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Groupe Expir/Le Relais centre de recherche théâtrale et l’APEI de Dieppe présentent « Histoires de rien » Chorégraphie ‐ Art et Handicap Durée : 45’ avec Véronique Dedieu, Cathy Delabare, Anthony Haudecoeur, Maud Julien, Claire Laballette, Caroline Marcelli et Mathias Dou, Aurélie Varrin (danseurs) sous la direction de Vincent Lacoste Prochaines dates Jeudi 23 avril 2015 à 14h00 ‐ Vendredi 24 avril à 20h00 Espace des 4 vents – Rue Bruyères – 76510 Saint Nicolas d’Aliermont Mardi 28 avril à 20h00 Salle des fêtes – 76730 Bacqueville en Caux Mardi 12 mai à 20h30 P’tit Ouest – 1 rue de Buffon – 76000 Rouen Samedi 23 mai à 20h00 Maison Jacques Prévert – rue Léon Roge – 76200 Dieppe Groupe Expir/Le Relais, centre de recherche théâtrale 1355 route de la voie romaine 76590 Le Catelier 09 63 50 43 55/06 82 77 94 24 [email protected]
www.le‐relais‐theatre.fr www.groupexpir.fr
1 ARGUMENT Dans une salle de danse qui semble désaffectée, débarque une troupe de danseurs qui vient de loin. Mais cette salle n’est pas si vide, elle bruisse encore de toutes les présences de ceux qui y ont dansé, s’y sont rencontrés. Débute une joyeuse et intrigante soirée, faite de rencontres, croisements, débordements. Des histoires un rien décalées… un rien surannées… qui tissent nos histoires intimes, nos histoires de rien. Vincent Lacoste 2 CONTEXTE « Histoires de rien » est un spectacle de danse qui réunit quatre personnes en situation de handicap, deux personnes les encadrant et deux interprètes professionnels. C’est le résultat d’un travail d’atelier de création mené par le Relais en collaboration avec le secteur adultes de l’APEI de Dieppe depuis 7 ans. Ces ateliers ont chacun donné lieu à création de spectacles, dont le « Jardin des Souffles », chorégraphie représentée sous sa forme aboutie en juin 2011 à Dieppe Scène Nationale, dans le cadre du festival L’Ame de Fond, et « Terre de Rêves », représentée à DSN (L’Ame de Fond) en mai 2014. Les quatre personnes en situation de handicap présentes sur scène sont issues de l’atelier de jour du Ravelin (Dieppe), du Parc Guy Weber (Saint‐Aubin le Cauf), et du Foyer médicalisé la Margotière (Saint Nicolas d’Aliermont). Ce projet, de facture légère, est conçu de façon à pouvoir se déplacer dans les théâtres et festivals intéressés par la relation entre Art et Handicap. Il est le prolongement d’un engagement constant de l’APEI de Dieppe, organisateur du festival l’Ame de Fond, depuis 15 ans, qui réunit en biennale de nombreux spectacles réunissant personnes en situation de handicap et artistes professionnels. « Histoires de rien » a été créé au Relais, centre de recherche théâtrale (76 Le Catelier), le jeudi 12 décembre 2013, et présenté au « Vent se Lève ! » (Paris 19ème) le jeudi 19 décembre 2013 dans le cadre d’une cartographie d’artiste dédiée à Vincent Lacoste, repris le 24 juin au Relais puis au Théâtre de l’Opprimé (Paris 12ème) dans le cadre du festival Migr’Actions le mercredi 2 juillet 2014. Lien vidéo : http://youtu.be/ZDygMOP6n4Y
ou www.groupexpir.fr (page Histoires de Rien) 3 CONTENU « Histoires de rien » tisse à travers quatorze tableaux des trajectoires individuelles et collectives, qui se déclinent sous la forme de solos/duos alternant avec des scènes réunissant tous les interprètes. Chaque scène est l’occasion de porter un regard sur une personne, qui développe un univers singulier, avec une attention spécifique au temps nécessaire à ce développement. Traverser l’apparence, laisser s’approfondir et se transformer la perception qu’on a d’une personne à travers sa danse, a été le principal moteur de notre processus de création. L’espace à danser se présente comme un espace vide, comme peut l’être un parquet de bal, simplement occupé par un amas de chaises en son centre. Dans un lieu de solitude donc au départ, le spectacle se propose comme la construction progressive d’un groupe/d’une fête, rassemblant l’ensemble des individus qu’on perçoit initialement chacun dans sa fragilité, et/ou sa dépendance. Les chaises sont les seuls éléments de décor. Elles vont être déplacées pendant le spectacle, comme le sont les chaises pendant une soirée où s’opèrent peu à peu croisements, rencontres, naissances de relations dont on peut imaginer/espérer le prolongement. En fin de parcours, l’amas initial sera reconstitué, si ce n’est que cet ensemble de chaises aura été, entre autres, confronté au contraste que provoque l’apparition du fauteuil motorisé de Claire. L’espace vide de la salle de bal, comme espace de tous les possibles, et lieu phantasmatique de la réalisation de tous les rêves (de grandeur et d’amour, d’exposition de soi et de réussite), il est le théâtre de ces déplacements/porosités qui s’opèrent lorsque tout danseur se rapproche d’un autre et épouse le temps d’une danse la physicalité de l’autre, sa sensualité et s’enrichit de ses différences/complémentarités. Finalement lieu d’exploration de nos désirs et de nos frustrations, « Histoires de rien » est aussi traversé par la colère. Celle qui est provoquée par le difficile franchissement des barrières qui nous séparent. Le corps emprisonne parfois nos désirs empreints de liberté de mouvement/de grâce que la danse laisse entrevoir, et qui sont autant de chimères à exprimer. 4 MUSIQUES La bande‐son regroupe des compositions de René Aubry, Pascal Comelade, Le Chat de Schrodinger (Gaspar Klaus), Hugues Le Bars, André Minvielle, qui évoquent un univers de fête, légèrement décalé, ou en voie de disparition. Ce sont des musiques qui semblent avoir traversé des espaces lointains, et portent en eux un flux émotionnel puissant, teinté d’accents de voyages et de rêves venus des pays où la fête est un art, que ce soit l’Argentine, ou les pays slaves. Ces compositions alternent avec deux compositions de Dominique Petitgand, où se fait entendre une voix qui dit, comme à l’oreille, sa différence. L’insertion d’une courte composition de Philip Glass vient ponctuer la pièce, comme une ouverture sur le lyrisme, un rêve fusionnel vibrant de mélodies électriques. 5 RETOURS DE SPECTATEURS Un spectacle haut et fort en émotions. La fin du spectacle laisse sans voix. C'est une prise en compte exemplaire d'humanité. Marie‐José Auger Ce moment de théâtre m'a touché, dans sa simplicité même, en profondeur. Pas besoin d'histoire pour cela, des gestes auront suffi. Des gestes d'attention, d'accompagnement, des gestes élargis par la danse. Au bal des chaises perdues qui cherchent leur place, on a tous un handicap, l'espoir d'une victoire sur nos empêchements. Frédéric Faure Petit à petit le silence en moi se fait. Sur la scène les différences trouvent une expression commune, les uns vont vers les autres, de part et d’autre. La rencontre a lieu, en toute simplicité, en toute grâce, en amour. L’émotion est là, palpable en moi. De cette émotion naît une joie profonde. Nicole Aubry Harmonie des présences, des échanges, de la danse, du corps à corps mis en lumière subtilement parfois par fragmentation du corps ou dans sa totalité. Musique qui accompagne avec décalage et drôlerie les histoires défilant sous nos yeux émerveillés par la grâce de chacun et chacune, par la force du jeu et de l’enjeu. Paula Brunet‐Sancho Un monde imaginaire, intemporel, où chacun suit son chemin, avec une concentration, une écoute des autres, une présence. Ces personnes en situation de handicap paraissent parfois étranges, autres, mais, soudain nôtres, complètement nôtres… Sylvie Jedynak Dans Histoires de rien l'espace nu est transcendé par les humanités qui le traversent. Elles ré‐créent cet espace en un prodigieux lieu de vie, plein et vivant, un lieu d'exposition de soi. Handicapés et non handicapés ont un rapport d'une simplicité inouïe : ils se croisent, s'enlacent, se touchent, dansent, se regardent, inventent des codes et des jeux, s'amusent et se pastichent même. Les uns n'aident pas les autres, ils sont ensemble tout simplement, dans cette spatialité liquide et aérienne. Pas de monde utopique non plus : les souffrances existent aussi et sont exprimées avec un dépouillement "innocent". Le rapport au public est dédramatisé, évident, ludique et joyeux. Sans aucun malaise ni exhibitionnisme, malgré l'intensité très personnelle de solos qui se déploient comme de véritables "monologues". Aucune parole dans ce spectacle… qui raconte beaucoup, et fortement. Françoise‐Franca Cuomo 6 Présentation du Relais/Groupe Expir Les travaux du Groupe Expir, compagnie fondatrice du Relais, dirigée par Vincent Lacoste, metteur en scène, réunissent divers projets de théâtre, lecture, danse. Ces dernières années, plusieurs travaux se sont centrés sur la lecture et la voix enregistrée, avec une attention portée aux textes et à la poésie (Sylvia Plath, Charles Juliet, Guénolé Boillot, Christian Marsan), souvent accompagnés de musiques, instrumentales ou électroacoustiques. D’autres projets concernent des textes de théâtre (Beckett, Laurent Colomb). D’autres enfin mettent principalement en jeu le corps et le mouvement, sans lien direct avec un texte, orientés par une thématique (Les Corps Mous). La compagnie associe un travail de texte à un travail physique, essentiellement basé sur les notions de présence et de circulation d’énergie. Site internet : www.groupexpir.fr ___________________________________________________________________________ Le Relais, centre de recherche théâtrale, est un lieu de résidence et de création, dédié aux compagnies professionnelles du spectacle vivant, qui souhaitent profiter d’un espace privilégié en milieu rural, et favorable à la concentration pour répéter et/ou créer leur spectacle. Les artistes résidents sont hébergés et jouissent des locaux comprenant une salle de 80m2. C’est également un lieu de présentation ouvert au public (pour des spectacles aboutis ou des travaux en cours), lors de soirées de fin de résidence, ou lors de soirées hors les murs. Un programme ambitieux d’actions culturelles est mené chaque année en direction de la jeunesse (principalement écoles, plus ponctuellement collèges ou lycées) et des personnes fragilisées vivant à proximité (enfants en foyer de vie placés par décision de justice, personnes en situation de handicap mental, personnes âgées en institutions). Date de création : 2001. Actuellement : 12 à 14 compagnies accueillies chaque année pour des durées variant de 1 semaine à 1 mois et plus. Soirées fin de résidence : environ 20 dates par an dans le lieu ou en proximité (villages). 60 projets accompagnés entre 2008 et 2014 (liste dans la rubrique « mémoire » du site web) Site internet : www.le‐relais‐theatre.fr ___________________________________________________________________________ Partenaires du Relais/Groupe Expir: DRAC Haute Normandie, Région Haute Normandie, Conseil Général Seine Maritime, Communauté de Communes Saâne et Vienne, mairie du Catelier, ODIA Normandie, Education Nationale, Lion’s Club Dieppe‐Verrazane, Mozaris Dieppe. 7 Parcours Vincent Lacoste metteur en scène Formé à la danse classique, puis contemporaine, depuis l’âge de 6 ans, il s’oriente à 20 ans vers le théâtre en gardant une sensibilité aux questions du corps et de la présence. Il devient metteur en scène du groupe Expir en 1995 (Paris, depuis 1995, Le Catelier depuis 2007). Il a depuis monté les textes de Dostoïevski (Les Nuits blanches), Beckett (Comédie, Fragment de Théâtre II et Berceuse), Shakespeare (Le Marchand de Venise – collage avec d’autres textes de Beuys, Rimbaud, Koltès), Bond (Mardi), Calderon (A outrage secret, vengeance secrète), Odette Elina (Sans Fleurs Ni Couronnes, Auschwitz 1944‐1945), Gogol et Albertine Sarrazin (Gogol/Sarrazin : Histoire du Capitaine Kopeïkine et Lettres d’amour), Jules Supervielle (L’Inconnue de la Seine), Luigi Pirandello (Je Rêvais(peut‐être…), La Fleur à la bouche, À la sortie). Il développe depuis 2011 un travail de création d’œuvres sonores et vidéo, à partir de textes de Charles Juliet (Lambeaux), Virginia Woolf (V‐Garden), Sylvia Plath (Dame Lazare). Réintroduisant depuis plusieurs années la danse et le mouvement dans ses mises en scènes, il collabore avec des interprètes et plasticiens issus de la danse et de la performance (Aurélie Varrin, Marguerite Danguy des Déserts, Mathias Dou) Il a dirigé plusieurs stages de recherche avec le concours de nombreux comédiens et danseurs (Beckett, Bond, Calderon…). Il a par ailleurs une longue expérience de direction de groupes amateurs (lycéens en option théâtre, atelier de pratique hebdomadaire, ateliers en milieu carcéral – Maison d’arrêt de Rouen, foyer d’adolescents placés « les Nids », Seine Maritime, atelier de jour pour personnes en situation de handicap, Dieppe). Il conçoit son travail comme un mouvement en prise avec des réalités sociales. Ses créations sont le résultat de travaux de recherche et de déplacements, opérés en ateliers professionnels, nourris et enrichis par une pratique constante en milieu amateur. En 2002, il fonde le Relais, centre de recherche théâtrale, lieu de résidence d’artistes (théâtre, musique, danse, arts plastiques, cinéma), et de croisement entre professionnels de pratiques complémentaires et amateurs du spectacle vivant conviés pour des soirées de présentation de travaux et des ateliers de pratique. Il est depuis 2013 coprésident du réseau de Lieux Intermédiaires En Normandie (Le L.I.E.N) réunissant 17 fabriques de spectacles vivants haut et bas normandes. Mathias Dou, danseur, chorégraphe Après s’être formé au théâtre en 1996 avec Anne Sicco à “l'oeil du silence”. Il rencontre l'aïkido et le mime avec Marcel Marceau, ce qui l’amène naturellement à la danse et au travail de l’acteur corporel. Plus tard, en 1999, c'est auprès de Mathilde Monnier qu’il se forme à la danse contemporaine, au sein du programme E.X.E.R.C.E. D'autres rencontres suivront : le butô avec Masaki Iwana, la danse théâtre avec Joseph Nadj, François Verret, Philippe Genty, la Cie Mossoux‐Bonté, la danse‐
contact et l'improvisation avec Steve Paxton, Julyen Hamilton, Mark Tompkins, Yann Lheureux, Benoît Lachambre, Vera Mantero, Kirstie Simson, Daniel Larrieu, Deborah Hay, Rosalind Crisp et Andrew Morich, et enfin le clown avec Chantal Fourcaud . Il est interprète pour de nombreux chorégraphes, notamment Didier Théron, Michèle Murray, Lila Greene, Anne Marie Pascoli, Leonardo Montecchia, Patrice Barthès, Mitia Fedotenko, Sidonie Rochon, Soraya Djebar et Geneviève Mazin, Eric Fessenmeyer et Julie Coutant. Au théâtre il travaille avec les metteurs en scène Estelle Savasta et Vincent Lacoste. Depuis 2000, il enseigne la danse contemporaine, la danse contact et l’improvisation. Il intervient régulièrement au sein d’ateliers de danse avec des enfants, des personnes en réinsertion sociale ou en situation de handicap. 8 Aurélie Varrin, danseuse, comédienne, jongleuse Formée à la danse moderne et contemporaine, après avoir suivi l’école du Samovar (théâtre gestuel, Les Lilas), et l’Ecole Internationale de Théâtre Jacques Lecoq (département scénographie, laboratoire d’étude du mouvement) en 2004‐2005, elle collabore avec Jérôme Thomas dans ses spectacles de cirque, jonglage et théâtre de rue: « Papillons », « Libellule et Papillons », « Rain/Bow », « FoRest » (duo), avec Marguerite Danguy des Déserts : « Le Creux du Corps », « Flagmen », avec Vincent Lacoste : « L’Inconnue de la Seine ». Fidèle depuis des années au travail de Vincent Lacoste, elle a collaboré à de nombreux ateliers en direction des publics fragiles : personnes âgées, personnes en situation de handicap, enfants. Véronique Dedieu Véronique fréquente l’Atelier de jour du Ravelin (Dieppe). Elle a suivi les premiers ateliers de danse du Relais il y a sept ans, et a rejoint la troupe depuis 2 ans. Par sa légèreté, sa finesse et sa drôlerie, elle contribue à créer des espaces d’une densité aérienne. Elle joue avec bonheur de sa capacité de séduction, et apporte à la troupe d’ « Histoire de rien » humour et gentillesse. Anthony Haudecoeur Anthony fréquente l’atelier de jour du Parc Guy Weber (Saint Aubin le Cauf). Il suit les ateliers de danse du Relais depuis 5 ans. Il découvre par la danse une manière d’affirmer sa masculinité, tout en révélant ses capacités de sensibilité et de concentration. Il apporte à la troupe d’ « Histoires de rien » ouverture d’esprit, enthousiasme et relation à l’autre. Claire Labalette Claire vit en semaine dans le foyer médicalisé La Margotière (Saint Nicolas d’Aliermont). Atteinte d'une infirmité motrice cérébrale depuis sa naissance, elle se déplace en fauteuil. Elle suit les ateliers du Relais depuis 5 ans, et a révélé par la danse et la pratique artistique une capacité d’expression et une énergie hors du commun. Sa volonté de dépassement de ses conditions de vie rend sa présence sur scène d’une intensité rare et explosive. Caroline Marcelli
Caroline fréquente l’Atelier de jour du Parc Guy Weber (Saint Aubin le Cauf). Elle suit les ateliers de danse du Relais depuis 5 ans. Personnalité forte, elle a développé un langage chorégraphique singulier, qui dévoile d’une manière sensible sa féminité, et révèle en même temps sa puissance, la part sauvage et irréductible qui fonde une personnalité d’artiste. Maud Julien travaille comme éducatrice au Parc Guy Weber (Saint Aubin le Cauf). Elle participe aux ateliers de danse du Relais depuis 5 ans. Dotée d’une physicalité de danseuse, elle découvre par cette pratique une façon différente d’aborder la relation aux personnes qu’elle accompagne, tout en développant un langage chorégraphique personnel, qui mêle exigence, finesse et sensualité. Cathy Delabare
est aide‐soignante au foyer médicalisé La Margotière (Saint Nicolas d’Aliermont). Elle suit les ateliers de danse du Relais depuis 5 ans. D’une personnalité discrète, elle développe une manière singulière et profonde d’accompagner les personnes, tout en apportant, par son écoute et sa vigilance, sensibilité et lumière. 9 Groupe Expir/Le Relais Centre de Recherche Théâtrale 1355 route de la voie romaine – 76590 Le Catelier Historique Créations sous la direction de Vincent Lacoste Les Nuits Blanches – Dostoïevski – juin 1996, Paris. Comédie et autres dramaticules ‐ Beckett – (Comédie, Fragment de Théâtre II, Berceuse) – janvier 1998, Montrouge, Colombes, Aix‐en‐Provence. Impromptu à Venise ‐ collage de textes de Shakespeare, Beuys, Rimbaud, Koltès – mai 1998, Marseille, Paris. Mardi – Bond – février 2000, Aix‐en‐Provence. A outrage secret vengeance secrète – Calderon – mai 2002, Colombes, Aix en Provence. Sans Fleurs ni Couronnes – Retour des Camps – Odette Elina – juillet 2003, Avignon, Le Catelier, Besançon, Rueil Malmaison, Caen, Paris. Gogol/Sarrazin : Histoire du Capitaine Kopeïkine et lettres d’amour – Nicolas Gogol et Albertine Sarrazin – mai 2005, Colombes, Paris, Le Catelier, Aix en Provence, Marseille, Rouen, Arcueil. L’Inconnue de la Seine – Jules Supervielle – avril 2007, Le Catelier, Vitry sur Seine, Gueures, Paris, Saint Ouen du Breuil, Oissel, Eu, Auffay, Rouen, Charenton‐le‐Pont. Je Rêvais (peut‐être…) – Luigi Pirandello – mai 2008, Le Catelier, Rouen, Val de Reuil, Avignon. Lambeaux – Charles Juliet – décembre 2011, Le Catelier, Petit‐Couronne, Fécamp.
Trilogie Pirandello – Luigi Pirandello – avril 2012, Saint Valery en Caux, Le Catelier, Rouen.
Dame Lazare – Sylvia Plath – septembre 2013, Bernay‐Serquigny, Le Catelier. Histoires de rien – chorégraphie Art et Handicap – décembre 2013, Paris, Le Catelier. Cette fois – Samuel Beckett – mai 2013, Le Catelier, Bernay, Paris. Lectures publiques (par Vincent Lacoste) L’Homme approximatif – Tristan Tzara – avec A. Amirault et F. Faure, fév 2004. Slogans – Maria Soudaïeva – déc 2004, oct 2005. La Rose de Personne – Paul Célan, nov 2005. Contes Grivois – La Fontaine, mars 2006, avec Claudie Decultis. La fable du monde – Jules Supervielle, septembre 2006, avec Marguerite Danguy des Déserts. Poèmes de l’autre monde – Holderlin, octobre 2006. En vie – Eugène Savitskaïa, février 2007, avec C. Morvan et J.C. Oleksiak (contrebasse). Sécateur de rêves – Guénolé Boillot, décembre 2007, avec A. Varrin, G. Boillot et P. Bessette. Panique (armure, cabane, roulettes) – Bruno Edmond, février 2008. Promenades et souvenirs – Gérard de Nerval, avril, juin 2008, avec A. Perotte (chant) et J.‐L. Tamby (luths) Poésies des éditions clarisse – Eric Sénécal, Eric Ferrari, Vincent Depardieu, Eric Morel, mars 2010, avec P.A. Villemaine, N. Canot, N. Azam, F‐F. Cuomo. Le Bœuf et l’âne de la crèche – Jules Supervielle, décembre 2010, avec O. Hue. Nos Veillées en Musique – lecture d’albums jeunesse – novembre 2010‐mars 2013, Torcy, Oissel, Paris, Mont Saint‐Aignan, Pont de l’Arche, Barentin, avec O. Hue. Lumière d’hiver – Philippe Jaccotet – avril 2014, Dax. Ateliers en milieu scolaire Option Théâtre ‐ Lycée Richelieu de Rueil Les Noces du rétameur – Synge – et La Vie est un songe – Calderon – mai 1998. Britannicus – Racine – mai 1999. L’Epreuve – Marivaux – et La Sirène – Pouchkine – mai 2000. La Volupté de l’honneur – Pirandello – mai 2001. L’Impromptu de Versailles – Molière – mai 2002. Léonce et Léna – Buchner – mai 2003. La Veuve – Corneille – mai 2004. Peer Gynth – Ibsen – mai 2005. Pour un oui pour un non – Sarraute – mai 2006. Foyer Les Nids – Longueville sur Scie Sa Majesté des mouches – William Golding – mars 2007. La Solitude du coureur de fond – Alan Silitoe – mars 2008. Roméo et Juliette – Shakespeare – mars 2009. 10 Il débusque un démon – Bretolt Brecht – mars 2010. Pour un oui pour un non – Sarraute – mars 2011. Trois Donzelles et le seau, une histoire populaire – Abel Neves – mars 2012 Intouchables – Eric Toledano – mars 2013 Poil de Carotte – Jules Renard – février 2014. Collège Saint Nicolas d’Aliermont Dix éléments de la vie de tous les jours – théâtre et vidéo avec quatrièmes Segpa, octobre – mai 2010. Lycée agricole CFA d’Yvetôt
Violence(s) – vidéo et écriture avec secondes en apprentissage – mai 2012 Lycées Descartes et Maupassant ‐ Fécamp
V‐Garden – installation sonore et plastique d’après le Journal de Virginia Woolf, mai 2013 Collège Emile Zola – Sotteville‐lès‐Rouen
L’Etranger – Albert Camus – enregistrement sonore – février 2014 Ateliers amateurs Dissident il va sans dire – Vinaver – janvier 1999/juin 2000. Le Fils – Fosse – septembre 2000/juin 2001. Le Grand Théâtre du Monde – Calderon – octobre 2001/mai 2002. L’Opéra de Quat’sous – Brecht – octobre 2003/septembre 2004. Trahisons – Pinter – octobre 2004/juillet 2006. Ateliers en milieu carcéral Maison d’Arrêt de Rouen – La Fontaine, Michaux – octobre 2003/mai 2004, Karl Valentin, Koltès, Rimbaud – octobre 2004/ fév 2005 Ateliers danse pour personnes en situation de handicap Improvisations sur l’Inconnue de la Seine – festival l’âme de fond, Dieppe Scène Nationale, juin 2007. Le jardin des souffles – festival Dieppe se déchaîne, Casino de Dieppe, juin 2010, festival L’Ame de Fond, Dieppe Scène Nationale, juin 2011. Terre de Rêves – festival Dieppe se déchaîne, juin 2013, Dieppe Scène Nationale, mai 2014. Ateliers pour personnes âgées en maison de retraite (« Culture à l’hôpital ») Aux Fils du Temps I et II – Château Michel, Dieppe, octobre et décembre 2008. Interventions artistiques – résidence de la Scie, Saint Crespin et résidence Albert Jean, Luneray, octobre 2009 – décembre 2013. Le Groupe Expir a reçu l’aide au projet du Thécif, conseil régional d’Ile de France pour Comédie et autres dramaticules, ainsi que le soutien de l’ANPE. Il a participé aux XVIIèmes Rencontres Charles Dullin, région parisienne, et au festival Opening Nights II, Aix‐Marseille. Il a eu comme partenaires, entre autres, la Maison de l’Acteur, Montrouge, le Centre Culturel des Finances, Paris, le Hublot, chantier de construction théâtrale, Colombes, le Théâtre Antoine Vitez et le 3BisF, lieu d’arts contemporains, Aix‐en‐Provence, la Chapelle Saint Louis, Rouen, le Relais, Le Catelier, Gare au Théâtre, Vitry sur Seine, le Rayon Vert, Saint Valery en Caux, l’IMEC – Abbaye d’Ardenne, Caen, 6000, Bernay/Serquigny. Il a également été soutenu pour la diffusion par l’Odia Normandie Le Relais reçoit l’aide du Ministère de la Culture, de la région Haute Normandie, du département de la Seine Maritime, de la communauté de communes Saâne et Vienne, de la mairie du Catelier. La Trilogie Pirandello a reçu l’aide à la création du Conseil Général de Seine Maritime. 11 

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