépinières,
les bulbes, les arbustes en conteneur, l’horticulture ornementale,
les semences potagères et florales et le dahlia ; 2ème producteur
français de rosiers en plein air ; 3ème vignoble avec 30 appellations
d’origine contrôlée. À cela s’ajoute une concentration unique en
Europe d’entreprises, centres de recherche et de formation dans
les filières agricoles, horticoles et viticoles. Tant de premières
places méritaient une distinction supplémentaire. L’Anjou est
depuis 2005 labellisé « Pôle de compétitivité à vocation mondiale »
dans le domaine du végétal spécialisé… et a maintenant une
véritable vitrine !
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Un parc très développement durable
Les processus de conception, de construction et d’exploitation de Terra
Botanica s’inscrivent tous dans la dynamique éco-responsable. Déblais de
terre du chantier réutilisés dans les aménagements paysagers, arrosage des
plantes au goutte-à-goutte, cours d’eau et autres cascades alimentés par l’eau
de pluie stockée dans un bassin de 15 000 m3, plantes épuratoires enracinées
autour des bassins en remplacement de produits phytosanitaires, serres et
bâtiments chauffés par une chaudière mixte bois/gaz, panneaux solaires sur le
toit du restaurant assurant la production d’eau chaude, climatisation du centre
d’affaires assurée par un système de ventilation nocturne, toitures et murs
végétalisés réduisant l’effet de froid et de chaleur en contribuant à l’intégration
des bâtiments dans le paysage... Autant d’initiatives qui inscrivent le parc dans
une démarche raisonnée.
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• 60 000 m² de jardins et paysages
• 275 000 arbres végétaux
• plus de 1 000 arbres remarquables
• 5 km de cheminements
• 5 000 m² d’espaces aquatiques
• 15 000 m² de serres et bâtiments
• 11 ha d’espace de visite
• 17 ha de surface totale
• Tarifs : 10 € (4 à 12 ans) - 17,50 € (+ 12 ans)
50 € forfait famille (max. 5 pers. dont 1 ou 2 adultes)
www.terrabotanica.fr ) 02 41 25 00 00
Johanne Morel, marketing
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Les étranges élixirs de l’Hôtel-Dieu
Hôtel-Dieu de Baugé > saison 2010 - 13 au 28 février et 10 avril au 1er novembre
Des soins du corps aux soins de l’âme… De l’exceptionnelle Apothicairerie
au jardin des simples, en passant par l’immense salle des malades, le réfectoire,
la salle du chapitre et la chapelle baroque, la visite du superbe Hôtel-Dieu de
Baugé plonge dans le quotidien d’un hôpital au XVIIe et XVIIIe siècles et l’art de
soigner autrefois.
Racines, écorces et fleurs séchées poussent à nouveau dans l’ancien cloître
du couvent de l’Hôtel-Dieu, fondé vers 1650 grâce à deux femmes passionnées.
Sur quatre carrés selon leur action sur les humeurs du corps, le jardin des simples cultive les plantes réputées dans la médecine traditionnelle. Ces remèdes
d’autrefois et bien d’autres contenus mystérieux s’alignent sur les étagères torsadées de la fabuleuse apothicairerie de l’hôpital : riche de plus de 650 boîtes en
bois, flacons en verre et autres pots en faïence, cette collection entreposée dans
un écrin de lambris et marqueterie est l’une des plus belles de France.
www.chateau-bauge.com ) 02 41 84 00 74
Yoann Olivier, responsable site
Les coulisses du vin en 4 actes
Caves Langlois-Château > inauguration 29 mars 2010
Ça commence dans une salle de classe d’autrefois… Drôle d’endroit pour une
visite de propriété viticole ! Ce scénario de visite, inédit, imaginé et mis en scène
en quatre actes chez Langlois-Château, dévoile le savoir-faire reconnu de la maison de vins de Saumur.
Acte 1 : les visiteurs écoutent les explications du maître. Sujet du jour écrit
au tableau noir : les grands principes de l’œnologie. C’est le moment d’ouvrir
ses oreilles pour percer le secret de l’élaboration du vin. Acte 2 : après la théorie,
place à la pratique dans les chais. Les apprentis œnologues observent le pressoir fonctionner et découvrent les étapes de la vinification des rouges, blancs et
rosés. Passage par la terrasse qui offre une vue magnifique sur les vignes, la Loire
et le château de Saumur. Acte 3 : la scène se déroule sous terre, dans les caves en
tuffeau. C’est ici que naissent depuis 1885 les fameux vins à bulles de la maison.
Acte 4 : retour à l’air libre pour la dégustation commentée des vins du domaine.
Applaudissements…
www.langlois-chateau.fr ) 02 41 40 21 40
Michel Launay, rel. publiques
À Maulévrier, les courses ont du chien
Cynodrome de Maulévrier > saison 2010 - fin mars à mi-novembre
Maulévrier, la bien nommée, possède l’un des plus beaux cynodromes de
France, avec sa piste aux dimensions internationales recouverte de sable fin de
la baie du Mont-St-Michel et son restaurant panoramique. Le spectacle est saisissant. Il conjugue l’élégance à la puissance. L’élégance des lévriers en compagnie
de leur maître avant la course. La puissance lorsque les chiens sont lancés, dossards
sur le dos, dans une chevauchée fantastique après un leurre qui tourne à
60 km/h autour de la piste.
Un passionné, Steven Dailleux, du haut de ses 20 ans, a ratissé la piste et
ressuscité la tradition locale. En août 2009, les whippets ont effectué un retour
hallucinant devant un millier de spectateurs ébahis. Cinq à six courses sont prévues en 2010. Les parieurs seront à la fête et les amis des chiens d’exception ravis.
A deux pas du Parc oriental, la compétition est lancée.
http://cynodrome-maulevrier.over-blog.com/ ) 02 41 49 80 00
Steven Dailleux, président CRCML
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Incontournables 2010
À l’heure de l’Anjou, rives de Loire enchanteresses, élégants châteaux et patrimoine de schiste ou de tuffeau, troglodytes insolites et
autres écrins naturels se mettent en scène pour accueillir nombre d’événements culturels, sportifs et festifs exceptionnels.
Avant-programme 2010 avec, en tête d’affiche, la célébration d’anniversaires de rendez-vous ancrés dans la tradition angevine.
ON N’A PAS TOUS LES JOURS VINGT ANS
Charme de la chine en bord de Loire
Puces de Montsoreau > 2ème dimanche du mois
20ème anniversaire célébré 9 mai 2010
Le deuxième dimanche du mois à Montsoreau est sacré : la Loire prête son décor
royal aux fameuses Puces. Des milliers de chineurs affluent sur les quais de la cité
de caractère à la frontière entre Anjou et Touraine. Les collectionneurs débarquent
dès potron-minet dans l’espoir de pêcher la perle rare en naviguant entre les étals
des brocanteurs. Vrais amateurs ou simples flâneurs viennent admirer livres anciens,
bibelots, dentelles, meubles... et profiter de la magie du fleuve.
Montsoreau célèbrera le 20ème anniversaire de la création des Puces, tout particulièrement le 9 mai. Pour l’occasion, les exposants, tous professionnels, pourront
s’installer jusque dans les ruelles qui mènent vers le château cher à Dumas. Une autre
manifestation attendra les visiteurs dans la forteresse. Des artisans d’art exposeront
leurs créations et savoir-faire tout le week-end. Entre moult animations et dégustations, la ville de tuffeau vibrera pour le bonheur des amateurs de beaux ouvrages.
www.ville-montsoreau.fr ) 02 41 51 70 22
Anne-Emmanuelle Bodusseau, office de tourisme
En Haut-Anjou, patrimoine rime avec mélomanes
Heures musicales du Haut-Anjou > 20ème saison - 4 au 22 août 2010
Unir patrimoine et musique : la partition est jouée avec succès en Haut-Anjou grâce
au festival « Les Heures musicales ». Chaque été au nord du département, la musique
classique dans toute sa diversité résonne dans le chœur d’églises anciennes et la cour
de châteaux ravissants. Pour fêter les 20 ans du festival, les organisateurs réunissent des
artistes français et étrangers de renom pour six concerts d’exception.
Le château du Plessis-Bourré accueillera l’excellente compagnie anglaise Diva Opéra
et, par ailleurs, le pianiste François-René Duchable et le comédien Alain Carré pour
un concert-lecture dédié à Chopin à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Dans
l’intimité des églises de Brissarthe, Miré et Thorigné d’Anjou, récital de piano et concerts
de musiques de chambres interprèteront les œuvres de Beethoven et Fauré. Le point
d’orgue du festival 2010 sera chanté par l’ensemble Accentus dans la superbe Collégiale
Saint-Martin à Angers. Moments magiques et enchantement au programme !
http://heuresmusicales.free.fr/ ) 02 41 95 83 19
Réjane Picault, office de tourisme Le Lion d’Angers
L’Anjou cultive l’art de l’accueil au château
Bienvenue au Château > 20 ans en 2010
1 200 châteaux en Anjou et la majorité toujours habités… Désireux de partager
l’art de vivre ligérien, nombreux châtelains accueillent les hôtes dans l’intimité de leur
demeure historique. « Bienvenue au château », formule née en 1990, réunit plus de
130 propriétaires de l’Ouest de la France pour un hébergement de qualité dans leur
patrimoine, en Pays de la Loire, Bretagne, Normandie, Centre et Poitou-Charentes.
C’est dans l’esprit d’un Angevin qu’a germé l’idée : François de Valbray, propriétaire
du superbe château des Briottières dans la campagne au nord d’Angers. La tradition
de l’accueil se perpétue depuis sept générations dans sa famille alors que frère et
sœur exercent aussi cette activité à Saumur et Alençon. Domaine agricole, propriété
viticole ou logis de plaisance, du manoir XVIe au château XIXe de schiste et tuffeau…
l’Anjou est toujours au palmarès avec 22 propriétés référencées pour les 20 ans de
« Bienvenue au château ». Nul doute que les propriétaires sauront célébrer cet
anniversaire avec leurs hôtes.
www.bienvenueauchateau.com ) 02 51 57 22 03
M. Vignial, président
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UN QUART DE SIÈCLE ET PLUS ENCORE
L’Anjou au triple galop
25ème CCI Saumur > 20 au 23 mai 2010
25ème Mondial du Lion > 21 au 24 octobre 2010
Tenez-vous prêts cavaliers ! Deux des grandes manifestations équestres
angevines fêtent leur quart de siècle. Dans la capitale de l’équitation, le Concours
complet international de Saumur met depuis 25 printemps les montures des
plus grands athlètes mondiaux sur la ligne de départ de l’hippodrome de Verrie.
L’épreuve 2010 sera l’une des dernières occasions de se qualifier pour les Championnats du Monde aux Etats-Unis à l’automne.
Cinq mois plus tard sur le superbe domaine de l’Isle Briand, qui abrite Haras
national et hippodrome entre les cours de la Mayenne et de l’Oudon, le Mondial
du Lion célèbre à son tour ses 25 ans. Ce concours complet international et son
championnat du monde des jeunes chevaux sont un passage obligé vers les
rendez-vous internationaux. Plus de 40 000 passionnés se donnent rendez-vous
pour suivre les épreuves qui départagent les meilleurs cavaliers mondiaux : dressage, saut d’obstacles et cross, spécialité mythique du Lion, enthousiasment les
aficionados de tous âges.
www.saumur.org ) 02 41 67 36 37
François Saint-André, Comité équestre Saumur
www.mondialdulion.com ) 02 41 95 82 46
Robert Adenot, Haras national Lion d’Angers
Un village sur les planches
Rouget le braconnier - spectacle hiver (14 séances et gala 40ème anniversaire) > février 2010
balade théâtrale (6 rendez-vous) > 3 et 4 juillet 2010
Des comédiens amateurs jouant à guichets fermés depuis 40 ans une pièce de
théâtre qui affiche une durée record de cinq heures ! Qui dit mieux que « Le vrai
Rouget le braconnier » de Daumeray, commune de 1 600 âmes à 35 km d’Angers ? Le
texte a été écrit en 1970 par l’instituteur du village, Jules-Alphonse Davy. Il raconte
l’histoire d’un paysan, Louis Rouget, enfant du pays, condamné au bagne pour avoir
tiré sur des gendarmes alors qu’il était pris en flagrant délit de braconnage. L’intrigue en
quinze tableaux emballe les spectateurs autant que les acteurs qui, une fois le rideau et le
costume tombés, retrouvent leur métier à la ville.
Chaque année, en janvier et février, la pièce mobilise une centaine d’habitants sur
scène et dans les coulisses. C’est l’affaire du village. Celles et ceux qui n’ont pu obtenir
de place pour le spectacle en 2010 - déjà complet ! - peuvent rencontrer Rouget l’été. La
même histoire, mais en 2h30 seulement (!), est jouée en décor naturel début juillet dans la
campagne des portes de l’Anjou.
www.ot-portesdelanjou.fr ) 02 41 76 37 26
Nadège Piquet, office de tourisme Durtal
Le monde des troglos révèle ses secrets
Rendez-vous troglos > 12 et 13 juin 2010
Explorer des sites troglodytiques inédits, apprivoiser un univers insolite…
Début juin, la 2ème édition de « Rendez-vous troglos » invite à découvrir sous un
nouveau jour la plus forte concentration troglodytique en Europe. En Anjou et
Val de Loire, des kilomètres de galeries souterraines abritent depuis des siècles
habitations, activités multiples et, de plus en plus aussi, touristiques : champignonnières, caves, musées, restaurants, gîtes, ateliers, galeries d’art et même un
zoo !
Près de 200 sites ouvrent spécialement leurs portes, depuis les souterrainsrefuges du VIe siècle jusqu’à l’habitat le plus contemporain. Animations, concerts,
expositions, dégustations gourmandes et conférences sont au menu. Un Salon
du Troglo permet d’échanger des conseils en présence d’architectes, géologues
et autres spécialistes de ce patrimoine mystérieux. Rendez-vous troglos : une
occasion unique de pénétrer dans un espace fascinant entre plaine et coteau de
la Loire.
www.rendezvoustroglos.fr ) 02 41 67 13 12
Nicolas Glayzon, Carrefour Anjou Touraine Poitou
Agenda complet sur www.anjou-tourisme.com - Présentation Presse Fêtes et manifestations auprès du CDT.
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Zooms...
L’ANJOU AGRANDIT SON JARDIN
Au printemps 2010, non seulement Terra Botanica s’épanouit en Anjou ! D’autres fleurons du premier département horticole français
se parent de nouveaux espaces, des rendez-vous originaux s’imposent à tout jardinier en herbe, professionnel du végétal ou tout
simplement amoureux de nature. Petit extrait d’une déambulation fertile.
Une forêt de bambous remarquables
Parc Oriental de Maulévrier > saison 2010 - 15 mars au 15 novembre
> 20ème Salon du bonsaï - 11 et 12 septembre 2010
Il n’est de jardin japonais sans bambou. Le parc oriental de Maulévrier
consacre logiquement un nouvel espace dédié à cet emblème de l’Asie par
excellence, plante souple et solide, symbole de l’amitié. Une vingtaine de variétés
ont été plantées au cœur des 29 ha, non loin du salon de thé. Au printemps 2010,
les visiteurs découvriront cette bambouseraie remarquable par ses feuillages
effilés et sa taille particulière.
Deuxième temps fort 2010 : le plus grand jardin japonais d’Europe célèbre
la 20ème édition du Salon du bonsaï. Ces arbres nains cultivés en pot sont la
fierté des jardiniers de Maulévrier. Le rendez-vous attire les passionnés début
septembre sous les magnifiques couleurs des érables et autres ginkgos. Dans
ce parc exceptionnel créé début XXe, tout n’est qu’invitation à la méditation et à
la sérénité : la rivière égayée de petits ponts et statues khmères, l’harmonie des
fleurs et végétaux, l’osmose des couleurs… Et si ce spectacle d’une végétation
luxuriante est beau le jour, la nuit l’été, il se révèle plus enchanteur et symbolique
encore.
www.parc-oriental.com ) 02 41 55 50 14
Hervé Raimbault, directeur
S’enivrer de roses
Un jardin de bien-être
Les Chemins de la rose > saison 2010 - 13 mai au 26 septembre
Camifolia > saison 2010 - 1er mai au 31 octobre
Senteur royale, Crimson glory et autres Double delight…
Sous le nouveau tunnel des senteurs des Chemins de la rose,
les amoureux vont s’enivrer tout l’été du suave parfum de rosiers
odorants et de plantes grimpantes parfumées. Dans un grand
bain de fleurs, ils apprécient au plus près, dans des globes transparents, les nuances subtiles des effluves d’huiles essentielles et
de pétales.
Camifolia, le jardin extraordinaire qui met tous les sens en
éveil à Chemillé, exhale de nouveaux arômes en 2010. Un
potager de légumes de santé étonnants, un jardin des fibres
et couleurs, de nouvelles espèces aux vertus essentielles dans
le jardin botanique : les jardiniers s’activent pour le bonheur
des visiteurs désireux d’en savoir davantage sur la 1ère région
française productrice de plantes médicinales et aromatiques et
leurs vertus bienfaitrices.
Si la rose unit tous les Valentin et Valentine, sa belle histoire
avec Doué-la-Fontaine, cité des rosiéristes depuis la fin XVIIIe, a
reçu preuve d’amour aux Chemins de la rose. Au cœur du parc à
l’anglaise où s’épanouissent 14 000 rosiers, avec des variétés très
anciennes, la rose dévoile tous ses secrets. Amateurs et apprentis
jardiniers sont conviés à nombre d’animations du printemps aux
premiers frimas : initiation à la taille, composition de bouquets,
marchés organisés avec les pépiniéristes saumurois, dégustations gourmandes, concerts... Une brassée d’intenses plaisirs.
Ce théâtre de verdure distille nombre de rendez-vous inédits
pour petits et grands, entre métamorphoses nocturnes et
autres animations familiales. Pour partager tous les secrets des
plantes, les hôtes n’ont qu’à se laisser mener par le bout du nez
et arpenter les 4 ha où s’orchestre une valse végétale de plus
de 450 espèces. A la fois ludique et interactive, la découverte
s’égrène au fil des jardins des senteurs et botanique à l’ancienne,
hommes médicinaux, de la collection nationale de camomilles,
etc. En ces lieux à l’imagination féconde, Camifolia met bel et
bien en scène « la plante dans tous ses états ».
www.cheminsdelarose.com ) 02 41 59 95 95
Sandrine Leblanc, responsable site
www.theatre-foirail-camifolia.com ) 02 53 58 58 53
Alexandre Piette, responsable site
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Un panier de rendez-vous verts, à croquer !
Végétal 2010 > saison - février à novembre
Personne au monde ne parle mieux de l’odyssée du végétal que celui qui la vit
au quotidien. Ainsi ont germé les Rendez-vous du végétal, à l’initiative de Terre
des Sciences. Depuis une douzaine d’années, des professionnels du pôle végétal
spécialisé, Végépolys, proposent des animations à travers le département, des premiers mois de l’année à l’automne. Elles ont un parfum particulier en 2010, année
internationale de la biodiversité.
Avis aux amoureux des plantes et jardiniers en herbe : le calendrier Végétal 2010
en Anjou foisonne d’occasions de « prendre de la graine » et donner à ses propres
jardins et potagers des accents angevins. Dès février, plusieurs entreprises horticoles
et laboratoires spécialisés participent à l’opération de découverte économique « Made
in Angers ». Le musée de la Vigne et du vin invite à ses Rendez-vous dans le vignoble
et ceci jusqu’aux vendanges. Mi-mars, les étudiants de l’Institut national d’horticulture
et du paysage organisent la très réputée ExpoFlo. En avril, l’ouverture de Terra Botanica
célèbre l’arrivée du printemps. De juin à octobre, pépiniéristes et autres acteurs horticoles accueillent le public chaque mercredi pour présenter leur activité. En juin, mois
des jardins, septembre autour des Journées du patrimoine et novembre pour la Fête
de la science… les raisons ne manquent pas de plonger dans le monde végétal sous
toutes ses formes.
www.terre-des-sciences.org ) 02 41 72 14 21
J.Luc Gaignard, communication Terre des Sciences
Déambulation poétique dans un jardin enchanté
Les Butineries d’Alice > 15 juin au 31 juillet 2010
Dans un morceau de nature de l’Anjou où poussent des plantes de santé, la flore
et la faune commencent une nouvelle vie au crépuscule. Avec son nouveau spectacle « Les Butineries d’Alice », la comédienne Annick Cesbron embarque le public dans
l’intimité du végétal. Dans un parcours bucolique à travers les parcelles cultivées par
son mari, petits et grands, tous séduits, se laissent porter par les événements comme
dans un rêve. Ici, l’actrice émerge d’un gigantesque pot de fleurs. Là, la reine des prés
diffuse le bien-être… Cette déambulation poétique à la scénographie très soignée
évoque avec espièglerie le rapport de l’homme à la nature.
Dans la journée aussi, il se passe de drôles de choses dans ce vaste jardin de
70 hectares. Quoi de mieux qu’un « Vol au-dessus d’un champ de soucis » pour s’initier
aux vertus de quelque 70 variétés de plantes médicinales et aromatiques produites
en région de Chemillé ? C’est le premier spectacle écrit par Annick Cesbron en 2003.
Ce brin de femme aux multiples personnalités continue de l’interpréter avec bonheur
chaque été.
www.atraverschamps.org ) 02 41 91 78 50
Annick Cesbron, Compagnie A Travers Champs
L’art contemporain se met au vert
Un été contemporain en Aubance > 25 juin au 19 septembre 2010
L’été venu, certains artistes préfèrent quitter musées et galeries pour rejoindre la douceur
de parcs et jardins angevins… La deuxième édition « Un été contemporain en Aubance »
valorise le patrimoine naturel de ces terres entre Loire et vignoble autour du château de Brissac.
Le rendez-vous célèbre l’alliance de la tradition à la modernité, l’ancrage du terroir à la créativité.
Sept artistes sont retenus en 2010. Sur la feuille de route tracée par l’office de tourisme
Brissac Loire Aubance, deux consignes : créer les œuvres in situ en s’inspirant du site et utiliser
les matériaux de la nature. L’un d’eux habille de bois les arbres, un autre peint leurs empreintes,
un troisième imagine des sculptures de branches… Six parcs servent d’écrin à leurs créations
végétales. Ces lieux d’exposition inhabituels sont animés tout l’été par des conférences, concerts,
contes, ateliers pour les enfants, etc. Des randonnées à vélo, à pied et à cheval sont organisées
entre les propriétés. L’art et la manière de partager ce bel été contemporain en Anjou...
www.ot-brissac-loire-aubance.fr ) 02 41 91 21 50
Laure Kerléo, office de tourisme Brissac Loire Aubance
Dossier de presse Jardins auprès du CDT.
Hélène Ramsamy, Relations Presse
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Zooms...
L’ANJOU LE NEZ AU VENT
De nouveaux horizons pour la Loire à Vélo
en Anjou
Avec des parcours véritablement exceptionnels et plus de
200 km ouverts à la petite reine, l’Anjou peut s’enorgueillir d’être
sur le podium de l’aménagement de La Loire à Vélo. Originales
à plus d’un titre, la section troglodytique de Souzay entre
Montsoreau et Saumur (14 km entre les villes), la superbe boucle
vers Angers (40 km au total), par l’Ouest depuis la confluence
avec arrivée au pied du château le long de la Maine ou l’Est via
les paysages miniers lunaires des Ardoisières de Trélazé avec la
traversée de l’Authion à bord d’un bac à chaîne !
Le Maine-et-Loire élargit encore les horizons des deux roues
en 2010 :
• la boucle Layon/Aubance entraîne les cyclistes sur 52 km à
travers le vignoble de l’Anjou depuis Chalonnes-sur-Loire,
à la confluence du Layon, jusqu’aux Ponts-de-Cé, aux portes
d’Angers,
• sur le chemin de halage de la Mayenne, une première étape
de 21 km s’ouvre pour l’été entre La Jaille-Yvon au nord du
département et le haras national du Lion d’Angers. Au final,
cet itinéraire interdépartemental rejoindra la Loire sur une
quarantaine de kilomètres le long de la rivière,
• du côté de Baugé, une voie verte suit les rails d’une ancienne
voie ferrée sur 10 km. A terme, le circuit rejoindra les rives
ligériennes en sillonnant les massifs forestiers.
51 maisons d’hôtes, 14 campings, 2 hébergements collectifs et
6 loueurs de vélos professionnels) pour réserver un accueil avisé
aux férus du pédalier : petit-déjeuner copieux, local à vélo, kit de
réparation, informations et conseils, etc. Si l’on ajoute à cela huit
aires dédiées ainsi que Cyclopédia®, guide multimédia avec GPS
(version audio téléchargeable sur www.anjou-tourisme.com), les
amateurs de deux roues bénéficient d’une organisation digne
d’un peloton de tête !
De Montsoreau à Liré, les services proposés aux cyclistes
se densifient. En 2010, de nouveaux hébergeurs rejoignent la
centaine d’établissements partenaires « Accueil Vélo » (37 hôtels,
www.anjou-velo.com - www.loire-a-velo.fr
Sillonner fleuve royal et rivières angevines
« autrement »
Larguer les amarres à bord d’un canoë, d’un kayak ou d’un
voilier accompagné d’un guide expérimenté pour découvrir
les richesses de l’Anjou. Exploration de l’environnement naturel, escale pour aborder le patrimoine, observation des oiseaux
et autres moments privilégiés sont au programme d’une balade
nautique inédite d’une heure à deux jours.
Au fil de l’eau, cinq parcours invitent à accoster en Anjou,
parmi la vingtaine de randonnées nautiques guidées en Pays de
la Loire :
• une balade à la voile entre basses vallées Angevines et
confluence de la Loire à Bouchemaine,
• un parcours en kayak entre berges naturelles et bancs de sable
au fil de la Loire,
• une évasion en canoë pour un bivouac sur une île ligérienne
• et deux autres formules avec de nouveaux accompagnateurs
passionnés.
Cette navigation touristique convie petits et grands, sportifs
ou non, à embarquer. Facultative ou indispensable, la participation aux manœuvres est un plaisir partagé. Proposée l’été, l’offre
est développée par la SEM Pays de la Loire en partenariat avec
les structures nautiques, les ligues sportives régionales et les
partenaires touristiques, CDT Anjou inclus.
www.anjou-tourisme.com, rubrique Bouger
www.nautisme.enpaysdeloire.com
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L’ANJOU SE PARTAGE EN FAMILLE
Entrez dans la cour des grands en Anjou et en
Touraine.
L’opération « Entrez dans la cour des grands » propose une
découverte originale de sites, une lecture contemporaine
introduite par une question de fond qui s’adresse tant aux
enfants qu’aux adultes qui les accompagnent. Qui plus est,
l’objectif est de valoriser les échanges entre petits et grands.
Autour des questions-fils rouges, indices et informations
inédites à récolter, expérimentations à mener, mystères à
percer… multiples sont les occasions de partager des moments
palpitants, de découvrir en s’amusant et de développer son
opinion. Pour poursuivre l’aventure, des animations invitent à
vivre des rendez-vous uniques au fil des saisons : les curieux de
tous âges sont à la fête sur les rives de Loire !
Plus d’une quarantaine de sites, patrimoine, nature et
savoir-faire, font ainsi entrer les familles dans leurs secrets, les
interpellent pour les associer davantage au cours du monde.
La visite s’organise autour d’un sujet de réflexion qui conduit la
tribu dans son exploration du château, du musée, du jardin, de la
ville : « La protection de la nature est-elle une affaire de grands ? »
au Bioparc-Zoo de Doué, « Le végétal peut-il stimuler nos cinq
sens ? » à Camifolia, « Faire ses courses hier ou aujourd’hui :
quelle différence ? » au musée des Anciens Commerces, « Et
avant internet, il y avait ? » au Château-Musée de la Communication, « Peut-on apprivoiser une plante comme on apprivoise un
animal ? » au Musée de la Vigne et du Vin d’Anjou, etc.
Ce concept, après la formule destinée aux enfants « Sur la piste
de l’enfant Roy » créée en 1998, est développé par les Comités
départementaux du tourisme de l’Anjou et de la Touraine,
résolument précurseurs sur le marché du tourisme culturel et
familial.
www.entrezdanslacourdesgrands.com - www.anjou-tourisme.com
Brochure remise au CDT et dans les offices du tourisme.
Dossier de presse Entrez dans la cour des grands auprès du CDT.
À vous de jouer !
Pour s’oxygéner et se détendre en famille, direction les bases
de loisirs et les parcs d’attractions. Le Maine-et-Loire en
possède une douzaine. Des sites enchanteurs, rêvés pour les
petits… et les grands qui y retrouvent volontiers leur âme
d’enfant.
Enfourcher des chevaux de bois colorés ou se balader à poney,
s’émerveiller des numéros de clowns et d’acrobates d’un cirque
à l’italienne, s’éclabousser dans une baignade naturelle ou glisser
sur toutes sortes de toboggans, sauter haut sur des trampolines
ou jouer à cache-cache dans un labyrinthe, crapahuter dans les
arbres, frissonner en traversant un pont de singe ou s’élancer
dans le vide accroché à une tyrolienne… Autant d’activités, à
pratiquer en toute sécurité, sont réunies en Anjou pour satisfaire
toutes les envies des tribus. Un, deux, trois, soleil !
Parcs de loisirs et d’attractions
www.anjou-tourisme.com
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Idées WEEK-ENDS
Se mettre au vert, satisfaire ses désirs profonds, chiner, succomber à l’envi, flâner, marcher, pédaler, pagayer, galoper, se cultiver,
déguster, savourer, se dépayser... En famille ou en tribu, en amoureux ou entre amis, l’Anjou est plein de vie ! Mieux, de nouveaux
hébergements remarquables savent combler tous les désirs.
RETOUR AU NATUREL
L’espace d’un week-end, accorder le temps au temps, effectuer sa mue d’homme des villes en homme des champs, concéder aux
guerriers stressés un repos bien mérité, renouer des liens étroits avec Dame Nature, effectuer un retour aux sources en compagnie de
sa tribu de cœur ou de sang.
Camper à l’ancienne
Voilà ce que l’on appelle camper dans l’histoire. La tente médiévale des
Patrice est une reproduction fidèle de celles des chevaliers en campagne. Ces
propriétaires d’une maison d’hôtes réputée pour son respect de la nature plantent à la belle saison cet abri original en haut d’un tertre qui domine le charmant
village de Brion. La tente, en toile de coton imperméable, arbore les couleurs de
l’Anjou, bleu et rouge. Le confort est en phase avec l’époque. Les hôtes dorment sur des paillasses, rangent leurs effets personnels dans un coffre en bois et
disposent d’un simple point d’eau pour cuisiner et se laver. Et à défaut de bougie,
ils s’éclairent à l’énergie solaire.
L’escapade à travers le temps ne néglige aucun détail et les touristes sont
invités à enfiler des costumes des XIVe et XVe siècles. Robes avec bustier et
manches longues pour les dames, cottes à lambrequins sur des hautes chausses
pour les messieurs. Sans oublier les panoplies adaptées pour que les enfants
partagent la vie de Robin des bois, presque pour de vrai. Un séjour historique en
Anjou.
Prix 2010 - Nuitée 75 €
Tente pour 2 ou 3 personnes
petit-déj.
et prêt costumes inclus
Domaine de la Chouannière - 49250 Brion
www.medieval-de-loire.com ) 02 41 80 21 74
Patricia et Gilles Patrice, hôtes
Prix 2010 - Nuitée à partir de 91,20 €
Carré pour 2 personnes
petit-déj. inclus
Rêver parmi les étoiles
Dormir à la belle étoile à l’abri dans un nid douillet ? À moins d’être oisillon,
difficile ! Le rêve se réalise dans les Carrés d’étoiles du Chai de la Paleine, un
domaine hôtelier qui fourmille d’idées. Dans le clos arboré, se cachent deux
confortables cubes en bois, percés de fenêtres rondes avec un hublot sur le toit.
Allongés sur le lit de la mezzanine, avec ou sans lunette astronomique, les hôtes
sont aux premières loges pour contempler le spectacle de la voûte céleste.
La tête dans les étoiles, le panier de douceurs proposé par Caroline et Philippe
Wadoux permet de se restaurer en toute liberté. Et comme ces hôteliers aiment
conjuguer bien-être et convivialité, ils ont aménagé une base d’observation sur
pilotis pour prendre encore de la hauteur, ou y déguster un vin en soirée ! Dans
le village vigneron du Puy Notre-Dame, loin des lumières de la ville, les nuits
s’annoncent douces dans ces refuges près des cieux.
Chai de la Paleine - 49260 Le Puy Notre-Dame
www.relais-du-bien-etre.com ) 02 41 38 28 25
Caroline et Philippe Wadoux, hôteliers
L’art d’accueillir pour première nature
De l’art de la table à l’art de recevoir, il n’y a qu’un pas. Élisabeth Leick, qui arpenta le
Saumurois à la rencontre des viticulteurs pour vanter les verres en cristal d’une société réputée,
l’a franchi en ouvrant trois chambres d’hôtes dans le joli village du Coudray-Macouard. Quand
l’ancienne directrice marketing et son compagnon ont découvert la Demeure de Beaulieu, cette
propriété viticole du XVIIIe, ils n’ont pas hésité une seconde... et se sont lancés dans l’aventure
avec bonheur.
Prix 2010 - Nuitée à partir de 78 €
Maison d’hôtes
chambre double petit-déj. inclus
Tout ici respire la perfection : les chambres spacieuses à la décoration zen, le copieux petitdéjeuner dans la salle à manger lumineuse, etc. La maîtresse de maison aime aussi partager sa
passion pour les vins, notamment lors d’une conviviale initiation à la dégustation dans l’ancien
pressoir entièrement restauré. Dans un environnement naturel privilégié au cœur du village
réputé pour ses ruelles fleuries, son dédale de caves et ses artisans, la vie à Beaulieu se déguste
sans modération.
Demeure de Beaulieu - 49260 Le Coudray-Macouard
www.demeuredebeaulieu.com ) 02 41 38 97 27
Elisabeth Leick et J.Claude Guezou, hôtes
Hélène Ramsamy, Relations Presse
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BREAK EN VILLE
Arpenter le cœur des cités angevines, s’attarder dans leurs sites et musées, marcher le nez en l’air, s’adonner aux joies d’un shopping
terroir, flâner sur leurs marchés fleuris, assister à leurs spectacles… Le programme peut s’annoncer dense et mériter une pause
réparatrice pour, le lendemain, mieux recommencer !
Chez la dame de Montsoreau
Le château n’est pas le seul endroit pour rencontrer la Dame de Montsoreau
dans cette cité de caractère du bord de Loire. Elle reçoit aussi à la Forge, une
bâtisse de tuffeau du XVe siècle entièrement restaurée. Havres de réconfort et
bulles de tendresse, les trois chambres aménagées avec goût par la maîtresse de
maison invitent à régresser sous la couette. Ambiance « printemps », « été » ou
« automne », à vous de choisir.
Prix 2010 - Nuitée 65 €
maison d’hôtes Charmance***
chambre double
petit-déj. inclus
Sur le toit, les transats de la terrasse invitent à se délasser et à se délecter
de la vue privilégiée sur le château et la Loire en dégustant de fines bulles de
Saumur. Après cette pause bucolique, une balade à travers les ruelles fleuries
conduit à savourer la douceur du village, découvrir ses jolies boutiques
d’antiquités ou de vins avant de rejoindre les vignes ou le fleuve royal pour
admirer la lumière au coucher du soleil. Vous l’avez compris : chez cette dame
de Montsoreau, les hôtes jouissent de l’instant présent dans une proximité
délicieuse avec sa majesté, la Loire.
La Forge - 49730 Montsoreau
www.montsoreau-la-forge.com ) 02 41 52 35 47
Françoise Glikman, hôte
Parfum de Toscane
Avec sa façade ocre, son jardin des Putti et son kiosque, la Villa Teresa fleure
bon la Toscane, une région qu’affectionnent ses propriétaires. Yvelise et Thierry de
Cabarrus viennent d’ouvrir trois chambres d’hôtes de charme dans leur demeure
du XVIIIe nichée à Doué-la-Fontaine, rue Napoléon. Un heureux hasard veut même
qu’une ancêtre du couple,Teresa de Cabarrus, fut amie de Joséphine de Beauharnais
et témoin de son mariage avec l’empereur.
Prix 2010 - Nuitée à partir de 70 €
maison d’hôtes
chambre double petit-déj. inclus
Tout naturellement, une atmosphère de style Directoire, raffinée et moderne
à la fois, émane de la maison de falun. Alors que la suite Joséphine et son lit à
baldaquin invitent à la rêverie sous un joli portait de l’impératrice, la chambre
verte affiche des tons campagnards. Une ravissante dépendance abrite un nid
douillet, la Maison des anges. Ce petit coin de paradis vibre au cœur de la ville
douessine où foisonnent les incitations à rejoindre, à portée de rues, le zoo, les
jardins de roses, les ateliers d’artisans et bien d’autres sites.
Villa Teresa - 49700 Doué-la-Fontaine
www.villateresa.fr ) 09 51 95 49 70
Yvelise et Thierry de Cabarrus, hôtes
Dans le logis d’un peintre
Dormir dans un charmant logis au cœur du quartier médiéval d’Angers est
un privilège. Rares sont les maisons d’hôtes en centre-ville et cette belle adresse
offre une seule chambre, cachée dans une oasis de verdure. Derrière les murs de
schiste et un lourd portail en bois, le patio parfumé d’iris, roses, jasmin et de buis
conduit vers la suite. Meubles et cheminée du XVIIIe lui confèrent charme ancien
non dénué de confort moderne raffiné.
La reproduction d’un tableau de Jean Fouquet et le piano révèlent la fibre
artistique des propriétaires. Le vestibule tapissé de toiles expose des œuvres
signées Mickaël Rogosin, le maître des lieux. Un imposant escalier en chêne
massif emporte vers la superbe salle à manger à l’étage. L’oeil s’évade sur les
toits d’ardoise, l’église de la Trinité, la cathédrale et le château d’Angers. Autant
d’escapades après ou avant la nuit dans cette charmante demeure restaurée dans
les règles de l’art.
Prix 2010 - Nuitée 82 €
maison d’hôtes
chambre double
petit-déj. inclus
Logis de la Roche Corbin - 49000 Angers
www.logisdelaroche.com ) 02 41 86 93 70
Pascale et Mickaël Rogosin, hôtes
Plus d’idées week-ends sur
www.anjou-weekend.com
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AMBIANCES
L’ANJOU, FILLE DES EAUX ET DU VENT
Couleurs de Loire, plaisir des yeux
Des rivières propices à l’évasion
L’Anjou est l’écrin d’un trésor naturel : la Loire, inscrite au
Patrimoine mondial par l’Unesco en 2000, au titre des paysages
culturels vivants. Sur les terres angevines, le plus long fleuve de
France, le plus sauvage aussi, décoche ses flèches d’est en ouest
sur un arc de 130 km, depuis Montsoreau aux portes de la Touraine jusqu’à Champtoceaux aux premiers accents océaniques.
De tous temps, l’homme a cherché à apprivoiser ce fleuve
remarquable. La lutte contre les inondations, inaugurée avec
l’édification des turcies au XIe siècle, s’est poursuivie au XVe avec
la construction de la Grande levée, renforcée au fil des ans pour
contenir le lit du fleuve majestueux mais un brin impétueux.
Au cœur de l’Anjou ne coule pas seulement le fleuve royal !
Ici se fondent dans le paysage plus de 4 000 km de cours d’eau.
Jadis réservé à la batellerie de commerce, le bassin de la Maine
accueille aujourd’hui en son lit le tourisme fluvial, qui creuse son
sillage sur près de 300 kilomètres de chemins d’eau aménagés,
sur la Sarthe, la Mayenne ou l’Oudon. Ces rivières qui confluent
aux portes d’Angers égrènent leur chapelet d’îles, manoirs, ports
mariniers, villages de schiste ou encore coteaux boisés, au grand
ravissement des plaisanciers.
Ce vaste océan de nature se découvre à vitesse variable.
Proues au vent, les capitaines d’un jour ou d’un séjour tiennent
la barre d’une vedette confortable, entre haltes récréatives
et pauses gourmandes. Les plus sportifs glissent à bord d’un
canoë-kayak mis à disposition par la quinzaine de clubs ancrés
sur les terres angevines. Au pas, les randonneurs arpentent le
chemin de halage ou les sentiers qui irriguent l’Anjou. Tandis
que, tranquillement installés sur les rives, amateurs ou pêcheurs
chevronnés taquinent carpes et autres gardons. Quoiqu’il en
soit, une chose est certaine : au fil du temps et du courant, les
visiteurs qui découvrent l’Anjou de l’intérieur sont désormais
légion.
Sur des terres riches en alluvions, la Loire rythme la vie
angevine. La vallée accueille par ailleurs une grande diversité
d’espèces animales et végétales qui ont trouvé ici une terre
d’élection. Escale migratoire, de nidification ou d’hivernage, la
Loire capte bon nombre d’oiseaux dont certains menacés de
disparition, tel le râle des genêts. Le grand fleuve et ses îles sauvages s’admirent depuis les rives de sable et les quais empierrés.
Mieux, il se contemple à bord des bateaux traditionnels à fond
plat – gabares, toues et futreaux – ou de bateaux-croisières,
ou bien encore en canoë, autre manière naturelle de vivre
l’aventure ligérienne.
Plus d’infos : dossier de presse Tourisme fluvial.
Plus d’infos : dossier de presse Loire.
L’Anjou, à la pointe du vent
La vallée de la Loire respire à pleins poumons l’influence maritime ! Le
responsable ? Le fameux vent « de galerne », le vent d’ouest qui pénètre profondément dans cette voie royale. Pendant des siècles, il a gonflé les voiles des
gabares, animé le zinc des girouettes et fait tourner les ailes des moulins. A la fin
du XIXe siècle, l’Anjou comptait plus de 2 000 moulins à vent et à eau, soit cinq
par paroisse !
Nombreux sont les moulins restaurés qui rythment encore de leur battement les paysages angevins comme autant de silhouettes aux beautés singulières. La sentinelle des coteaux, la plus typique, est le moulin-cavier qui arbore
fièrement sa hucherolle en bois, montée en équilibre sur un cône émergeant
d’une cave. A l’ouest, le moulin-tour déploie sa stature ventrue, sa meule à l’étage
et son toit pivotant. De la vallée de l’Authion au Haut-Anjou Segréen, le
« chandelier » et le « pivot » se distinguent par leur tourelle de schiste et de
tuffeau. Du vent au ciel, il n’y a qu’un pas que les Angevins ont franchi très tôt.
La figure de proue de cet engouement se nomme René Gasnier, le pionnier
angevin de l’aéronautique. L’Anjou, entre terre et ciel, une histoire à découvrir
au gré du vent !
Plus d’infos : dossier de presse Moulins-Loisirs aériens.
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TERRE GÉNÉREUSE
L’Anjou vous accueille avec des fleurs
Bénéficiant de dons favorables attribués par Dame Nature, l’Anjou a
la main verte ! 1er département horticole français, le Maine-et-Loire est
aujourd’hui reconnu en Europe pour la variété et qualité de ses productions. Cette terre de botanistes compte d’éminentes figures : le Roi René,
qui de ses voyages méditerranéens généra les premières cultures angevines ; Louis de Vilmorin, semencier parisien qui essaima graines florales
et potagères dans la vallée de l’Authion ; André Leroy, pépiniériste qui
exporta le savoir-faire de l’entreprise familiale outre-Atlantique fin XIXe !
Illustres, ces ancêtres n’ont cessé de susciter de nouvelles vocations.
Cette passion végétale se conjugue au présent et au futur. Autour du
Pôle de compétitivité à vocation mondiale, Végépolys, la filière angevine
rassemble près de 45 000 ha de cultures spécialisées : hortensias, plantes
vivaces, vignes, arbres fruitiers, petits fruits rouges, légumes, etc. Cette
intense activité a drainé plusieurs unités de recherche et de formation
de réputation internationale. Et pour parfaire l’esquisse de ce paysage
horticole, la province cultive aussi de superbes jardins : le Parc oriental de
Maulévrier, plus grand jardin japonais d’Europe, les roseraies de Doué-laFontaine, Camifolia à Chemillé, etc. Les beaux sujets ne cessant de germer,
Terra Botanica apporte en 2010 sa touche au grand jardin de l’Anjou.
Plus d’infos : dossier de presse Jardins.
Tous les charmes du terroir
Au cœur de la 3ème région viticole de France, le vignoble d’Anjou et de
Saumur est le plus étendu du Val de Loire. Avec 30 appellations d’origine
contrôlée, ce terroir est le reflet de l’épanouissement d’une riche palette,
tant en couleurs qu’en saveurs : blancs secs ou moelleux, rosés secs ou
tendres, rouges de caractère et vins de fines bulles. Leur réputation et
qualité les ont conduits à traverser les frontières. Les liens historiques avec
l’Angleterre ont permis de développer une forte exportation vers l’Europe,
notamment pour les blancs fameux issus du chenin et les rosés. L’Amérique
du Nord et le Japon ont également invité ces nectars sur leurs tables.
Avec les conseils des Maisons du vin d’Angers et de Saumur, la découverte du vignoble est un classique dont on ne saurait se passer. La luminosité des villages viticoles sur tuffeau ou schiste, la convivialité des caves,
les fêtes dédiées à Bacchus rythment un parcours empreint de saveurs.
L’amour de la vigne se partage de manière multiple : à Saumur et Angers
lors des Journées nationales du livre et du vin, au Puy-Notre-Dame pour le
Grand prix rétro du vignoble, à Aubigné-sur-Layon pour la Fête du vin et
du patrimoine en musique… et tant d’autres rendez-vous à découvrir sans
modération.
Plus d’infos : dossier de presse Vignoble.
Les saveurs de l’Anjou
Rares sont les régions à proposer une telle variété de productions :
champignons de Paris, légumes, pommes, poires et fruits rouges, viande
bovine Rouge des Prés, volailles, poissons de Loire… Autant de délices que
le chaland trouve sur les étals des marchés colorés aux côtés d’autres spécialités gourmandes : les rillauds, le pâté aux prunes ou bien encore le
crémet d’Anjou. Toutes ces victuailles servent une cuisine orchestrée autour
du savoir-faire et de la tradition paysanne. Et si l’Anjou n’est pas associé à
un plat spécifique, il n’en reste pas moins que la gastronomie angevine
s’épanouit en bouche avec richesse et noblesse.
Les chefs angevins apportent leur note créative qui sublime cette
carte alléchante. Cinq toques auréolées d’étoiles marient ainsi à merveille
l’échalote avec la fricassée de poulet, le beurre blanc avec le sandre de Loire,
ou font encore rimer anguille et matelote. Avec le cortège des 30 appellations qui assurent la réputation des vins d’Anjou et de Saumur, les mets
ainsi révélés séduisent les papilles des gastronomes. Et pour couronner ces
agapes, l’Anjou sert des liqueurs aux noms évocateurs - Cointreau, MenthePastille, Royal Combier - et de douces friandises, à l’image du Quernon
d’ardoise.
Plus d’infos : dossier de presse Gastronomie.
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AMBIANCES
MATIÈRES PRÉCIEUSES
Des châteaux où bat le pouls de l’Histoire
L’Anjou recense pas moins de 1 200 châteaux, manoirs et gentilhommières sur ses terres. Du château fort au manoir Renaissance et à la bâtisse
néogothique, les œuvres architecturales rythment avec force et grandeur
le paysage angevin. Témoins privilégiés de la riche histoire de la province,
ces monuments affichent un caractère bien « trempé » : impressionnante
forteresse de schiste et de tuffeau d’Angers ; élégant château « d’amour »
du Roi René qui domine Saumur et la Loire ; Brissac, Le Plessis-Bourré,
Montgeoffroy et Serrant, quatre majestueux châteaux posés autour de la
capitale angevine ; ou bien encore de charmants logis de plaisance, Baugé,
Le Plessis-Macé, Montreuil-Bellay ou Montsoreau, cher à Alexandre Dumas.
L’Anjou peut également s’enorgueillir de posséder le plus grand nombre de châteaux habités, parfois par la même famille depuis plusieurs
siècles. Tous ces châtelains rivalisent d’ingéniosité pour ouvrir leurs
demeures aux visiteurs, programmer des animations ou offrir un cadre
enchanteur pour de douces nuitées. C’est ainsi que les châteaux-hôtels et
les partenaires « Bienvenue au château » accueillent leurs hôtes pour des
séjours entre luxe, authenticité et volupté. En Anjou, la vie de château n’est
pas qu’un rêve.
Plus d’infos : dossier de presse Châteaux.
Le monde fantastique des troglodytes
Depuis le XIIe siècle, l’Anjou interprète une « mélodie en sous-sol », insolite, mystérieuse… En « Anjou blanc », les Saumurois ont creusé la pierre tendre du tuffeau et
du falun pour édifier monuments prestigieux ou habitations. L’industrie extractive a
entraîné la création d’une société humaine souterraine. Les siècles égrenés n’ont pas
entravé la croissance de l’univers féerique des troglodytes. Les milliers de kilomètres de
galeries souterraines sont aujourd’hui considérés comme la plus forte concentration
troglodytique d’Europe.
Ces espaces souterrains abritent toujours habitations et activités économiques.
Les vignerons trouvent dans ces caves des conditions de maturation et de conservation
exceptionnelles, particulièrement pour l’élevage des vins à fines bulles. Depuis la fin du
XXe siècle, une seconde spécialité court sur plus de 600 km de galeries : la culture du
champignon de Paris qui place le bassin de la Loire au 1er rang avec 55 % de la production nationale. Cet univers minéral accueille également musées, restaurants, troglogîtes,
ateliers d’artisans, galeries d’artistes et même un zoo ! Un monde surréaliste décliné
entre plaine, autour de Doué-La-Fontaine, et coteau, le long de la Loire près de Saumur.
Un sous-sol dans lequel il convient de s’immerger pour un séjour vraiment original.
Plus d’infos : dossier de presse Troglodytes.
De la terre au ciel, l’or bleu de l’Anjou
En « Anjou noir », l’ardoise dessine l’histoire et le paysage angevins.
Alors que les veines schisteuses du département ont tôt fait l’objet de convoitises et que le matériau commence au XIe siècle à couvrir les toitures,
à habiller demeures, églises et châteaux, ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle
que naît l’industrie ardoisière. Il suffit de parcourir les deux grands bassins
ardoisiers, à quelques encablures d’Angers et dans le Haut-Anjou segréen,
pour s’en imprégner au détour des carrières, buttes gris-bleu, chevalements métalliques et cités minières.
Pureté du schiste, expérience séculaire du travail de la pierre enrichie
de techniques de fabrication les plus modernes expliquent la réputation de l’ardoise d’Angers. Aujourd’hui, le schiste dévoile aussi ses atours
dans la décoration intérieure et le jardin. Remonter l’histoire minière angevine, découvrir l’ardoise dans toutes ses dimensions, lever le voile sur les
sites emblématiques comme les artistes passionnés, s’initier aux saveurs
des vins de schiste et autres douceurs, dénicher le nid douillet au cœur de
la pierre : l’itinéraire minéral célèbre les savoir-faire d’hier et d’aujourd’hui
avec toutes les clés d’une découverte en profondeur.
Plus d’infos : dossier de presse Ardoise.
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DES HOMMES ET DES PASSIONS
Anjou, en selle
Le cheval est l’une des plus belles histoires de l’Anjou. Jadis, sur
leurs fières montures, les rois chevauchaient déjà la vallée de la Loire.
Dès lors, Saumur a scellé son destin à celui de la race équine. Après
avoir vu naître l’école de cavalerie au XVIIIe siècle, la ville a accueilli
la création du Cadre Noir en 1828, puis l’établissement de l’École
Nationale d’Équitation en 1972. L’Anjou ne pourrait prétendre être
terre de prédilection du cheval sans le Haut-Anjou segréen, haut-lieu
de l’élevage. Fondé en 1797, le Haras national du Lion d’Angers assure
ici la préservation des races traditionnelles, pur-sang, selles français,
cobs, percherons.
Passion de toute une région, le cheval a naturellement suscité
des vocations et permis à des métiers d’exception d’exister encore.
À Saumur, bottiers et selliers excellent dans leur art et exportent
leur savoir-faire au-delà des frontières. La filière équestre en Anjou
s’affirme également comme une belle réalité économique grâce à de
multiples activités et loisirs. Ainsi, les terres angevines recensent plus
de 20 compétitions d’envergure nationale et internationale,
1 000 éleveurs, 13 champs de courses… et un champion en or, Nicolas
Touzaint. Champion de France, champion d’Europe, médaillé olympique avec l’équipe de France de concours complet, l’athlète angevin
ne cesse de renouveler des galops couronnés de succès.
Plus d’infos : dossier de presse Cheval.
De fils en aiguilles, l’Anjou destination mode
Le textile et l’Anjou ? Le fil rouge de l’histoire conduit sur les rives
de Loire, propices à la culture du lin et du chanvre. Dès le XVIIe siècle,
ces plantes nourrissent une importante production choletaise de
toiles domestiques exportées vers l’Europe et les colonies. Le chanvre
alimente les fabriques de toile à voile d’Angers et de la vallée jusqu’à
la fin du XIXe. Grâce au commerce sur la Loire, la tapisserie angevine se
forge une réputation mondiale dès le XIVe siècle. Commandée par Louis Ier
d’Anjou, la Tenture de l’Apocalypse s’affirme la plus emblématique. Ce
chef-d’œuvre médiéval tissé inspire quelques siècles plus tard, en 1937,
Jean Lurçat. Son Chant du Monde, œuvre majeure de l’art moderne, est
exposée à Angers... où excelle toujours l’art des liciers.
La fibre textile angevine ne saurait se mesurer sur ces uniques
productions. Si les magnaneries troglodytiques saumuroises affichent
une activité florissante au XIXe, les caves de tisserands et le fameux
mouchoir rouge de Cholet restent l’expression d’un héritage industriel
imposant. La filière Mode choletaise (prêt-à-porter, chaussures, formation), qui joue un rôle essentiel dans l’économie du département, est un
pôle de création reconnu. Elle occupe même la 1ère place européenne
dans la confection enfantine. Peu étonnant dans ce contexte que les
magasins d’usine aient trouvé ici une terre d’élection !
Plus d’infos : dossier de presse Textiles.
L’Anjou roule des mécaniques
Richesse des matières et diversité des savoir-faire angevins se
dévoilent dans de nombreux sites. Ardoise, argile, tuffeau, végétal
et vignoble, textile et chaussure sont mis en lumière au fil de musées
emblématiques. Au gré des ateliers se révèlent également des productions artisanales : tapisserie, enluminure, girouetterie, savonnerie,
botterie, étains, figurines de plomb… Sans compter les rendez-vous
de découverte économique programmés à Angers, Cholet et dans
tout le département.
Plus d’infos : présentation Tourisme de découverte économique.
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AMBIANCES
L’ANJOU SE PARTAGE
Entrez dans la cour des grands
En Anjou et en Touraine, la curiosité se partage en famille. Plus
d’une quarantaine de sites, patrimoine, nature et savoir-faire, font
entrer les familles dans leurs secrets, les interpellent pour les associer au cours du monde. Suivant le concept développé par les deux
Comités départementaux du tourisme, la visite s’organise autour
d’un sujet de réflexion qui conduit la tribu dans son exploration.
Indices et informations inédites à récolter, expérimentations à
mener, mystères à percer…
Grâce aux questions-fils rouges, multiples sont les occasions
de partager des moments palpitants, de découvrir en s’amusant
et développer son opinion. Pour poursuivre l’aventure, des animations invitent à vivre des rendez-vous uniques au fil des saisons : les
curieux de tous âges sont à la fête sur les rives de Loire.
Plus d’infos : dossier de presse Entrez dans la cour des grands.
Shopping terroir
L’Anjou et son riche terroir abondent de productions multiples
et de suggestions de cadeaux, à décliner selon les goûts. Etains
d’Angers, faïences de la maison Montgolfier et décors d’ardoise
agrémentent volontiers les tables de fête, élégantes et distinguées.
Poteries du Fuilet et rosiers de Doué composent des jardins hauts
en couleurs et en parfums. Plantes médicinales et aromatiques de
Chemillé ou savons de Fontevraud fabriqués à l’ancienne sont aux
petits soins pour les amateurs de bien-être. Vins d’Anjou et de
Saumur ainsi que crèmes de fruits et liqueurs traditionnelles de
renommée internationale entraînent les papilles des fins gastronomes
dans une douce valse. Et ce, sans oublier les nombreuses gourmandises angevines à consommer sans modération : Quernon d’ardoise,
pâté aux prunes, gâteau Plantagenêt, miels et autres pommes tapées.
Les meilleures adresses pour dénicher les spécialités angevines
se découvrent au détour d’un village, au gré d’une visite touristique
ou en déambulant sereinement aux abords des étals d’un marché
coloré. Invitation à partir au cœur des matières, à partager des
savoir-faire et des passions et surtout, succomber à l’envi !
Plus d’infos : présentation Shopping Terroir.
Le temps des réjouissances
Le bâtonnier frappe les trois coups. Le rideau rouge se lève.
Apparaissent les décors naturels de l’Anjou : châteaux, abbayes,
demeures historiques, chapelles et même fleuve royal… Tout au
long de l’année, des programmations de musique, de théâtre ou
de poésie réveillent l’âme de ce patrimoine si pluriel et pourtant
si singulier. Le temps d’un festival, le Maine-et-Loire déclame ses
textes issus du répertoire classique ou contemporain. Les cours des
châteaux, plus élégants les uns que les autres, portent haut et fort le
timbre de la voix des acteurs. Le chœur des églises se met à vibrer,
éclairé par la virtuosité d’un orchestre de chambre. L’intimité d’une
chapelle accueille les confidences d’un poète. De festivals en festivités, le spectacle en Anjou se joue sans relâche.
Entre tradition et convivialité, l’Anjou tourne également les
pages de sa mémoire pour revivre la fête des moissons, retrouver
les coiffes paysannes sur les rives de la Loire, connaître les joies rustiques d’une journée d’animation campagnarde ou s’essayer encore
à quelques lancers de boule de fort… Ainsi l’Anjou invite ses hôtes à
partager un monde vrai et authentique, au sein duquel on ne peut
que constater que l’Angevin aime recevoir et ouvrir son cœur.
Plus d’infos : présentation Manifestations.
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Carte d’IDENTITÉ
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PETITE ET GRANDE HISTOIRE
Des mégalithes aux monastères
• L’âge de glace. Dès la période paléolithique, les ancêtres des Angevins marquent de leur passage le sol ligérien.
• L’âge de pierre. Place à la sédentarisation autour des prémices de l’agriculture et de l’élevage : petits villages sur les collines,
mégalithes, menhirs et autres dolmens dans le Saumurois et le Baugeois.
• La vague celte déferle sur l’Anjou. De 700 à 500 ans avant J.-C., les Celtes envahissent la région, apportant leur maîtrise du fer.
Ils soumettent les premiers occupants à leur organisation sociale et religieuse. L’actuel Maine-et-Loire est placé sous l’égide des
Andécaves.
• Par Toutatis, des Romains ! Le 1er siècle avant J.-C. est marqué par la guerre entre Dumnacus, chef des Andécaves, et les Romains.
Les Romains finissent par occuper la région et bâtissent plusieurs villes dont Juliomagus, le marché de Jules, Angers. De nouvelles
voies de circulation sillonnent les terres ligériennes.
• Les moines bâtisseurs (I-VIIe). L’Empire romain vacille. La victoire de Clovis sur les Wisigoths à Poitiers permet aux Francs
d’intégrer l’Anjou à leur royaume. Dans une région attachée aux divinités locales, aux cultes ancestraux et à la religion druidique,
le christianisme a du mal à s’implanter. Cependant, dès le IIIe, sous la férule des évêques, les premières communautés monastiques,
à l’instar de St-Aubin ou de St-Maur, voient le jour.
Les Comtes fondateurs (X-XIIe)
Tout commence au Xe siècle avec les Foulques, fondateurs d’une lignée comtale qui brille pendant trois siècles et dessine les lignes
essentielles de la province.
• Foulques III Nerra (971-1040). À 17 ans, Foulques Nerra devient Comte de la première Maison d’Anjou. Il n’a de cesse d’étendre son
empire et réalise l’unité de l’Anjou. La passion de cette figure pittoresque qui hérisse ses terres de forteresses ? Guerroyer. Estimant
avoir péché à multiples reprises, le « Faucon noir » fonde nombre d’abbayes et entreprend plusieurs pèlerinages en Terre Sainte.
• Foulques V (1043-1109). La couronne de Jérusalem se pose sur la tête du
Comte Foulques V qui arrange le mariage entre son fils, Geoffroy le Bel, et
Mathilde, la fille unique du Roi d’Angleterre et Duc de Normandie.
• Geoffroy Le Bel (1113-1151). Réputé pour son amour de la chasse dans les
landes couvertes de genêts, Geoffroy Le Bel, qui obtient la succession du Duché
de Normandie, fait entrer la province sous le fameux règne des Rois Plantagenêt.
• Henri II Plantagenêt (1133-1189). Succédant à son père Geoffroy, Henri
donne aux possessions angevines la dimension d’un véritable empire. L’époux
d’Aliénor d’Aquitaine porte les titres de Comte d’Anjou, du Maine, de Touraine,
de Duc de Normandie, d’Aquitaine et de Gascogne et, au décès de sa mère,
monte sur le trône d’Angleterre. Cette brillante période marque l’Anjou d’un
essor sans précédent : construction de ponts et de levées, culture de la vigne,
extraction de l’ardoise, commerce sur la Loire, développement des arts et de
l’architecture.
• Richard Cœur de Lion (1157-1199). Deux des huit enfants d’Aliénor et Henri
restent sur le trône d’Angleterre, Richard Cœur de Lion, puis Jean sans Terre qui
perd toutes les provinces françaises au profit du roi de France. En 1214, Philippe
Auguste scelle le retour de l’Anjou à la couronne de France.
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Une histoire princière (XIII-XVe)
Au XIIIe siècle, la deuxième Maison d’Anjou part à la conquête des royaumes de
Naples puis de Hongrie pour fonder la plus grande dynastie de l’Europe médiévale.
• Charles 1er d’Anjou (1227-1285). En 1246, Saint Louis offre à son frère Charles 1er
d’Anjou les terres d’Anjou. Après son mariage avec Béatrice de Provence, ses
ambitions le portant vers l’Italie, Charles conquiert le Royaume de Naples et de
Sicile. L’Anjou restera lié à la Provence pendant plus de deux siècles.
• René d’Anjou (1409-1480), duc d’Anjou et de Lorraine, comte du Maine et de
Provence, roi de Naples, Sicile et Jérusalem. Même s’il a combattu aux côtés de
Jeanne d’Arc, le Roi René est loin d’être un guerrier dans l’âme. Piètre politique
mais fin lettré, l’époux successif d’Isabelle de Lorraine et de Jeanne de Laval
préfère cultiver sa passion des arts et des jardins. L’Anjou doit à ce voyageur et
botaniste en herbe, outre sa fibre végétale, de grandes réalisations architecturales
et artistiques.
Saumur, la Genève ligérienne (XVI-XVIIe)
• La bourgeoisie de Saumur réserve un bon accueil à la
Réforme protestante, voyant en elle une opportunité de
lutter contre les grandes abbayes qui entravent ses
initiatives.
• La ville de Saumur, concédée aux Protestants en 1589,
est décrétée Place de sûreté. Philippe Duplessis-Mornay,
théologien, acteur du rapprochement avec Henri III et ami
du futur Henri IV, gouverne la ville.
• L’Académie protestante ouvre ses portes en 1593. Les
intellectuels convergent de l’Europe entière. Surnommée
la « seconde Genève », Saumur rayonne de mille feux,
soutenue dans son essor par un développement
économique sans précédent.
• Au XVIIe, la contre-réforme catholique bat son plein.
Sept communautés religieuses s’implantent aux abords
de Saumur. À la révocation de l’Edit de Nantes (1685),
l’Académie ferme. Les Protestants fuient, les lumières
s’éteignent, Saumur redevient la petite ville de province
de jadis.
La fracture de 1793
• Si, en 1789, l’Anjou se réjouit de la convocation des
États-Généraux, les mesures anticléricales de 1790
provoquent l’inquiétude. De nombreux curés refusent de
prêter serment à la Constitution civile du clergé. Entre
1790 et 1792, la chasse aux prêtres réfractaires fait rage.
Des émeutes antirévolutionnaires éclatent en Vendée et
dans les Mauges.
• 21 janvier 1793, le roi est mort. Les puissances
européennes encerclent la France et la jeune République
lève une armée de 300 000 hommes pour se défendre.
Refusant de quitter leurs terres et d’envoyer leurs fils à la
guerre, les paysans s’insurgent contre les révolutionnaires.
La Convention dépêche l’armée pour contrecarrer
l’insurrection.
Blancs contre bleus, c’est le début d’une guerre civile
appelée « Guerres de Vendée ». Les Mauges donnent à
l’insurrection des chefs prestigieux : Cathelineau, Stofflet,
d’Elbée ou encore Bonchamps.
• La paix ne sera signée qu’en 1800 par un petit caporal, le
futur Napoléon Bonaparte.
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PALMARÈS ÉCONOMIQUE
• Végépolys, le pôle de compétitivité à vocation mondiale :
une concentration territoriale unique en Europe par sa
capacité et son expertise de production, par la
représentation de toutes les filières du végétal spécialisé
et par la présence d’un pôle de formation et de recherche
de haut niveau.
• Le Pôle Enfant : le Choletais cultive une exceptionnelle
diversité de savoir-faire en matière de conception, création,
innovation et originalité de produits et de services destinés
aux enfants. Cette concentration historique et unique en
Europe est renforcée par des formations supérieures
spécialisées et des infrastructures culturelles tout autant
spécifiques.
• Des marques angevines internationales : Longchamp,
New Man, One Step, Bébé Confort, Catimini, IKKS, Sucre
d’Orge, Eram, TBS, Cointreau, Brioches Pasquier, Charal,
Bodet, Nicoll, Nicols, Briant, Minier, Vaslin Bucher...
• Visa pour l’avenir : deux universités (université d’état et
université catholique) avec de nombreux instituts
professionnels, 14 écoles supérieures, 30 000 étudiants à
Angers… Le département peut également se targuer d’un
tissu économique performant, du secteur textile à la mode
enfantine, de la filière végétale à l’agroalimentaire en
passant par le pôle banque-assurance-prévoyance. Enfin,
le siège angevin de l’ADEME (Agence De l’Environnement et
de la Maîtrise de l’Energie) conforte l’engagement du
département dans le développement durable.
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L’Anjou est synonyme de qualité de vie. La clé des champs côtoie la clé des villes et les charmes des villages
s’unissent aux attraits du tourisme urbain. Cet équilibre séduit les personnes en quête d’authenticité et de nature
préservée.
• Attractions* : 160 sites et monuments ouverts au public
• Offre d’hébergements : 203 hôtels, 93 campings, 595 gîtes et meublés, 186 maisons d’hôtes, 83 hébergements
collectifs pour un total de 36 209 lits marchands
• Nombre de nuitées : 8,4 millions par an
• Nombre de visiteurs dans les principaux sites et monuments : 2,2 millions par an
• Visiteurs étrangers : 20 % de la clientèle touristique (variable selon produits). Européens en majorité :
Britanniques 45%, Néerlandais 35%, Allemands et Belges et plus loin Italiens
• Chiffre d’affaires : 1,5 milliard d’euros
• Emplois liés au tourisme : 30 000
*CDT Anjou - Bilan 2008.
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LE « WHO’S WHO » ANGEVIN
• Joachim du Bellay (1522-1560). Né à Liré, le poète de la « douceur angevine » et ami de Ronsard est auteur du manifeste de la
Pléiade. De son séjour à Rome, il rapporte deux recueils : Les Antiquités de Rome et les Regrets. L’un comme l’autre expriment ses
déceptions et ses nostalgies. « Ô mon Liré » !
• David d’Angers (1788-1856). Statue de Condé dans la cour d’honneur de Versailles, fronton du Panthéon… En 18 ans, le sculpteur,
prix de Rome et député du Maine-et-Loire, a donné naissance à pas moins de 40 statues, 75 bas-reliefs et 120 bustes dispersés
dans le monde.
• Coco Chanel (1883-1971). Saumur peut s’enorgueillir d’avoir vu naître la Grande Demoiselle qui libéra la femme de ses carcans
vestimentaires. Adieu styles d’antan corsetés à souhait, bonjour tenues inspirées par « la beauté austère et intemporelle du Cadre
Noir ».
• Jean-Claude Brialy (1933-2007). « L’Anjou est ma terre de cœur » : né en Algérie, l’acteur a passé son enfance à Chambellay dans
la maison de son grand-père qu’il avait rachetée. Très attaché à ses origines, l’enfant du pays a présidé le Festival d’Anjou pendant
quinze ans jusqu’à l’an 2000.
Muse de toujours, l’Anjou est le terreau de l’imagination
fertile de nombreux écrivains :
• « Vipère au poing » relate l’enfance d’Hervé Bazin dans le
Haut-Anjou segréen.
• Julien Gracq, né à St-Florent-le-Vieil, a décrit les paysages
ligériens comme « un coin d’Amazonie ou de Louisiane ».
• l’énigme de « Belanges » de Patrick Cauvin se déroule
dans la région douessine, à Rochemenier où l’écrivain vient
régulièrement « poser ses valises intérieures ».
La région est le berceau de l’immense scène du théâtre
et du cinéma français :
• Gaby Morlay, née à Angers, venait souvent se recueillir dans
l’église St-Laud où elle a été baptisée.
• inhumé à St-Lambert-du-Lattay, Patrick Dewaere repose en
Anjou à jamais.
• Fanny Ardant et Yves Robert sont saumurois.
• Claude Chabrol résida ici pendant des années tout comme
Jean Carmet, Daniel Gélin, Patrice Chéreau.
• Gérard Depardieu aime se promener au milieu de ses vignes
du Château de Tigné.
• Après Albert Camus, Jean-Claude Brialy et autres personnalités
des planches, Nicolas Briançon est le directeur artistique du
Festival d’Anjou depuis 2006.
Crédits photos
Couv. : (Terra Botanica) G&A links - JP.Salle, (Lion d’Angers) Mondial Lion, (Maulévrier Parc oriental) CDTA - D. Drouet, (Montsoreau) CDTA - JD.Billaud, (Cholet - Carnaval)
P.Greboval, p.2 : (Angers) CDTA – JD Billaud, p.3 : (Champ fleurs) CDTA - C.Petiteau, p.4 : (Terra Botanica) La grande serre de l’extrême - G.Arnaud/A.Leray, De capes et
d’épices - G. Arnaud/A.Leray, p.5 : (Baugé Apothicairerie) Gecko prod., (Saumur Vignoble) CDTA - D.Drouet, (Maulévrier Cynodrome) CRCML, p.6 : (Montsoreau Puces) Mairie,
(Château Plessis-Bourré) CDTA - JP.Klein, (Château) CDTA - E. Caracciolo, p.7 : (Saumur CCI) Comité équestre, (Daumeray - Rouget le braconnier) Chevé, (Rendez-vous aux
troglos) CATP, p.8 : (Maulévrier Parc oriental) CDTA - D.Drouet, (Chemillé) Camifolia, (Doué-la-Fontaine Chemins de la rose) D.Robino, p.9 : (Serre horticole) CDTA - D.Drouet,
(Chanzeaux Butineries d’Alice) A.Cesbron, (Un été contemporain) OTBLA, p.10 : (Bouchemaine La Loire à Vélo) CDTA - JD. Billaud, (Canoë) CDTA - D. Drouet, p.11 : (Bioparc-zoo
de Doué) CDTA - S.Clément, (Glisséo) Ville Cholet, p.12 : (Médiéval de Loire) G.Patrice, (Chai La Paleine) Carré d’étoiles, (Demeure de Beaulieu) E.Leick, p.13 : (La Forge)
N.Aulagne, (Doué-la-Fontaine Villa Teresa) T.de Cabarrus, (Angers Logis de la Roche Corbin) P. Rivault, p.14 : (Abbaye de St-Maur) Loire de Lumière, (Grez-Neuville) CDTA - S.
Clément, (Montgolfières) D.Monnier, p.15 : (Chemillé Cueillette camomille) CDTA - D. Drouet, (Anjou vignoble) CDTA - D. Drouet, (Chemillé Atelier culinaire) F. Tempereau, p.16 : (Brissac Château) CDTA - S.Clément, (Turquant Village métiers d’art en troglo) Mairie, (Ardoisières Loire à Vélo) Angers Loire Tourisme, p.17 : (Cadre Noir) ENE - A. Laurioux, (Musée
Jean-Lurçat) CDTA - S. Clément, (Le Fuilet Village potier) CDTA - D.Drouet, p.18 : (Moulin de l’Epinay) CDTA - S.Clément, (Savonnerie Martin de Candre) CDTA - S. Clément,
(Boule de fort) CDTA - L. Massillon, p.19 : (Montjean-sur-Loire) CDTA - C.Petiteau, (Le Plessis-Macé Château) CDTA - JP. Klein, (Troglodytes de coteau) CDTA - D. Drouet, (Musée du textile) Ville Cholet - E.Lizambard, p.20 : (Angers Château) CDTA - JD.Billaud, (Fontevraud Abbaye royale) CDTA - S.Clément, p.21 : (Baugé Château) CDTA - P. Caharel,
(Saumur Château) CDTA - D. Drouet, (Bonchamps par David d’Angers) CDTA - D. Drouet, p.22 : (Carré Cointreau) CDTA - S. Clément, (Le Lion d’Angers) Anjou Plaisance, p.23 : (StFlorent-le-Vieil Eglise abbatiale) CDTA - D. Drouet, (Festival d’Anjou) JC.Hermaize, dos de couv. : (La Possonnière La Loire à Vélo) CDTA - D.Drouet, (Brézé Château) CDTA - JP.
Klein, (Bioparc-zoo de Doué) CDTA - S.Clément, (Le Vieil-Baugé Clocher-tors) CDTA - JP. Klein, (Saumur) CDTA - C.Petiteau.
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Dossier de presse 2010
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