Floralies 2016 : près de 140.000 visiteurs

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Floralies 2016 : près de 140.000 visiteurs
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COMMUNIQUE DE PRESSE
Le nouveau festival urbain enregistre près de 140.000
visiteurs
Le Coup de Coeur du public va au majestueux lustre
floral dans l’église Saint-Pierre
Les Floralies de Gand 2016 ont enregistré près de 140.000 entrées lors de cette édition
complètement revisitée.
Malgré l’absence de soleil et une météo fort capricieuse, les fans de belles fleurs ne se sont pas
laissés dissuader. Les visiteurs tant nationaux qu’étrangers sont venus apprécier les belles
installations. Le nouveau concept a été très bien accueilli par les jeunes qui visitaient souvent les
Floralies pour la première fois.
Pour les adeptes des transports en commun, le parcours des Floralies commençait et se terminait à la
gare Gent-Sint-Pieters, où ils pouvaient admirer d’emblée le travail de l'artiste floral Stef Adriaenssens.
C’était également une première pour les Floralies d’accueillir un pays hôte. C’est ainsi que le pays
du soleil levant a été mis à l’honneur à l’occasion du 150e anniversaire de l’amitié belgo-nipponne. De
plus, les villes de Gand et de Kanazawa sont jumelées depuis 1971. C’est ainsi que le site de la Bijloke
était placé sous le signe de la rencontre de l’Orient et de l’Occident. Dès l’entrée du site, une installation
majestueuse de Tom De Houwer donnait le ton, autres ‘curisosités’: des bonsaïs de plus de 80 ans, une
installation florale de Daniël et Nele Ost comptant plus de 880 lauriers, une installation en bambou
d’Akane Teshigahara, ...
La Caserne Léopold, transformée en bois mythologique, exposait 15 artistes floraux belges dans …des
serres, et offrait le soir venu un très beau spectacle son et lumière.
La place Saint-Pierre présentait un large éventail de créations florales: des interprétations florales des
sept péchés capitaux dans les couloirs de l'abbaye, au jardinage urbain dans la cour de ‘Wereld van
Kina’, en passant par l’église avec son lustre floral monumental de Tomas de Bruyne (réalisé en
collaboration avec Hitomi Gilliam et Natalia Zhizko), ou encore sur la place Saint-Pierre elle-même où le
secteur horticole flamand mettait à l’honneur les lauriers, les roses, les rhododendrons, azalées,
orchidées, et bien plus encore.
C’est le lustre floral dans l’église qui a recueilli le plus grand nombre de ‘likes’ du public et s’affiche donc
comme Coup de Coeur de cette édition.
Au Musée des Beaux-Arts, un sofa invitait les visiteurs à se laisser aller à la rêverie dans un univers
imaginaire proposé par la magnifique installation organique de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger.
Les six jardins présents à l’entrée du parc de la Citadelle proposaient six ‘visions’ de la vie et le hall des
Floralies faisait la part belle aux plantes ornementales et créations florales où l’accent était d’abord mis
sur la beauté intrinsèque de la plante.
La visite se terminant sous un tunnel enchanteur floral de Geert Pattyn ‘Look up to them’ et une salle
dédiée à la commémoration à la Grande Guerre.
Les organisateurs sont convaincus que cette nouvelle mouture est d’excellente facture et sont décidés à
continuer sur cette lancée. Rendez-vous est donc donné pour 2020!
Le président Michel Vermaerke de souligner: «Nous sommes extrêmement satisfaits de l’accueil réservé
à cette édition, ou comme le formulait un visiteur sur Facebook:" (...) innovant, moderne et valant le
détour". Il est vrai que les attentats de Bruxelles et le mauvais temps ont malheureusement dissuadé
des visiteurs de venir jusqu’à Gand.
(A ne pas publier) Plus d'information de presse et/ou des visuels, contactez :
Lucia Sanchez – Press & Communication – Floralies de Gand - [email protected]
Sandra Plasschaert – Cats Communication – 0479/35 10 39 – [email protected]
Photos : http://bit.ly/1IeNJRF - Veuillez mentionner le copyright des images tel qu’il figure dans le
nom des photos.
L'organisateur des Floralies de Gand, la Société Royale d'Agriculture et de Botanique (SRAB), existe depuis 207 ans. La société
doit son titre royal à Guillaume Ier, roi des Pays-Bas, qui accepta en 1815 le titre de roi-protecteur. La première exposition
horticole s'est tenue en 1808 dans une auberge gantoise ; depuis, elle n'a cessé de se développer et d'évoluer.